Une commission parlementaire très spéciale

- Par l'auteur HDS Micky -
Récit érotique écrit par Micky [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Récit libertin : Une commission parlementaire très spéciale Histoire érotique Publiée sur HDS le 07-07-2025 dans la catégorie Plus on est
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Une commission parlementaire très spéciale
Catherine et Nathalie s'étaient connues au lycée puis avaient "fait Science Po" ensemble avant de poursuivre dans la voie politique mais dans des écuries différentes. Avec succès puisque la première avait réussi à se faire élire députée et la seconde sénatrice. Elles étaient néanmoins restées amies et se voyaient régulièrement pour parler non politique mais de leur vie personnelle. Divorcées toutes les deux à la quarantaine, elles avaient payé le prix classique des engagements lourds au détriment de leur vie familiale et de couple. Catherine, à l'ample chevelure brune tombant sur ses épaules et aux hanches très marquées, avait la même taille que Nathalie mais celle-ci était blonde coiffée au carré, moins charpentée que son amie mais plus pulpeuse. Toutes les deux prenaient soin de leur mise et de leur physique, partant du principe que la séduction est une base du mandat électoral, sans pour autant tomber dans l'ostentatoire. Un équilibre subtil qu'elle rompait carrément dans le privé par des tenues affriolantes mettant en valeur leur sexualité.

Car Catherine et Nathalie avait un point commun : elles aimaient le sexe. Dès leurs années étudiantes, elles avaient beaucoup "couché", parfois même partouzé, au point qu'elles passaient l'une et l'autre pour de véritables salopes, ce qui était méconnaitre leur goût naturel et légitime pour le corps de l'homme, en particulier en-dessous de la ceinture, devant comme derrière. Cette liberté de moeurs les avaient aidé en début de carrière lorsqu'elles étaient passées par le sas de l'assistanat parlementaire, l'une à l'Assemblée, l'autre au Sénat. Au prix de quelques pipes ciblées et de quelques baises utiles, elles s'étaient rapidement imposées auprès de leurs élus respectifs, souvent d'âge canonique. Catherine avait même été mariée un temps avec un secrétaire d'Etat et Nathalie avec un cacique du Sénat jusqu'à ce que l'un et l'autre en aient eu assez de porter des cornes. Mais les deux amies avaient eu le temps de se faire élire et c'est à ce stade que le récit commence.

Bien que plus exactement des jeunes femmes, Catherine et Nathalie étaient loin d'être rangées des voitures et résignées à l'abstinence sexuelle. Bien au contraire, lors de leurs rencontres, elles s'échangeaient des "bons plans Q". Le jeune assistant parlementaire fringant et bien monté, le journaliste ambitieux et beau gosse gourmand en infos et l'homme de parti influent avaient leur préférence plutôt que l'agent de sécurité malgré son physique, soupçonné de travailler pour la concurrence. Une fois la cible trouvée, l'une ou l'autre se lançaient à l'assaut comme si était écrit sur leur front "je baise". A dire vrai, les hommes avertis savaient à quoi s'en tenir, la réputation de Catherine et Nathalie étant bien affirmée pour qui savait écouter aux portes. Elles étaient même renommées pour être des "coups en or" sans le moindre tabou, l'essentiel étant cependant "d'assurer" pour ne pas se retrouver nanti d'une fâcheuse image de mâle mou de la queue. Mais l'élément politique féminin étant loin d'être aussi attrayant, dans l'ensemble, que cette brune et cette blonde à la rayonnante maturité, elles ne manquaient pas de chevaliers servants, étant cependant rétives à la liaison durable. Elles avaient donné, disaient-elles. Elles baisaient, point barre. Et si d'autres dans leur parti baisaient aussi, telle l'expérimentée Fabienne, sexy sexa, chez les sénatrices, ou la pulpeuse Marie, autre blonde quadra, chez les députées, ce n'était pas pour déranger notre duo. Quand il y en a pour deux, il y en a pour quatre... au moins.

Le hasard fit qu'elles furent désignées l'une et l'autre pour faire partie d'une commission parlementaire destinée à étudier l'éducation sportive dans un pays scandinave dont on taira le nom. Elles se réjouirent de ce voyage, certes parce qu'elles étaient ensemble, certes parce que le sujet les intéressait, mais surtout par qu'il ouvrait des perspectives de baise avec des grands blonds costauds.

- Cela fait un mois que je n'ai pas baisé et ça me travaille le cuir, reconnut la brune Catherine.

- Moi aussi, à peu près, cause règles que j'ai encore à 48 balais, nota Nathalie, car j'ai horreur de baiser quand j'ai mes périodes.

- Tu n'as qu'à laisser entrer par la porte de derrière, plaisanta son amie. En tout cas, moi, c'est ce que je fais.

- Tu es une gosse salope, tout le monde le sait, répliqua la blonde dans un éclat de rire.

Vint le moment du voyage. De fait, dès les premières visites d'établissements sportifs divers et variés, elles rencontrèrent d'imposants gaillards aux muscles saillants qui les incitèrent au jeu de la séduction, où elles n'étaient pas maladroites. La réputation des femmes françaises à la cuisse légère n'était pas usurpée les concernant, si bien qu'elles furent invitées à partager un dîner avec un Bjorn et un Mikael manifestement libres d'attaches, âgés d'une trentaine d'année, pas dissuadés par le fait que les deux femmes frisaient la cinquantaine. Les deux gars n'étaient pas spécialement beaux, du genre Viking avec barbe et cheveux longs, mais costauds et à la virilité ostentatoire. Catherine et Nathalie les jugèrent tout à fait consommables.

Seins hauts, croupe frémissante, oeil pétillant, tout en elles évoquait la possibilité et même l'envie de passer à la casserole une fois avalé le hareng à l'huile. Elles acceptèrent de passer par l'inévitable night club alors qu'elles seraient bien allées au lit tout de suite et furent un peu inquiètes de voir les deux gars picoler dur. C'était sans doute pour se donner du courage mais ils tenaient bien la bière et elles se laissèrent embrasser entre deux danses avant que l'une et l'autre leur glissent à l'oreille : "I do want to go to bed with you". En aparté, la blonde avait glissé à l'oreille de la brune :

- J'ai une de ces envies de me faire rentrer dedans... Tu prends lequel ?

- Je m'en fous pourvu que je baise. J'espère qu'ils seront à la hauteur. J'ai la culotte trempée.

Par mesure d'économie, la commission parlementaire leur avait attribué une chambre double. Aussi entrainèrent-elles Bjorn et Mikael vers un scénario à quatre qu'ils n'avaient pas prévu. Ce n'était pas pour déranger Catherine et Nathalie qui s'étaient souvent retrouvées dans le même lit à partager leurs amants mais il fallut désinhiber les deux Scandinaves et tout le savoir-faire des deux Françaises ne fut pas inutile. Prestement déculottés et embouchés, les deux blonds manifestèrent heureusement sous la langue agile un volume prometteur qui s'accentua encore quand la députée et la sénatrice se mirent complètement à poil sur leur lit respectif, ouvertes et accueillantes, pointes de seins dressées, ventre palpitant, laissant aux deux hommes le choix de leur cible. Même les filles de leur pays n'étaient pas aussi promptes à s'allonger que ces deux Françaises aussi élégantes habillées que sulfureuses à poil.

Dûment capotés, ils entreprirent de remplir leur devoir de mâle, encouragés de la voix et du geste par les deux affamées. Catherine et Nathalie savaient d'expérience que dans un plan à quatre, les deux hommes se retrouvent implicitement en compétition, s'agissant pour eux de durer plus longtemps que le copain, de faire couiner plus fort sa partenaire, d'être un meilleur baiseur, ce qui fait toujours le bonheur des dames concernées. Quant, au fil des ébats, ils se firent lécher le trou du cul et masser la prostate d'un doigt fureteur, ils comprirent qu'ils avaient affaire à deux dévoreuses qui exigeraient de leur part un engagement physique digne d'une compétition sportive. C'était précisément deux handballeurs au bras meurtrier mais c'était cette fois leur queue qui s'exprimait.

Vu le gabarit des deux hommes et l'ardeur des deux femmes, les lits jumeaux reçurent un test de solidité que la firme Ikea aurait pu mettre en avant si les publicitaires avaient osé. Catherine et Nathalie cavalaient en parallèle sur les deux gisants en érection majuscule, commentant leurs sensations respectives en français avant de basculer sur le dos et de se faire défoncer en criant "more more" (encore encore) et "fuck fuck" (baise baise) à l'endroit des deux Scandinaves survoltés par un tel enthousiasme sexuel. Prises face à face en levrette, Catherine et Nathalie reçurent leur souffle chaud dans les narines tout en roulant des hanches, se jetant à la face des exclamations de plaisir. Puis la brune lâcha "il m'encule !" et la blonde, se retournant, s'adressa à son barbu en lui disant "fuck my ass" histoire de ne pas être en reste de son amie. On voit par là que les deux Scandinaves n'avaient rien pour démentir la réputation de "salopes" des Françaises, quand bien même celles-ci auraient dépassé depuis longtemps l'âge des premiers émois.

Ils éjaculèrent quasi ensemble dans le fondement des deux élues de la Nation, qui filèrent ensemble aux toilettes et à la douche en gloussant tandis que les dénommés Bjorn et Mikaël, la queue flappie dans leur capote remplie, récupéraient de la rude séance qui valait largement un entrainement de handball. Ils préférèrent s'échapper ensuite pour ne pas hypothéquer leur rendement lors des prochains matches car ils se doutaient que les deux coquines n'en resteraient pas là. Et de fait, elles auraient bien remis le couvert après la douche. Mais l'essentiel était réalisé et avant de s'endormir dans leur lit dévasté, elles se dirent : "on a baisé et même bien baisé, c'est l'essentiel".

Qui aurait cru, en les voyant face à la presse rendre compte de leur étude scandinave, bien habillées, bien coiffées, lunettes sur le nez, qu'elles s'étaient fait sodomiser avec allégresse sur deux lits jumeaux par deux Vikings nantis de deux gourdins ? Personne, évidemment. Sauf peut-être la responsable de la commission, la sénatrice sexagénaire à chignon prénommée Fabienne, qui avait eu vent de la chose par des voies détournées et qui s'empressa plus tard de vérifier les rumeurs scandinaves.

- Vous vous rendez compte du scandale si ça se savait ? interrogea-t-elle les deux parlementaires.

- Tttt. Si tu avais été à notre place, tu serais aussi passée à la casserole, et le cul léger, répliqua Nathalie.

- Oui, et tu te serais même tapée les deux en même temps, comme on te connait, abonda Catherine.

La sénatrice sexagénaire ne répondit pas. Elle aussi avait connu des commissions à l'étranger tumultueuses dans sa longue carrière et ça se savait. Et en définitive, elle regrettait de ne pas avoir été du voyage avec ses deux collègues. Après tout, s'il y en avait eu pour deux, il y en aurait eu pour trois...

Les avis des lecteurs

Merci à Olga, à Didier et au lecteur anonyme pour ces compliments qui me vont droit à la plume !

Excellent texte, chère Micky! Voilà un effet inattendu de la parité: l'égalité devant le droit au plaisir, y compris pour les élues!

Histoire Erotique
Micky,
C'est encore une histoire magnifique sur la libre sexualité et la quête du plaisir, au féminin.
Très bien écrit ni vulgaire comme à l'accoutumée, du sexe pour du sexe, mais quelle imagination vous avez, pour nous fournir des textes aussi délicieux.
On ne peut que dire: ENCORE...
Didier

Histoire Erotique
Une histoire très originale, un style parfaitement fluide et de haut niveau, sans " pute, salope ou chienne...
Deux femmes exceptionnelles, au fort caractère, décrites dans leur intimité et leurs pratiques sexuelles sans aucun tabou !..

Encore un must de Micky, ton écriture, ton originalité atteignent la perfection !
Merci et bravo !..



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