Témoignage d’une corde (chapitre 12)

- Par l'auteur HDS Artman -
Récit érotique écrit par Artman [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : Témoignage d’une corde (chapitre 12) Histoire érotique Publiée sur HDS le 22-07-2012 dans la catégorie Dominants et dominés
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Témoignage d’une corde (chapitre 12)
Témoignage d’une corde (chapitre 12)

Participe passé.

Imaginez les senteurs d’un parc après le passage soudain de l’orage. Percevez-vous cette atmosphère si particulière où le temps s’immobilise, les couleurs deviennent plus intenses et les sons s’assourdissent ? Assis l’un en face de l’autre dans la salle de ce restaurant en étage qu’ils aimaient fréquenter, ils ressentaient le relâchement de l’emprise du quotidien, le souffle de leur liberté qui revenait à eux. Un voile invisible les enveloppait et, protégés de l’extérieur, ils percevaient le réveil de leurs sens exacerbés, entièrement dévolus à leur mutuelle perception. Se retrouver c’était renouer avec cette expérience précédente dont ils restaient si intimement imprégnés. Il avait alors redouté que la mécanique de son scénario ne s’enraille par un incident imprévu tandis qu’elle avait été kidnappée par celui-ci pour être portée aux sommets de plaisirs inconnus jusqu’alors. Même si je regrette notre rôle marginal dans cette rencontre (il me reste quelques tours dans le sac pour ma revanche !), je comprenais que succéder à cet épisode n’était pas chose aisée. Eux le vivaient manifestement bien. Nina lui confiait la profondeur de ses émotions même si elle éprouvait quelques difficultés pour trouver les mots justes. Effets collatéraux de la peur soudaine, de la déstabilisation profonde de la découverte du double-jeu de son Maître et de la nouveauté de la situation sensuelle rencontrée, son corps s’exprimait avec plus d’exactitude que son esprit. Attablée face à lui, elle éprouvait la frustration de ne pouvoir partager spontanément le bonheur qui, ce soir-là, avait prit brutalement possession d’elle. Elle aurait aimé simplement se blottir dans ses bras et lui murmurer une nouvelle fois son attachement.
Il aimait la voir ainsi. En l’observant, il voyait en elle son âme d’enfant. Elle montrait tantôt une contrariété joyeuse, tantôt une béatitude candide qui, l’une comme l’autre, la rendaient émouvante. Il ne doutait pas de sa sincérité spontanée. Il éprouvait le contentement de recevoir sa confiance brute, dépourvue de condition ou de restriction. Par sa déférence, elle flattait et encourageait sa domination.
Les autres convives disparaissaient progressivement et ils ne tardèrent pas à découvrir qu’ils étaient les derniers clients. La présence intrusive du serveur, désormais tout à leur service, hâta la fin de leur repas.

Nous ressentions qu’elle voulait retrouver rapidement une intimité charnelle avec notre Maître tandis que lui avait pour intention de surseoir à cette échéance. Certes, il la désirait aussi ; mais il éprouvait davantage de plaisir à faire patienter celui de Nina qu’à faire éclore le sien. Avant d’atteindre le vestiaire, il plongea sa main dans sa poche pour saisir un objet qu’il remit discrètement dans celle de la femme qui avait le courage de déclarer, plus que jamais, sa soumission consentie.
-« Passe au toilettes pour le prendre en toi. Je t’attends ici ».
Nina s’éclipsa. En fermant la porte des toilettes derrière elle, elle regarda en souriant le rosebud qu’elle connaissait si bien. Tout en se séparant de sa culotte, elle le prit en bouche pour réchauffer et lubrifier le métal impassible au sort qui allait lui être réservé. Elle ne savait quel prélude avait débuté pour ce nouveau rendez-vous mais elle ne pouvait ignorer le désir qui la gagnait. Le vagin exhalait ses secrétions comme pour lancer un appel à l’aide (c’est si rare qu’elles soient appelées) et le clitoris avait pris la pose au mépris de la pause. Le bijou passa de lèvres en lèvres puis il s’égara dans cette intimité accueillante où il était tout à son aise. Avant de perdre le contrôle sur ce terrain glissant, elle présenta le rosebud face à son anus qui l’absorba facilement. Dans une fausse expiration d’aisance, Nina se rhabilla à la hâte.
Le visage de Nina avait changé. Une expression un peu plus tendue la caractérisait. Il le lui fit remarquer avant de lui indiquer qu’ils allaient laisser les bagages au vestiaire le temps d’une promenade dans le quartier. Cette perspective ne sembla pas enchanter notre soumise, ou bien sut-elle parfaitement dissimuler son approbation, à la façon dont elle cachait notre compagnon de jeu qu’elle étranglait de toutes sa force profonde…
Dans ce quartier commerçant, plusieurs grands magasins ont pignon sur rue. Ils entrèrent dans l’un d’eux et Nina sentit son inquiétude virer à l’angoisse. Elle voyait déjà le personnel de sécurité accourir au son strident du portique de sécurité réagissant à la masse métallique qu’elle hébergeait clandestinement. La perspective d’un nouveau scénario déstabilisant la tourmentait. Elle s’imaginait escortée jusqu’à un bureau glauque en entresol, où son entre-jambes allait être fouillé sans ménagement par une femme autoritaire. La découverte de l’intrus trahissant sa nature profonde ne marquerait pas la fin de son tourment mais bien le début d’une turpitude insurmontable. L’idée d’être séparée de son Maître pour subir un interrogatoire avilissant l’effrayait. Où s’arrête la réalité du quotidien ? Où débute celle de leurs jeux ? Comment identifier seule les frontières de ces mondes si proches et pourtant si différents ?
Une main sure appuya sur ses reins et le portique fut franchi. Il resta muet d’admiration par tant d’audace. Quoi que, s’il avait eu la sensibilité de ses cousins d’aéroport, il aurait sifflé, mais certainement d’admiration aussi. Soulagée, elle lui adressa un regard empli de reconnaissance de n’avoir pas eu la mauvaise idée de ce scénario cauchemardesque qui occupait ses pensées. Il lui répondit par un sourire rassurant qui cachait mal qu’il n’avait pas vécu les affres qu’elle avait ressentis lors du contrôle d’entrée. La culotte et le rosebud pouvaient cependant mesurer les effets du stress ressenti par l’élévation simultanée de la température et de l’hydrométrie en cette partie de son corps. Microclimat ? Micro-climax affirmeraient les anglo-saxons !

L’étage des collections de vêtements pour femmes les attira. Au gré des mannequins, des présentoirs et des étagères, ils contemplaient les collections des différentes marques. Il lui indiquait ce qu’il préférait en cherchant à justifier ses goûts mais elle peinait à l’écouter et surtout à le suivre. Soucieux du peu d’intérêt qu’elle témoignait, il allait l’interroger lorsqu’elle lui confessa ses difficultés pour retenir une jouissance incongrue. Le « Puis-je vous apporter mon aide ? » d’une vendeuse attentionnée ne manqua pas de les faire rire et de détendre quelque peu Nina.
Il cherchait à lui faire essayer un vêtement. Il s’arrêta sur des ensembles veste et pantalon dans les tons gris rehaussés par un bord fin en velours noir. Nina déclina l’offre d’essai. Certes, elle affirmait avoir confiance en lui, mais elle n’était pas amnésique. Si elle devait se changer, qui allait surgir dans la cabine alors qu’elle aurait enlevé ses vêtements sans avoir eu le temps de revêtir ceux empruntés pour l’essayage ? Elle refusait les intentions qu’elle lui prêtait, elle ne voulait pas prendre de risque dans ce lieu aussi public que pudique. Elle attendrait qu’ils se retrouvent ensemble pour qu’enfin, il la serre nue contre lui. Après, elle se laisserait porter, submerger par un plaisir despotique la dépossédant de toutes ses retenues. Répondant à sa silencieuse attente, il estima que la promenade avait assez duré et que le moment était venu de rejoindre leur chambre.

Cette pièce en rez-de-chaussée donnait sur une cour intérieure partagée avec les autres chambres mitoyennes. Nina allait s’éclipser dans la salle d’eau lorsqu’il s’y opposa. L’ayant dénudée, il constata la présence et la bonne tenue du rosebud ainsi que l’impatience du corps de Nina. La félicitant, il l’invita à partager la salle d’eau avec lui pour un moment de douche complicité.

La lumière du jour commençait son esquive. Les rideaux tirés, la pièce ne s’éclaira qu’à la lueur fragile d’une bougie posée sur la desserte. Enfin, ils purent permettre à leurs épidermes de se retrouver dans une étreinte immobile et silencieuse. Ouvrant le lit, ils s’abandonnèrent au rituel universel et éternel de l’humanité en parcourant mutuellement leurs corps. Notre Maître a omis de nous convier à ces ébats qui dépassent en intensité bien des débats contemporains. Ses mains façonnèrent les seins, les épaules, les cuisses. Elles plaquèrent fermement le corps de Nina contre le sien en s’appliquant sur la lordose naturelle dessinée par les vertèbres lombaires. Puis, la main droite glissa sur la rotondité fessière qu’elle courtisa quelques instants avant de revenir par ce sillon toujours convoité. Les doigts la dessinaient, la sculptaient, la transformaient. Ils glissaient, appuyaient, effleuraient, s’immisçaient et, au vu du résultat produit sur la sensibilité de Nina, ils auraient mérité d’entrer aussi dans les annales.
Elle perdait le contrôle d’elle-même comme ses gémissements langoureux l’attestaient. La tester était bien son but à lui. Il atteignit son clitoris attentif et, avec la dextérité d’un cambrioleur aguerri, il trouva la combinaison de ce digicode magique qui opérait si bien sur cette porte d’entrée. Il laissa son pénis composer à son tour le sésame attendu et empêcha Nina d’orienter son bassin pour l’engloutir. Cet intermède tournait au supplice mais elle trouva la force de lui souffler sa demande de pénétration. Décidément magnanime, il laissa son pénis explorer cette cavité pourtant connue de lui dans une progression aussi lente qu’une procession funèbre d’escargots asthmatiques. Ses mains retenaient les hanches de Nina qui était ainsi condamnée à savourer cette infiltration progressive. Au terme de cette course, il sexefiltra pour la pénétrer à nouveau mais très vigoureusement. Nina atteignait un premier sommet mais elle fut désorientée par les mains qui placèrent son visage près du pénis victorieux. Sans récrimination, Nina le mit en bouche mais elle fut surprise de sentir les mains la déplacer encore pour qu’elle se retrouve dans une position d’inversion réciproque connue sous le numéro soixante-neuf. Pour être neuf, cet état l’était pour elle car, exposant sa vulve, les mains aidées des bras « encordèrent » ses cuisses et elle ressenti la marque délicate d’une langue sur le bourgeon de son plaisir. Si elle avait toujours exprimé son refus pour se livrer ainsi à un homme, Nina devait maintenant reconnaître qu’elle n’était pas insensible aux caresses ainsi prodiguées.
Nina avait invoqué toutes sortes d’arguments lui épargnant les différentes formes de cunnilingus. Elle savait sa sensibilité qu’elle interprétait jusqu’alors comme une vulnérabilité. Aspirée, léchée, mordillée par la bouche d’une autre femme, elle accédait à un orgasme qui ne s’encombrait pas du fardeau des rapports aux hommes qui l’accablait. Mais devoir une telle jouissance à un homme l’obligeait à revoir ses stéréotypes sur la gente masculine comme sur l’opinion qu’elle avait d’elle-même. La confiance qu’elle lui avait accordée avec sa soumission vertueuse l’empêchait au moins autant que les bras qui la tenaient de se dérober. En l’occurrence, c’étaient ses esprits qui se dérobaient. Elle fut projetée dans une extase quasi-instantanée et elle retira aussitôt sa bouche du pénis de peur de le mordre par inadvertance. Morsure qui pourrait être interprétée comme une forme de résistance qu’elle ne pouvait plus opposer mais surtout qu’elle ne voulait pas opposer. Conquise par l’orgasme, elle fut replacée dans un tête-à-tête offrant à leurs regards la possibilité de s’interpénétrer. L’un était amusé, l’autre restait interloqué. Ce plongeon dans les yeux l’un de l’autre fut rapidement perturbé par une pénétration virile qui les mena inéluctablement à une jouissance extrême dans une symbiose réussie.

Dorment-ils ? Je perçois leurs pensées secrètes qui flottent tels des fantômes dans la pièce obscure. Nina s’interroge sur les fondements de ses appréhensions. Elle avait été franche en s’interdisant de succomber si facilement à la jouissance dans les bras d’un homme. Mais pourquoi ce besoin impératif d’interdire aux hommes ce qu’elle accepte volontiers des femmes ? Elle relisait son passé et, pour la première fois, elle comprenait que celui-ci ne devait plus guider arbitrairement son comportement. Il n’était pas question pour elle de faire table rase de son histoire et de la supprimer avec désinvolture mais elle voulait saisir l’opportunité offerte par notre Maître de vivre pleinement sa sensibilité. À partir de maintenant, il lui fallait se réserver un droit d’inventaire et choisir ce qu’elle estimait salutaire pour elle en s’éclairant des expériences vécues actuellement avec ce guide qui se montrait attentif et pédagogue sous une autorité plus ferme qu’il n’y paraissait.
Lui prenait le temps de mobiliser à nouveau ses énergies pour savourer une nouvelle victoire sur les réticences exprimées par Nina. Il avait parfaitement conscience de l’avoir forcée mais avec la subtilité nécessaire permettant de protester, avec une mauvaise foi exagérée, de leur incompréhension mutuelle dans un moment intense. L’interdit posé par Nina avait été respecté jusqu’au cours de leur rencontre avec Luc et Marie, mais il était temps de le lever. Ce qui fut fait paradoxalement en la couchant sur lui. Délibérément, il nous avait exclues de cette manœuvre, estimant que les cordes pouvaient dévoiler une préméditation à ses intentions. L’embuscade avait besoin de discrétion pour sa mise en place, l’effet de surprise favorisant le succès attendu.
Après une courte absence, il revint près d’elle. Avec de lentes caresses, il raviva une flamme mal éteinte et ils se rencontrèrent dans une nouvelle étreinte voluptueuse. Il exhiba une virilité puissante et n’eut aucune difficulté à hisser de nouveau notre soumise au sommet d’un bien-être total. Sans artifice, il la dominait par l’extase qu’il lui procurait et il se délectait de ce corps torturé pas les soubresauts de l’orgasme qu’elle lui offrait.


Du fait de leurs obligations respectives, le lendemain les sépara pour la journée. Lorsqu’il revint en début de soirée, il eut l’agréable surprise de constater qu’elle l’attendait nue dans leur chambre.
Le temps d’une douche et d’un changement de tenue (combien possède-t-il de tee-shirts noirs ?), il la rejoignit en lui déclarant sa volonté de nous employer.
Le lit fut débarrassé de ses couvertures et Nina placée en son centre. Une analyse rapide a conclu à l’utilité du crochet anal mais il lui parut préférable de surseoir à sa pose afin que Nina débute son voyage par la perception des cordes. Les quatre membres solidement arrimés au lit, elle s’exposait pleinement. Il prit soin de lui appliquer son masque et commença par la parcourir de ses mains, alternant caresses, griffures ou pincements légers et roulement entre ses doigts. Nina exhalait son envie. Ses lèvres s’ouvraient et son vagin montrait son seuil. Elle avait déjà embarqué et appareillé pour un voyage solitaire qu’il ne lui autorisait pas encore. Quelques claques vinrent rougirent l’intérieur des cuisses et secouèrent ses seins vulnérables en même temps qu’il lui expliquait son désaccord. Nina revint à plus de contrôle d’elle-même. Estimant le risque de départ virtuel improvisé probable, il reprit l’attache des chevilles et des poignets de manière plus serrée. Écartelée, elle sentit alors un contact un peu froid sur son mamelon droit, suivi d’un pincement supportable mais semblant aller crescendo. Il poursuivit en stimulant son clitoris et sa vulve par des caresses bien appliquées. Nina nous tirait, ce qui n’est pas pour nous déplaire. Elle voulait s’agripper à nous, nous tenir en main comme nous la tenions aussi. Quelques contractions ne purent être maitrisées, un claquement retentit accompagné d’’un cri de douleur. Les deux aimants, qui s’aimaient tendrement, et qui emprisonnaient par leur étreinte le mamelon droit, avaient profité du mouvement pour se rejoindre directement en pinçant fortement au passage un peu de cette chair sensible qui orne le sein en son sommet. Malgré leur entêtement, ils durent se résoudre à lâcher prise et notre propriétaire les invita à jouer cette fois avec le clitoris érigé. Dès la première pression, ce dernier battit en retraite pour se cacher sous son capuchon. De la même manière, les aimants purent se rapprocher et serrer cette fois sans ménagement l’extrémité charnue qui ne fut pas libérée.
Nina ressentait la douleur mais voulait la dépasser. Progressivement, elle redevenait attentive à l’intrusion des doigts dans son vagin, à la reconnaissance méthodique de sa cavité à laquelle ils se livraient. Elle les sentait parcourir la muqueuse en suivant ces petites ondulations ressemblant à la plage de sable se découvrant à marée basse et où, enfant, elle aimait courir pieds nus. Elle se sentait vivre et surpasser la douleur à la manière d’un décollage d’hélicoptère qui vous enlève en douceur aux limites du bas-monde. Le pincement devenait une chaude irradiation qui lui semblait pouvoir être perçue jusqu’aux doigts qui la pénétraient.

Le contrôle des membres montra un refroidissement excessif obligeant une libération anticipée de notre soumise. Frictionnée et désaltérée, celle-ci nous fut aussitôt restituée.

Le crochet fut retiré du lavabo où il séjournait dans l’eau chaude. La boule ainsi réchauffée communiqua à la vulve de Nina sa température, dont il était difficile de déterminer si elle était moindre. Après quelques « périnée-grinations », il s’engouffra au-delà de la double barrière pour loger sa tête le long de la paroi ténue, comme pour écouter ce qui allait se passer dans la pièce voisine.
Il dut patienter. Nina également. Nous sommes alors revenues saisir ses extrémités et arrimer notre soumise à son écrin. Par des gestes adaptés, le clitoris retrouva ses ambitions et, comme pouvait le ressentir le crochet, les contractions furent nombreuses pour essayer de retenir une jouissance impatiente. Le silence était rompu par les soupirs et les demandes murmurées de Nina ainsi que par les directives soufflées par notre Maître. Une atmosphère d’application régnait lorsque, se mettant à nu, notre propriétaire entreprit de pousser Nina à un contrôle absolu de son orgasme. Lentement le pénis venait flatter les lèvres et l’excroissance charnue marquant un territoire ô combien sensible. Dans ces conditions, ces caresses devenaient un supplice. Nina implora l’autorisation de s’abandonner…
Pénétrée par le crochet et ce sexe qui la libérait autant qu’il l’envahissait, Nina, songeant à la tentation d’une double pénétration presque réalisée, partit dans une jouissance décomplexée.

Au sortir d’une nuit vécue aussi intensément dans le sommeil que dans l’éveil, Nina le regardait ranger soigneusement ses affaires. Elle s’assit au bureau et écrivit respectueusement son engagement envers cet homme qui avait su faire refleurir sa soumission.

Avec l’aimable collaboration d’Encorerebelle pour la relecture, ce récit a été déposé. Pour une utilisation lucrative ou gracieuse, même partielle, l’auteur, référencé ici sous le pseudonyme d’Artman, demande de solliciter son accord express.

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