Un copain
Récit érotique écrit par Cplcandaudu60 [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 23-06-2023 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Un copain
A cette époque Nathalie est restée au chômage pendant plusieurs mois, s’occupant avec quelques petits boulot avant d’en reprendre un plus stable.
Pour ma part, je partais quelques fois en déplacement entre 2 et 5 jours.
Nous avions environ 25 ans et sortions beaucoup.
De part ce fait nous avions beaucoup de « copains » avec qui nous allions en boite ou à des soirées.
Nous en voyions certains plus souvent que d’autres et je savais aussi que plusieurs d’entre eux ne pensais qu’à sauter ma femme.
Elle avait une énorme poitrine, une bouche à tailler des pipes, une gueule de salope et des tenues très provocantes.
Elle avait parfois des amants de passage mais jamais dans nos fréquentations.
Un soir ou j’étais absent, car j’étais parti pour la semaine, Stéphane, un de nos copains, est passé à la maison.
Il sortait d’une rupture très difficile, du moins à ces dires.
Ayant besoin de parler et de réconfort, il s’était dit que de passer nous voir lui changerais les idées.
Agréablement surpris que ma femme soit seule, il a joué son Caliméro.
Assis tous les deux dans le canapé à boire un café, il s’est victimisé encore plus.
« Tu te rends compte, lui dit-il, ça fait six mois qu’elle m’a quitté et je n’arrive pas à l’oublier, j’ai bien essayé d’aller voir d’autres filles mais rien n’y fait, je n’arrive même pas à bander » « C’est bien simple, je n’ai pas eu un rapport sexuel depuis que Karine est partie »
Nathalie était un peu surprise car il ne lui avait jamais parlé comme ça.
Elle le trouvait sur le moment presque attendrissant, il ne fallait pas grand-chose de plus pour qu’elle le prenne dans ses bras pour le consoler.
Il continuait toujours à se lamenter sur son pauvre sort d’homme qu’une femme venait de jeter comme un vieux torchon, pour aller s’éclater avec d’autres.
Ma femme avait bien essayé de changer plusieurs fois de conversation mais il revenait rapidement sur sa rupture et ses conséquences.
« Tu sais, dit-il encore, je ne sais même pas si j’arriverais encore à avoir une érection »
Ils discutaient ainsi depuis plusieurs heures et petits à petits il lui avait pris les mains dans les siennes, innocemment bien-sûr, puis avait posé amicalement une main sur sa cuisse, il se rapprochait d’elle comme pour se faire cajoler et plaindre encore plus.
« Tu crois qu’une rupture ça peut rendre impuissant ? » lui a-t-il demandé.
Un peu prise au dépourvue elle ne savait plus quoi répondre.
« Heuuu… non… je ne pense pas… enfin je crois »
« Tu es sûr ? Parce que là ça me fait peur » « Je peu te demander un service ? Je sais que tu ne le répéteras jamais et que je peu avoir confiance en toi là-dessus »
Un peu inquiète mais pas dupe non plus elle lui dit :
« Vas-y demande moi, mais j’ai bien peur de connaître déjà ta requête »
« Voilà, sachant qu’on est des bons copains, j’aimerais que tu puisses me stimuler pour savoir si je suis toujours un homme digne de ce nom »
« Attends, lui dit-elle, tu te rends compte de ce que tu me demande… je reviens, il me faut un verre, on ne me l’avait jamais faites celle-là »
Quand elle s’est levée, elle a senti son regard fixer ses fesses.
Un tee-shirt ultra moulant et une jupe au ras des fesses étaient ses seuls vêtements.
« Tiens, dit-elle une fois revenue en lui tendant aussi un verre de whisky, ça va te remettre les idées en place. »
« Je te jure, ce n’est pas de la drague, j’ai vraiment peur de ne plus bander et je suis sûr que tu es la seule femme qui pourrait me redonner goût aux plaisirs charnelles. »
Puis après quelques secondes de silence il a continué :
« Juste me caresser, me branler un peu pour voir »
Disant cela, il lui a doucement attrapé la main pour la diriger vers son sexe par-dessus son short.
Nathalie de son autre main à vider son verre d’une traite avant de le reposer sur la table basse.
Elle s’est résignée à lui céder, ne sachant plus si c’était une réelle souffrance, tellement il paraissait sincère ou alors s’il lui avait fait un plan drague hors du commun.
Il a descendu short et slip pour laisser la main de ma femme se poser sur sa queue.
Il avait dû beaucoup lutter pour ne pas avoir une érection car à peine les doigts de Nathalie se sont posés sur sa bite, qu’elle a durcit en moins de temps qu’il ne faut pour le dire.
« Mais tu bande déjà » dit-elle.
Il a une belle bite en plus ce con, s’est-elle dit.
Alors se prenant au jeu, elle a continué à le masturber.
Elle astiquait doucement le méat qui était dans sa main tout en décalottant le gros gland qui brillait sous le liquide séminal qui commençait à s’écouler.
Après quelques minutes de ce traitement, elle s’est glissée à genoux devant lui pour aller lui pomper la queue en lui disant :
« Il faut peut-être vérifier si elle crache encore »
Sa main le branlait, sa bouche l’aspirait et sa langue le léchait, goulûment elle lui a prodiguait une superbe fellation digne de ce nom.
Les deux mains tenant la tête de ma femme il lui disait ;
« Oh putain tu suce super bien toi, je savais que tu étais une bonne bouffeuse de bites, t’aimes ça hein salope… »
Le regardant bien dans les yeux avec un air de chienne elle lui a dit :
« Oui j’adore ça sucer des queues, surtout quand elles sont bien grosses comme la tienne. »
Elle a ainsi continué à le maltraiter avec sa bouche pendant une dizaine de minutes, jusqu’à ce qu’il lui éjacule de grandes et copieuses rasades de sperme au fond de la gorge en lui maintenant bien la tête afin qu’elle ne recrache rien.
Après avoir dégluti tout le nectar qu’il venait de juter, elle lui a bien nettoyer le chibre avant de le prendre par la main pour l’amener jusqu’à son lit en lui disant :
« Maintenant c’est à ton tour de me faire jouir »
Elle s’est débarrassée de ses vêtements puis s’est allongée sur le lit.
Lui s’est installé entre ses cuisses pour venir la fouiller de sa langue.
Il lui titillait le clito puis lui léchait les lèvres avant d’enfoncer sa langue le plus loin possible dans sa vulve pour aspirer ses secrétions.
Sa langue batifolait partout sur son sexe.
Ma femme poussait des gémissements de plaisir sous les assauts buccale de son partenaire.
Peu de temps après, elle se laissait aller à jouir inondant le visage de son amant.
Il est remonté s’allonger auprès d’elle et lui a dit :
« Tu sais, tout ce que je t’ai dit est vrai, ça fait réellement 6 mois que je n’ai pas couché avec une autre femme et avec Karine on ne faisait plus rien depuis plusieurs mois déjà.
Quant à toi, tu me faisais tellement fantasmer que je savais que tu serai la seule à pouvoir me débloquer »
Un peu gêné, elle lui a répondu :
« Tu sais, je suis mariée et j’aime mon homme… »
« Non, non ne t’inquiète pas, je ne suis pas entrain de dire que je suis amoureux de toi, je veux juste te dire que ce n’est que sexuel rien d’autre, je ne veux pas briser ton couple »
« Ouf tu me rassure » lui répondit-elle en attrapant la bite, qui avait repris une taille appétissante, et venir l’engloutir à nouveau dans sa bouche.
Quelques minutes plus tard il la faisait remonter contre lui pour l’embrasser.
Leurs sexes frottaient l’un contre l’autre pendant que leurs langues se mélangeaient.
Nathalie a attrapé des capotes dans le tiroir de sa table de nuit et lui en a tendu une pour qu’il l’enfile.
Elle s’est écartée le temps qu’il la mette, puis et revenu sur lui pour s’empaler sur sa bite.
Il a plaqué ses mains sur ses fesses pour accompagner son mouvement de vas et vient.
Il lui mangeait les seins pendant qu’il la baisait, ses mamelons étaient tout dur et elle appréciait beaucoup sa langue courir dessus.
Leur souffle s’accélérait, lui faisait son possible pour se retenir d’éjaculer, alors qu’elle ne demandait qu’à jouir.
Quand elle a atteint l’orgasme, elle a plaqué son bassin contre le siens en ondulant pour sentir sa queue encore plus loin en elle.
Ensuite, elle s’est écartée de lui pour redescendre lui enlever la capote et le prendre en bouche quelques temps avant de lui demander :
« Viens me prendre en levrette »
Il a mis un nouveau préservatif puis et venu derrière elle pour satisfaire sa demande.
Il lui semblait qu’elle le sentait encore plus loin en elle dans cette position, ses coups de reins étaient plus fort et il était encore plus excité.
Il faut dire que la vue de Nathalie de dos quand on la prend en levrette est hyper excitante.
Il l’a baisé ainsi frénétiquement pendant un long moment, la faisant jouir à plusieurs reprise alors que lui se retenait toujours.
Les mains de Stéphane n’arrivaient plus à agripper ma femme par les hanches tellement ils étaient tous les deux trempés de sueur, alors après un ultime orgasme, ils ont décidé de faire une pause douche.
Ils se sont savonné et rincé sous une eau presque froide pour se rafraîchir.
Bien que la douche soit petite, ils ont quand même réussi à la prendre ensemble, très vite elle s’est agenouillée devant lui pour reprendre et donner une nouvelle vigueur au braquemart qui pendait entre les cuisses de notre pote.
Une fois la queue de son amant bien raide, elle s’est relevée puis l’a entraîné vers la chambre.
« Merde j’ai plus de capotes » a-t-elle dit en regardant dans sa table de nuit.
« Tu en as toi ? »
« Bein non, je n’avais pas prévu de te sauter » répondit-il.
« On a plus qu’a se faire jouir avec nos bouches » dit Nathalie.
Couché l’un contre l’autre, ils s’embrassaient goulûment.
Elle le branlait doucement pendant qu’il lui caressait les fesses et le sexe.
De nouveau ils étaient très excités.
« Monte sur moi, j’ai envie de sentir ton corps contre le miens » lui dit-il.
Sa queue bien raide était maintenant collée à sa vulve, se frottant et se caressant toujours.
Elle ondulait du bassin pour mieux le sentir.
Il l’a un peu fait remonter vers lui, de sorte que sa queue n’était plus contre sa vulve mais juste à l’entrée.
Ils s’embrassaient toujours et se sont soudain arrêté.
Le regardant alors droit dans les yeux, Nathalie a légèrement écarté les cuisses, lui permettant ainsi de s’enfoncer en elle.
D’abord doucement, il l’a ensuite enfilé jusqu’à la garde dans un grand coup de rein.
Ils ont poussé en même temps un grand ahhhhhhhhh de plaisir.
Elle le sentait mieux dans son ventre, sa queue toujours aussi dur était bien chaude et douce.
Tout en continuant à baiser, ils changeaient de position, parfois même sans se décoller l’un de l’autre.
Alors que ma femme multipliait les orgasmes, c’est lui qui a demandé de la reprendre par derrière car il voulait jouir en la prenant comme une chienne, lui avait-il dit.
Une fois bien calé contre ses fesses, il l’a pistonné bien fort en la tenant par les hanches.
Il était proche de la jouissance car ses mots devenaient plus grossiers.
« Putain t’es trop bonne, j’adore te défoncer comme une chienne, t’es une bonne petite pute qui aime la queue… »
Alors qu’elle acquiesçait ses dires, étant dans la même excitation que lui, elle a senti un liquide bien chaud s’écraser par saccades au fond de son ventre.
Pendant qu’il éjaculait en elle, il grognait en vociférant tout un tas de gros mots.
Il est resté ainsi la queue empalé en elle pendant plusieurs secondes avant de s’écrouler dans le lit.
Il est resté dormir là, ce qui lui a permis de baiser encore ma femme plusieurs fois au cours de la nuit.
Le matin après avoir déjeuner et repris une douche, il a demandé à Nathalie de le sucer une dernière fois avant de partir.
Assis dans un fauteuil complètement nu, ma femme à genoux entre ses cuisses, il savourait la fellation qu’elle lui prodiguait.
Il lui tenait la tête pour lui imprimer un mouvement de vas et viens, il lui baisait la bouche et elle savourait la queue qu’elle suçait avidement.
Sentant qu’il allait jouir, elle a relevé la tête pour le regarder en gardant bien sa bite emprisonné entre ses lèvres pendant qu’il éjaculait dans sa bouche.
Elle a tout avalé, puis a passé sa langue sur ses lèvres avant de nettoyer son gland en l’aspirant et sa queue en la léchant, de toute trace de sperme.
Il est revenu plusieurs fois à la maison, quand j’étais là, il semblait un peu mal à l’aise.
Je le voyais quand même mater en douce le cul de ma femme, je pense qu’il s’imaginait bien, à ce moment-là, la queue planté en elle à la faire jouir.
Quand il passait et que j’étais absent, Nathalie l’a sucé plusieurs fois jusqu’au bout, se délectant de son foutre et ils ont passés une autre nuit ensemble en s’éclatant tout autant.
Il s’est remis en couple avec Karine et ont décidé de partir vivre dans le sud de la France.
Pour ma part, je partais quelques fois en déplacement entre 2 et 5 jours.
Nous avions environ 25 ans et sortions beaucoup.
De part ce fait nous avions beaucoup de « copains » avec qui nous allions en boite ou à des soirées.
Nous en voyions certains plus souvent que d’autres et je savais aussi que plusieurs d’entre eux ne pensais qu’à sauter ma femme.
Elle avait une énorme poitrine, une bouche à tailler des pipes, une gueule de salope et des tenues très provocantes.
Elle avait parfois des amants de passage mais jamais dans nos fréquentations.
Un soir ou j’étais absent, car j’étais parti pour la semaine, Stéphane, un de nos copains, est passé à la maison.
Il sortait d’une rupture très difficile, du moins à ces dires.
Ayant besoin de parler et de réconfort, il s’était dit que de passer nous voir lui changerais les idées.
Agréablement surpris que ma femme soit seule, il a joué son Caliméro.
Assis tous les deux dans le canapé à boire un café, il s’est victimisé encore plus.
« Tu te rends compte, lui dit-il, ça fait six mois qu’elle m’a quitté et je n’arrive pas à l’oublier, j’ai bien essayé d’aller voir d’autres filles mais rien n’y fait, je n’arrive même pas à bander » « C’est bien simple, je n’ai pas eu un rapport sexuel depuis que Karine est partie »
Nathalie était un peu surprise car il ne lui avait jamais parlé comme ça.
Elle le trouvait sur le moment presque attendrissant, il ne fallait pas grand-chose de plus pour qu’elle le prenne dans ses bras pour le consoler.
Il continuait toujours à se lamenter sur son pauvre sort d’homme qu’une femme venait de jeter comme un vieux torchon, pour aller s’éclater avec d’autres.
Ma femme avait bien essayé de changer plusieurs fois de conversation mais il revenait rapidement sur sa rupture et ses conséquences.
« Tu sais, dit-il encore, je ne sais même pas si j’arriverais encore à avoir une érection »
Ils discutaient ainsi depuis plusieurs heures et petits à petits il lui avait pris les mains dans les siennes, innocemment bien-sûr, puis avait posé amicalement une main sur sa cuisse, il se rapprochait d’elle comme pour se faire cajoler et plaindre encore plus.
« Tu crois qu’une rupture ça peut rendre impuissant ? » lui a-t-il demandé.
Un peu prise au dépourvue elle ne savait plus quoi répondre.
« Heuuu… non… je ne pense pas… enfin je crois »
« Tu es sûr ? Parce que là ça me fait peur » « Je peu te demander un service ? Je sais que tu ne le répéteras jamais et que je peu avoir confiance en toi là-dessus »
Un peu inquiète mais pas dupe non plus elle lui dit :
« Vas-y demande moi, mais j’ai bien peur de connaître déjà ta requête »
« Voilà, sachant qu’on est des bons copains, j’aimerais que tu puisses me stimuler pour savoir si je suis toujours un homme digne de ce nom »
« Attends, lui dit-elle, tu te rends compte de ce que tu me demande… je reviens, il me faut un verre, on ne me l’avait jamais faites celle-là »
Quand elle s’est levée, elle a senti son regard fixer ses fesses.
Un tee-shirt ultra moulant et une jupe au ras des fesses étaient ses seuls vêtements.
« Tiens, dit-elle une fois revenue en lui tendant aussi un verre de whisky, ça va te remettre les idées en place. »
« Je te jure, ce n’est pas de la drague, j’ai vraiment peur de ne plus bander et je suis sûr que tu es la seule femme qui pourrait me redonner goût aux plaisirs charnelles. »
Puis après quelques secondes de silence il a continué :
« Juste me caresser, me branler un peu pour voir »
Disant cela, il lui a doucement attrapé la main pour la diriger vers son sexe par-dessus son short.
Nathalie de son autre main à vider son verre d’une traite avant de le reposer sur la table basse.
Elle s’est résignée à lui céder, ne sachant plus si c’était une réelle souffrance, tellement il paraissait sincère ou alors s’il lui avait fait un plan drague hors du commun.
Il a descendu short et slip pour laisser la main de ma femme se poser sur sa queue.
Il avait dû beaucoup lutter pour ne pas avoir une érection car à peine les doigts de Nathalie se sont posés sur sa bite, qu’elle a durcit en moins de temps qu’il ne faut pour le dire.
« Mais tu bande déjà » dit-elle.
Il a une belle bite en plus ce con, s’est-elle dit.
Alors se prenant au jeu, elle a continué à le masturber.
Elle astiquait doucement le méat qui était dans sa main tout en décalottant le gros gland qui brillait sous le liquide séminal qui commençait à s’écouler.
Après quelques minutes de ce traitement, elle s’est glissée à genoux devant lui pour aller lui pomper la queue en lui disant :
« Il faut peut-être vérifier si elle crache encore »
Sa main le branlait, sa bouche l’aspirait et sa langue le léchait, goulûment elle lui a prodiguait une superbe fellation digne de ce nom.
Les deux mains tenant la tête de ma femme il lui disait ;
« Oh putain tu suce super bien toi, je savais que tu étais une bonne bouffeuse de bites, t’aimes ça hein salope… »
Le regardant bien dans les yeux avec un air de chienne elle lui a dit :
« Oui j’adore ça sucer des queues, surtout quand elles sont bien grosses comme la tienne. »
Elle a ainsi continué à le maltraiter avec sa bouche pendant une dizaine de minutes, jusqu’à ce qu’il lui éjacule de grandes et copieuses rasades de sperme au fond de la gorge en lui maintenant bien la tête afin qu’elle ne recrache rien.
Après avoir dégluti tout le nectar qu’il venait de juter, elle lui a bien nettoyer le chibre avant de le prendre par la main pour l’amener jusqu’à son lit en lui disant :
« Maintenant c’est à ton tour de me faire jouir »
Elle s’est débarrassée de ses vêtements puis s’est allongée sur le lit.
Lui s’est installé entre ses cuisses pour venir la fouiller de sa langue.
Il lui titillait le clito puis lui léchait les lèvres avant d’enfoncer sa langue le plus loin possible dans sa vulve pour aspirer ses secrétions.
Sa langue batifolait partout sur son sexe.
Ma femme poussait des gémissements de plaisir sous les assauts buccale de son partenaire.
Peu de temps après, elle se laissait aller à jouir inondant le visage de son amant.
Il est remonté s’allonger auprès d’elle et lui a dit :
« Tu sais, tout ce que je t’ai dit est vrai, ça fait réellement 6 mois que je n’ai pas couché avec une autre femme et avec Karine on ne faisait plus rien depuis plusieurs mois déjà.
Quant à toi, tu me faisais tellement fantasmer que je savais que tu serai la seule à pouvoir me débloquer »
Un peu gêné, elle lui a répondu :
« Tu sais, je suis mariée et j’aime mon homme… »
« Non, non ne t’inquiète pas, je ne suis pas entrain de dire que je suis amoureux de toi, je veux juste te dire que ce n’est que sexuel rien d’autre, je ne veux pas briser ton couple »
« Ouf tu me rassure » lui répondit-elle en attrapant la bite, qui avait repris une taille appétissante, et venir l’engloutir à nouveau dans sa bouche.
Quelques minutes plus tard il la faisait remonter contre lui pour l’embrasser.
Leurs sexes frottaient l’un contre l’autre pendant que leurs langues se mélangeaient.
Nathalie a attrapé des capotes dans le tiroir de sa table de nuit et lui en a tendu une pour qu’il l’enfile.
Elle s’est écartée le temps qu’il la mette, puis et revenu sur lui pour s’empaler sur sa bite.
Il a plaqué ses mains sur ses fesses pour accompagner son mouvement de vas et vient.
Il lui mangeait les seins pendant qu’il la baisait, ses mamelons étaient tout dur et elle appréciait beaucoup sa langue courir dessus.
Leur souffle s’accélérait, lui faisait son possible pour se retenir d’éjaculer, alors qu’elle ne demandait qu’à jouir.
Quand elle a atteint l’orgasme, elle a plaqué son bassin contre le siens en ondulant pour sentir sa queue encore plus loin en elle.
Ensuite, elle s’est écartée de lui pour redescendre lui enlever la capote et le prendre en bouche quelques temps avant de lui demander :
« Viens me prendre en levrette »
Il a mis un nouveau préservatif puis et venu derrière elle pour satisfaire sa demande.
Il lui semblait qu’elle le sentait encore plus loin en elle dans cette position, ses coups de reins étaient plus fort et il était encore plus excité.
Il faut dire que la vue de Nathalie de dos quand on la prend en levrette est hyper excitante.
Il l’a baisé ainsi frénétiquement pendant un long moment, la faisant jouir à plusieurs reprise alors que lui se retenait toujours.
Les mains de Stéphane n’arrivaient plus à agripper ma femme par les hanches tellement ils étaient tous les deux trempés de sueur, alors après un ultime orgasme, ils ont décidé de faire une pause douche.
Ils se sont savonné et rincé sous une eau presque froide pour se rafraîchir.
Bien que la douche soit petite, ils ont quand même réussi à la prendre ensemble, très vite elle s’est agenouillée devant lui pour reprendre et donner une nouvelle vigueur au braquemart qui pendait entre les cuisses de notre pote.
Une fois la queue de son amant bien raide, elle s’est relevée puis l’a entraîné vers la chambre.
« Merde j’ai plus de capotes » a-t-elle dit en regardant dans sa table de nuit.
« Tu en as toi ? »
« Bein non, je n’avais pas prévu de te sauter » répondit-il.
« On a plus qu’a se faire jouir avec nos bouches » dit Nathalie.
Couché l’un contre l’autre, ils s’embrassaient goulûment.
Elle le branlait doucement pendant qu’il lui caressait les fesses et le sexe.
De nouveau ils étaient très excités.
« Monte sur moi, j’ai envie de sentir ton corps contre le miens » lui dit-il.
Sa queue bien raide était maintenant collée à sa vulve, se frottant et se caressant toujours.
Elle ondulait du bassin pour mieux le sentir.
Il l’a un peu fait remonter vers lui, de sorte que sa queue n’était plus contre sa vulve mais juste à l’entrée.
Ils s’embrassaient toujours et se sont soudain arrêté.
Le regardant alors droit dans les yeux, Nathalie a légèrement écarté les cuisses, lui permettant ainsi de s’enfoncer en elle.
D’abord doucement, il l’a ensuite enfilé jusqu’à la garde dans un grand coup de rein.
Ils ont poussé en même temps un grand ahhhhhhhhh de plaisir.
Elle le sentait mieux dans son ventre, sa queue toujours aussi dur était bien chaude et douce.
Tout en continuant à baiser, ils changeaient de position, parfois même sans se décoller l’un de l’autre.
Alors que ma femme multipliait les orgasmes, c’est lui qui a demandé de la reprendre par derrière car il voulait jouir en la prenant comme une chienne, lui avait-il dit.
Une fois bien calé contre ses fesses, il l’a pistonné bien fort en la tenant par les hanches.
Il était proche de la jouissance car ses mots devenaient plus grossiers.
« Putain t’es trop bonne, j’adore te défoncer comme une chienne, t’es une bonne petite pute qui aime la queue… »
Alors qu’elle acquiesçait ses dires, étant dans la même excitation que lui, elle a senti un liquide bien chaud s’écraser par saccades au fond de son ventre.
Pendant qu’il éjaculait en elle, il grognait en vociférant tout un tas de gros mots.
Il est resté ainsi la queue empalé en elle pendant plusieurs secondes avant de s’écrouler dans le lit.
Il est resté dormir là, ce qui lui a permis de baiser encore ma femme plusieurs fois au cours de la nuit.
Le matin après avoir déjeuner et repris une douche, il a demandé à Nathalie de le sucer une dernière fois avant de partir.
Assis dans un fauteuil complètement nu, ma femme à genoux entre ses cuisses, il savourait la fellation qu’elle lui prodiguait.
Il lui tenait la tête pour lui imprimer un mouvement de vas et viens, il lui baisait la bouche et elle savourait la queue qu’elle suçait avidement.
Sentant qu’il allait jouir, elle a relevé la tête pour le regarder en gardant bien sa bite emprisonné entre ses lèvres pendant qu’il éjaculait dans sa bouche.
Elle a tout avalé, puis a passé sa langue sur ses lèvres avant de nettoyer son gland en l’aspirant et sa queue en la léchant, de toute trace de sperme.
Il est revenu plusieurs fois à la maison, quand j’étais là, il semblait un peu mal à l’aise.
Je le voyais quand même mater en douce le cul de ma femme, je pense qu’il s’imaginait bien, à ce moment-là, la queue planté en elle à la faire jouir.
Quand il passait et que j’étais absent, Nathalie l’a sucé plusieurs fois jusqu’au bout, se délectant de son foutre et ils ont passés une autre nuit ensemble en s’éclatant tout autant.
Il s’est remis en couple avec Karine et ont décidé de partir vivre dans le sud de la France.
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5 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Le mec nique la femme sans capotes et la femme est assez conne pour accepter , decidemment elle les collectionne !!!
Des incidents de parcours quel con ce mec cette femme est une pute une pute on la baise et on la jette comme un kleenex mais on ne l épouse pas et en plus elle baise sans capote bonjour les MST voir le SIDA elle est dangereuse et inconsciente c est une chiennasse elle finira dans un fossé.
Histoire banale et vulgaire comme cet auteur nous y a habitué rien à sauver dans ses récits manque d imagination et que du cul bestial.
Super histoire
des incidents de parcours, sans importances mais qui font du bien !