Trio 4 Caroline, Sandrine et Nathalie

- Par l'auteur HDS Micky -
Récit érotique écrit par Micky [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Récit libertin : Trio 4 Caroline, Sandrine et Nathalie Histoire érotique Publiée sur HDS le 10-06-2025 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Trio 4 Caroline, Sandrine et Nathalie
Devant le succès de lecture de cette série, je prolonge de nouveaux épisodes. Ce trio met en scène trois femmes cette fois différentes physiquement mais pas par l'âge, en fin de quarantaine, ni par le lieu puisqu'elles habitent la même petite ville dans une région rurale. Le détail a son importance car c'est le genre d'endroit où tout le monde ou presque se connait et où les cancans vont bon train. Caroline est agricultrice, très naturelle avec un petit corps ferme, de grands yeux noirs, un joli sourire, une abondante chevelure grise qu'elle ne coiffe pas toujours et une tendance marquée à ne pas porter de soutien-gorge, laissant ses seins un peu pendants ballotter sous ses robes ou ses tuniques. Ses fesses sont assez joufflues mais sans excès.

Au contraire, Sandrine est une femme grande et forte en fesses, en cuisses et également en buste, ses cheveux grisonnants coiffés ras à la garçonne. Elle tient une petite librairie locale assez peu fréquente dans une petite ville. Enfin, Nathalie est une grande perche au corps mince mais harmonieux, aux cheveux bruns tombant sur ses épaules, toujours souriante, portant en général un jean et exerçant à la bibliothèque locale. Toutes les trois se connaissent de longue date, elles ont grandi ensemble et suivi leur parcours intime. Toutes les trois sont mariées.

Précisément, leur histoire n'aurait pas particulièrement d'intérêt si elles n'avaient pas osé un "coup de canif dans le contrat", comme on dit. Mariées depuis une vingtaine d'années, elles ont cédé à une pulsion sexuelle hors conjugalité sans pour autant remettre celle-ci en question. Disons, pour résumer, que leur corps a aspiré ponctuellement à un autre contact, une autre pénétration, une manière de se sentir encore femme, pour ne pas dire femelle, afin de sortir d'une routine sexuelle qui commençait à leur peser. Car s'il est un point commun entre les trois, c'est qu'elles aiment vraiment, mais alors vraiment, le sexe. Ecoutons d'abord Caroline, qui reçoit ses deux amies dans sa ferme bio alors que son mari travaille dans les champs.
- Ce que je vais vous raconter, ça va rester entre nous, hein ? Vous me le promettez ?
- Mais oui, mais oui, répondent les deux autres en choeur.
- Bon voilà. L'autre jour, j'étais dans les champs par une forte chaleur, avec mon chapeau et une petite robe sans rien dessous, comme ça m'arrive quand il fait très chaud. Je vois passer un cycliste qui me salue mais il quitte la route des yeux et badaboum, le voilà qu'il tombe de son vélo. J'arrive en courant, le gars se relève, il est écorché aux bras et aux jambes. C'est un jeune mec d'à peine trente ans, bien gaulé. Je m'accroupis pour regarder ses blessures et je ne pense pas que je n'ai pas de culotte. Mais lui a vu ma chatte poilue car je ne la rase jamais.

Sur le coup, il pense plutôt à ses blessures. Je lui propose d'aller à la ferme tout près pour le désinfecter et lui mettre des pansements. Il prend son vélo à la main et m'accompagne. Son cuissard étant déchiré, je lui propose de prêter un short de mon mari, ce qu'il accepte. Là dessus, sa crier gare, il baisse son cuissard et m'expose son costume trois pièces sans la moindre honte tandis que je sors le mercurochrome. Un frisson me passe dans tout le corps. Pendant que je le désinfecte, il regarde mes seins bouger et comprend que je suis à poil sous ma robe. et il bande. Enormément. Je fais celle qui ne voit rien mais ma respiration s'est tellement accélérée que je ne le trompe pas. Je précise qu'à ce moment là, mon mari est loin dans les champs. Il saisit un de mes seins à travers ma robe, délicatement, en titillant la pointe. "J'ai envie de toi", il me souffle.

Tu parles ! Un peu qu'il a envie de moi, sa queue est totalement décalottée. Il se trouve qu'à ce moment là, je suis en manque. Mon mari ne m'a pas fait l'amour depuis plus d'un mois. Je l'ai un peu mauvaise. Le garçon a glissé sa main entre mes cuisses, senti mon sexe brulant et humide. Je jette un rapide coup d'oeil à la fenêtre, au cas où. Personne en vue. Je m'assois sur la table, fais passer ma robe par dessus ma tête, ouvre les cuisses et lui dit simplement :"viens, dépêche-toi".

Il m'enfile debout, mains sur la table tandis que je l'encercle de mes jambes. Visage contre visage. Il est magnifique, long, dur, tonique. Je me sens glorieusement baisée. Il me lèche les seins en me limant, ce qui me rend complètement folle. On clapote. Je réprime difficilement des cris de plaisir en gigotant sur ma table. Je jouis une première fois mais il en veut encore et il me retourne pour me prendre par derrière. C'est dans cette position qu'il va gicler en faisant claquer son ventre contre mes fesses. J'étais tellement excitée que j'étais à deux doigts de lui demander de m'enculer, mais il a éjaculé avant, ce qui n'était pas plus mal bien que j'adore ça parce qu'on ne sait jamais, mon mari pouvait revenir. J'ai vite remis ma robe, il a pris le short, il a récupéré son vélo, on s'est fait un petit bisou en se disant merci, c'était super. Et il est parti comme il est venu. Je ne connaissais même pas son prénom et lui pas davantage le mien. J'avais baisé avec un gars de vingt ans plus jeune que moi, à la hussarde, comme une vraie salope. Je n'en revenais pas.

En rentrant, j'ai vu une grosse flaque de sperme sur le carrelage au pied de la table et je me suis précipitée pour l'éponger. Il avait mis le paquet, le garçon, et j'en avais aussi plein sur moi. Je suis vite allée prendre une douche pour effacer les traces de ma fornication adultère et c'est en sortant de la salle de bain à poil que je suis tombée nez à nez avec mon mari. On avait eu chaud.
"Tiens, tu prends une douche en pleine journée maintenant" m-a-t-il dit. J'ai répondu "ben oui j'avais chaud" et il m'a répondu "moi aussi en te voyant à poil" et il m'a enlacée avant de m'emporter vers le lit. Et vous savez quoi ? J'ai encore baisé, cette fois conjugalement. Il avait fallu que je le trompe pour qu'il se réveille... sans qu'il sache rien. Comme j'étais encore excitée, il n'a pas été déçu, m'a trouvée "très salope" et c'était bien le mot qui convenait.
- Ah ah ah ! rirent de conserve Sandrine et Nathalie, enchantées par le récit de Caroline.

- Je n'ai plus qu'à m'exécuter aussi, dit Sandrine, mais là aussi, top secret car je risque gros. Un commerce ne résiste â une mauvaise rumeur. Vous vous souvenez qu'il y a un mois, j'ai reçu pour une signature un écrivain très connu, XX, ce qui a provoqué un vrai événement local. J'ai découvert un homme sympathique mais un séducteur patenté. Il draguait même les femmes qui lui demandaient son paraphe. Il était sûr de son succès grâce à son intelligence, certes, mais aussi son physique de latin lover. En fait, il n'a pas "conclu" avec la clientèle. Si bien qu'après la signature, c'est sur moi que son attention s'est portée. Il m'a complimentée pour ma "classe", précisé qu'il adore les femmes "bien en chair", ce que je préférais prendre pour un compliment relativement à mes rondeurs un peu trop marquées à mon goût. On a dîné ensemble, comme il se doit, avec ma collaboratrice Josiane mais sans mon mari. Puis je lui ai proposé de le ramener à son hôtel.

Il faut dire que pendant le dîner, il n'avait cessé de me charmer et même fait du pied sous la table. J'étais tombée peu à peu dans son piège. Josiane, beaucoup plus âgée que moi, s'en amusait et quand je suis passée à la caisse pour payer le diner, elle m'a dit à l'oreille :"fais attention, il va essayer de coucher avec toi". Je l'avais parfaitement compris mais je me sentais dans un drôle d'état d'esprit. Pour une petite libraire comme moi, coucher avec un auteur connu n'avait rien d'une pénitence. J'étais même curieuse de connaitre son corps, son comportement sexuel et de lui montrer qu'une petite provinciale, avec ses défauts physiques, n'avait rien d'un coup foireux. C'est tout juste si je ne considérais pas cette perspective comme un devoir professionnel au détriment de ma fidélité d'épouse, à laquelle je ne pensais plus vraiment. J'ai dit à Josiane qu'elle appelle mon mari pour lui dire que je raccompagnais l'auteur à son hôtel mais en lui faisant d'abord visiter les coins charmants de la ville. Et j'ai éteint mon portable.

Quand il m'a proposé de prendre un dernier verre dans sa chambre, je n'ai pas refusé. Il n'a même pas attendu d'ouvrir son mini bar. Il m'a aussitôt enlacée à peine entré et je n'ai pas refusé sa langue dans ma bouche. Il s'est longuement intéressé à mes seins qu'il a découverts un à un, les a soupesés, les a trouvés très beaux tandis que ma main tâtonnait sa braguette pour vérifier son érection. Au point où j'en étais, il n'aurait plus manqué que je tombe sur un bande mou. J'avais envie de baiser, pas de faire mumuse. Mon geste l'a définitivement renseigné sur mon état d'esprit : "tu aimes le cul, hein ? Je l'avais deviné. Mon instinct me trompe rarement. On va bien baiser tous les deux, je le sens".

Quand il m'a découverte à poil, il a eu un sifflement admiratif. "J'adore ton corps, tu as de beaux nichons, un bon gros cul, de belles cuisses bien larges, de vraies hanches, tu ne te rases pas le pubis, j'adore ça, tu es une vraie femme, on va bien s'amuser tous les deux". Ce n'était pas très romantique mais je n'étais pas là pour la poésie. Je voulais baiser avec ce type et son érection nette et sans bavure m'a rassurée. Il avait un corps un peu trop glabre à mon goût avec un peu trop d'embonpoint mais quand sa langue est venue se poser sur ma chatte, je n'ai plus pensé qu'au sexe. C'est l'ennui de la conjugalité. C'est toujours un peu pareil. Là, j'allais avoir affaire à un vrai cochon et il s'agissait d'être aussi cochonne que lui. Lui montrer ce que c'est qu'une libraire qui baise, sachant que ce n'est sans doute pas trop le genre de cette profession, quand je connais mes collègues tellement féministes qu'elles en oublient qu'elles sont femmes.

Avant de me pénétrer dument capoté, il a joué avec mon corps au point que c'en était agaçant. J'ai été pétrie, tripotée, léchée, mordillée, en particulier sur mes zones érogènes. Il voulait manifestement que je l'implore de s'enfoncer mais j'ai joué son jeu en le léchant partout, y compris dans son petit trou avant de le doigter, ce qui l'a ravi. "Tu es une vraie salope, j'en étais sûr", m'a-t-il dit. Mais j'étais tellement excitée que je l'ai bien pris. D'ailleurs, c'est vrai. J'ai passé l'âge des mimis mouillés. Si à 45 balais, une femme n'est pas une salope, c'est qu'elle a loupé sa sexualité.

Enfin, il est venu entre mes cuisses largement ouvertes et je lui ai montré une autre facette de mon personnage. L'ardeur au plumard et les mots crus. Dans ma librairie, il y a un rayon pour les livres érotiques et j'y puisse à la fois mon imaginaire et mon vocabulaire. Pendant qu'il me limait, je lui parlais de sa bite, de ses couilles, de ma chatte en terme divers et variés. Le plumard de l'hôtel était un vrai chantier. Mes nichons ballotants claquaient sur mon torse pendant que je le chevauchais et je lui ai montré mon cul qu'il avait l'air d'adorer en m'empalant sur lui. Quand il m'a prise par derrière, il a à son tour doigté mon anus après l'avoir léché et je lui ai dit : "tu peux y aller, je ne suis pas une frigide du petit trou". Il m'a tellement bien enculée que j'ai joui et il a giclé dans mon rectum.

Je lui ai dit que j'aurais bien remis ça mais je n'avais pas trop le temps. Il fallait que je rentre chez moi. Il m'a juré qu'il reviendrait pour son prochain bouquin. J'espère bien car on n'a pas totalement fait le tour de la question. J'ai des trucs en réserve.
- Et ton mari, il a tout gobé ? demande Caroline.
- Oui. Et pour me faire pardonner, je lui ai taillé une pipe dans le lit conjugal avant de m'endormir, non sans être passée à la douche avant pour effacer toute trace de mes turpitudes.
- Tu es bien une vraie salope, on ne le dirait pas à te voir, commente Nathalie. Mais au fond, est-ce que je vaux mieux ? Pas certaine.
- Ah bon ? Tu as aussi quelque chose de croustillant à nous raconter ? répond Sandrine.
- Oui, mais c'est encore plus secret que pour vous car cela pourrait avoir des conséquences électorales.
- Tu nous mets l'eau à la bouche. Vas-y raconte ! disent en choeur Caroline et Sandrine.

- Eh bien voilà. Vous le savez, mon mari est beaucoup plus âgé que moi, il a 65 ans et des problèmes de prostate. Il ne peut plus assurer et me satisfaire sexuellement car j'ai encore de gros besoins. J'aime autant le sexe que vous deux. Alors, je suis un peu volage. J'ai la chance d'avoir un physique qui me le permet encore. Mais pas question de "faire l'amour", c'est réservé à mon mari, toujours, malgré son handicap. En dehors de la maison, je baise. J'ai des relations sexuelles épisodiques avec l'adjoint à la culture de la mairie, un vrai cochon, qui adore mon corps, mes grandes jambes, mes seins ronds, mon cul ferme. Je joue encore au volley ball dans une équipe de vétéranes et ça aide. Oriane, la directrice de la médiathèque où je bosse, couche de temps en temps avec le chef de la police municipale alors qu'elle est mariée. Je lui sers d'alibi en lui permettant de baiser chez moi quand la maison est vide. Elle me rend la pareille chez elle mais à dire vrai, je ne cherche pas à me cacher de mon mari, juste de la rumeur qui pourrait affecter l'adjoint. Mon mari sait que j'assouvis mes pulsions en dehors du lit conjugal. Il préfère ça à une rupture mais je ne lui donne pas de détail. Il sait, c'est tout.

Récemment, l'adjoint, avec lequel je venais de baiser chez Oriane, m'a dit qu'il aimerait que je l'accompagne à Paris pour un symposium sur l'intelligence artificielle concernant justement les médiathèques. Normalement, c'était à Oriane d'y aller mais il voulait absolument que ce soit moi. J'étais un peu gênée par rapport à ma copine mais elle l'a bien pris en me disant "profites-en".
On est donc partis ensemble pour des débats qui devaient durer le temps d'un week-end. Et voilà que le samedi soir, il me fait une proposition totalement inattendue alors qu'on pouvait baiser tranquillement à l'hôtel.
"J'ai envie depuis longtemps de fréquenter un sauna libertin. Est-ce que tu es d'accord pour m'accompagner ? Ici, personne ne nous connait".

J'avoue que dans un premier temps, j'ai refusé. Je ne suis pas "exhib". Mais il a insisté en me disant de ne pas mourir idiote, que c'était juste une expérience et que c'était juste l'occasion de baiser dans un autre contexte qu'une chambre d'hôtel, la maison d'une copine ou en pleine nature. Finalement, j'ai cédé, comme souvent quand il s'agit de sexe, comme si mon ventre l'avait emporté sur ma tête.
Bref, le soir, j'étais nue sous un peignoir de bain en train de déambuler dans ce sauna à l'odeur chlorée assez désagréable, parmi d'autres couples de tous les âges venus uniquement pour baiser en public. On a tout de suite lié au bar avec un couple d'Antillais d'une quarantaine d'années, elle dotée d'une formidable paire de nichons qui fascinaient visiblement mon adjoint. Quand on s'est mis nus pour se glisser dans l'eau de la piscine, j'ai découvert le corps de l'homme, vraiment sculptural et j'ai ressenti aussitôt une onde de chaleur dans tout le corps. Je n'avais jamais fait l'amour ni baisé avec un homme noir mais j'ai toujours admiré leur physique dans le sport et celui-là devait lui aussi avoir été un athlète.

La piscine était fréquentée, dans l'eau ou au bord, par des hommes et des femmes en train de baiser sous des formes variées, comme le recommandait d'ailleurs un panneau, s'il en était besoin. Je ne pouvais plus reculer, d'autant que mon adjoint dégustait déjà la chatte de la Noire, lui dans l'eau, elle assise sur le bord, cuisses ouvertes, en train de roucouler en caressant ses gros seins. Son homme m'a enlacée par derrière dans la piscine, j'ai senti sa queue dressée contre mes fesses que j'ai bougées pour lui faire comprendre que j'étais open. Car oui mesdames, je voulais baiser avec ce type, je ressentais le vide dans mon entrecuisses que seule une queue bien raide pouvait combler. L'ambiance de cette piscine m'avait fait complètement craquer. J'avais basculé dans un autre monde sexuel.

Il m'a dit qu'il allait mettre une capote, il y en avait un peu partout à disposition, on est sortis de l'eau et il m'a entrainée dans une chambrette appelée "coin câlin" où un couple d'âge mûr était déjà en train de baiser et nous a fait une petite place. Il faut dire que toutes les pièces étaient déjà prises, ça forniquait dans tous les coins. Je défie quiconque de résister à cette atmosphère.
Sa queue était vraiment magnifique, sans doute la plus belle que j'ai eue et que j'ai embouchée avec délectation. Puis il m'a baisée, virilement, fougueusement. Bien dur et profond. Mon corps vibrait, j'étais devenue totalement femelle. Pendant qu'il me pilonnait, mon regard a croisé celui de l'autre femme allongée à côté de moi qui se faisait aussi copieusement mettre. On s'est comprises, on s'est souri. C'était la première fois que je me faisais baiser en présence d'un autre couple et j'en ai été curieusement très excitée, d'autant que la femme bombardait son mâle de mots crus et j'aime moi aussi me lâcher verbalement.

Quand elle s'est mise à quatre pattes, j'ai fait de même. "C'est bon, hein ?" elle m'a soufflé de son haleine tiède. Quand elle a chevauché son homme, je l'ai imitée et on a cavalé ensemble, ce qui m'a permis de mater le torse de mon Antillais, qui s'était présenté comme Célestin, avec délectation tant il était musclé. Cette femme, elle te ressemblait un peu Sandrine avec ses cheveux gris et son corps assez lourd. Notre complicité érotique était étonnante. Quand elle m'a demandé si j'étais d'accord pour un échange, je n'ai pas pu refuser. Son type, un gars costaud, velu, tatoué, pas du tout mon genre a priori, est venu entre mes cuisses sans que je résiste tandis que mon Antillais enfilait la femme qui célébrait sa grosse queue en termes éloquents. Je me suis prise les pieds dans les mains, je suis très souple, je voulais que le costaud me baise à fond pour que je lâche vraiment prise. De me voir ainsi très ouverte, très participative, ça a fait gicler le type dans sa capote et j'ai couiné de plaisir, en proie à un orgasme totalement imprévu.

J'ai eu alors une envie furieuse d'aller aux toilettes et j'ai découvert que tous mes ébats avaient eu des témoins qui m'ont félicitée à ma sortie. J'ai retrouvé mon adjoint qui me dit qu'il avait baisé la Noire et il m'a conduite dans une autre salle où il y avait une vieille bagnole totalement désossée mais qu'on pouvait reconnaitre comme une DS à l'ancienne. Au milieu, il y avait un plumard. "On y va ?" m'a dit l'adjoint. Décidément, il avait des ressources. Moi, j'étais encore un incendie sur pattes. J'avais encore besoin d'être remplie. Baiser dans cette bagnole m'a renvoyée à ma jeunesse, sauf qu'elle ne bougeait pas sur ses amortisseurs, et sauf que des têtes sont apparues tout autour pour nous voir à l'oeuvre. Moi qui ne suis pas exhib, je n'avais plus la moindre réticence à m'exposer dans toutes les positions de l'amour. Comme il avait déjà éjaculé, il m'a limée longuement. Un homme m'a tendu sa queue à sucer à travers une ouverture et je l'ai embouchée sans me poser de questions. Je n'étais plus vraiment moi-même. Enfin, l'adjoint a joui et je suis sortie un peu flageolante pour aller prendre une douche. Cette fois, j'avais mon compte. Et le lendemain, je suis arrivée en retard au symposium en marchant en canard. J'avais un peu trop baisé...
- Quelle histoire, Nathalie ! commente Sandrine. Je ne crois pas qu'il y ait beaucoup de bibliothécaires aussi cochonnes que toi.
- Je reviens à ta réflexion "si a 45 ans une femme n'est pas salope, c'est qu'elle a raté sa sexualité", répond Nathalie. Moi, j'en ai 48, et je crois que je n'ai rien raté !
Et les trois femmes d'éclater de rire, bien convaincues qu'elles se ressemblaient au-delà de leur âge.
A SUIVRE

Les avis des lecteurs

Histoire Erotique
Micky,
Merci pour toutes ces nouvelles confidences, toujours autant savoureuses.
On en redemande encore et encore...
Didier

C'est toujours aussi délicieux. On ne s'en lasse pas, chère Micky!



Texte coquin : Trio 4 Caroline, Sandrine et Nathalie
Histoire sexe : Une rose rouge
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