Ski, sex and sun (2)

- Par l'auteur HDS Micky -
Récit érotique écrit par Micky [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Récit libertin : Ski, sex and sun (2) Histoire érotique Publiée sur HDS le 04-01-2015 dans la catégorie Plus on est
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Ski, sex and sun (2)
Après une journée entière passée sur les pistes de ski de l'Alpe d'Huez, Ghislaine et Cathy étaient rentrées à l’hôtel un brin fatiguées mais bien décidées à ne pas finir la journée dans leur chambre.
— Et si on sortait ce soir ? avait proposé Cathy.
— Banco ! J’ai repéré une boîte à deux pas et j’ai envie de danser, avait répondu Ghislaine.

Elles s’étaient pomponnées pendant une bonne heure, délibérant à l’infini pour savoir quelle tenue elles allaient adopter, alors qu’elles n’avaient chacune le choix qu’entre deux options : robe ou pantalon. Finalement, elles avaient opté tout bêtement l’une et l’autre pour un jean et des boots ainsi qu’un débardeur sous un pull « qu’on pourra enlever si on a trop chaud ».

Et les voici dans la boîte après avoir un peu pataugé dans la neige et quelque peu humidifié leurs boots.
— On aurait mieux fait de venir en après-skis.

Déception : il n’y a que des couples en vacances et quelques jeunots visiblement insignifiants.
— Pas grave, dit Cathy, on profitera de la musique et on dansera quand même.

Au bout d’une heure, les deux filles se retrouvent devant un verre de scotch au bar en se demandant si elles ne vont pas rentrer plus tôt que prévu quand soudain un groupe d’hommes fait irruption dans la boîte. Cathy et Ghislaine ne tardent pas à comprendre qu’il s’agit d’une équipe de hockeyeurs canadiens venus fêter une victoire dans la station. Ils sont bruyants, envahissants, débonnaires mais virils et constituent aussitôt l’attraction dans la boîte.

Évidemment, les deux célibataires constituent une cible de choix. Ghislaine et Cathy sont vite entourées d’une demi-douzaine de costauds à l’accent québécois prononcé, qui tous prétendent les inviter à faire un tour sur la piste de danse. Ravies de cette animation inespérée, les deux copines jouent le jeu, dansent jusqu’à plus soif et parviennent malgré le bruit à nouer quelques conversations. Plus la soirée avance et plus les hockeyeurs deviennent entreprenants ; mais comme ils boivent sec, ils finissent par devenir un peu lourds et les deux filles comprennent qu’il vaut mieux prendre le large.
— Dommage qu’ils aient picolé, je m’en serais bien fait un, lâche Cathy sur le chemin du retour.
— Lequel ? interroge Ghislaine.
— Le grand blond avec une queue de cheval, celui que ses copains appellent René. Ses yeux bleus me transperçaient, j’avais l’impression d’être à poil.
— C’est sûr que quand tu as enlevé ton pull, les mecs n’ont vu que tes nichons sous le débardeur. Moi, au moins, j’avais mis un soutif. Cela dit, tu n’as pas tort : le René est vraiment séduisant. Mais j’ai bien aimé aussi le petit mec rigolo, le goal je crois, comment il s’appelle déjà ?
— Jean-Michel, ou Jean-Marie, je ne sais plus.
— C’est Pierre-Michel, ça me revient. Il m’a bien fait rire avec ses blagues coquines et son accent.
— Bon, en attendant, on sera chaste ce soir et il ne nous reste plus que deux jours.
— On verra demain, pour l’instant, je suis crevée, on va se coucher.

Le lendemain, surprise au réveil. Il neige à plein temps. Pas question d’aller skier. Les deux filles balancent. Cathy a soudain une idée :
— Et si on se faisait un spa et un sauna ? Il y a tout ça sur place ; profitons-en.
— Bonne idée, mais je n’ai pas de maillot de bain. Tu crois qu’on va trouver ça ici ?
— Il y a un magasin de sport, ils doivent bien en avoir.

De fait, ledit magasin propose quelques maillots mais en nombre limité, vu la saison. Ghislaine opte pour un une pièce sans épaules, à la Rita Hayworth, qui moule sa généreuse poitrine. Agnès choisit, faute de taille adaptée, un bikini ultra réduit qui ne lui cache guère que les deux fentes et les mamelons.
— Tu es d’une indécence prodigieuse, ricane Ghislaine ; on dirait le maillot d’une gamine.
— Et toi, avec ton truc américain, on ne voit que tes obus. Tu n’as même pas besoin de nager, tu vas flotter toute seule.
— Ce sont mes « oreillers de chair fraîche » comme disait Baudelaire.
— Ton Baudelaire, il avait la queue molle, pas comme les hockeyeurs.

Évidemment, ainsi « vêtues », les deux filles ne passent pas inaperçues à leur arrivée au spa, où quelques épouses leur adressent un regard venimeux, au contraire de leur conjoint. Quelques mâles les lorgnent du coin de l’œil, bien empêchés qu’ils sont d’aller plus avant. Surtout Cathy, qui ne cache quasiment rien de son anatomie. C’est alors que le spa devient plus animé. Un groupe fait son entrée bruyamment.
— Mais ce sont nos hockeyeurs ! s’exclame Ghislaine.

Effectivement, les Canadiens entrent en maillot de bain pour une séance collective de spa, de hammam et de sauna. Les deux filles apprécient ce qu’elles n’avaient pas vu la veille : leur corps d’athlète. Cette fois, c’est au tour des maris de regarder leur épouse avec suspicion. Et ils n’ont pas tort car il y a du fantasme dans l’air. L’une d’elles, une rousse flamboyante d’une cinquantaine d’années en maillot une pièce vert pomme, se mêle aux sportifs, comme si elle les connaissait déjà.
— Mais qui c’est, cette pouffiasse ? grogne Cathy. Elle va sur notre territoire, là.
— Viens, on va la contrôler, répond Ghislaine.

Et les deux filles avancent dans l’eau à petites brassées entre les jets qui fusent de partout. Les hockeyeurs ne les reconnaissent pas tout de suite mais le microscopique maillot de Cathy, qu’elle ne cesse de rajuster à cause des jets qui la déshabillent littéralement, et les obus de Ghislaine ont tôt fait d’attirer leur attention.
— Ah mais c’est les filles d’hier soir ! s’exclame l’un d’eux. René, regarde qui est là : tes deux copines.

Le dénommé René s’avança, poitrail en avant luisant d’humidité, les muscles saillants à fleur de peau. Cathy et Ghislaine ne peuvent s’empêcher de loucher sur les pectoraux et les épaules de ce beau mâle. La rousse s’interpose dans un clapotis d’eau chaude et salée :
— Oh, René, comment vas-tu ? Tu m’as l’air en pleine forme.

Une lueur meurtrière passe dans le regard de Cathy et Ghislaine. Elle n’échappe pas à René qui s’avance dans l’eau peu profonde pour se propulser plus loin dans un crawl élégant, sûr de son effet. Les deux filles repèrent Pierre-Michel qui fait le guignol sous un jet puissant. Le trio se retrouve dans un éclat de rire. Une période de jeux aquatiques commence, où les hockeyeurs batifolent avec les deux amies (Cathy laisse plusieurs fois échapper ses seins des maigres bonnets) mais aussi la rousse, prénommée Monique, une habituée des lieux et de la station, qui n’en finit plus de mettre en avant une intimité ancienne avec les rois de la glace tout en leur mettant sous le nez ses seins lourds, largement découverts par le maillot vert pomme assorti à sa rousseur.
— Je suis sûre qu’ils l’ont tous baisée, murmure Cathy à l’oreille de Ghislaine, qui approuve d’un signe de tête.

Leur mine s’allonge lorsqu’elles voient un petit groupe de hockeyeurs gagner le hammam avec la rousse, toute frétillante d’être ainsi au centre de ces hommes bien bâtis.
— Quel culot, cette nana ! Mais elle se prend pour qui ? lâche Cathy qui, dépitée, s’éloigne en nageant.

Un peu plus tard, Ghislaine la rejoint :
— Et si on allait au hammam nous aussi ? On ne va quand même pas lui laisser un boulevard, à la rouquine ?
— Oui, pourquoi pas ? Je n’ai pas de poids à perdre, mais suer me fera du bien, répond Cathy.

Après s’être débarrassées de leur peignoir éponge à l’entrée, les deux amies entrent dans le hammam. La chaleur humide les suffoque et elles doivent s’asseoir dans la première salle pour encaisser le choc thermique, bien incapables de voir ce qui se passe dans la seconde tant la brume est épaisse. Tout au plus devinent-elles qu’un petit groupe s’est massé au fond, à en juger par le remue-ménage. Des bruits étranges percent le fond sonore constitué par la machine à humidité. Cathy se lève :
— Je vais aux nouvelles. Je n’y vois rien et je n’aime pas ça.

Les minutes défilent ; Ghislaine sue maintenant à grosses gouttes. Elle voit la transpiration ruisseler entre ses seins mais Cathy ne revient pas. Alors elle se lève à son tour et progresse presque à tâtons dans le nuage opaque du hammam. Ce qu’elle découvre alors la stupéfie. Elle repère d’abord la rousse, accroupie, le maillot une pièce rabattu sur les hanches et ses gros seins à découvert, en train de sucer à tour de rôle deux hockeyeurs. Assise sur le banc, Cathy fait de même avec un autre hockeyeur qui s’avère être René, lequel est en train de tirer sur la ficelle de son maigre soutien-gorge pour l’en délester.
— Ah ben ça alors ! s’exclame Ghislaine ; tu aurais pu venir me chercher, quand même…— Mmmh mmmh, si tu veux on partage, mmmh mmmh, parvient à articuler Cathy, dont la langue s’active autour d’un gland canadien parfaitement décalotté.

Ghislaine a à peine le temps de revenir de sa surprise qu’un autre hockeyeur, qu’elle parvient à peine à identifier dans le brouillard ambiant, l’embrasse dans le cou tout en lui caressant les seins. Elle va pour l’engueuler quand elle se rend compte qu’il est entièrement nu et arbore un magnifique dard en totale érection. Instinctivement, la main de Ghislaine s’est portée à la rencontre du membre pour l’astiquer quelque peu. Le temps est très court avant qu’elle ne s’accroupisse à son tour pour entourer le gland parfait de ses lèvres. Le hockeyeur l’attrape par la natte et imprime le tempo de la succion, ce que la grande blonde accepte bien volontiers. À côté, l’ambiance est montée d’un cran pour une raison très simple : la rousse Monique, désormais entièrement à poil, est possédée en levrette par un rude gaillard qui la percute avec ardeur en dégoulinant de sueur, ce qui provoque chez la destinataire une série de couinements ne laissant aucun doute sur le plaisir ressenti.

C’est alors qu’un souffle de vent frais pénètre dans le hammam. À l’évidence, quelqu’un vient de faire son entrée. Ghislaine interrompt précipitamment (et à regret) sa succion pour aller aux nouvelles, et surtout faire barrage pour éviter l’incident. C’est un couple, d’une trentaine d’années à vue de nez, entr’aperçu un peu plus tôt au spa. La fille, une grande brune à queue de cheval, porte un curieux maillot une pièce avec un rond sur le ventre que Ghislaine avait trouvé très seyant. Le gars est filiforme, une vraie ficelle. Ghislaine y va franco :
— Euh, le hammam est réservé aujourd’hui pour l’équipe de hockey, désolée.
— Ah bon ? Et vous en faites partie ? répond l’homme.
— Oui, je suis la kiné, ose Ghislaine.

C’est alors que la rousse, du fond du hammam, s’exclame dans la brume :
— Ouiiii, vas-y, à fond, encore !

La femme du couple éclate de rire et glousse :
— Je crois que vos hockeyeurs pratiquent un entraînement un peu spécial. Allez, laissez-nous entrer, on fera ceux qui ne voient ni n’entendent rien, on n’est pas bégueules.

Ghislaine a rougi mais comme elle est déjà cramoisie par la chaleur, personne ne s’en aperçoit. Et elle retourne au fond du hammam sans mot dire, le bec cloué.

Elle essaye de trouver Cathy dans une purée de pois de plus en plus brûlante et opaque :
— Hé ho, tu es où ?
— Suis là, à côté de toi.

De fait, à un mètre à peine, deux formes s’agitent. Il faut que Ghislaine mette le nez dessus pour découvrir René, assis sur le banc de carrelage avec Catjy sur ses genoux – ou plutôt sur sa queue – les mains autour de son cou, les pieds contre le mur, afin de se donner deux appuis pour faire aller et venir ses hanches plus commodément. René accompagne le mouvement, ses mains sous les fesses de sa partenaire, laquelle fait « Oh ! Ah ! » à chaque fois que son ventre (ou plutôt son bas-ventre) va vers l’avant. Ghislaine, pas étonnée par l’évolution de la situation, décide de laisser le couple en paix avec lui-même pour aller rechercher le hockeyeur qu’elle avait commencé à sucer avant l’introduction du couple dans le hammam. Mais les formes humaines se ressemblent toutes dans ce nuage immobile. Elle découvre trois dos luisants de sueur surmontant des fessiers totalement nus. Ghislaine ne tarde pas à repérer la rousse Monique, assise sur le banc, dont la bouche passe d’une queue à l’autre avec virtuosité. Un peu plus au fond, une autre fille, que Ghislaine n’avait pas remarquée auparavant et dont le visage se perd dans le brouillard, pratique également une fellation active auprès d’un petit costaud qui se révèle être le goal Pierre-Michel.

C’est alors que deux mains d’homme se mettent à tripoter Ghislaine à hauteur des seins et font glisser le haut du maillot pour les libérer. Cela tombe bien car la grande blonde commençait à avoir mal aux mamelons à force d’excitation. Ce spectacle, ces hockeyeurs en rut, cette chaleur moite ont mis sa libido en ébullition. Mais elle voudrait quand même voir l’homme qui l’entreprend ainsi avec une habileté prometteuse. À première vue, il n’a pas l’air très costaud pour un hockeyeur. À la deuxième, Ghislaine comprend tout : c’est l’homme maigre du couple qu’elle a accueilli tout à l’heure ! Et la fille au fond du hammam, c’est sa femme ! En voilà deux qui n’ont pas tardé à se mettre dans l’ambiance !

L’homme est lui aussi entièrement nu et exhibe une verge longue et fine, comme ses membres, que Ghislaine entreprend d’astiquer manuellement. La réaction est radicale : l’homme trique dur et Ghislaine a maintenant en main un vrai barreau de chaise qu’elle tient fermement. Pas question cette fois de le laisser échapper ; il peut venir quelqu’un dans le hammam, elle s’en fout. Elle se fout même qu’il n’ait pas de capote, ce qui n’est pas très prudent. Elle le tire par la queue vers le fond de la pièce et trouve une place à côté de la femme à queue de cheval qui se fait en ce moment enfiler en levrette par le goal. Ghislaine adopte la même attitude, bras posés sur le banc de carrelage, cul en l’air. L’homme a compris le message subliminal et s’enfonce d’une seule poussée dans la vulve trempée de la grande blonde dont la natte se met à virevolter, tant le gars met du cœur à l’ouvrage. Tout en savourant l’investigation profonde de la fine tige, elle regarde la brune qui la regarde aussi, et elles se sourient, conscientes du caractère très spécial du moment vécu alors que leur plaisir va crescendo.

Puis une queue épaisse de hockeyeur se présente devant la bouche de Ghislaine. La veine de son vit est gonflée à exploser. Sans cesser ses mouvements de la croupe, elle se met à sucer ce gland au goût salé par la sueur causée par le hammam, insistant sur la veine. Deux mecs en même temps. Il y a longtemps qu’elle n’avait pas été à pareille fête. D’ores et déjà, les vacances d’hiver sont réussies. Elle pourra ensuite être chaste pendant six mois. Enfin, un peu moins si possible. La brune, tout en faisant virevolter sa queue de cheval, ne perd rien du spectacle offert par sa voisine et encourage son mari (ou son compagnon) :
— Allez chéri, vas-y, fais-la jouir. Encule-la.

Sur le moment, Ghislaine trouve la brune un peu gonflée de se mêler ainsi de ses introductions. Puis elle se rappelle que c’est une queue longue et fine qui lui fouille la vulve et, ma foi, elle pourrait aussi lui faire du bien entre ses fesses. Aussi se cambre-t-elle pour inviter son partenaire à monter à l’étage au-dessus, ce qu’il comprend illico et donne suite à la proposition. L’anus de Ghislaine est tellement mouillé de sueur que le grand maigre s’introduit facilement et s’enfonce très loin dans son rectum, ce qui produit chez la blonde de délicieuses sensations. Ghislaine se met à vocaliser tellement fort qu’elle couvre les couinements de la rousse et de Cathy, alors que la queue de cheval se met à faire des tours complets sur le crâne de la brune, de plus en plus réjouie par le goal. Tout semble réuni pour que les quatre filles connaissent l’orgasme pratiquement en même temps.

Mais un événement complètement inattendu survient. La porte du hammam s’ouvre dans une grosse gueulante à fort accent québécois :
— Qu’est-ce que c’est que ce bordel ! Vous allez tous me foutre le camp d’ici, et vite fait. Allez, dehors ; et plus vite que ça !

Rumeur dans la brume. Les couples se détachent un peu brutalement dans un bruit aqueux. Ghislaine ne tarde pas à comprendre que le gueulard est l’entraîneur de l’équipe de hockey, qui a dû être alerté par une taupe. Les hockeyeurs cherchent leur slip de bain à tâtons dans le brouillard. Ghislaine tend un boxer à l’un d’eux encore en érection. « Le pauvre, se dit-elle in petto, il n’aura même pas joui… » Elle non plus d’ailleurs car le grand maigre, bien que non intégré à l’équipe, a débandé dès les premiers cris et s’est retiré un peu trop vite de son cul. Les filles aussi cherchent leur maillot dans la purée de pois pour se redonner une contenance à peu près conforme à la morale publique. Heureusement qu’elles ne sont pas reconnaissables. À part la rousse, sorte de feu rouge dans le fog. Le couple a vite disparu ; seules restent les trois filles qui décident d’attendre un peu dans la moiteur, quitte à en ressortir complètement asséchées, avant de battre en retraite vers le spa, le plus discrètement possible afin de se fondre parmi les baigneurs.

Une heure plus tard, Ghislaine et Cathy sont attablées devant une pizza, annulant ainsi le profit de la sudation, et ne cessent de rire de leur aventure.
— Tu as vu les gars, comme ils balisaient ? Il ne doit pas être marrant, le coach. À mon avis, ils vont être consignés ce soir, lâche Cathy.

Dehors, la neige a cessé et les pistes d’une blancheur immaculée s’offrent à leurs skis. Il leur reste une journée ; elles vont en profiter à fond. Le sexe ? Pas question de partir d’ici sans avoir pris son pied une dernière fois car après, boulot-boulot. Cathy glisse à mi-voix à son amie :
— Je connais un moniteur qui a intérêt à être à la hauteur, ce soir…

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