SERIAL MASSEUR

Récit érotique écrit par Miss_Sexcret [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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SERIAL MASSEUR
Parfois, ce sont les hommes qui m’écrivent. Moins nombreux, plus discrets. Mais quand ils le font, c’est souvent pour me confier des fantasmes profondément sensuels, où le désir de donner, d’exalter le plaisir féminin, dépasse tout. Celui-ci m’a marquée. Un homme m’a dit :“Je rêve de masser une inconnue… de la faire jouir plusieurs fois… sans qu’elle ne voie jamais mon visage. De disparaître avant qu’elle n’ouvre les yeux. Comme un justicier masqué de l’orgasme. ”Alors, j’ai imaginé cette scène. À sa place et à la mienne. Et peut-être aussi à la vôtre.
Serial Masseur
C’est ma copine Sofia qui m’a offert ce massage. On était à Lyon pour mon anniversaire, un week-end entre filles, un peu d’ivresse, beaucoup de rires, pas mal de confidences. Le genre de soirées où tu dis “j’ai besoin qu’on me touche sans me parler”, et où l’autre répond “je m’en occupe”.
Le lendemain matin, elle m’a tendu une enveloppe avec un sourire en coin.
— Cadeau d’anniversaire. Tu dois te pointer là-bas à 17h. Et tu dois faire exactement ce qu’on te dit.
— C’est quoi, un spa ?
— C’est… un massage. Spécial. Je connais le masseur. Tu vas voir.
Elle a refusé d’en dire plus. Je n’ai pas insisté.
Je me suis présentée à l’adresse indiquée — un appartement discret, à l’abri des regards, dans une cour intérieure. Une jeune femme m’a ouvert, souriante, m’a tendu une serviette, m’a montré une salle de bain, puis une pièce obscure.
— Il ne vous parlera pas. Et vous non plus. Gardez le bandeau. Laissez-vous faire.
Je n’ai pas posé de question. J’étais curieuse. Un peu nerveuse. Mais surtout… réceptive. Quand je suis entrée dans la pièce, j’étais nue sous ma serviette, un bandeau de soie noire sur les yeux, les cheveux attachés. Je me suis allongée sur le ventre, les seins écrasés contre le drap chaud. Et j’ai attendu. Silence. Odeur de bois, de vanille, de peau tiède.
Je l’ai senti entrer dans la pièce. Pas un mot. Juste le bruissement d’un pas discret sur le sol lisse. Une énergie, plus qu’un bruit. Il était là. Mon cœur s’est mis à battre un peu plus vite. Pas d’angoisse. Pas de peur. Une attente. Une tension dans les jambes. J’avais les cuisses bien à plat, le ventre contre le drap tiède, les bras relâchés de part et d’autre de mon corps. Puis ses mains se sont posées. Sur mes omoplates. Grandes. Larges. Chaudes. Les paumes d’abord. Bien à plat. Pas de mouvement. Juste ce contact. Franc. Calme. Je sentais la pulpe de ses doigts effleurer les bords de mes épaules, le talon de la main poser tout son poids au centre de mon dos. Il ne bougeait pas encore. Il m’ancrait.
Puis il a commencé. Ses mains ont glissé vers l’extérieur, lentement, comme deux ailes qui s’ouvrent. Ses pouces ont poussé sous mes omoplates, traçant deux sillons dans les tensions. Il appuyait juste ce qu’il faut : une pression ferme mais jamais brutale. Il connaissait son affaire. Il est remonté vers la base de mon cou. Ses doigts ont travaillé la nuque avec une précision désarmante. Le majeur s’enroulait autour de chaque muscle, le pouce s’enfonçait avec lenteur dans la racine du crâne. Je sentais mes jambes se détendre malgré moi, mes épaules s’alourdir, ma bouche entrouverte respirer plus lentement. Il n’avait toujours rien dit. Je n’avais toujours rien vu. Mais chaque doigt sur ma peau me racontait une histoire. Il redescendait maintenant, le long de ma colonne. Ses deux mains encadraient chaque vertèbre, les pouces dessinant une ligne chaude du cou au creux des reins. Sa paume gauche me tenait doucement au bas du dos, pendant que sa main droite, elle, s’écartait pour explorer plus large : flanc, taille, hanche. Il glissait lentement, comme s’il m’étudiait. Pas pour juger. Pour comprendre.
Puis il versa l’huile. Un filet tiède, d’abord sur la nuque, puis entre les omoplates, puis plus bas. Elle s’étalait comme une caresse liquide. Ses mains sont revenues, maintenant huilées. Elles glissaient, plus souples, plus profondes. Le massage devenait un flot continu. Plus sensuel. Moins technique. Ses doigts se sont écartés. Le bout de ses phalanges frôlait mes flancs, la naissance de mes seins, mes côtes, mes hanches. Puis il descendit. Ses deux mains ont saisi mes cuisses. Je frémis.
Il n’a pas commencé par les mollets, comme on fait d’habitude. Non. Il m’a tenue là, juste sous les fesses, ses pouces pressés contre les muscles tendus, ses doigts puissants collés à l’intérieur des cuisses. Il massait lentement. En profondeur. Ses pouces remontaient vers mon entrejambe — sans jamais me toucher vraiment. Mais je le sentais. Le bord. Le presque. Et j’étais déjà mouillée.
Il remonta à nouveau. Reposa les mains sur mes hanches. Puis il les glissa vers le bas de mes reins, ouvrit mes fesses à pleines paumes, les caressa, les malaxa. Toujours sans rien dire. Toujours sans se presser. Ses doigts s’enfonçaient dans la chair, remontaient le long du pli des fesses, frôlaient la naissance de mon sexe. Puis repartaient. Chaque fois, un peu plus près. J’avais les jambes entrouvertes, les cuisses humides. J’étais offerte. Sans rien voir. Sans savoir qui il était. Mais j’aurais pu jouir déjà, rien qu’avec ses mains.
Et ce n’était que le début.
Ses doigts travaillaient lentement l’arrière de mes cuisses, paume à plat, pression régulière. Ses gestes étaient ronds, enveloppants, presque maternels. Et pourtant, il y avait dans sa façon de faire quelque chose de sexuel, d’assumé. Il descendait maintenant vers mes genoux, puis remontait, plus à l’intérieur. Ses pouces longeaient la courbe tendue de mes adducteurs. Chaque passage frôlait un peu plus haut, un peu plus près. Le tissu du drap sous mon ventre était trempé. Je n’avais pas bougé, mais mon sexe, lui, réagissait à chaque pression comme s’il appelait. Il effleurait, maintenant. Le pli entre la cuisse et la fesse. La naissance de ma lèvre. Toujours sans y poser les doigts. Mais le halo de sa chaleur, la lenteur de sa main, me rendait folle.
J’ouvris un peu plus les jambes. À peine. Mais suffisamment. Il comprit. Sa main glissa sous la cuisse droite. Il la souleva. L’ouvrit. Je me retrouvai exposée, écartée, offerte. Et là, il posa un doigt. Juste à l’entrée de ma chatte. Un contact si léger que j’aurais pu le croire inventé. Mais je gémis. Un son étouffé, incontrôlé. Mon bassin se contracta malgré moi. Il retira sa main aussitôt. Il attendit. Mon souffle le guida. Il revint. Cette fois, deux doigts. Ils effleurèrent mes lèvres. Puis glissèrent doucement entre elles. J’étais trempée. Je sentais mes propres sécrétions couler jusqu’à mes cuisses. Il ne s’arrêtait pas. Il caressait lentement. Le plat des doigts, sans frotter. Juste suivre la courbe. L’humidité. Le gonflement de ma vulve. Puis il trouva mon clitoris. Et là, il le toucha. D’un mouvement circulaire. Délicat. Mesuré. Son doigt ne cherchait pas à m’exciter. Il m’explorait. Et pourtant, mon corps s’arquait, se contractait, appelait. Mon visage s’enfouissait dans l’oreiller, mes jambes s’écartaient plus encore, ma bouche laissait passer des petits gémissements aigus, désordonnés. Il accélérât à peine. Ses doigts devinrent plus insistants. Ma chatte palpitait sous sa main. J’étais trempée, ouverte, chaude, offerte.
Puis il s’enfonça. Un doigt. Entier. Puis un deuxième. Ses phalanges glissèrent lentement en moi, comme si c’était la chose la plus naturelle du monde. J’étais remplie. Et je jouis. Silencieusement d’abord. Puis en râlant. Puis en criant. Un orgasme profond, brutal, humide. Je sentis ma chatte se contracter sur ses doigts, mon ventre se tordre, mes cuisses trembler. Il ne retira pas la main. Il attendit que les secousses se calment.
Puis recommença. Cette fois plus fort. Plus crûment. Ses doigts baisaient ma chatte. Ses paumes claquaient contre mes cuisses. Il savait exactement quoi faire. Mon clito était dur, gonflé, il le pressait de la main gauche pendant que la droite me défonçait avec une intensité folle. Et je jouis encore. Plus fort. En hurlant. Les larmes aux yeux. Le cœur en feu. Je tombai, le corps mou, le souffle court.
Et il s’arrêta. Juste après. Juste comme il fallait. Je ne sais pas combien de temps j’ai flotté ainsi. Les jambes molles, les fesses engourdies, ma chatte encore ouverte, palpitante autour de l’absence de ses doigts.
Mon souffle reprenait à peine. Mes cheveux collaient à ma nuque. Et puis je l’ai senti à nouveau. Ses mains sur mes hanches. Douces. Calmes. Patientes. Elles me redressèrent légèrement. Et d’un geste sûr, il m’a fait basculer sur le dos. Je me suis laissée faire.
Offerte. Obéissante. Curieuse aussi. De ce qu’il allait faire ensuite. Je sentais l’air plus frais sur mon ventre, mes seins, mon sexe. Mon bandeau était encore bien en place. Mais j’imaginais ses yeux. Je les sentais sur moi. Sur ma peau luisante d’huile. Sur mes tétons durs. Sur mes cuisses encore écartées.
Il ne me toucha pas tout de suite. Il me regardait. Et j’ai adoré ça. Puis, enfin, ses mains sont revenues. Cette fois sur mes épaules. Il les pressait doucement vers le bas, comme pour m’enraciner dans le matelas. Puis il glissa vers mes clavicules, mes bras, mes aisselles. Et enfin, mes seins. Ses paumes chaudes les englobèrent entièrement. Il les massa, lentement. Sans chercher à exciter. Mais le plaisir venait. Ses doigts remontaient le long de la courbe, puis redescendaient doucement. Chaque passage frôlait mes tétons, qu’il caressait ensuite avec plus de précision. Deux doigts. Lents. Circulaires. Puis une légère torsion. Un pincement léger. Je gémis. Mes hanches bougeaient déjà. Et puis sa main descendit. Sur mon ventre. Bas-ventre. Pubis. Puis enfin…Ma chatte.
Ses doigts s’invitèrent comme s’ils connaissaient déjà les lieux. Ils glissèrent entre mes lèvres trempées, jouèrent avec mon clitoris, effleurèrent l’entrée, comme s’il me relisait du bout des doigts. Je gémissais à peine, mais tout en moi bouillonnait. Je n’étais qu’une onde prête à rompre. Il s’agenouilla entre mes jambes. Et je sentis sa bouche. Sa langue. Chaude. Large. Avidement lente. Il me léchait comme s’il me mangeait. Avec une précision animale. Il suçait mon clito, le relâchait, revenait. Ses doigts pénétrèrent à nouveau. Deux. Puis trois. Ma chatte s’ouvrit, s’emplit, déborda. Il me baisait avec ses mains et sa langue, ensemble, en rythme, comme s’il cherchait un secret en moi.
J’étais tendue comme un arc. Mon corps entier appelait quelque chose. Il accéléra. Ses doigts tapaient le point exact. Sa bouche s’acharnait sur mon bouton. J’étais secouée. Saisie. Et soudain — Je jouis. Fort. Un spasme me traversa. Un cri, rauque, sorti de mes entrailles. Et un jet. Brut. Magnifique. Inattendu. L’humidité jaillit entre mes cuisses, éclaboussant ses bras, ma peau, le matelas. Il n’a pas bougé. Il a juste continué. Encore. Mes mains agrippaient les draps. Mon dos s’arquait. Je pleurais de plaisir, sans honte. Je me vidais. Littéralement. Et quand ce fut fini…Quand mes jambes retombèrent, tremblantes… Quand mon ventre s’apaisa et que je retrouvai mon souffle…
Il n’était plus là.
Seule restait l’empreinte de ses mains. Et la trace tiède de ce que j’avais offert. Je suis restée allongée un long moment. Le bandeau toujours sur les yeux, le corps nu, trempé, encore vibrant de plaisir. Quand je me suis levée, il n’y avait plus personne. Seulement une serviette propre. Un verre d’eau. Et ce silence. Rien d’autre. Pas un mot. Pas un visage. Pas même un prénom.
Plus tard, en rentrant, Sofia m’a regardée sans rien dire. Juste un sourire. Celui d’une femme qui sait. Qui devine à l’odeur sur ta peau, au relâchement de tes épaules, aux tremblements dans ta voix. Je n’ai pas eu besoin de lui poser la question. Elle avait choisi ce masseur. Elle savait ce qu’il faisait. Ce qu’il aimait. Ce qu’il offrait. Et elle me l’avait offert. Je n’étais pas jalouse. Au contraire. Parce qu’il ne s’agissait pas de possession. Il s’agissait de transmission. De soin. De liberté. Et peut-être aussi d’un plaisir qu’on partage entre femmes, même sans le dire. Comme un feu qu’on fait passer, de corps en corps. Je ne sais toujours pas son nom. Mais ses mains, elles, je ne les oublierai jamais.
Serial Masseur
C’est ma copine Sofia qui m’a offert ce massage. On était à Lyon pour mon anniversaire, un week-end entre filles, un peu d’ivresse, beaucoup de rires, pas mal de confidences. Le genre de soirées où tu dis “j’ai besoin qu’on me touche sans me parler”, et où l’autre répond “je m’en occupe”.
Le lendemain matin, elle m’a tendu une enveloppe avec un sourire en coin.
— Cadeau d’anniversaire. Tu dois te pointer là-bas à 17h. Et tu dois faire exactement ce qu’on te dit.
— C’est quoi, un spa ?
— C’est… un massage. Spécial. Je connais le masseur. Tu vas voir.
Elle a refusé d’en dire plus. Je n’ai pas insisté.
Je me suis présentée à l’adresse indiquée — un appartement discret, à l’abri des regards, dans une cour intérieure. Une jeune femme m’a ouvert, souriante, m’a tendu une serviette, m’a montré une salle de bain, puis une pièce obscure.
— Il ne vous parlera pas. Et vous non plus. Gardez le bandeau. Laissez-vous faire.
Je n’ai pas posé de question. J’étais curieuse. Un peu nerveuse. Mais surtout… réceptive. Quand je suis entrée dans la pièce, j’étais nue sous ma serviette, un bandeau de soie noire sur les yeux, les cheveux attachés. Je me suis allongée sur le ventre, les seins écrasés contre le drap chaud. Et j’ai attendu. Silence. Odeur de bois, de vanille, de peau tiède.
Je l’ai senti entrer dans la pièce. Pas un mot. Juste le bruissement d’un pas discret sur le sol lisse. Une énergie, plus qu’un bruit. Il était là. Mon cœur s’est mis à battre un peu plus vite. Pas d’angoisse. Pas de peur. Une attente. Une tension dans les jambes. J’avais les cuisses bien à plat, le ventre contre le drap tiède, les bras relâchés de part et d’autre de mon corps. Puis ses mains se sont posées. Sur mes omoplates. Grandes. Larges. Chaudes. Les paumes d’abord. Bien à plat. Pas de mouvement. Juste ce contact. Franc. Calme. Je sentais la pulpe de ses doigts effleurer les bords de mes épaules, le talon de la main poser tout son poids au centre de mon dos. Il ne bougeait pas encore. Il m’ancrait.
Puis il a commencé. Ses mains ont glissé vers l’extérieur, lentement, comme deux ailes qui s’ouvrent. Ses pouces ont poussé sous mes omoplates, traçant deux sillons dans les tensions. Il appuyait juste ce qu’il faut : une pression ferme mais jamais brutale. Il connaissait son affaire. Il est remonté vers la base de mon cou. Ses doigts ont travaillé la nuque avec une précision désarmante. Le majeur s’enroulait autour de chaque muscle, le pouce s’enfonçait avec lenteur dans la racine du crâne. Je sentais mes jambes se détendre malgré moi, mes épaules s’alourdir, ma bouche entrouverte respirer plus lentement. Il n’avait toujours rien dit. Je n’avais toujours rien vu. Mais chaque doigt sur ma peau me racontait une histoire. Il redescendait maintenant, le long de ma colonne. Ses deux mains encadraient chaque vertèbre, les pouces dessinant une ligne chaude du cou au creux des reins. Sa paume gauche me tenait doucement au bas du dos, pendant que sa main droite, elle, s’écartait pour explorer plus large : flanc, taille, hanche. Il glissait lentement, comme s’il m’étudiait. Pas pour juger. Pour comprendre.
Puis il versa l’huile. Un filet tiède, d’abord sur la nuque, puis entre les omoplates, puis plus bas. Elle s’étalait comme une caresse liquide. Ses mains sont revenues, maintenant huilées. Elles glissaient, plus souples, plus profondes. Le massage devenait un flot continu. Plus sensuel. Moins technique. Ses doigts se sont écartés. Le bout de ses phalanges frôlait mes flancs, la naissance de mes seins, mes côtes, mes hanches. Puis il descendit. Ses deux mains ont saisi mes cuisses. Je frémis.
Il n’a pas commencé par les mollets, comme on fait d’habitude. Non. Il m’a tenue là, juste sous les fesses, ses pouces pressés contre les muscles tendus, ses doigts puissants collés à l’intérieur des cuisses. Il massait lentement. En profondeur. Ses pouces remontaient vers mon entrejambe — sans jamais me toucher vraiment. Mais je le sentais. Le bord. Le presque. Et j’étais déjà mouillée.
Il remonta à nouveau. Reposa les mains sur mes hanches. Puis il les glissa vers le bas de mes reins, ouvrit mes fesses à pleines paumes, les caressa, les malaxa. Toujours sans rien dire. Toujours sans se presser. Ses doigts s’enfonçaient dans la chair, remontaient le long du pli des fesses, frôlaient la naissance de mon sexe. Puis repartaient. Chaque fois, un peu plus près. J’avais les jambes entrouvertes, les cuisses humides. J’étais offerte. Sans rien voir. Sans savoir qui il était. Mais j’aurais pu jouir déjà, rien qu’avec ses mains.
Et ce n’était que le début.
Ses doigts travaillaient lentement l’arrière de mes cuisses, paume à plat, pression régulière. Ses gestes étaient ronds, enveloppants, presque maternels. Et pourtant, il y avait dans sa façon de faire quelque chose de sexuel, d’assumé. Il descendait maintenant vers mes genoux, puis remontait, plus à l’intérieur. Ses pouces longeaient la courbe tendue de mes adducteurs. Chaque passage frôlait un peu plus haut, un peu plus près. Le tissu du drap sous mon ventre était trempé. Je n’avais pas bougé, mais mon sexe, lui, réagissait à chaque pression comme s’il appelait. Il effleurait, maintenant. Le pli entre la cuisse et la fesse. La naissance de ma lèvre. Toujours sans y poser les doigts. Mais le halo de sa chaleur, la lenteur de sa main, me rendait folle.
J’ouvris un peu plus les jambes. À peine. Mais suffisamment. Il comprit. Sa main glissa sous la cuisse droite. Il la souleva. L’ouvrit. Je me retrouvai exposée, écartée, offerte. Et là, il posa un doigt. Juste à l’entrée de ma chatte. Un contact si léger que j’aurais pu le croire inventé. Mais je gémis. Un son étouffé, incontrôlé. Mon bassin se contracta malgré moi. Il retira sa main aussitôt. Il attendit. Mon souffle le guida. Il revint. Cette fois, deux doigts. Ils effleurèrent mes lèvres. Puis glissèrent doucement entre elles. J’étais trempée. Je sentais mes propres sécrétions couler jusqu’à mes cuisses. Il ne s’arrêtait pas. Il caressait lentement. Le plat des doigts, sans frotter. Juste suivre la courbe. L’humidité. Le gonflement de ma vulve. Puis il trouva mon clitoris. Et là, il le toucha. D’un mouvement circulaire. Délicat. Mesuré. Son doigt ne cherchait pas à m’exciter. Il m’explorait. Et pourtant, mon corps s’arquait, se contractait, appelait. Mon visage s’enfouissait dans l’oreiller, mes jambes s’écartaient plus encore, ma bouche laissait passer des petits gémissements aigus, désordonnés. Il accélérât à peine. Ses doigts devinrent plus insistants. Ma chatte palpitait sous sa main. J’étais trempée, ouverte, chaude, offerte.
Puis il s’enfonça. Un doigt. Entier. Puis un deuxième. Ses phalanges glissèrent lentement en moi, comme si c’était la chose la plus naturelle du monde. J’étais remplie. Et je jouis. Silencieusement d’abord. Puis en râlant. Puis en criant. Un orgasme profond, brutal, humide. Je sentis ma chatte se contracter sur ses doigts, mon ventre se tordre, mes cuisses trembler. Il ne retira pas la main. Il attendit que les secousses se calment.
Puis recommença. Cette fois plus fort. Plus crûment. Ses doigts baisaient ma chatte. Ses paumes claquaient contre mes cuisses. Il savait exactement quoi faire. Mon clito était dur, gonflé, il le pressait de la main gauche pendant que la droite me défonçait avec une intensité folle. Et je jouis encore. Plus fort. En hurlant. Les larmes aux yeux. Le cœur en feu. Je tombai, le corps mou, le souffle court.
Et il s’arrêta. Juste après. Juste comme il fallait. Je ne sais pas combien de temps j’ai flotté ainsi. Les jambes molles, les fesses engourdies, ma chatte encore ouverte, palpitante autour de l’absence de ses doigts.
Mon souffle reprenait à peine. Mes cheveux collaient à ma nuque. Et puis je l’ai senti à nouveau. Ses mains sur mes hanches. Douces. Calmes. Patientes. Elles me redressèrent légèrement. Et d’un geste sûr, il m’a fait basculer sur le dos. Je me suis laissée faire.
Offerte. Obéissante. Curieuse aussi. De ce qu’il allait faire ensuite. Je sentais l’air plus frais sur mon ventre, mes seins, mon sexe. Mon bandeau était encore bien en place. Mais j’imaginais ses yeux. Je les sentais sur moi. Sur ma peau luisante d’huile. Sur mes tétons durs. Sur mes cuisses encore écartées.
Il ne me toucha pas tout de suite. Il me regardait. Et j’ai adoré ça. Puis, enfin, ses mains sont revenues. Cette fois sur mes épaules. Il les pressait doucement vers le bas, comme pour m’enraciner dans le matelas. Puis il glissa vers mes clavicules, mes bras, mes aisselles. Et enfin, mes seins. Ses paumes chaudes les englobèrent entièrement. Il les massa, lentement. Sans chercher à exciter. Mais le plaisir venait. Ses doigts remontaient le long de la courbe, puis redescendaient doucement. Chaque passage frôlait mes tétons, qu’il caressait ensuite avec plus de précision. Deux doigts. Lents. Circulaires. Puis une légère torsion. Un pincement léger. Je gémis. Mes hanches bougeaient déjà. Et puis sa main descendit. Sur mon ventre. Bas-ventre. Pubis. Puis enfin…Ma chatte.
Ses doigts s’invitèrent comme s’ils connaissaient déjà les lieux. Ils glissèrent entre mes lèvres trempées, jouèrent avec mon clitoris, effleurèrent l’entrée, comme s’il me relisait du bout des doigts. Je gémissais à peine, mais tout en moi bouillonnait. Je n’étais qu’une onde prête à rompre. Il s’agenouilla entre mes jambes. Et je sentis sa bouche. Sa langue. Chaude. Large. Avidement lente. Il me léchait comme s’il me mangeait. Avec une précision animale. Il suçait mon clito, le relâchait, revenait. Ses doigts pénétrèrent à nouveau. Deux. Puis trois. Ma chatte s’ouvrit, s’emplit, déborda. Il me baisait avec ses mains et sa langue, ensemble, en rythme, comme s’il cherchait un secret en moi.
J’étais tendue comme un arc. Mon corps entier appelait quelque chose. Il accéléra. Ses doigts tapaient le point exact. Sa bouche s’acharnait sur mon bouton. J’étais secouée. Saisie. Et soudain — Je jouis. Fort. Un spasme me traversa. Un cri, rauque, sorti de mes entrailles. Et un jet. Brut. Magnifique. Inattendu. L’humidité jaillit entre mes cuisses, éclaboussant ses bras, ma peau, le matelas. Il n’a pas bougé. Il a juste continué. Encore. Mes mains agrippaient les draps. Mon dos s’arquait. Je pleurais de plaisir, sans honte. Je me vidais. Littéralement. Et quand ce fut fini…Quand mes jambes retombèrent, tremblantes… Quand mon ventre s’apaisa et que je retrouvai mon souffle…
Il n’était plus là.
Seule restait l’empreinte de ses mains. Et la trace tiède de ce que j’avais offert. Je suis restée allongée un long moment. Le bandeau toujours sur les yeux, le corps nu, trempé, encore vibrant de plaisir. Quand je me suis levée, il n’y avait plus personne. Seulement une serviette propre. Un verre d’eau. Et ce silence. Rien d’autre. Pas un mot. Pas un visage. Pas même un prénom.
Plus tard, en rentrant, Sofia m’a regardée sans rien dire. Juste un sourire. Celui d’une femme qui sait. Qui devine à l’odeur sur ta peau, au relâchement de tes épaules, aux tremblements dans ta voix. Je n’ai pas eu besoin de lui poser la question. Elle avait choisi ce masseur. Elle savait ce qu’il faisait. Ce qu’il aimait. Ce qu’il offrait. Et elle me l’avait offert. Je n’étais pas jalouse. Au contraire. Parce qu’il ne s’agissait pas de possession. Il s’agissait de transmission. De soin. De liberté. Et peut-être aussi d’un plaisir qu’on partage entre femmes, même sans le dire. Comme un feu qu’on fait passer, de corps en corps. Je ne sais toujours pas son nom. Mais ses mains, elles, je ne les oublierai jamais.
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Magnifique. Que j'aimerais que ma femme pratique ce genre d'expérience.

