Trio 1 : Coralie, Marjorie et Annick

Récit érotique écrit par Micky [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Trio 1 : Coralie, Marjorie et Annick
Cette série en trois épisodes met en scène des trios de femmes proches par leurs préoccupations, leur caractère et leur âge. Leurs confessions intimes fait état de leur sexualité dans un échange sans tabous, en toute confiance.
Coralie, Annick et Marjorie sont trois trentenaires travaillant dans la même entreprise et exerçant des emplois de bureau. Elles ont pris l'habitude de déjeuner ensemble à la cafeteria pour se raconter leurs petites joies ou misères. Coralie est une fille athlétique portant lunettes, férue de basket-ball qu'elle a pratiqué naguère. Marjorie est une brune à peau mate qui la fait ressembler à une espagnole, ce qu'elle n'est pas, joli minois mais un peu complexée par le bas de son corps qu'elle juge trop volumineux. Annick, brune également, est plus fine, c'est la secrétaire du patron, ce qui la rend particulièrement intéressante aux deux autres pour les infos qu'elle leur transmet.
Toutes les trois ont un point commun. Elles ont "un problème avec les mecs". Coralie vient de se faire larguer par son compagnon après cinq ans de vie commune : "il voulait réfléchir, tu parles. Sa réflexion, c'était une pouffiasse à ongles longs". A l'inverse, c'est Marjorie qui a quitté son compagnon pour son infidélité répétée, ce qu'elle lui a d'ailleurs bien rendu, soit dit en passant. Quant à Annick, c'est une déçue du mariage. Elle fait chambre à part avec son mari depuis un bail et envisage de divorcer. En attendant, elle couche de temps à autre avec son patron, c'est à dire qu'il la baise dans son bureau pour se défouler d'une journée chargée, une fois que l'entreprise s'est copieusement vidée. Coralie et Marjorie le savent mais gardent le secret, sans pour autant empêcher la rumeur de se diffuser, le patron ayant évoqué avec des proches ce "coup en or" qu'est Annick, laquelle se fait appeler Marie pour faire plus chic.
Bien que critiquant à loisirs l'élément masculin, les trois amies ne peuvent pas dissimuler une contradiction fondamentale. Elles ont des besoins à satisfaire et seuls les "mecs" peuvent y pourvoir. Aucune des trois n'envisage de renouer avec la conjugalité, si décevante, et si le "grand amour" les fait toujours rêver, elles sont suffisamment conscientes de la réalité des choses (à commencer par leur âge, proche de la quarantaine) pour comprendre qu'il sera de plus en plus hypothétique. En attendant, il faut bien baiser. Leur corps réclame d'être pénétré et sur ce plan, elles ont passé l'âge de faire des manières devant un bon "plan cul". Elles s'échangent les bons tuyaux et surtout les mauvais. Elles évitent au maximum de frayer avec des gars de la boite mais parfois, le corps a des raisons que la raison ne connait pas, comme le dit d'ailleurs Marie.
Ce jour là, devant sa salade composée pour ne pas trop grossir, Coralie leur raconte sa dernière aventure.
- Figurez-vous que l'autre soir, j'allais à un match de basket avec une copine et voilà qu'entre le parking et la salle, un grand type nous aborde, la cinquantaine alerte, crâne dégarni, élégant, pour nous parler du match à venir. C'est un ancien basketteur, nous dit-il. Mais dès qu'il nous parle, je l'ai reconnu. C'est monsieur R., notre député et président de je ne sais plus quoi. Et je ne tarde pas à comprendre que ce n'est pas ma copine qui l'intéresse mais moi. Ma parole, me dis-je, il me drague ! J'en suis baba. On papote tous les deux devant la porte, ma copine est déjà entrée, il demande ce que je fais et il me dit qu'il cherche quelqu'un pour son cabinet. Il me laisse sa carte et m'invite à diner pour le lendemain soir. Bien entendu, j'accepte. On ne refuse pas ce genre d'invitation. Mais je ne suis pas dupe. Je devine qu'il veut me baiser avant tout. Mais justement, ça fait un bail que je n'ai pas vu une bite en érection. Et me faire mettre par un type comme ça, je vous l'avoue, ça fait du bien à mon égo malmené depuis quelque temps.
- Ne nous fais pas languir. Tu as couché avec lui, oui ou non ? demande Marjorie, pendue aux lèvres de Coralie.
- Attends, ça ne s'est pas fait comme ça. Je l'ai fait mariner un peu. On a donc diné ensemble puis il m'a raccompagnée chez moi. Je lui fait un petit bisou sur les lèvres en le quittant, mais pas plus. Il m'a rappelée dès le lendemain. Il voulait absolument me revoir. A son bureau par exemple, en fin de journée. J'y suis allée, un peu tendue je l'avoue. La solennité du lieu m'intimidait. Pour une fois, j'avais mis une jupe, plutôt mini. A peine entrée, il a fermé son bureau à clé et m'a collée contre la porte pour m'embrasser. J'étais coincée. C'était la paire de claques ou la reddition.
- Et tu as cédé. Je sais ce que c'est, commente Marie, en pensant à son patron et son bureau.
- Ben oui. De sentir sa queue tendue contre mon ventre, ça m'a fait comme une décharge électrique. Il m'a trainée vers son bureau pour m'y faire asseoir, a fait courir sa langue sur mes cuisses et je n'ai rien fait pour l'empêcher d'ôter mon slip sous ma mini. Dès que sa langue a couru sur ma chatte, je n'ai plus qu'une envie : qu'il me mette sa queue là où elle devait aller. Il m'a baisée à la hussarde, jupe retroussée, lui pantalon aux chevilles. Honnêtement, j'adore ça.
- Moi aussi, ajoute Marie, émoustillée.
Il voulait quand même me voir à poil et moi aussi, je voulais voir à quoi il ressemble, ce notable. On a baisé complètement nus à même le sol. C'était tellement bon que je le suppliais de continuer, évitant de trop remuer malgré l'envie que j'en avais, pour ne pas le faire éjaculer trop tôt. Quand j'ai senti mon orgasme monter, j'ai crié "ouiii maintenant"" et il a tout lâché, essentiellement sur le sol, ce qui nous a obligé à éponger après en rigolant. C'était vraiment un bon amant.
- Ah bon, "c'était", dit Marjorie.
- Ben oui, c'était un coup en passant. Il est marié, il a des électeurs, je suis réaliste. Et puis, je ne suis pas la fille qu'on sonne quand on a un besoin à satisfaire.
- Mouais... Je n'en suis pas aussi sûre que toi, dit Marie, qui se sent un peu visée.
- En tout ca, moi, un coup vite fait, je signe. Cela fait du bien aux hormones et à la tête. D'ailleurs, je vais vous raconter ma dernière histoire de cul. Vous le savez, j'ai déménagé récemment et une fois installée, j'ai voulu inviter les voisins de mon palier pour ma pendaison de crémaillère. C'était des gens essentiellement jeunes et parmi eux, j'ai tout de suite flashé sur un petit mec râblé et tatoué mais avec des yeux qui me transperçaient. Plus la soirée avançait et plus j'étais chaude, pas seulement à cause des mojitos.
Alors que j'étais dans la cuisine pour aller chercher d'autres verres, il est venu derrière moi et m'a embrassée dans le cou. J'ai fondu illico. Je l'ai pris par la main et l'ai entrainé dans ma chambre pendant que les autres riaient et picolaient, une bonne dizaine de personne. Il était dur de partout, on a baisé comme des fous, il m'a même enculée car il m'a dit adorer mon cul, ce qui m'a fait plaisir car je le trouve trop gros. En principe, je n'aime pas trop la sodomie, ça me fait assez mal mais il s'y est pris d'une telle façon que c'est entré assez vite et d'entendre sa peau claquer contre mes fesses et sentir ses couilles battre contre ma chatte, ça m'a vraiment fait jouir. J'ai dû pousser un cri car on a frappé à la porte de ma chambre pour savoir si ça allait. J'ai entendu rigoler, ils ont compris que la locataire se faisait baiser. Quand on a fini par sortir, tout le monde était parti. Il est resté dormir chez moi, on a rebaisé deux fois avant qu'il ne reparte au petit matin. Il n'était pas locataire sur place, juste le copain d'un voisin. Pour l'instant, on en est là. Je ne l'ai pas encore revu.
- C'est vraiment le cas typique d'un coup d'un soir, remarque Coralie.
- Oui et vos histoires commencent à m'échauffer, poursuit Annick, alias Marie. Je pense que je vais rentrer tard ce soir et faire des heures sup chez le patron.
- Et toi ? Comment ça se passe ? Vous faites toujours ça dans le bureau ? interroge Marjorie.
- Pas forcément. Récemment, mon mari s'était échappé avec les enfants chez ses parents et j'étais seule à la maison. J'en ai informé le patron qui a sauté sur l'occasion. Et sur moi en même temps. On a baisé dans ma chambre face à l'armoire à glace. Nous regarder baiser, c'était vraiment le pied par rapport à nos ébats à la hussarde dans le bureau. "Tu es belle quand tu baises", me disait-il pendant qu'il me prenait en levrette devant l'armoire. Flatteur, non ? Mais il y a eu un problème.
- Ah bon ? Raconte ! commentent les deux autres.
- Ben, mon mari est arrivé pour récupérer un jouet dont ma gamine voulait absolument. Forcément, on faisait un peu de bruit, surtout moi et quand il a ouvert la porte de ma chambre, il est tombé nez à nez avec moi prise par derrière sur mon lit. J'ai pensé à cette scène que vous avez peut-être vue dans ce fameux film, les galettes de Pont Aven, où Jean-Pierre Marielle, arrivé chez lui à l'improviste, trouve sa femme dans la même position avec son amant en train de la ramoner en levrette et qui lui dit "qu'est-ce que tu fais là ?" C'est exactement ce que lui ai dit, ce qui était idiot. Comme Marielle, il est parti sans rien dire mais évidemment, ça n'a pas arrangé mes affaires pour mon futur divorce.
- Et qu'a fait le patron alors ?
- Il a débandé et il est rentré chez lui. Cet impromptu lui a coupé ses effets. Finalement, on a conclu que c'était mieux d'aller à l'hôtel de temps en temps, comme un vrai couple adultère. Bon, mais c'est pas tout ça, l'heure tourne et le boulot nous attend.
Et les trois amies rangèrent leur plateau repas avant de regagner leur poste de travail, forcément émoustillées par ces récits autobiographiques. Elles ont envie de se caresser les seins et de se masturber mais très vite, leur tâche les accapare et leur libido se calme. Tout en sachant que c'est provisoire.
A SUIVRE
Coralie, Annick et Marjorie sont trois trentenaires travaillant dans la même entreprise et exerçant des emplois de bureau. Elles ont pris l'habitude de déjeuner ensemble à la cafeteria pour se raconter leurs petites joies ou misères. Coralie est une fille athlétique portant lunettes, férue de basket-ball qu'elle a pratiqué naguère. Marjorie est une brune à peau mate qui la fait ressembler à une espagnole, ce qu'elle n'est pas, joli minois mais un peu complexée par le bas de son corps qu'elle juge trop volumineux. Annick, brune également, est plus fine, c'est la secrétaire du patron, ce qui la rend particulièrement intéressante aux deux autres pour les infos qu'elle leur transmet.
Toutes les trois ont un point commun. Elles ont "un problème avec les mecs". Coralie vient de se faire larguer par son compagnon après cinq ans de vie commune : "il voulait réfléchir, tu parles. Sa réflexion, c'était une pouffiasse à ongles longs". A l'inverse, c'est Marjorie qui a quitté son compagnon pour son infidélité répétée, ce qu'elle lui a d'ailleurs bien rendu, soit dit en passant. Quant à Annick, c'est une déçue du mariage. Elle fait chambre à part avec son mari depuis un bail et envisage de divorcer. En attendant, elle couche de temps à autre avec son patron, c'est à dire qu'il la baise dans son bureau pour se défouler d'une journée chargée, une fois que l'entreprise s'est copieusement vidée. Coralie et Marjorie le savent mais gardent le secret, sans pour autant empêcher la rumeur de se diffuser, le patron ayant évoqué avec des proches ce "coup en or" qu'est Annick, laquelle se fait appeler Marie pour faire plus chic.
Bien que critiquant à loisirs l'élément masculin, les trois amies ne peuvent pas dissimuler une contradiction fondamentale. Elles ont des besoins à satisfaire et seuls les "mecs" peuvent y pourvoir. Aucune des trois n'envisage de renouer avec la conjugalité, si décevante, et si le "grand amour" les fait toujours rêver, elles sont suffisamment conscientes de la réalité des choses (à commencer par leur âge, proche de la quarantaine) pour comprendre qu'il sera de plus en plus hypothétique. En attendant, il faut bien baiser. Leur corps réclame d'être pénétré et sur ce plan, elles ont passé l'âge de faire des manières devant un bon "plan cul". Elles s'échangent les bons tuyaux et surtout les mauvais. Elles évitent au maximum de frayer avec des gars de la boite mais parfois, le corps a des raisons que la raison ne connait pas, comme le dit d'ailleurs Marie.
Ce jour là, devant sa salade composée pour ne pas trop grossir, Coralie leur raconte sa dernière aventure.
- Figurez-vous que l'autre soir, j'allais à un match de basket avec une copine et voilà qu'entre le parking et la salle, un grand type nous aborde, la cinquantaine alerte, crâne dégarni, élégant, pour nous parler du match à venir. C'est un ancien basketteur, nous dit-il. Mais dès qu'il nous parle, je l'ai reconnu. C'est monsieur R., notre député et président de je ne sais plus quoi. Et je ne tarde pas à comprendre que ce n'est pas ma copine qui l'intéresse mais moi. Ma parole, me dis-je, il me drague ! J'en suis baba. On papote tous les deux devant la porte, ma copine est déjà entrée, il demande ce que je fais et il me dit qu'il cherche quelqu'un pour son cabinet. Il me laisse sa carte et m'invite à diner pour le lendemain soir. Bien entendu, j'accepte. On ne refuse pas ce genre d'invitation. Mais je ne suis pas dupe. Je devine qu'il veut me baiser avant tout. Mais justement, ça fait un bail que je n'ai pas vu une bite en érection. Et me faire mettre par un type comme ça, je vous l'avoue, ça fait du bien à mon égo malmené depuis quelque temps.
- Ne nous fais pas languir. Tu as couché avec lui, oui ou non ? demande Marjorie, pendue aux lèvres de Coralie.
- Attends, ça ne s'est pas fait comme ça. Je l'ai fait mariner un peu. On a donc diné ensemble puis il m'a raccompagnée chez moi. Je lui fait un petit bisou sur les lèvres en le quittant, mais pas plus. Il m'a rappelée dès le lendemain. Il voulait absolument me revoir. A son bureau par exemple, en fin de journée. J'y suis allée, un peu tendue je l'avoue. La solennité du lieu m'intimidait. Pour une fois, j'avais mis une jupe, plutôt mini. A peine entrée, il a fermé son bureau à clé et m'a collée contre la porte pour m'embrasser. J'étais coincée. C'était la paire de claques ou la reddition.
- Et tu as cédé. Je sais ce que c'est, commente Marie, en pensant à son patron et son bureau.
- Ben oui. De sentir sa queue tendue contre mon ventre, ça m'a fait comme une décharge électrique. Il m'a trainée vers son bureau pour m'y faire asseoir, a fait courir sa langue sur mes cuisses et je n'ai rien fait pour l'empêcher d'ôter mon slip sous ma mini. Dès que sa langue a couru sur ma chatte, je n'ai plus qu'une envie : qu'il me mette sa queue là où elle devait aller. Il m'a baisée à la hussarde, jupe retroussée, lui pantalon aux chevilles. Honnêtement, j'adore ça.
- Moi aussi, ajoute Marie, émoustillée.
Il voulait quand même me voir à poil et moi aussi, je voulais voir à quoi il ressemble, ce notable. On a baisé complètement nus à même le sol. C'était tellement bon que je le suppliais de continuer, évitant de trop remuer malgré l'envie que j'en avais, pour ne pas le faire éjaculer trop tôt. Quand j'ai senti mon orgasme monter, j'ai crié "ouiii maintenant"" et il a tout lâché, essentiellement sur le sol, ce qui nous a obligé à éponger après en rigolant. C'était vraiment un bon amant.
- Ah bon, "c'était", dit Marjorie.
- Ben oui, c'était un coup en passant. Il est marié, il a des électeurs, je suis réaliste. Et puis, je ne suis pas la fille qu'on sonne quand on a un besoin à satisfaire.
- Mouais... Je n'en suis pas aussi sûre que toi, dit Marie, qui se sent un peu visée.
- En tout ca, moi, un coup vite fait, je signe. Cela fait du bien aux hormones et à la tête. D'ailleurs, je vais vous raconter ma dernière histoire de cul. Vous le savez, j'ai déménagé récemment et une fois installée, j'ai voulu inviter les voisins de mon palier pour ma pendaison de crémaillère. C'était des gens essentiellement jeunes et parmi eux, j'ai tout de suite flashé sur un petit mec râblé et tatoué mais avec des yeux qui me transperçaient. Plus la soirée avançait et plus j'étais chaude, pas seulement à cause des mojitos.
Alors que j'étais dans la cuisine pour aller chercher d'autres verres, il est venu derrière moi et m'a embrassée dans le cou. J'ai fondu illico. Je l'ai pris par la main et l'ai entrainé dans ma chambre pendant que les autres riaient et picolaient, une bonne dizaine de personne. Il était dur de partout, on a baisé comme des fous, il m'a même enculée car il m'a dit adorer mon cul, ce qui m'a fait plaisir car je le trouve trop gros. En principe, je n'aime pas trop la sodomie, ça me fait assez mal mais il s'y est pris d'une telle façon que c'est entré assez vite et d'entendre sa peau claquer contre mes fesses et sentir ses couilles battre contre ma chatte, ça m'a vraiment fait jouir. J'ai dû pousser un cri car on a frappé à la porte de ma chambre pour savoir si ça allait. J'ai entendu rigoler, ils ont compris que la locataire se faisait baiser. Quand on a fini par sortir, tout le monde était parti. Il est resté dormir chez moi, on a rebaisé deux fois avant qu'il ne reparte au petit matin. Il n'était pas locataire sur place, juste le copain d'un voisin. Pour l'instant, on en est là. Je ne l'ai pas encore revu.
- C'est vraiment le cas typique d'un coup d'un soir, remarque Coralie.
- Oui et vos histoires commencent à m'échauffer, poursuit Annick, alias Marie. Je pense que je vais rentrer tard ce soir et faire des heures sup chez le patron.
- Et toi ? Comment ça se passe ? Vous faites toujours ça dans le bureau ? interroge Marjorie.
- Pas forcément. Récemment, mon mari s'était échappé avec les enfants chez ses parents et j'étais seule à la maison. J'en ai informé le patron qui a sauté sur l'occasion. Et sur moi en même temps. On a baisé dans ma chambre face à l'armoire à glace. Nous regarder baiser, c'était vraiment le pied par rapport à nos ébats à la hussarde dans le bureau. "Tu es belle quand tu baises", me disait-il pendant qu'il me prenait en levrette devant l'armoire. Flatteur, non ? Mais il y a eu un problème.
- Ah bon ? Raconte ! commentent les deux autres.
- Ben, mon mari est arrivé pour récupérer un jouet dont ma gamine voulait absolument. Forcément, on faisait un peu de bruit, surtout moi et quand il a ouvert la porte de ma chambre, il est tombé nez à nez avec moi prise par derrière sur mon lit. J'ai pensé à cette scène que vous avez peut-être vue dans ce fameux film, les galettes de Pont Aven, où Jean-Pierre Marielle, arrivé chez lui à l'improviste, trouve sa femme dans la même position avec son amant en train de la ramoner en levrette et qui lui dit "qu'est-ce que tu fais là ?" C'est exactement ce que lui ai dit, ce qui était idiot. Comme Marielle, il est parti sans rien dire mais évidemment, ça n'a pas arrangé mes affaires pour mon futur divorce.
- Et qu'a fait le patron alors ?
- Il a débandé et il est rentré chez lui. Cet impromptu lui a coupé ses effets. Finalement, on a conclu que c'était mieux d'aller à l'hôtel de temps en temps, comme un vrai couple adultère. Bon, mais c'est pas tout ça, l'heure tourne et le boulot nous attend.
Et les trois amies rangèrent leur plateau repas avant de regagner leur poste de travail, forcément émoustillées par ces récits autobiographiques. Elles ont envie de se caresser les seins et de se masturber mais très vite, leur tâche les accapare et leur libido se calme. Tout en sachant que c'est provisoire.
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3 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Une nouvelle série particulièrement intéressante!
Confidences pour pour confidences...
Micky,
Hummmm c'est chaud!!!
Vivement le prochain récit afin de connaitre la suite des péripéties sexuelles de ces trois trentenaires totalement libres de vivre leur sexualité.
Félicitations et bravo pour vos écrits.
Didier
Micky,
Hummmm c'est chaud!!!
Vivement le prochain récit afin de connaitre la suite des péripéties sexuelles de ces trois trentenaires totalement libres de vivre leur sexualité.
Félicitations et bravo pour vos écrits.
Didier
Histoire parfaitement écrite, décrivant joyeusement les échanges entre filles, probablement plus "cash" que les échanges entre hommes où se mêlent les vantards et les modestes...
Les trois scènes sont sympa, très érotiques, un peu moins pour la dernière...
Bravo !
Les trois scènes sont sympa, très érotiques, un peu moins pour la dernière...
Bravo !

