Une liaison trente ans après

- Par l'auteur HDS Micky -
Récit érotique écrit par Micky [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Récit libertin : Une liaison trente ans après Histoire érotique Publiée sur HDS le 09-09-2025 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Une liaison trente ans après
C'est lors de l'enterrement d'un ancien collègue que Kléber revit Agnès après trente ans d'écart. Il fut d'abord surpris de la retrouver avec des cheveux gris, même si la coupe était la même, au carré. Mais son visage fin n'avait rien perdu de sa séduction et son corps de petite taille, bien qu'un peu alourdi par l'âge, lui plut toujours autant, en particulier cette paire de seins lourds où il avait un temps rêvé d'y glisser sa queue pour une cravate de notaire ô combien jouissive, et cette belle croupe joufflue qu'il aurait bien fendue aussi. A l'époque de leur jeunesse, Agnès présentait un corps voluptueux au rebours des canons en vogue où on privilégiait la minceur quasi androgyne.

Son idée fixe était de la baiser, mais elle était alors "en mains" et finit par se marier avec ce fiancé qu'il ne connaissait pas et qu'il enviait. Sa drague buta sur une fin de non recevoir, "ne t'excite pas, je ne coucherai jamais avec toi" et Kléber avait fini par se résigner. Ils demeurèrent cependant bons collègues jusqu'au jour où il fut muté ailleurs, où il trouva chaussure à son pied pour une liaison sans mariage, très érotique, qui finit par parvenir à son terme si bien qu'il se trouvait aujourd'hui solitaire, sans autre lien que des rencontres de circonstance pour apaiser sa queue, toujours prête à l'emploi. Il avait gardé un physique de séduisant et n'avait aucun mal à séduire des femmes d'âges divers, même s'il n'était plus de première jeunesse.

Elle parut heureuse de le revoir, le complimenta pour sa bonne mine et il lui rendit la politesse, ce qu'elle repoussa d'un geste :
- Tu as vu mes cheveux gris ? Je ne suis plus celle que tu as connue, et depuis longtemps. Tu sais, j'ai 58 ans maintenant.
Comme il l'interrogeait sur sa situation familiale, elle lui avoua qu'elle vivait seule depuis son divorce et que son fils désormais homme mûr vivait sa vie de son côté. Elle était toujours en activité mais déplorait devoir faire du rab en raison de l'éloignement de l'âge légal de la retraite. Il n'osa pas lui demander si elle avait un "copain", autrement dit si elle baisait encore. Elle parut deviner sa question puisqu'elle lui dit :
- Je n'ai pas d'amant. Et toi, tu as toujours autant de maitresses ?
Il sourit en restant dans le vague, mais riposta en l'invitant à prendre un verre quelque part puisque l'enterrement était achevé. Elle accepta.

Autour d'un verre, ils parlèrent longtemps de boulot, de l'évolution de leur entreprise, de la difficulté de s'entendre avec les nouvelles générations, de sa déception à elle de ne pas être suffisamment montée dans la hiérarchie, mais Kléber voulait aborder les questions plus intimes. Il n'avait pas renoncé à découvrir son corps.
- Je suis étonné que tu vives seule. Une femme comme toi mérite d'être accompagnée.
- Tu es candidat ? lui répondit-elle tout de go. Ne perds pas ton temps, je suis rangée des voitures. Définitivement.
Il regarda ses seins, toujours aussi pleins et agressifs, et décida de passer à l'attaque.
- Quand on a un corps comme le tien, on ne le laisse pas dépérir. On fait l'amour.
Elle parut se raidir et se crisper. Elle lui répondit :
- Je connais ta réputation de Don Juan. Mais j'espère que tu t'y prends mieux avec tes conquêtes. Ta drague est un peu lourde.
- Les femmes que je séduis ne jouent pas les chochottes. Elles savent ce qu'elles veulent et en général, elles aiment le sexe comme moi. Mais si tu n'aimes pas ça, c'est ton affaire. J'observe cependant que ça n'a pas réussi à ton couple.
- Qui te dis que c'était à cause du sexe et que c'était de ma faute ?
- La plupart des ruptures ont le sexe pour cause, mais tu as raison, rien ne dit que c'était de ta faute et que c'était vraiment la raison de ton divorce.

La conversation risquant de tourner à l'aigre, ils abordèrent un autre sujet, celui du disparu qu'ils avaient bien connu dans leur jeunesse. Séquence nostalgie qui les rapprocha et quand il la quitta après avoir échangé e-mails et numéros de téléphone, ce fut une accolade chaleureuse, ses seins fermes collés à son ventre, ce qui le fit frémir. Bon dieu, elle était toujours aussi bandante, Agnès, malgré ses cheveux gris.

Quelques jours plus tard, il reçut un message où Agnès lui proposait un diner en tête à tête "pour parler du bon vieux temps et sache que je suis toujours la reine de la paella". Ils trouvèrent rapidement un accord pour une soirée. Il se présenta avec un bouquet de fleurs et une bouteille d'un vin espagnol pour accompagner le plat. Mais il faillit tout lâcher lorsqu'elle ouvrit la porte. Elle était vêtue d'une légère robe d'intérieur à fines bretelles, ses larges mamelons saillant sous la toile et quand elle se retourna, il distingua clairement la raie des fesses. "Putain, elle est à poil dessous", se dit-il in petto. Son air dégagé d'hôtesse était censé le mettre à l'aise mais son petit sourire en coin laissait clairement entendre qu'elle savourait l'effet produit. Hypnotisé par son profond sillon mammaire découvert par la "robe", il eut du mal à prononcer des paroles intelligibles et ne finit par se détendre que pendant l'apéritif, fauteuils en vis à vis, où le croisement de ses cuisses dodues faisait gonfler le tissu. Il eut une érection qui ne se calma qu'au passage à table.

Bien que la paella fut en effet excellente, Kléber ne pensait qu'à la suite. Agnès ne lésinait pas sur le vin espagnol et ses joues se coloraient au fur et à mesure du dîner. Elle devenait volubile, évoquait sa vie passée, en particulier son mariage qui s'acheva quand elle s'aperçut que son mari la trompait et l'interrogea sur ses maitresses. "Elles baisaient bien ?" interrogea-t-elle et cette question surprit Kléber. Il était clair qu'elle devenait de plus en plus chaude. Il en eut la confirmation concrète quand son pied nu traversa le dessous de table pour se poser sur son pénis et lui infligea une pression qu'elle accompagna d'un sourire mutin :
- Je te surprends, hein ? Tu ne me voyais pas comme ça, avoue-le ?
Il lui caressa le pied et lui dit :
- Tu as envie de faire l'amour avec moi ?
- Non, pas de faire l'amour. Je veux que tu me baises comme tu baises tes maitresses. Je n'ai pas été vraiment baisée depuis des lustres et j'ai très envie de ça. Tu as intérêt à être à la hauteur.

Ce langage cru, si inattendu dans sa bouche, aurait pu déstabiliser Kléber s'il n'avait pas été un homme d'expérience et surtout très désireux de voir enfin son ancienne collègue nue et offerte. Elle se leva de table, le prit par la main et l'entraina dans sa chambre. Elle tira la couette pour dégager le drap du lit, prit sa nuisette par en-dessous et découvrit son corps charnu avant de s'allonger. Il considéra les seins épanouis, le ventre bombé, le pubis grisonnant épais et consciente qu'il le détaillait, elle se retourna pour lui montrer son copieux fessier à raie longue.
- Alors, je te plais ? lui dit-elle, la voix un peu rauque.

Tu parles. Il bandait comme un cerf. Elle découvrit sa queue épaisse et longue avec un soupir et un "tu m'avais caché ça". Il ressentait une furieuse envie de s'enfoncer dans ce corps voluptueux, ouvert, palpitant, mais il savait qu'il devait se réfréner pour durer. Si Agnès voulait vraiment baiser comme elle le disait, ce n'était pas pour un coït de cinq minutes. Il lui faudrait faire le tour de la question. Elle le lui confirma en lui disant :
- Tu me baises, hein ? Tu me fais tout ce que tu veux, je suis open. Mais ne me ménage pas, secoue-moi, sois homme. Vide-toi les couilles seulement quand tu me feras jouir.

C'était clair et net. Elle voulait de l'endurance et de la longueur de queue. Il décida de commencer par des caresses des mains et de la langue sur tout le corps, s'attardant sur ses seins et sur son sexe déjà baveux. Elle roucoulait, agitait ses hanches en amphore, se retourna en s'écartant les fesses pour qu'il titille son anus, signe qu'elle se préparait à se faire enculer. Elle était effectivement open. Arriva cependant le moment où elle le supplia de "venir" et lui tendit une capote préalablement posée sur sa table de nuit qu'elle l'aida à enfiler. Il domina son envie de s'enfoncer brutalement. Il voulait qu'elle vienne à sa rencontre, ce qu'elle fit en encerclant ses reins pour s'en servir comme appui. Pénétration classique, en missionnaire, mais totale, puissante et mouvante. Agnès n'était pas une planche à pain. Elle gigotait sous lui en piaillant, faisant rouler ses seins lourds au rythme de ses hanches et il dut prendre sur lui pour ne pas gicler prématurément. Il s'interrompit brièvement et l'interrogea :
- Tu la veux toujours, ma grosse bite ?
- Oh oui, je la veux, s'il te plait, continue !
- C'est sûr ? Tu en as vraiment envie ?
- Oui, oui, ne me fais pas languir, s'il te plait !

Et elle remua sous lui alors qu'il demeurait figé, toujours bien enfoncé en elle.
- Tu voulais baiser. Est-ce que tu te sens baisée, là ?
- Oui, oui, baise ! Baise, merde !
Alors, il cogna dur, toujours en missionnaire, le choc des peaux se mêlant aux cris de plaisir d'Agnès et au grincement du lit. Elle eut un orgasme violent qui la mit en arc de cercle. Il réprima de justesse son éjaculation en comprimant sa hampe tendue et la laissa reprendre ses esprits, haletante, le ventre et les seins mouvants au rythme de sa respiration, un léger filet de salive coulant le long de sa bouche. Quand elle vit qu'il bandait toujours, elle se releva et l'embrassa.
- Tu as encore envie de moi. Je ne suis donc pas trop vieille pour toi ?
- Bien sûr que non. On va continuer à prendre du plaisir. C'est toi qui commande maintenant.

Elle le fit s'allonger, l'honora d'une petite pipe gloutonne avant de l'escalader et d'onduler sur lui en se caressant les seins, les yeux clos, savourant l'intense pénétration qui rabotait ses parois vaginales surchauffées. Il savait qu'il pouvait durer dans cette position et il la laissa prendre son plaisir, lui demandant juste de se retourner "pour que je voie ton cul", ce qu'elle fit en se penchant en avant, ouvrant le sillon de ses fesses, ce qui lui permit de préparer du pouce son anus à une introduction ultérieure. Il voulait l'enculer et elle semblait disposée à l'accepter. Mais rien ne pressait.

Après une courte pause, il lui dit :
- Baiser, ce n'est pas rester tout le temps au lit. Et si je te prenais sur ta table ?
Elle gloussa en se relevant, la croupe frétillante en direction de sa salle à manger, débarrassa plat et assiettes et s'assit au bord de la table.
- Tu veux ton dessert ? lui dit-elle, mutine.
- Avec plaisir, répondit-il en tirant une chaise comme pour consommer, en l'occurrence sa chatte poilue qu'il lapa copieusement, la main d'Agnès sur sa nuque, avant de se relever le museau couvert de cyprine et de la pénétrer debout, mains sur la table et les yeux dans les siens, ses talons vissés sur ses fesses pour accompagner ses coups de boutoir.
- Mmmhh c'est bon ça, gémit-elle tandis que leurs peaux s'entrechoquaient.

Il parvint une fois de plus à maîtriser son envie de gicler, capacité qui lui avait toujours valu les louanges de ses maîtresses, heureuses d'avoir pour partenaire un homme préoccupé avant tout de leur plaisir. Agnès se trouvait dans le même état d'esprit, savourant l'action profonde mais maitrisée de la bite, les yeux rieurs, la bouche en banane, le visage d'une femme qui baise.
Après avoir bien tordu ses hanches et suscité quantité de "oh ah mmhh" de sa collègue, il se retira toujours raide et l'invita à l'accompagner jusqu'à la salle de bains.
- Tu t'es déjà regardée baiser ?
- Euh, non, jamais.
- Je vais t'enfiler face au miroir. Tu vas voir, c'est ça, baiser.

Il chercha et trouva une chaise pour la mettre à genoux dessus, face au lavabo, car elle était trop petite pour qu'il la pénètre debout et il lui fallait rehausser sa croupe. Elle se plia sans barguigner à son désir, étonnée de se voir dans cette attitude, ses seins gorgés de sève pendants et agités, lui derrière elle, concentré et déterminé. Elle était tellement humide que l'imposant pénis se mit à clapoter tandis que la peau de son ventre claquait sur ses fesses rebondies.
- Regarde comme tu es belle quand tu baises, lui souffla-t-il à l'oreille, ses mains pétrissant ses hanches.

De fait, Agnès se reconnaissait à peine, ses cheveux collés sur son front car elle était en nage, la bouche barrée d'un rictus, son opulente poitrine remuant au rythme des coups de queue et accompagnant ceux-ci de roulements de hanches, signifiant ainsi son adhésion totale. Kléber comprit qu'il aurait du mal à garder son sperme devant ce spectacle que lui renvoyait le miroir. Il lui mit le pouce dans l'anus tout en limant et elle se saisit d'un tube de gel à portée pour le lui tendre.
- Fais-le si tu en as envie, lui souffla-t-elle, la voix éraillée à force d'exclamations de plaisir.
- Je ne le fais que si tu en as envie aussi, lui répondit-il.
- Fais-le ! Fais-le ! Encule-moi !

Il n'y avait pas d'ambiguïté. Il se retira, lui lécha longuement l'anus avant de l'enduire de gel ainsi que sa queue luisante de cyprine et entra millimètre par millimètre, par précaution, guettant son attitude via le miroir et découvrant un visage aux yeux clos et à la bouche ouverte, en attente. Mais dès qu'il fut bien engagé, le même visage s'éclaira d'un large sourire suivi d'onomatopées de jouissance ponctué de "allez allez vas-y encore encore", ce qui l'encouragea à cogner dur. Elle voulait être secouée ? Elle allait l'être. Il faillit la sortir de la chaise et il dut la récupérer en lui tenant les hanches et en agrippant ses cuisses jusqu'à ce qu'elle lui crie "maintenant maintenant jouis jouis !", le visage déformé par le plaisir. Sa queue hoqueta dans son rectum, il se retira dans un bruit soyeux et elle prit aussitôt position sur la cuvette des WC voisine pour se vider sans la moindre honte, ce qui le confirma dans l'idée qu'ils avaient vraiment baisé.

Puis ce fut la douche, une douche câline, ses seins contre son torse, lèvres contre lèvres, entre deux amants heureux et apaisés. Puis Agnès, toujours nue, invita Kléber à prendre un "vrai dessert", celui qu'elle avait préparé à l'avance, deux boules de glace nappées de rhum, qu'ils consommèrent face à face, le sourire aux lèvres.
- Tu m'as bien eue, gloussa Agnès.
- Tu parles. C'est toi qui m'a eu, répondit Kléber.
- Et on fait quoi maintenant ?
- Que dirais-tu d'un petit week-end sympa et coquin dans un joli coin ? lui proposa-t-il.
- Bonne idée. Et tu proposes quoi ?
Le reste du dessert passa à envisager les divers lieux possibles. Et c'est ainsi que s'acheva cette soirée, sur une perspective de continuité, comme quoi un enterrement peut ne pas donner suite à un mariage, comme dans le film, mais à une liaison tardive autant que jouissive.

Les avis des lecteurs

Histoire Erotique
Micky,
Une magnifique et torride histoire de "baise" parfaitement bien décrite, qui me fait dire qu'il ne faut surtout pas se fier aux apparences et toujours se méfier de l'eau qui dort...
Excellent comme d'habitude.
Didier

Histoire Erotique
Belle histoire qui sent le vécu. Pas de fanfaronnade et d'exploits extraordinaires mais le plaisir de la baise, peut être aussi de l'amour...Bravo



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