Trio d'automne

Récit érotique écrit par CDuvert [→ Accès à sa fiche auteur]
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Trio d'automne
Dans la pénombre d'une vieille maison de campagne, isolée au cœur des vignes ondulantes, l'air portait l'odeur lourde du bois ancien et du vin en fermentation. Marc et Louis, deux amis dans la cinquantaine, sirotaient un rouge épais. Leurs corps solides montraient les marques des années. Épaules larges. Mains calleuses. Regards aiguisés par l'expérience.
Ils attendaient. Un verre à la main. Le silence pesait, rompu seulement par le crépitement lointain d'un feu dans la cheminée. Marc posa son verre sur la table basse. Il étira ses jambes, sentant la tension dans ses muscles. Louis observa le liquide sombre dans son verre. "Elle arrive bientôt", dit Marc d'une voix basse. Louis hocha la tête. "Oui. Et elle sait ce qu'on attend."
L'odeur du vin se mêlait à celle de la terre humide dehors. Marc pensa à la peau qu'ils toucheraient bientôt. Louis serra son verre plus fort. Leur excitation montait déjà, discrète mais palpable. Un frisson parcourut Marc. Il ajusta sa position sur le canapé. Louis sourit en coin. "Patience. Elle a promis."
La porte s'ouvrit. Un courant d'air frais entra, portant un parfum de jasmin. Élise apparut, vingt ans à peine. Sa peau pâle luisait sous la lumière tamisée. Ses courbes de jeune adulte dessinaient une silhouette fine, ses cheveux châtains cascadaient sur ses épaules nues.
Elle s'arrêta un instant sur le seuil. Sa robe légère effleurait ses cuisses minces. Le tissu fin collait légèrement à sa peau, soulignant la forme de ses seins petits et fermes. Marc retint son souffle. Louis posa son verre. Élise sourit. "Bonsoir, messieurs. Je suis en retard ?"
Ses yeux brillaient d'une lueur espiègle. Elle avança d'un pas. La robe remua, révélant un éclat de peau au-dessus du genou. Marc sentit son pouls s'accélérer. "Entre, Élise", murmura-t-il. Louis se leva à demi. "Viens plus près. Laisse-nous te voir."
Élise obéit. Elle tourna lentement sur elle-même. La robe virevolta, exposant un instant la courbe de ses fesses. Pas de sous-vêtements visibles. Marc grogna doucement. "Tu portes ça pour nous ?" demanda Louis. Élise rit. Un son clair. "Peut-être. Ou peut-être pas."
Marc hocha la tête. Son regard glissait le long de ses jambes fines et lisses, s'attardant sur la courbe des mollets, remontant jusqu'à l'ourlet de la robe qui frôlait la peau. Louis posa son verre sur la table basse, un sourire en coin étirait ses lèvres, révélant une rangée de dents blanches.
Élise s'approcha. Ses pas légers faisaient craquer le parquet usé, un son sec et rythmé qui résonnait dans la pièce. L'odeur du bois vieilli se mêlait à celle de son corps, un parfum subtil qui commençait à envahir la pièce.
Elle s'assit entre eux sur le canapé élimé. Le tissu râpait légèrement contre ses cuisses nues. L'odeur de sa peau imprégnait l'air, un mélange de jasmin et de sueur fraîche qui montait comme une vague tiède.
Marc posa une main sur son genou. Il effleurait à peine la chair tiède, sentant la chaleur irradier sous ses doigts. Louis observait, le souffle retenu. Une chaleur naissait dans son ventre, un feu lent qui se propageait.
Élise tourna la tête vers Marc. Ses yeux pétillaient d'une malice retenue. Elle laissa ses doigts effleurer le bras de Louis, un contact fugace qui fit tressaillir sa peau.
"Tu vas jouer le jeu, n'est-ce pas ?" murmura Marc. Ses doigts remontaient lentement le long de sa cuisse. Il sentait la douceur soyeuse sous sa paume, la chair qui cédait légèrement sous la pression.
Élise frissonna. Un léger tremblement parcourait son corps, de la nuque jusqu'aux orteils. Elle croisa les jambes, forçant la main de Marc à s'arrêter net.
Une provocation subtile se jouait dans leurs regards croisés. Marc retira sa main avec lenteur, mais ses yeux restaient fixés sur elle. Louis se pencha en avant, son souffle effleurait maintenant l'épaule d'Élise.
Elle décroisa les jambes un instant, juste assez pour que la robe remonte un peu plus. La peau de ses cuisses apparut, pâle et lisse sous la lumière tamisée. Marc grogna doucement, un son bas qui vibrait dans sa poitrine.
"Jouer le jeu, oui, selon mes règles", répondit Élise. Sa voix était un filet de miel. Elle posa sa main sur celle de Marc, la guidant de nouveau vers son genou.
Louis rit, un rire grave et profond. Il glissa une main dans sa poche, mais ses yeux ne quittaient pas la scène. L'air se chargeait d'une tension palpable, odeur de vin et de désir naissant.
Élise écarta insensiblement les jambes, dans une invitation muette. La main de Marc reprit sa progression, les doigts traçant des cercles lents sur la peau intérieure de la cuisse. Elle retint un soupir, sentant une humidité se former entre ses plis intimes.
"Arrête-moi si tu ne veux plus", dit Marc. Mais ses doigts continuaient, effleurant maintenant le bord de la culotte fine. Élise secoua la tête, un sourire aux lèvres.
Louis se rapprocha. Il posa une main sur l'autre genou d'Élise, symétrique à celle de Marc. Ses paumes étaient chaudes, calleuses, contrastant avec la douceur de sa chair.
Elle frissonna de nouveau. Le tremblement se propagea, faisant durcir ses mamelons sous le tissu léger. Une relation nouvelle se construisait : regards qui se croisaient, promesses silencieuses.
"Ne soyez pas impatients", murmura Élise. Elle croisa les jambes une fois de plus, piégeant leurs mains entre ses cuisses. La pression fit monter la chaleur, dans un subtil jeu de volontés.
Marc força doucement, tentant d’écarter ses jambes malgré sa résistance. Élise céda quelques centimètres avec un rire moqueur : ” Par là, c’est moi qui décide”. Louis observait, sa main remontant elle aussi, sentant la moiteur qui commençait à perler.
L'odeur de jasmin se fit plus intense, mêlée à celle de l'excitation naissante. Le parquet craqua sous un mouvement imperceptible d’Elise. Les souffles d’hommes se synchronisaient, lourds et lents.
"Ouvres toi pour nous", proposa Louis. Sa voix était rauque. Élise secoua la tête, prolongeant le jeu.
Elle se leva soudain, rompant le contact. Puis elle se rassit, plus proche encore, ses cuisses frôlant les leurs. Marc reprit sa caresse, doigts glissant plus haut, effleurant le tissu humide. Un frisson la traversa. Louis murmura quelque chose d'inintelligible, sa main rejoignant celle de Marc.
Élise ne résista pas. Elle laissait faire, sentant les doigts explorer, la tension monter. Le canapé grinça sous leur poids combiné.
Louis rit doucement en retirant sa main. Une note rauque vibrait dans sa voix. "Montres toi, petite." Élise se leva. Elle tourna sur elle-même. Une grâce calculée guidait ses pas. Sa robe remonta. Légèrement. La courbe pleine de ses fesses apparut. Elle lissa le tissu du plat de la main. Feignant l'innocence, peinant à masquer son excitation.
Les yeux de Marc suivaient son jeu lascif. Louis respirait plus fort. L'air portait une odeur de vin et de désir. Élise s'arrêta. Elle observa leurs regards fixés sur elle. Un sourire effleura ses lèvres.
Elle s'approcha de Marc. Du bout des doigts, elle effleura son torse. Les muscles durs tendaient la chemise. La chaleur de sa peau irradiait. Puis elle alla vers Louis. Frôlant son cou. Une veine pulsait là. "Pas encore", chuchota-t-elle. Ses mains dansaient. Sans toucher vraiment. L'ambiance se chargea d'une tension palpable. Une odeur de musc montait de leurs corps tendus.
Marc serra les poings. Louis déglutit. Élise recula d'un pas. Pour pimenter le jeu, elle dénoua lentement la fine ceinture de soie qui lui ceignait la taille. Avec un sourire espiègle, elle l'enroula autour de ses poignets. Les liant lâchement devant elle. "Retenez-moi, ou je pars", menaça-t-elle en riant, exhibant ses bras ligotés.
Les poignets liés mettaient en valeur ses fins avant-bras. La soie mordait légèrement la peau. Élise leva les bras, lentement. Son corps s'étira et la robe se drapa étroitement contre son corps. Ses seins se soulevèrent. Marc observait. Louis avança d'un pas. L'ambiance crépitait du son de leurs respirations accélérées. L'odeur de jasmin s’effaçait derrière celle de leur sueur.
"Tu joues avec le feu", murmura Marc de sa voix basse. Élise rit de nouveau. Un son léger. Elle secoua les poignets. La soie tint bon. Louis toucha le lien du doigt. "C'est tentant", dit-il. Élise baissa les yeux. Feignant la soumission. Son pouls battait vite.
Marc attrapa les poignets liés. Doucement mais fermement. La soie craqua un peu. Il l'attira sur ses genoux. Sentant la chaleur de son corps contre le sien. Élise s'installa. Ses cuisses contre les siennes. Un frisson la traversa quand Louis se rapprocha. Son souffle chaud effleura son épaule nue.
Elise bougea légèrement sur les genoux de Marc, sentant un contact durcir sous elle. "Vous aimez ça ?" demanda-t-elle. Marc grogna. Louis posa une main sur son épaule. Une pression ferme. L'air s'alourdit. Odeur de leurs corps proches. la tension monta d'un cran.
Élise tourna la tête vers Louis. Ses lèvres frôlèrent son oreille. "Retenez-moi plus fort", murmura-t-elle. Marc serra le lien, tirant vers lui. La soie mordit la peau, faisant apparaître une marque rouge. Élise gémit doucement, de plaisir sous la contrainte. Du bout des doigts, Louis caressa son cou, descendant vers la clavicule.
Les hommes échangèrent un regard entendu. Élise se cambra, portant la tête en arrière contre l’épaule de Marc. Entrouvrit les jambes. Offrant plus. La robe glissa un peu, révélant la naissance de ses seins. Marc posa une main sur sa cuisse. Remontant lentement. Louis observait. Son souffle s'accélérait et l'ambiance devenait brûlante au son de tissus froissés et d’odeurs intimes qui se diffusaient.
"Dis-nous ce que tu veux", demanda Marc. Élise hésita, puis sourit. "Encore plus de liens. Plus serrés." Louis défit sa propre ceinture. Lentement. Le cuir claqua. Il l'approcha. "Comme ça ?" demanda-t-il. Élise hocha la tête, excitée. Marc maintint ses poignets. Louis enroula le cuir autour. Serrant plus fort.
Élise testa les liens. Ils tenaient. La contrainte nouvelle lui fit monter le sang aux joues. Un mélange de peur et de désir l'envahit. Marc caressa son ventre, à travers la robe. La peau chaude réagit. Louis effleura son dos, descendant vers les reins. Elle se cambra en gémissant.
L'air vibrait de leurs respirations. Odeur de cuir et de soie mélangée à leur musc. Élise fermait les yeux, dans l’attente. Marc murmura à son oreille. "C’est nous qui décidons, maintenant." Louis rit. Rauque et proche.
Elle écarta les jambes avec une lenteur délibérée. La robe glissa sur ses cuisses lisses. Le tissu fin remonta en révélant la peau pâle et chaude en dessous.
Marc profita de ce mouvement pour glisser une main sous la robe. Sans la barrière du tissu, ses doigts effleurèrent le ventre plat d'Élise. La chair réagit à son contact, un frisson qu’elle ne put réprimer.
Louis fixait la scène. Sa main descendit sur sa propre cuisse. Une bosse se formait là, tendue sous le tissu de son pantalon. L'air semblait plus lourd, épais de désir.
Élise posa sa paume sur le renflement de Marc. Elle pressa timidement. Le membre dur pulsait sous ses doigts. Chaque battement lui envoyait une onde à travers le corps.
"Tu sens mes doigts ?" demanda-t-elle. Ses yeux plongèrent dans ceux de Marc. Un frisson la traversa, partant de son ventre jusqu'à ses reins. Marc grogna, serrant les dents. De l’intérieur de la cuisse, sa main remonta plus haut sous la robe, frôlant maintenant le bas-ventre d'Élise.
Elle retint son souffle. Son ventre se contracta sous les doigts de Marc. Une moiteur commença à se former entre ses cuisses. L'ambiance s'alourdit, avec un parfum subtil de jasmin mêlé à celui de leur peau échauffée.
Louis défit sa ceinture, prenant son temps,. Le métal cliqueta dans le silence. Il abaissa le haut de son jean et son membre durci jaillit, épais. La verge se dressait dans l'air chargé. Des veines saillantes couraient sur sa longueur. Le gland luisait déjà d'une fine humidité.
Élise le regarda, fascinée. Ses lèvres s'entrouvrirent. Un souffle court s’en échappa. Elle imaginait la texture, la chaleur sous ses doigts. Louis posa une main à la base, serra légèrement.
"Regardes-moi faire", murmura Louis. Sa voix était rauque. Il fit glisser sa paume le long de la verge. Un lent mouvement ascendant.
Élise déglutit. Ses yeux suivaient le geste. Marc, de son côté, la pressa plus fort contre lui. Sa main explora plus haut, effleurant les lèvres intimes.
"Continue sur moi", dit Marc à Élise. Il guida sa paume sur son propre renflement. Elle serra doucement à travers le tissu, sentant la forme se durcir encore. Marc laissa échapper un grognement.
Après s’être assuré qu’Élise ne le quittait pas des yeux, Louis accéléra son geste. Sa main enveloppa la verge entière. Il pompa lentement, du bas vers le haut. Une goutte perla au sommet.
L'odeur musquée s'intensifia. Élise écarta un peu plus les jambes. La robe remonta davantage. Marc insinua un doigt entre les plis humides. "Tu es trempée", souffla Marc. Son doigt glissa sur la fente. Élise arqua le dos. Une sensation brûlante irradiait de son centre.
Louis s'approcha. Sa verge pointait vers elle. Il défit les liens de ses poignets. "Touche-la, maintenant", ordonna-t-il. Élise tendit ses mains déliées. Ses doigts effleurèrent la peau tendue. La chair était chaude, pulsante. Elle traça une veine du bout de l'index. Louis gémit. Marc, pendant ce temps, frottait du pouce le clitoris d'Élise.
Elle haletait. Le plaisir montait en flèche. Ses hanches bougèrent d'elles-mêmes. L'air vibrait de leurs respirations saccadées. "Plus vite", murmura Élise à Louis. Il obéit, sa main accélérant. La verge gonfla sous ses yeux. D’une main, Marc défit son propre pantalon.
Son membre surgit, aussi épais que celui de Louis. Élise s’en saisit d’une main, et tendit l’autre vers celui de Louis. Elle les caressait chacun d’une main à présent. Une pour chacun. Les deux verges pulsaient en rythme.
L'ambiance devint électrique. Sons de peaux frottées. Odeur de sueur et d'excitation. Élise serrait les formes rigides contre ses paumes, mains refermées. "Vous êtes si durs", dit-elle. Un sourire joua sur ses lèvres. Marc grogna encore. Louis poussa un soupir rauque.
Elle alterna les caresses. Une main serrait Marc, l'autre glissait sur Louis. Les hommes se tendirent. Leur désir emplissait la pièce. Par provocation, Élise remonta sa robe plus haut, offrant un apperçu de son sexe humide et rose. Marc y plongea un regard affamé.
Louis attrapa la ceinture qu'il avait dénouée plus tôt. Il la serra autour de sa gorge, comme une laisse. "Reste comme ça", dit-il, une note de domination dans la voix. Élise obéit. Le collier improvisé nourrissait un fantasme qui amplifiait les sensations. Elle poursuivit ses caresses, jouant l’esclave soumise, maintenant. Les verges réagirent, plus dures encore.
Marc pinça légèrement la peau de son ventre. Une petite douleur se mêla au plaisir. Élise gémit. L'excitation grimpa d'un cran.
Louis guida sa verge vers ses lèvres. Les effleurant. Un goût salé envahit sa bouche. Marc observait, son propre membre pulsant sous la main d’Élise.
"Prends-la entièrement", murmura Louis. Élise obéit, lèvres s'ouvrant plus grand. La tête glissa dedans. Chaude et lisse, pour un instant seulement, car Elise recula légèrement. Ses yeux brillaient. Louis grogna de frustration. L'air était saturé de désir: Sons de respirations lourdes, odeurs intimes. Fascinée du pouvoir qu’elle exerçait sur eux, Élise regardait les deux hommes, lèvres entrouvertes dans un sourire éigmatique.
Ils s'installèrent sur le sol où un tapis épais amortit leurs corps. Élise s'agenouilla entre eux feignant toujours d’être tenue en laisse par la ceinture qui enserrait sa gorge.. Marc releva sa robe d'un geste lent. Il exposa son sexe nu dont les lèvres roses et gonflées luisaient faiblement : Un éclat de moiteur qui trahissait son désir.
Louis se remit à caresser son propre membre, lentement. La peau glissait sur la chair tendue. Élise observait. Ses yeux fixaient la veine qui pulsait. Marc enleva totalement son pantalon. Élise sentit la chaleur monter dans son ventre. Le tapis frottait contre ses genoux nus.
"Regardez-moi", ordonna Élise. Sa voix tremblait d'excitation. Elle glissa une main entre ses cuisses. Ses doigts écartèrent les plis intimes.. Une humidité chaude l'envahit. Les hommes l'imitèrent. Leurs mains enveloppèrent leurs verges épaisses et des veines saillantes apparurent sous la peau fine.
Les odeurs de leur excitation se mêlaient, lourdes et enivrantes. Des notes musquées emplirent la pièce. Élise respirait profondément. Ce parfum attisait son pouls. Marc serra sa verge. Il la fit coulisser dans son poing. Louis suivit le rythme. Leurs souffles se firent plus courts. Le son de la peau contre la peau résonna doucement.
Élise frotta son clitoris. Elle le fit en cercles lents et précis. Une chaleur liquide se répandit en elle. Ses parois intimes se contractèrent légèrement. Marc accéléra son rythme. Ses yeux restaient rivés sur les mouvements fluides de la fille. Sa verge luisait d'une première humidité. Des gouttes perlèrent au sommet. Élise gémit tout bas. L’exhibition partagée rendait chaque geste plus intense.
Louis grogna. Sa main glissa plus vite. Il augmenta la pression. "C'est beau, ce que tu fais", murmura-t-il. Sa voix rauque vibra dans l'air. Élise leva les yeux vers lui. Un sourire étira ses lèvres. Elle accentua la pression sur son clitoris. Une vague de plaisir la traversa. Le tapis absorba une goutte de son essence. L'ambiance crépitait de tension contenue.
Marc resserra sa prise. Sa verge pulsait dans sa main. Élise observa le gland qui rougissait. Louis ralentit un instant. Il savoura la vue des doigts féminins qui exploraient l’ouverture du vagin. "Continue comme ça", dit-il d'une voix grave “ J’adore te voir”. Élise obéit, frissonnante. L'odeur musquée s'intensifia.
Elle plongea un doigt plus profond. Une sensation de plénitude l'envahit. Marc imita le geste. Il lubrifia sa longueur avec l’humidité qui perlait au sommet de son gland. Louis grogna à nouveau. Sa main accéléra son va-et-vient. Élise sentit son clitoris durcir sous ses caresses. Des ondes chaudes irradièrent son ventre. Le sol vibra sous leurs genoux. Leurs regards se croisèrent. Le désir les liait sans un mot échangé.
"Serrez plus fort", murmura Élise. Marc obéit. Sa verge gonfla dans son poing. Louis fit de même, poussant des reins à la rencontre de son poing L'air devint plus lourd. Les sons de leurs respirations hachées emplissaient l'espace. Élise frotta plus vite. La chaleur devint brûlure.
Marc fixait les lèvres intimes. qui s’écartaient sous les doigts féminins. "Tu es si ouverte", dit-il. Élise rougit. Le compliment attisa son excitation. Des frissons la parcoururent et elle ajouta un second doigt. Elle les fit entrer et sortir lentement, générant un bruit humide qui excitait les hommes dont les verges tressautèrent.
Élise accéléra. Son clitoris pulsa. La vague montait. Elle retint son souffle. Les hommes synchronisèrent leurs rythmes. Leurs membres se raidirent encore. "Regardez comme je brille", dit Élise. Sa voix chevrota. Marc murmura un assentiment. Louis resserra sa prise. Le plaisir montait en eux. Le tapis devint chaud sous leurs corps.
Élise força ses deux doigts en elle aussi loin qu'elle put . Ses phalanges touchèrent un point sensible. Un spasme la secoua. Marc, qui l'observait, sentit sa verge sur le point d’exploser. "Fais-le encore", ordonna-t-il. Élise répéta. Un gémissement lui échappa.. L'odeur de son excitation se fit plus forte. Elle saturait l'air.
"Je sens tout", murmura Élise. Ses parois se contractèrent. Marc grogna. Sa verge pulsa violemment. Louis murmura des mots bas. "Tu nous rends fous." Élise sourit. Elle accentua ses mouvements avant de ralentir un instant au bord de la jouissance. Marc accéléra sans chercher à se retenir. Ses yeux ne quittaient pas les doigts qui allaient et venaient à l’entrée de la vulve. Louis grogna profondément. "C'est parfait", dit-il. Tout convergeait vers l'extase.
"Tu vas jouir bientôt ?" demanda Marc à Élise. Elle haleta "Pas encore...". la ceinture lui serrait la gorge. Rougeurs naissantes sur la peau dont elle savourait la morsure. Louis relâcha un instant la tension sur la ceinture. Puis resserra. "Offre-toi plus."
Élise écarta les jambes. Son intimité s'ouvrit. Humide et gonflée.Le plaisir montait en elle. Lentement. Irrésistible. Marc accéléra. Son corps se tendit. Grognements profonds. Louis murmura des mots bas. Rauques. Ses hanches remuèrent plus vite.
Élise sentit la vague approcher. Mais elle se retint. Un effort de volonté désespéré. "Tu trembles", nota Louis. Élise sourit. "C'est ta faute." Plaisir suspendu. Éternel. Enfin, Élise renonça. Tremblante. Son corps luisait de sueur. "Maintenant. Prenez-moi", dit-elle.
Marc l'allongea sur le canapé. Il écarta ses jambes fines. et pressa son membre contre l’entrée luisante d’humidité. Il sentit la chaleur prête à l’accueillir.
Louis s'agenouilla près de son visage, sa verge dressée effleura ses lèvres pleines.
Marc entra en elle lentement. Pouce par pouce. Ses parois humides se refermèrent autour de lui, l’enserrant dans un fourreau de soie.
Élise arqua le dos, portant son bassin au devant de Marc tandis que Louis guidait sa verge vers sa bouche. La tête gonflée frôla les lèvres entrouvertes. Une goutte perlait au sommet, luisante.
"Prends-moi dans ta bouche, Élise", murmura Louis. Sa voix rauque vibrait dans l'air. Élise leva les yeux vers lui et elle l'aspira. Sa langue tourna autour du gland, goûtant la saveur salée de son excitation.
Marc poussa enfin jusqu’au plus profond d’elle et maintint un rythme régulier. Ses hanches claquaientt contre les siennes avec un son humide. L'odeur de sueur et de sexe emplit la pièce. Un mélange capiteux enivrait leurs sens. Élise inspira profondément, corps tendu.
Elle suça plus fort. Joues creusées. Sa langue explora chaque veine, chaque courbe. "Comme ça, oui", grogna Louis. Il serra un peu plus la ceinture, tirant Élise vers lui par la gorge. Élise gémit autour de sa verge. La contrainte amplifiait ses sensations. Une pointe de douleur se mêla au plaisir.
Marc accéléra légèrement. Il sentit ses parois le serrer plus fort. Chaque poussée envoyait des ondes à travers elle.
Les seins d’Élise se balançaient au rythme que les deux hommes lui imposaient. Louis poussait dans sa bouche. Lentement, méthodiquement, il guidait ses mouvements, main dans ses cheveux. Elle lécha la longueur entière et avala aussi profond qu’elle put.
"Tu es si chaude dedans", souffla Marc. Il pinça un mamelon durci. Une légère torsion, juste assez pour piquer. Élise sursauta. Le pincement irradia vers son bas-ventre. Elle contracta ses muscles autour de lui en réponse.
L'odeur musquée de leurs excitations se fit plus intense. Élise sentit son propre fluide couler le long de ses cuisses. Chaud et abondant. Marc frotta son clitoris du pouce en cercles lents. La double stimulation la fit trembler.
Louis retira sa verge un instant. Il la frappa doucement contre ses lèvres. "Ouvre plus grand", ordonna-t-il. Elle obéit. Bouche offerte. Il replongea, plus profond encore cette fois. Élise aspira avec force. Sa langue dansa sous le gland. Elle savoura chaque pulsation.
Marc maintenait le rythme. Profond et régulier. Ses testicules effleuraient sa peau à chaque entrée. La ceinture serrait la gorge d’Élise. Elle tira dessus. La résistance accrut son excitation, corps arqué en offrande.
"Regarde comme elle se donne bien", dit Louis à Marc, un sourire dans la voix. Marc hocha la tête, yeux brillants et accéléra ses mouvements. Il heurta un point sensible au fond d'elle. Des ondes de plaisir traversèrent le corps d'Élise. Elle gémit autour de la verge de Louis. Les vibrations firent frissonner l'homme. Ses mains serrèrent les cheveux d'Élise.
"Plus fort, Marc," murmura Élise entre deux succions. Sa voix vibrait contre la chair de Louis. Celui-ci resserra sa prise sur ses cheveux.
Marc obéit. Ses hanches claquèrent contre elle. Le bruit humide résonna tandis qu’ Élise aspirait plus profondément. Sa langue tourna autour du gland. Louis haletait.
Marc pinça un mamelon. Élise cria. La piqûre aiguë se fondit dans l'extase. "Tu aimes ça, n'est-ce pas ?" demanda Marc. Sa voix rauque trahissait son excitation. Élise hocha la tête, la bouche pleine.
"Regarde-la, Louis," dit Marc. "Elle vient." Louis sourit, les yeux brillants. Élise gémit longuement. Le son vibra dans la pièce invitant Marc à pousser plus profond. Il heurta à nouveau le point sensible. Des éclairs traversèrent Élise.
Élise sentit ses muscles intimes pulser. La pression montait. Son corps entier vibrait."Ne t'arrête pas," implora-t-elle. Sa voix sortit étouffée. Marc rit doucement. Il pinça une fois de plus. La douleur aiguisa le plaisir. Élise arqua le dos.
"Tu es si serrée," murmura Marc. Il sentit les parois l'étreindre. Chaque mouvement amplifiait la sensation. Élise répondit par un gémissement. Elle lécha avidement. Louis approchait du précipice. Ses mains tremblèrent dans ses cheveux. Il retint son souffle. Le plaisir le submergea presque.
Marc frotta avec précision. Le pouce pressa le noyau sensible. Élise se cambra. Son corps se tendit davantage. La vague enflait en elle. Chaque nerf hurlait.
Louis grogna profondément. La langue d'Élise le tourmentait. Il serra la base plus fort et poussa. Louise eut un haut-le-coeur et toussa. Bravement, elle resta soudée au membre qui pénétrait jusqu’au fond de sa gorge.
Soudain, Élise sentit la vague déferler en elle. Un orgasme puissant la submergea. Son cri s'étouffa contre la verge de Louis, encore enfouie dans sa bouche.
Son corps se convulsa. Des spasmes violents la traversèrent. Ses parois intimes se contractèrent rythmiquement autour de Marc, serrant sa longueur avec une force presque douloureuse.
Des vagues successives de pur plaisir la submergèrent. Elle arqua le dos. Ses muscles se tendirent, puis se relâchèrent en ondes interminables."Mon Dieu, c'est... j’en peux plus", haleta-t-elle, la voix brisée. Louis caressa ses cheveux. Marc grogna, sentant ses contractions le masser.
Elle trembla longtemps. Sensations irradiant de son centre. Une chaleur liquide se répandit dans tout son être. Ses seins se soulevèrent au rythme de sa respiration saccadée. La sueur perlait sur sa peau pâle. L'odeur de son excitation emplissait l'air, musquée et enivrante.
Marc se retira lentement. Sa verge luisante émergea, couverte de ses essences. Il haletait, le corps tendu par l'effort de contrôle.Louis suivit. Il sortit de sa bouche avec un bruit humide. Tous deux se positionnèrent au-dessus d'elle.
Leurs mains reprirent un rythme frénétique. Élise les regardait. Son corps alangui reposait sur le canapé. Couvert de sueur, elle affichait un sourire repu."Donnez-moi tout", murmura-t-elle. Sa voix était rauque. Un éclat de désir persistait dans ses yeux.
Marc accéléra ses mouvements. Sa main glissait avec vigueur. Des gouttes perlèrent au sommet de son gland. Louis l’imita, hanches se soulevant légèrement. L'air crépitait de leurs respirations lourdes. L’odeur de musc masculin se mêlait à celle de l’orgasme récent.
Pour prolonger l'instant, Élise leva une main. Elle effleura leurs testicules tendus. Une caresse légère, presque taquine."Ils sont si pleins", chuchota-t-elle. Marc grogna. Louis ferma les yeux, savourant la sensation. Elle pinça doucement la peau sensible. Une touche de sadisme. Les hommes tressaillirent, le plaisir mêlé à une pointe de douleur.
Marc jouit le premier. Ses jets chauds et abondants fusèrent à la rencontre du corps d’Élise. Ils atterrirent sur ses seins ronds, couvrant les mamelons durcis.Le liquide perla sur sa peau pâle. Il se répandit en filets lents, glissant vers son ventre. Chaleur collante sur sa chair encore sensible. "Prends-le", grogna Marc. Son corps se raidit. Un dernier spasme le secoua.
Louis suivit de près. Ses projections puissantes giclèrent par dessus ses seins . Elles frappèrent son ventre plat, éclaboussant jusqu'à ses cuisses fines. Un mélange collant et chaud la recouvrit et une odeur saline emplit l'air.
Élise caressa les liquides du bout des doigts. Elle étala la substance sur sa peau. Sentant leur chaleur imprégner ses pores. "C'est bon, si chaud", murmura-t-elle. Ses doigts tracèrent des motifs lents. Le témoignage visible de leur plaisir partagé.
Ils s'effondrèrent près d'elle. Leurs respirations lourdes et saccadées résonnaient dans l'air qui vibrait encore de leur plaisir. Élise murmura : "Encore ?"
Les hommes rirent, une lueur affamée dans les yeux, prêts pour une nouvelle manche.
Ils attendaient. Un verre à la main. Le silence pesait, rompu seulement par le crépitement lointain d'un feu dans la cheminée. Marc posa son verre sur la table basse. Il étira ses jambes, sentant la tension dans ses muscles. Louis observa le liquide sombre dans son verre. "Elle arrive bientôt", dit Marc d'une voix basse. Louis hocha la tête. "Oui. Et elle sait ce qu'on attend."
L'odeur du vin se mêlait à celle de la terre humide dehors. Marc pensa à la peau qu'ils toucheraient bientôt. Louis serra son verre plus fort. Leur excitation montait déjà, discrète mais palpable. Un frisson parcourut Marc. Il ajusta sa position sur le canapé. Louis sourit en coin. "Patience. Elle a promis."
La porte s'ouvrit. Un courant d'air frais entra, portant un parfum de jasmin. Élise apparut, vingt ans à peine. Sa peau pâle luisait sous la lumière tamisée. Ses courbes de jeune adulte dessinaient une silhouette fine, ses cheveux châtains cascadaient sur ses épaules nues.
Elle s'arrêta un instant sur le seuil. Sa robe légère effleurait ses cuisses minces. Le tissu fin collait légèrement à sa peau, soulignant la forme de ses seins petits et fermes. Marc retint son souffle. Louis posa son verre. Élise sourit. "Bonsoir, messieurs. Je suis en retard ?"
Ses yeux brillaient d'une lueur espiègle. Elle avança d'un pas. La robe remua, révélant un éclat de peau au-dessus du genou. Marc sentit son pouls s'accélérer. "Entre, Élise", murmura-t-il. Louis se leva à demi. "Viens plus près. Laisse-nous te voir."
Élise obéit. Elle tourna lentement sur elle-même. La robe virevolta, exposant un instant la courbe de ses fesses. Pas de sous-vêtements visibles. Marc grogna doucement. "Tu portes ça pour nous ?" demanda Louis. Élise rit. Un son clair. "Peut-être. Ou peut-être pas."
Marc hocha la tête. Son regard glissait le long de ses jambes fines et lisses, s'attardant sur la courbe des mollets, remontant jusqu'à l'ourlet de la robe qui frôlait la peau. Louis posa son verre sur la table basse, un sourire en coin étirait ses lèvres, révélant une rangée de dents blanches.
Élise s'approcha. Ses pas légers faisaient craquer le parquet usé, un son sec et rythmé qui résonnait dans la pièce. L'odeur du bois vieilli se mêlait à celle de son corps, un parfum subtil qui commençait à envahir la pièce.
Elle s'assit entre eux sur le canapé élimé. Le tissu râpait légèrement contre ses cuisses nues. L'odeur de sa peau imprégnait l'air, un mélange de jasmin et de sueur fraîche qui montait comme une vague tiède.
Marc posa une main sur son genou. Il effleurait à peine la chair tiède, sentant la chaleur irradier sous ses doigts. Louis observait, le souffle retenu. Une chaleur naissait dans son ventre, un feu lent qui se propageait.
Élise tourna la tête vers Marc. Ses yeux pétillaient d'une malice retenue. Elle laissa ses doigts effleurer le bras de Louis, un contact fugace qui fit tressaillir sa peau.
"Tu vas jouer le jeu, n'est-ce pas ?" murmura Marc. Ses doigts remontaient lentement le long de sa cuisse. Il sentait la douceur soyeuse sous sa paume, la chair qui cédait légèrement sous la pression.
Élise frissonna. Un léger tremblement parcourait son corps, de la nuque jusqu'aux orteils. Elle croisa les jambes, forçant la main de Marc à s'arrêter net.
Une provocation subtile se jouait dans leurs regards croisés. Marc retira sa main avec lenteur, mais ses yeux restaient fixés sur elle. Louis se pencha en avant, son souffle effleurait maintenant l'épaule d'Élise.
Elle décroisa les jambes un instant, juste assez pour que la robe remonte un peu plus. La peau de ses cuisses apparut, pâle et lisse sous la lumière tamisée. Marc grogna doucement, un son bas qui vibrait dans sa poitrine.
"Jouer le jeu, oui, selon mes règles", répondit Élise. Sa voix était un filet de miel. Elle posa sa main sur celle de Marc, la guidant de nouveau vers son genou.
Louis rit, un rire grave et profond. Il glissa une main dans sa poche, mais ses yeux ne quittaient pas la scène. L'air se chargeait d'une tension palpable, odeur de vin et de désir naissant.
Élise écarta insensiblement les jambes, dans une invitation muette. La main de Marc reprit sa progression, les doigts traçant des cercles lents sur la peau intérieure de la cuisse. Elle retint un soupir, sentant une humidité se former entre ses plis intimes.
"Arrête-moi si tu ne veux plus", dit Marc. Mais ses doigts continuaient, effleurant maintenant le bord de la culotte fine. Élise secoua la tête, un sourire aux lèvres.
Louis se rapprocha. Il posa une main sur l'autre genou d'Élise, symétrique à celle de Marc. Ses paumes étaient chaudes, calleuses, contrastant avec la douceur de sa chair.
Elle frissonna de nouveau. Le tremblement se propagea, faisant durcir ses mamelons sous le tissu léger. Une relation nouvelle se construisait : regards qui se croisaient, promesses silencieuses.
"Ne soyez pas impatients", murmura Élise. Elle croisa les jambes une fois de plus, piégeant leurs mains entre ses cuisses. La pression fit monter la chaleur, dans un subtil jeu de volontés.
Marc força doucement, tentant d’écarter ses jambes malgré sa résistance. Élise céda quelques centimètres avec un rire moqueur : ” Par là, c’est moi qui décide”. Louis observait, sa main remontant elle aussi, sentant la moiteur qui commençait à perler.
L'odeur de jasmin se fit plus intense, mêlée à celle de l'excitation naissante. Le parquet craqua sous un mouvement imperceptible d’Elise. Les souffles d’hommes se synchronisaient, lourds et lents.
"Ouvres toi pour nous", proposa Louis. Sa voix était rauque. Élise secoua la tête, prolongeant le jeu.
Elle se leva soudain, rompant le contact. Puis elle se rassit, plus proche encore, ses cuisses frôlant les leurs. Marc reprit sa caresse, doigts glissant plus haut, effleurant le tissu humide. Un frisson la traversa. Louis murmura quelque chose d'inintelligible, sa main rejoignant celle de Marc.
Élise ne résista pas. Elle laissait faire, sentant les doigts explorer, la tension monter. Le canapé grinça sous leur poids combiné.
Louis rit doucement en retirant sa main. Une note rauque vibrait dans sa voix. "Montres toi, petite." Élise se leva. Elle tourna sur elle-même. Une grâce calculée guidait ses pas. Sa robe remonta. Légèrement. La courbe pleine de ses fesses apparut. Elle lissa le tissu du plat de la main. Feignant l'innocence, peinant à masquer son excitation.
Les yeux de Marc suivaient son jeu lascif. Louis respirait plus fort. L'air portait une odeur de vin et de désir. Élise s'arrêta. Elle observa leurs regards fixés sur elle. Un sourire effleura ses lèvres.
Elle s'approcha de Marc. Du bout des doigts, elle effleura son torse. Les muscles durs tendaient la chemise. La chaleur de sa peau irradiait. Puis elle alla vers Louis. Frôlant son cou. Une veine pulsait là. "Pas encore", chuchota-t-elle. Ses mains dansaient. Sans toucher vraiment. L'ambiance se chargea d'une tension palpable. Une odeur de musc montait de leurs corps tendus.
Marc serra les poings. Louis déglutit. Élise recula d'un pas. Pour pimenter le jeu, elle dénoua lentement la fine ceinture de soie qui lui ceignait la taille. Avec un sourire espiègle, elle l'enroula autour de ses poignets. Les liant lâchement devant elle. "Retenez-moi, ou je pars", menaça-t-elle en riant, exhibant ses bras ligotés.
Les poignets liés mettaient en valeur ses fins avant-bras. La soie mordait légèrement la peau. Élise leva les bras, lentement. Son corps s'étira et la robe se drapa étroitement contre son corps. Ses seins se soulevèrent. Marc observait. Louis avança d'un pas. L'ambiance crépitait du son de leurs respirations accélérées. L'odeur de jasmin s’effaçait derrière celle de leur sueur.
"Tu joues avec le feu", murmura Marc de sa voix basse. Élise rit de nouveau. Un son léger. Elle secoua les poignets. La soie tint bon. Louis toucha le lien du doigt. "C'est tentant", dit-il. Élise baissa les yeux. Feignant la soumission. Son pouls battait vite.
Marc attrapa les poignets liés. Doucement mais fermement. La soie craqua un peu. Il l'attira sur ses genoux. Sentant la chaleur de son corps contre le sien. Élise s'installa. Ses cuisses contre les siennes. Un frisson la traversa quand Louis se rapprocha. Son souffle chaud effleura son épaule nue.
Elise bougea légèrement sur les genoux de Marc, sentant un contact durcir sous elle. "Vous aimez ça ?" demanda-t-elle. Marc grogna. Louis posa une main sur son épaule. Une pression ferme. L'air s'alourdit. Odeur de leurs corps proches. la tension monta d'un cran.
Élise tourna la tête vers Louis. Ses lèvres frôlèrent son oreille. "Retenez-moi plus fort", murmura-t-elle. Marc serra le lien, tirant vers lui. La soie mordit la peau, faisant apparaître une marque rouge. Élise gémit doucement, de plaisir sous la contrainte. Du bout des doigts, Louis caressa son cou, descendant vers la clavicule.
Les hommes échangèrent un regard entendu. Élise se cambra, portant la tête en arrière contre l’épaule de Marc. Entrouvrit les jambes. Offrant plus. La robe glissa un peu, révélant la naissance de ses seins. Marc posa une main sur sa cuisse. Remontant lentement. Louis observait. Son souffle s'accélérait et l'ambiance devenait brûlante au son de tissus froissés et d’odeurs intimes qui se diffusaient.
"Dis-nous ce que tu veux", demanda Marc. Élise hésita, puis sourit. "Encore plus de liens. Plus serrés." Louis défit sa propre ceinture. Lentement. Le cuir claqua. Il l'approcha. "Comme ça ?" demanda-t-il. Élise hocha la tête, excitée. Marc maintint ses poignets. Louis enroula le cuir autour. Serrant plus fort.
Élise testa les liens. Ils tenaient. La contrainte nouvelle lui fit monter le sang aux joues. Un mélange de peur et de désir l'envahit. Marc caressa son ventre, à travers la robe. La peau chaude réagit. Louis effleura son dos, descendant vers les reins. Elle se cambra en gémissant.
L'air vibrait de leurs respirations. Odeur de cuir et de soie mélangée à leur musc. Élise fermait les yeux, dans l’attente. Marc murmura à son oreille. "C’est nous qui décidons, maintenant." Louis rit. Rauque et proche.
Elle écarta les jambes avec une lenteur délibérée. La robe glissa sur ses cuisses lisses. Le tissu fin remonta en révélant la peau pâle et chaude en dessous.
Marc profita de ce mouvement pour glisser une main sous la robe. Sans la barrière du tissu, ses doigts effleurèrent le ventre plat d'Élise. La chair réagit à son contact, un frisson qu’elle ne put réprimer.
Louis fixait la scène. Sa main descendit sur sa propre cuisse. Une bosse se formait là, tendue sous le tissu de son pantalon. L'air semblait plus lourd, épais de désir.
Élise posa sa paume sur le renflement de Marc. Elle pressa timidement. Le membre dur pulsait sous ses doigts. Chaque battement lui envoyait une onde à travers le corps.
"Tu sens mes doigts ?" demanda-t-elle. Ses yeux plongèrent dans ceux de Marc. Un frisson la traversa, partant de son ventre jusqu'à ses reins. Marc grogna, serrant les dents. De l’intérieur de la cuisse, sa main remonta plus haut sous la robe, frôlant maintenant le bas-ventre d'Élise.
Elle retint son souffle. Son ventre se contracta sous les doigts de Marc. Une moiteur commença à se former entre ses cuisses. L'ambiance s'alourdit, avec un parfum subtil de jasmin mêlé à celui de leur peau échauffée.
Louis défit sa ceinture, prenant son temps,. Le métal cliqueta dans le silence. Il abaissa le haut de son jean et son membre durci jaillit, épais. La verge se dressait dans l'air chargé. Des veines saillantes couraient sur sa longueur. Le gland luisait déjà d'une fine humidité.
Élise le regarda, fascinée. Ses lèvres s'entrouvrirent. Un souffle court s’en échappa. Elle imaginait la texture, la chaleur sous ses doigts. Louis posa une main à la base, serra légèrement.
"Regardes-moi faire", murmura Louis. Sa voix était rauque. Il fit glisser sa paume le long de la verge. Un lent mouvement ascendant.
Élise déglutit. Ses yeux suivaient le geste. Marc, de son côté, la pressa plus fort contre lui. Sa main explora plus haut, effleurant les lèvres intimes.
"Continue sur moi", dit Marc à Élise. Il guida sa paume sur son propre renflement. Elle serra doucement à travers le tissu, sentant la forme se durcir encore. Marc laissa échapper un grognement.
Après s’être assuré qu’Élise ne le quittait pas des yeux, Louis accéléra son geste. Sa main enveloppa la verge entière. Il pompa lentement, du bas vers le haut. Une goutte perla au sommet.
L'odeur musquée s'intensifia. Élise écarta un peu plus les jambes. La robe remonta davantage. Marc insinua un doigt entre les plis humides. "Tu es trempée", souffla Marc. Son doigt glissa sur la fente. Élise arqua le dos. Une sensation brûlante irradiait de son centre.
Louis s'approcha. Sa verge pointait vers elle. Il défit les liens de ses poignets. "Touche-la, maintenant", ordonna-t-il. Élise tendit ses mains déliées. Ses doigts effleurèrent la peau tendue. La chair était chaude, pulsante. Elle traça une veine du bout de l'index. Louis gémit. Marc, pendant ce temps, frottait du pouce le clitoris d'Élise.
Elle haletait. Le plaisir montait en flèche. Ses hanches bougèrent d'elles-mêmes. L'air vibrait de leurs respirations saccadées. "Plus vite", murmura Élise à Louis. Il obéit, sa main accélérant. La verge gonfla sous ses yeux. D’une main, Marc défit son propre pantalon.
Son membre surgit, aussi épais que celui de Louis. Élise s’en saisit d’une main, et tendit l’autre vers celui de Louis. Elle les caressait chacun d’une main à présent. Une pour chacun. Les deux verges pulsaient en rythme.
L'ambiance devint électrique. Sons de peaux frottées. Odeur de sueur et d'excitation. Élise serrait les formes rigides contre ses paumes, mains refermées. "Vous êtes si durs", dit-elle. Un sourire joua sur ses lèvres. Marc grogna encore. Louis poussa un soupir rauque.
Elle alterna les caresses. Une main serrait Marc, l'autre glissait sur Louis. Les hommes se tendirent. Leur désir emplissait la pièce. Par provocation, Élise remonta sa robe plus haut, offrant un apperçu de son sexe humide et rose. Marc y plongea un regard affamé.
Louis attrapa la ceinture qu'il avait dénouée plus tôt. Il la serra autour de sa gorge, comme une laisse. "Reste comme ça", dit-il, une note de domination dans la voix. Élise obéit. Le collier improvisé nourrissait un fantasme qui amplifiait les sensations. Elle poursuivit ses caresses, jouant l’esclave soumise, maintenant. Les verges réagirent, plus dures encore.
Marc pinça légèrement la peau de son ventre. Une petite douleur se mêla au plaisir. Élise gémit. L'excitation grimpa d'un cran.
Louis guida sa verge vers ses lèvres. Les effleurant. Un goût salé envahit sa bouche. Marc observait, son propre membre pulsant sous la main d’Élise.
"Prends-la entièrement", murmura Louis. Élise obéit, lèvres s'ouvrant plus grand. La tête glissa dedans. Chaude et lisse, pour un instant seulement, car Elise recula légèrement. Ses yeux brillaient. Louis grogna de frustration. L'air était saturé de désir: Sons de respirations lourdes, odeurs intimes. Fascinée du pouvoir qu’elle exerçait sur eux, Élise regardait les deux hommes, lèvres entrouvertes dans un sourire éigmatique.
Ils s'installèrent sur le sol où un tapis épais amortit leurs corps. Élise s'agenouilla entre eux feignant toujours d’être tenue en laisse par la ceinture qui enserrait sa gorge.. Marc releva sa robe d'un geste lent. Il exposa son sexe nu dont les lèvres roses et gonflées luisaient faiblement : Un éclat de moiteur qui trahissait son désir.
Louis se remit à caresser son propre membre, lentement. La peau glissait sur la chair tendue. Élise observait. Ses yeux fixaient la veine qui pulsait. Marc enleva totalement son pantalon. Élise sentit la chaleur monter dans son ventre. Le tapis frottait contre ses genoux nus.
"Regardez-moi", ordonna Élise. Sa voix tremblait d'excitation. Elle glissa une main entre ses cuisses. Ses doigts écartèrent les plis intimes.. Une humidité chaude l'envahit. Les hommes l'imitèrent. Leurs mains enveloppèrent leurs verges épaisses et des veines saillantes apparurent sous la peau fine.
Les odeurs de leur excitation se mêlaient, lourdes et enivrantes. Des notes musquées emplirent la pièce. Élise respirait profondément. Ce parfum attisait son pouls. Marc serra sa verge. Il la fit coulisser dans son poing. Louis suivit le rythme. Leurs souffles se firent plus courts. Le son de la peau contre la peau résonna doucement.
Élise frotta son clitoris. Elle le fit en cercles lents et précis. Une chaleur liquide se répandit en elle. Ses parois intimes se contractèrent légèrement. Marc accéléra son rythme. Ses yeux restaient rivés sur les mouvements fluides de la fille. Sa verge luisait d'une première humidité. Des gouttes perlèrent au sommet. Élise gémit tout bas. L’exhibition partagée rendait chaque geste plus intense.
Louis grogna. Sa main glissa plus vite. Il augmenta la pression. "C'est beau, ce que tu fais", murmura-t-il. Sa voix rauque vibra dans l'air. Élise leva les yeux vers lui. Un sourire étira ses lèvres. Elle accentua la pression sur son clitoris. Une vague de plaisir la traversa. Le tapis absorba une goutte de son essence. L'ambiance crépitait de tension contenue.
Marc resserra sa prise. Sa verge pulsait dans sa main. Élise observa le gland qui rougissait. Louis ralentit un instant. Il savoura la vue des doigts féminins qui exploraient l’ouverture du vagin. "Continue comme ça", dit-il d'une voix grave “ J’adore te voir”. Élise obéit, frissonnante. L'odeur musquée s'intensifia.
Elle plongea un doigt plus profond. Une sensation de plénitude l'envahit. Marc imita le geste. Il lubrifia sa longueur avec l’humidité qui perlait au sommet de son gland. Louis grogna à nouveau. Sa main accéléra son va-et-vient. Élise sentit son clitoris durcir sous ses caresses. Des ondes chaudes irradièrent son ventre. Le sol vibra sous leurs genoux. Leurs regards se croisèrent. Le désir les liait sans un mot échangé.
"Serrez plus fort", murmura Élise. Marc obéit. Sa verge gonfla dans son poing. Louis fit de même, poussant des reins à la rencontre de son poing L'air devint plus lourd. Les sons de leurs respirations hachées emplissaient l'espace. Élise frotta plus vite. La chaleur devint brûlure.
Marc fixait les lèvres intimes. qui s’écartaient sous les doigts féminins. "Tu es si ouverte", dit-il. Élise rougit. Le compliment attisa son excitation. Des frissons la parcoururent et elle ajouta un second doigt. Elle les fit entrer et sortir lentement, générant un bruit humide qui excitait les hommes dont les verges tressautèrent.
Élise accéléra. Son clitoris pulsa. La vague montait. Elle retint son souffle. Les hommes synchronisèrent leurs rythmes. Leurs membres se raidirent encore. "Regardez comme je brille", dit Élise. Sa voix chevrota. Marc murmura un assentiment. Louis resserra sa prise. Le plaisir montait en eux. Le tapis devint chaud sous leurs corps.
Élise força ses deux doigts en elle aussi loin qu'elle put . Ses phalanges touchèrent un point sensible. Un spasme la secoua. Marc, qui l'observait, sentit sa verge sur le point d’exploser. "Fais-le encore", ordonna-t-il. Élise répéta. Un gémissement lui échappa.. L'odeur de son excitation se fit plus forte. Elle saturait l'air.
"Je sens tout", murmura Élise. Ses parois se contractèrent. Marc grogna. Sa verge pulsa violemment. Louis murmura des mots bas. "Tu nous rends fous." Élise sourit. Elle accentua ses mouvements avant de ralentir un instant au bord de la jouissance. Marc accéléra sans chercher à se retenir. Ses yeux ne quittaient pas les doigts qui allaient et venaient à l’entrée de la vulve. Louis grogna profondément. "C'est parfait", dit-il. Tout convergeait vers l'extase.
"Tu vas jouir bientôt ?" demanda Marc à Élise. Elle haleta "Pas encore...". la ceinture lui serrait la gorge. Rougeurs naissantes sur la peau dont elle savourait la morsure. Louis relâcha un instant la tension sur la ceinture. Puis resserra. "Offre-toi plus."
Élise écarta les jambes. Son intimité s'ouvrit. Humide et gonflée.Le plaisir montait en elle. Lentement. Irrésistible. Marc accéléra. Son corps se tendit. Grognements profonds. Louis murmura des mots bas. Rauques. Ses hanches remuèrent plus vite.
Élise sentit la vague approcher. Mais elle se retint. Un effort de volonté désespéré. "Tu trembles", nota Louis. Élise sourit. "C'est ta faute." Plaisir suspendu. Éternel. Enfin, Élise renonça. Tremblante. Son corps luisait de sueur. "Maintenant. Prenez-moi", dit-elle.
Marc l'allongea sur le canapé. Il écarta ses jambes fines. et pressa son membre contre l’entrée luisante d’humidité. Il sentit la chaleur prête à l’accueillir.
Louis s'agenouilla près de son visage, sa verge dressée effleura ses lèvres pleines.
Marc entra en elle lentement. Pouce par pouce. Ses parois humides se refermèrent autour de lui, l’enserrant dans un fourreau de soie.
Élise arqua le dos, portant son bassin au devant de Marc tandis que Louis guidait sa verge vers sa bouche. La tête gonflée frôla les lèvres entrouvertes. Une goutte perlait au sommet, luisante.
"Prends-moi dans ta bouche, Élise", murmura Louis. Sa voix rauque vibrait dans l'air. Élise leva les yeux vers lui et elle l'aspira. Sa langue tourna autour du gland, goûtant la saveur salée de son excitation.
Marc poussa enfin jusqu’au plus profond d’elle et maintint un rythme régulier. Ses hanches claquaientt contre les siennes avec un son humide. L'odeur de sueur et de sexe emplit la pièce. Un mélange capiteux enivrait leurs sens. Élise inspira profondément, corps tendu.
Elle suça plus fort. Joues creusées. Sa langue explora chaque veine, chaque courbe. "Comme ça, oui", grogna Louis. Il serra un peu plus la ceinture, tirant Élise vers lui par la gorge. Élise gémit autour de sa verge. La contrainte amplifiait ses sensations. Une pointe de douleur se mêla au plaisir.
Marc accéléra légèrement. Il sentit ses parois le serrer plus fort. Chaque poussée envoyait des ondes à travers elle.
Les seins d’Élise se balançaient au rythme que les deux hommes lui imposaient. Louis poussait dans sa bouche. Lentement, méthodiquement, il guidait ses mouvements, main dans ses cheveux. Elle lécha la longueur entière et avala aussi profond qu’elle put.
"Tu es si chaude dedans", souffla Marc. Il pinça un mamelon durci. Une légère torsion, juste assez pour piquer. Élise sursauta. Le pincement irradia vers son bas-ventre. Elle contracta ses muscles autour de lui en réponse.
L'odeur musquée de leurs excitations se fit plus intense. Élise sentit son propre fluide couler le long de ses cuisses. Chaud et abondant. Marc frotta son clitoris du pouce en cercles lents. La double stimulation la fit trembler.
Louis retira sa verge un instant. Il la frappa doucement contre ses lèvres. "Ouvre plus grand", ordonna-t-il. Elle obéit. Bouche offerte. Il replongea, plus profond encore cette fois. Élise aspira avec force. Sa langue dansa sous le gland. Elle savoura chaque pulsation.
Marc maintenait le rythme. Profond et régulier. Ses testicules effleuraient sa peau à chaque entrée. La ceinture serrait la gorge d’Élise. Elle tira dessus. La résistance accrut son excitation, corps arqué en offrande.
"Regarde comme elle se donne bien", dit Louis à Marc, un sourire dans la voix. Marc hocha la tête, yeux brillants et accéléra ses mouvements. Il heurta un point sensible au fond d'elle. Des ondes de plaisir traversèrent le corps d'Élise. Elle gémit autour de la verge de Louis. Les vibrations firent frissonner l'homme. Ses mains serrèrent les cheveux d'Élise.
"Plus fort, Marc," murmura Élise entre deux succions. Sa voix vibrait contre la chair de Louis. Celui-ci resserra sa prise sur ses cheveux.
Marc obéit. Ses hanches claquèrent contre elle. Le bruit humide résonna tandis qu’ Élise aspirait plus profondément. Sa langue tourna autour du gland. Louis haletait.
Marc pinça un mamelon. Élise cria. La piqûre aiguë se fondit dans l'extase. "Tu aimes ça, n'est-ce pas ?" demanda Marc. Sa voix rauque trahissait son excitation. Élise hocha la tête, la bouche pleine.
"Regarde-la, Louis," dit Marc. "Elle vient." Louis sourit, les yeux brillants. Élise gémit longuement. Le son vibra dans la pièce invitant Marc à pousser plus profond. Il heurta à nouveau le point sensible. Des éclairs traversèrent Élise.
Élise sentit ses muscles intimes pulser. La pression montait. Son corps entier vibrait."Ne t'arrête pas," implora-t-elle. Sa voix sortit étouffée. Marc rit doucement. Il pinça une fois de plus. La douleur aiguisa le plaisir. Élise arqua le dos.
"Tu es si serrée," murmura Marc. Il sentit les parois l'étreindre. Chaque mouvement amplifiait la sensation. Élise répondit par un gémissement. Elle lécha avidement. Louis approchait du précipice. Ses mains tremblèrent dans ses cheveux. Il retint son souffle. Le plaisir le submergea presque.
Marc frotta avec précision. Le pouce pressa le noyau sensible. Élise se cambra. Son corps se tendit davantage. La vague enflait en elle. Chaque nerf hurlait.
Louis grogna profondément. La langue d'Élise le tourmentait. Il serra la base plus fort et poussa. Louise eut un haut-le-coeur et toussa. Bravement, elle resta soudée au membre qui pénétrait jusqu’au fond de sa gorge.
Soudain, Élise sentit la vague déferler en elle. Un orgasme puissant la submergea. Son cri s'étouffa contre la verge de Louis, encore enfouie dans sa bouche.
Son corps se convulsa. Des spasmes violents la traversèrent. Ses parois intimes se contractèrent rythmiquement autour de Marc, serrant sa longueur avec une force presque douloureuse.
Des vagues successives de pur plaisir la submergèrent. Elle arqua le dos. Ses muscles se tendirent, puis se relâchèrent en ondes interminables."Mon Dieu, c'est... j’en peux plus", haleta-t-elle, la voix brisée. Louis caressa ses cheveux. Marc grogna, sentant ses contractions le masser.
Elle trembla longtemps. Sensations irradiant de son centre. Une chaleur liquide se répandit dans tout son être. Ses seins se soulevèrent au rythme de sa respiration saccadée. La sueur perlait sur sa peau pâle. L'odeur de son excitation emplissait l'air, musquée et enivrante.
Marc se retira lentement. Sa verge luisante émergea, couverte de ses essences. Il haletait, le corps tendu par l'effort de contrôle.Louis suivit. Il sortit de sa bouche avec un bruit humide. Tous deux se positionnèrent au-dessus d'elle.
Leurs mains reprirent un rythme frénétique. Élise les regardait. Son corps alangui reposait sur le canapé. Couvert de sueur, elle affichait un sourire repu."Donnez-moi tout", murmura-t-elle. Sa voix était rauque. Un éclat de désir persistait dans ses yeux.
Marc accéléra ses mouvements. Sa main glissait avec vigueur. Des gouttes perlèrent au sommet de son gland. Louis l’imita, hanches se soulevant légèrement. L'air crépitait de leurs respirations lourdes. L’odeur de musc masculin se mêlait à celle de l’orgasme récent.
Pour prolonger l'instant, Élise leva une main. Elle effleura leurs testicules tendus. Une caresse légère, presque taquine."Ils sont si pleins", chuchota-t-elle. Marc grogna. Louis ferma les yeux, savourant la sensation. Elle pinça doucement la peau sensible. Une touche de sadisme. Les hommes tressaillirent, le plaisir mêlé à une pointe de douleur.
Marc jouit le premier. Ses jets chauds et abondants fusèrent à la rencontre du corps d’Élise. Ils atterrirent sur ses seins ronds, couvrant les mamelons durcis.Le liquide perla sur sa peau pâle. Il se répandit en filets lents, glissant vers son ventre. Chaleur collante sur sa chair encore sensible. "Prends-le", grogna Marc. Son corps se raidit. Un dernier spasme le secoua.
Louis suivit de près. Ses projections puissantes giclèrent par dessus ses seins . Elles frappèrent son ventre plat, éclaboussant jusqu'à ses cuisses fines. Un mélange collant et chaud la recouvrit et une odeur saline emplit l'air.
Élise caressa les liquides du bout des doigts. Elle étala la substance sur sa peau. Sentant leur chaleur imprégner ses pores. "C'est bon, si chaud", murmura-t-elle. Ses doigts tracèrent des motifs lents. Le témoignage visible de leur plaisir partagé.
Ils s'effondrèrent près d'elle. Leurs respirations lourdes et saccadées résonnaient dans l'air qui vibrait encore de leur plaisir. Élise murmura : "Encore ?"
Les hommes rirent, une lueur affamée dans les yeux, prêts pour une nouvelle manche.
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