Une expérience candauliste

- Par l'auteur HDS Micky -
Récit érotique écrit par Micky [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Récit libertin : Une expérience candauliste Histoire érotique Publiée sur HDS le 14-05-2025 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Une expérience candauliste
Je m'appelle Sandrine, j'ai 45 ans, mariée, deux enfants, cheveux gris coupés courts, des rondeurs d'âge qui parait-il font mon charme mais là n'est pas mon sujet. Je me souviens du moment où j'ai découvert le sexe dans toute sa crudité alors que j'étais encore adolescente et empreinte de romantisme. Donc encore vierge. J'étais partie en vacances chez mon oncle et ma tante qui avaient une maison au bord de la mer. J'étais censée réviser mon bac pour la session de rattrapage en septembre car je m'étais loupée avant. Ma tante Magali m'aidait à réviser pendant que mon oncle Gérard bricolait dans son garage.
Ce jour là, j'étais partie me baigner seule, en principe pour l'après-midi comme cela arrivait souvent. Mais il faisait tellement chaud que j'avais voulu rentrer plus tôt. En arrivant à la maison, j'avais entendu des cris de femme. A la fois stridents et modulés. Que se passait-il ? On agressait ma tante ? Prise d'un moment de panique, je voulus alerter les voisins mais ils étaient absents. Je finis par entrer dans la cuisine, m'armais d'un couteau et progressais dans le couloir en direction des cris dont le caractère m'intriguait de plus en plus. Cela ressemblait à des cris de douleur. Gérard battait-il Magali ?

La porte de la chambre était à demi ouverte. Ce que je vis d'abord, sur le lit, était une paire de fesses d'homme. Des fesses poilues, mouvantes, celles de Gérard. Ce fut ensuite des pieds de femme, dirigés vers le plafond, maintenus par des mains aux ongles carmins au niveau des mollets. Ce fut enfin le visage de ma tante, presque méconnaissable avec un rictus qui lui tordait la bouche, laquelle émettait justement les cris que j'avais entendus du jardin : "hou ! hou ! ah ! ah ! oui ! ouiiii !"

Je compris illico que mon oncle ne lui faisait pas mal. Il lui faisait l'amour, mais d'une manière sauvage qu'elle encourageait par ses cris et les mouvements de son petit corps gracile contrastant avec les assauts du physique massif de mon oncle. Je n'avais rien vu d'aussi bestial et je devins aussi rouge que mes coups de soleil. Je me retirais vivement de l'embrasure de la porte quand Gérard se détacha, exposant un pénis formidable dont je me demandai un instant comme il avait fait pour entrer dans le corps de ma tante.

Je voulus m'enfuir mais une curiosité me poussa à rester, d'autant que le couple restait au lit. Gérard était maintenant allongé et Magali tressautait sur lui, son petit cul frénétique, une main dans son dos pour caresser en même temps les couilles de mon oncle. J'entendais le bruit de clapot des deux sexes joints, mélangé aux grincements du lit car Magali y allait de bon coeur, le chignon défait, la tête rejetée en arrière, exprimant des bruits de gorge témoignant de l'intensité de son coït, un mot que je ne connaissais pas encore.

Il la prit ensuite par derrière, en travers du lit, face à la porte dont je n'avais laissé qu'une toute petite ouverture pour ne pas être vue. Je garde encore en mémoire son expression à ce moment là, tantôt rayonnante, tantôt crispée, celle d'une épouse régalée par son mari, à moins que ce soit celle d'une maitresse comblée par son amant. La chambre était remplie de ses cris de plaisir, de ses encouragements, "encore encore" et enfin cette phrase qui me retourna tant elle correspondait peu à l'image que je me faisais de ma tante, "mets la moi dans le cul maintenant". J'assistai médusée à sa sodomie, lente, progressive puis échevelée jusqu'à ce qu'elle crie "jouis dans mon cul !" à un Gérard tendu, grimaçant avant qu'il ne s'aplatisse sur Magali à plat ventre, en train de baver sur le drap.

Je m'aperçus alors que, sans me rendre compte, je m'étais masturbée sous mon slip de bain en les regardant copuler. Je m'enfuis vers la plage, j'avais trop besoin de me calmer dans l'eau fraiche. Quand je revins une heure plus tard, mon oncle et ma tante prenaient tranquillement le thé dans le jardin, elle en robe d'été, lui en short sous son ventre un peu bedonnant, souriants, heureux, me demandant si l'eau était bonne. Je bredouillais une phrase affirmative, la honte au front de les avoir observés dans l'intimité. En catimini. En voyeuse. Ils avaient cru profiter de mon absence pour s'offrir une bonne partie de jambes en l'air que ma présence la nuit leur interdisait, vu le peu de discrétion de leurs ébats. Je compris par la suite que mon oncle et ma tante baisaient plus qu'ils ne faisaient l'amour, parce qu'ils avaient la cinquantaine et plus de tabous.

Du reste, quand quelques jours plus tard, au cours d'une conversation avec Magali sur la sexualité parce qu'elle m'avait demandé si j'étais toujours vierge, elle me raconta qu'elle avait été dépucelée avant de connaitre Gérard, mais que celui-ci l'avait révélée au sexe avant le mariage. "Et maintenant ?" avais-je osé demandé. "C'est une drogue dure", avait-elle répondu, confiant que le sexe était toujours leur grande affaire et qu'il avait solidifié leur couple au fil des ans. Je ne risquai pas de démentir après ce que j'avais vu.

Je n'ai pas pu m'empêcher de refaire le coup du voyeurisme un autre après-midi. J'entendais encore les cris de Magali, mais la chambre était vide. Où étaient-ils ? Dans l'atelier de Gérard. Tapie à quatre pattes, je voyais mon oncle debout en train de pilonner ma tante assise sur son établi, au milieu des outils, ses petits pieds encadrant les reins poilus. Je me souvenais qu'elle m'avait dit, au cours de notre conversation citée plus haut, qu'il fallait toujours "inventer", "ne pas sombrer dans la routine". Quand ils se détachèrent pour qu'il la prenne par derrière, elle en appui sur l'établi, je me repliai prudemment. Je savais déjà comment ça finirait car ma tante, je le compris plus tard, était anale. Et je le suis devenue moi aussi.

*******

Mon oncle et ma tante ne sont hélas plus de ce monde mais je sais qu'ils ont bien profité de la vie. Je me suis inspirée très vite de leur exemple. J'ai fait les quatre cents coups avant mon mariage à trente ans. Je désirais davantage de stabilité. Mon mari Jérôme aime autant le cul que moi, ce qui fait que notre couple est aussi solide que celui de mon oncle et ma tante. Le problème, c'est d'arriver à baiser pendant que nos enfants ne sont pas là car je suis incapable de me faire mettre sans m'exprimer à haute voix. D'où quelques stratégies un peu périlleuses parfois. On a un coin favori dans un bois à quelques kilomètres de notre maison. Je crie mon plaisir sur une couverture ad hoc, les yeux au ciel ou le cul à l'air. Jérôme a une grosse queue comme je les aime, comme celle de mon oncle, et il sait magnifiquement s'en servir. Bien que j'aie pris du poids et vu mon crâne grisonner, il bande toujours aussi dur pour moi. L'hiver, quand on ne peut plus baiser à l'air libre, on loue une chambre d'hôtel dans un endroit où beaucoup de couples adultères se retrouvent, et ça pimente nos ébats. On croise des couples illégitimes en sortant, on se fait des clins d'oeil, on s'est parfois entendu baiser d'une chambre à l'autre.

Avec l'un d'eux, Jérôme a voulu tenter un plan à quatre. Il faut dire que c'était un couple particulier puisque la femme était noire et l'homme asiatique. C'était une expérience nouvelle pour mon mari comme pour moi. La femme était typique, gros seins et grosses fesses, et l'homme mince comme un fil, tous deux âgés comme nous d'une quarantaine d'années. Collègues de travail et soucieux de discrétion. L'homme, prénommé Kim, avait visiblement envie de me baiser et a convaincu la femme, Sandra, de baiser avec Jérôme. On a fait ça un samedi après-midi alors que les enfants étaient invités chez des copains.

Me retrouver à poil avec un autre couple à poil, qui plus est coloré, surtout la femme, m'a fait tout drôle, mais j'avais dit oui à Jérôme et je ne pouvais plus reculer. La queue de Kim était longue et fine, pas du tout celle de mon mari. J'ai adoré la sucer, c'était comme un bonbon dans ma bouche. Il m'a magnifiquement léchée, un vrai artiste du genre. Jérôme n'avait pas résisté à baiser Sandra illico et je le regardais pilonner la Noire pendant mon cunni. Curieusement, je n'étais pas jalouse. J'étais même contente qu'il prenne du plaisir et donne du plaisir, car Sandra manifestait à haute voix son contentement avec son accent typique.

J'ai vite couvert ses vocalises quand Kim m'a pénétrée de sa queue longue et fine. Le plumard était un vrai chantier. Mais je dois à la vérité de reconnaitre que c'était plus le contexte très particulier que la queue de Kim qui me faisait jouir. Je n'avais jamais fait l'amour avec autre couple en action en parallèle et a fortiori avec mon mari partie prenante de cet autre couple. J'aurais pu partir en courant alors que je jouissais. C'était autrement plus excitant que de regarder un film porno en se masturbant, ou en baisant comme cela nous arrive parfois avec Jérôme. C'était du direct live et c'était moi dans le film. Jérôme me regardait en train de me faire baiser tout en ramonant Sandra et je le regardais aussi, on s'est même embrassés pendant une figure qui nous avait collés l'un à l'autre et j'étais rassurée. Il n'y aurait pas de scène de ménage à la fin.

En sortant de l'hôtel plus tard, douchés et repus de sexe, on s'est promis des retrouvailles avec l'autre couple, mais c'était sans doute illusoire. En fait, Jérôme avait une autre idée. Il m'avoua avoir adoré me regarder en train de baiser avec un autre homme et il envisageait un plan à trois. "Ma parole, tu es candauliste ?", lui ai-je rétorqué. Il n'a pas nié mais dit qu'il ne s'était pas senti cocu pour autant. Il voulait juste mon plaisir et le sien en tant que voyeur. Une sacrée révélation ! Il me trouvait belle en train de baiser, il se régalait de ma chair pulpeuse en mouvement, de mon cul et de mes seins agités par un autre que lui. De mes cris de plaisir qu'il ne provoquait pas, du moins directement. Je n'avais pas senti exactement la même chose en le voyant copuler avec Sandra. J'étais plutôt fière que mon homme fasse jouir cette belle femme noire, d'être la compagne d'un mâle aussi viril. Mais à chacun son idée.

Bref, cette initiative a cheminé pendant quelque temps. Sa préoccupation était de trouver celui dont j'avais vraiment envie, et de baiser avec lui sans la moindre réticence. Qui plus est en présence de Jérôme. Là dessus, les vacances sont arrivées et on en a profité pour partir à la mer sans les enfants. On a dégotté une plage naturiste où j'ai pu montrer mes fesses et mes nichons et lui sa queue sans se faire embastiller. Ma chevelure grisonnante passait inaperçue sur une plage majoritairement occupée par des seniors. Tout en bronzant et en se baignant, on regardait un peu autour de nous et on a noué assez vite des relations de plage, superficielles mais décontractées. Il y avait pas mal d'hommes seuls mais peu de vraiment baisables à mon goût.

Néanmoins, il y en avait un d'une cinquantaine d'années, tout bronzé, belle queue, que je trouvais charmant. Je le dis à Jérôme, et il l'aborda sous je ne sais quel prétexte. L'homme, prénommé Yves, vint s'asseoir avec nous et on échangea des propos de circonstance, si bien qu'on finit par se connaitre un peu mieux. L'information importante était son divorce et sa vie solitaire. Et son amour du soleil qui lui faisait passer une bonne partie de son temps à poil sur le sable, au point d'être bronzé de la tête aux pieds.

Au bout de trois après-midis, on était devenus copains comme cochon, si j'ose dire. Jérôme a même proposé à Yves de m'enduire de crème solaire. La proposition était osée mais Yves, un instant hésitant, s'est lancé. Sa main douce a frôlé mon anus, ma chatte et mes pointes de seins, j'en avais la chair de poule malgré la chaleur. Je voyais bien qu'il bandait. Et que je lui plaisais. Quand Jérôme lui a proposé de venir diner dans notre appartement de vacances, il n'a pas tergiversé. On savait déjà tous les trois qu'on allait baiser et j'avoue que le soir, à l'entrée d'Yves avec son bouquet de fleurs, je mouillais déjà. Je m'étais fait à l'idée de ce plan à trois parce que Jérôme en était à l'initiative. Et aussi, je l'avoue, parce que j'avais envie d'Yves. Tromper son mari sans le tromper, c'était pour le moins tentant et inhabituel. J'avais mis une petite robe sans manches à dos nu, sans rien dessous, même pas de slip. Yves s'en aperçut à l'apéro quand j'étais assise face à lui, en croisant haut les jambes. Il avait beau m'avoir vue à poil, la vision de mon compas ouvrant mon pubis entre mes cuisses charnues mit de l'étincelle dans ses yeux. Et une bosse sur son bermuda.

J'avais préparé une grosse salade et Jérôme présentait deux bouteilles de rosé qui finirent vides sur la table. J'étais un peu partie, le feu aux joues. La salade terminée alors que les deux hommes rigolaient de plus en plus fort, je filai à la cuisine pour porter le plat mais j'entendais les deux hommes qui se parlaient à mots couverts. J'étais évidemment le sujet de leur conversation. A mon retour, Jérôme me dit :

- Chérie, si tu passais sous la table ?

Je n'étais pas en état de m'offusquer. J'avais chaud partout, et surtout entre les cuisses. J'ai émis un petit rire, tiré ma chaise et à quatre pattes, j'ai ouvert le bermuda d'Yves d'où sa queue jaillit, épaisse, tendue, décalottée. Je l'ai gobé comme la vraie salope que j'étais sur le moment, savourant ce gland volumineux qui me forçait à écarter mes maxillaires. J'ai dû bien le sucer car il s'est retiré vivement en comprimant sa queue pour ne pas gicler dans ma figure. Jérôme riait aux éclats :

- Tu vois comme elle suce bien, ma femme ! dit-il tout réjoui.

J'avais attendu 45 ans pour me comporter comme une pute de 25 ans. Mais je ne m'appartenait plus vraiment. Seule le besoin d'être pénétrée me guidait désormais. J'ai fait passer ma robe par-dessus ma tête, pris Yves par la main et nous sommes entrés dans notre chambre, Jérôme sur nos talons. La queue d'Yves était tellement raide qu'on aurait pu s'accrocher à elle comme à une barre fixe. Il n'y a pas eu d'autre préliminaires. Il s'est enfoncé en moi d'une seule poussée, bras tendus, encerclé par mes mollets et mes chevilles, ses yeux dans les miens et mon cul a accompagné ses coups de bite au point de menacer la vie de notre lit. Mon dieu qu'il était dur ! Je me sentais copieusement remplie. J'ai libéré un déluge d'onomatopées dont je vous fais grâce, jetant un oeil sur le côté pour constater que Jérôme avait sa queue entre les mains, jouissant du spectacle que nous lui offrions. Yves avait de l'expérience et retenait son sperme, quitte à se retirer pour durer. J'appréciais d'autant plus que j'avais vraiment envie de prolonger ces ébats inédits dans notre lit.

Par la suite, on a procédé à tout ce qu'un homme et une femme peuvent accomplir dans un coït. Il appréciait visiblement que je le chevauche pour pétrir mes gros seins ou mes grosses fesses en position inversée. Pour ma part, je me régalais de son torse chocolaté que je caressais en ondulant sur sa bite. Mais j'ai aussi apprécié qu'il me prenne par derrière afin de voir Jérôme et surtout de le sucer en même temps, ce qui a déclenché son éjaculation. J'avais son sperme plein la figure et il me l'a essuyée tandis que je continuais à me faire ramoner, les mains d'Yves sur mes hanches ou empaumant mes seins par en dessous. Je ne m'étais jamais sentie autant baisée, je le clamais à Jérôme que ça n'avait pas l'air de vexer, au contraire. Un vrai candauliste :

- Encule-la maintenant, elle aime ça !

C'est Jérôme qui s'adressa à Yves en des termes que je n'aurais jamais imaginé venant de lui, tellement soucieux de ses prérogatives anales. Je n'étais pas en état de protester, de m'opposer. J'étais un incendie à quatre pattes. J'ai senti qu'il m'écartait les fesses, qu'il mettait la langue, qu'il m'humectait de salive. Par réflexe, j'a creusé les reins. Son entrée a été un peu laborieuse car il était vraiment gros. Mais quand j'ai senti son bas-ventre contre mes fesses et surtout sa queue dans mon antre intime, je me suis détendue et je l'ai même encouragé :

- Allez, vas-y, défonce-moi !

Je voyais Jérôme face à moi qui se branlait à nouveau en regardant mes seins balancer sous les effets des coups de boutoir. Il caressa ma tête grisonnante en me disant "c'est bon hein chérie ? Remue bien ton cul, fais le jouir".

Il n'avait pas besoin de me donner la marche à suivre. Je suis allé chercher Yves à grands coups de fesses claquants, je l'ai entendu grogner et j'ai senti son sperme envahir mon rectum bien ouvert, chaude giclée qui me fit jouir instantanément. Je vous l'ai dit, je suis anale. Combien de fois Jérôme a joui dans mon cul ! Mais là, c'était un étranger que je ne connaissais même pas une semaine plus tôt. La transgression totale, avec l'aval de mon conjoint. J'ai filé aux toilettes en flageolant pour expulser ce qu'il y avait à expulser, pris une douche dans la foulée et retrouvé mes deux hommes qui discutaient sur le plumard en commentant ma prestation. Flatteuse, à leurs yeux. J'étais à la fois rassurée et fière. J'avais été à la hauteur. Je m'étais libérée.

Yves n'est pas resté, j'avais grand besoin de dormir au calme. Mais le lendemain, un doute m'a assailli. N'avais-je pas été trop loin ? N'aurais-je pas dû résister au fantasme de Jérôme ? Comment, à 45 ans, avais-je pu ainsi basculer dans le stupre ? Il faisait encore chaud mais je n'étais pas emballée par l'idée de retrouver Yves à la plage. Jérôme a insisté parce que c'était notre dernière virée avant notre retour, et une fois de plus, j'ai cédé. On a retrouvé notre coin sableux avec Yves à proximité. Il est venu me faire la bise et le contact de son corps nu sur le mien a déclenché dans mon corps un flot d'hormones femelles, comme la résurgence de nos ébats de la veille. Jérôme a perçu mon trouble.

- Et si vous alliez baiser là-derrière, dans les dunes, à l'abri des regards ? Je monterai la garde.

A peine mon mari avait-il prononcé ces paroles qu'Yves se retrouvait en érection. Un grand vide me prit le bas-ventre. Je me suis laissé prendre la main, conduire à l'arrière de la plage, Jérôme nous suivait avec une serviette. Pour la première fois, Yves m'a léchée, c'était délicieux, je roucoulais mais il m'en fallait évidemment plus, beaucoup plus. Je l'ai reçu très ouverte, les yeux sur le ciel azur, les pieds sur le sable pour lui renvoyer la balle, incapable de rester muette dans ce contexte de chaleur, de soleil et de sexe. Mes cris ont ameuté des voyeurs et il a fallu que Jérôme fasse la police, ce qui n'a pas empêché un ou deux mateurs de nous regarder baiser, Yves et moi. Cette fois, il ne s'est pas retenu, le spectacle de mes seins en mouvement sur mon torse l'a pris au cervelet et surtout à la queue. On a filé aussitôt à la mer pour se laver de notre sueur et de nos excrétions. L'eau m'a revigorée, je ne m'étais rarement sentie aussi bien dans mon corps.

L'histoire en est restée là. On est revenu chez nous le lendemain, Yves nous a laissé son numéro de portable mais on savait les uns et les autres qu'il n'y aurait sans doute pas de suite. Du moins entre nous. Car Jérôme avait tellement aimé me voir baiser avec un autre que l'idée de remettre ça lui trottait dans la tête. Mais j'ai dit non. Je craignais qu'à force, notre couple soit mis en danger. Qu'un jour, je n'ai plus envie de faire l'amour avec mon mari, seulement avec un autre. Mais je sais qu'il n'a pas renoncé. Et je sais aussi, connaissant mon fier tempérament sexuel, que je pourrais céder à mes pulsions tant que je suis encore "consommable". Que voulez-vous, j'aime ça. J'aime le sexe, j'aime baiser, et plus que jamais. La quarantaine, l'âge d'or pour une femme.

Les avis des lecteurs

Histoire Erotique
Micky,
c'est encore là un excellent récit où l'éloge de la sexualité des femmes mures y est magnifiée.
Et tout ou presque y est, voyeurisme, échangisme, triolisme, candaulisme...
Félicitations.
Didier

Histoire Libertine
Sinon inverser la vapeur qu'elle laisse son mari baiser 1 femme.



Texte coquin : Une expérience candauliste
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