THAÏLANDE - PHUKET

- Par l'auteur HDS Miss_Sexcret -
Auteur femme.
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Récit libertin : THAÏLANDE - PHUKET Histoire érotique Publiée sur HDS le 17-08-2025 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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THAÏLANDE - PHUKET
THAÏLANDE - PHUKET


THE VELVET ROOM

Dès l’arrivée, l’ambiance était différente de Ko Samui : plus électrique, plus chaude encore, plus sensuelle. L’île vibrait d’un mélange d’agitation urbaine, de senteurs épicées et de promesses floues. Notre hôtel, niché entre les collines et la plage de Kata Noi, surplombait une baie d’un bleu irréel. L’air sentait le sel, le fruit mûr et le jasmin.

Yuri était particulièrement enjoué ce jour-là.

— On ne va pas rester seuls très longtemps, m’annonça-t-il avec son petit sourire en coin. Un vieux pote à moi est dans le coin, avec sa compagne. On les rejoint ce soir au Red Coconut, un bar un peu à l’écart. Tu vas adorer. Ils sont… spéciaux.

Spéciaux ? Je levai un sourcil, intriguée.

— Spéciaux comment ?
— Tu verras. Ils vivent comme ils respirent. Et ils ne jugent rien.


---

Nous sommes arrivés au bar au coucher du soleil. Une terrasse ouverte sur la mer, lanternes rouges suspendues aux poutres, coussins posés à même le sol, et une musique lente, entre dub et jazz tropical. L’endroit respirait le sexe discret, l’alcool doux et les regards qui traînent.

Ils étaient déjà là.

Lui, c’était Callum. Un Anglais dans la trentaine, à la peau claire, aux yeux verts perçants, rasé de près, avec une mâchoire d’acteur et un accent londonien aussi tranchant que son humour. Il portait un simple pantalon en lin blanc, torse nu, des tatouages sobres sur les bras. Il dégageait une énergie tranquille, presque dangereuse, comme un homme qui n’a plus besoin de prouver quoi que ce soit.

Elle, c’était Isadora. Brésilienne. Un corps de déesse afro-latine, avec des courbes à faire exploser un jean, une peau caramel irisée par le soleil, une bouche pleine et insolente. Elle portait une robe rouge fendue jusqu’à la hanche, sans sous-vêtements visibles. Ses cheveux noirs tombaient en cascade sur ses épaules. Ses yeux, sombres et brillants, me détaillèrent d’un coup d’œil. Pas de jalousie. Juste de la curiosité. Et une étincelle dans le regard, comme si elle m’avait déjà goûtée quelque part dans un rêve.

Callum se leva pour embrasser Yuri, virilement.

— Putain, ça fait combien ? Trois ans ? Depuis le festival à Lisbonne ?

— Ouais, et cette nuit où on a fini à poil dans cette maison d’artiste…
— Avec les miroirs au plafond ! s’exclama Isadora en riant.
Elle se pencha vers moi, son parfum m’envahit. Elle m’embrassa sur les deux joues. Sa peau était chaude, douce, presque collante de sensualité.

— Você é linda, me souffla-t-elle à l’oreille, ses lèvres frôlant ma peau.
— Merci…
— Yuri a bon goût, dit-elle à Callum en s’installant à côté de moi, un verre à la main.

Je me tournai vers Yuri, intriguée. Il haussa les épaules, amusé.

— On a voyagé ensemble pendant un été entier. C’était une sorte de road trip… très libre. Ils vivaient dans une vieille Jeep et se faisaient payer pour filmer des mariages de luxe. Je les ai photographiés… parfois. Et eux m’ont appris… deux ou trois choses.

Le sourire de Callum s’élargit.

— Juste deux ou trois ?

Je sentais déjà qu’avec eux, tout pouvait arriver. Et que ce séjour à Phuket n’était que le début.

Le dîner au Red Coconut s’étira lentement, bercé par des cocktails glacés, des rires francs, des souvenirs qui dérapaient souvent vers le chaud. Yuri, plus détendu que je ne l’avais vu depuis longtemps, racontait ses escapades passées avec Callum et Isadora : des festivals dans le désert, des villas perdues dans les montagnes espagnoles, des nuits sans fin sur les plages d'Ibiza

Les anecdotes devenaient de plus en plus équivoques. Une histoire à Lisbonne impliquait une baignoire, du gin, et un miroir au plafond. Une autre au Maroc parlait d’un hamam fermé pour la nuit, où personne n’avait vraiment gardé sa serviette.

Je comprenais à demi-mots. Yuri avait couché avec elle. Peut-être avec lui aussi. Ou tous ensemble. Mais ce n’était pas dit clairement. C’était mieux ainsi.

Isadora s’était rapprochée de moi au fil des verres, sa cuisse nue frôlant la mienne de temps à autre, son rire grave vibrant à mon oreille. Elle me lançait parfois des regards longs, presque doux, mais toujours équivoques. Callum, lui, jouait les détachés, mais ses yeux parcouraient nos gestes, guettaient nos réactions. Ils savaient observer. Guider sans imposer.

Puis, au moment du dessert, Isadora posa son verre avec lenteur, un air faussement innocent sur le visage.

— Et si on continuait la soirée ailleurs ? demanda-t-elle. Un endroit… plus divertissant.

— Du genre bar à cocktails ? proposai-je.

— Pas exactement, répondit Callum, son regard planté dans le mien. Un endroit… où les cocktails se boivent en regardant les corps bouger. Et où certains corps peuvent se choisir.

Je haussai un sourcil. Yuri, lui, sourit comme s’il savait exactement ce dont ils parlaient.

— Ils ont trouvé un spot hier, m’expliqua-t-il. Un club lounge un peu caché, dans les hauteurs de Patong. Très chic, très discret… et très ouvert. Tu verras.

Je n’ai pas posé de questions. J’ai juste acquiescé. J’avais compris.


---

Le club s’appelait "Velvet Room". Une façade noire discrète, aucune enseigne. À l’intérieur, une lumière rouge tamisée, une musique lente, électronique, moite. Des alcôves, des fauteuils en velours, des serveurs aux tenues irréprochables. Et, sur la scène centrale, des femmes dansaient, seules ou à deux, en lingerie fine, parfois topless, parfois entièrement nues.

Chacune portait un numéro délicatement accroché à sa culotte ou à un bracelet de cheville. Les clients — hommes, couples, femmes — les regardaient, sirotaient leurs verres, parfois échangeaient quelques mots avec elles. Certains choisissaient. Deux femmes se tenaient la main en riant, accompagnées d’une danseuse thaï au sourire mutin.

L’atmosphère n’était pas glauque. C’était chaud, oui. Sensuel. Mais presque cérémonial. Le sexe ici était un art, une promesse, un jeu.

Isadora, assise près de moi, me montra une danseuse du regard — une jeune femme fine, tatouée, aux hanches pleines et au regard insolent.

— Tu la trouves belle ? murmura-t-elle, la bouche proche de mon oreille.
— Très.
— Elle t’a regardée plusieurs fois.

Je sentais son souffle sur ma nuque. Sa main, sur ma cuisse nue, ne bougeait pas. Je n’osais plus tourner la tête. À côté, Callum discutait avec une autre fille, un peu plus âgée, peau ambrée, seins lourds, un port de reine.

Yuri, lui, observait tout cela, amusé, attentif. Il me jeta un regard complice. Il savait que je découvrais un monde, et il me laissait libre d’y plonger — ou pas.

Mais ce soir-là, ce ne fut pas moi.

À la fin de la soirée, Callum et Isadora se levèrent, main dans la main, accompagnés de la beauté thaï aux seins ronds et au sourire lascif. Elle riait doucement, suspendue à leurs bras, prête à les suivre.

— On se retrouve demain pour le déjeuner ? lança Callum.
— Si vous vous levez, répondit Yuri en riant.

Je les regardai partir, fascinée par la liberté tranquille qu’ils dégageaient. Il y avait en eux quelque chose d’ultra-vivant. Sans honte. Sans contrainte.

Et je sentis au fond de mon ventre une envie nouvelle, tapie… une curiosité brûlante, que Phuket ne tarderait pas à faire éclore.

Un tuk-tuk nous ramena lentement à l’hôtel, en silence. La nuit thaïlandaise défilait par les fenêtres ouvertes : chaleur humide, odeur de frangipanier, scooters qui filaient entre les files, et cette tension dans l’air… quelque chose d’inachevé.

Dans la chambre, je me débarrassai de ma robe, pieds nus sur le carrelage frais. Yuri s’assit au bord du lit, torse nu, en train de rouvrir une bouteille de rhum posée sur la commode. J’attrapai un tee-shirt trop grand, enfilé à la va-vite, et m’allongeai près de lui, la tête posée sur ses cuisses.

Je le regardai, le menton dans la main.

— Alors… Isadora. Tu vas me dire ce qu’il s’est vraiment passé avec elle ? Et avec Callum, tant qu’on y est ?

Il sourit, un peu gêné, un peu joueur.

— Tu veux vraiment savoir ?
— Je veux tout savoir. Même ce qui va me faire grimacer.

Il haussa un sourcil.

— C’était une époque… particulière. On vivait comme des fous. Beaucoup de fêtes, peu de sommeil… peu de limites.
— Donc t’as couché avec elle.
— Oui. Et avec lui aussi. Enfin, à trois, surtout. Une fois, à quatre. Il y avait une autre fille. Une Espagnole. Une bombe.

Je levai les yeux au ciel, faussement choquée.

— Tu m’étonnes que tu sois détendu avec eux.
— Ce que j’aimais, avec eux, c’était la liberté. Rien n’était obligé. C’était du jeu. Du désir pur. Pas de jalousie. Juste… du partage.

Je restai silencieuse un instant.

— Tu les referais venir dans notre lit ?
— Pas eux. Enfin… peut-être Isadora. Mais ce n’est pas la question. Ce que j’aimerais, c’est qu’on vive un peu ça ici, nous deux. À notre manière.

Il posa la bouteille, se pencha vers moi, et murmura :

— Ce soir, au Velvet Room… j’ai repéré deux Thaï très belles. Une avec des yeux de chat. Et une autre… plus jeune, plus féline, avec une peau de miel et des tétons comme des baies rouges. Je t’imaginais entre elles. Ou entre elles et moi.

Je le giflai doucement sur la cuisse, faussement outrée.

— Yuri !
— Quoi ? Tu y as pensé aussi.

Je mordis ma lèvre. Il avait raison. L’image était là. Lente, moite, crue. Deux corps thaï petits et souples, ma peau contre les leurs, Yuri derrière moi…

Je baissai les yeux.

— Une. Pas deux.
— Une pour commencer ?
— Oui. Mais tu me promets de ne pas jouir en elle.

Il rit.

— Je te le jure. Toi, c’est toi que je veux salement saloper.

Il me renversa d’un geste sur le lit, souleva le tee-shirt que je portais, et glissa sa main entre mes cuisses.

— T’es déjà mouillée, Kristina. T’as adoré cette idée.
— J’ai adoré imaginer.

— Alors imagine encore.

Sa bouche trouva la mienne, chaude, avide. Il me pénétra lentement avec ses doigts, pendant qu’il me mordillait le cou. Je l’agrippai, basculai sur lui, mes seins collés contre son torse. Je le chevauchai lentement, en ondulant, en lui soufflant à l’oreille :

— Tu m’auras demain soir. Mais ce soir, c’est moi qui te baise.

Et je l’ai fait. Longtemps. Jusqu’à ce qu’il me supplie de le laisser jouir.

Je l’ai laissé, bien sûr.

Sur moi.

Le Velvet Room n’avait pas changé.

Même lumière rouge tamisée. Même musique lente, moelleuse, moite. Même odeur d’alcool sucré, de corps excités, de sexe en suspens. Mais cette fois, je n’étais plus spectatrice.

Yuri et moi avions réservé une alcôve au fond, avec vue dégagée sur la scène. Il avait mis une chemise noire ouverte sur la poitrine, je portais une robe en satin beige, sans soutien-gorge, qui collait à ma peau comme une seconde couche de désir. Nos verres brillaient dans la lumière diffuse, et nous riions, complices, comme un couple trop sûr de lui pour feindre l’innocence.

Les danseuses arrivaient par vagues. Sublimes. Thaïlandaises pour la plupart, quelques métisses, toutes vêtues de rien. Lingerie fine, parfois juste un collier, ou un voile transparent. Chacune avec un petit numéro attaché à la cheville, et un regard qui disait : je sais pourquoi tu es là.

Yuri les observait avec intérêt, mais sans avidité. Il me prenait à témoin à chaque passage, me glissait un mot à l’oreille, me demandait : Tu la trouves comment, celle-là ? Je répondais, je jugeais, parfois je riais. Il m’écoutait.

Puis, alors qu’une nouvelle série montait sur scène, il me regarda dans les yeux, sérieux cette fois.

— Il est temps de choisir, Kristina. Ce soir, c’est toi qui décides. Entre ces trois-là.

Il me montra discrètement trois femmes.

La première, grande, sculpturale, peau caramel, fesses parfaites, seins pleins, un regard brûlant de défi. Presque trop sûre d’elle.

La deuxième, un peu plus ronde, sensuelle, dansante, peau très claire, tatouages le long de la colonne, lèvres charnues et moue provocante. Une femme.

Et puis la troisième.

Plus petite. Une poupée vivante. Jeune, fine comme une liane, les cheveux noirs, très longs, parfaitement lisses, qui tombaient presque jusqu’à ses hanches. Elle portait une simple culotte blanche, un ruban autour du cou, et son numéro. Pas de maquillage criard. Un visage doux, presque juvénile. De très petits seins, des tétons sombres et dressés sous la lumière. Et surtout, un regard : timide mais joueur. Comme si elle attendait qu’on la choisisse, mais qu’elle ne le demanderait jamais.

— Elle, murmurai-je, sans détourner les yeux. Celle-là.
— Tu es sûre ?
— Absolument.

Yuri fit signe au serveur. Quelques minutes plus tard, la jeune fille s’approcha de notre table, souriante, la tête légèrement inclinée. Elle s’appelait Mali.

Elle nous suivit sans un mot, pieds nus, fine silhouette glissant entre les fauteuils. Dans le taxi qui nous ramenait à l’hôtel, elle se serra contre moi, discrètement, son parfum poudré flottant à la hauteur de mon cou. Yuri caressait ma cuisse à travers ma robe. Moi, je regardais ses mains minuscules posées sur ses genoux, et j’avais envie de les sentir partout.

Quand la porte de la chambre se referma derrière nous, je compris que ce serait une autre première.

La chambre était silencieuse, bercée par le souffle discret de la climatisation. Yuri s’était allongé sur le lit, nu, son sexe déjà tendu, lourd de désir. Assise sur le bord, je caressais doucement le bras de Mali, encore un peu tendue. Elle se tenait droite, jambes serrées, le regard baissé, ses longs cheveux noirs tombant sur ses seins minuscules comme un rideau de soie.

Je l’attirai doucement vers moi et posai mes lèvres sur son épaule.

— Détends-toi, murmurai-je. Tu es entre de bonnes mains.

Elle hocha doucement la tête. Son parfum était subtil, poudré, sucré, avec quelque chose de presque enfantin. Elle se leva, fit glisser sa petite culotte blanche le long de ses cuisses fines, et laissa tomber la serviette. Sa nudité était simple, fragile, presque désarmante : petite poitrine, tétons foncés dressés, ventre plat, pubis lisse, jambes fines. Mali était une fleur à peine éclose, et pourtant, dans son regard, il y avait cette étincelle… quelque chose de curieux, de prêt à s’ouvrir.

Je l’amenai doucement dans la salle de bain.

Sous la douche tiède, la buée s’éleva lentement autour de nous. Je la lavai avec soin, avec tendresse. J’insistai sur ses épaules, ses bras, ses reins. Elle ne disait rien, mais je sentais son souffle s’accélérer. Lorsqu’elle glissa ses doigts sur mon ventre pour me laver à son tour, elle me regarda enfin dans les yeux. Elle souriait. Un vrai sourire. Timide, mais là.

Je me surpris à penser à Mila, à Odessa, mon aventure avec elle, notre fuite. Même silhouette fine. Même fragilité. Même regard qui hésite, puis cède. Même prénom, presque. Mali. Mila.

Une coïncidence qui me serra le ventre. Mais ce soir, je ne voulais pas réfléchir. Je voulais ressentir.


---

Quand nous sortîmes de la salle de bain, Yuri nous attendait toujours. Il nous regarda s’avancer, les yeux brillants.

— Approchez.

Je pris la main de Mali, l’amenai jusqu’à lui, puis m’assis dans le fauteuil, les jambes croisées, une main sur ma cuisse. Je voulais les voir.

Il l’allongea sur le lit, doucement, écartant ses jambes fines. Elle ne résistait pas. Elle le regardait avec une étrange fascination. Quand il glissa deux doigts sur sa fente, elle gémit très légèrement, comme surprise par sa propre réaction. Son sexe était déjà humide, délicat, entrouvert.

Yuri la pénétra lentement, avec précaution d’abord. Elle se cambra, haleta, mais ne le repoussa pas. Il s’enfonça plus profondément. Elle poussa un cri étouffé.

Je me caressais en silence, mes doigts glissant entre mes cuisses, tandis que je les regardais. Le contraste entre leurs corps — la masse musclée et bronzée de Yuri, la finesse brune et compacte de Mali — était fascinant. Il la tenait fermement par les hanches et la pilonnait avec régularité. Elle gémissait maintenant, la bouche ouverte, les yeux fermés, le visage rouge de plaisir.

Je ne bougeais pas. Juste mes doigts, sur ma chatte gonflée et mouillée. J’adorais la regarder se faire baiser à ma place.

Quand Yuri se retira au dernier moment, il jaillit en râlant, son sperme s’étalant sur le ventre et les cuisses de Mali. Elle frissonna, surprise, haletante.

Je m’approchai d’elle. J’essuyai doucement une coulée de sperme du bout des doigts… et je la portai à mes lèvres. Puis je l’embrassai. Lentement. Goûter sa bouche après l’avoir vue ainsi offerte me fit trembler.


---

Yuri s’allongea, les yeux clos, récupérant. Moi, je repris Mali. Je la couchai sur le dos et glissai mes doigts entre ses jambes encore trempées. Elle était brûlante. Ma langue remonta lentement entre ses cuisses, cueillant chaque frisson. Elle gémit plus fort. Je léchai son clitoris avec régularité, la maintenant écartée, lui murmurant qu’elle était parfaite, docile, belle.

Elle jouit contre ma bouche, les cuisses tremblantes, les mains agrippées à mes cheveux.

Quand Yuri revint, dur à nouveau, il la prit à quatre pattes, tandis que je restais couchée contre elle, mes mains sur sa poitrine, ma bouche à son oreille. Je la guidais, la rassurais, l’ouvrais. Elle gémissait, pliait, se cambrait.

Je glissai deux doigts en elle à côté de la queue de Yuri, la sentant pleine, soumise, comblée.

Il accéléra, ses mains cramponnées aux hanches de Mali, ses coups de reins plus puissants, plus sauvages. Elle gémissait sous lui, le visage enfoui dans l’oreiller, offerte, soumise, haletante.

Je la tenais ouverte pour lui, mes mains sur ses fesses écartées, mes yeux rivés sur leur union. Je voyais sa queue disparaître en elle, trempée, brillante, enfoncée jusqu’à la garde. Je la sentais proche de la jouissance, je le savais à sa respiration, à sa mâchoire crispée.

— Tu vas… ? souffla-t-il.

— Oui, réponds-lui, lui soufflai-je à l’oreille. Dis-lui que tu veux son foutre en toi.

Mali gémit quelque chose en thaï, sans doute incompréhensible pour lui comme pour moi, mais son bassin poussa contre lui, l’invitant. Yuri poussa un râle et jouit en elle, profondément, ses hanches collées aux siennes, son sexe pulsant encore en elle.

Je me penchai aussitôt, sans attendre.

Je me mis à genoux derrière Mali, entre ses jambes encore tremblantes, et j’approchai ma bouche de sa chatte encore béante. Le sperme de Yuri commençait déjà à s’écouler, tiède, laiteux, coulant le long de ses lèvres ouvertes.

Je n’ai pas réfléchi. Je l’ai léché. Lentement d’abord, puis plus profondément. J’ai bu. J’ai senti la chaleur salée, le goût mêlé de leurs deux corps, le foutre encore tiède que je recueillais directement avec ma langue.

Je l’ai nettoyée, doucement, méthodiquement, jusqu’à ce qu’il ne reste plus rien. Puis j’ai remonté mon visage jusqu’au sien, et je l’ai embrassée, bouche à bouche, langue contre langue.

Elle m’a accueillie comme si c’était naturel.

Et cette nuit-là, je me suis endormie entre elle et lui, le ventre chaud, la bouche encore marquée du goût d’un abandon partagé.

Mila. Mali. Les mêmes lettres. Deux souvenirs. Deux saveurs.


Quand je me réveillai, la chambre baignait dans une lumière dorée. L’air sentait la mer et la sueur séchée. Les draps étaient en désordre, encore marqués de nos corps. Mais Mali avait disparu.

Pas un mot. Pas un bruit. Elle s’était éclipsée comme elle était venue — douce, discrète, presque irréelle. Une trace d’elle subsistait dans l’odeur légère de sa peau sur l’oreiller, et dans mon ventre encore chaud de sa présence.

Yuri n’était plus là non plus. Un mot griffonné sur un coin de menu : "Tournage toute la journée. À ce soir. Choisis bien ta tenue."

Je restai seule.

Longtemps.

Je ne sortis pas. Je me glissai nue entre les draps propres, et je laissai mon corps lentement redescendre. Puis remonter. Je dormis un peu. Je rêvai beaucoup. Des flashs de Mali. Son dos nu. Son sexe ruisselant. Ma langue. Le goût de Yuri. Mila. Odessa. Mon propre reflet dans un miroir embué. Une Isadora au sourire carnivore.

Je me caressai sans urgence. Lentement. Profondément. Je ne cherchais pas à jouir. Juste à réveiller ce qu’il me restait de la nuit. À l’habiter un peu plus.

Quand je me levai, le soleil descendait déjà derrière les collines. Je pris une longue douche, chaude. Je me maquillai lentement. Je choisis une robe noire très fine, très fendue, sans dessous. J’avais envie d’être offerte et redoutable.

Ce soir, je ne voulais plus être spectatrice.
Ce soir, j’avais envie de répondre à la belle Isadora.

Le Velvet Room vibrait ce soir-là d’une énergie différente. Plus électrique. Plus trouble. Plus attendue.

Isadora et Callum étaient déjà installés à leur table, un peu en retrait, comme s’ils régnaient sur le lieu sans l’avoir jamais demandé. Isadora portait une robe rouge fendue jusqu’au haut de la cuisse, sans dos, sans soutien. Elle rayonnait. Callum, vêtu d’un simple pantalon sombre, la main posée sur sa cuisse nue, observait les alentours avec un calme félin.

Yuri et moi les rejoignîmes. Les regards se croisèrent. Les sourires aussi. Mais rien ne fut dit.

La tension monta doucement. Les verres s’enchaînaient. Les anecdotes aussi. Chacun jouait avec l’autre : un mot, un frôlement, une allusion glissée. Isadora laissait volontairement tomber une bretelle, Yuri observait Callum comme un rival amusé. Moi, je les regardais, silencieuse, mais le feu sous ma peau montait.

Les danseuses sur scène se succédaient. Belles, professionnelles, souples. Mais ce soir, je les regardais autrement. Non plus comme des curiosités… mais comme des sœurs. Des égales. Des rivales.

Puis, au milieu d’un rire, je me penchai vers Yuri et murmurai :

— J’ai besoin d’aller aux toilettes. Je reviens.

Il me caressa la main. Il ne savait pas.


---

Dans les coulisses du Velvet, tout alla très vite.

Une main glissée à la responsable de scène. Une allusion à “un numéro spécial, improvisé”. Elle m’avait reconnue. Elle m’avait souri. Et on m’avait tendu un string noir et un petit badge numéro 17.

J’avais gardé mes sandales à talons. Rien d’autre. Pas de soutien. Pas de bijoux. Juste mon corps, offert, luisant sous la lumière. Mes seins libres. Mes hanches dessinées. Mon sexe souligné par le noir du tissu tendu.

Et puis… Mali.

Elle était là, parmi les nouvelles arrivées. Elle me reconnut immédiatement, et son regard s’illumina. Elle était nue, simplement chaussée de bottines sombres. Elle m’attrapa par la main. On se comprit sans un mot.

La musique changea. Une basse lente. Une ambiance épaisse.

Le rideau s’ouvrit.


---

Quand je montai sur scène, les regards m’engloutirent. Isadora, droite sur sa chaise. Callum, redressé. Yuri, figé. Tous les trois me voyaient. Et je les voyais me voir.

Mali et moi dansâmes ensemble. Lentement. Sensuellement. Elle tournait autour de moi, caressait mes hanches, embrassait mes épaules. Je lui offrais mes seins, mes fesses, mes gestes. Je m’agenouillai devant elle. Elle me domina doucement. Je la caressai entre les jambes. Tout était vrai. Rien n’était simulé.

La salle retenait son souffle.

Je descendis un moment dans la foule, lentement, féline, pour m’agenouiller devant la table de Yuri, Isadora et Callum. Je posai un genou à terre, fis lentement glisser mes mains sur mon ventre, mes seins. Je plantai mes yeux dans ceux d’Isadora.

Et je tendis mes hanches vers eux, ma culotte noire bien visible, avec le petit badge n°17 qui brillait dans la lumière rouge.

Isadora me regarda longuement. Elle ne souriait pas. Elle me dévorait.

Puis elle se tourna vers le serveur et dit simplement :

— We choose number seventeen.

Callum approuva d’un mouvement de tête. Yuri me fixait, presque interdit. Mais je lus dans ses yeux autre chose : fierté.

Et désir.

Le taxi nous déposa devant une villa cachée dans la verdure, sur les hauteurs de Kata. Architecture contemporaine, bois sombre et verre, éclairée par des lampes suspendues à lumière chaude. À l’intérieur, un grand salon ouvert sur une terrasse et une piscine à débordement, dont les reflets bleus dansaient sur les murs. L’air sentait la mer, le citron vert, et déjà le désir.

Isadora et Callum nous accueillirent avec des sourires carnassiers. Isadora portait un kimono en soie rouge à peine fermé, Callum était torse nu, un verre à la main. Yuri me serrait contre lui par la taille, mais c’est vers Mali que je tournai les yeux. Elle semblait impressionnée, mais pas effrayée.

— Je n'ai pas trouvé de vin, dis-je simplement en montant Mali.

Isadora la détailla du regard, puis lui tendit la main sans dire un mot.

La soirée commença doucement.


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Verres servis, musique lancée, les chaussures tombèrent, les robes glissèrent. On se retrouva tous en sous-vêtements, dans la piscine, la peau luisante d’eau et de désir. Isadora nageait nue. Mali, timide au début, s’était laissée porter par la légèreté ambiante. Elle s’était assise sur le rebord, les jambes dans l’eau, seins nus, cheveux trempés collés à son dos.

Callum me caressa la taille sous l’eau. Yuri embrassait Isadora dans le cou. Et moi, je regardais Mali… jusqu’à m’approcher d’elle. Je glissai mes mains sur ses cuisses mouillées, remontai doucement jusqu’à ses hanches, et l’embrassai. Elle répondit à mon baiser comme une promesse.


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Plus tard, dans le salon, la musique avait changé. Plus lente. Plus grave. Nous dansions. Nus ou presque. Isadora dansait pour Callum, moi pour Yuri. Mali, d’abord sur le canapé, nous observait avec un mélange d’admiration et d’excitation.

Je me retournai. Je l’appelai d’un doigt. Elle me rejoignit.

Je la déshabillai complètement, devant eux. Lentement. Je fis glisser sa culotte sur ses chevilles, puis je la pris dans mes bras, sa peau douce contre la mienne, ses tétons durs effleurant les miens. Isadora s’approcha, caressa le dos de Mali, laissa glisser ses doigts jusqu’à ses fesses.

Les garçons nous regardaient. Trois corps bruns, mêlés dans une danse nue.


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La suite se perdit dans une enchaînement fluide et moite.

Yuri, debout contre la grande baie vitrée, entrait lentement en moi pendant que Mali me léchait les seins. Callum léchait Isadora allongée sur un tapis, ses jambes écartées sur ses épaules. Puis Yuri chevaucha Mali, lentement, la tenant par les poignets. Je glissai mes doigts dans le sexe de la Thaïlandaise pendant qu’elle suçait Cal, assis sur le canapé.

Les partenaires tournaient. Se cherchaient. Se retrouvaient.

Je baisai Isadora. Avec mes doigts, ma langue, tout ce que j’avais. Elle me guida jusqu’à son orgasme, haletante, tremblante, les cuisses ouvertes sous moi. Puis elle m’embrassa longtemps, salée, pleine, vivante.

Callum pénétra Mali pendant qu’elle était sur moi. Je sentais leurs mouvements à travers elle. Yuri caressait les seins d'Isa, ses doigts glissant sur ses lèvres mouillées.

Puis, à un moment, je sentis mon corps lâcher, complètement.

Isadora était entre mes jambes, ses doigts en moi, sa bouche sur mon clitoris, précise, féroce, dévouée. Elle murmurait des choses sales et tendres. Je gémissais, incapable de parler. Mon ventre se contracta violemment, ma respiration s’arrêta — et je giclai.

Un vrai jet. Un torrent de plaisir. Incontrôlable. Brutal. Pur.

Isadora reçut tout. Sur le menton, le cou, entre ses seins. Elle rit, sauvage, fière. Puis elle se pencha et lécha les dernières gouttes sur ma cuisse.

— Beautiful girl, souffla-t-elle.

La nuit avançait. Les corps avaient déjà été mêlés, les bouches offertes, les plaisirs partagés. Nous étions repartis dans la piscine, puis revenus sur les larges coussins du salon, trempés, détendus, mais toujours affamés.

Isadora, nue, allongée sur le tapis, léchait une goutte de vin qui avait roulé jusqu’au creux de son sein. Elle se redressa à quatre pattes et tendit la main vers Yuri, puis vers Callum, les attirant tous les deux vers elle.

— J’ai envie de vous tous les deux en souvenir de Lisbonne, souffla-t-elle.

Ils se regardèrent. Un long silence, chargé. Callum posa sa main sur la nuque de Yuri, le rapprocha de lui. Et leurs bouches se joignirent. Lentement d’abord. Puis avec plus de faim. Leurs langues se cherchaient, se goûtaient, se testaient. Leurs mains glissaient sur les torses, les hanches, les sexes.

Sur le canapé, je sentis Mali frémir contre moi.

— Ils sont beaux, murmura-t-elle en thaï, sans que je comprenne, mais je saisis le ton.

Ses doigts vinrent chercher les miens, entre mes cuisses. Nos jambes se croisèrent. Nos corps devenaient miroir.

Sur le tapis, Isadora était à genoux entre eux. Elle les suçait l'un après l'autre. Leurs queues dressées devant elle, en avalant un pendant que sa main masturbait l'autre. Les garçons s'embrassait à pleines bouches. J'étais fascinée de voir mon amant embrasser un autre homme. Mais ce n'était pas finit, voila que Yuri se positionne au coté d'Isadora et je les vois partager le sexe de Callum, elle lui passant la langue sur les couilles et Yuri avalant la hampe érigé de Cal.
Je sentais mon sexe trempé rien qu'à cette vision.

Les garçons la firent basculer entre eux, l’un embrassant sa bouche, l’autre ses reins. Puis Isador s'empala sur  Callum, lentement, dans un râle profond, pendant que Yuri lui glissait deux doigts dans la bouche.

Je vis Yuri s’agenouiller ensuite derrière Isa. Son sexe glissa entre les fesses de la brésiliennne pendant que Callum restait en elle. Une vague de tension pure parcourut la pièce. Leurs gémissements se mêlaient à ceux d’Isadora. Ses cheveux collaient à sa peau moite, ses mains agrippaient les coussins, son corps bougeait en rythme entre leurs hanches.

Mali écartait mes cuisses. Sa bouche frôla mon sein. Je l’embrassai. Nos doigts s’imbriquèrent, plongeant l’une dans l’autre. Nous jouissions à distance, à travers la beauté brute de ce que nous avions sous les yeux.

Sur le tapis, Isadora hurlait presque. Elle se cambrait, prise entre les deux hommes, le plaisir débordant de tous ses pores. Yuri se pencha vers Callum, l’embrassa à nouveau, cette fois plus violemment, leurs souffles confondus.

Je n’avais jamais vu ça. Jamais senti ce feu-là.

Yuri sortit de la brésilienne au moment crucial. Il éjacula en silence, le sperme jaillissant entre les reins d’Isadora ainsi que sur le sexe de son ami. Callum fit de même, quelques secondes plus tard, haletant, le visage noyé de plaisir.

Mali, entre mes bras, jouit dans un murmure, son front collé à mon épaule.

Et moi… je n’avais pas besoin de toucher plus. J’étais venue avec eux.



(à suivre)
Pas là juste pour les jolies  photos...
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Les avis des lecteurs

Histoire Erotique
Magnifique !! Incroyable histoire ultra sensuelle !!!

Tout pour le plaisir des sens ;

Merci,

Yass



Texte coquin : THAÏLANDE - PHUKET
Histoire sexe : Une rose rouge
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