Scènes (érotiques) de la vie conjugale (4/6)

- Par l'auteur HDS Micky -
Récit érotique écrit par Micky [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Récit libertin : Scènes (érotiques) de la vie conjugale (4/6) Histoire érotique Publiée sur HDS le 28-01-2022 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Scènes (érotiques) de la vie conjugale (4/6)
Cette série en six volets mets en scène des couples "normaux" pris d'une inspiration érotique subite qui les fait sortir de la routine conjugale. A raison de deux couples par épisode.

NATHALIE ET LOUIS AU TRAVAIL

Louis dirigeait une petite entreprise avec son épouse Nathalie, chargée du secrétariat et de la comptabilité. Agés tous les deux d'une quarantaine d'années, ils cohabitaient dans le même bureau, ce qui n'allait pas parfois sans disputes. Pas si simple de travailler en couple. Mais ils étaient trop attachés l'un à l'autre pour que ça ne se termine pas par des réconciliations, parfois sur l'oreiller. Femme de petite taille, remarquable à la fois par une opulente chevelure prématurément blanchie qu'elle entretenait avec soin, mais aussi une paire de seins qui semblaient toujours la précéder tant ils étaient volumineux et agressifs, Nathalie bénéficiait d'une cote élevée chez les employés, autant par sa gentillesse que par son physique. Il va sans dire qu'ils la préféraient au patron, parfois un peu rugueux.

Ce jour là, elle était concentrée sur ses comptes derrière son écran d'ordinateur avec ses lunettes rectangulaires dont elle se séparait rarement. Plusieurs employés s'étaient rendus dans le bureau directorial pour des motifs plus ou moins futiles. A cela une explication : Nathalie portait ce jour là une robe courte avec un décolleté vertigineux, comme si elle voulait présenter ses seins sur un plateau. Elle considérait avec amusement les regards troubles des employés penchés sur son bureau, mais surtout sur son sillon mammaire.
Ces allées et venues n'avaient pas échappé à Louis.
- C'était vraiment nécessaire, de sortir cette robe au boulot ? demanda-t-il, un peu grinçant.
- Vu le temps qu'on passe ici, si je ne la mettais pas au boulot, je ne la mettrais jamais. Elle te gêne, ma robe ?
- Je la trouve légèrement indécente. Tu provoques.
- Tu joues les pères la pudeur, maintenant, c'est nouveau. Je t'ai connu plus... fringant.

Louis sentit une allusion à la période récente où le lit du couple était resté calme assez longtemps. Il prit la mouche.
- Ah oui ? Père la pudeur. Attends un peu, tu vas voir si je ne suis pas fringant.
Aussitôt dit, il alla vers la porte du bureau, apposa le panonceau "ne pas déranger" qu'il mettait pour les réunions sensibles, baissa les rideaux et ferma à clé.
- Qu'est-ce que tu fais ? Tu nous enfermes maintenant ? dit Nathalie.
Mais elle vit avec stupéfaction Louis ouvrir sa braguette et en sortir son barreau de chair qui prenait dans sa main un mouvement ascensionnel à vue d'oeil. Il s'approcha de Nathalie, passa derrière sa chaise et lui mit son engin sur la joue.
- Arrête ! Range-moi ça. C'est indécent.
- Indécent, tiens donc. Chacun son tour.
Et de poursuivre en baladant sa queue sur le cou, les oreilles, le nez, les yeux, tout en maintenant les mains de Nathalie qui tentait de le repousser. Puis la bite frôla la bouche, une fois, deux fois, trois fois. Louis sentit que la résistance de Nathalie faiblissait. Il la connaissait suffisamment pour savoir que le contact persistant d'une bite bien raide sur sa peau finirait par l'émouvoir. Ses joues rosissaient, sa bouche s'humidifiait. Et au quatrième contact de sa queue avec les lèvres de son épouse, celles-ci s'ouvrirent. Il était absorbé.

Dès lors, ce ne fut plus la même scène. Déculotté jusqu'aux genoux, il faisait face à Nathalie, qui le pompait résolument tandis qu'il lui pétrissait les nichons, les mains plongées dans son décolleté. Levant les yeux vers lui derrière ses lunettes, qu'elle avait conservées, elle guettait ses réactions en femme amoureuse. Puis elle sortit de son siège, fit passer sa robe par-dessus sa tête, dégrafa son soutien-gorge, faisant jaillir ses seins, baissa son slip, fit valser ses escarpins et s'assit sur son bureau, pieds nus, seins étalés, cuisses ouvertes.
- Lèche-moi d'abord, ordonna-t-elle. Et fous-toi à poil aussi. Cela fait un bout de temps que tu ne m'as pas fait l'amour. Tu m'as mis le feu, maintenant assume.

Louis reconnut bien, à ce défi, la mentalité de sa pulpeuse épouse. Elle pouvait rester des jours, voire des semaines, sans rapport sexuel, selon les circonstances de vie du couple. Mais quand ça lui prenait, elle était volcanique. Tout le contraire d'une passive. A l'évidence, elle avait plus envie présentement de baiser, là, dans ce bureau, que de faire classiquement l'amour. Il se demanda même si ce décolleté si généreux n'obéissait pas à une espèce de stratégie pour ranimer l'intérieur de son slip.
De fait, il lui avait mis le feu et il s'agissait maintenant de l'éteindre sans ameuter toute l'entreprise. La vulve s'offrait à sa bouche et il y plongea avec volupté, levant parfois les yeux pour observer son visage, à demi masqué par sa fabuleuse poitrine.

Soudain, le téléphone de son bureau sonna. Il voulut se détacher mais la main de Nathalie lui maintint fermement la nuque et elle décrocha. Elle répondit à son interlocuteur comme si elle était assise à son bureau, laissant néanmoins passer un "ouchhh mmmhhh" qu'elle corrigea aussitôt à son interlocuteur, justifiant une envie d'éternuer. La situation amusait Louis et il insista sur le clitoris, ce qui entraina une crispation très nette de la main sur sa nuque. La voix de Nathalie était incontestablement déformée mais elle n'interrompit pas la conversation très pratique pour autant. Mais quand elle raccrocha, elle se laissa aller à un long gémissement de plaisir qui traduisait un vrai orgasme, dû en partie à la situation inédite.
- Mets-la moi maintenant, j'en ai besoin, souffla-t-elle, toujours assise sur le bureau, très ouverte.

La hauteur du meuble était idéale pour la pénétration et il put s'enfoncer en elle d'un trait, jusqu'à la garde. Affalée au milieu de ses dossiers, les talons dans les reins de son époux, elle accompagnait de tout son corps ses va et viens. Louis se régalait de la houle de ses seins, de son casque de cheveux blancs étalés, de son enchainement rictus-sourires, puis quand il accéléra son rythme, de sa main mordue pour étouffer son nouvel orgasme.
Il n'avait pas éjaculé. Quand elle se releva, le visage empourpré, échevelée et les lunettes de travers, elle considéra la bite toujours bien érigée et sourit :
- Tu as encore envie de moi, hein ? Assieds-toi sur ma chaise, je vais venir sur toi.

Elle posa ses lunettes sur le bureau et vint s'empaler lentement sur lui, les pieds au sol, écartant ses seins pour qu'il puisse y plonger le nez. Louis se retrouva dans une position passive laissant l'initiative totale à Nathalie. Il pouvait juste lui bouffer les nichons et pétrir ses fesses pendant qu'elle tressautait et virevoltait sur lui au point de déplacer la chaise à roulettes jusqu'au mur où elle se cala. Prise par un nouvel orgasme, elle enfonça son museau dans le creux de l'épaule de Louis pour étouffer son cri. Elle resta dans cette position quelques minutes, inerte, haletante, toujours enfoncée. Louis était toujours raide.
- Tu me tues. Finis-moi par terre, souffla-t-elle.

Elle se détacha dans un bruit mouillé, le prit par la main et l'entraina sur le tapis où elle s'allongea. Elle devint alors assez vulgaire, sachant l'effet que ses mots crus aurait sur la jouissance de son mari-amant :
- Tu vas me mettre ta grosse bite bien profond et bien me baiser. Défonce-moi, je t'en supplie.
Survolté, mains posées de chaque côté du casque de cheveux blancs, Louis répondit à la demande en cognant dur, accompagné par les mouvements de balancier des jambes de Nathalie. Laquelle, entre deux couinements, lâchait "pas tout de suite, pas tout de suite, encore, encore, baise, baise...". Mais quand il sentit ses mains sur ses fesses et ses ongles plantés dans sa chair, comme pour accompagner et stimuler ses coups de boutoir, Louis lâcha tout. Une giclée de sperme frappa le stérilet de Nathalie puis s'écoula sur le tapis, provoquant une tache qu'elle eut plus tard toutes les peines du monde à effacer. Il s'affala sur son corps dodu comme sur un édredon, laissant son pénis se rétracter avant de se relever, aussi abruti qu'elle.

C'est alors que le téléphone sonna à nouveau. Nathalie se dressa vivement et répondit en tenue d'Eve, tandis qu'il cherchait son slip et son pantalon. Il était temps de revenir au boulot.
Rhabillée, Nathalie inspecta son visage devant un miroir de poche, se pomponna légèrement et autorisa Louis à déverrouiller la porte. Elle remit un peu d'ordre sur son bureau et reprit peu à peu sa contenance de secrétaire. Il ne fallut pas longtemps pour que surgisse un employé pour une demande de routine. Et que croyez-vous qu'il fit ? Il plongea son regard dans le décolleté retrouvé de Nathalie.

SANDRINE ET JOHAN A L'HOTEL

Sandrine et Johan étaient arrivés à un âge, la quarantaine, où la frénésie érotique des débuts de couple laisse peu à peu la place à une forme de routine conjugale. Un dimanche matin, au terme d'ébats assez ternes où Sandrine n'avait pas joui, ce dont Johan s'était aperçu, une petite discussion intime de lit était intervenue, au terme de laquelle le couple avait conclu à un appauvrissement de leur sexualité, autrefois débordante. Pourtant, Sandrine, au visage un peu ingrat mais au corps de mannequin, longues jambes, seins en poire, cul ferme, restait toujours désirable aux yeux de Johan, peu tenté d'aller voir ailleurs. "Quand on a une Mercedes au garage, on ne va pas acheter une Clio", disait-il de manière imagée, un peu pour la rassurer sur son sex appeal. Même s'il lui arrivait d'être courtisée dans son milieu professionnel, en particulier par les amateurs de grandes blondes, même si elle trouvait que Johan bandait de plus en plus difficilement, et pas toujours très raide, Sandrine n'avait jamais versé dans l'adultère. Néanmoins, le couple sentait bien qu'il devait se remettre en question à un âge charnière où beaucoup se défont.

C'est Johan qui, le lendemain, eut l'idée.
- Et si le week-end prochain, on allait baiser à l'hôtel au lieu de la maison ?
- A l'hôtel ? Et pourquoi payer une chambre alors qu'on peut en faire autant chez nous ? dit-elle, incrédule.
- Toujours économe, toi. Puisqu'il faut sortir du ronron, ce serait un bon moyen, non ? On se ferait un petit scénario. Je t'attendrai dans la chambre et tu viendrais me rendre visite, comme une escort girl, en tenue adéquate. On ne ferait pas l'amour. On baiserait.
- En somme, je serais ta pute. Charmant.
- Eh ben oui. Je te verrais bien avec des dessous affriolants, très sexy.
La perspective ne sembla pas déplaire à Sandrine. La lingerie, c'était son truc. Il y avait un moment qu'elle n'avait pas sortie ses bas, son porte-jarretelles et son bustier. Après tout, si ça pouvait allonger la bite de son mari... Malgré une petite moue qui pouvait paraitre de réserve, elle accepta.

Johan avait déclenché un petit chambardement dans la vie de ce couple bien rangé. Plus les jours passaient et plus ils fantasmaient sur ce rendez-vous galant et néanmoins légitime. Sandrine avait déjà sélectionné sa tenue, Johan réservé la chambre d'hôtel, plutôt luxueux avec un lit XXL. Il avait aussi acheté une petite caméra portative pour immortaliser l'événement. Et quand le jour arriva, curieusement, tous les deux avaient le trac. Surtout Sandrine, morte de trouille à l'idée de se présenter à la réception pour demander le numéro de la chambre réservée par son mari... qui n'était pas censé l'être.

Lorsqu'elle franchit le seuil de l'établissement, elle se sentit à poil sous sa petite robe noire décolletée, comme si tout le monde pouvait voir à travers son bustier et ses bas. Sa coupe au carré récemment rénovée chez la coiffeuse et ses lunettes de soleil ne la rassuraient en rien. Elle bredouilla son annonce longtemps répétée devant une réceptionniste parfaitement indifférente, qui lui indiqua l'ascenseur. Juchée sur des escarpins mirobolants, elle se dirigea à pas hésitants vers la porte de la chambre, frappa légèrement, presque timidement, et Johan se présenta à l'entrée, sommairement vêtu d'un peignoir de bain.
Contraste saisissant avec la tenue de son épouse. Il avait décidé de la jouer client d'escort girl et se mit à la vouvoyer, lui proposant d'enlever son blouson et de visiter le mini bar. Soudain détendue, Sandrine retint difficilement son rire.
- On dirait DSK dans l'hôtel de New York, dit-elle le sourire aux lèvres.
Dans l'ouverture du peignoir, elle pouvait apercevoir le sexe ballottant de son mari. Il la fit asseoir sur le lit et pendant qu'elle buvait, glissa un doigt sous la jupe, à la rencontre du morceau de cuisse découvert par le bas noir.
- Vous me payez d'abord, dit Sandrine avec aplomb.

Johan se leva et sortit deux billets de 50 euros, que son épouse glissa prestement dans son sac. Et c'est seulement ensuite qu'ils s'embrassèrent en se pelotant mutuellement. Johan s'aperçut qu'elle avait sorti un string de sa garde-robe et s'empressa de le visiter tandis que Sandrine lui mettait déjà la main aux parties. Puis elle se releva et Johan mit sa caméra en marche. Elle fit glisser sa robe, apparut dans un bustier noir très ajouré qui faisait gonfler ses seins, offerts comme dans une corbeille de fruits, et en porte-jarretelles, se fit siffler comme une grue, tourna sur elle-même en se cambrant et en se tapotant la chevelure, défit lentement les attaches de ses bas qu'elle déroula avec perversité après avoir fait valser ses escarpins, bref jouait la scène de l'escort avec un réel talent; Elle laissa Johan la débarrasser de son bustier et apparut dans sa nudité intégrale, provoquante, le bas-ventre en avant, l'oeil étincelant, la bouche humide, les pointes de seins dressées, lâchant enfin la phrase clé :
- J'ai envie de baiser.

La queue de Johan avait jailli du peignoir, plus raide qu'un manche de pioche.
- Allonge-toi, ordonna la fausse escort.
Elle prit alors l'initiative d'un 69, au ravissement de son "client". Depuis combien de temps n'avaient-ils pas adopté cette position qui faisaient autrefois leurs délices ? Johan dirigea la caméra vers la croupe de son épouse tout en la léchant, taquinant en même temps son petit trou. Voilà une image qui la surprendrait sûrement plus tard. Il tendit la main pour filmer sa fellation ce qui lui permit en même temps d'observer sa technique suceuse via l'écran de contrôle. Très jouissif pour lui mais aussi pour elle car c'était comme si elle avait ouvert le robinet à cyprine. Il en avait le visage tout barbouillé. De très bon augure.

Elle finit par interrompre sa succion et d'un même mouvement, selon une procédure classique, vint s'empaler sur lui et lui offrit le spectacle de son cul en mouvement, de sa tête rejetée en arrière, de son dos frémissant. Elle se mit sur ses pieds pour allonger la pénétration dans un claquement de peaux et Johan fut bien heureux que la caméra capte le son en même temps que l'image. Elle se raidit, en proie à un premier orgasme, qui la fit gémir. Enfin, elle se détacha, se tourna vers lui et lui dit :
- A toi de faire le boulot maintenant. Défonce-moi, baise-moi comme une pute.

Elle était passée au tutoiement mais il le remarqua à peine tant il avait envie de l'écarteler, de lui montrer quel mâle il était, ou plutôt redevenu. Sans se presser, il posa la caméra au bord du lit sur le pied qu'il avait acheté en même temps et régla la position, pendant qu'elle se caressait la chatte. Puis il replia ses longues jambes, les faisant reposer sur ses épaules et la pénétra fougueusement, sans concession. Pliée en deux, elle couina et lui adressa un regard presque stupéfait, comme si le plaisir qu'elle prenait était inédit. Il regardait de temps à autre la caméra en la besognant et l'incita à en faire autant, ce qu'elle fit sans barguigner.
- Regarde-toi baiser. Regarde comme tu es belle quand tu baises, lui souffla-t-il.

Cette situation surexcitait Sandrine qui avait une folle envie de remuer son cul, ce que son pliage ne lui permettait pas suffisamment à son goût.
- S'il te plait, laisse-moi bouger, lui dit-elle entre deux râles.
Il la libéra et aussitôt, ses pieds vinrent se poser sur le matelas et Johan eut l'impression de se trouver dans une barque en pleine tempête. Elle remuait tellement sous lui qu'il dut prendre un appui solide sur la couche pour ne pas être désarçonné.
- Tu baises, hein ? lui dit-il.
- Oh oui je baise, je baise, je t'en supplie, retiens ton jus.

Il fut faire un effort surhumain pour ne pas gicler à ce moment là et pensa très fort à une chose triste. Heureusement, Sandrine connut un nouvel orgasme qui le mit dans une sorte d'inertie frissonnante. Le couple se désunit et observa une petite pause.
- Chéri, c'est génial, il y a longtemps que je n'ai pas autant joui. Et tu bandes toujours ! Tu me sers comme un chef.
Elle était redevenue l'épouse, sans s'en rendre compte.
- Je vais te prendre par derrière maintenant. Mets-toi face à la caméra.
Elle se mit à quatre pattes en travers du lit et joua le jeu, le visage tourné vers l'objectif. Quand elle fut pénétrée, elle se comporta comme une actrice porno, enchainant rictus, sourires, exclamations, à cette différence notable qu'elle ne jouait pas la comédie mais prenait vraiment un pied majuscule. Elle était dans une telle transe que quand Johan voulut monter d'un étage en positionnant son gland sur son anus, elle ne manifesta aucune objection. Et pourtant, combien de fois avait-elle refusé dans le passé cette intromission qu'elle jugeait dégradante.
- Je vais t'enculer, la prévint-il néanmoins.
- Fais-le mais vas-y doucement.

La sodomie fut lente mais quand il fut totalement entré en elle, faisant claquer la peau de son bas-ventre sur ses fesses, Sandrine manifesta une allégresse du cul qui stupéfia son enculeur. Il avait hâte de voir sur l'image l'expression de son visage à ce moment là. En tout cas, du point de vue du son, c'était déjà convaincant :
- Oui, oui, oui, continue, vas-y, encore, encore, ah c'est bon ce que tu me fais.
Et de glisser sa main entre les jambes pour lui prendre les couilles ! Sandrine super star !
- Jouis dans mon cul, jouis dans mon cul ! haleta-t-elle.
Il n'attendait que ce signal, tant il était au bout du bout. Et il s'affala sur son dos en grognant de plaisir tandis qu'elle s'aplatissait sur le matelas, la bave aux lèvres.
Ils gardèrent la chambre jusqu'au dîner pris au restaurant de l'hôtel. Somnolant, commentant leurs ébats, riant de leur initiative, très amoureux l'un de l'autre. Puis ils s'en retournèrent à leur domicile pour la nuit, un peu vannés mais heureux. Ils avaient cassé leur routine de couple. Et s'étaient jurés de recommencer. Et au matin suivant, Sandrine fit ce qu'elle ne faisait plus depuis des lustres : elle réveilla Johan par une pipe. Et la suite, vous la devinez.

Prochain épisode : Sandra et Boubacar au bricolage, Léon et Martine devant la vidéo porno.

Les avis des lecteurs

Oups je voulais dire "routinière" :-)

Des histoires où les mots traduisent la puissance érotique de l'imagination de Micky,
avec des couples qui savent bousculer leur vie routière pour s'adonner aux plaisirs les
plus torrides.
Nul doute que Nathalie savait ce qu’elle faisait en choisissant une tenue aussi
provocante, ni que Sandrine ait adoré jouer le rôle de la pute de son chéri dans cet
hôtel.
Bref ce n'est que du bonheur pour eux et ceux qui lisent ces textes. Merci Micky!

Belles histoires et très bien racontées, continuez longtemps



Texte coquin : Scènes (érotiques) de la vie conjugale (4/6)
Histoire sexe : Une rose rouge
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