Sea, sun, sex and paddle

- Par l'auteur HDS Micky -
Récit érotique écrit par Micky [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Récit libertin : Sea, sun, sex and paddle Histoire érotique Publiée sur HDS le 01-08-2025 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Sea, sun, sex and paddle
‌Fan de paddle, Sandrine avait quitté sa plage naturiste où elle bronzait en compagnie de son mari pour s'offrir une petite virée sur une mer d'huile. Grisée par l'atmosphère délectable de cette matinée d'été, elle s'était éloignée du bord et s'était allongée sur sa planche pour profiter pleinement des UV sur son corps pulpeux de quadragénaire au bronzage intégral. Elle était même tellement bien qu'elle se laissa aller à un petit roupillon bercé par la houle légère et en oublia de tenir sa pagaie.

Quand elle se réveilla, elle était très loin de la plage, sa planche ayant été emportée par le courant et sa pagaie aussi. Il ne lui restait plus que ses petites mains pour tenter de revenir au bord, face à une houle qui au contraire l'entrainait vers le large. Un début de panique l'envahit. Son mari pouvait encore alerter les secours mais s'il s'était lui aussi endormi comme elle le subodorait, ça risquerait de prendre du temps, surtout que ce n'était pas la première fois qu'elle pagayait un peu loin. Et il savait qu'elle revenait toujours le rejoindre sur la serviette, heureuse de son petit périple aquatique.
Elle tenta pourtant de se servir de ses bras, à plat ventre sur la planche, mais elle avait l'impression de ne faire du surplace. Le soleil commençait à chauffer dur sur son dos et ses fesses charnues. Surtout ne pas tomber de la planche, son salut.

C'est alors qu'elle aperçut un voilier qui s'approchait d'elle. Elle se redressa sur la planche et agita ses mains en appelant à l'aide. A son grand soulagement, elle vit le barreur virer de bord et s'approcher d'elle. C'était un gaillard du genre viking, chevelu et barbu, au torse nu et athlétique.
- Qu'est-ce qui vous arrive, madame ?
- Je me suis endormie, j'ai perdu ma rame, s'il vous plait ramenez moi sur ma plage.
- Apparemment, vous n'avez pas perdu que votre rame, dit-il, l'air goguenard, en considérant la nudité intégrale de Sandrine, d'un air appréciateur, malgré la coupe de cheveux grisonnante coiffée à la garçonne de la naufragée qui sanctionnait son âge.
- Ce n'est pas le moment de faire de l'humour. Sauvez-moi, dit-elle en se rapprochant du bateau.
- Et je gagne quoi en échange ? dit l'homme, de plus en plus amusé par la situation.
- Ma considération éternelle. Je suis mariée et mon mari m'attend sur la plage.
- Il n'est pas très prudent, votre mari, de vous laisser filer sur la mer en tenue d'Eve. Votre vertu pourrait en souffrir.
- Mais qu'est-ce que vous voulez à la fin ? Ma vertu, comme vous dites ?
- Ce serait abuser de la situation. C'est déjà magnifique de découvrir une sirène implorant mon secours. Il y a longtemps que je n'ai pas été confronté à pareille fête. Bon, assez rigolé, tendez-moi votre main que je vous hisse sur mon bateau.

Le garçon, qui devait avoir à peine trente ans, la souleva avec aisance et deux corps entrèrent brièvement en contact. Les seins lourds de Sandrine rencontrèrent les pectoraux velus du navigateur et elle en ressentit un petit frisson qui agit sur ses tétons. Puis le jeune homme se pencha pour attraper la planche, non sans difficulté, et la naufragée put apprécier sa belle musculature en action. Soulagée par son sauvetage, elle se détendit, oubliant qu'elle était nue devant un homme qui n'était pas son mari et qui portait juste un short. Une conversation s'engagea sur le meilleur moyen de revenir sur la plage. Le jeune homme, qui se présenta sous le prénom de Mario, n'était visiblement pas pressé d'abandonner sa naïade à la maturité épanouie. Et celle-ci était flattée qu'un gaillard aussi bien bâti, et disons-le, aussi beau mec, manifestât un intérêt croissant pour son corps de quadragénaire à la chevelure argentée. Elle devint presque coquette, bombant le torse et rentrant le ventre. Etre à poil devant un homme qui ne l'était pas, c'était après tout une forme de naturisme.

Il descendit dans la cabine pour en sortir une bouteille de soda et deux verres, et Sandrine le vit réapparaitre nu comme un ver.
- Comme ça, on sera à égalité, plaida-t-il en lui servant à boire.
Sandrine n'avait plus autant envie de revenir sur la plage. Le copieux costume trois pièces de son sauveteur sous un ventre musclé aux abdos bien dessinés l'avait carrément saisie au bas-ventre. Elle oublia que son mari l'attendait sur la plage. Elle espérait juste ne pas paraitre trop moche pour cet Apollon qui manifestement la draguait, ce qui ne lui était pas arrivé depuis un bail. Le contexte très particulier de cette rencontre, en pleine mer, sur un voilier et sous un soleil éclatant, au terme d'un sauvetage miraculeux, la rendait dans des dispositions érotiques qu'elle n'éprouvait plus qu'épisodiquement avec son mari. Pour autant, elle était encore loin du passage à l'acte.

Mais quand, assis à côté d'elle sur le bateau dont il avait jeté l'ancre au large, Mario tout en sirotant son soda en même temps qu'elle, commença à lui caresser la cuisse en amorçant une spectaculaire érection, Sandrine lâcha d'une voix rauque :
- Mais qu'est-ce que vous faites ? Vous voyez bien que vous profitez de la situation.
La main de Mario saisit celle de Sandrine et la porta directement sur son sceptre. La logique conjugale aurait alors voulu qu'elle la retire vivement comme si elle l'avait brûlée, qu'elle se relève en protestant et en exigeant qu'il la ramène là d'où elle venait. Au lieu de quoi, comme pour un réflexe de femelle, sa main se mit à coulisser sur le pénis dur comme du teck. Elle posa son verre et par un autre réflexe animal, se pencha sur le giron du jeune homme et l'emboucha avec voracité. La tête grisonnante se mit à s'agiter en cadence, dans le but implicite de récompenser le sauveteur par une pipe éjaculatoire avant le retour sur la plage. C'était du moins le but qu'elle s'était fixé contre toute raison conjugale. Sauf qu'elle prenait vraiment goût à cette fellation qui lui en mettait plein la bouche, une vraie bonne pipe qu'elle agrémenta en soupesant des couilles bien pleines et bien rondes. Elle commença à ne plus s'appartenir vraiment.

Comme s'il avait compris qu'elle était en train de lâcher prise, Mario avait glissé sa main entre les cuisses dodues, avait atteint la vulve manifestement trempée, s'y était introduit tant et si bien que Sandrine ressentit une envie nette et indiscutable d'être pénétrée par la queue qui frôlait sa glotte. L'idée de baiser en pleine mer avec un inconnu aussi bien monté sous un soleil radieux lui apparut comme une occasion unique d'interrompre à 47 ans une vie sexuelle routinière. Elle n'avait pas connu semblable situation depuis l'époque où elle fréquentait, encore jeune fille, un homme mûr qui l'avait initiée à la sexualité et l'avait entrainée dans un sauna libertin. Elle s'était fait sauter par trois mecs différents devant lui et avait pris un gros panard qui l'avait marquée à vie, mais n'avait plus jamais connu de suite puisqu'elle avait rompu avec son amant et connu son actuel conjoint. Mariée et mère, elle s'était rangée des voitures et pratiqué le sexe conjugal à date fixe.

Ce Mario allait donc la baiser et faire renaitre son animalité enfouie. Il ne rencontra aucune résistance quand il s'enfonça en elle bras tendus, aussitôt encerclé par bras et jambes, griffé et talonné, comme si elle voulait lui démontrer qu'il n'aurait pas affaire à une planche à pain. Survolté, matant ces gros nichons qui bougeaient au rythme de ces coups de bite, stimulé par ses cris de plaisir qui se perdait dans l'océan, le jeune homme comprit qu'il avait affaire à un coup en or et qu'il devrait profiter de ce corps si féminin le plus longtemps possible. Elle connut un premier orgasme qui la mit en arc de cercle sous lui, se dégagea et le chevaucha, cavalant en se tenant les seins, se retourna pour lui montrer son cul qu'il palpa et doigta, se mit à quatre pattes pour qu'il la prenne en levrette, le visage tourné vers le large. Puis se releva à nouveau pour qu'il la prenne debout, elle les mains posées sur le toit de la cabine. Il s'accroupit, écarta ses globes, lui lécha l'anus, l'humecta de sa salive, lui indiquant ainsi qu'il allait la sodomiser.

- Fais-le mais fais le bien, lui souffla-t-elle, cambrée, en attente. Sa dernière sodomie remontait à très longtemps et s'était traduite par un ratage. Son mari n'avait pas pu s'introduire après plusieurs tentatives et y avait définitivement renoncé, alors qu'elle se savait capable de jouir de son cul depuis sa jeunesse libertine. Voilà pourquoi elle ne marqua aucune opposition quand le navigateur posa son gland sur son anneau intime et s'enfonça en elle jusqu'à la garde en trois coups.
- Tu aimes ça, te faire enculer, hein ? lui souffla-t-il en la ramonant.
Elle fit oui de la tête, concentrée sur cette bite qui allait loin dans ses profondeurs et la conduisait vers un orgasme anal qu'elle n'espérait plus. Elle se frotta la chatte en même temps tandis qu'il faisait claquer la peau de son ventre contre sa croupe charnue, s'exaltant du corps de cette femme dont il avait oublié qu'elle avait deux fois son âge. Sandrine lâcha prise et jouit bruyamment, provoquant illico l'éjaculation de son amant maritime, qui resta collé à elle quelques secondes, la laissant l'essorer d'un roulement des hanches. Puis ils basculèrent sur le dos, les yeux au ciel et même au septième ciel, repus de sexe.

C'est alors que se fit entendre le bruit caractéristique d'un hélicoptère. Ils comprirent de suite qu'il était à la recherche de Sandrine. Mario se précipita dans la cabine, en sortit en short avec à la main une grande serviette de bain dont il entoura le corps de sa partenaire, comme un paréo. Ils firent de grands gestes pour attirer l'attention du pilote et l'hélicoptère tourna autour de l'embarcation, signifiant qu'il avait compris le message. Quelques minutes plus tard, un zodiac avec deux sauveteurs apparaissait puis abordait le bateau à l'ancre. Un bref échange s'engagea et Sandrine se hissa dans le canot à moteur tandis que Mario lui tendait sa planche de paddle. Elle eut juste le temps de lui claquer une bise et lui souffler un "merci" à l'oreille. Et elle se retrouva sur la plage pour entendre les reproches de son mari d'avoir été aussi imprudente. Elle encaissa sans rien dire, la chatte et le cul encore pleins de la queue de Mario. Et la tête dans les nuages.

Quelques jours plus tard, alors qu'elle se promenait près du port avec son mari, Sandrine aperçut Mario en train de nettoyer son bateau. Elle avait gardé sa serviette de bain dans son sac, au cas où, pour la lui rendre et avertit son mari :
- Chéri, je vois le garçon qui m'a sauvée, je vais lui rendre sa serviette. On se retrouve à la voiture ?
Son mari approuva, lui demandant simplement de ne pas être trop longue, et Sandrine accourut près du bateau, surprenant Mario.
- Je t'ai rapporté ta serviette. Tu me sers à boire ?
Mais à peine entrée dans le cockpit, Sandrine enlaça Mario et lui souffla :
- Prends-moi, je n'ai pas beaucoup de temps.
Une fois de plus, la pulpeuse quadragénaire surprenait le jeune homme qui ne laissa pas passer sa chance. Prestement troussée et déculottée sous sa robe d'été, elle s'ouvrit sur la mince table et la prit debout à la hussarde, réduisant les préliminaires à une simple reconnaissance du doigt de sa chatte. Ce fut un coït puissant et rapide qui fit légèrement tanguer le bateau à l'ancre et Mario dut mettre la main sur la bouche de Sandrine pour étouffer ses cris d'extase. Après avoir éjaculé, il l'aida à descendre de la table où il l'avait écartelée, elle renfila sa culotte et rabaissa sa robe, l'embrassa goulûment et lui dit :
- Je crois maintenant que tu as eu ta récompense. Merci de m'avoir rajeunie. Et au plaisir de se retrouver au large, qui sait ?
Et elle s'en alla retrouver son mari, qui l'attendait dans leur voiture.

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