Témoignage d’une corde (Chapitre 9)

- Par l'auteur HDS Artman -
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Auteur homme.
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Récit libertin : Témoignage d’une corde (Chapitre 9) Histoire érotique Publiée sur HDS le 29-06-2012 dans la catégorie Dominants et dominés
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Témoignage d’une corde (Chapitre 9)
Témoignage d’une corde (Chapitre 9)
Interrogations sur prises.

Cette chambre présentait un tel manque d’identité qu’elle en devenait singulière. Elle
avait au moins l’avantage d’être insonorisée et convenablement chauffée. Nina était
face à lui et, sur la demande qui venait de lui être faite, elle se déshabillait.
Cette demande lui avait été fête mais elle s’exécutait avec une certaine gêne. Assis
dans le fauteuil, il la contemplait avec une désinvolture feinte. Notre soumise était
maintenant en sous-vêtements et elle s’interrogeait sur l’opportunité de poursuivre
son effeuillage devant tant d’indifférence. Son immobilisme soudain provoqua le réveil
du spectateur qui, se levant, vint au plus près d’elle. Silencieusement, presque
solennellement, il l’enserra dans ses bras en la respirant profondément. Les émotions
de son corps parvinrent jusqu’à nous qui n’avions pas encore été sorties de notre sac.
D’un voix presque monocorde, que nous aurions donc pu compléter avantageusement, il la
questionnait. Il s’enquit de savoir si leurs activités lui avaient manqué, si elle
avait effectivement observé la chasteté qu’elle avait prétendue dans ses messages, si
elle se sentait prête à vivre sa soumission en s’offrant à lui sans retenue. Un petit
« Oui, Maître » soufflé en était la seule réponse avancée. A l’instar de sa verge, son
ton se durcissait. « Est-ce à moi de deviner tes pensées et de devoir t’interroger de
la sorte pour connaître tes émotions ? Ton peu de vocabulaire est-il à l’image de tes
sentiments ? ». Cherchant des preuves, sa main écrasa son pubis au travers le tissu
fin de la culotte. Il en mesura la chaleur et l’abondance des secrétions. Secrets si
on veut, car l’empreinte ne laissait aucun doute. Il recula d’un pas et, d’une voix
qui ne tolérait pas la contradiction, il lui intima de se défaire de sa culotte.
S’exécutant, elle fit glisser le tanga au sol et sortit ses pieds du petit morceau
d’étoffe laissé au sol. Il s’en empara et montrant avec ostentation son contenu
odorant à Nina, il lui reprocha, avec une mauvaise foi qui n’avait d’égal que son
désir de l’humilier, son manque de contrôle. Reconnaissant les faits, elle était
confondue. Surtout fondue. L’index qu’il glissa sur son intimité eut tôt fait de
provoquer son clitoris aux aguets et elle ne put réprimer un léger recul de son bassin
associé à un gémissement évocateur. Saisissant enfin l’une d’entre-nous, il l’attira
vers la chaise. Une fois assis, il la bascula, le ventre sur ses genoux, il lui
attacha les mains dans le dos et lui noua sa culotte autour du cou. La première frappe
de sa main fut assez vigoureuse pour spontanément colorer les fesses blanches. Dans
une harmonie toute relative, il lui expliqua, au rythme de la correction, sa volonté
de l’entendre s’exprimer. Nina vivait la punition mais ne parvenait pas à lui dire
combien elle se sentait choyée par tant d’attentions.

Nina ayant indiqué son intention de mieux partager ses pensées, ils purent se rendre à
la salle d’eau. Il équipa la porte des sangles elles aussi fermées sur elles-mêmes. Il
attacha Nina dos à la porte selon la posture que permettrait une croix de Saint-André
dont encore trop peu de chambres d’hôtel sont équipées. Il lui masqua son regard
confiant et il la ceintura d’une chaine qu’il boucla par un maillon vissé. Une autre
chaine, fixée à la partie arrière de cette ceinture d’un genre particulier, pendait
maintenant entre les jambes de Nina. Cette partie était trop courte d’un ou deux
éléments pour s’amarrer sur le maillon vissé à l’aplomb du pubis. Un élastique
vigoureux assura donc le lien tout en plaquant sans ménagement la chaine dans ce
sillon déjà embrasé par le désir. Il noua alors une petite ficelle de coton sur le
maillon couvrant le clitoris.
La baignoire se remplissait bruyamment. La vapeur d’eau envahissait la petite pièce.
L’atmosphère du lieu en était modifiée, dans une grande mesure par la présence de
notre soumise, ceinturée au niveau des yeux par son masque, au niveau des seins par
son soutien-gorge et au niveau de la taille par la chaine. Ses membres étirés
donnaient à son attitude une magnifique impression d’envol contrarié par les cordes
qui l’attachaient. Discrètement, la cordelette allait vers la main de celui qui la
dominait et matérialisait le fil ténu de leur conversation.
Dénudé, il se glissa voluptueusement dans l’onde chaude. Il s’inquiéta de l’état de
Nina, lui redisant qu’il ne cherchait pas une statue mais bien une femme apte à la
réflexion et au dialogue. Gardant en mémoire le souvenir de la scène antérieure qui
affectait surtout son postérieur, Nina lui affirma être prête à répondre à ses
questions. Confiant, il tira la cordelette à lui qu’il relâcha sans retenue, montrant
ainsi que sa distance ne s’opposait pas à une action persuasive sur elle, si besoin
était. Sous l’effet conjugué de la surprise et de la douleur provoquées par les
maillons venant heurter son intimité conquise, elle tressaillit en laissant échapper
un cri. « Ne m’as-tu pas demandé de répondre au masochisme qui t’assaille parfois en
te dominant avec davantage d’autorité ? » lui demanda-t-il.

Difficile de déterminer si ce fut le bain qui devint plus agréable grâce à la
conversation qui suivit ou bien, si ce fut la conversation qui bénéficia de la
langueur apportée par l’eau chaude, mais le miracle eut lieu. Nina était convertie aux
bienfaits de la conversation. Elle fut donc libérée et autorisée à utiliser librement
la salle de bain alors qu’il alla préparer la pièce.
La pénombre la rendait plus accueillante. Deux bougies et un bâton d’encens furent
allumés. Les meubles poussés, un espace suffisant fut dégagé.

Nina sollicita l’autorisation de le rejoindre dans la pièce principale. Elle apparut.
Son corps nu dégageait une odeur douce de lait. Elle s’agenouilla sur le coussin
jonchant le sol et, avec des mots hésitants, elle lui déclara franchement sa
soumission. Lui comme nous, savions la sincérité de ses propos. Il l’accepta en
l’aidant à se relever.
Il m’a choisie pour l’enlacer. Il me fit cerner ses seins qui se rendirent sans
condition à mes brins. La figure, composée de passages horizontaux au dessus et au
dessous de sa poitrine, se complétait par un maillage resserrant en étau les seins que
j’entourais de manière assez ferme. Ils prenaient une couleur sanguine délicate et la
respiration de la soumise en était modifiée. Il lui passa le masque et, glissant le
rosebud dans sa main, il lui ordonna, comme le veut l’usage, de débuter par
l’introduction. Sa main droite semblait un peu gauche. Elle cherchait à rapidement
remplir son office. L’orifice rempli, elle reprit son équilibre avec un peu d’aide.
Une remarque sur sa dextérité la fit rosir.
Docilement, la chaine fut de nouveau accueillie. Montée avec de telles chaines, les
risques de dérapage étaient très limités. Pourtant, Nina en ressentait la présence
massive, brutale qui disjoignait ses lèvres en exerçant une forte pression sur son
entrejambe. Elle succomba à son envie en se laissant glisser dans une rêverie
langoureuse. Pour ma part, j’estime ces maillons grossiers indignes de partager le
même corps que nous mais une fois encore personne ne nous avait consulté. Incapables
d’absorber la moindre goutte de la source qu’ils faisaient sourdre, ils bénéficiaient
d’une place de choix que j’entendais revendiquer. Je n’en eu pas le temps car j’eus la
surprise de recevoir une goutte d’un liquide chaud. Je ne fus pas la seule surprise
car désormais les tétons dressés recevaient plusieurs larmes de la bougie allumée
qu’il tenait légèrement inclinée au dessus de ses seins. La bouche se contracta, le
pincement de la lèvre supérieure ne trompait pas : Nina appréciait silencieusement son
supplice. Le dialogue engagé ne put alors se poursuivre. Malgré ses résolutions, le
désir de vivre intensément ces moments empêchait Nina de parler. Sa respiration se fit
plus ample et de petits mouvements de rotation du buste apparurent comme pour le
soustraire à la pluie de cire chaude qui s’abattait sur lui. Pour contrer l’irruption
du mutisme de sa soumise, notre propriétaire approcha plus encore la bougie des seins.
Cette diminution de la distance se traduisait par une nette augmentation de la
température et quelques mots attestant de la chaleur reçue furent prononcés.
Saisissant cet embryon de dialogue, Nina fut questionnée sur les sensations qu’elle
éprouvait. Les réponses manquant cruellement de fond, la bougie cessa son flot et vint
éclairer le pubis orné de la renaissance d’un léger duvet. La flamme descendit un peu
tout en s’approchant. Notre soumise ne bougeait plus. Son inquiétude transparaissait
malgré son silence. La flamme, trop proche, chauffait son sexe exposé. Le phénomène de
goutte connut alors une interversion intéressante. Une petite perle de cyprine prenait
maintenant consistance. Sa forme sphérique était contrariée par la pesanteur et cette
goutte quitta Nina pour être sauvée de sa chute par une main virile qui l’a recueillie
avant de la porter à la bouche de sa génitrice. Touché par cette naissance, le Maître
rangea la bougie sur son support et félicita Nina d’un massage lent de son clitoris.
Cette goutte était à l’image de l’arbre qui cachait la forêt…

Libérée et reposée, Nina fut invitée à s’asseoir sur le bord du lit ouvert. Une
première corde de chanvre écrue bloqua une jambe en position fléchie. Je fis de même
sur l’autre jambe. Notre modèle dut ensuite arrondir son dos afin que ses mains
viennent au contact de ses chevilles. Ma consœur arrima l’avant-bras et le poignet au
mollet déjà prisonnier. On me demanda de poursuivre de même de mon côté, ce que je fis
sans hésitation. Nina fut aidée à se placer ensuite sur le dos. Ainsi couchée et liée,
elle présentait une ouverture appétissante de son anatomie. Un peu plus bas, le sommet
du rosebud apparaissait distinctement, attestant de sa fidélité à son poste…érieur de
prédilection. Atteignant l’heure de la relève, il fut prié de quitter la place. Nina
fut couchée alors sur le côté et le bijou anal extirpé, le crochet put lui succéder.
Un rapide nœud en tête d’alouette avec la corde de sisal et la position dorsale put
être reprise. La corde de sisal mit le crochet en tension avant d’aller entourer le
bord du sommier à lattes et de passer sous le lit pour réapparaitre à son pied afin de
venir étirer les membres liés vers l’extérieur. La contrainte est l’indicateur de
confiance. Cette fois, notre soumise répondait spontanément aux questions qui
pouvaient lui être posées, pressentant qu’elle ne serait peut-être pas en position de
soutenir une nouvelle provocation.
Elle fut étonnée de le voir sortir des cure-dents en bois mais elle sut se cantonner à
ses attributions. Elle s’estima soulagée lorsqu’il entreprit d’attacher deux cure-
dents ensemble au moyen d’une ficelle fine mais lorsque ceux-ci enchâssèrent ses
mamelons en les pinçant avec force, elle trouva l’accessoire moins inoffensif qu’elle
ne l’avait présagé. Les mains qui la parcouraient pouvaient attester de sa santé.
Aucune d’entre-nous ne la serrions trop fortement. Nous la serrions tellement peu que
l’épanchement de son vagin ne se tarissait pas. Fallait-il effectuer un garrot ? oui,
mais où ? Les doigts qui s’immisçaient en elle ne parvenaient pas à stopper la «
cyprinorragie ». Sa nature hospitalière lui fit accepter l’asile de ses doigts longs
et fins qui inspectèrent chaque recoin de la cavité. Dans le fond, ils furent assez
habiles. Leurs frottements sur les impasses réparties de part et d’autre du col
déclenchèrent une extase de notre patiente qui faillit noyer les doigts. Sa bonne
éducation l’incita à demander le droit de jouir qui lui fut refusé. Les doigts
quittèrent l’antre pour aller saisir le seul remède à une telle inondation : le
byzantin.
En pareille situation, point n’est besoin de gel pour faciliter sa pose. Ouvert, ses
branches coulissèrent sans obstacle jusqu’à la rencontre du capuchon du clitoris pris
en tenaille. Les petites lèvres furent étirées et placées sur les branches et le piège
se referma sur elles jusqu’à blocage du dispositif. La manœuvre fut aussi rapide
qu’efficace. Les nouvelles sensations perçues se distinguant sans ambages des
précédentes, Nina pouvait accorder toute son attention à la conversation qu’il voulait
avoir avec elle.

Éprouvée par les turpitudes de sa vie, elle savait ce qu’elle voulait vivre lors de
leurs rares rencontres. Aussi, lorsqu’il aborda le sujet de la poursuite de sa
domination sentit-elle la crainte d’une rupture l’envahir. Elle fut vite rassurée car
son souhait était au contraire de déterminer avec elle les expériences qu’elle
souhaitait vivre, de connaitre ses attentes profondes ou bien celles que sa
participation studieuse au forum lui faisait naitre. Le sujet était simple mais nous
comprimes qu’il gênait Nina. Elle craignait, en dévoilant ses désirs, que quelqu’un ne
s’en empare pour les présenter sous un jour qui lui déplairait dans une histoire
diffusée sur le Net. Elle soupçonnait que quelqu’un soit de mèche et la trahisse. Lui
ne comprenait pas ses inquiétudes mais nous nous savions et nous pûmes refreiner un
rire de corde. Une corde de mèche ! C’est aussi improbable que Nina puisse être de
marbre. Il lui expliqua que ses craintes étaient sans fondement et qu’au contraire,
préciser les objectifs poursuivis permettait d’aller ensemble au même point de
destination. La relation D/s qui les liait était forte mais il fallait entretenir
cette vigueur pour ne pas sombrer dans une habitude qui passerait vite de sécurisante
à décevante. Il l’estimait suffisamment solide pour qu’ils puissent se confronter
davantage aux autres. Il espérait obtenir de ces rencontres une évaluation de son
jugement avec d’autres aux personnalités et aux expériences différentes. Elle, qui ne
l’avait pas attendu pour rencontrer d’autres membres, appréciait sa proposition.
L’idée de se présenter en équipe soudée aux regards des autres lui plaisait.
Rapidement, ils optèrent pour prendre part à une sortie en hammam qu’il leur faudrait
prévoir.

La discussion avait consommé le temps raisonnable pour séjourner dans les cordes. Les
pieds accusaient une baisse de température que ne connaissait pas le crochet. En la
libérant, il pensa qu’il aurait eu plaisir à la prendre ainsi.

Après une pause méritée, nous renouâmes avec ce corps que nous affectionnons. Placée
sur le ventre, les mains furent attachées et liées aux pieds du lit. Les genoux
remontés, une autre corde l’immobilisait en levrette. Au prix d’efforts conséquents,
les seins furent aussi attachés et tirés vers la tête du lit où la corde coulissait
autour du montant du sommier pour revenir sur le dos. À cet instant, il réquisitionna
le crochet ainsi que le tube de gel. Au terme d’une courte préparation de la pulpe du
doigt, il s’enquit se savoir si elle était prête pour ce qui restait une épreuve. Sur
sa réponse positive et sur son anus, il appuya la boule de l’imposant crochet qui
fondit dans son séant. Il raviva la flamme du désir en flattant une vulve insatiable
et il noua les cordes qui lui tiraient les seins au crochet. Il augmenta le volume de
l’ordinateur où l’« Élixir d’amour » était interprété, et, saisissant une des deux
bougies il en souffla la flamme avant de jouer de l’extrémité encore chaude sur le
seuil du vagin. Celui-ci restait ouvert, appelant de ses vœux une visite imminente. Il
n’eût pas à attendre longtemps et la bougie le pénétra profondément. Un massage habile
du clitoris, de légères tensions sur la corde unissant ses seins et le crochet et il
tenait les rênes de sa jouissance. Il se dévêtit à son tour et après avoir hésité à
partager le séjour avec la bougie, il la prit seul dans un coït viril qui lui permit
de l’investir entièrement. Prise par les cordes intransigeantes, sa domination
impétueuse et son pénis conquérant, elle n’eut pas fini de demander la permission de
s’abandonner dans la jouissance qu’elle était déjà sur les rives d’un monde auquel
elle succomba immédiatement, ressentant les bienfaits d’un véritable abandon de soi.
Son bassin tentait d’onduler pour mieux recevoir celui qui était en elle, ses
gémissements intensifièrent leur accouplement pris d’une rage animale et le jet
puissant du sperme fut un soulagement pour nous tous. Il la libéra de ses liens et du
crochet mais il poursuivit ses attentions en caressant doucement le clitoris de son
sexe maintenu en érection. Une bouche goulue lui fit perdre la raison….


Artman
Avec l’aimable et ultime participation de la Dame du Lac pour la relecture, ce récit a
été déposé. Il ne peut faire l’objet d’une utilisation ou d’une reprise, partielle ou
totale, pour une utilisation lucrative ou gracieuse, sans l’accord express de l’auteur
référencé ici sous le pseudonyme d’Artman.

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