Une ballade avec une garce.
Récit érotique écrit par Renifleur [→ Accès à sa fiche auteur]
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Une ballade avec une garce.
Le regard de Delphine plein de défi m’exaspère plus encore, je lui jette, alors que nous sommes à quelques heures de la réception.
- Tâche d’avoir un comportement et une tenue irréprochable pendant le service.
- À t’écouter, je fais mal mon travail ?
- Ce n’est pas la question, c’est juste ne pas trop exposer ta poitrine !
- Et alors ! Elle n’est pas belle ma poitrine ? Il y a des fois où tu ne t'en es pas plein !
- Ce n’est pas le problème ! Arrête, c’est tout !
Soulevant ses seins de ses mains, provocatrice, elle me fixe du regard.
- J’aime les exhiber moi, mes nichons !
Elle me regarde ironiquement, souriant pleine de défis, les yeux se moquant ouvertement de moi. Les mains toujours en coupe sous ses seins.
- Tu mérites une fessée.
- Oui, c’est cela que tu me dis tout le temps !
- Oui ta raison !
- Allez, montre-moi ça. Enfin, si tu en es capable. Lâche-t-elle en se retourne en riant, me tendant son cul.
Submergé par une sale excitation, je l’attrape. Je m’installe sur une chaise, la couche sur mes genoux. Je soulève sa jupe. J’ai une vue imprenable sur sa culotte, sur ses bas auto-fixant. J’abats une première claque. Cinglante, elle laisse une première marque rouge. Quatre coups violents retentissent, tous plus forts les uns que les autres. Je la pousse à se relever.
- Alors, je n’en suis pas capable ?
Plantée face à moi, elle baisse sa culotte, puis me regarde fixement, me jette.
- J’en aurais bien voulu plus !
Elle laisse tomber sa culotte sur le parquet, et retrousse l’ourlet de sa jupe et se couche de nouveau sur mes genoux. J’aperçois sa chatte velue. Celle que j’aime tant voir et que j’ai souvent pu apprécier. Delphine étant une de mes fidèles. Elle est toute chaude contre moi. Je sens une érection poindre son nez au fond de mon slip. Elle est totalement offerte à ma convoitise. Elle remue un peu, son corps frottant sur le mien. Je la repousse doucement.
- Aller, soit sage fais-moi du bien !
- On pourrait nous surprendre.
Elle ne bouge pas, se contentant de remuer légèrement en moi. Elle lève la tête, me fixe.
- Allez, Alain mets-moi là !
Mais au lieu de cela, je lève la main, j’abats de toutes mes forces sur ses fesses. La relevant aussitôt, je la claque une deuxième fois, plus fort encore.
- Oui ! Encore !
Je ne suis pas étonné de sa part. C’est une folle de cul. Alors si elle en veut, elle va en prendre. Déchaîné, je m’acharne à lui rougir le cul. Je la fesse jusqu’à épuisement.
- Aller au boulot !
Sourire aux lèvres, elle se remet la culotte, accentuant ses mouvements provocante. En fixant la bosse que fait mon érection, elle sourit, sans faire de commentaire.
Après le service, comme à l’accoutumé, je la raccompagne. Une fois encore elle m’expose sa poitrine lourde qu’elle soupèse longuement.
- Tu sais Alain, encore quelques coups et je jouissais dans la salle tout à l’heure !
Elle remonte sa jupe de nouveau au-dessus de ses bas.
- Sers-toi si tu en as envie ? Fait-elle en me fixant effrontément, promène sa langue sur ses lèvres, vicieusement.
- Ta femme t’attend ?
- Qu’est-ce que cela peut te faire ?
- Je suis toujours intéressé par ta vie conjugale.
Là, elle pivote du côté de la portière, tend son cul de façon obscène, elle me suggère :
- Tu préfères peut-être ce côté. Je ne suis pas contre, tu sais ! Un petit coup avant d’aller rejoindre ta femme !
Elle remarque la bosse dans mon pantalon et nos regards vicieux se croisent.
Poussé par une envie irrésistible, je sors, pas sans mal, ma queue par la fenêtre de ma braguette et me branle lentement alors qu’à côté Delphine les joues rouges et la respiration hachée contemple le spectacle.
- Tu es contente ?
- Oui ! Tu ne peux pas savoir à quel point !
- Je devine que tu souhaites la toucher ?
Comme elle me sourit, j’arrête de me branler et pose ma main sur sa cuisse gainée avant de la glisser sous sa jupe pour aller tâter sa culotte.
- Mais tu mouilles ?
- Comme si c’était étonnant ? Oui comme une collégienne en chaleur !
- C’est ma queue qui t’a mise dans cet état ?
- Va savoir ! Peut-être la fessée !
- Prends ma queue dans ta main.
- Cela te dit quand trouve un coin tranquille ?
- Je ne dis pas non, surtout que je suis en manque en ce moment !
Je prends un chemin de traverse et stoppe la voiture près d’une ferme.
Contact coupé, j’effleure ses cuisses, ses hanches, puis mes doigts se rapprochent de son sexe, touchent sa toison rêche. Chanceux d’effleurer un vrai buisson, étonnamment fourni et doux. Ça me faisait saliver. J’enfonce l’index et le médius le plus loin possible dans sa tirelire. Je peux à peine me maîtriser. Sa chatte n’est que ruissellement enfiévré. Un trou brûlant inondé d’emballement. J’ôte très doucement mon doigt de son chaud et humide fourreau, pour le porter à ma bouche. Je retrouve les délicats parfums et cette saveur douce et légèrement acide qui me soûle l’esprit.
Alors j’y vais carrément, les doigts tendus, pour lui mettre bien à fond. Je lui masse l’intérieur du vagin, puis je remonte sur les bords de sa vulve. Je m’englue dans cette chatte onctueuse. J’y vais comme un malade, je la branle vicieusement.
Elle gémit.
L’odeur de son cul envahit l’habitacle. Et tandis que mes doigts branle rythmiquement son con moelleux, de l’autre main je lui titille le clito qui peu à peu fleurit. Je le vois se gonfler comme une minuscule bite, devenir rouge.
Maintenant, elle râle, éructe. Je vois ses paupières qui tremblotent, ses mains crispées.
Je tire sa culotte vers le bas. Elle se soulève légèrement pour m’aider. Après l’avoir retiré, je repousse doucement, la l’ourlet de sa jupe sur le ventre. Dévoilant une fois encore ses jambes et le triangle centré de la toison intime que fend la coupure rose du sexe. Quand ma bouche se pose sur son intimité, elle a un léger sursaut. Une langue veloutée remonte au ralenti entre ses lèvres de son sexe et atteint le point sensible. Elle se raidit et laisse échapper un petit gémissement. L’extrémité de ma langue se met à œuvrer avec habileté sur le clitoris. Avec un râle, elle écarte davantage les jambes. Ma langue continuant son jeu subtil tandis que mes doigts entraient et sortaient d’elle de plus en plus vite. L’entaille s’ouvre, libérant une violente odeur poissonneuse. Du jus chaud me colle dans la gorge, j’avale.
- Prends-moi Alain, maintenant, je veux ta queue ! Tu sais bien comme j’aime ta queue.
Pour cela, je la fais sortir de la voiture. Je l’assois sur le capot de ma BX. Elle croise les jambes autour de ma taille. Un bras autour de mon cou, un autre entre mes cuisses pour caresser mon membre. Elle fait bouger ses lèvres intimes sur mon gland. Laissant envahir sa bouche par ma langue, elle se caresse avec ma queue, elle râle. D’un coup de reins, je fais disparaître ma queue dans son antre. Elle renverse sa tête en arrière en gémissant bouche grande ouverte. Je regardais son bas-ventre aller et venir le long de ma queue écartelant ses chairs intimes.
J’écarte tout ce qui me gêne pour atteindre sa poitrine. Tout en lui suçant goulûment les tétons, je lime sa fente. Et tandis que je la pistonne avec force, j’entends une voix de femme dans mon dos.
- Eh bien, vous deux, il ne faut pas vous gêner ! Vous pourriez quand même faire vos cochonneries ailleurs. C’est une propriété privée ici !
- C’est que c’était imprévu !
- Oui, mais quand même !
Cheveux méchés tombant sur ses épaules, bien coiffés. Son teint est clair, ses yeux bleus sous une frange épaisse. Son visage est rond et rose. Elle porte une robe portefeuille sur des jambes gainées de nylon noir. Malgré sa forte corpulence, elle est bien faite.
- Je suis des plus accablés, Madame !
- Oui, je vous crois. Vous m’avez l’air très sincère.
Alors que je m’apprête à remettre de l’ordre dans ma tenue, la voilà qu’elle laisse tomber :
- Je vous invite à venir chez moi. Vous serez plus tranquilles, plus à l’aise aussi.
- C’est gentil de votre part, mais je ne sais pas…
- Je vis seule. Je vous attends !
Je regarde Delphine qui me fait signe d’accepter. Déjà, la femme file jusqu’à la fermette. Je verrouille la voiture, et accompagné de Delphine nous lui emboîtons le pas. Une fois chez elle, la dame nous indique une porte dans le couloir.
- Chambre d’ami ! Lance-t-elle.
Alors que nous nous avançons, elle laisse tomber :
- Cela vous ennui que j’assiste à vos ébats ?
- Pourquoi pas. Fait Delphine, je ne suis pas contre.
- Mais... J’ajoute, ce serait encore mieux si tu te mettais à poils comme nous.
- S'il n’y a que ça pour te satisfaire mon beau, je ne dis pas non !
Apparemment, elle n’attendait que ça.
Je mets Delphine à quatre pattes et la prends en levrette. Ne perdant pas une miette du spectacle, la femme, s’approche assez prête pour guider ma queue dans l’orifice vaginal de Delphine. Dans cette position, ma verge pénètre à fond. Passant sa main, la femme me caresse les couilles du bout des doigts. Je sais que Delphine désire que je me conduise de façon bestiale. Je fais claquer mon ventre contre ses fesses charnues. Cela produit le même bruit flasque que lorsque je lui flanquais la fessée avant la réception. Ne pouvant plus me retenir, je sors ma verge du fourreau pour arroser le trou du cul d’épaisses giclées. La femme étale ma jouissance sur les fessiers de Delphine. Elle en profite pour lui lubrifier l’anus en profondeur. Je suis trop excité pour débander. Delphine me branle. La queue commence à se raidit à nouveau. Élargissant le trou du cul de Delphine entre deux doigts, la femme guide mon gland vers le cratère. Je force jusqu’à ce que la grosseur de mon gland se fraye un passage dans l’étroit conduit. Le reste suit comme dans du beurre. Delphine pousse des cris. Son sphincter étrangle la base du gland en quelques va-et-vient, je jute au fond des intestins.
- Je pense que tu as besoin d’un toilettage ?
Sans m’en rendre compte, elle ne se prie pas et commence à me sucer délicatement, léchant le gland de sa langue, puis ouvrant juste la bouche en continuant à me branler.
Je suis aux anges de voir, la voir ainsi, entamer une pipe d’excellente facture, sous l’œil amusé de Delphine. Je lui fais signe de s’approcher. Je profite du contact humide pour peloter ses gros seins. Je sens ses tétons durs sous mes paumes. Cette dernière va rejoindre la femme et quémande le partage de ma queue. En parfaite prêteuse, la femme lui laisse ma verge et Delphine l’avale immédiatement, suçant, aspirant comme une affamée.
Mes deux partenaires, à genoux, alternent leurs bouches, leurs lèvres, leurs langues sur ma queue et mes couilles. Quel délice !
Qu’elles m’excitent ces cochonnes, à me sucer ainsi goulûment, salivant sur mon sexe. La femme sous les indications de Delphine s’allonge en bout de lit, les cuisses écartées m’exhibant sa chatte, à l’état sauvage, qu’elle flatte de ses doigts. Je pose ma bouche sur cette source aromatisée de son plaisir et la lèche avec avidité. Je fouille ses délicates chairs de ma langue, suçant avec délice son bouton sensible, la doigtant de mon index fureteur. Je l’entends gémir de plaisir tout en se caressant les seins dont elle pince les mamelons érigés.
Assise sur la moquette, Delphine continue de me sucer avec amour, caressant mes testicules d’une main tout en aspirant ma verge comme elle s’est si bien le faire. J’adore sentir ses lèvres pulpeuses téter ma queue.
De son côté, la femme se pelote ses petits seins en gémissant sous ma langue gourmande qui excite son clitoris érigé puis disparaît dans sa chatte offerte et ruisselante, lapant son plaisir.
Delphine stoppe sa fellation pour laisser tomber quelques mots à l’oreille de la sucer. L’instant d’après, cette dernière s’allonge alors sur le lit. Les deux femmes bouleversent le plaisir. Delphine pose sa chatte brune odorante, luisante d’excitation sur ma bouche et la femme prend place sur ma queue ferme. Quel pied les lecteurs ! Je vous invite à en faire de même.
La femme se trémousse sur ma queue tout en se touchant le clitoris. Elle ne tarde pas à exploser de jouissance alors que de mon côté, je me retiens d’exploser dans la chatte dévoreuse de la femme dont les muscles internes me traient divinement la bite.
J’invite la femme à prendre la place allongée sur le lit.
- Tu comptes là me la mettre dans le cul !
- Je ne dis pas non !
- Je suis certaine que tu fais ça très bien ! Je me donne entièrement à toi, mais pour mon derrière, je… Enfin… Tu le sais… Je n’ai jamais été… Pénétrée par-là, alors, si tu peux, essaie de ne pas me faire trop mal et si tu as un préservatif, j’aimerais autant…
-Pas besoin de préservatif. Je pense que vous avez une bonne salle de bains ?
Cela la fait rire. J’empoigne les fesses à pleines mains, je les écarte. L’anus apparaît entre les poils imprégnés de sueur et de mouille. Je m’agenouille pour le renifler. Son anus se déplisse. J’enfouis mon visage entre les fesses et je respire. L’odeur intime m’enivre. Je lui prends les fesses à deux mains et les écarte. Je passe ma langue dans le sillon et insiste sur le petit anus marron. Je vois l’orifice palpiter et s’entrouvrir, j’y ponte la langue et la fais entrer et sortir, léchant les bords.
Avec ma queue, je parcours ses fesses en laissant au passage un léger filet de sperme puis, avec mes deux mains, je force ma bite dans la bonne direction, celle de son cul. Il est tellement lubrifié que je n’ai pas eu trop de mal à engouffrer ma friandise. Après un temps d’immobilité, je vais et viens dans son cul.
- Vas-y, vas-y ! M'encourage-t-elle ? Bourre-moi le cul de salope… AAAhhh ! Qu’est-ce qu’elle est dure et grosse ! Oui… Oui, continue, je la sens bien que c’est bon, OOOoooh oui….
Il m’est difficile de ne pas m’exécuter. Delphine est spectatrice, en train s’asticoter la chatte. Du coup, je ne peux plus tenir. J’essaye bien de me retenir le plus longtemps possible. C’est alors que je vois la même Delphine grimacée, elle vient de prendre son pied. C’en est trop. Je suis pris d’un sauvage élan et lâche mon sperme, par grosses giclées dans les profondeurs de son cul. Tout est inondé jusqu’aux intestins et le surplus ressort sous pression de la femme, littéralement tétanisée.
Elle est aux anges. Comme l’est aussi Delphine. Je vous laisse deviner le mien !
- Tâche d’avoir un comportement et une tenue irréprochable pendant le service.
- À t’écouter, je fais mal mon travail ?
- Ce n’est pas la question, c’est juste ne pas trop exposer ta poitrine !
- Et alors ! Elle n’est pas belle ma poitrine ? Il y a des fois où tu ne t'en es pas plein !
- Ce n’est pas le problème ! Arrête, c’est tout !
Soulevant ses seins de ses mains, provocatrice, elle me fixe du regard.
- J’aime les exhiber moi, mes nichons !
Elle me regarde ironiquement, souriant pleine de défis, les yeux se moquant ouvertement de moi. Les mains toujours en coupe sous ses seins.
- Tu mérites une fessée.
- Oui, c’est cela que tu me dis tout le temps !
- Oui ta raison !
- Allez, montre-moi ça. Enfin, si tu en es capable. Lâche-t-elle en se retourne en riant, me tendant son cul.
Submergé par une sale excitation, je l’attrape. Je m’installe sur une chaise, la couche sur mes genoux. Je soulève sa jupe. J’ai une vue imprenable sur sa culotte, sur ses bas auto-fixant. J’abats une première claque. Cinglante, elle laisse une première marque rouge. Quatre coups violents retentissent, tous plus forts les uns que les autres. Je la pousse à se relever.
- Alors, je n’en suis pas capable ?
Plantée face à moi, elle baisse sa culotte, puis me regarde fixement, me jette.
- J’en aurais bien voulu plus !
Elle laisse tomber sa culotte sur le parquet, et retrousse l’ourlet de sa jupe et se couche de nouveau sur mes genoux. J’aperçois sa chatte velue. Celle que j’aime tant voir et que j’ai souvent pu apprécier. Delphine étant une de mes fidèles. Elle est toute chaude contre moi. Je sens une érection poindre son nez au fond de mon slip. Elle est totalement offerte à ma convoitise. Elle remue un peu, son corps frottant sur le mien. Je la repousse doucement.
- Aller, soit sage fais-moi du bien !
- On pourrait nous surprendre.
Elle ne bouge pas, se contentant de remuer légèrement en moi. Elle lève la tête, me fixe.
- Allez, Alain mets-moi là !
Mais au lieu de cela, je lève la main, j’abats de toutes mes forces sur ses fesses. La relevant aussitôt, je la claque une deuxième fois, plus fort encore.
- Oui ! Encore !
Je ne suis pas étonné de sa part. C’est une folle de cul. Alors si elle en veut, elle va en prendre. Déchaîné, je m’acharne à lui rougir le cul. Je la fesse jusqu’à épuisement.
- Aller au boulot !
Sourire aux lèvres, elle se remet la culotte, accentuant ses mouvements provocante. En fixant la bosse que fait mon érection, elle sourit, sans faire de commentaire.
Après le service, comme à l’accoutumé, je la raccompagne. Une fois encore elle m’expose sa poitrine lourde qu’elle soupèse longuement.
- Tu sais Alain, encore quelques coups et je jouissais dans la salle tout à l’heure !
Elle remonte sa jupe de nouveau au-dessus de ses bas.
- Sers-toi si tu en as envie ? Fait-elle en me fixant effrontément, promène sa langue sur ses lèvres, vicieusement.
- Ta femme t’attend ?
- Qu’est-ce que cela peut te faire ?
- Je suis toujours intéressé par ta vie conjugale.
Là, elle pivote du côté de la portière, tend son cul de façon obscène, elle me suggère :
- Tu préfères peut-être ce côté. Je ne suis pas contre, tu sais ! Un petit coup avant d’aller rejoindre ta femme !
Elle remarque la bosse dans mon pantalon et nos regards vicieux se croisent.
Poussé par une envie irrésistible, je sors, pas sans mal, ma queue par la fenêtre de ma braguette et me branle lentement alors qu’à côté Delphine les joues rouges et la respiration hachée contemple le spectacle.
- Tu es contente ?
- Oui ! Tu ne peux pas savoir à quel point !
- Je devine que tu souhaites la toucher ?
Comme elle me sourit, j’arrête de me branler et pose ma main sur sa cuisse gainée avant de la glisser sous sa jupe pour aller tâter sa culotte.
- Mais tu mouilles ?
- Comme si c’était étonnant ? Oui comme une collégienne en chaleur !
- C’est ma queue qui t’a mise dans cet état ?
- Va savoir ! Peut-être la fessée !
- Prends ma queue dans ta main.
- Cela te dit quand trouve un coin tranquille ?
- Je ne dis pas non, surtout que je suis en manque en ce moment !
Je prends un chemin de traverse et stoppe la voiture près d’une ferme.
Contact coupé, j’effleure ses cuisses, ses hanches, puis mes doigts se rapprochent de son sexe, touchent sa toison rêche. Chanceux d’effleurer un vrai buisson, étonnamment fourni et doux. Ça me faisait saliver. J’enfonce l’index et le médius le plus loin possible dans sa tirelire. Je peux à peine me maîtriser. Sa chatte n’est que ruissellement enfiévré. Un trou brûlant inondé d’emballement. J’ôte très doucement mon doigt de son chaud et humide fourreau, pour le porter à ma bouche. Je retrouve les délicats parfums et cette saveur douce et légèrement acide qui me soûle l’esprit.
Alors j’y vais carrément, les doigts tendus, pour lui mettre bien à fond. Je lui masse l’intérieur du vagin, puis je remonte sur les bords de sa vulve. Je m’englue dans cette chatte onctueuse. J’y vais comme un malade, je la branle vicieusement.
Elle gémit.
L’odeur de son cul envahit l’habitacle. Et tandis que mes doigts branle rythmiquement son con moelleux, de l’autre main je lui titille le clito qui peu à peu fleurit. Je le vois se gonfler comme une minuscule bite, devenir rouge.
Maintenant, elle râle, éructe. Je vois ses paupières qui tremblotent, ses mains crispées.
Je tire sa culotte vers le bas. Elle se soulève légèrement pour m’aider. Après l’avoir retiré, je repousse doucement, la l’ourlet de sa jupe sur le ventre. Dévoilant une fois encore ses jambes et le triangle centré de la toison intime que fend la coupure rose du sexe. Quand ma bouche se pose sur son intimité, elle a un léger sursaut. Une langue veloutée remonte au ralenti entre ses lèvres de son sexe et atteint le point sensible. Elle se raidit et laisse échapper un petit gémissement. L’extrémité de ma langue se met à œuvrer avec habileté sur le clitoris. Avec un râle, elle écarte davantage les jambes. Ma langue continuant son jeu subtil tandis que mes doigts entraient et sortaient d’elle de plus en plus vite. L’entaille s’ouvre, libérant une violente odeur poissonneuse. Du jus chaud me colle dans la gorge, j’avale.
- Prends-moi Alain, maintenant, je veux ta queue ! Tu sais bien comme j’aime ta queue.
Pour cela, je la fais sortir de la voiture. Je l’assois sur le capot de ma BX. Elle croise les jambes autour de ma taille. Un bras autour de mon cou, un autre entre mes cuisses pour caresser mon membre. Elle fait bouger ses lèvres intimes sur mon gland. Laissant envahir sa bouche par ma langue, elle se caresse avec ma queue, elle râle. D’un coup de reins, je fais disparaître ma queue dans son antre. Elle renverse sa tête en arrière en gémissant bouche grande ouverte. Je regardais son bas-ventre aller et venir le long de ma queue écartelant ses chairs intimes.
J’écarte tout ce qui me gêne pour atteindre sa poitrine. Tout en lui suçant goulûment les tétons, je lime sa fente. Et tandis que je la pistonne avec force, j’entends une voix de femme dans mon dos.
- Eh bien, vous deux, il ne faut pas vous gêner ! Vous pourriez quand même faire vos cochonneries ailleurs. C’est une propriété privée ici !
- C’est que c’était imprévu !
- Oui, mais quand même !
Cheveux méchés tombant sur ses épaules, bien coiffés. Son teint est clair, ses yeux bleus sous une frange épaisse. Son visage est rond et rose. Elle porte une robe portefeuille sur des jambes gainées de nylon noir. Malgré sa forte corpulence, elle est bien faite.
- Je suis des plus accablés, Madame !
- Oui, je vous crois. Vous m’avez l’air très sincère.
Alors que je m’apprête à remettre de l’ordre dans ma tenue, la voilà qu’elle laisse tomber :
- Je vous invite à venir chez moi. Vous serez plus tranquilles, plus à l’aise aussi.
- C’est gentil de votre part, mais je ne sais pas…
- Je vis seule. Je vous attends !
Je regarde Delphine qui me fait signe d’accepter. Déjà, la femme file jusqu’à la fermette. Je verrouille la voiture, et accompagné de Delphine nous lui emboîtons le pas. Une fois chez elle, la dame nous indique une porte dans le couloir.
- Chambre d’ami ! Lance-t-elle.
Alors que nous nous avançons, elle laisse tomber :
- Cela vous ennui que j’assiste à vos ébats ?
- Pourquoi pas. Fait Delphine, je ne suis pas contre.
- Mais... J’ajoute, ce serait encore mieux si tu te mettais à poils comme nous.
- S'il n’y a que ça pour te satisfaire mon beau, je ne dis pas non !
Apparemment, elle n’attendait que ça.
Je mets Delphine à quatre pattes et la prends en levrette. Ne perdant pas une miette du spectacle, la femme, s’approche assez prête pour guider ma queue dans l’orifice vaginal de Delphine. Dans cette position, ma verge pénètre à fond. Passant sa main, la femme me caresse les couilles du bout des doigts. Je sais que Delphine désire que je me conduise de façon bestiale. Je fais claquer mon ventre contre ses fesses charnues. Cela produit le même bruit flasque que lorsque je lui flanquais la fessée avant la réception. Ne pouvant plus me retenir, je sors ma verge du fourreau pour arroser le trou du cul d’épaisses giclées. La femme étale ma jouissance sur les fessiers de Delphine. Elle en profite pour lui lubrifier l’anus en profondeur. Je suis trop excité pour débander. Delphine me branle. La queue commence à se raidit à nouveau. Élargissant le trou du cul de Delphine entre deux doigts, la femme guide mon gland vers le cratère. Je force jusqu’à ce que la grosseur de mon gland se fraye un passage dans l’étroit conduit. Le reste suit comme dans du beurre. Delphine pousse des cris. Son sphincter étrangle la base du gland en quelques va-et-vient, je jute au fond des intestins.
- Je pense que tu as besoin d’un toilettage ?
Sans m’en rendre compte, elle ne se prie pas et commence à me sucer délicatement, léchant le gland de sa langue, puis ouvrant juste la bouche en continuant à me branler.
Je suis aux anges de voir, la voir ainsi, entamer une pipe d’excellente facture, sous l’œil amusé de Delphine. Je lui fais signe de s’approcher. Je profite du contact humide pour peloter ses gros seins. Je sens ses tétons durs sous mes paumes. Cette dernière va rejoindre la femme et quémande le partage de ma queue. En parfaite prêteuse, la femme lui laisse ma verge et Delphine l’avale immédiatement, suçant, aspirant comme une affamée.
Mes deux partenaires, à genoux, alternent leurs bouches, leurs lèvres, leurs langues sur ma queue et mes couilles. Quel délice !
Qu’elles m’excitent ces cochonnes, à me sucer ainsi goulûment, salivant sur mon sexe. La femme sous les indications de Delphine s’allonge en bout de lit, les cuisses écartées m’exhibant sa chatte, à l’état sauvage, qu’elle flatte de ses doigts. Je pose ma bouche sur cette source aromatisée de son plaisir et la lèche avec avidité. Je fouille ses délicates chairs de ma langue, suçant avec délice son bouton sensible, la doigtant de mon index fureteur. Je l’entends gémir de plaisir tout en se caressant les seins dont elle pince les mamelons érigés.
Assise sur la moquette, Delphine continue de me sucer avec amour, caressant mes testicules d’une main tout en aspirant ma verge comme elle s’est si bien le faire. J’adore sentir ses lèvres pulpeuses téter ma queue.
De son côté, la femme se pelote ses petits seins en gémissant sous ma langue gourmande qui excite son clitoris érigé puis disparaît dans sa chatte offerte et ruisselante, lapant son plaisir.
Delphine stoppe sa fellation pour laisser tomber quelques mots à l’oreille de la sucer. L’instant d’après, cette dernière s’allonge alors sur le lit. Les deux femmes bouleversent le plaisir. Delphine pose sa chatte brune odorante, luisante d’excitation sur ma bouche et la femme prend place sur ma queue ferme. Quel pied les lecteurs ! Je vous invite à en faire de même.
La femme se trémousse sur ma queue tout en se touchant le clitoris. Elle ne tarde pas à exploser de jouissance alors que de mon côté, je me retiens d’exploser dans la chatte dévoreuse de la femme dont les muscles internes me traient divinement la bite.
J’invite la femme à prendre la place allongée sur le lit.
- Tu comptes là me la mettre dans le cul !
- Je ne dis pas non !
- Je suis certaine que tu fais ça très bien ! Je me donne entièrement à toi, mais pour mon derrière, je… Enfin… Tu le sais… Je n’ai jamais été… Pénétrée par-là, alors, si tu peux, essaie de ne pas me faire trop mal et si tu as un préservatif, j’aimerais autant…
-Pas besoin de préservatif. Je pense que vous avez une bonne salle de bains ?
Cela la fait rire. J’empoigne les fesses à pleines mains, je les écarte. L’anus apparaît entre les poils imprégnés de sueur et de mouille. Je m’agenouille pour le renifler. Son anus se déplisse. J’enfouis mon visage entre les fesses et je respire. L’odeur intime m’enivre. Je lui prends les fesses à deux mains et les écarte. Je passe ma langue dans le sillon et insiste sur le petit anus marron. Je vois l’orifice palpiter et s’entrouvrir, j’y ponte la langue et la fais entrer et sortir, léchant les bords.
Avec ma queue, je parcours ses fesses en laissant au passage un léger filet de sperme puis, avec mes deux mains, je force ma bite dans la bonne direction, celle de son cul. Il est tellement lubrifié que je n’ai pas eu trop de mal à engouffrer ma friandise. Après un temps d’immobilité, je vais et viens dans son cul.
- Vas-y, vas-y ! M'encourage-t-elle ? Bourre-moi le cul de salope… AAAhhh ! Qu’est-ce qu’elle est dure et grosse ! Oui… Oui, continue, je la sens bien que c’est bon, OOOoooh oui….
Il m’est difficile de ne pas m’exécuter. Delphine est spectatrice, en train s’asticoter la chatte. Du coup, je ne peux plus tenir. J’essaye bien de me retenir le plus longtemps possible. C’est alors que je vois la même Delphine grimacée, elle vient de prendre son pied. C’en est trop. Je suis pris d’un sauvage élan et lâche mon sperme, par grosses giclées dans les profondeurs de son cul. Tout est inondé jusqu’aux intestins et le surplus ressort sous pression de la femme, littéralement tétanisée.
Elle est aux anges. Comme l’est aussi Delphine. Je vous laisse deviner le mien !
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