Silence!

Récit érotique écrit par Renifleur [→ Accès à sa fiche auteur]
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Silence!
Après une journée tuante, je suis heureux de prendre ma voiture pour rentrer chez moi. Je choisis pour ça de prendre le centre-ville. Et tout en roulant, mon intérêt se porte alors sur l’abri du bus où je reconnais tout de suite avec ses longs cheveux bruns coiffés en une épaisse crinière, Nicole.
Elle a les yeux comme à son habitude bordés de mascara, les lèvres peintes en rouge.
Mon regard se porte sur ses jambes qui, grâce à sa jupe courte, restent apparentes. Je sens tout de suite, comme des fourmillements dans le bas-ventre. Et comme ces derniers temps je suis en manque de chatte nouvelle. N’importe laquelle ferait l’affaire, même celle de Nicole. Et voilà que celle-là me tend la perche, si je puis dire.
Surtout que des rumeurs disent qu’elle n’est pas bien heureuse dans son couple. Une aubaine pour moi. Je m’arrête à sa hauteur et fais descendre la vitre. Sourire aux lèvres, je l’invite à la raccompagner. Rendant mon sourire, elle s’avance jusqu’à la portière passager. Qu’elle ouvre et se laisse tomber sur le siège.
-Tu habites toujours à la même adresse ? Je lui dis.
-Oui… la même… mais bientôt en célibataire. Lâche-t-elle d’un ton malicieux.
Je crois avoir ferré la bonne affaire, me dis-je. Elle a l’air d’avoir le feu au cul. Alors je fonce.
-Ça fait combien d'années que tu habites là ! Fais-je, changeant de sujet.
-Environ treize ans !
-Eh bien… tu t’y plais ?
-Pas spécialement, mais je n’ai pas le choix.
-Par contre, tu es toujours aussi désirable.
-Merci !
-Ça fait un bail que tu as quitté le service.
-Oui, deux ans…
-Oui, ça doit faire ça. Enfin, tu es toujours aussi belle. Tu sens bon… J’adore le parfum que tu portes.
-Tu n'essaies pas là de me draguer ?
-Va savoir. Je suis sûr qu'il y a plein de choses intéressantes à découvrir sous tes vêtements.
-Arrête Alain, je suis une femme encore mariée.
-C’est ce que j’aime ! Les femmes encore mariées !
-Alors pourquoi avoir autant attendu ?
-Va savoir.
-Oui, tu vas me faire croire ça !
-Tu crois bien ce que tu veux croire.
Cela la fait bien rire. Je stoppe juste devant la porte de son hall.
-Je te remercie de m’avoir ramené, me fait-elle.
-Tu ne m'invites pas à prendre un verre.
-Je voudrais bien, mais ce ne sera pas du goût de mon mari. Surtout ces derniers temps.
-Des tensions ?
-Je ne préfère pas en parler. Me fait-elle en sortant du véhicule.
-À une autre fois.
-Peut-être, mais pas à l’abri du bus, je récupère ma voiture demain. Salut !
Et alors qu’elle s’apprête à s’éloigner, ma perversion l’appelle. Elle fait volte-face et revient à la portière.
-Oui !
A défaut d’un verre, je ne serais pas contre la petite lingerie que tu caches sous ta jupe.
-Tu es un idiot, Alain. Lâche-t-elle en s’éloignant.
-Aller Nicole… Revient !
Ce qu’elle fait.
-Sache qu’elle fera partie de ma collection.
-Je devine qu’elle doit être riche. Lâche-t-elle.
-Oui.
-Et bien tu n’auras pas la mienne ! Ondulant du cul pour atteindre son hall, et disparaître de ma vue.
Cette folie exerce sur moi de toujours disposer quelque chose d’une femme. Et la culotte figure en haut de ma liste. Je suis comme attiré par les émanations dont elle est imprégnée. Elle collabore pleinement à mes fantasmes érotiques. Elle m’apporte de l'intimité, de l'envie, de la stupéfaction.
J’ai laissé cinq bonnes minutes à Nicole pour changer d’avis. Mais elle ne l’a pas fait. Un peu déçu de ne rien à avoir pour ma branlette de ce soir. Je m’apprête à embrayer, c’est l’instant que choisit Nicole pour sortir de son hall. Elle lève la main. La culotte pend à son doigt tendu, de manière un peu obscène, elle sourit en la faisant tourner autour de son index.
-Tiens cochon, me fait-elle en me la jetant au visage. Fais-en bon usage.
Une fois sur la route, je l’enroule sur mon index. La scrute. Ma queue tape d’excitation contre la toile de mon slip. J’approche la culotte de mes narines pour la renifler.
-Waouh, la salope a une chatte qui sent la marée…
La nuit se passe, sans éclat côté cul avec ma femme, quand le lendemain, quelle surprise de prendre un coup de téléphone de la fameuse Nicole. Elle m’invite à déjeuner à la cafétéria.
-Tu n’as pas peur que cela vienne jusqu’aux oreilles de ton mari ?
-Parce qu’il existe une loi qui interdit de déjeuner avec un ami.
-Tu me considères comme un ami ?
-Bon… bon, ne jouant pas avec les mots. Tu viens, oui ou non ?
-D’accord mon amie, midi trente à la cafétéria.
Elle m’arrive dans un ensemble veste-jupe bleu marine. Alors que nous déjeunons, nous parlons de tout et de rien. Évitant de revenir sur l’épisode de la petite culotte. Par contre, la coquine s’amuse à effleurer mon sexe à travers l’étoffe de mon pantalon avec ses orteils nus. Fraîchement déchaussée. Je bande.
-Mais Nicole, tu as bus ?
-Pourquoi cette question ?
Je lis dans ses yeux une sorte de désir qui m’effraye. Comme celui d’un animal qui a faim et qui n’est pas souvent rassasié. Un long frisson remonte le long de mon dos.
-Qu’est-ce que tu fais cet après-midi ?
Je m’attendais à cette question.
-Je travaille, pourquoi ?
-Et tu ne peux pas t’absenter un moment ?
-Et pourquoi je ferais cela ?
-Je ne sais pas moi. Pour un rendez-vous galant !
-Il ne me semble pas avoir connaissance de ce genre de rendez-vous.
-Parce que il y a une minute tu n’étais pas au courant.
-Donc, c’est pour ça, le déjeuner ?
-C’est pour ça, oui ! Alors, tu veux ou tu ne veux pas ? Mais je ne te préviens pas de pénétration !
Ma bouche devient archi-sèche. Comme ça, Nicole m’autorise de lui rendre un hommage lingual à son intimité. Elle me fixe avec un drôle de petit sourire, tout en passant le bout de sa langue sur ses lèvres.
-C’est comme si tu demandais à un aveugle s’il voulait voir.
-Alors c’est oui ?
-C’est oui !
-Mais c’est entendu, pas de pénétration ?
-C’est promis !
Pas plus tard qu’un quart d’heure plus tard, je me retrouve dans un appartement prêté par une collègue à elle. La coquine a tout prévu !
Le contact de sa peau souple m’excite. Ses muscles se contractent sous mes doigts, tandis qu’elle se trémousse à la façon d’une danseuse orientale. Son ventre se creuse au rythme de ses déhanchements, mais c’est surtout son sexe qui m’hypnotise. Elle parvient à ouvrir et à fermer ses lèvres par brèves saccades simplement en faisant jouer ses muscles intimes.
Cette fois, je n’ai plus la moindre volonté. Ma tête s’approche peu à peu de son ventre. Elle continue à bouger sur place et ses bras m’enlacent tels des serpents. C’est encore elle qui projette son sexe contre ma bouche. Elle plaque ma figure dessus, m’empêchant même de respirer. Ma bouche s’est soudain ajustée à son sexe aux lèvres brûlantes et acidulées. Mon nez disparaît dans sa fente trempée, et ses lèvres s’ouvrent comme des pétales. Je remue la tête, mes mains cramponnées à sa croupe. Je découvre le goût épicé, salé de son sexe.
Comme à chaque fois, mon cœur bat. Nicole tapote mon dos pour dompter la fièvre qui s’empare de tout mon corps. Je bascule dans une sorte de transe sexuelle qui la surprend à son tour.
-C’est à ton goût, mon beau ? Tu as l’air d’être un expert pour ce genre de gourmandise ?
Ses paroles exacerbent mon envie d’explorer un peu plus son sexe. J’y découvre un plaisir inimaginable, avivé par le roulement de ses fesses entre mes mains. Ma tête toujours nichée entre ses cuisses, rien ne peut m’en décoller à cet instant. Elle se soulève sur la pointe des pieds pour que je vrille ma langue au fond de son orifice. Ses cuisses puissantes m’écrasent les oreilles, elle s’abandonne à ma bouche.
-Putain que tu fais ça bien… tu ne peux pas savoir !
Les plis sont tapissés de duvets sombres que l’humidité colle à la peau. Je respire les émanations de sa raie. Elle sent la femme en chaleur. Tout en lui flairant le cul, je me masse à l’aide de deux doigts, la queue à travers l’étoffe de mon pantalon. Je renifle bruyamment. Comme la plupart des brunes, elle dégage un parfum très relevé. Elle accentue sa cambrure jusqu’à me coller ses fesses contre mon nez. Je pose les lèvres sur l’empiècement à l’endroit où celui-ci forme un cordon dans l’entaille.
-Tu ne vas pas me dire que tu lèches de ce côté-là aussi ?
Pour toute réponse, je pointe la langue dans le sillon humide.
-Attend ! Me lâche-t-elle. J'aimerais faire quelque chose avec toi !
Elle me fait m’allonger sur le dos. Puis elle s’accroupit avec lenteur sur mon visage. Je discerne son cul s’épanouir au-dessus de moi. Ses lippes visqueuses se posent sur ma bouche. Mon nez se place au centre de la couronne anale. Je fais disparaître ma langue dans le fourreau fiévreux. La faisant naviguer d’avant en arrière. Comme je l’aurais fait avec ma queue. Un jus chaud me coule dans la bouche et sur mes joues. Je bois en faisant le plus de bruit que je peux. Comme j’étais en train de dévorer un fruit trop mûr.
En plein euphorique, elle écrase sa chatte sur ma face, de tout son poids. Elle est si excitée que le clitoris darde entre ses petites lèvres. Je le suce puis le mordille. Elle laisse échapper un cri. Je la sens se raidir. Une giclée chaude me fouette le fond de la gorge. Encore au goût salé, je comprends qu’elle a lâché un jet de pisse en jouissant.
Elle sanglote. Je sens ses chairs palpiter. Une autre ondée chaude me remplit la bouche. Elle urine par petites giclées, que je bois. La pisse a un goût acide qui rappelle le cidre. La bordure anale se relâche, des arômes poivrés s’en échappent, je continue à butiner le bouton. Chaque fois qu’une onde de jouissance l’irradie, elle me donne quelques gouttes d’urine.
La saveur me plaît et je redouble d’ardeur, lapant avec plaisir la chatte de Nicole. Un filet de mouille glisse de l’orifice. Je sors la langue pour l’introduire entre ses lèvres dodues, les déplaçant vers son intérieur. Son jus féminin est exquis. Je la dévore de ma langue. N’en pouvant plus, je la viole carrément avec ma langue. J’en profite pour mouiller quelques doigts et j’en introduis un dans son anus. Nicole a joui. Enhardi par cette réaction, j’avale tout le jus, allant le chercher jusque dans sa raie du cul.
Nicole reste la tête en arrière un long moment, immobile.
-Tu as un vrai don, je ne sais pas si tu t’en rends compte.
-Ce n'est pas un don, c’est que j’aime ça, un point c’est tout !
-Crois-moi, tout le monde n’arrive pas à me mener au plaisir. Il est temps que je m’occupe à te donner du plaisir. Me fait-elle en pivotant.
Et d’un geste sûr, elle dénoue ma ceinture, ouvre le pantalon qu’elle fait glisser sur mes cuisses avec mon slip pour délivrer la verge turgescente de sa prison de toile. Avec assurance, elle se penche vers ma verge. Elle pose doucement ses lèvres sur le bout de mon gland. Elle fait glisser entre ses lèvres, puis sur sa langue brûlante, en même temps que ses mains accompagnent le mouvement sur le long de ma verge. Sa langue poursuit son manège tout au long de ma verge. Elle se recule un instant et admire son œuvre.
Raide, elle luise sous la salive. Satisfaite, elle reprend son travail. Elle atténue alors la pression de sa langue et accentue la prise autour des testicules. Elle plonge et replonge ses lèvres autour de ma hampe virile. Elle gobe mon gland qui distend ses joues. Une vraie pro de la pipe !
Au bout de quelques minutes de suçage, je me laisse aller. Je jouis dans sa bouche. Du sperme s’échappe au coin de ses lèvres. Elle lâche ma queue pour pousser un petit cri de triomphe ravi. Reins creusés, cuisses ouvertes, brûlée d’un désir sauvage, elle s’installe le mieux possible pour frotter, contre mon sexe, sa vulve avide. Malgré mon merveilleux orgasme, le feu aux tempes, je sens que je ne suis plus en mesure de maîtriser la situation.
Surtout qu’elle s’empale d’un seul coup sur moi. Avec une rigueur qui la fait rugir de plaisir. Flexible, elle se déhanche, contractant son ventre pour mieux m’emprisonner, se cahotant sur ma queue, se frottant pour stimuler son clitoris, se poignardant elle-même avec une ardeur, un acharnement qui la font se tordre, râler et bredouiller des mots obscènes. Paupières closes et lèvres ouvertes, Nicole laisse tomber :
- Je vais jouir !
Elle a le visage déformé par la montée irrésistible du plaisir, laisse échapper un feulement continu. Brusquement, elle crie.
-Ouiiiii, c’est bon… putain je jouis…
Ne pouvant plus me retenir, j’explose brusquement en elle en longs jaillissements tumultueux qui la font hurler plus fort. Nicole se laisse aller, toute secouée, la bouche meurtrie et les yeux cernés de bistre. Elle s’en va poser son cul sur une chaise. Je prends place sur celle à côté d’elle.
- Cela te dit de prendre un verre ?
- Tu n’es pas chez toi ?
- Et alors ?
Elle s’avance jusqu’au bar et revient avec dans la main une bouteille de cognac.
-Pour ton Silence !
Elle a les yeux comme à son habitude bordés de mascara, les lèvres peintes en rouge.
Mon regard se porte sur ses jambes qui, grâce à sa jupe courte, restent apparentes. Je sens tout de suite, comme des fourmillements dans le bas-ventre. Et comme ces derniers temps je suis en manque de chatte nouvelle. N’importe laquelle ferait l’affaire, même celle de Nicole. Et voilà que celle-là me tend la perche, si je puis dire.
Surtout que des rumeurs disent qu’elle n’est pas bien heureuse dans son couple. Une aubaine pour moi. Je m’arrête à sa hauteur et fais descendre la vitre. Sourire aux lèvres, je l’invite à la raccompagner. Rendant mon sourire, elle s’avance jusqu’à la portière passager. Qu’elle ouvre et se laisse tomber sur le siège.
-Tu habites toujours à la même adresse ? Je lui dis.
-Oui… la même… mais bientôt en célibataire. Lâche-t-elle d’un ton malicieux.
Je crois avoir ferré la bonne affaire, me dis-je. Elle a l’air d’avoir le feu au cul. Alors je fonce.
-Ça fait combien d'années que tu habites là ! Fais-je, changeant de sujet.
-Environ treize ans !
-Eh bien… tu t’y plais ?
-Pas spécialement, mais je n’ai pas le choix.
-Par contre, tu es toujours aussi désirable.
-Merci !
-Ça fait un bail que tu as quitté le service.
-Oui, deux ans…
-Oui, ça doit faire ça. Enfin, tu es toujours aussi belle. Tu sens bon… J’adore le parfum que tu portes.
-Tu n'essaies pas là de me draguer ?
-Va savoir. Je suis sûr qu'il y a plein de choses intéressantes à découvrir sous tes vêtements.
-Arrête Alain, je suis une femme encore mariée.
-C’est ce que j’aime ! Les femmes encore mariées !
-Alors pourquoi avoir autant attendu ?
-Va savoir.
-Oui, tu vas me faire croire ça !
-Tu crois bien ce que tu veux croire.
Cela la fait bien rire. Je stoppe juste devant la porte de son hall.
-Je te remercie de m’avoir ramené, me fait-elle.
-Tu ne m'invites pas à prendre un verre.
-Je voudrais bien, mais ce ne sera pas du goût de mon mari. Surtout ces derniers temps.
-Des tensions ?
-Je ne préfère pas en parler. Me fait-elle en sortant du véhicule.
-À une autre fois.
-Peut-être, mais pas à l’abri du bus, je récupère ma voiture demain. Salut !
Et alors qu’elle s’apprête à s’éloigner, ma perversion l’appelle. Elle fait volte-face et revient à la portière.
-Oui !
A défaut d’un verre, je ne serais pas contre la petite lingerie que tu caches sous ta jupe.
-Tu es un idiot, Alain. Lâche-t-elle en s’éloignant.
-Aller Nicole… Revient !
Ce qu’elle fait.
-Sache qu’elle fera partie de ma collection.
-Je devine qu’elle doit être riche. Lâche-t-elle.
-Oui.
-Et bien tu n’auras pas la mienne ! Ondulant du cul pour atteindre son hall, et disparaître de ma vue.
Cette folie exerce sur moi de toujours disposer quelque chose d’une femme. Et la culotte figure en haut de ma liste. Je suis comme attiré par les émanations dont elle est imprégnée. Elle collabore pleinement à mes fantasmes érotiques. Elle m’apporte de l'intimité, de l'envie, de la stupéfaction.
J’ai laissé cinq bonnes minutes à Nicole pour changer d’avis. Mais elle ne l’a pas fait. Un peu déçu de ne rien à avoir pour ma branlette de ce soir. Je m’apprête à embrayer, c’est l’instant que choisit Nicole pour sortir de son hall. Elle lève la main. La culotte pend à son doigt tendu, de manière un peu obscène, elle sourit en la faisant tourner autour de son index.
-Tiens cochon, me fait-elle en me la jetant au visage. Fais-en bon usage.
Une fois sur la route, je l’enroule sur mon index. La scrute. Ma queue tape d’excitation contre la toile de mon slip. J’approche la culotte de mes narines pour la renifler.
-Waouh, la salope a une chatte qui sent la marée…
La nuit se passe, sans éclat côté cul avec ma femme, quand le lendemain, quelle surprise de prendre un coup de téléphone de la fameuse Nicole. Elle m’invite à déjeuner à la cafétéria.
-Tu n’as pas peur que cela vienne jusqu’aux oreilles de ton mari ?
-Parce qu’il existe une loi qui interdit de déjeuner avec un ami.
-Tu me considères comme un ami ?
-Bon… bon, ne jouant pas avec les mots. Tu viens, oui ou non ?
-D’accord mon amie, midi trente à la cafétéria.
Elle m’arrive dans un ensemble veste-jupe bleu marine. Alors que nous déjeunons, nous parlons de tout et de rien. Évitant de revenir sur l’épisode de la petite culotte. Par contre, la coquine s’amuse à effleurer mon sexe à travers l’étoffe de mon pantalon avec ses orteils nus. Fraîchement déchaussée. Je bande.
-Mais Nicole, tu as bus ?
-Pourquoi cette question ?
Je lis dans ses yeux une sorte de désir qui m’effraye. Comme celui d’un animal qui a faim et qui n’est pas souvent rassasié. Un long frisson remonte le long de mon dos.
-Qu’est-ce que tu fais cet après-midi ?
Je m’attendais à cette question.
-Je travaille, pourquoi ?
-Et tu ne peux pas t’absenter un moment ?
-Et pourquoi je ferais cela ?
-Je ne sais pas moi. Pour un rendez-vous galant !
-Il ne me semble pas avoir connaissance de ce genre de rendez-vous.
-Parce que il y a une minute tu n’étais pas au courant.
-Donc, c’est pour ça, le déjeuner ?
-C’est pour ça, oui ! Alors, tu veux ou tu ne veux pas ? Mais je ne te préviens pas de pénétration !
Ma bouche devient archi-sèche. Comme ça, Nicole m’autorise de lui rendre un hommage lingual à son intimité. Elle me fixe avec un drôle de petit sourire, tout en passant le bout de sa langue sur ses lèvres.
-C’est comme si tu demandais à un aveugle s’il voulait voir.
-Alors c’est oui ?
-C’est oui !
-Mais c’est entendu, pas de pénétration ?
-C’est promis !
Pas plus tard qu’un quart d’heure plus tard, je me retrouve dans un appartement prêté par une collègue à elle. La coquine a tout prévu !
Le contact de sa peau souple m’excite. Ses muscles se contractent sous mes doigts, tandis qu’elle se trémousse à la façon d’une danseuse orientale. Son ventre se creuse au rythme de ses déhanchements, mais c’est surtout son sexe qui m’hypnotise. Elle parvient à ouvrir et à fermer ses lèvres par brèves saccades simplement en faisant jouer ses muscles intimes.
Cette fois, je n’ai plus la moindre volonté. Ma tête s’approche peu à peu de son ventre. Elle continue à bouger sur place et ses bras m’enlacent tels des serpents. C’est encore elle qui projette son sexe contre ma bouche. Elle plaque ma figure dessus, m’empêchant même de respirer. Ma bouche s’est soudain ajustée à son sexe aux lèvres brûlantes et acidulées. Mon nez disparaît dans sa fente trempée, et ses lèvres s’ouvrent comme des pétales. Je remue la tête, mes mains cramponnées à sa croupe. Je découvre le goût épicé, salé de son sexe.
Comme à chaque fois, mon cœur bat. Nicole tapote mon dos pour dompter la fièvre qui s’empare de tout mon corps. Je bascule dans une sorte de transe sexuelle qui la surprend à son tour.
-C’est à ton goût, mon beau ? Tu as l’air d’être un expert pour ce genre de gourmandise ?
Ses paroles exacerbent mon envie d’explorer un peu plus son sexe. J’y découvre un plaisir inimaginable, avivé par le roulement de ses fesses entre mes mains. Ma tête toujours nichée entre ses cuisses, rien ne peut m’en décoller à cet instant. Elle se soulève sur la pointe des pieds pour que je vrille ma langue au fond de son orifice. Ses cuisses puissantes m’écrasent les oreilles, elle s’abandonne à ma bouche.
-Putain que tu fais ça bien… tu ne peux pas savoir !
Les plis sont tapissés de duvets sombres que l’humidité colle à la peau. Je respire les émanations de sa raie. Elle sent la femme en chaleur. Tout en lui flairant le cul, je me masse à l’aide de deux doigts, la queue à travers l’étoffe de mon pantalon. Je renifle bruyamment. Comme la plupart des brunes, elle dégage un parfum très relevé. Elle accentue sa cambrure jusqu’à me coller ses fesses contre mon nez. Je pose les lèvres sur l’empiècement à l’endroit où celui-ci forme un cordon dans l’entaille.
-Tu ne vas pas me dire que tu lèches de ce côté-là aussi ?
Pour toute réponse, je pointe la langue dans le sillon humide.
-Attend ! Me lâche-t-elle. J'aimerais faire quelque chose avec toi !
Elle me fait m’allonger sur le dos. Puis elle s’accroupit avec lenteur sur mon visage. Je discerne son cul s’épanouir au-dessus de moi. Ses lippes visqueuses se posent sur ma bouche. Mon nez se place au centre de la couronne anale. Je fais disparaître ma langue dans le fourreau fiévreux. La faisant naviguer d’avant en arrière. Comme je l’aurais fait avec ma queue. Un jus chaud me coule dans la bouche et sur mes joues. Je bois en faisant le plus de bruit que je peux. Comme j’étais en train de dévorer un fruit trop mûr.
En plein euphorique, elle écrase sa chatte sur ma face, de tout son poids. Elle est si excitée que le clitoris darde entre ses petites lèvres. Je le suce puis le mordille. Elle laisse échapper un cri. Je la sens se raidir. Une giclée chaude me fouette le fond de la gorge. Encore au goût salé, je comprends qu’elle a lâché un jet de pisse en jouissant.
Elle sanglote. Je sens ses chairs palpiter. Une autre ondée chaude me remplit la bouche. Elle urine par petites giclées, que je bois. La pisse a un goût acide qui rappelle le cidre. La bordure anale se relâche, des arômes poivrés s’en échappent, je continue à butiner le bouton. Chaque fois qu’une onde de jouissance l’irradie, elle me donne quelques gouttes d’urine.
La saveur me plaît et je redouble d’ardeur, lapant avec plaisir la chatte de Nicole. Un filet de mouille glisse de l’orifice. Je sors la langue pour l’introduire entre ses lèvres dodues, les déplaçant vers son intérieur. Son jus féminin est exquis. Je la dévore de ma langue. N’en pouvant plus, je la viole carrément avec ma langue. J’en profite pour mouiller quelques doigts et j’en introduis un dans son anus. Nicole a joui. Enhardi par cette réaction, j’avale tout le jus, allant le chercher jusque dans sa raie du cul.
Nicole reste la tête en arrière un long moment, immobile.
-Tu as un vrai don, je ne sais pas si tu t’en rends compte.
-Ce n'est pas un don, c’est que j’aime ça, un point c’est tout !
-Crois-moi, tout le monde n’arrive pas à me mener au plaisir. Il est temps que je m’occupe à te donner du plaisir. Me fait-elle en pivotant.
Et d’un geste sûr, elle dénoue ma ceinture, ouvre le pantalon qu’elle fait glisser sur mes cuisses avec mon slip pour délivrer la verge turgescente de sa prison de toile. Avec assurance, elle se penche vers ma verge. Elle pose doucement ses lèvres sur le bout de mon gland. Elle fait glisser entre ses lèvres, puis sur sa langue brûlante, en même temps que ses mains accompagnent le mouvement sur le long de ma verge. Sa langue poursuit son manège tout au long de ma verge. Elle se recule un instant et admire son œuvre.
Raide, elle luise sous la salive. Satisfaite, elle reprend son travail. Elle atténue alors la pression de sa langue et accentue la prise autour des testicules. Elle plonge et replonge ses lèvres autour de ma hampe virile. Elle gobe mon gland qui distend ses joues. Une vraie pro de la pipe !
Au bout de quelques minutes de suçage, je me laisse aller. Je jouis dans sa bouche. Du sperme s’échappe au coin de ses lèvres. Elle lâche ma queue pour pousser un petit cri de triomphe ravi. Reins creusés, cuisses ouvertes, brûlée d’un désir sauvage, elle s’installe le mieux possible pour frotter, contre mon sexe, sa vulve avide. Malgré mon merveilleux orgasme, le feu aux tempes, je sens que je ne suis plus en mesure de maîtriser la situation.
Surtout qu’elle s’empale d’un seul coup sur moi. Avec une rigueur qui la fait rugir de plaisir. Flexible, elle se déhanche, contractant son ventre pour mieux m’emprisonner, se cahotant sur ma queue, se frottant pour stimuler son clitoris, se poignardant elle-même avec une ardeur, un acharnement qui la font se tordre, râler et bredouiller des mots obscènes. Paupières closes et lèvres ouvertes, Nicole laisse tomber :
- Je vais jouir !
Elle a le visage déformé par la montée irrésistible du plaisir, laisse échapper un feulement continu. Brusquement, elle crie.
-Ouiiiii, c’est bon… putain je jouis…
Ne pouvant plus me retenir, j’explose brusquement en elle en longs jaillissements tumultueux qui la font hurler plus fort. Nicole se laisse aller, toute secouée, la bouche meurtrie et les yeux cernés de bistre. Elle s’en va poser son cul sur une chaise. Je prends place sur celle à côté d’elle.
- Cela te dit de prendre un verre ?
- Tu n’es pas chez toi ?
- Et alors ?
Elle s’avance jusqu’au bar et revient avec dans la main une bouteille de cognac.
-Pour ton Silence !
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