Telle mère, telle fille
Récit érotique écrit par Micky [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 22-07-2024 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Telle mère, telle fille
Grand-mère ! Le jour où Magali apprit que sa fille Margot allait avoir un enfant, elle fut d'emblée partagée entre deux sentiments. D'un côté, heureuse pour sa fille, heureuse aussi d'un petit nouveau dans la famille. De l'autre, un sacré coup de vieux. Elle se sentit aussitôt renvoyée dans le camp des seniors alors qu'elle se voyait encore jeune, pleine d'allant, sexuellement désirable avec son petit corps tonique, presque sans défauts, entretenu jalousement par une discipline alimentaire et physique sans failles. Divorcée depuis dix ans, elle n'avait jamais manqué d'amants pour satisfaire son appétit de sexe. Mais qu'allaient-ils penser et dire une fois qu'ils sauraient qu'elle était "mamie" ? Elle en frissonnait d'avance.
Elle s'en ouvrit aussitôt à son amie Corinne. Elle aussi avait passé le cap de la mère à la grand-mère, un peu plus tôt. Cette grande blonde à mèches faisait dix ans de moins que son âge. Mariée mais avec une conception élastique de la conjugalité, elle avait toujours trouvé chez Magali des alibis pour ses escapades sexuelles, ce qui avait provoqué une vraie complicité chez l'une et l'autre. "Tant que je peux baiser, je baise", répétait Corinne à son amie, qui la démentait d'autant moins qu'elle aussi entendait jouir de son corps le plus longtemps possible. Elles s'étaient d'ailleurs trouvées parfois dans la même chambre, voire dans le même lit, avec deux partenaires aussi vite servis qu'oubliés : l'une parce qu'elle ne voulait surtout pas s'attacher, l'autre parce qu'elle n'entendait pas divorcer.
- Ne te prends pas la tête avec ça. Tu es grand-mère, et alors ? Moi aussi et ça ne m'empêche en rien, tu es quand même bien placée pour le savoir, dit la grande blonde au petit format tonique.
Magali n'était qu'à moitié convaincue. Elle avait en effet cinq ans de plus que son amie et à un certain âge, qu'elle cachait jalousement, ça compte. Elle s'inspecta devant son miroir, nue. Se tourna et se retourna. Ses seins tombaient un peu mais rebiquaient encore vers le haut. Son petit cul comportait certes quelques fossettes de cellulite mais restait ferme. Ses rides demeuraient acceptables, celles du front dissimulées par son ample chevelure châtain souvent ramenée en chignon. Sa fierté, c'étaient ses jambes avec des cuisses finement musclées et des mollets nerveux, suite à son goût pour le footing. L'expérience récente, avec un métis supérieurement membré, de vingt ans plus jeune qu'elle, lui avait appris qu'elle secrétait encore abondamment des hormones femelles, qu'elle renforçait néanmoins par un gel vaginal. Elle prenait du plaisir au lit et surtout en donnait par un comportement de feu qui transformait sa couche en chantier. Elle ne faisait plus l'amour. Elle baisait et plus elle baisait, plus elle aimait ça. Pourvu que sa situation de grand-mère nouvelle ne change rien !
Elle devait justement recevoir prochainement un dénommé Laurent, qui l'avait draguée à son cabinet de podologue où il s'était fait faire des semelles orthopédiques. Un quadra sportif, athlétique, pratiquant lui aussi la course à pied, qui l'avait invitée à dîner. Selon sa pratique habituelle, elle n'avait pas voulu coucher le premier soir, histoire de maintenir la pression. C'était peut-être une erreur maintenant qu'elle était "vieille". Mais après tout, elle n'était pas obligée de le mettre au courant, en admettant qu'il n'en saurait rien. Il la jugeait probablement plus jeune qu'elle ne l'était réellement, vu son physique menu et ferme, à moins qu'il ait un faible pour les "matures", ce qui n'était pas exclu non plus. En tout était de cause, il faudrait qu'elle lui offre un festival, qu'il lui fasse tout ce qui lui passerait par la tête puisque dans celle-ci, elle était "une femme qui baise", c'était l'évidence même.
Sa pratique était d'inviter un futur amant à dîner non au restaurant mais chez elle. Elle voulait tout maîtriser, le repas, le vin, sa tenue et la proximité du lit. Le dénommé Laurent arriva avec un bouquet de fleurs, ce qui était le moins, et une bouteille de vin, ce qui était un plus. Elle l'accueillit vêtue d'une mini robe transparente avec soutif et slip blancs soulignant sa féminité sans la rendre trop ostentatoire. Elle avait détaché ses cheveux pour se rendre plus "glamour" qu'au travail. Le repas commença de manière plutôt décontractée avec une suite de plats type tapas plutôt épicés, arrosés d'un capiteux bourgogne. Les deux convives savaient qu'ils allaient baiser ensuite et cette attente participait de leur excitation contenue.
C'est alors qu'on sonna à la porte. Qui était donc cet importun ? C'était Margot, la fille de Magali, une petite brune piquante aussi tonique que sa mère. Elle était venue "lui faire une bise en passant et lui montrer son ventre". De fait, elle ressemblait de plus en plus à une parturiente. Accueillie par un sourire crispé de sa mère, Margot, constatant en outre sa tenue, l'interrogea :
- Je te dérange peut-être ?
- Euh... non, pas du tout, entre cinq minutes.
Magali ne pouvait pas faire autrement que procéder aux présentations. Laurent, constatant l'état de la fille, la félicita ainsi que sa mère pour cet heureux événement. Cette dernière ne savait plus où se mettre. Elle aurait maudit sa fille si elle n'avait pas été obligée de faire bonne figure. Margot comprit qu'elle avait fait une gaffe de surgir sans s'annoncer alors que sa mère était manifestement dans un rendez-vous galant.
- Bon, je m'en vais, je ne vous dérange pas plus. A bientôt maman.
Et Magali ferma la porte derrière elle.
La conversation qui suivit entre elle et Laurent n'était pas vraiment prévue. Laurent eut beau la complimenter sur son état de "jolie grand-mère", Magali sentait son rendez-vous érotique très mal barré. Elle se renfrogna et son interlocuteur comprit qu'il ne baiserait pas ce soir là pour une raison dont il se crut coupable. Il la remercia pour son dîner "vraiment excellent " et s'échappa la queue entre les jambes, si on peut dire. Magali était effondrée. Elle partit se coucher, regarda une vidéo porno sur son portable en se masturbant avec son gode (une mature se faisant sauter par un grand noir supérieurement membré, ce qui l'inspirait toujours), jouit modérément et finit par s'endormir en maudissent son âge.
*****
Dès le lendemain, elle raconta sa mésaventure à Corinne, qui fut sévère :
- Mais tu es conne ou quoi ? Ce mec se fichait probablement que tu sois grand-mère, il voulait juste te baiser. Tu vas me faire le plaisir de le relancer.
Magali encaissa. Corinne avait sans doute raison. Il faudrait qu'elle réfléchisse à la situation, déjà donner une explication à Laurent qui serait probablement vaseuse car elle se voyait mal exciper de son statut de future grand-mère.
Là dessus, Margot l'appela pour s'excuser à nouveau d'avoir interrompu son "diner intime", ce que Magali balaya de la main d'un "c'était juste une relation amicale".
- Tu vas te changer les idées. Je t'invite à une soirée entre potes pour fêter mon gros ventre.
Magali hésita. Se retrouver la plus âgée d'un groupe de trentenaires l'intéressait moyennement. Elle serait vraiment la future grand-mère. Mais pouvait-elle refuser à sa fille une invitation aussi généreuse ? Elle accepta.
Elle hésita sur la tenue à adopter. Jean, tee shirt et baskets pour se rajeunir ? Mais n'était-ce pas ridicule ? Finalement, elle jugea plus honnête d'assumer son âge et de "faire femme mûre." Elle sortit de son armoire une mini robe à décolleté carré dans le dos, assez bas. Donc sans soutif, elle pouvait se le permettre vu la tenue de ses seins. Elle chaussa des talons ouverts car il faisait chaud. Elle conserva son chignon et se maquilla légèrement les yeux en plus du rouge à lèvres. Elle se trouva assez classe, peut-être trop vu les amis de Margot.
Ce fut le contraire. Tout le monde admira son allure et du reste, l'assistance n'était pas aussi débraillée qu'elle l'aurait cru. Il y avait notamment un quadra à cheveux grisonnants, bien sapé, qui lui tapa tout de suite dans l'œil et elle ne tarda pas à comprendre que c'était réciproque. C'était le supérieur hiérarchique de Margot et il s'appelait Félix. Ils parlèrent en aparté, dansèrent ensemble, rirent en même temps, bref l'évidence était qu'ils n'allaient pas en rester là.
Elle était à pied et il la raccompagna en voiture jusqu'à chez elle. Au moment de se séparer, elle lui proposa le plus naturellement du monde de boire un verre chez elle. Tous deux savaient que ce n'était qu'un prétexte à copulation. Un homme et une femme d'expérience ne se perdent pas en faux-semblants lorsqu'il s'agit de sexe. Ils allaient baiser et ils le savaient. Ils s'en amusaient même dans l'ascenseur vers l'appartement de Magali. C'est là que Félix l'embrassa pour la première fois.
Dans l'appartement, Magali ne sortit même pas les verres. Elle prit Félix par la main et le guida vers sa chambre. Ils s'effondrèrent sur le lit et entamèrent leurs travaux d'approche, mains baladeuses, bouches humides. Il arriva le moment où elle se releva pour retirer sa robe et son slip pendant qu'il se débarrassait de son pantalon, dévoilant une verge bien tendue. Magali aimait découvrir la queue de son futur amant et Félix avait hâte de voir ses seins et son cul. Elle n'était pas du genre à éteindre la lumière. Elle voulait voir et acceptait d'être vue. Elle réfréna son envie d'être pénétrée pour découvrir de plus près le gland qui allait la rendre vraiment femme. Il comprit d'emblée qu'elle était une grande suceuse et qu'il devrait se maitriser pour ne pas lui éjaculer à la figure.
Puis Magali bascula sur le dos et ouvrit les cuisses. Elle regretta de ne pas avoir osé faire poser un miroir sur le plafond de sa chambre, comme l'avait osé Corinne. Elle aurait bien aimé voir ce joli petit cul d'homme remuer en la besognant. Elle se contenta d'y poser les mains quand il s'enfonça en elle et d'accompagner ses coups de boutoir en empoignant les deux globes musclés. Ils se mirent à baiser comme un homme et une femme baisent lorsque le désir l'a emporté sur toute autre considération. Ils changèrent plusieurs fois de position, observèrent parfois quelques pauses avant de remettre ça, elle juteuse, lui tendu, leurs sexes en symbiose parfaite.
Magali ne pensait plus à son âge. Seulement à son corps et au membre viril qui le réjouissait. Elle était ravie d'avoir dans son lit un vrai cochon, pas un de ces éjaculateurs précoces qui l'avaient parfois fait maudire le genre masculin. Félix s'occupait de son anus autant que de sa chatte et elle fit de même pour ne pas être en reste. Il sodomisa son petit cul bien ouvert et elle lui massa la prostate tout en suçant sa queue. Ils baisaient. Ce clébard de Félix avait senti d'emblée chez Magali la chienne, question d'intuition. Mais ce qu'elle ne savait pas, c'est qu'il avait baisé Margot avant qu'elle ne convole avec un autre. Il avait découvert chez cette jeune fille un tempérament de feu. La mère, il en était sûr, était aussi ardente au plumard. Et c'est ce qu'il était en train de vérifier et de confirmer. Il se fichait bien qu'elle soit potentiellement grand mère. Elle enchantait sa bite par ses coups de reins, son jeu de jambes, ses doigts vicieux, ses propos crus, son absence de tabous. Il voyait dans son expression au lit la même que celle de sa fille, comme une sorte d'atavisme, et c'était l'une des causes de son plaisir de mâle. Si l'âge de Magali devait intervenir, c'était plus un bonus qu'un malus.
Quant à elle, elle se gavait de sa queue, s'ouvrait en s'écartant les chevilles, gémissait, roucoulait, piaillait, exultait, offrant son corps à une fête de sexe comme à ses plus beaux jours. Elle jouissait. Un flot de sperme conclut ces ébats torrides qui les laissa vidés mais heureux. Et Magali passa le reste de la nuit avec un homme, ce qui ne lui était pas arrivée depuis longtemps.
******
Corinne voulut tout savoir de cette relation et Magali s'y conforma, ne lésinant pas sur les détails, ce qui excita son amie au point qu'elle dit :
- J'ai hâte que mon mari rentre du boulot et j'espère qu'il est en forme. J'ai une de ces envies de baiser... Tu m'as mis le feu avec ce Félix, un sacré bon coup dis donc.
Magali ne démentit pas. Elle se demanda quelle attitude devait-elle désormais adopter avec ce "coup d'un soir" qui lui avait fait complètement oublier qu'elle allait être grand-mère.
L'irruption de sa fille Margot, qui cette fois s'était annoncée, ajouta à sa perplexité. Elle aussi voulait savoir comment s'était terminé sa soirée.
- Vous avez fait l'amour ? demanda-t-elle tout de go.
- Tu es bien indiscrète. Qu'est-ce que ça peut te faire ?
- Ben, ça m'intéresse de savoir si ma mère fait toujours l'amour, voilà.
- Tu veux vraiment savoir ? Eh bien, on n'a pas fait l'amour. On a baisé comme deux bêtes de sexe. Tu es contente ?
Margot pouffa de rire. Elle ajouta :
- Tu ne m'étonnes pas. Félix est un super coup.
- Ah parce que... Vous avez couché ensemble ?
- Ben oui, quand j'ai suivi mon stage et c'est même grâce à ça que j'ai été embauchée.
- Tiens donc. Première nouvelle. Mademoiselle a couché avec son patron. Et elle couche encore ?
- Euh... Joker.
- Non, pas joker. Tu es mariée et enceinte. Il te baise oui ou non ?
- Ne t'énerve pas. C'est rare mais ça arrive, oui. Pour faire tomber le stress du boulot, mais ça ne va pas plus loin.
- Sur le bureau ou sur la moquette ?
- Bah... les deux mais n'insiste pas.
- C'est toi qui as abordé le sujet, pas moi. Bon, tu peux dire à ton baiseur que ce n'est pas la peine qu'il vienne me chercher. C'est fini entre nous. Si j'avais su que je passais derrière ma fille, il ne se serait rien passé.
- Comme tu voudras mais sache qu'au cas où vous voudriez vous revoir, il ne se passerait plus rien entre Félix et moi, à part les relations professionnelles.
La discussion, tendue, en resta là. L'apprenant, Corinne ne put s'empêcher d'éclater de rire.
- C'est bien ta fille, Margot. Elle aime autant le cul que toi. Vous devriez faire un plan à trois avec ce Félix.
- Tu n'es pas drôle. Et moi qui croyais avoir rajeuni. Tu parles. En fait, il voulait sauter la mère après la fille pour comparer, le salaud.
- Et alors ? Tu as pris ton pied, non ? Ne joue pas les vertueuses, ça ne te va pas du tout.
Magali médita la réflexion de son amie, pas totalement dénuée de fondement. Après tout, elle ne pouvait pas évacuer le fait que ce quadragénaire amateur de femmes et bel homme de surcroit, et bon baiseur en plus, n'avait espéré rien d'autre qu'un coup d'un soir avec son assentiment. Qu'il ait sauté d'autres partenaires avant elle, y compris sa fille, sans l'avoir connue auparavant, elle Magali, relevait de l'évidence. Elle commença à se demander si sa position rigide n'était pas un peu ridicule. Ne l'avait-il pas fait jouir, toute grand-mère potentielle qu'elle était ? C'était quand même à porter à son crédit.
Quelques jours plus tard, alors qu'elle s'apprêtait à aller se coucher, on frappa à sa porte. C'était Félix, avec un bouquet de fleurs. Les résolutions de Magali fondirent aussitôt. Et quelques minutes plus tard, ils étaient nus au lit.
Elle s'en ouvrit aussitôt à son amie Corinne. Elle aussi avait passé le cap de la mère à la grand-mère, un peu plus tôt. Cette grande blonde à mèches faisait dix ans de moins que son âge. Mariée mais avec une conception élastique de la conjugalité, elle avait toujours trouvé chez Magali des alibis pour ses escapades sexuelles, ce qui avait provoqué une vraie complicité chez l'une et l'autre. "Tant que je peux baiser, je baise", répétait Corinne à son amie, qui la démentait d'autant moins qu'elle aussi entendait jouir de son corps le plus longtemps possible. Elles s'étaient d'ailleurs trouvées parfois dans la même chambre, voire dans le même lit, avec deux partenaires aussi vite servis qu'oubliés : l'une parce qu'elle ne voulait surtout pas s'attacher, l'autre parce qu'elle n'entendait pas divorcer.
- Ne te prends pas la tête avec ça. Tu es grand-mère, et alors ? Moi aussi et ça ne m'empêche en rien, tu es quand même bien placée pour le savoir, dit la grande blonde au petit format tonique.
Magali n'était qu'à moitié convaincue. Elle avait en effet cinq ans de plus que son amie et à un certain âge, qu'elle cachait jalousement, ça compte. Elle s'inspecta devant son miroir, nue. Se tourna et se retourna. Ses seins tombaient un peu mais rebiquaient encore vers le haut. Son petit cul comportait certes quelques fossettes de cellulite mais restait ferme. Ses rides demeuraient acceptables, celles du front dissimulées par son ample chevelure châtain souvent ramenée en chignon. Sa fierté, c'étaient ses jambes avec des cuisses finement musclées et des mollets nerveux, suite à son goût pour le footing. L'expérience récente, avec un métis supérieurement membré, de vingt ans plus jeune qu'elle, lui avait appris qu'elle secrétait encore abondamment des hormones femelles, qu'elle renforçait néanmoins par un gel vaginal. Elle prenait du plaisir au lit et surtout en donnait par un comportement de feu qui transformait sa couche en chantier. Elle ne faisait plus l'amour. Elle baisait et plus elle baisait, plus elle aimait ça. Pourvu que sa situation de grand-mère nouvelle ne change rien !
Elle devait justement recevoir prochainement un dénommé Laurent, qui l'avait draguée à son cabinet de podologue où il s'était fait faire des semelles orthopédiques. Un quadra sportif, athlétique, pratiquant lui aussi la course à pied, qui l'avait invitée à dîner. Selon sa pratique habituelle, elle n'avait pas voulu coucher le premier soir, histoire de maintenir la pression. C'était peut-être une erreur maintenant qu'elle était "vieille". Mais après tout, elle n'était pas obligée de le mettre au courant, en admettant qu'il n'en saurait rien. Il la jugeait probablement plus jeune qu'elle ne l'était réellement, vu son physique menu et ferme, à moins qu'il ait un faible pour les "matures", ce qui n'était pas exclu non plus. En tout était de cause, il faudrait qu'elle lui offre un festival, qu'il lui fasse tout ce qui lui passerait par la tête puisque dans celle-ci, elle était "une femme qui baise", c'était l'évidence même.
Sa pratique était d'inviter un futur amant à dîner non au restaurant mais chez elle. Elle voulait tout maîtriser, le repas, le vin, sa tenue et la proximité du lit. Le dénommé Laurent arriva avec un bouquet de fleurs, ce qui était le moins, et une bouteille de vin, ce qui était un plus. Elle l'accueillit vêtue d'une mini robe transparente avec soutif et slip blancs soulignant sa féminité sans la rendre trop ostentatoire. Elle avait détaché ses cheveux pour se rendre plus "glamour" qu'au travail. Le repas commença de manière plutôt décontractée avec une suite de plats type tapas plutôt épicés, arrosés d'un capiteux bourgogne. Les deux convives savaient qu'ils allaient baiser ensuite et cette attente participait de leur excitation contenue.
C'est alors qu'on sonna à la porte. Qui était donc cet importun ? C'était Margot, la fille de Magali, une petite brune piquante aussi tonique que sa mère. Elle était venue "lui faire une bise en passant et lui montrer son ventre". De fait, elle ressemblait de plus en plus à une parturiente. Accueillie par un sourire crispé de sa mère, Margot, constatant en outre sa tenue, l'interrogea :
- Je te dérange peut-être ?
- Euh... non, pas du tout, entre cinq minutes.
Magali ne pouvait pas faire autrement que procéder aux présentations. Laurent, constatant l'état de la fille, la félicita ainsi que sa mère pour cet heureux événement. Cette dernière ne savait plus où se mettre. Elle aurait maudit sa fille si elle n'avait pas été obligée de faire bonne figure. Margot comprit qu'elle avait fait une gaffe de surgir sans s'annoncer alors que sa mère était manifestement dans un rendez-vous galant.
- Bon, je m'en vais, je ne vous dérange pas plus. A bientôt maman.
Et Magali ferma la porte derrière elle.
La conversation qui suivit entre elle et Laurent n'était pas vraiment prévue. Laurent eut beau la complimenter sur son état de "jolie grand-mère", Magali sentait son rendez-vous érotique très mal barré. Elle se renfrogna et son interlocuteur comprit qu'il ne baiserait pas ce soir là pour une raison dont il se crut coupable. Il la remercia pour son dîner "vraiment excellent " et s'échappa la queue entre les jambes, si on peut dire. Magali était effondrée. Elle partit se coucher, regarda une vidéo porno sur son portable en se masturbant avec son gode (une mature se faisant sauter par un grand noir supérieurement membré, ce qui l'inspirait toujours), jouit modérément et finit par s'endormir en maudissent son âge.
*****
Dès le lendemain, elle raconta sa mésaventure à Corinne, qui fut sévère :
- Mais tu es conne ou quoi ? Ce mec se fichait probablement que tu sois grand-mère, il voulait juste te baiser. Tu vas me faire le plaisir de le relancer.
Magali encaissa. Corinne avait sans doute raison. Il faudrait qu'elle réfléchisse à la situation, déjà donner une explication à Laurent qui serait probablement vaseuse car elle se voyait mal exciper de son statut de future grand-mère.
Là dessus, Margot l'appela pour s'excuser à nouveau d'avoir interrompu son "diner intime", ce que Magali balaya de la main d'un "c'était juste une relation amicale".
- Tu vas te changer les idées. Je t'invite à une soirée entre potes pour fêter mon gros ventre.
Magali hésita. Se retrouver la plus âgée d'un groupe de trentenaires l'intéressait moyennement. Elle serait vraiment la future grand-mère. Mais pouvait-elle refuser à sa fille une invitation aussi généreuse ? Elle accepta.
Elle hésita sur la tenue à adopter. Jean, tee shirt et baskets pour se rajeunir ? Mais n'était-ce pas ridicule ? Finalement, elle jugea plus honnête d'assumer son âge et de "faire femme mûre." Elle sortit de son armoire une mini robe à décolleté carré dans le dos, assez bas. Donc sans soutif, elle pouvait se le permettre vu la tenue de ses seins. Elle chaussa des talons ouverts car il faisait chaud. Elle conserva son chignon et se maquilla légèrement les yeux en plus du rouge à lèvres. Elle se trouva assez classe, peut-être trop vu les amis de Margot.
Ce fut le contraire. Tout le monde admira son allure et du reste, l'assistance n'était pas aussi débraillée qu'elle l'aurait cru. Il y avait notamment un quadra à cheveux grisonnants, bien sapé, qui lui tapa tout de suite dans l'œil et elle ne tarda pas à comprendre que c'était réciproque. C'était le supérieur hiérarchique de Margot et il s'appelait Félix. Ils parlèrent en aparté, dansèrent ensemble, rirent en même temps, bref l'évidence était qu'ils n'allaient pas en rester là.
Elle était à pied et il la raccompagna en voiture jusqu'à chez elle. Au moment de se séparer, elle lui proposa le plus naturellement du monde de boire un verre chez elle. Tous deux savaient que ce n'était qu'un prétexte à copulation. Un homme et une femme d'expérience ne se perdent pas en faux-semblants lorsqu'il s'agit de sexe. Ils allaient baiser et ils le savaient. Ils s'en amusaient même dans l'ascenseur vers l'appartement de Magali. C'est là que Félix l'embrassa pour la première fois.
Dans l'appartement, Magali ne sortit même pas les verres. Elle prit Félix par la main et le guida vers sa chambre. Ils s'effondrèrent sur le lit et entamèrent leurs travaux d'approche, mains baladeuses, bouches humides. Il arriva le moment où elle se releva pour retirer sa robe et son slip pendant qu'il se débarrassait de son pantalon, dévoilant une verge bien tendue. Magali aimait découvrir la queue de son futur amant et Félix avait hâte de voir ses seins et son cul. Elle n'était pas du genre à éteindre la lumière. Elle voulait voir et acceptait d'être vue. Elle réfréna son envie d'être pénétrée pour découvrir de plus près le gland qui allait la rendre vraiment femme. Il comprit d'emblée qu'elle était une grande suceuse et qu'il devrait se maitriser pour ne pas lui éjaculer à la figure.
Puis Magali bascula sur le dos et ouvrit les cuisses. Elle regretta de ne pas avoir osé faire poser un miroir sur le plafond de sa chambre, comme l'avait osé Corinne. Elle aurait bien aimé voir ce joli petit cul d'homme remuer en la besognant. Elle se contenta d'y poser les mains quand il s'enfonça en elle et d'accompagner ses coups de boutoir en empoignant les deux globes musclés. Ils se mirent à baiser comme un homme et une femme baisent lorsque le désir l'a emporté sur toute autre considération. Ils changèrent plusieurs fois de position, observèrent parfois quelques pauses avant de remettre ça, elle juteuse, lui tendu, leurs sexes en symbiose parfaite.
Magali ne pensait plus à son âge. Seulement à son corps et au membre viril qui le réjouissait. Elle était ravie d'avoir dans son lit un vrai cochon, pas un de ces éjaculateurs précoces qui l'avaient parfois fait maudire le genre masculin. Félix s'occupait de son anus autant que de sa chatte et elle fit de même pour ne pas être en reste. Il sodomisa son petit cul bien ouvert et elle lui massa la prostate tout en suçant sa queue. Ils baisaient. Ce clébard de Félix avait senti d'emblée chez Magali la chienne, question d'intuition. Mais ce qu'elle ne savait pas, c'est qu'il avait baisé Margot avant qu'elle ne convole avec un autre. Il avait découvert chez cette jeune fille un tempérament de feu. La mère, il en était sûr, était aussi ardente au plumard. Et c'est ce qu'il était en train de vérifier et de confirmer. Il se fichait bien qu'elle soit potentiellement grand mère. Elle enchantait sa bite par ses coups de reins, son jeu de jambes, ses doigts vicieux, ses propos crus, son absence de tabous. Il voyait dans son expression au lit la même que celle de sa fille, comme une sorte d'atavisme, et c'était l'une des causes de son plaisir de mâle. Si l'âge de Magali devait intervenir, c'était plus un bonus qu'un malus.
Quant à elle, elle se gavait de sa queue, s'ouvrait en s'écartant les chevilles, gémissait, roucoulait, piaillait, exultait, offrant son corps à une fête de sexe comme à ses plus beaux jours. Elle jouissait. Un flot de sperme conclut ces ébats torrides qui les laissa vidés mais heureux. Et Magali passa le reste de la nuit avec un homme, ce qui ne lui était pas arrivée depuis longtemps.
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Corinne voulut tout savoir de cette relation et Magali s'y conforma, ne lésinant pas sur les détails, ce qui excita son amie au point qu'elle dit :
- J'ai hâte que mon mari rentre du boulot et j'espère qu'il est en forme. J'ai une de ces envies de baiser... Tu m'as mis le feu avec ce Félix, un sacré bon coup dis donc.
Magali ne démentit pas. Elle se demanda quelle attitude devait-elle désormais adopter avec ce "coup d'un soir" qui lui avait fait complètement oublier qu'elle allait être grand-mère.
L'irruption de sa fille Margot, qui cette fois s'était annoncée, ajouta à sa perplexité. Elle aussi voulait savoir comment s'était terminé sa soirée.
- Vous avez fait l'amour ? demanda-t-elle tout de go.
- Tu es bien indiscrète. Qu'est-ce que ça peut te faire ?
- Ben, ça m'intéresse de savoir si ma mère fait toujours l'amour, voilà.
- Tu veux vraiment savoir ? Eh bien, on n'a pas fait l'amour. On a baisé comme deux bêtes de sexe. Tu es contente ?
Margot pouffa de rire. Elle ajouta :
- Tu ne m'étonnes pas. Félix est un super coup.
- Ah parce que... Vous avez couché ensemble ?
- Ben oui, quand j'ai suivi mon stage et c'est même grâce à ça que j'ai été embauchée.
- Tiens donc. Première nouvelle. Mademoiselle a couché avec son patron. Et elle couche encore ?
- Euh... Joker.
- Non, pas joker. Tu es mariée et enceinte. Il te baise oui ou non ?
- Ne t'énerve pas. C'est rare mais ça arrive, oui. Pour faire tomber le stress du boulot, mais ça ne va pas plus loin.
- Sur le bureau ou sur la moquette ?
- Bah... les deux mais n'insiste pas.
- C'est toi qui as abordé le sujet, pas moi. Bon, tu peux dire à ton baiseur que ce n'est pas la peine qu'il vienne me chercher. C'est fini entre nous. Si j'avais su que je passais derrière ma fille, il ne se serait rien passé.
- Comme tu voudras mais sache qu'au cas où vous voudriez vous revoir, il ne se passerait plus rien entre Félix et moi, à part les relations professionnelles.
La discussion, tendue, en resta là. L'apprenant, Corinne ne put s'empêcher d'éclater de rire.
- C'est bien ta fille, Margot. Elle aime autant le cul que toi. Vous devriez faire un plan à trois avec ce Félix.
- Tu n'es pas drôle. Et moi qui croyais avoir rajeuni. Tu parles. En fait, il voulait sauter la mère après la fille pour comparer, le salaud.
- Et alors ? Tu as pris ton pied, non ? Ne joue pas les vertueuses, ça ne te va pas du tout.
Magali médita la réflexion de son amie, pas totalement dénuée de fondement. Après tout, elle ne pouvait pas évacuer le fait que ce quadragénaire amateur de femmes et bel homme de surcroit, et bon baiseur en plus, n'avait espéré rien d'autre qu'un coup d'un soir avec son assentiment. Qu'il ait sauté d'autres partenaires avant elle, y compris sa fille, sans l'avoir connue auparavant, elle Magali, relevait de l'évidence. Elle commença à se demander si sa position rigide n'était pas un peu ridicule. Ne l'avait-il pas fait jouir, toute grand-mère potentielle qu'elle était ? C'était quand même à porter à son crédit.
Quelques jours plus tard, alors qu'elle s'apprêtait à aller se coucher, on frappa à sa porte. C'était Félix, avec un bouquet de fleurs. Les résolutions de Magali fondirent aussitôt. Et quelques minutes plus tard, ils étaient nus au lit.
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3 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Cette histoire ressemble beaucoup à celle que je vis avec Vesna, très complices voire « fusionnelles » : on est toujours ensemble, on lit les mêmes revues, on se prête certains de nos dessous, nos objets. Dans la rue, on se tient par la main, bras dessus bras dessous, ou encore enlacées par la taille.
Merci Micky pour cet excellent texte, qui confirme que le plaisir n'est pas affaire d'âge, mais largement de volonté.
La complicité entre la mère et la fille est aussi très forte et très intéressante.
La complicité entre la mère et la fille est aussi très forte et très intéressante.
Tout est dit dans le titre ou presque...
Micky, merci pour cet excellent texte très explicite sur la vie sexuelle de cette mature qui va devenir grand-mère.
Didier
Micky, merci pour cet excellent texte très explicite sur la vie sexuelle de cette mature qui va devenir grand-mère.
Didier