Trio 5 Martine, Corinne et Véronique (fin)

Récit érotique écrit par Micky [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Trio 5 Martine, Corinne et Véronique (fin)
Suite aux confessions de femmes déjà publiées, voici le dernier épisode de cette série. Nous découvrons aujourd'hui Martine, Corinne et Véronique. Leur point commun est d'avoir atteint l'âge de cinquante ans en même temps puisqu'elles ont été à l'école et au collège ensemble avant de vivre chacune leur existence dans la ville où elles sont restées et où elles ont continué à se fréquenter au nom d'une amitié durable.
Martine est une petite femme dynamique aux cheveux coupés à la garçonne teintés d'auburn, un grand sourire et des yeux malicieux. Elle est mariée à un technicien employé sur les plateformes pétrolières, ce qui génère de longues séparations. Elle-même est employée de bureau dans une entreprise locale qui emploie une majorité d'hommes, ce qui ne sera pas sans conséquence, comme on va le voir.
Corinne est au contraire une femme élancée à cheveux mi-longs teintés de blond, assez fière de son corps resté harmonieux et bien proportionné, ce qui lui a valu une élection de miss dans sa jeunesse. Elle est mariée à un petit entrepreneur très pris par ses obligations professionnelles. Elle exerce elle aussi un emploi de bureau dans une collectivité territoriale, comme sa collègue Martine (pas la même), une sexagénaire délurée aux cheveux cours et grisonnants et au corps menu.
Véronique est la seule des trois à avoir mené des études poussées puisqu'elle est médecin généraliste. De petite taille et bien en chair, elle a refusé de ses teindre les cheveux qui ont pris avec le temps une coupe plus argentée que grisonnante qu'elle juge assez seyante. Elle aussi est mariée, avec un dentiste avec lequel elle vit un couple plus associatif qu'amoureux, leur vie professionnelle ayant pris l'ascendant. De même que Martine et Corinne, d'avoir atteint la cinquantaine lui a miné le moral, comme si elle s'était sentie soudain plus vieille. C'est au cours d'un repas chez Martine que toutes les trois vont s'épancher. Arrivées au dessert, elles interrogent Martine avec cette question : "alors, ton mari, quand est-ce qu'il revient ?"
- Pas avant six semaine, répond-elle, et c'est interminable. On correspond par zoom et j'ai l'impression de ne plus avoir qu'un mari virtuel. Pour la gestion commune, ça va, je me débrouille mais ce qui me manque le plus, c'est le sexe. Et lui aussi d'ailleurs. Entre nous, c'est une drogue dure. Quand il revient, on passe notre première journée à baiser. Mais ça ne me suffit pas. Et il le sait. Il m'a accordé le droit de satisfaire mes pulsions si j'en ai l'occasion. Et il y en a puisque je suis entourée d'hommes souvent mignons. Quand j'ai baisé, il veut juste que je lui raconte, tout. Il se branle en m'écoutant derrière son écran et je me branle aussi. Il veut des détails. Quand, comment et avec qui.
Récemment, je suis sortie avec un client de la boite avec lequel j'étais en relation jusqu'alors téléphonique. Quand il m'a découverte, il m'a dit qu'il avait eu un choc. Il ne me voyait pas comme ça, aussi sexy. Ce jour là, il faisait chaud et j'étais nue sous mon débardeur, mes petits seins me le permettent. Et j'étais en short, j'aime bien mes jambes. Il m'a invitée à diner, j'avais quand même mis une robe et juste un string dessous. J'avais bien compris que le type voulait me baiser. Je lui ai dit que j'étais mariée mais quand il a su que mon mari était éloigné, il a tenté sa chance en me proposant de m'accompagner à son hôtel. J'ai un peu fait des manières histoire de ne pas trop lui faciliter la tâche. Et je lui ai dit mon âge, cinquante balais, pensant le décourager, alors qu'il a dix ans de moins.
Tu parles ! Il m'a dit que je ne les faisais pas et de toute façon, il préférait mille fois les femmes d'expérience aux jeunesses. Bref, je n'ai pas résisté car au fond, j'avais envie de m'envoyer en l'air. Envie d'un corps à corps, d'une bonne pénétration, de sucer une bite. Ce que j'ai d'ailleurs fait d'emblée quand il me l'a montrée une fois dans la chambre. Une belle bite bien décalottée, bien raide, bien épaisse, tout ce qu'il me fallait. On a bien joué sur le plumard, lui avec mon corps, moi avec sa queue. On a baisé deux fois de suite, la deuxième fois longuement, j'ai eu plusieurs orgasmes, je jouis facilement. Je ne pensais pas du tout à mon mari, sauf quand il a voulu m'enculer. Là j'ai dit non, réservé à monsieur. Dommage, il a dit, tu as un très joli cul. Pour le reste, on a fait tout ce qu'un homme et une femme peuvent faire dans le sexe. C'était un rapport très complet, très satisfaisant, assez bruyant mais pas grave, l'hôtel est un vrai baisodrome. J'ai même rencontré une collègue en sortant avec son amant, on a fait semblant de ne pas se voir. Et j'ai tout raconté le lendemain à mon mari, qui a été content pour moi. On s'est branlé frénétiquement pendant que je lui racontais les positions avec un luxe de détails. Mais j'ai hâte qu'il revienne. L'adultère consentie, ça va un moment mais rien ne vaut le sexe conjugal à mes yeux.
- Tu as bien de la chance d'avoir un mari aussi complaisant, riposte Corinne. Le mien, il est trop jaloux pour tolérer de ma part une escapade, même ponctuelle. C'est pourtant ce qui m'est arrivé il y a quelque temps mais alors, par pitié, top secret. Je n'ai aucune envie de divorcer pour une partie de jambes en l'air hors mariage.
- Raconte quand même, disent les deux autres. On sera muettes comme des carpes.
- Bon, voilà, je suis copine avec ma voisine Martine qui, malgré ses soixante balais, fait encore dans le libertinage avec la complicité de son mari Léon. Elle a parfois essayé de m'entrainer avec le mien dans un plan à quatre mais c'était hors de question. Dernièrement, il faisait si chaud dans nos appartements qu'elle m'a proposé de passer la journée à la plage à une cinquantaine de bornes de chez nous. En cours de route, elle m'a juste rappelé qu'elle bronze à poil et qu'on irait sur une plage naturiste, en me disant que je pourrais garder le bas si j'y tenais vraiment. J'ai dit OK, ce ne serait pas la première fois que j'enlèverais le haut même si mon mari n'aime pas trop ça, mais comme j'ai de beaux seins, n'est-ce pas, il tolère.
En fait, sur la plage, je me suis trouvée conne de garder mon slip vu qu'aucune femme présente ne le faisait. Martine m'a entrainée vers un petit groupe qu'elle fréquente habituellement. Des couples mûrs à deux ou trois exceptions près dont un gars d'une trentaine d'années, tout bronzé et vraiment sexy, prénommé Maxime. Il m'a aussitôt entreprise, j'étais assez flattée et je me sentais moins nue puisque tout le monde l'était. Martine nous a entrainé vers nos serviettes avec un autre gars, un quinqua tatoué qui l'avait manifestement à la bonne. On a bronzé ensemble, on s'est baigné ensemble, on a pas mal discuté. Maxime s'étonnait que je ne sois pas avec mon mari car j'avais bien précisé que j'étais mariée.
Et puis, pendant qu'on parlait, Martine s'est penchée vers le tatoué prénommé Fabrice et s'est mis à lui tailler une pipe, comme ça, sur la plage. J'étais sidérée. On s'est arrêté de parler avec Maxime. Il s'est mis à bander, exhibant une queue splendide, longue et raide, qu'il s'est mis à palucher en regardant Martine dans ses oeuvres. "Tu me suces aussi ?" m'a-t-il soufflé à l'oreille. Là, je me suis sentie vraiment coincée. D'un côté, j'étais tentée par cette bite vraiment superbe car j'adore la fellation. De l'autre, il y avait d'autres baigneurs pas très loin et certains regardaient déjà Martine en train de pomper le tatoué. Mais tous les deux se sont relevés, ont pris leur serviette et nous ont dit : "on va baiser derrière la plage, vous venez avec nous ?"
J'étais encore plus coincée. Maxime se relevait déjà, la queue en avant et me prenait la main en tenant sa serviette de l'autre. Et comme une automate, j'ai suivi tout le monde. Martine avait sorti deux capotes de son sac, elle avait bien prévu le coup, la cochonne. Je me suis retrouvée allongée à côté d'elle en plein soleil tandis que les deux gars nous dégustaient de leur langue. Je n'ai jamais pu résister à un cunni. L'érotisme de la situation m'avait totalement investie. Le soleil, la mer, le sexe, Martine à poil à côté de moi également à poil, ces deux types bandant pour nous comme des ânes, plus rien ne pouvait nous empêcher de baiser.
Et Maxime m'a baisée comme je ne l'avais pas été depuis des lustres. Rien à voir avec du sexe conjugal. Avec Martine, on s'est fait pilonner en se tenant par la main et en mêlant nos exclamations de plaisir. On s'est même embrassées face à face en se faisant prendre en levrette en même temps. Cette bite me comblait tellement que moi, je n'ai pas refusé comme toi Martine de l'avoir dans mon cul. Maxime me disait qu'il n'avait pas vu d'aussi belles fesses depuis longtemps et il est vrai que c'est mon atout sexuel majeur à tel point que j'aime les mouler dans des pantalons en coton et les arrondir en marchant, sentant le regard des hommes sur ma croupe. J'ai joui avant Martine, elle aussi enculée et les deux gars ont rempli leur capote en nous disant que nous étions deux coups en or.
Puis on est parti se baigner, non sans avoir aperçu deux voyeurs qui n'avaient rien perdu de nos ébats, ce qui m'a un peu inquiétée. Mais Martine m'a rassurée en me disant qu'elle n'avait jamais eu d'ennuis en baisant ici. Je ne l'ai plus vue sous le même angle, ma voisine et copine et quelque part, je me suis rassurée en me disant que si je suis comme elle dans dix ans, je serais pas rangée des voitures. Notre complicité est désormais entière. Je n'avais jamais baisé à quatre et je l'avoue, cela m'avait énormément excitée et contribué à mon orgasme. Je me suis juste sentie très coupables pendant quelque temps... avant d'oublier jusqu'à maintenant. Vous ne direz rien, hein ? Si mon mari savait que je me suis montrée à poil sur une plage, il serait dingue. Alors, baiser...
- Mai oui, ne t'inquiète pas, dit Véronique, qui a bu les paroles de Corinne. Moi, je n'ai pas ce problème. Avec mon mari, on fait chambre part depuis un bail. On reste ensemble pour tout un tas de raisons mais chacun vit sa vie de son côté, en particulier pour le sexe. Je sais qu'il baise mais moi aussi. Même à cinquante balais. Et même si c'est moins souvent que par le passé. Récemment, j'ai reçu un jeune visiteur médical qui m'a fait le grand jeu pour que je vante ses produits. Il m'a invitée à dîner dans un bon restaurant en déployant tout son charme de beau gosse sûr de son fait. Il a été tout surpris quand après m'avoir raccompagnée chez moi, je lui ai fait une bise et lui ai dit au-revoir et merci pour le repas. Il pensait que j'allais accepter de l'accompagner à son hôtel. Mais quoi, Véro, elle est pas comme ça. Elle ne s'allonge pas sur commande. Je ne lui ai même pas pris ses médocs. Alors, il est revenu à la charge deux semaines plus tard.
Nouveau resto, nouvelle séance de charme mais cette fois, j'avais mis la robe ad hoc. Un décolleté carré sur mes gros seins et arrivant à la moitié de mes grosses cuisses.
- N'exagères pas, tu n'es pas si grosse que ça, je prendrais même un peu de ta chair si je pouvais, réplique Martine.
- Tu es gentille, c'est vrai qu'on n'est jamais vraiment satisfaite de son physique. Mais s'il voulait me baiser, il fallait qu'il voie vraiment à qui il avait affaire. Je l'ai provoqué. Je lui ai dit que son petit numéro me faisait ni chaud ni froid. Est-ce qu'il était à la hauteur avec les femmes, au moins ? Ou n'était-ce pas juste du "fake sex" pour employer une expression que j'ai inventée ? J'avais touché juste. J'ai vu dans son regard quelque chose comme "toi ma gaillarde, tu vas voir ce que j'ai dans le pantalon". C'était exactement ce que je voulais. Lui faire péter la braguette.
Quand il m'a proposé de l'accompagner à son hôtel, je lui ai dit : "Ok mais si je suis déçue, je ne donne pas cher de ton avenir auprès de mes collègues féminines". Evidemment, je n'en aurais rien fait, pas folle, mais lui a pris ça au premier degré. Et quand je suis entrée dans sa chambre, j'ai vu une bosse devant son pantalon qui m'a parue prometteuse. Mes gros nichons, mon gros cul et mes grosses cuisses l'inspiraient visiblement. Et quand il m'a vue à poil, il bandait comme un cerf. Je n'avais pas été baisée depuis un certain temps et j'en avais une furieuse envie. Je l'ai englouti en entier d'emblée avec des préliminaires réduits à un petit doigtage histoire de vérifier mon état. Je l'ai adjuré de durer et il s'est retiré plusieurs fois pour ne pas gicler, ce que j'ai apprécié.
On a vraiment baisé. Je l'ai eu entre mes cuisses, entre mes seins, entre mes fesses, tout ce que je voulais. Il a rechargé deux fois, j'étais ravie de ce corps à corps qui nous permettait des variantes que je lui imposais. Les femmes que je reçois dans mon cabinet en me parlant de leurs problèmes de couple me font bien rire sous cape. Si elles aimaient vraiment la bite, au moins celle de leur mari, elles auraient moins de problèmes existentiels. Le sexe, voilà la clé, qu'on le veuille ou non. Moi, j'aime me faire rentrer dedans. Peu importe le trou. Et plus je vieillis, plus j'aime ça. Cet épisode m'a montré que je peux encore plaire à un beau mec malgré mon âge et mes rondeurs. C'est ça qui m'a plu.
- Tu es comme nous deux, une femme qui baise, dit Martine, qui a écouté Véronique en se caressant. Et d'ailleurs, tu m'as donné envie de baiser et rapidement. Je crois que je vais passer un coup de fil à mon client.
- Moi, je vais me contenter de mon mari, ajoute Corinne, mais il va être surpris quand il va rentrer. Je vais lui faire le grand jeu. Et s'il ne bande pas suffisamment, je divorce ! dit-elle avec un sourire en coin.
- En tout cas, poursuit Véronique, mon visiteur médical a eu sa commande. Il doit repasser la semaine prochaine. Comme je n'ai plus de règles, il passera à la casserole, c'est certain. L'avantage de la cinquantaine...
Et les deux autres de glousser en disant "tu nous raconteras"...
FIN
Martine est une petite femme dynamique aux cheveux coupés à la garçonne teintés d'auburn, un grand sourire et des yeux malicieux. Elle est mariée à un technicien employé sur les plateformes pétrolières, ce qui génère de longues séparations. Elle-même est employée de bureau dans une entreprise locale qui emploie une majorité d'hommes, ce qui ne sera pas sans conséquence, comme on va le voir.
Corinne est au contraire une femme élancée à cheveux mi-longs teintés de blond, assez fière de son corps resté harmonieux et bien proportionné, ce qui lui a valu une élection de miss dans sa jeunesse. Elle est mariée à un petit entrepreneur très pris par ses obligations professionnelles. Elle exerce elle aussi un emploi de bureau dans une collectivité territoriale, comme sa collègue Martine (pas la même), une sexagénaire délurée aux cheveux cours et grisonnants et au corps menu.
Véronique est la seule des trois à avoir mené des études poussées puisqu'elle est médecin généraliste. De petite taille et bien en chair, elle a refusé de ses teindre les cheveux qui ont pris avec le temps une coupe plus argentée que grisonnante qu'elle juge assez seyante. Elle aussi est mariée, avec un dentiste avec lequel elle vit un couple plus associatif qu'amoureux, leur vie professionnelle ayant pris l'ascendant. De même que Martine et Corinne, d'avoir atteint la cinquantaine lui a miné le moral, comme si elle s'était sentie soudain plus vieille. C'est au cours d'un repas chez Martine que toutes les trois vont s'épancher. Arrivées au dessert, elles interrogent Martine avec cette question : "alors, ton mari, quand est-ce qu'il revient ?"
- Pas avant six semaine, répond-elle, et c'est interminable. On correspond par zoom et j'ai l'impression de ne plus avoir qu'un mari virtuel. Pour la gestion commune, ça va, je me débrouille mais ce qui me manque le plus, c'est le sexe. Et lui aussi d'ailleurs. Entre nous, c'est une drogue dure. Quand il revient, on passe notre première journée à baiser. Mais ça ne me suffit pas. Et il le sait. Il m'a accordé le droit de satisfaire mes pulsions si j'en ai l'occasion. Et il y en a puisque je suis entourée d'hommes souvent mignons. Quand j'ai baisé, il veut juste que je lui raconte, tout. Il se branle en m'écoutant derrière son écran et je me branle aussi. Il veut des détails. Quand, comment et avec qui.
Récemment, je suis sortie avec un client de la boite avec lequel j'étais en relation jusqu'alors téléphonique. Quand il m'a découverte, il m'a dit qu'il avait eu un choc. Il ne me voyait pas comme ça, aussi sexy. Ce jour là, il faisait chaud et j'étais nue sous mon débardeur, mes petits seins me le permettent. Et j'étais en short, j'aime bien mes jambes. Il m'a invitée à diner, j'avais quand même mis une robe et juste un string dessous. J'avais bien compris que le type voulait me baiser. Je lui ai dit que j'étais mariée mais quand il a su que mon mari était éloigné, il a tenté sa chance en me proposant de m'accompagner à son hôtel. J'ai un peu fait des manières histoire de ne pas trop lui faciliter la tâche. Et je lui ai dit mon âge, cinquante balais, pensant le décourager, alors qu'il a dix ans de moins.
Tu parles ! Il m'a dit que je ne les faisais pas et de toute façon, il préférait mille fois les femmes d'expérience aux jeunesses. Bref, je n'ai pas résisté car au fond, j'avais envie de m'envoyer en l'air. Envie d'un corps à corps, d'une bonne pénétration, de sucer une bite. Ce que j'ai d'ailleurs fait d'emblée quand il me l'a montrée une fois dans la chambre. Une belle bite bien décalottée, bien raide, bien épaisse, tout ce qu'il me fallait. On a bien joué sur le plumard, lui avec mon corps, moi avec sa queue. On a baisé deux fois de suite, la deuxième fois longuement, j'ai eu plusieurs orgasmes, je jouis facilement. Je ne pensais pas du tout à mon mari, sauf quand il a voulu m'enculer. Là j'ai dit non, réservé à monsieur. Dommage, il a dit, tu as un très joli cul. Pour le reste, on a fait tout ce qu'un homme et une femme peuvent faire dans le sexe. C'était un rapport très complet, très satisfaisant, assez bruyant mais pas grave, l'hôtel est un vrai baisodrome. J'ai même rencontré une collègue en sortant avec son amant, on a fait semblant de ne pas se voir. Et j'ai tout raconté le lendemain à mon mari, qui a été content pour moi. On s'est branlé frénétiquement pendant que je lui racontais les positions avec un luxe de détails. Mais j'ai hâte qu'il revienne. L'adultère consentie, ça va un moment mais rien ne vaut le sexe conjugal à mes yeux.
- Tu as bien de la chance d'avoir un mari aussi complaisant, riposte Corinne. Le mien, il est trop jaloux pour tolérer de ma part une escapade, même ponctuelle. C'est pourtant ce qui m'est arrivé il y a quelque temps mais alors, par pitié, top secret. Je n'ai aucune envie de divorcer pour une partie de jambes en l'air hors mariage.
- Raconte quand même, disent les deux autres. On sera muettes comme des carpes.
- Bon, voilà, je suis copine avec ma voisine Martine qui, malgré ses soixante balais, fait encore dans le libertinage avec la complicité de son mari Léon. Elle a parfois essayé de m'entrainer avec le mien dans un plan à quatre mais c'était hors de question. Dernièrement, il faisait si chaud dans nos appartements qu'elle m'a proposé de passer la journée à la plage à une cinquantaine de bornes de chez nous. En cours de route, elle m'a juste rappelé qu'elle bronze à poil et qu'on irait sur une plage naturiste, en me disant que je pourrais garder le bas si j'y tenais vraiment. J'ai dit OK, ce ne serait pas la première fois que j'enlèverais le haut même si mon mari n'aime pas trop ça, mais comme j'ai de beaux seins, n'est-ce pas, il tolère.
En fait, sur la plage, je me suis trouvée conne de garder mon slip vu qu'aucune femme présente ne le faisait. Martine m'a entrainée vers un petit groupe qu'elle fréquente habituellement. Des couples mûrs à deux ou trois exceptions près dont un gars d'une trentaine d'années, tout bronzé et vraiment sexy, prénommé Maxime. Il m'a aussitôt entreprise, j'étais assez flattée et je me sentais moins nue puisque tout le monde l'était. Martine nous a entrainé vers nos serviettes avec un autre gars, un quinqua tatoué qui l'avait manifestement à la bonne. On a bronzé ensemble, on s'est baigné ensemble, on a pas mal discuté. Maxime s'étonnait que je ne sois pas avec mon mari car j'avais bien précisé que j'étais mariée.
Et puis, pendant qu'on parlait, Martine s'est penchée vers le tatoué prénommé Fabrice et s'est mis à lui tailler une pipe, comme ça, sur la plage. J'étais sidérée. On s'est arrêté de parler avec Maxime. Il s'est mis à bander, exhibant une queue splendide, longue et raide, qu'il s'est mis à palucher en regardant Martine dans ses oeuvres. "Tu me suces aussi ?" m'a-t-il soufflé à l'oreille. Là, je me suis sentie vraiment coincée. D'un côté, j'étais tentée par cette bite vraiment superbe car j'adore la fellation. De l'autre, il y avait d'autres baigneurs pas très loin et certains regardaient déjà Martine en train de pomper le tatoué. Mais tous les deux se sont relevés, ont pris leur serviette et nous ont dit : "on va baiser derrière la plage, vous venez avec nous ?"
J'étais encore plus coincée. Maxime se relevait déjà, la queue en avant et me prenait la main en tenant sa serviette de l'autre. Et comme une automate, j'ai suivi tout le monde. Martine avait sorti deux capotes de son sac, elle avait bien prévu le coup, la cochonne. Je me suis retrouvée allongée à côté d'elle en plein soleil tandis que les deux gars nous dégustaient de leur langue. Je n'ai jamais pu résister à un cunni. L'érotisme de la situation m'avait totalement investie. Le soleil, la mer, le sexe, Martine à poil à côté de moi également à poil, ces deux types bandant pour nous comme des ânes, plus rien ne pouvait nous empêcher de baiser.
Et Maxime m'a baisée comme je ne l'avais pas été depuis des lustres. Rien à voir avec du sexe conjugal. Avec Martine, on s'est fait pilonner en se tenant par la main et en mêlant nos exclamations de plaisir. On s'est même embrassées face à face en se faisant prendre en levrette en même temps. Cette bite me comblait tellement que moi, je n'ai pas refusé comme toi Martine de l'avoir dans mon cul. Maxime me disait qu'il n'avait pas vu d'aussi belles fesses depuis longtemps et il est vrai que c'est mon atout sexuel majeur à tel point que j'aime les mouler dans des pantalons en coton et les arrondir en marchant, sentant le regard des hommes sur ma croupe. J'ai joui avant Martine, elle aussi enculée et les deux gars ont rempli leur capote en nous disant que nous étions deux coups en or.
Puis on est parti se baigner, non sans avoir aperçu deux voyeurs qui n'avaient rien perdu de nos ébats, ce qui m'a un peu inquiétée. Mais Martine m'a rassurée en me disant qu'elle n'avait jamais eu d'ennuis en baisant ici. Je ne l'ai plus vue sous le même angle, ma voisine et copine et quelque part, je me suis rassurée en me disant que si je suis comme elle dans dix ans, je serais pas rangée des voitures. Notre complicité est désormais entière. Je n'avais jamais baisé à quatre et je l'avoue, cela m'avait énormément excitée et contribué à mon orgasme. Je me suis juste sentie très coupables pendant quelque temps... avant d'oublier jusqu'à maintenant. Vous ne direz rien, hein ? Si mon mari savait que je me suis montrée à poil sur une plage, il serait dingue. Alors, baiser...
- Mai oui, ne t'inquiète pas, dit Véronique, qui a bu les paroles de Corinne. Moi, je n'ai pas ce problème. Avec mon mari, on fait chambre part depuis un bail. On reste ensemble pour tout un tas de raisons mais chacun vit sa vie de son côté, en particulier pour le sexe. Je sais qu'il baise mais moi aussi. Même à cinquante balais. Et même si c'est moins souvent que par le passé. Récemment, j'ai reçu un jeune visiteur médical qui m'a fait le grand jeu pour que je vante ses produits. Il m'a invitée à dîner dans un bon restaurant en déployant tout son charme de beau gosse sûr de son fait. Il a été tout surpris quand après m'avoir raccompagnée chez moi, je lui ai fait une bise et lui ai dit au-revoir et merci pour le repas. Il pensait que j'allais accepter de l'accompagner à son hôtel. Mais quoi, Véro, elle est pas comme ça. Elle ne s'allonge pas sur commande. Je ne lui ai même pas pris ses médocs. Alors, il est revenu à la charge deux semaines plus tard.
Nouveau resto, nouvelle séance de charme mais cette fois, j'avais mis la robe ad hoc. Un décolleté carré sur mes gros seins et arrivant à la moitié de mes grosses cuisses.
- N'exagères pas, tu n'es pas si grosse que ça, je prendrais même un peu de ta chair si je pouvais, réplique Martine.
- Tu es gentille, c'est vrai qu'on n'est jamais vraiment satisfaite de son physique. Mais s'il voulait me baiser, il fallait qu'il voie vraiment à qui il avait affaire. Je l'ai provoqué. Je lui ai dit que son petit numéro me faisait ni chaud ni froid. Est-ce qu'il était à la hauteur avec les femmes, au moins ? Ou n'était-ce pas juste du "fake sex" pour employer une expression que j'ai inventée ? J'avais touché juste. J'ai vu dans son regard quelque chose comme "toi ma gaillarde, tu vas voir ce que j'ai dans le pantalon". C'était exactement ce que je voulais. Lui faire péter la braguette.
Quand il m'a proposé de l'accompagner à son hôtel, je lui ai dit : "Ok mais si je suis déçue, je ne donne pas cher de ton avenir auprès de mes collègues féminines". Evidemment, je n'en aurais rien fait, pas folle, mais lui a pris ça au premier degré. Et quand je suis entrée dans sa chambre, j'ai vu une bosse devant son pantalon qui m'a parue prometteuse. Mes gros nichons, mon gros cul et mes grosses cuisses l'inspiraient visiblement. Et quand il m'a vue à poil, il bandait comme un cerf. Je n'avais pas été baisée depuis un certain temps et j'en avais une furieuse envie. Je l'ai englouti en entier d'emblée avec des préliminaires réduits à un petit doigtage histoire de vérifier mon état. Je l'ai adjuré de durer et il s'est retiré plusieurs fois pour ne pas gicler, ce que j'ai apprécié.
On a vraiment baisé. Je l'ai eu entre mes cuisses, entre mes seins, entre mes fesses, tout ce que je voulais. Il a rechargé deux fois, j'étais ravie de ce corps à corps qui nous permettait des variantes que je lui imposais. Les femmes que je reçois dans mon cabinet en me parlant de leurs problèmes de couple me font bien rire sous cape. Si elles aimaient vraiment la bite, au moins celle de leur mari, elles auraient moins de problèmes existentiels. Le sexe, voilà la clé, qu'on le veuille ou non. Moi, j'aime me faire rentrer dedans. Peu importe le trou. Et plus je vieillis, plus j'aime ça. Cet épisode m'a montré que je peux encore plaire à un beau mec malgré mon âge et mes rondeurs. C'est ça qui m'a plu.
- Tu es comme nous deux, une femme qui baise, dit Martine, qui a écouté Véronique en se caressant. Et d'ailleurs, tu m'as donné envie de baiser et rapidement. Je crois que je vais passer un coup de fil à mon client.
- Moi, je vais me contenter de mon mari, ajoute Corinne, mais il va être surpris quand il va rentrer. Je vais lui faire le grand jeu. Et s'il ne bande pas suffisamment, je divorce ! dit-elle avec un sourire en coin.
- En tout cas, poursuit Véronique, mon visiteur médical a eu sa commande. Il doit repasser la semaine prochaine. Comme je n'ai plus de règles, il passera à la casserole, c'est certain. L'avantage de la cinquantaine...
Et les deux autres de glousser en disant "tu nous raconteras"...
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