Séance photo (Virginie et le photographe, partie 2)

- Par l'auteur HDS Bob-et-Annie -
Auteur couple.
  • • 107 récits publiés.
  • • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 8.9 • Cote moyenne attribuée par HDS : 9.5
  • • L'ensemble des récits érotiques de Bob-et-Annie ont reçu un total de 465 476 visites.
Récit libertin : Séance photo (Virginie et le photographe, partie 2) Histoire érotique Publiée sur HDS le 25-10-2021 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
Cette histoire de sexe a été affichée 4 070 fois depuis sa publication.
Note attribuée à cette histoire érotique par les lecteurs :
(9.5 / 10)
Note attribuée à cette histoire érotique par HDS :
(10.0 / 10)

Couleur du fond :
Séance photo (Virginie et le photographe, partie 2)
Lorsque Virginie s’apprêta pour se rendre chez le photographe en ce début de samedi après-midi, elle portait une mini-jupe trapèze noire et un crop top qui laissa voir son nombril. La belle se regardait dans la glace de l’appartement. « Je ne peux quand même pas y aller comme ça ! » pensa la belle « Je vais me faire accoster dans la rue ! ».

Pour sa tranquillité, la belle se résolut alors de changer de tenue. Son choix se porta sur des vêtements plus anodins : un jean pour le bas et un pull oversize pour le haut. Pour les vêtements, elle entreprit d’emmener avec elle une petite valisette à roulette qu’elle acheta pour l’occasion. A l’intérieur de la valisette, elle y plaça les deux crop tops qu’elle avait achetés, la jupe trapèze et la nuisette bleu qu’elle contempla une dernière fois :
- « Cette nuisette est magnifique. Je me demande si finalement, ce n’est pas trop osé », songea la Belle.

Dans sa suite, Virginie embarqua dans son bagage la paire de chaussures à talon qu’elle avait également achetées pour l’occasion. Il s’agissait de beaux escarpins couleur noire et à talons aiguilles. La jeune femme avait souvent quelques difficultés pour porter ce genre de chaussures tous les jours. Il faut reconnaitre que pour marcher dans la rue ou dans le métro, ce n’était vraiment pas l’idéal. En les prenant dans la valisette, elle facilitait son déplacement puis surtout, elle évitait de les abimer prématurément par la marche.

- « Si Bob apprend tout l’argent que j’ai dépensé pour les fringues, c’est sûr, il va me tuer ! » catastropha-t-elle.

Mais, c’est sans compter que Virginie avait d’autres projets. La belle voulait une belle image d’elle. Elle voulait se sentir féminine, être regardée un peu plus souvent, surtout par Bob. Les autres hommes, en réalité, elle n’en avait que faire, à l’exception toutefois d’Olivier. Souvent, néanmoins, elle se sentait dans le désir de plaire et l’envie de séduire jusqu’à, mais pouvait-elle seulement l’admettre à demi-mots, être séduite et conquise.

S’habiller sexy contribua donc pour Virginie d’user de ses charmes et à se sentir belle, comme elle le fit autrefois avec Bruno quand elle allait le rejoindre pour un cours de conduite de deux heures consécutives.

Bob rechigna au début à voir Virginie se faire belle pour les autres. Sa belle, il voulait la garder pour lui, rien que pour lui. Il comprit bien plus tard que cela n’était tout simplement pas possible parce qu’elle et lui vivaient dans un monde où les amoureux ne peuvent plus se cacher pour exister.

En se rendant chez le photographe parisien en ce début d’après-midi, Virginie traina donc sa petite valisette à roulette sur les trottoirs de la capitale entre la bouche de métro et le studio. Elle avait voulu précédemment prendre un taxi mais le prix était déjà trop cher pour elle. Elle avait dépensé trop d’argent ces derniers jours. Entre le shooting et les fringues, elle dépensa plus que ce qu’elle gagnait en salaire.

Marion, sa meilleure amie, lui avait souhaité bonne chance en lui envoyant un texto. Dans le métro, le belle répondit à sa copine : « j’ai trop hâte. J’ai envie de me faire sauter ! »
Virginie se permettait de genre de familiarité et de plaisanterie avec sa copine car les jeunes filles se connaissaient depuis longtemps maintenant. Virginie avait même un lien de parenté éloigné avec Marion. Marion lui répondit quand même avec surprise : « tu déconnes ? ». Virginie lui confirma que c’était une blague. Son message et son attitude en disaient cependant bien plus qu’elle ne se l’avoua elle-même.

En arrivant devant chez le photographe, ce dernier la salua honorablement en lui faisant un baise-main :- « Madame est très chic ! » lança-il avec un trait d’humour et plein de jovialité.

Virginie entra dans la boutique :- « Attendez de voir que je me change ! Vous ne vous moquerez plus de la sorte ! » renchérit la belle.
- « C’est ce que je compte bien faire ! » assura le photographe.

L’ambiance était au marivaudage et Virginie aimait bien cela :- « Je vais fermer la boutique. Le studio est juste au-dessus, à l’étage, comme la dernière fois. Il n’a pas changé de place ! » précisa le photographe avec humour.

Virginie accepta de le suivre dans le petit ascenseur qui menait au palier du studio. L’exiguïté du lieu donna une chaleur insupportable à la belle. Elle s’imaginait ce que l’homme, seul avec elle, pourrait faire ici même en ce moment, dans cet ascenseur. Sa respiration soudainement s’accentua. La belle avait une bouffée de chaleur que seuls son corps et son cœur savaient interpréter. Elle s’imaginait : « Mon Dieu, s’il bloque l’ascenseur…, s’il me met à genoux, je vais devoir le sucer ».

Virginie fantasmait au fur et à mesure que ses bouffées s’accentuaient. Elle regardait l’homme avec une légère crainte, qui lui demanda en la voyant et innocemment si tout allait bien. Virginie affirma que oui mais l’homme voyait bien son trouble.

En sortant de l’ascenseur, l’homme se renseigna auprès de la belle sur le choix des vêtements :- « Vous avez apportez quelques petites tenues sexy ? » dit -il malicieusement.
- « Mais, vous verrez, Monsieur le photographe ! Vous verrez ! » répondit la Belle.

L’homme était impatient de voir Virginie en petite tenue sexy. La belle en effet lui plaisait beaucoup. Il se refusa néanmoins à toute approche, à cause de la déontologie de sa profession.


Dans l’appartement qui servait de studio photographique, Virginie se changea. L’homme lui indiqua le vestiaire et un espace dans lequel la belle pouvait se changer en toute intimité. L’homme respecta les conventions, ne chercha pas à dépasser les bornes et risquer de paraitre détestable. Virginie l’avait assez bien cerné, et savait que l’homme ne tenterait rien si elle-même ne lui donnait pas l’autorisation d’aller plus loin.

Dans l’appartement-studio, Virginie commença alors par se dévêtir. Son choix se porta sur la petite jupe trapèze. Le vêtement ne couvrait à peine que le haut des cuisses. De dos, il recouvrait les fesses et guère plus. Virginie était sexy dans cette tenue. Elle se regardait dans la glace. Ses jambes étaient lisses, nues. Elle voulait que quelqu’un les caresse et les embrasse, ne serait-ce le photographe lui-même :- « Voulez-vous caresser mes jambes, s’il-vous-plait ? »
Cette phrase, bien sûr, Virginie ne la prononça pas. Son désir néanmoins était là, pas moins intense que dans l’ascenseur. Elle se demandait si le photographe, encore, tenterait quelque chose.

Sitôt prête de sa nouvelle tenue, Virginie se présenta devant le photographe, escarpins talons aiguilles aux pieds, jupe trapèze noir au-dessus des cuisses, et crop top blanc cassé sur le haut du corps. Virginie se tenait debout, les mains posées sur sa taille. Comme l’homme ne la regardait pas encore et qu’il s’occupait de ses appareils, elle l’interpella en le sifflant :
- « Je suis prête ! » lança-t-elle, d’une voix tonnante.

L’homme soudainement redressa la tête :
- « Comme tu es belle ! Tu es magnifique ! » dit-il.

Par ces mots, l’homme témoigna à la belle toute son émotion. Ses yeux brillèrent d’admiration. Virginie lui plaisait vraiment. Dans sa tête, il se dit qu’en d’autres circonstances, qu’il l’aurait bien choppée par derrière, en levrette, pour la sodomiser bien profondément, puis retournée et mise à genoux pour se faire sucer par cette beauté de femme.

La belle surement l’aurait repoussé et giflé, avant peut-être de céder à ses avances. L’homme ne tenta aucune approche. Son métier exigeait effectivement de lui de ne pas profiter des séances photos pour obtenir quelques relations et faveurs sexuelles avec ses clientes. La belle n’en fut cependant pas déçue. Cela lui permettait en effet de séduire plus longuement son hôte.


Dans le studio, Virginie s’approcha de l’homme en balançant ses hanches de gauche à droite à chacun de ses pas. La hauteur de ses talons lui donna un maintien si cambré que ses fesses et ses seins en ressortaient à la vue du photographe. L’homme finit de faire ses réglages et commença à bombarder la belle de photos. Il indiqua à Virginie les postures qu’elle devait prendre pour paraitre encore plus gracieuse. L’homme voulait qu’elle soit glamour, ce qu’il réussit à faire en la parant d’un collier de perles qu’elle n’avait imaginé porter.


L’appartement-studio était équipé de tout le mobilier nécessaire à la réalisation d’un shooting photo boudoir sans pareil. Il y avait un salon avec table basse et méridienne en velours de type Chesterfield, une cheminée de marbre ancien, des moulures sur les murs et sur les meubles et enfin un parquet de chêne ciré. La chambre était sans commune mesure et comprenait un lit à baldaquins avec voiles fins et transparents, des rideaux longs aux fenêtres, une commode, un fauteuil, des coussins, des boiseries. Virginie était charmée par tant d’élégance :
- « Cette pièce est magnifique. J’en ferai bien ma chambre !» lança-t-elle au photographe avec espièglerie.

L’homme demanda à Virginie pour commencer de poser devant la commode de la chambre. Il trouvait que le contraste des couleurs allait bien entre la jupe que portait la belle, le crop top et la lumière tamisée qui perçait entre les persiennes de l’appartement. Virginie déploya tous ses charmes, comme elle le fit lors de son premier-rendez-vous avec le photographe. La belle avait cependant pris plus d’assurance et n’hésita pas à montrer son corps sous un nouveau jour. L’homme prit toute une série de photos. Il demanda ensuite à la belle de poser sur le lit, assise, allongée, couchée. Virginie jouait le jeu pour son plaisir et pour le plaisir de charmer. Ses postures étaient de plus en plus lancinantes et suggestives. Sans y songer, elle dégrafa sa jupe trapèze et retira son crop top. L’homme continua à la mitrailler de photos. Elle se tourna pour ne plus faire face à l’objectif et retira son soutien-gorge qu’elle fit tomber à ses pieds. La belle garda les bras croisés et se retourna :
- « Photographiez-moi, si vous osez encore » dit-elle au photographe.

L’homme, déstabilisée par l’élégance et le trop plein d’assurance, s’arrêta un instant. Il reprit ensuite ses photos, espérant voir sans le demander les plus beaux seins qui s’offraient à lui.



La belle avait aussi apporté avec elle dans sa valisette, une robe de mousseline courte pour laquelle elle eut un véritable coup de cœur. La robe de mousseline était rose pâle et donnait à Virginie une allure de jeune mariée. La belle se changea pour cette robe. Le photographe chargea une autre série de clichés tout aussi sexy les uns que les autres. Virginie retira les chaussures qu’elle avait enfilés. Pour paraitre, elle tourna sur elle-même pour faire virevolter la robe. Virginie réalisa toutes les postures que le photographe lui demandait de faire. Dans son élan, elle ajouta :
- « Tu sais que j’ai apporté d’autres vêtements ? »- « Justement, j’ai fini pour cette série de photos. Je vais changer de carte SD et je te laisse te changer. »
Virginie décida de revêtir ce qu’il lui restait comme vêtement de rechange. Il s’agissait de la nuisette en tulle bleu azur qui mettait parfaitement son corps en valeur. La belle avait acheté par la même occasion l’ensemble de lingerie qui appartenait à la même collection mais qui était vendu séparément.

Dans cette tenue, Virginie était ravissante. En la voyant, l’homme s’était mis à bander. Virginie le remarqua. La belle portait sa nuisette avec délicatesse. Le tissu était fin et transparent, souple et soyeux. Chez elle et dans le magasin peu avant, elle avait hésité à acheter cet ensemble, puis à l’emmener chez le photographe. « C’est trop osé, je n’oserais pas porter ça ! » se dit la belle. Sa copine la convainquit : « Si, vas-y ! Fais-toi plaisir, ça te va trop bien ! Bon, tu as un peu les fesses à l’air mais ce n’est pas grave, tu es très belle comme ça ! »
Virginie suivit les conseils de sa copine : « tu as raison, après tout, il n’y a pas de mal à se faire du bien ! ».

A suivre

Les avis des lecteurs

Soyez le premier à donner votre avis après lecture sur cette histoire érotique...


Texte coquin : Séance photo (Virginie et le photographe, partie 2)
Histoire sexe : Une rose rouge
Vous êtes :
Indiquez votre adresse mail si vous souhaitez la communiquer à l'auteur de l'histoire.

Dernières histoires érotiques publiées par Bob-et-Annie

Chambres d'hôtes (partie 2) - Récit érotique publié le 04-05-2024
Chambres d'hôtes - Récit érotique publié le 02-04-2024
Biographie : Bruno et Virginie (épisode 11) - Récit érotique publié le 18-01-2024
Biographie : Bruno et Virginie (épisode 10) - Récit érotique publié le 02-01-2024
Biographie : Bruno et Virginie (épisode 9) - Récit érotique publié le 31-12-2023
Le Crépuscule - Récit érotique publié le 31-10-2023
Souvenir de fac – partie 3 : entre le canapé et le lit (suite) - Récit érotique publié le 02-08-2023
Souvenir de fac – partie 2 : entre le canapé et le lit - Récit érotique publié le 31-07-2023
Souvenirs de fac - partie 1 - Récit érotique publié le 04-07-2023
Récit à la troisième personne. - Récit érotique publié le 15-06-2023