Scènes (érotiques) de la vie conjugale (5/6)

- Par l'auteur HDS Micky -
Récit érotique écrit par Micky [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Récit libertin : Scènes (érotiques) de la vie conjugale (5/6) Histoire érotique Publiée sur HDS le 02-02-2022 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Scènes (érotiques) de la vie conjugale (5/6)
Cette série en six volets mets en scène des couples "normaux" pris d'une inspiration érotique subite qui les fait sortir de la routine conjugale. A raison de deux couples par épisode.


SANDRA ET BOUBACAR AU BRICOLAGE
Sandra et Boubacar venaient d'acheter une nouvelle maison mais nécessitant quelques travaux de peinture avant emménagement. Pour ce couple de jeunes quadragénaires, d'origine sénégalaise, cette maison était la preuve d'une promotion sociale et d'une insertion réussie. Mais il y avait du boulot et Sandra ne rechignait pas à la tâche. Ce jour là, il faisait chaud et pour passer le rouleau sur les murs, elle avait juste enfilé un tee shirt et un short court, ce qui ne l'empêchait pas de transpirer sur son escabeau. Boubacar, vêtu de même, tenait le pinceau pour les finitions. Mais voir sa femme en action lui donnait des idées. Il faut dire que n'importe quel homme normalement constitué aurait eu les mêmes. Sandra était l'archétype de l'Africaine voluptueuse : 1,78m pieds nus, seins en obus, fesses larges et cambrées, jambes musclées d'ancienne handballeuse et tête couverte de petites tresses. Boubacar, lui-même ex footballeur, n'avait rien à lui envier sur le plan athlétique et déjà, leurs deux adolescents, fruits de leur union, promettaient un parcours sportif nettement au-dessus du commun : la fille en athlétisme, le garçon au football.

Mais présentement, Boubacar n'avait pas la tête à sa progéniture. Il voulait baiser Sandra, là, dans cette pièce sans meubles, sinon l'escabeau et une simple chaise. Mais elle était tellement à sa tâche que la moindre tentative se traduirait par une engueulade et une fin de non recevoir, sur le thème : "on est là pour bosser, pas autre chose".
Mais un homme qui a envie de baiser sa femme est plein de ressources. Plutôt que lui parler, il se mit nu. Totalement nu. Il s'assit sur la chaise et commença à s'astiquer en regardant Sandra passer le rouleau à peinture. Ses mouvements relevaient son tee shirt et découvraient la ficelle d'un string rouge au-dessus du petit short, tendu à l'extrême par le fessier somptueux. Au bout d'un moment, elle se retourna et découvrit la scène :- Mais... qu'est-ce que tu fais ?
- Ben, tu vois, je me branle en te regardant.
- Mais ça va pas, non ? Et le pinceau ?
- Eh bien, le pinceau, tu le vois entre mes mains et il grossit à vue d'oeil, jusqu'à ce que je jouisse en te regardant.
- Arrête et recommence à peindre, on perd du temps.
- Non. Continue, j'aime te regarder, tu es belle à mourir.

Voilà le genre de discours qui ne laisse jamais une femme indifférente.
- Bon, écoute, je vais te soulager et après, tu recommences à peindre, d'accord ?
- Ok. Suce-moi.

Sandra descendit de son escabeau, s'accroupit en bas de la chaise où Boubacar se masturbait assis, saisit son pénis et commença à lui sucer le gland avant de l'engloutir autant que faire se pouvait, car le "pinceau" de Boubacar était du genre volumineux. Celui-ci, nullement inerte, avait empaumé ses seins nus sous le tee shirt et glissé son pied entre les cuisses de Sandra pour lui frotter l'intimité. Force lui fut de constater qu'elle mettait de plus en plus de coeur à l'ouvrage. Il perçut même sous son pied une légère ondulation et sous ses doigts des pointes de seins durcies. Comme il n'éjaculait pas, et comme le contact mâle, sous toutes ses formes, avait fini par la prendre au cervelet, Sandra se releva soudain, fit passer son tee shirt par dessus sa tête, se déculotta prestement, se positionna au-dessus du pénis tendu, s'empala en mettant ses gros nichons dans la figure de Boubacar et se mit à cavaler avec une ardeur d'autant plus inattendue qu'elle s'était montrée auparavant plutôt rétive. Le couple n'était pas du genre léger, la chaise se mit à grincer sous ses jointures et ce qui devait arriva : elle s'écroula.

Le couple se retrouva par terre dans les rires. Sandra dit :- Maintenant que tu as allumé le feu, espèce de cochon, ne me laisse pas en plan. Finis-moi.
C'était bien l'intention de Boubacar. Il la pilonna à même le sol tandis qu'elle s'écartait les pieds, au fond ravie de cette baise impromptue qui la rendait si femme, si femelle.
- Montre-moi ton cul maintenant, dit BoubacarObéissante, elle se mit à quatre pattes et il la pénétra accroupi en lui pétrissant les seins. La pièce vide s'emplit des échos du couple fornicateur car Sandra avait la baise bavarde. La douleur aux genoux la poussa néanmoins à se relever.
- Prends-moi sur l'escabeau, demanda-t-elle.

Vu la cambrure que l'objet provoquait, c'était un appel muet à la sodomie. Boubacar étant fou du cul de son épouse, leurs ébats se concluaient souvent par là. Un pied sur une marche, l'autre au sol, l'escabeau collé au mur, Sandra accueillit sans difficulté le gland survitaminé de Boubacar. Mais l'escabeau n'était pas davantage conçu pour un tel traitement et l'enculade s'acheva alors que Sandra avait les mains collées au mur, les reins creusés, criant son plaisir. Boubacar gicla d'abondance et le couple s'effondra au sol, repus.
C'est alors que Sandra s'aperçut qu'elle avait les mains peines de peinture et que le mur en portait la trace.
- On pourrait les garder en souvenir, rigola Boubacar.
- Pas question. Je vais repasser le rouleau après m'être lavée les mains. Et toi, reviens à ton pinceau. Le vrai, hein ?

LEON ET MARTINE DEVANT LA VIDEO PORNO
Ce matin là, Martine s'était levée tard, comme toujours. A peine sortie du lit, revêtue de sa robe de chambre, elle découvrit son mari Léon devant son ordinateur. L'image qu'elle perçut la renseigna :- Ma parole, mais tu regardes du porno ?
- Ben oui, ça te choque ?
- Tu as besoin de ça pour t'exciter ? Je ne te suffit plus ? Je suis trop vieille ?
- Mais non ! C'est juste pour entretenir ma libido et tu en seras la première bénéficiaire. Tu m'excites toujours autant.

Un peu rassurée, Martine s'avança vers l'écran. Léon regardait un couple d'une trentaine d'années en train de se bécoter nu, visiblement avant de passer à l'acte devant une caméra. Elle fut frappée par le caractère ordinaire de ce couple qui cherchait visiblement à pimenter sa vie sexuelle en s'exhibant sur le net.
- Ils sont gonflés quand même, ces deux-là, dit-elle à Léon.
- Ils se sont présentés comme des animateurs professionnels, désireux d'une expérience érotique.
Prise par la curiosité, Martine tira une chaise et s'assit à côté de son mari pour regarder la suite. Le couple, nullement inhibé par la caméra, était passé à l'action et la femme exprimait sans réserve son plaisir. Quand l'homme la prit sur une table, la scène prit une intensité érotique qui incita Martine à glisser sa main sous sa robe de chambre et se caresser un sein. Léon bandait. Mais l'homme finit par éjaculer et s'adressa à la caméra pour remercier le metteur en scène, ce qui étonna le couple voyeur.
- C'est déjà fini ? demanda Martine.
- Oui, c'était court, tu en veux une autre ?
- Ah oui, si tu en trouves une du même genre, je suis d'accord. Mais pendant que tu cherches, je vais me doucher.

Arrêtons-nous un instant sur ce couple d'âge mur. Léon, artisan, est un homme râblé, sans charme particulier mais viril. Martine, menue, les cheveux coupés court qu'elle a laissé blanchir, est loin d'avoir abdiqué toute vie sexuelle. Adepte du bronzage intégral, le plus souvent dans son jardin, elle se rend parfois sur une plage naturiste non loin de chez elle, toujours seule car Léon ne partage pas son goût. Signe que Martine n'est pas une oie blanche : Léon, en fouillant dans son sac de plage un jour qu'elle allait partir, avait découvert une boite de préservatifs. Il en avait conclu, très logiquement, que sa femme baisait au soleil avec des inconnus. Il ne s'en formalisa pas outre mesure. D'abord parce qu'il n'était pas non plus exemplaire sur ce point (ah les clientes esseulées...), ensuite parce que son épouse ne semblait pas, jusqu'à plus ample informé, mener une vie parallèle, et lui restait fidèle conjugalement. Mais qu'elle se fasse parfois sauter sur le sable l'incitait à se maintenir en forme, d'où la vidéo...

Douchée, Martine revint devant l'ordinateur :- Alors, tu as trouvé ?
- Oui. C'est un métis et une femme blanche qui se retrouvent à la campagne en voiture, dans laquelle ils vont baiser.
Léon et Martine regardèrent la scène se dérouler. La femme était dotée d'une paire de seins lourds dont Martine dit qu'ils lui filaient des complexes. Mais quand l'homme fut déculotté, elle s'exclama :- Oh le mec ! Quel engin ! Elle va se régaler, la fille !
De fait, les ébats tumultueux à l'arrière du monospace ne tardèrent pas à exciter et même stimuler le couple voyeur. Léon avait sa bite dans la main, Martine un doigt sur sa chatte.
- Et si on baisait en les regardant ? proposa-t-elle.

Placé juste derrière l'ordinateur, le canapé proposait en effet une vue parfaite. Martine vérifia l'état de Léon en lui administrant une brève fellation puis, débarrassée de sa robe de chambre, s'allongea sur le canapé, un pied sur le dossier, très ouverte et très nue :- Allez viens ! Ce sera comme si on baisait à côté d'eux.
En cet instant, Léon se demanda si, à la plage, Martine n'avait pas connu une phase échangiste. Cela l'excita encore plus et il la pénétra fougueusement, un oeil sur elle, l'autre sur l'écran. Le type besognait debout sa partenaire dans le coffre du monospace, elle les pieds calés sur les montants. Martine inclinait aussi la tête vers l'ordinateur tout en remuant son petit cul. Celui de l'homme, très agité, lui procura un plaisir visuel qui augmenta celui de la pénétration. Puis celui-ci s'assit sur le coffre et la femme, désormais sur ses pieds, vint s'empaler sur lui, les nichons en bataille
- Prends-moi comme lui, souffla Martine à Léon.
​Assis dans le canapé, Léon devait se tordre pour regarder l'écran, en grande partie masqué par Martine qui dansait sur sa queue dos à lui, ne perdant pas une miette des ébats automobiles. Ses râles, ses gémissements, les circonvolutions frénétiques de sa croupe, témoignaient du plaisir intense que prenait Martine à cet accouplement conjugal peu conventionnel.
Quand l'homme prit la femme par derrière debout, celle-ci en appui sur le monospace, Martine imposa la même position à Léon. Elle avait le nez quasiment sur l'ordinateur et son mâle lui assénait de vigoureux coups de bite qui n'avaient rien à envier à ceux du métis. Quand celui-ci finit par éjaculer sur le dos nu de la fille aux gros seins ballottants, Léon souleva littéralement Martine avec sa queue fichée en elle et le couple partit dans une jouissance quasiment sauvage, achevée sur le canapé où il s'était effondré.
- Ah quel pied ! haleta Martine. Tu m'as tuée !
- Alors, c'est pas mal la vidéo, non ?
- Ah oui alors ! Mais maintenant, tu ne regardes plus seul, hein ?
Léon ne répondit pas. Après tout, si Martine bronzait à poil sur une plage en reluquant les mâles, il pouvait bien mater les filles en train de se faire sauter sur internet. L'égalité homme-femme, en somme.

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