un bon coup de main!

- Par l'auteur HDS Renifleur -
Récit érotique écrit par Renifleur [→ Accès à sa fiche auteur]
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Récit libertin : un bon coup de main! Histoire érotique Publiée sur HDS le 07-09-2024 dans la catégorie Dans la zone rouge
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un bon coup de main!
-Alors ? Me fait Odile alors que je franchis la porte de son appartement.
-Et bien rien !
-Tu veux plaisanter ?
-Pas du tout…
-Alors là je ne sais pas quoi pensée…
-A qui le dis-tu !
-Elle t’a proposé la tisane au-moins ?
-Oui… et je l’ai jeté dans le pot des plantes, comme tu me l’avais conseillé…
-Bon… je me suis fais mystifié… je t’offre un café où tu choisis me baiser.
-Commençant par un café.
-Prend place dans le salon, je suis à toi tout de suite…
Ce que je me suis garder de dire à Odile, c’est que alors j’attendais patiemment dans mon lit la venue ou pas de ma mère, je me suis remémoré quelques faits. Comme il me semblait quelques fois en outre que mon sommeil n’avait pas été toujours de tout repos. De me réveillé alors en sueur et avec la curieuse sensation d’avoir éjaculé. Et de constater que les draps étaient mouillés et mon sexe humide avec du sperme séché sur les poils du pubis. Je mis cela sur la pollution nocturne.
Un sourire acide aux lèvres, Odile s’approche de moi tenant un plateau en main.
-Tu es indécent, avec cette bosse sous ta braguette.
Je m’aperçois qu’Odile respire plus vite. D’un geste brusque elle pose le plateau sur la table basse.
-Il va falloir que je m’occupe de toi, sinon tu ne pourras même pas sortir d’ici.
Elle déboutonne son chemisier écarte largement les pans du vêtement. Moulés dans un soutien-gorge rouge ses seins jaillissent par l’ouverture. Elle les dégage des bonnets. Odile les soupèse, fait rouler sous ses doigts les pointes érigées. Elle devient toute rouge et respire de façon saccadée.
Puis elle s’agenouille à mes pieds. Elle sort ma queue de sa cache. Elle taquine mon gland avec la pointe de sa langue. Elle lèche ensuite mon membre de bas en haut. L’enduisant copieusement de salive. L’instant d’après elle a ma queue dans la bouche. Lèvres serrées, elle monte et descend de plus en plus vite le long de ma queue. Me sentant sur le point de conclure, elle se relève :
-Je crois que j’ai fait ma part de travail. A toi maintenant.
Elle se pli en deux, le menton reposant sur le dossier du divan. Je me place derrière elle. D’un geste, je lui trousse la jupe jusqu’aux reins. Elle porte une culotte dont le fond étroit disparait entre ses fesses plantureuses que sa position écarte. Plus bas une tache humide marque le fond du slip. Le souffle de plus en plus saccadé, je tâte son derrière, laissant des traces rouges sur la peau blanche. Je glisse le pouce sous le fond de la culotte, masse les bords de l’anus. Odile halète avec bruit. Elle donne de petits coups de reins en arrière, s’arque au maximum. Je descends plus bas, touche l’arrière de la vulve. Odile se cambre au maximum. Je sens une épaisse coulée de mouille sur mon doigt. Ma queue se raidit. Je baisse sa culotte. Le vagin englué aspire ma queue comme une ventouse. En gémissant, elle remue ses fesses de droite à gauche, prenant appui avec ses mains sur le dossier du divan.
Je la baise longuement. Les mains agrippées à ses hanches, je me mets à aller et venir avec une ardeur renouvelée, Odile a le temps de jouir à plusieurs reprises avant que j’en fasse autant. Je me retire tout de suite. La queue gluante de sperme et de sécrétions.
Après m’être rajusté, je la reculotte, rabat sa jupe. Un moment plus tard elle se redresse et boutonne son chemisier. Elle est rouge mais respire normalement.
Les nuits suivantes n’ont pas été de tout repos. Attendant patiemment la visite de ma mère, enfin si elle devait venir. Mais elle ne vint toujours pas. Je me demandais si ma mère n’avait pas dopé Odile ?
Et une nuit, alors que je n’attendais plus rien, voilà que j’entends des pas lourds s’approchés. Je simule d’être plongé dans un sommeil profond. Tout en respirant fort, je garde les yeux clos simulant le sommeil. Une silhouette se glisse dans la chambre. Je l’entends se rapprocher du bord de mon lit.
-Alain tu dors ?
Elle me secoue par les épaules.
-Alain, reprend-elle.
Comme je fais le parfait mort, elle crie mon nom plus fort, puis me secoue les épaules et la tête. Aussi je continue à faire semblant de dormir.
Elle soulève doucement mon drap, le rabat loin au pied du lit, découvrant ainsi mon corps. J’ai l’habitude de dormir nu. Et encore plus depuis la révélation d’Odile. Mon sexe est en érection. Une main ferme et chaude s’en empare. Sentant un frisson monter en moi, je m’emplois à n’en rien laisser paraître. Elle approche son visage puis plaquant son nez contre mon méat, le hume longuement. S’enhardissant, elle me masturbe en entreprenant un va-et-vient énergique. Je continue à feindre le sommeil.
Si elle profite de moi en m’abusant, il est normal que s’en fasse autant avec elle. Très vite je lâche de longs jets de sperme. Je pense même en avoir envoyé une salve sur la figure e maman. Mais cela n’a pas l’air de la déranger plus que ça, elle continue à me branler. Mes couilles se resserrent, alors que ma queue se vide sans fin. Bien que ma jouissance soit torride, je ne fais rien paraître, étouffant tant bien que mal ma jouissance.
Sans même prendre la peine de m’essuyer elle quitte la pièce aussi discrètement qu’elle était entrée. Je comprends tout de suite mes fameuses émissions nocturnes !
Cette scène s’est répété à plusieurs reprises. Et pas une fois, en tête à tête au petit déjeuner j’ai senti chez elle de la gêne, tout au contraire je percevais de la gaieté, du bien être. D’un autre côté j’étais heureux de lui rendre la vie plus agréable. Surtout que cela faisait deux ans que mon père nous avait quitté.
Quelques jours plus tard il se trouve que je regarde la télé en sa compagnie. Il se joue alors sur l’écran une scène que je dirais plus qu’osez. Je ne me retiens pas de me masser fermement l’entrejambe échauffé de mes mains pleines d’espérance. Perdu dans mes idées salaces, je m’immobilise, mais avait-elle lu dans mes pensées ? Car, ma mère intervient d’une voix chaude ne se gênant pas à me palper les fesses de ses mains fermes et volontaires. J’en es la queue douloureuse. Il est temps que je trouve une solution d’urgence. Je me lève de ma place c’est alors que ma mère me demande.
-Tu vas te coucher ?
-Oui, à demain, maman.
Une fois dans ma chambre à l’abri d’yeux indiscrets je sors mon masturbateur. Un jouet sexuel simple et efficace. A chaque utilisation je ressens un immense plaisir et des sensations dignes d’une vraie pénétration vaginale. En plus de son apport en sensation très réalistes je l’apprécie pour l’étroitesse de son orifice d’entrée.
Après avoir lubrifié ma queue bandée je la pointe entre les lèvres en silicone. Une pression de la main et ma queue disparaît dans le tunnel onctueux. Je n’ai plus qu’a exercé à mon poignet un mouvement de branle.
C’est alors que la porte de ma chambre s’ouvre et que ma mère m’apparait.
-Maman ! Fais-je, en rabattant le drap sur mon méfait. tu ne peux pas frapper !
-Oh pardon ! C’est que tu as oublié de me faire la bise.
Après la bise, elle rabat d’un geste sec le drap.
-Mais maman, ça ne va pas !
-Qu’est-ce que tu fais avec ça… tu n’as pas de copine.
-Non….
Me gardant bien de lui dévoiler mes relations avec Bernadette la voisine du haut, Brigitte celle du bas, Odile sa copine, Barbara et sans oublier Josette.
Là, elle se saisit de mon branleur et se met en devoir de me branler. Je ne comprends pas ce qu’il m’arrive. L’instant est aussi rapide qu’un court-circuit. Je n’ai même pas le temps de me demander si c’est un rêve ou non. C’était dingue ! Le cœur me tape les côtes à grands coups. Je sens que ma moral est en train de foutre le camp.
Ma mère agite le masturbateur d’un geste efficace. Je ferme les yeux comme un salaud. Je suis dans l’incapacité de faire quoi que ce soit. Je suis soumis. Ce qu’elle me fait est trop, je ne sais quoi !
Ce n’est pas normal cette réaction mêlée, de crainte profonde et de combustion qui monte de mes couilles.
Ça devient de plus en plus bon. Mon besoin de jouir est de plus en plus fort. Je sens venir des picotements annonciateurs d’une prochaine jouissance. Je m’accroche plus que jamais au but. L’action de ma maman me rend de plus en plus fou. Sur le moment je me fous que ce soit la main de ma propre mère qui va me faire jouir.
De toute façon, mon attention est connectée sur ma jouissance. Tout ce qui m’importe c’est l’orgasme. Et ça monte encore près à sortir !
Je commence à souffler. Je suis un animal en rut. Je donnerais ma vie pour que ça se prolonge. Ça s’embrase, ce qui fait disjoncter le cerveau. Mon sperme est à deux doigts d’être éjecté de mon méat. J’ai envie de le crier à maman ! Pas le temps, déjà de longues salves de sperme se propulsent dans l’air. Enfin j’extériorise ma jouissance, je ne peu m’empêcher de crier tant que c’est bon !
Encore quelques secondes, et deux jets supplémentaire, et voilà que déjà j’ai des remords sur la forme de cette jouissance. Mon esprit me martèle que c’est maman qui m’a offert ce plaisir. Je ne peux me dégager à cause de la main qui me tient, qui me rend immobile comme une statue. Puis elle se lève et me lance.
-Je vais le nettoyer.
Me désignant mon masturbateur.
-Non…non, maman, laisse.
Sans répondre elle disparait de la chambre.
Elle met dix minutes avant de revenir, et de poser mon joujou de plaisir sur le bureau.
-A demain, dort bien !

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