Trio 3 Magali, Danièle, Martine

Récit érotique écrit par Micky [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Trio 3 Magali, Danièle, Martine
Ce troisième et avant-dernier chapitre change complètement de registre puisqu'il met en scène trois femmes ayant atteint l'âge de 60 ans mais dont la caractéristique commune est qu'elle jouisse encore d'une sexualité soutenue digne de plus jeunes qu'elles. Ceci pour montrer à ceux qui en doutaient que l'âge n'est pas l'essentiel en la matière mais bien l'envie de poursuivre les rapports charnels. Les trois femmes en question s'appellent Magali, podologue-pédicure à cheveux longs châtains teintés de fils blancs et portés le plus souvent en chignon, Les deux autres se prénomment Danièle, ancienne agente de voyage à la coiffure très courte teintée en blond et Martine, ex fonctionnaire, cheveux courts également mais restés gris. Magali est divorcée, les deux autres sont mariées, Danièle avec un homme plus vieux qu'elle de dix ans. Toutes les trois sont menues et de petite taille, au physique tonique entretenue par la gymnastique, l'aqua gym et la randonnée pédestre. Danièle et Martine sont clientes du cabinet de Magali, ce qui les a fait se rencontrer et s'estimer au point de devenir amies et confidentes. C'est au cours d'une réception chez la podologue lors de son jour de congé qu'elles vont se confier, Magali lançant le sujet qui nous intéresse.
- Je vais vous raconter ma dernière aventure, vous n'allez pas être déçues, dit-elle après avoir servi le thé. L'autre jour, je rendais visite à ma fille qui habite à l'autre bout du département dans un coin perdu. Et en plein milieu d'une forêt, voilà que je crève. Pas une maison et bien sûr pas un garage à l'horizon. Je n'ai jamais su changer une roue mais il a bien fallu que je m'y mette. Je tâtonne dans le coffre à la recherche du cric, j'essaye de le mettre en place mais je n'y arrive pas. Et voilà qu'une voiture arrive, une petite camionnette. Je lui fais signe, elle s'arrête et en sort un gaillard du coin, la quarantaine approximative, chevelu, barbu, poilu, costaud, aux bras aussi gros que mes cuisses. Pas vraiment mon genre d'homme mais une bénédiction venue du ciel puisqu'il me propose illico de sa grosse voix de placer ma roue de secours.
Et à peine a-t-il commencé à opérer que l'orage qui menaçait depuis un moment, et me pressait d'arriver à destination, nous tombe dessus. En quelques minutes, nous sommes complètement trempés. Moi, je n'avais qu'une petite robe légère puisque nous sommes en été. Sans soutif, comme d'habitude, c'est l'avantage d'avoir de petits seins. Ma robe était collée à ma peau, dessinait mes seins et mon string sur mes fesses comme si j'étais à poil. J'ai vu tout de suite que le gars n'en perdait pas une miette. Il a réussi à changer ma roue mais j'étais tellement trempée que je ne pouvais décemment pas continuer à conduire. "Venez chez moi vous sécher, je vous filerai en attendant une robe de mon ex femme", me dit-il.
Je suis montée dans sa camionnette, abandonnant provisoirement ma voiture sur le bas-côté. Il habitait tout près au milieu des bois une espèce de chalet tout en bois. Il m'a fait entrer dans sa chambre pour me changer et mettre ma robe à sécher devant sa cheminée après avoir fait un feu. Mon string séchait aussi tant et si bien que j'étais à poil sous cette robe vraiment très courte, à se demander si son ex n'était pas une gamine. Il m'a offert à boire mais assise sur le fauteuil, on ne voyait vraiment que mes cuisses. Il régnait un certain trouble entre nous. D'une part, je voyais vraiment le désir dans ses yeux, ce qui était plutôt flatteur vu notre différence d'âge. Et moi, je ressentais une certaine gratitude pour ce sauveur qui m'apparaissait de plus en plus séduisant pour son côté viril et sauvage.
Est-ce en raison de l'atmosphère particulière qui régnait dans la pièce avec cette cheminée un peu romantique ou au contraire l'animalité qui se dégageait de cet homme qui s'était annoncé sous le prénom de Régis ? Est-ce parce que je me sentais une dette envers lui ? Toujours est-il qu'en se parlant, je ne fermais pas complètement les cuisses et il avait une vue plongeante sur mon intimité sans slip. J'étais sûre qu'il bandait. Quant à moi, l'envie de baiser m'a envahi de plus en plus. Une envie puissante, irrépressible, renforcée par le fait que je n'avais pas eu de mec depuis plus d'un mois. Est-ce qu'il s'en est aperçu ? Je ne sais pas. Toujours est-il qu'il s'est levé, m'a emporté comme une plume vers son lit et je n'ai pas résisté.
J'ai découvert un corps musclé, massif, velu, rien à voir avec mes amants récents un peu mous de partout. Sa queue était tendue, épaisse, totalement décalottée, au goût sauvage comme j'ai pu m'en apercevoir en l'embouchant. J'ai découvert un vrai mâle, puissant mais attentif à mon plaisir et surtout à ne pas me brutaliser vu la différence de gabarit. Il est entré en moi avec prudence mais j'étais tellement ouverte qu'il a pu me creuser en roulant des hanches en baignant dans mon jus. Je participais autant que je le pouvais en jouant des mains, des pieds et des fesses sous cette masse veillant à ne pas m'écraser sous son poids. Il m'a soulevée avec aisance pour me déposer sur sa queue après s'être allongé et j'ai pu mater son torse superbe en tressautant sur lui, échevelée et frénétique, exprimant bruyamment mon plaisir. Je ne pensais plus du tout à ma fille qui m'attendait, encore moins à ma voiture en rade. Je baisais avec un amant inépuisable qui se fichait complètement de mon âge. J'étais prête à tout, même à me faire sodomiser par cette grosse bite mais il n'en a pas émis le désir. "Tu baises drôlement bien" m'a-t-il dit entre deux positions et ça m'a flattée. Mais je commençais à fatiguer et je lui ai balancé des mots crus pour l'exciter en lui parlant de sa bite et de ses couilles pendant qu'il me limait et il a joui pendant que je lui mettais le doigt dans le trou du cul. J'avais du sperme partout. On s'est douché ensemble, il m'a dit qu'il aimait beaucoup mon corps et on ne me l'a pas souvent dit ces dernières années.
Puis il m'a raccompagnée à ma voiture. Il y avait des gendarmes à côté. Ma fille avait alerté tout le monde tellement elle était inquiète de ne pas me voir arriver et mon portable était resté dans la voiture. Je me suis lancée dans une explication qui a eu l'air de convaincre les gendarmes, mais ils m'ont fait quand même la leçon. Quant à ma fille, elle était à la fois soulagée et ulcérée par mon silence. Je ne lui ai évidemment pas raconté les détails de mon aventure. Elle m'a juste dit qu'elle voulait remercier mon sauveur et je ne sais pas si elle l'a déjà fait. Quant à lui, inutile de vous dire que j'ai gardé son numéro de téléphone. En cas de besoin, bref, vous me comprenez...
- Quelle histoire ! commente Danièle. Quelle chance tu as eue dans ton malheur ! Je me vois obligée de raconter moi aussi ma dernière aventure sexuelle. Avec mon mari, on fréquente souvent les vide greniers. J'expose des choses dont on ne sert plus mais qui sont toujours de qualité. Parmi les chalands, un homme s'est arrêté devant notre stand, entre deux âges, déjà grisonnant mais élégant et il a flashé sur un tableau dont j'avais hérité de mes parents, me disant qu'il aurait aimé l'acquérir à condition que je lui donne l'origine pour ne pas avoir d'ennuis. Je compris que nous avions sous-estimé ce tableau. J'avais justement le certificat d'originalité mais à la maison. Nous sommes convenus de nous revoir à notre domicile mais durant ce vide grenier, il est revenu plusieurs fois nous voir pour être sûr que nous ne l'avions pas vendu. Du coup, on a sympathisé, il est même resté avec nous un bon moment. Il nous a parlé de lui, il venait de divorcer mais savourait sa liberté. Je devinai qu'il ne manquait pas de succès féminin car plus je le regardais et plus je le trouvais bel homme. Il ne semblait pas non plus indifférent à mon charme, me dit que mon mari avait de la chance en voyant bien notre différence d'âge, comme s'il avait deviné que sexuellement, nous n'étions plus vraiment en phase.
Bref, quand il est arrivé à la maison pour ce fameux certificat, j'avais sorti une robe courte à dos nu, sans soutif, fait mes yeux et mes lèvres, joué la séduction. Bernard, mon mari, s'en amusait. Il faut dire que nous avons passé le stade de la jalousie. Il se moque d'être cocu à condition d'être au courant et que je prenne mon plaisir. Si possible en sa présence. Il est devenu voyeur avec l'âge. Quand notre client m'a vue, il a marqué un temps de surprise, comme si je n'étais plus la femme du vide grenier. Je lui ai présenté le certificat, on a un peu négocié sur le prix du tableau puis on a arrosé ça au champagne dans notre salon. Je lui ai fait en même temps un solo de cuisses mais pas comme toi Magali, avec un slip. C'est alors que Bernard est intervenu alors que nous étions tous un peu gris du champagne : "vous allez fêter votre acquisition en baisant ma femme. Elle n'attend que ça et je vois bien qu'elle vous plait. Ne vous inquiétez pas pour moi, j'aime la regarder baiser. J'espère juste que vous allez être à la hauteur".
Tête de notre client ! Il se demandait si c'était du lard ou du cochon, s'il n'était pas tombé dans un traquenard. J'ai compris qu'il fallait que j'entre en scène. Je me suis levée et assise sur ses genoux. Je sentais sa queue sous mes fesses. Il bandait. Je l'ai embrassé pour bien lui faire comprendre que j'adhérais. Sa main a couru sur mon corps en se glissant dans mon dos nu. Il a senti mes pointes de sein durcies puis mon sexe humide à l'intérieur de mon slip. Je me suis levée, je l'ai pris par la main et je l'ai entrainé dans la chambre conjugale, Bernard sur nos talons. On s'est déshabillés mutuellement.
Quand je me suis retrouvée nue sur le lit et lui nu également, j'ai complètement oublié que je ne connaissais pas cet homme le matin même. Mais j'étais consciente d'une chose. A mon âge, on n'a pas de temps à perdre. Pourquoi attendre si cela doit s'achever de la même manière ? A vingt ans ou même trente ans, on peut tergiverser mais pas à soixante ans. Cet homme voulait me baiser et je voulais qu'il me baise, voilà tout. Et avec l'assentiment de mon mari, qui plus est. Je n'avais aucune raison de faire la chochotte. En plus, je suis tombé sur un bon amant. Manuel, c'est son prénom, a joué de mon corps comme un instrument de musique, disons un violon dont sa queue était l'archet. Il n'était pas aussi viril que ton amant, Magali, mais il a assuré. Quand il a un peu faibli, je lui ai fait un massage de prostate qui l'a rendu plus dur, montrant par là à quel point je suis une vraie cochonne. Et Bernard un vrai cochon aussi puisqu'il a enduit mon anus de gel pour que Manuel m'encule. Il m'a avoué plus tard qu'il n'avait jamais sodomisé une femme, ni un homme d'ailleurs, et qu'il se souviendrait toujours de la sensation particulière qu'il avait eue dans mon petit cul.
Il a éjaculé une première fois, je l'ai ranimé de la bouche et de la main car j'avais encore envie. Et on a baisé à nouveau dans toutes les positions, Bernard nous prenant en vidéo, fixant sa queue dans mon antre et mon visage que je découvris plus tard dans le plaisir, me reconnaissant à peine tant il était déformé par la jouissance. Mais je me suis trouvée mignonne avec mes cheveux courts. Je vais garder cette coiffure. Bernard s'est beaucoup branlé en nous regardant, un peu de sperme est même sorti de son gland mais il était bien trop mou pour me satisfaire. J'avoue qu'il m'a fallu deux jours pour récupérer, c'est là que j'ai senti mon âge mais j'étais repue, apaisée, comblée. Et encore plus amoureuse de Bernard pour m'avoir permis cette extase. Est-ce que ça vous étonne ?
- Non parce qu'il t'a donné à sa manière une preuve d'amour, répond Martine, subjuguée par le récit de Danièle, comme Magali. Mais moi, je ne prendrais pas ce risque. Mon mari n'accepterait pas de jouer les cocus compatissants. Il faut dire qu'il n'est pas impuissant. On baise encore de temps en temps. Cela dit, j'ai eu moi aussi une aventure il y a quelque temps et je me suis bien gardée de lui en parler.
- Allez, raconte ! disent en choeur Danièle et Magali, c'est ton tour.
- Vous le savez, j'aime le soleil, la plage, bronzer en été, contrairement à mon mari qui ne m'accompagne jamais. Mais je bronze nue sur une plage naturiste de ma connaissance. Mon mari le sait, je le lui ai dit, mais il ne s'y oppose pas. Il pense que j'ai passé l'âge d'être draguée, ce en quoi il a tort, comme vous allez le voir. Ce jour là, je bronzais à plat ventre en exposant mes fesses quand j'ai soudain été heurtée par un parasol emporté par le vent. A peine ai-je relevé la tête que je suis tombée nez à nez, si j'ose dire, avec un splendide costume trois pièces, celui du baigneur qui venait récupérer son parasol en s'excusant. Je lui ai souri en me retournant, exposant à mon tour mon corps et on a commencé à parler. Il est venu s'installer à côté de moi. C'était un habitué prénommé Yves, tout bronzé, grisonnant, légèrement ventru. La cinquantaine approximative. Je ne l'avais pas remarqué jusqu'à présent mais lui si. Il me complimenta pour mon corps qualifié de "juvénile", ce qui me fit plaisir. Il est vrai qu'avec mes 55 kg, je n'ai rien d'une matrone comme il y en a beaucoup sur cette plage. On s'est baignés ensemble, il m'a frôlée dans l'eau ce qui m'a fait passer un frisson. L'idée de baiser avec ce type m'a alors traversé l'esprit car je défie quiconque de ne pas penser au sexe dans cet univers de nudité intégrale si on ne reste pas isolé dans son coin. Or, Yves me collait aux basques et je voyais bien qu'il regardait ma chatte derrière ses lunettes de soleil comme je regardais sa queue.
A ce moment là, on a vu un couple d'une trentaine d'années nous dépasser, main dans la main, en direction du petit bois jouxtant la plage, une serviette à la main. Celle sur laquelle ils étaient allongés un peu plus tôt. "Ils vont baiser", me glisse Yves à l'oreille, visiblement émoustillé. Comme nous étions positionnés tout au fond de cette plage, au ras du petit bois, nous n'avons pas tardé à entendre les cris de jouissance de la jeune femme. Yves s'est mis à bander, sans se cacher. Une érection vraiment splendide stimulée par le concert de la fille en train de se faire sauter à quelques mètres de nous. J'avais alors deux options. Soit regarder ailleurs en faisant mine de ne rien voir ni de rien entendre. Soit de... bref, une pulsion irrésistible m'a fait mettre la main sur sa queue dressée. Je l'ai d'abord branlé, espérant qu'il giclerait assez vite mais non, il durcissait encore plus et ce contact brûlant dans ma main m'a mis le feu. Je me suis penchée et après avoir porté un regard circulaire sur la plage pour voir si nous n'étions pas observés, je l'ai embouché. Est-ce que sucer, c'est tromper ? Vaste question. Mais je ne me la suis pas posée longtemps. Parce que Yves m'a prise par la main, a ramassé sa serviette et m'a entrainée dans le petit bois.
On a croisé au passage le jeune couple, elle prise en levrette devant deux voyeurs qui ne perdaient rien du spectacle. Sous les arbres, Yves a étendu la serviette, on s'y est assis, on s'est mutuellement branlés en se léchant les lèvres. "Tu veux vraiment ? Je ne te force pas la main ?" a demandé Yves. Mais ma chatte hyper humide était la réponse idoine et à ce moment là, je le confesse, je n'ai pas pensé une seconde à mon mari. Je voulais que ce type au corps chocolaté et si bien membré me baise, totalement, profondément, résolument. Et on l'a fait. J'ai cavalé sur sa queue comme une malade, il m'a pilonnée bras tendus et yeux dans les yeux tandis que je lui talonnais les reins, il m'a prise en levrette face à la mer entre les arbres ce qui m'a provoqué un plaisir aussi intense qu'inédit et il a eu la délicatesse de me demander comment je voulais jouir. Je voulais être sur lui, empalée profondément, les yeux sur son torse superbe et c'est comme ça qu'il a giclé en moi en levant les fesses tandis que je gueulais mon orgasme. C'est en me détachant que je m'aperçus que les deux voyeurs du jeune couple n'avaient rien manqué de mon extase et j'ai eu un petit moment de panique. Mais ils se sont échappés et on ne les a plus revus. On a fini à l'eau, corps à corps, et j'avoue que j'aurais bien remis le couvert, mais lui avait rendu les armes, me disant que j'étais "un coup en or". A soixante balais, voilà un compliment inattendu. Je me suis évidemment bien gardée d'en faire part à mon mari, qui ne sait pas la chance qu'il a...
- Bon, je crois qu'on a compris que nous n'étions pas encore de vieux tromblons, conclut Magali. Plus que des sexagénaires, nous sommes des sexygénaires, n'est-ce pas ?
- Notre jouvence, c'est qu'on aime toujours le sexe, poursuit Danièle. Quand on n'aime plus ça, on vieillit, c'est mathématique. Martine, tu n'as pas fait l'amour avec cet homme, tu as baisé. Comme nous avons baisé. Par un besoin un peu animal car nous n'avons plus de tabous. Profitons-en.
- Oui, c'est vrai, mais je crois que je vais conter fleurette à mon mari ce soir. Après tout, on peut baiser dans la conjugalité, non ?
Et les trois femmes d'éclater de rire avant de se quitter en s'embrassant.
A SUIVRE
- Je vais vous raconter ma dernière aventure, vous n'allez pas être déçues, dit-elle après avoir servi le thé. L'autre jour, je rendais visite à ma fille qui habite à l'autre bout du département dans un coin perdu. Et en plein milieu d'une forêt, voilà que je crève. Pas une maison et bien sûr pas un garage à l'horizon. Je n'ai jamais su changer une roue mais il a bien fallu que je m'y mette. Je tâtonne dans le coffre à la recherche du cric, j'essaye de le mettre en place mais je n'y arrive pas. Et voilà qu'une voiture arrive, une petite camionnette. Je lui fais signe, elle s'arrête et en sort un gaillard du coin, la quarantaine approximative, chevelu, barbu, poilu, costaud, aux bras aussi gros que mes cuisses. Pas vraiment mon genre d'homme mais une bénédiction venue du ciel puisqu'il me propose illico de sa grosse voix de placer ma roue de secours.
Et à peine a-t-il commencé à opérer que l'orage qui menaçait depuis un moment, et me pressait d'arriver à destination, nous tombe dessus. En quelques minutes, nous sommes complètement trempés. Moi, je n'avais qu'une petite robe légère puisque nous sommes en été. Sans soutif, comme d'habitude, c'est l'avantage d'avoir de petits seins. Ma robe était collée à ma peau, dessinait mes seins et mon string sur mes fesses comme si j'étais à poil. J'ai vu tout de suite que le gars n'en perdait pas une miette. Il a réussi à changer ma roue mais j'étais tellement trempée que je ne pouvais décemment pas continuer à conduire. "Venez chez moi vous sécher, je vous filerai en attendant une robe de mon ex femme", me dit-il.
Je suis montée dans sa camionnette, abandonnant provisoirement ma voiture sur le bas-côté. Il habitait tout près au milieu des bois une espèce de chalet tout en bois. Il m'a fait entrer dans sa chambre pour me changer et mettre ma robe à sécher devant sa cheminée après avoir fait un feu. Mon string séchait aussi tant et si bien que j'étais à poil sous cette robe vraiment très courte, à se demander si son ex n'était pas une gamine. Il m'a offert à boire mais assise sur le fauteuil, on ne voyait vraiment que mes cuisses. Il régnait un certain trouble entre nous. D'une part, je voyais vraiment le désir dans ses yeux, ce qui était plutôt flatteur vu notre différence d'âge. Et moi, je ressentais une certaine gratitude pour ce sauveur qui m'apparaissait de plus en plus séduisant pour son côté viril et sauvage.
Est-ce en raison de l'atmosphère particulière qui régnait dans la pièce avec cette cheminée un peu romantique ou au contraire l'animalité qui se dégageait de cet homme qui s'était annoncé sous le prénom de Régis ? Est-ce parce que je me sentais une dette envers lui ? Toujours est-il qu'en se parlant, je ne fermais pas complètement les cuisses et il avait une vue plongeante sur mon intimité sans slip. J'étais sûre qu'il bandait. Quant à moi, l'envie de baiser m'a envahi de plus en plus. Une envie puissante, irrépressible, renforcée par le fait que je n'avais pas eu de mec depuis plus d'un mois. Est-ce qu'il s'en est aperçu ? Je ne sais pas. Toujours est-il qu'il s'est levé, m'a emporté comme une plume vers son lit et je n'ai pas résisté.
J'ai découvert un corps musclé, massif, velu, rien à voir avec mes amants récents un peu mous de partout. Sa queue était tendue, épaisse, totalement décalottée, au goût sauvage comme j'ai pu m'en apercevoir en l'embouchant. J'ai découvert un vrai mâle, puissant mais attentif à mon plaisir et surtout à ne pas me brutaliser vu la différence de gabarit. Il est entré en moi avec prudence mais j'étais tellement ouverte qu'il a pu me creuser en roulant des hanches en baignant dans mon jus. Je participais autant que je le pouvais en jouant des mains, des pieds et des fesses sous cette masse veillant à ne pas m'écraser sous son poids. Il m'a soulevée avec aisance pour me déposer sur sa queue après s'être allongé et j'ai pu mater son torse superbe en tressautant sur lui, échevelée et frénétique, exprimant bruyamment mon plaisir. Je ne pensais plus du tout à ma fille qui m'attendait, encore moins à ma voiture en rade. Je baisais avec un amant inépuisable qui se fichait complètement de mon âge. J'étais prête à tout, même à me faire sodomiser par cette grosse bite mais il n'en a pas émis le désir. "Tu baises drôlement bien" m'a-t-il dit entre deux positions et ça m'a flattée. Mais je commençais à fatiguer et je lui ai balancé des mots crus pour l'exciter en lui parlant de sa bite et de ses couilles pendant qu'il me limait et il a joui pendant que je lui mettais le doigt dans le trou du cul. J'avais du sperme partout. On s'est douché ensemble, il m'a dit qu'il aimait beaucoup mon corps et on ne me l'a pas souvent dit ces dernières années.
Puis il m'a raccompagnée à ma voiture. Il y avait des gendarmes à côté. Ma fille avait alerté tout le monde tellement elle était inquiète de ne pas me voir arriver et mon portable était resté dans la voiture. Je me suis lancée dans une explication qui a eu l'air de convaincre les gendarmes, mais ils m'ont fait quand même la leçon. Quant à ma fille, elle était à la fois soulagée et ulcérée par mon silence. Je ne lui ai évidemment pas raconté les détails de mon aventure. Elle m'a juste dit qu'elle voulait remercier mon sauveur et je ne sais pas si elle l'a déjà fait. Quant à lui, inutile de vous dire que j'ai gardé son numéro de téléphone. En cas de besoin, bref, vous me comprenez...
- Quelle histoire ! commente Danièle. Quelle chance tu as eue dans ton malheur ! Je me vois obligée de raconter moi aussi ma dernière aventure sexuelle. Avec mon mari, on fréquente souvent les vide greniers. J'expose des choses dont on ne sert plus mais qui sont toujours de qualité. Parmi les chalands, un homme s'est arrêté devant notre stand, entre deux âges, déjà grisonnant mais élégant et il a flashé sur un tableau dont j'avais hérité de mes parents, me disant qu'il aurait aimé l'acquérir à condition que je lui donne l'origine pour ne pas avoir d'ennuis. Je compris que nous avions sous-estimé ce tableau. J'avais justement le certificat d'originalité mais à la maison. Nous sommes convenus de nous revoir à notre domicile mais durant ce vide grenier, il est revenu plusieurs fois nous voir pour être sûr que nous ne l'avions pas vendu. Du coup, on a sympathisé, il est même resté avec nous un bon moment. Il nous a parlé de lui, il venait de divorcer mais savourait sa liberté. Je devinai qu'il ne manquait pas de succès féminin car plus je le regardais et plus je le trouvais bel homme. Il ne semblait pas non plus indifférent à mon charme, me dit que mon mari avait de la chance en voyant bien notre différence d'âge, comme s'il avait deviné que sexuellement, nous n'étions plus vraiment en phase.
Bref, quand il est arrivé à la maison pour ce fameux certificat, j'avais sorti une robe courte à dos nu, sans soutif, fait mes yeux et mes lèvres, joué la séduction. Bernard, mon mari, s'en amusait. Il faut dire que nous avons passé le stade de la jalousie. Il se moque d'être cocu à condition d'être au courant et que je prenne mon plaisir. Si possible en sa présence. Il est devenu voyeur avec l'âge. Quand notre client m'a vue, il a marqué un temps de surprise, comme si je n'étais plus la femme du vide grenier. Je lui ai présenté le certificat, on a un peu négocié sur le prix du tableau puis on a arrosé ça au champagne dans notre salon. Je lui ai fait en même temps un solo de cuisses mais pas comme toi Magali, avec un slip. C'est alors que Bernard est intervenu alors que nous étions tous un peu gris du champagne : "vous allez fêter votre acquisition en baisant ma femme. Elle n'attend que ça et je vois bien qu'elle vous plait. Ne vous inquiétez pas pour moi, j'aime la regarder baiser. J'espère juste que vous allez être à la hauteur".
Tête de notre client ! Il se demandait si c'était du lard ou du cochon, s'il n'était pas tombé dans un traquenard. J'ai compris qu'il fallait que j'entre en scène. Je me suis levée et assise sur ses genoux. Je sentais sa queue sous mes fesses. Il bandait. Je l'ai embrassé pour bien lui faire comprendre que j'adhérais. Sa main a couru sur mon corps en se glissant dans mon dos nu. Il a senti mes pointes de sein durcies puis mon sexe humide à l'intérieur de mon slip. Je me suis levée, je l'ai pris par la main et je l'ai entrainé dans la chambre conjugale, Bernard sur nos talons. On s'est déshabillés mutuellement.
Quand je me suis retrouvée nue sur le lit et lui nu également, j'ai complètement oublié que je ne connaissais pas cet homme le matin même. Mais j'étais consciente d'une chose. A mon âge, on n'a pas de temps à perdre. Pourquoi attendre si cela doit s'achever de la même manière ? A vingt ans ou même trente ans, on peut tergiverser mais pas à soixante ans. Cet homme voulait me baiser et je voulais qu'il me baise, voilà tout. Et avec l'assentiment de mon mari, qui plus est. Je n'avais aucune raison de faire la chochotte. En plus, je suis tombé sur un bon amant. Manuel, c'est son prénom, a joué de mon corps comme un instrument de musique, disons un violon dont sa queue était l'archet. Il n'était pas aussi viril que ton amant, Magali, mais il a assuré. Quand il a un peu faibli, je lui ai fait un massage de prostate qui l'a rendu plus dur, montrant par là à quel point je suis une vraie cochonne. Et Bernard un vrai cochon aussi puisqu'il a enduit mon anus de gel pour que Manuel m'encule. Il m'a avoué plus tard qu'il n'avait jamais sodomisé une femme, ni un homme d'ailleurs, et qu'il se souviendrait toujours de la sensation particulière qu'il avait eue dans mon petit cul.
Il a éjaculé une première fois, je l'ai ranimé de la bouche et de la main car j'avais encore envie. Et on a baisé à nouveau dans toutes les positions, Bernard nous prenant en vidéo, fixant sa queue dans mon antre et mon visage que je découvris plus tard dans le plaisir, me reconnaissant à peine tant il était déformé par la jouissance. Mais je me suis trouvée mignonne avec mes cheveux courts. Je vais garder cette coiffure. Bernard s'est beaucoup branlé en nous regardant, un peu de sperme est même sorti de son gland mais il était bien trop mou pour me satisfaire. J'avoue qu'il m'a fallu deux jours pour récupérer, c'est là que j'ai senti mon âge mais j'étais repue, apaisée, comblée. Et encore plus amoureuse de Bernard pour m'avoir permis cette extase. Est-ce que ça vous étonne ?
- Non parce qu'il t'a donné à sa manière une preuve d'amour, répond Martine, subjuguée par le récit de Danièle, comme Magali. Mais moi, je ne prendrais pas ce risque. Mon mari n'accepterait pas de jouer les cocus compatissants. Il faut dire qu'il n'est pas impuissant. On baise encore de temps en temps. Cela dit, j'ai eu moi aussi une aventure il y a quelque temps et je me suis bien gardée de lui en parler.
- Allez, raconte ! disent en choeur Danièle et Magali, c'est ton tour.
- Vous le savez, j'aime le soleil, la plage, bronzer en été, contrairement à mon mari qui ne m'accompagne jamais. Mais je bronze nue sur une plage naturiste de ma connaissance. Mon mari le sait, je le lui ai dit, mais il ne s'y oppose pas. Il pense que j'ai passé l'âge d'être draguée, ce en quoi il a tort, comme vous allez le voir. Ce jour là, je bronzais à plat ventre en exposant mes fesses quand j'ai soudain été heurtée par un parasol emporté par le vent. A peine ai-je relevé la tête que je suis tombée nez à nez, si j'ose dire, avec un splendide costume trois pièces, celui du baigneur qui venait récupérer son parasol en s'excusant. Je lui ai souri en me retournant, exposant à mon tour mon corps et on a commencé à parler. Il est venu s'installer à côté de moi. C'était un habitué prénommé Yves, tout bronzé, grisonnant, légèrement ventru. La cinquantaine approximative. Je ne l'avais pas remarqué jusqu'à présent mais lui si. Il me complimenta pour mon corps qualifié de "juvénile", ce qui me fit plaisir. Il est vrai qu'avec mes 55 kg, je n'ai rien d'une matrone comme il y en a beaucoup sur cette plage. On s'est baignés ensemble, il m'a frôlée dans l'eau ce qui m'a fait passer un frisson. L'idée de baiser avec ce type m'a alors traversé l'esprit car je défie quiconque de ne pas penser au sexe dans cet univers de nudité intégrale si on ne reste pas isolé dans son coin. Or, Yves me collait aux basques et je voyais bien qu'il regardait ma chatte derrière ses lunettes de soleil comme je regardais sa queue.
A ce moment là, on a vu un couple d'une trentaine d'années nous dépasser, main dans la main, en direction du petit bois jouxtant la plage, une serviette à la main. Celle sur laquelle ils étaient allongés un peu plus tôt. "Ils vont baiser", me glisse Yves à l'oreille, visiblement émoustillé. Comme nous étions positionnés tout au fond de cette plage, au ras du petit bois, nous n'avons pas tardé à entendre les cris de jouissance de la jeune femme. Yves s'est mis à bander, sans se cacher. Une érection vraiment splendide stimulée par le concert de la fille en train de se faire sauter à quelques mètres de nous. J'avais alors deux options. Soit regarder ailleurs en faisant mine de ne rien voir ni de rien entendre. Soit de... bref, une pulsion irrésistible m'a fait mettre la main sur sa queue dressée. Je l'ai d'abord branlé, espérant qu'il giclerait assez vite mais non, il durcissait encore plus et ce contact brûlant dans ma main m'a mis le feu. Je me suis penchée et après avoir porté un regard circulaire sur la plage pour voir si nous n'étions pas observés, je l'ai embouché. Est-ce que sucer, c'est tromper ? Vaste question. Mais je ne me la suis pas posée longtemps. Parce que Yves m'a prise par la main, a ramassé sa serviette et m'a entrainée dans le petit bois.
On a croisé au passage le jeune couple, elle prise en levrette devant deux voyeurs qui ne perdaient rien du spectacle. Sous les arbres, Yves a étendu la serviette, on s'y est assis, on s'est mutuellement branlés en se léchant les lèvres. "Tu veux vraiment ? Je ne te force pas la main ?" a demandé Yves. Mais ma chatte hyper humide était la réponse idoine et à ce moment là, je le confesse, je n'ai pas pensé une seconde à mon mari. Je voulais que ce type au corps chocolaté et si bien membré me baise, totalement, profondément, résolument. Et on l'a fait. J'ai cavalé sur sa queue comme une malade, il m'a pilonnée bras tendus et yeux dans les yeux tandis que je lui talonnais les reins, il m'a prise en levrette face à la mer entre les arbres ce qui m'a provoqué un plaisir aussi intense qu'inédit et il a eu la délicatesse de me demander comment je voulais jouir. Je voulais être sur lui, empalée profondément, les yeux sur son torse superbe et c'est comme ça qu'il a giclé en moi en levant les fesses tandis que je gueulais mon orgasme. C'est en me détachant que je m'aperçus que les deux voyeurs du jeune couple n'avaient rien manqué de mon extase et j'ai eu un petit moment de panique. Mais ils se sont échappés et on ne les a plus revus. On a fini à l'eau, corps à corps, et j'avoue que j'aurais bien remis le couvert, mais lui avait rendu les armes, me disant que j'étais "un coup en or". A soixante balais, voilà un compliment inattendu. Je me suis évidemment bien gardée d'en faire part à mon mari, qui ne sait pas la chance qu'il a...
- Bon, je crois qu'on a compris que nous n'étions pas encore de vieux tromblons, conclut Magali. Plus que des sexagénaires, nous sommes des sexygénaires, n'est-ce pas ?
- Notre jouvence, c'est qu'on aime toujours le sexe, poursuit Danièle. Quand on n'aime plus ça, on vieillit, c'est mathématique. Martine, tu n'as pas fait l'amour avec cet homme, tu as baisé. Comme nous avons baisé. Par un besoin un peu animal car nous n'avons plus de tabous. Profitons-en.
- Oui, c'est vrai, mais je crois que je vais conter fleurette à mon mari ce soir. Après tout, on peut baiser dans la conjugalité, non ?
Et les trois femmes d'éclater de rire avant de se quitter en s'embrassant.
A SUIVRE
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3 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Micky,
Sexygénaires est vraiment un terme bien approprié pour qualifier ces 3 sexagénaires qui, malgré leur âge, assument parfaitement, pleinement, leur sexualité.
Car Oui effectivement il n'y a pas d'âge limite pour jouir des plaisirs du sexe, aussi bien pour les hommes que pour les femmes.
Bravo.
Didier
Sexygénaires est vraiment un terme bien approprié pour qualifier ces 3 sexagénaires qui, malgré leur âge, assument parfaitement, pleinement, leur sexualité.
Car Oui effectivement il n'y a pas d'âge limite pour jouir des plaisirs du sexe, aussi bien pour les hommes que pour les femmes.
Bravo.
Didier
Bravo Micky, pour la série et pour profiter de cette occasion pour rappeler le droit de toutes les femmes à poursuivre leur vie sexuelle, au-delà de la ménopause, y compris quand elles sont devenues des seniors.
Vive le droit au plaisir!
Vive le droit au plaisir!
Ces femmes qui assument leur sexualité sont irrésistibles.
Merci Micky pour ces présentations et récits qui m'excitent.
Bravo et au plaisir de vous lire.
M.
Merci Micky pour ces présentations et récits qui m'excitent.
Bravo et au plaisir de vous lire.
M.

