Trio 2 Marie, Joëlle et Virginie

Récit érotique écrit par Micky [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Trio 2 Marie, Joëlle et Virginie
Suite à l'épisode précédent, nous poursuivons cette série de confessions de trois femmes mariées qui se rapprochent par leur physique.
Elles s'appellent Marie, Virginie et Joëlle. La première a 28 ans, elle est pâtissière et exerce avec son mari dans leur commerce. Elle a un enfant en bas âge. La deuxième a 45 ans, elle est consultante immobilier et est également mariée avec un enfant pré adolescent. La troisième a 55 ans, elle est mariée avec un homme frappé par la maladie d'Alzheimer et pour cette raison en hébergement spécialisé. Point commun de ces trois femmes : leur physique. Elles sont de petite taille, trapues, fortes en buste, en fesses et en jambes, ce qui ne les classe pas dans la catégorie des femmes séduisantes dans les canons actuels de la beauté, bien que leur visage soit attrayant et sauve un peu leur mise d'un certain point de vue.
Toutes se connaissent suffisamment pour se retrouver de temps à autre devant un café ou un thé, en général chez Marie quand celle-ci n'est pas accaparée pour le service pâtissier, c'est à dire souvent après la fermeture où elle peut enfin se détendre et lâcher prise. C'est l'occasion pour ces trois femmes de se raconter leur quotidien, d'évoquer leur sexualité sans tabou, fortement différente vu leur âge. Mais avec cependant un point commun : toutes les trois "aiment ça". Entendez le corps de l'homme, la pénétration et l'exaltation qui en résulte.
Marie est ce jour là en veine de confidence. Elle raconte qu'un client la drague régulièrement sans se préoccuper de la présence voisine, dans sa cuisine, de son mari pâtissier.
- Au début, j'étais franchement gênée. Il venait régulièrement prendre un café pour lire le journal en même temps et je voyais bien qu'il matait mes seins avec insistance. Je sentais son regard sur mes fesses quand je venais de le servir. Mais c'est un bel homme, la quarantaine sportive, légèrement barbu, un regard bleu qui vous transperce. On a engagé la conversation. Il est actuellement au chômage et il a du temps libre mais comme il est cadre, il dit pouvoir attendre qu'un emploi se dégage. J'ai fini par accepter qu'il me déshabille des yeux et je dois même vous avouer que ça me flattait. J'ai un problème avec mon corps. Je voudrais maigrir mais je n'y arrive pas. Je lui en ai même parler et il m'a dit : "surtout pas, restez comme vous êtes, vous êtes très belle comme ça, j'ai horreur des femmes maigrichonnes".
Bref, de fil en aiguille, on a sympathisé, j'espérais même sa venue le matin en prenant mon service, quand il n'y a encore pas trop de monde et qu'on peut discuter un peu. Il faut dire que dans le même temps, Jérôme, mon mari, est tellement accaparé par son travail qu'il est crevé le soir et ne me fait plus l'amour. Or, j'aime ça, vraiment ça. Mon corps me le dit et quand je parle avec l'homme qui s'appelle Ronald, je sens dans mon ventre une chaleur qui ne me trompe pas. Une sensation de vide que seule un pénis bien raide peut combler. Je la sens même dans mon cul, c'est vous dire.
Est-ce qu'il l'a deviné ? Toujours est-il qu'il m'a interrogée sur mes relations intimes avec mon mari. Je suis restée vague mais il était évident que j'étais frustrée. Mais de là à tromper Jérôme, non, je ne m'en sentais pas capable. Cet homme avait manifestement une telle envie de me baiser qu'il a fini par me la communiquer et je me trouvais dans une impasse douloureuse. Alors, il a osé et m'a dit : "je veux vous faire l'amour mais pas en catimini. Parlez à votre mari. Expliquez-lui la situation. Proposez-lui un plan à trois".
J'en suis tombée sur mes grosses fesses. Jamais je n'aurais imaginé d'en arriver là. Mais j'ai vite compris que c'était LA solution. J'ai fini par en parler à Jérôme, à mots couverts et sa réaction a été stupéfiante : "tu crois que je ne sais pas que ce type veut te sauter ? Ce qui me surprend, c'est que ce ne soit pas encore arrivé. Tu en meurs d'envie. Je sais que je ne te satisfais pas sur le plan sexe. Le boulot m'accapare trop. Mais je veux te garder. Couche avec lui, mais pas dans mon dos. Faites-le ici, devant moi. Je veux vous regarder baiser car ce ne sera que de la baise.
Je l'ai embrassé avec passion pour le remercier de sa compréhension. Jérôme ne serait pas vraiment cocu et c'est ce qui m'importait. J'ai informé Ronald qui a eu un grand sourire : "je m'en doutais", dit-il. Et dès le soir même car nous ne pouvions plus attendre, j'étais nue sur le lit conjugal et lui nu aussi, Jérôme assis sur une chaise au bord du lit, débraguetté, la main sur la queue.
J'ai connu alors une jouissance rare. Ronald m'a d'abord dégustée comme un gros gâteau, faisant courir sa langue de mes orteils à mes lèvres, s'attardant sur mon sexe et mon anus, mais surtout sur mes seins qu'il pétrissait avec volupté tout en les léchant. Il m'a réclamée une cravate de notaire "parce que tu as les plus beaux seins que j'ai jamais vus", ce qui m'a évidemment flattée. Je n'en pouvais plus de désir et je l'ai imploré : "baise-moi, je t'en supplie, je n'en peux plus".
Ce fut alors une folle sarabande. Je n'arrêtais pas de gigoter, sur lui ou sous lui et il me pilonnait au même rythme et c'était exactement ce que je voulais : du sexe physique. Il était très dur, très long, très puissant. Je n'avais jamais autant ressenti d'être baisée. Quand il m'a prise par derrière, Jérôme m'a tendu sa queue à sucer et j'ai complètement lâché prise comme si j'étais rassurée. "Encule-la", a dit mon mari à mon amant et celui-ci ne s'est pas fait prier. D'entendre la peau de son ventre claquer sur mes grosses fesses et sa queue fouiller mes entrailles m'a procuré une joie inédite à tel point que j'ai hurlé de plaisir. Mon corps ne me faisait plus honte, il exultait, il vibrait. Il a giclé dans mon rectum, sans capote, mais je m'en fichais. Jérôme a arrosé mon visage de son sperme, comme si ma jouissance l'avait fait jouir, c'était vraiment l'accord parfait.
On a remis ça une heure plus tard après avoir discuté. Ce fut plus long, moins fougueux mais cette fois, Jérôme m'a pénétrée car il était surexcité. Et c'est Ronald qui m'a tendu sa queue à sucer en même temps. J'ai fini repue, apaisée, satisfaite. Avec une seule idée en tête : remettre ça.
- Et alors ? Il est devenu ton amant régulier ? interroge Virginie, pendue aux paroles de Marie.
- Hélas non. Il a fini par trouver du travail, mais ailleurs, assez loin de chez nous. Il a promis de nous retrouver mais son boulot l'accapare et il se fait attendre. Heureusement, cette expérience a fait comprendre à Jérôme qu'il ne devait plus me négliger. On fait plus souvent l'amour, mais on ne baise pas vraiment et ça me manque.
- Ce que tu dis en faisant la différence entre baiser et faire l'amour m'interpelle, dit la quinquagénaire Joëlle. J'en suis là aussi. Vous le savez, mon cher mari n'est plus lui-même à cause de sa maladie. C'est à peine s'il me reconnait. J'ai tenté discrètement dans sa chambre de réveiller sa sexualité en lui taillant une pipe mais ça n'a pas marché et je me suis sentie encore plus frustrée. Son frère, un peu plus jeune, me rend souvent visite. Au début, c'était pour un soutien moral mais je me suis vite aperçue qu'il avait autre chose en tête. Il me déshabillait des yeux, fixait mes seins et un jour que je préparais le café, il est venu derrière moi et les a pris en mains tout en m'embrassant dans le cou en me disant :"j'ai toujours eu envie de toi". J'aurais dû réagir aussitôt, m'indigner de son initiative, le gifler peut-être mais j'ai senti sa queue dure contre mes fesses et j'ai craqué net. J'ai toujours aimé le sexe et ça me manquait énormément depuis la maladie de mon mari, avec lequel c'était une drogue dure.
J'étais en robe, sa main a glissé entre mes cuisses jusqu'à ma culotte et je l'ai aidé à la faire glisser. Il m'a masturbée tout en me pétrissant les seins et de l'autre main, il a libéré sa queue. J'ai senti ce qu'il voulait. Toujours devant la machine à café, je me suis cambrée, il m'a troussée et il m'a enfilée entièrement, d'une seule poussée, tellement j'étais chaude et disponible. Ce fut le début d'un coït passionné, fougueux car comme ton amant Marie, Bertrand (c'est son prénom) est très puissant, très endurant. Il m'a assise sur la table de la cuisine et m'a prise de face, le nez dans mes nichons que j'avais évidemment dégagés, il s'en gavait tout en me limant en me disant qu'il avait toujours rêvé de les voir nus.
Puis on a gagné le lit, lui toujours raide, moi en train de me mettre définitivement à poil. Ce qu'on a fait alors, je ne peux pas vous le raconter en détail mais c'était un vrai corps à corps, bruyant, presque sauvage. Il avait une furieuse envie de me baiser et moi une furieuse envie qu'il me baise. Totalement, complètement, sans tabous. Moi aussi, Marie, je me suis fait enculer mais pas en levrette : assise sur sa queue, face à lui. Très profondément. Je lui ai aussi léché et doigté le trou du cul, ce qu'on ne lui avait jamais fait avant. Je ne sais plus combien de temps ça a duré, il est resté dormir à la maison et il a éjaculé trois fois, il avait des réserves et moi aussi.
Après, j'ai eu un peu honte d'avoir trompé mon mari malade mais il m'a déculpabilisée et me disant : "imagine que c'est avec lui que tu baises". C'est vrai qu'ils se ressemblent un peu et il aime autant mes fesses et mes nichons que mon mari, il adore les femmes bien en chair. Et quel baiseur ! Le seul regret, je ne vous l'ai pas dit, c'est qu'il est toujours marié et il doit faire gaffe. Cela limite nos ébats. La première fois, sa femme était absente et il en avait profité. De toute façon, même s'il voulait divorcer, je ne pourrais pas me marier avec lui tant que mon mari est vivant. C'est donc une relation adultère épisodique.
- Vos récits m'excitent et en même temps me rassurent, réagit Virginie, la consultante immobilier. Moi aussi, je cède à mes pulsions sans rompre pour autant avec la conjugalité à laquelle je tiens par-dessus tout. C'est mon vice, que voulez-vous. Comme l'envie de fumer, je ne résiste pas à une partie de jambes en l'air quand l'occasion se présente en dehors du foyer conjugal où, il faut l'avouer, c'est devenu assez routinier. Vous le voyez bien, pas plus que vous, je ne suis un canon. J'ai de grosses jambes, un gros cul et des gros nichons mais je suis toujours épatée de voir qu'il y a toujours des amateurs côté masculin. Je ne sais pas pourquoi mais beaucoup devinent que je suis une femme qui baise. Cela doit se voir sur ma figure, même à 45 balais.
Il faut dire que mon métier m'y prédispose. Je fais souvent visiter des maisons ou des appartements vides et curieusement, cela me met dans des dispositions érotiques. Evidemment pas quand un couple m'accompagne mais si c'est un homme seul pour un petit appartement par exemple, je me sens toute émoustillée. C'est arrivé récemment. Je faisais découvrir un deux pièces à un homme récemment divorcé et dans cette perspective, j'avais revêtu une tunique qui masquait un peu mes fesses mais très ouverte sur le devant si bien que mes seins débordaient de mon soutif. J'ai tout de suite vu le regard de l'homme s'allumer. La visite se prolongeait un plus longtemps que la normale, comme si on se tournait autour. Lorsque je me suis mise devant la fenêtre pour lui faire admirer une nouvelle fois la vue sur les toits, il s'est mis derrière moi, m'a enlacée et a fait remonter ses mains sur mes seins. Comme toi Joëlle avec ton beau-frère, j'aurais pu me retourner et le renvoyer paitre, au lieu de quoi j'ai glissé une main dans mon dos à la recherche de sa queue. Bien raide.
"Tu as envie ici ?" m'a dit l'homme, très échauffé. Tout en regardant dehors, j'ai juste opiné du chef. Je l'ai laissé enlever mon pantalon et mon slip, j'ai ôté moi-même ma tunique et mon soutif et il m'a prise debout, face à la fenêtre, bien dur mais pas brutal. J'ai joui une première fois et je suis retournée en le voyant pantalon baissé. Accroupie, je lui ai sucé la bite avant de le faire allonger à même le sol après l'avoir entièrement dévêtu. Je voulais le voir nu. C'est important pour mon plaisir d'être en corps à corps sans entrave. Je me suis empalée sur lui, d'abord à genoux puis sur mes pieds. Mes seins agités battaient mon torse, ça faisait clac-clac dans l'appartement et il tressautait sous moi, c'était vraiment de la bonne baise.
J'ai voulu qu'il jouisse dans mon cul pour ne pas laisser de trace suspecte dans mon vagin au cas où mon mari aurait voulu, on ne sait jamais, me sauter à peine descendue de voiture, c'est déjà arrivé. De toute façon, j'aime ça aussi, le petit trou. Il était enchanté, il me le disait en m'enculant, son ex était rétive à ça. J'ai complètement lâché prise en clamant mon plaisir sans risquer d'être entendue. Et bien sûr, l'homme a pris l'appartement, ce qui était aussi le but recherché.
Quand on s'est retrouvé à l'agence pour la signature, on a fait comme si rien ne s'était passé et j'ai apprécié. Il m'a juste dit à l'oreille en partant : "c'était génial, tu as mon numéro de portable si le coeur t'en dit".
- Et tu as donné suite ? interroge Marie.
- Non, pas encore mais on ne sait jamais. D'ailleurs, depuis, je me suis tapé un petit jeune dans un studio, vide également. Toujours cette envie de baiser en visite. Et je crois que ce n'est pas près de s'achever.
- Bon, conclut Marie, je crois qu'on s'est à peu près tout dit pour cette fois. Inutile de vous dire que je vais conter fleurette à Jérôme tout à l'heure, vous m'avez mis le feu toutes les deux.
Et les trois de rire ensemble, heureuses de cette complicité érotique.
Elles s'appellent Marie, Virginie et Joëlle. La première a 28 ans, elle est pâtissière et exerce avec son mari dans leur commerce. Elle a un enfant en bas âge. La deuxième a 45 ans, elle est consultante immobilier et est également mariée avec un enfant pré adolescent. La troisième a 55 ans, elle est mariée avec un homme frappé par la maladie d'Alzheimer et pour cette raison en hébergement spécialisé. Point commun de ces trois femmes : leur physique. Elles sont de petite taille, trapues, fortes en buste, en fesses et en jambes, ce qui ne les classe pas dans la catégorie des femmes séduisantes dans les canons actuels de la beauté, bien que leur visage soit attrayant et sauve un peu leur mise d'un certain point de vue.
Toutes se connaissent suffisamment pour se retrouver de temps à autre devant un café ou un thé, en général chez Marie quand celle-ci n'est pas accaparée pour le service pâtissier, c'est à dire souvent après la fermeture où elle peut enfin se détendre et lâcher prise. C'est l'occasion pour ces trois femmes de se raconter leur quotidien, d'évoquer leur sexualité sans tabou, fortement différente vu leur âge. Mais avec cependant un point commun : toutes les trois "aiment ça". Entendez le corps de l'homme, la pénétration et l'exaltation qui en résulte.
Marie est ce jour là en veine de confidence. Elle raconte qu'un client la drague régulièrement sans se préoccuper de la présence voisine, dans sa cuisine, de son mari pâtissier.
- Au début, j'étais franchement gênée. Il venait régulièrement prendre un café pour lire le journal en même temps et je voyais bien qu'il matait mes seins avec insistance. Je sentais son regard sur mes fesses quand je venais de le servir. Mais c'est un bel homme, la quarantaine sportive, légèrement barbu, un regard bleu qui vous transperce. On a engagé la conversation. Il est actuellement au chômage et il a du temps libre mais comme il est cadre, il dit pouvoir attendre qu'un emploi se dégage. J'ai fini par accepter qu'il me déshabille des yeux et je dois même vous avouer que ça me flattait. J'ai un problème avec mon corps. Je voudrais maigrir mais je n'y arrive pas. Je lui en ai même parler et il m'a dit : "surtout pas, restez comme vous êtes, vous êtes très belle comme ça, j'ai horreur des femmes maigrichonnes".
Bref, de fil en aiguille, on a sympathisé, j'espérais même sa venue le matin en prenant mon service, quand il n'y a encore pas trop de monde et qu'on peut discuter un peu. Il faut dire que dans le même temps, Jérôme, mon mari, est tellement accaparé par son travail qu'il est crevé le soir et ne me fait plus l'amour. Or, j'aime ça, vraiment ça. Mon corps me le dit et quand je parle avec l'homme qui s'appelle Ronald, je sens dans mon ventre une chaleur qui ne me trompe pas. Une sensation de vide que seule un pénis bien raide peut combler. Je la sens même dans mon cul, c'est vous dire.
Est-ce qu'il l'a deviné ? Toujours est-il qu'il m'a interrogée sur mes relations intimes avec mon mari. Je suis restée vague mais il était évident que j'étais frustrée. Mais de là à tromper Jérôme, non, je ne m'en sentais pas capable. Cet homme avait manifestement une telle envie de me baiser qu'il a fini par me la communiquer et je me trouvais dans une impasse douloureuse. Alors, il a osé et m'a dit : "je veux vous faire l'amour mais pas en catimini. Parlez à votre mari. Expliquez-lui la situation. Proposez-lui un plan à trois".
J'en suis tombée sur mes grosses fesses. Jamais je n'aurais imaginé d'en arriver là. Mais j'ai vite compris que c'était LA solution. J'ai fini par en parler à Jérôme, à mots couverts et sa réaction a été stupéfiante : "tu crois que je ne sais pas que ce type veut te sauter ? Ce qui me surprend, c'est que ce ne soit pas encore arrivé. Tu en meurs d'envie. Je sais que je ne te satisfais pas sur le plan sexe. Le boulot m'accapare trop. Mais je veux te garder. Couche avec lui, mais pas dans mon dos. Faites-le ici, devant moi. Je veux vous regarder baiser car ce ne sera que de la baise.
Je l'ai embrassé avec passion pour le remercier de sa compréhension. Jérôme ne serait pas vraiment cocu et c'est ce qui m'importait. J'ai informé Ronald qui a eu un grand sourire : "je m'en doutais", dit-il. Et dès le soir même car nous ne pouvions plus attendre, j'étais nue sur le lit conjugal et lui nu aussi, Jérôme assis sur une chaise au bord du lit, débraguetté, la main sur la queue.
J'ai connu alors une jouissance rare. Ronald m'a d'abord dégustée comme un gros gâteau, faisant courir sa langue de mes orteils à mes lèvres, s'attardant sur mon sexe et mon anus, mais surtout sur mes seins qu'il pétrissait avec volupté tout en les léchant. Il m'a réclamée une cravate de notaire "parce que tu as les plus beaux seins que j'ai jamais vus", ce qui m'a évidemment flattée. Je n'en pouvais plus de désir et je l'ai imploré : "baise-moi, je t'en supplie, je n'en peux plus".
Ce fut alors une folle sarabande. Je n'arrêtais pas de gigoter, sur lui ou sous lui et il me pilonnait au même rythme et c'était exactement ce que je voulais : du sexe physique. Il était très dur, très long, très puissant. Je n'avais jamais autant ressenti d'être baisée. Quand il m'a prise par derrière, Jérôme m'a tendu sa queue à sucer et j'ai complètement lâché prise comme si j'étais rassurée. "Encule-la", a dit mon mari à mon amant et celui-ci ne s'est pas fait prier. D'entendre la peau de son ventre claquer sur mes grosses fesses et sa queue fouiller mes entrailles m'a procuré une joie inédite à tel point que j'ai hurlé de plaisir. Mon corps ne me faisait plus honte, il exultait, il vibrait. Il a giclé dans mon rectum, sans capote, mais je m'en fichais. Jérôme a arrosé mon visage de son sperme, comme si ma jouissance l'avait fait jouir, c'était vraiment l'accord parfait.
On a remis ça une heure plus tard après avoir discuté. Ce fut plus long, moins fougueux mais cette fois, Jérôme m'a pénétrée car il était surexcité. Et c'est Ronald qui m'a tendu sa queue à sucer en même temps. J'ai fini repue, apaisée, satisfaite. Avec une seule idée en tête : remettre ça.
- Et alors ? Il est devenu ton amant régulier ? interroge Virginie, pendue aux paroles de Marie.
- Hélas non. Il a fini par trouver du travail, mais ailleurs, assez loin de chez nous. Il a promis de nous retrouver mais son boulot l'accapare et il se fait attendre. Heureusement, cette expérience a fait comprendre à Jérôme qu'il ne devait plus me négliger. On fait plus souvent l'amour, mais on ne baise pas vraiment et ça me manque.
- Ce que tu dis en faisant la différence entre baiser et faire l'amour m'interpelle, dit la quinquagénaire Joëlle. J'en suis là aussi. Vous le savez, mon cher mari n'est plus lui-même à cause de sa maladie. C'est à peine s'il me reconnait. J'ai tenté discrètement dans sa chambre de réveiller sa sexualité en lui taillant une pipe mais ça n'a pas marché et je me suis sentie encore plus frustrée. Son frère, un peu plus jeune, me rend souvent visite. Au début, c'était pour un soutien moral mais je me suis vite aperçue qu'il avait autre chose en tête. Il me déshabillait des yeux, fixait mes seins et un jour que je préparais le café, il est venu derrière moi et les a pris en mains tout en m'embrassant dans le cou en me disant :"j'ai toujours eu envie de toi". J'aurais dû réagir aussitôt, m'indigner de son initiative, le gifler peut-être mais j'ai senti sa queue dure contre mes fesses et j'ai craqué net. J'ai toujours aimé le sexe et ça me manquait énormément depuis la maladie de mon mari, avec lequel c'était une drogue dure.
J'étais en robe, sa main a glissé entre mes cuisses jusqu'à ma culotte et je l'ai aidé à la faire glisser. Il m'a masturbée tout en me pétrissant les seins et de l'autre main, il a libéré sa queue. J'ai senti ce qu'il voulait. Toujours devant la machine à café, je me suis cambrée, il m'a troussée et il m'a enfilée entièrement, d'une seule poussée, tellement j'étais chaude et disponible. Ce fut le début d'un coït passionné, fougueux car comme ton amant Marie, Bertrand (c'est son prénom) est très puissant, très endurant. Il m'a assise sur la table de la cuisine et m'a prise de face, le nez dans mes nichons que j'avais évidemment dégagés, il s'en gavait tout en me limant en me disant qu'il avait toujours rêvé de les voir nus.
Puis on a gagné le lit, lui toujours raide, moi en train de me mettre définitivement à poil. Ce qu'on a fait alors, je ne peux pas vous le raconter en détail mais c'était un vrai corps à corps, bruyant, presque sauvage. Il avait une furieuse envie de me baiser et moi une furieuse envie qu'il me baise. Totalement, complètement, sans tabous. Moi aussi, Marie, je me suis fait enculer mais pas en levrette : assise sur sa queue, face à lui. Très profondément. Je lui ai aussi léché et doigté le trou du cul, ce qu'on ne lui avait jamais fait avant. Je ne sais plus combien de temps ça a duré, il est resté dormir à la maison et il a éjaculé trois fois, il avait des réserves et moi aussi.
Après, j'ai eu un peu honte d'avoir trompé mon mari malade mais il m'a déculpabilisée et me disant : "imagine que c'est avec lui que tu baises". C'est vrai qu'ils se ressemblent un peu et il aime autant mes fesses et mes nichons que mon mari, il adore les femmes bien en chair. Et quel baiseur ! Le seul regret, je ne vous l'ai pas dit, c'est qu'il est toujours marié et il doit faire gaffe. Cela limite nos ébats. La première fois, sa femme était absente et il en avait profité. De toute façon, même s'il voulait divorcer, je ne pourrais pas me marier avec lui tant que mon mari est vivant. C'est donc une relation adultère épisodique.
- Vos récits m'excitent et en même temps me rassurent, réagit Virginie, la consultante immobilier. Moi aussi, je cède à mes pulsions sans rompre pour autant avec la conjugalité à laquelle je tiens par-dessus tout. C'est mon vice, que voulez-vous. Comme l'envie de fumer, je ne résiste pas à une partie de jambes en l'air quand l'occasion se présente en dehors du foyer conjugal où, il faut l'avouer, c'est devenu assez routinier. Vous le voyez bien, pas plus que vous, je ne suis un canon. J'ai de grosses jambes, un gros cul et des gros nichons mais je suis toujours épatée de voir qu'il y a toujours des amateurs côté masculin. Je ne sais pas pourquoi mais beaucoup devinent que je suis une femme qui baise. Cela doit se voir sur ma figure, même à 45 balais.
Il faut dire que mon métier m'y prédispose. Je fais souvent visiter des maisons ou des appartements vides et curieusement, cela me met dans des dispositions érotiques. Evidemment pas quand un couple m'accompagne mais si c'est un homme seul pour un petit appartement par exemple, je me sens toute émoustillée. C'est arrivé récemment. Je faisais découvrir un deux pièces à un homme récemment divorcé et dans cette perspective, j'avais revêtu une tunique qui masquait un peu mes fesses mais très ouverte sur le devant si bien que mes seins débordaient de mon soutif. J'ai tout de suite vu le regard de l'homme s'allumer. La visite se prolongeait un plus longtemps que la normale, comme si on se tournait autour. Lorsque je me suis mise devant la fenêtre pour lui faire admirer une nouvelle fois la vue sur les toits, il s'est mis derrière moi, m'a enlacée et a fait remonter ses mains sur mes seins. Comme toi Joëlle avec ton beau-frère, j'aurais pu me retourner et le renvoyer paitre, au lieu de quoi j'ai glissé une main dans mon dos à la recherche de sa queue. Bien raide.
"Tu as envie ici ?" m'a dit l'homme, très échauffé. Tout en regardant dehors, j'ai juste opiné du chef. Je l'ai laissé enlever mon pantalon et mon slip, j'ai ôté moi-même ma tunique et mon soutif et il m'a prise debout, face à la fenêtre, bien dur mais pas brutal. J'ai joui une première fois et je suis retournée en le voyant pantalon baissé. Accroupie, je lui ai sucé la bite avant de le faire allonger à même le sol après l'avoir entièrement dévêtu. Je voulais le voir nu. C'est important pour mon plaisir d'être en corps à corps sans entrave. Je me suis empalée sur lui, d'abord à genoux puis sur mes pieds. Mes seins agités battaient mon torse, ça faisait clac-clac dans l'appartement et il tressautait sous moi, c'était vraiment de la bonne baise.
J'ai voulu qu'il jouisse dans mon cul pour ne pas laisser de trace suspecte dans mon vagin au cas où mon mari aurait voulu, on ne sait jamais, me sauter à peine descendue de voiture, c'est déjà arrivé. De toute façon, j'aime ça aussi, le petit trou. Il était enchanté, il me le disait en m'enculant, son ex était rétive à ça. J'ai complètement lâché prise en clamant mon plaisir sans risquer d'être entendue. Et bien sûr, l'homme a pris l'appartement, ce qui était aussi le but recherché.
Quand on s'est retrouvé à l'agence pour la signature, on a fait comme si rien ne s'était passé et j'ai apprécié. Il m'a juste dit à l'oreille en partant : "c'était génial, tu as mon numéro de portable si le coeur t'en dit".
- Et tu as donné suite ? interroge Marie.
- Non, pas encore mais on ne sait jamais. D'ailleurs, depuis, je me suis tapé un petit jeune dans un studio, vide également. Toujours cette envie de baiser en visite. Et je crois que ce n'est pas près de s'achever.
- Bon, conclut Marie, je crois qu'on s'est à peu près tout dit pour cette fois. Inutile de vous dire que je vais conter fleurette à Jérôme tout à l'heure, vous m'avez mis le feu toutes les deux.
Et les trois de rire ensemble, heureuses de cette complicité érotique.
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3 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Voilà des confessions très intéressantes. C'est excellent!
Confessions toujours aussi croustillantes, sexuelles et bandantes !
J'admire ces 3 belles femmes libres et décomplexées qui donnent envie de les rencontrer...
Bravo !
J'admire ces 3 belles femmes libres et décomplexées qui donnent envie de les rencontrer...
Bravo !
Micky,
ce sont de bien belles et chaudes confessions, que ces confidences délivrées par ces trois femmes mariées de tout âges, accros au sexe et assumant ainsi, bien sur, leurs envies, leurs besoins au plaisir et à la jouissance...
Magnifique.
Didier
ce sont de bien belles et chaudes confessions, que ces confidences délivrées par ces trois femmes mariées de tout âges, accros au sexe et assumant ainsi, bien sur, leurs envies, leurs besoins au plaisir et à la jouissance...
Magnifique.
Didier

