UNE NUIT DE FOLIE – KIEV – Mai 2020

Récit érotique écrit par Miss_Sexcret [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
- • 6 récits publiés.
- • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 0.0 • Cote moyenne attribuée par HDS : 0.0
- • L'ensemble des récits érotiques de Miss_Sexcret ont reçu un total de 8 860 visites.

Cette histoire de sexe a été affichée 510 fois depuis sa publication.
Couleur du fond :
UNE NUIT DE FOLIE – KIEV – Mai 2020
[b]UNE NUIT DE FOLIE – KIEV – Mai 2020 [/b]
C'était il y a cinq ans, un soir de mai, quelque part dans la périphérie de Kiev.
Je m'en souviens comme d'une chaleur qui montait lentement, d'un crépuscule qui collait aux murs, et de mon corps qui réagissait à tout — au vent tiède, aux parfums de la ville qui renaît, à cette lumière orange qui caressait les vitres.
Le printemps avait quelque chose de dérangeant, presque indécent.
Comme si les corps voulaient trop vite rattraper ce qu'ils avaient perdu pendant l'hiver. Les vêtements devenaient plus fins, les gestes plus paresseux, les regards plus lents. Moi aussi, je me sentais différente. Moins sage. Plus vulnérable peut-être… ou simplement plus disponible.
Ivan m'avait invitée pour ses 26 ans. Un ami d'enfance. Ou plutôt un grand frère un peu incestueux, avec qui j'avais toujours entretenu une sorte de tension trouble et épisodique. Il avait cette manière de me regarder comme une fille qu'on connaît depuis toujours, mais qu'on redécouvre avec les années — et avec le corps qui change.
Il m'avait protégée plus d'une fois, parfois conseillé, parfois engueulée, parfois baisé. Mais ce soir-là, il était juste torse nu sur le seuil de son appartement, un short lâche sur les hanches, un sourire paresseux aux lèvres.
Je portais une robe corail, courte. Trop courte peut-être.
Je ne portais rien dessous. J'avais envie qu'on le devine, sans que ce soit dit.
Nick, mon copain depuis peu, m'avait accompagnée. Il était beau, jaloux, un peu brutal dans sa manière de me toucher. Il posait sa main sur mes reins comme un avertissement. Mais ce soir-là, je ne voulais pas être avertie. Je voulais être observée. Désirée.
L'appartement d'Ivan était beau, épuré. Parquet clair, murs blancs, et cette baie vitrée immense qui ouvrait sur la ville. On entendait les rires des voisins, les klaxons au loin, le vent léger qui entrait par la fenêtre entrouverte. La soirée s'annonçait simple. Vin, musique, chaleur. Et quelque chose d'autre. Quelque chose sous la peau.
D'autres arrivèrent peu à peu. Simona, une rousse très belle, italienne avec une poitrine généreuse, accompagnée d'une amie discrète et féline, Anya. Les deux étaient proches, trop proches pour être "juste des amies".
Svetlana, pulpeuse à souhait, en robe à fleurs qui s'ouvrait sur une cuisse longue et musclée ; Julia, cheveux courts, moulée dans un legging blanc si transparent qu'on devinait presque tout. Andreï avec ses lunettes qui lui donnaient une tête de geek, timide, collé à la fenêtre comme s'il cherchait une issue. Et enfin, Sergueï, massif, musclé, le genre de type qu'on remarque même quand il ne dit rien. Il fréquentait la même salle de sport que moi, mais c'était la première fois qu'on échangeait plus qu'un regard. Il était déjà hilare, deux verres dans les mains.
Quatre filles et quatre garçons… tout un programme.
On a mangé des plats simples, bu du vin moldave et de la vodka. Très vite, les rires ont fusé. Il faisait chaud, les fenêtres restaient ouvertes, et certains garçons avaient retiré leur t-shirt. Les filles remontaient leurs jupes en s'asseyant, dévoilant des cuisses nues, bronzées par les premiers soleils. L'atmosphère était détendue, moite, presque animale.
Puis, quelqu'un lança l'idée d'un vérité ou action. Tout le monde rit et Andreï dit que c'était pour les ados. Ivan proposa une idée un peu différente : chacun allait écrire un défi sur un petit morceau de papier, les plier, et les glisser dans un bol. On tirerait au sort, chacun son tour. Pas de vérités, pas de choix. Juste l'audace, ou l'abandon. Les filles riaient, un peu nerveuses. Les garçons étaient surexcités et se lançaient des regards de défi.
Je sentis mon cœur battre plus fort sans comprendre pourquoi. Ce n'était qu'un jeu, non ?
Mais en voyant les mains trembler un peu, les sourires forcés, les yeux qui brillaient déjà, je compris que ce soir-là, on n'allait pas tricher.
Le premier tirage fut pour Andreï. Il lut, pâlit un peu, et se mit à rire nerveusement.
« Faire le tour du pâté de maison complètement nu. »
On hurla. Il hésita. Puis, sans un mot, il se déshabilla, posa ses vêtements sur la table, et sortit. Son corps maigre disparut dans la lumière orange des lampadaires.
On s'était tous penchés à la fenêtre, morts de rire, les coudes sur la rambarde. En bas, une vieille femme cria quelque chose. Andreï courait, les fesses blanches exposées, en riant comme un gosse.
Quand il revint, les joues écarlates, on l'applaudit. Il remit lentement son caleçon, encore essoufflé. L'atmosphère avait changé.
Je tirai à mon tour. Ivan lut à haute voix, le sourire en coin :
« Embrasse Simona, avec la langue. Longtemps. »
Mon cœur fit un bond. Elle me regardait déjà, un sourcil relevé. J'avançai vers elle, m'assis sur ses genoux, glissai mes mains sur ses joues. Nos bouches se trouvèrent sans hésiter. Sa langue effleura la mienne avec une douceur inattendue. Elle soupira contre mes lèvres, et je sentis ses mains se poser sur mes hanches.
Tout autour, le silence. Puis quelques respirations. J'avais chaud. Trop chaud. Mes cuisses se contractaient, et j'avais envie de plus.
Quand je me reculais enfin, Simona gardait les yeux mi-clos, comme ivre. Un murmure de rires s'éleva, mais pas moqueur. Plutôt… admiratif.
Anya, assise en retrait, ne souriait pas. Son regard sur moi avait changé.
Cétait le tour de Julia, un peu rouge, elle tira à son tour un papier : elle devait jouer les putes dans le hall de l'immeuble pendant dix minutes, en mini-jupe et talons, super vulgaire et sexy et héler les passants comme si elle y croyait vraiment. Une voiture noire s'est approchée. Elle a joué son rôle et c'est penché à la fenêtre coté passager, puis on l'a entendu crier après le conducteur qui a démarré en trombe. On appris après, qu'il se masturbait et a jouis en la regardant.
Ce jeux nous excitait et nous avons fait un second tour de papier. On riait, on transpirait, on bandait. Et les papiers continuaient de circuler avec des défis plus osés.
Le défi suivant fut pour Svetlana et Sergueï.
Ivan lut le papier à voix haute : « Une fellation complète, ici et maintenant. Avec obligation d'avaler. »
Un silence tendu s'abattit. Mais Svetlana, imperturbable, s'agenouilla devant Sergueï, ouvrit sa braguette, et sans un mot, le prit en bouche. Sa langue glissait, ses joues creusaient, sa bouche travaillait comme une experte. Julia, à côté, tremblait de colère, ou de jalousie. En quelques minutes, il gémissait, et jouit violemment dans la gorge de Svetlana. Elle avala, s'essuya, et se rassit comme si de rien n'était.
Puis vint le tour d'Anya. Elle tira un papier, le lut, impassible.
Ivan annonça : « Embrasse une fille que tu n'as jamais embrassée, et fais-la jouir avec ta bouche devant tout le monde. »
Elle se tourna lentement vers Julia. Les deux femmes ne s'étaient jamais touchées. Anya la saisit par les hanches, l'embrassa à pleine bouche, puis la poussa sur le canapé, écarta sa culotte et plongea sa langue entre ses lèvres intimes. Julia résista un instant, puis fondit. Elle haletait, les cuisses grandes ouvertes, pendant qu'Anya léchait, suçait, avalait son plaisir. Elle jouit en gémissant fort, les doigts crispés dans les cheveux d'Anya.
Nick tira à son tour : « Choisis deux filles et branle-toi entre elles jusqu'à éjaculer sur leur poitrine. »
Il hésita, puis nous désigna, Simona et moi. On s'agenouilla côte à côte, seins nus, collées l'une à l'autre. Il se branla entre nos poitrines, haletant, puis jouit en grognant, éclaboussant nos seins. Simona en prit sur son doigt, me l'étala lentement sur le téton, puis le lécha sensuellement.
Ivan eut ensuite son défi : « Choisis une fille. Mets-lui un doigt dans le cul en la prenant en levrette, sous les yeux de tous. »
Il m'attrapa sans me demander, me fit me pencher sur la table basse, souleva ma robe. Je sentis son doigt lubrifié glisser entre mes fesses, pénétrer mon anus pendant qu'il m'embrochait lentement. Les va-et-vient étaient lents, puissants, contrôlés. Je me cambrais, je gémissais, offerte. Il se retira juste avant de jouir, me laissant pantelante.
Simona fut la suivante. Ivan lut : « Suce une queue pendant qu'une fille te lèche la chatte. Et jouis. »
Elle choisit Andreï, puis me fit signe. Elle se mit à genoux devant lui, le prit en bouche avec une lenteur érotique. Je m'agenouillai derrière elle, glissai ma langue entre ses cuisses ouvertes. Elle était trempée, déjà proche. Je la suçais, je l'avalais. Ses gémissements étaient étouffés par la queue qu'elle pompait avec ardeur. Elle jouit, en criant contre le sexe d'Andreï, les jambes tremblantes et m'arrosant la bouche de sa cyprine. Je l'avalai presque tout… puis je me levai, m'approchai de Simona, et l'embrassai brutalement. Je lui rendis ce qui restait sur ma langue. Elle gémit, surprise, excitée, et m'attrapa les hanches.
« Tiens. C'est à toi », lui soufflai-je.
Tout le monde explosa de rire. L'ambiance était brûlante. Mes cuisses étaient trempées. Je savais que rien ne serait plus comme avant.
Mais ce que je n'avais pas prévu, c'était ce que Simona venait de déclencher en moi.
Pendant qu'elle jouissait contre ma bouche, pendant que je la sentais vibrer, tendue, offerte, quelque chose s'était ouvert en moi. Pas juste du désir. Pas juste de l'excitation animale, même si elle était bien là, brûlante, impérieuse. C'était autre chose. Une faille, peut-être. Ou une révélation. Un vertige.
J'avais aimé ça. Pas seulement le goût de sa peau, la texture de son plaisir, la chaleur entre ses cuisses. J'avais aimé la façon dont elle se laissait aller. Sa confiance. Sa manière d'abandonner son contrôle dans ma langue.
Et j'avais aimé l'effet que ça avait eu sur moi.
Je tremblais encore. Pas de fatigue. De manque.
Quand je l'ai embrassée après, quand je lui ai rendu le goût de son propre orgasme, ce n'était pas un jeu. Pas un défi. C'était une offrande. Et une vengeance douce, aussi. Parce que dans ce baiser, j'ai voulu qu'elle sente à quel point elle m'avait troublée. À quel point elle m'avait prise.
Je ne savais plus très bien qui j'étais, là, au milieu de tous ces corps en sueur et ces rires nerveux.
Je savais juste que j'en voulais encore.
Et que si quelqu'un avait tiré un papier avec mon nom dessus, j'aurais tout accepté.
Même ce que je ne comprenais pas encore.
C'était il y a cinq ans, un soir de mai, quelque part dans la périphérie de Kiev.
Je m'en souviens comme d'une chaleur qui montait lentement, d'un crépuscule qui collait aux murs, et de mon corps qui réagissait à tout — au vent tiède, aux parfums de la ville qui renaît, à cette lumière orange qui caressait les vitres.
Le printemps avait quelque chose de dérangeant, presque indécent.
Comme si les corps voulaient trop vite rattraper ce qu'ils avaient perdu pendant l'hiver. Les vêtements devenaient plus fins, les gestes plus paresseux, les regards plus lents. Moi aussi, je me sentais différente. Moins sage. Plus vulnérable peut-être… ou simplement plus disponible.
Ivan m'avait invitée pour ses 26 ans. Un ami d'enfance. Ou plutôt un grand frère un peu incestueux, avec qui j'avais toujours entretenu une sorte de tension trouble et épisodique. Il avait cette manière de me regarder comme une fille qu'on connaît depuis toujours, mais qu'on redécouvre avec les années — et avec le corps qui change.
Il m'avait protégée plus d'une fois, parfois conseillé, parfois engueulée, parfois baisé. Mais ce soir-là, il était juste torse nu sur le seuil de son appartement, un short lâche sur les hanches, un sourire paresseux aux lèvres.
Je portais une robe corail, courte. Trop courte peut-être.
Je ne portais rien dessous. J'avais envie qu'on le devine, sans que ce soit dit.
Nick, mon copain depuis peu, m'avait accompagnée. Il était beau, jaloux, un peu brutal dans sa manière de me toucher. Il posait sa main sur mes reins comme un avertissement. Mais ce soir-là, je ne voulais pas être avertie. Je voulais être observée. Désirée.
L'appartement d'Ivan était beau, épuré. Parquet clair, murs blancs, et cette baie vitrée immense qui ouvrait sur la ville. On entendait les rires des voisins, les klaxons au loin, le vent léger qui entrait par la fenêtre entrouverte. La soirée s'annonçait simple. Vin, musique, chaleur. Et quelque chose d'autre. Quelque chose sous la peau.
D'autres arrivèrent peu à peu. Simona, une rousse très belle, italienne avec une poitrine généreuse, accompagnée d'une amie discrète et féline, Anya. Les deux étaient proches, trop proches pour être "juste des amies".
Svetlana, pulpeuse à souhait, en robe à fleurs qui s'ouvrait sur une cuisse longue et musclée ; Julia, cheveux courts, moulée dans un legging blanc si transparent qu'on devinait presque tout. Andreï avec ses lunettes qui lui donnaient une tête de geek, timide, collé à la fenêtre comme s'il cherchait une issue. Et enfin, Sergueï, massif, musclé, le genre de type qu'on remarque même quand il ne dit rien. Il fréquentait la même salle de sport que moi, mais c'était la première fois qu'on échangeait plus qu'un regard. Il était déjà hilare, deux verres dans les mains.
Quatre filles et quatre garçons… tout un programme.
On a mangé des plats simples, bu du vin moldave et de la vodka. Très vite, les rires ont fusé. Il faisait chaud, les fenêtres restaient ouvertes, et certains garçons avaient retiré leur t-shirt. Les filles remontaient leurs jupes en s'asseyant, dévoilant des cuisses nues, bronzées par les premiers soleils. L'atmosphère était détendue, moite, presque animale.
Puis, quelqu'un lança l'idée d'un vérité ou action. Tout le monde rit et Andreï dit que c'était pour les ados. Ivan proposa une idée un peu différente : chacun allait écrire un défi sur un petit morceau de papier, les plier, et les glisser dans un bol. On tirerait au sort, chacun son tour. Pas de vérités, pas de choix. Juste l'audace, ou l'abandon. Les filles riaient, un peu nerveuses. Les garçons étaient surexcités et se lançaient des regards de défi.
Je sentis mon cœur battre plus fort sans comprendre pourquoi. Ce n'était qu'un jeu, non ?
Mais en voyant les mains trembler un peu, les sourires forcés, les yeux qui brillaient déjà, je compris que ce soir-là, on n'allait pas tricher.
Le premier tirage fut pour Andreï. Il lut, pâlit un peu, et se mit à rire nerveusement.
« Faire le tour du pâté de maison complètement nu. »
On hurla. Il hésita. Puis, sans un mot, il se déshabilla, posa ses vêtements sur la table, et sortit. Son corps maigre disparut dans la lumière orange des lampadaires.
On s'était tous penchés à la fenêtre, morts de rire, les coudes sur la rambarde. En bas, une vieille femme cria quelque chose. Andreï courait, les fesses blanches exposées, en riant comme un gosse.
Quand il revint, les joues écarlates, on l'applaudit. Il remit lentement son caleçon, encore essoufflé. L'atmosphère avait changé.
Je tirai à mon tour. Ivan lut à haute voix, le sourire en coin :
« Embrasse Simona, avec la langue. Longtemps. »
Mon cœur fit un bond. Elle me regardait déjà, un sourcil relevé. J'avançai vers elle, m'assis sur ses genoux, glissai mes mains sur ses joues. Nos bouches se trouvèrent sans hésiter. Sa langue effleura la mienne avec une douceur inattendue. Elle soupira contre mes lèvres, et je sentis ses mains se poser sur mes hanches.
Tout autour, le silence. Puis quelques respirations. J'avais chaud. Trop chaud. Mes cuisses se contractaient, et j'avais envie de plus.
Quand je me reculais enfin, Simona gardait les yeux mi-clos, comme ivre. Un murmure de rires s'éleva, mais pas moqueur. Plutôt… admiratif.
Anya, assise en retrait, ne souriait pas. Son regard sur moi avait changé.
Cétait le tour de Julia, un peu rouge, elle tira à son tour un papier : elle devait jouer les putes dans le hall de l'immeuble pendant dix minutes, en mini-jupe et talons, super vulgaire et sexy et héler les passants comme si elle y croyait vraiment. Une voiture noire s'est approchée. Elle a joué son rôle et c'est penché à la fenêtre coté passager, puis on l'a entendu crier après le conducteur qui a démarré en trombe. On appris après, qu'il se masturbait et a jouis en la regardant.
Ce jeux nous excitait et nous avons fait un second tour de papier. On riait, on transpirait, on bandait. Et les papiers continuaient de circuler avec des défis plus osés.
Le défi suivant fut pour Svetlana et Sergueï.
Ivan lut le papier à voix haute : « Une fellation complète, ici et maintenant. Avec obligation d'avaler. »
Un silence tendu s'abattit. Mais Svetlana, imperturbable, s'agenouilla devant Sergueï, ouvrit sa braguette, et sans un mot, le prit en bouche. Sa langue glissait, ses joues creusaient, sa bouche travaillait comme une experte. Julia, à côté, tremblait de colère, ou de jalousie. En quelques minutes, il gémissait, et jouit violemment dans la gorge de Svetlana. Elle avala, s'essuya, et se rassit comme si de rien n'était.
Puis vint le tour d'Anya. Elle tira un papier, le lut, impassible.
Ivan annonça : « Embrasse une fille que tu n'as jamais embrassée, et fais-la jouir avec ta bouche devant tout le monde. »
Elle se tourna lentement vers Julia. Les deux femmes ne s'étaient jamais touchées. Anya la saisit par les hanches, l'embrassa à pleine bouche, puis la poussa sur le canapé, écarta sa culotte et plongea sa langue entre ses lèvres intimes. Julia résista un instant, puis fondit. Elle haletait, les cuisses grandes ouvertes, pendant qu'Anya léchait, suçait, avalait son plaisir. Elle jouit en gémissant fort, les doigts crispés dans les cheveux d'Anya.
Nick tira à son tour : « Choisis deux filles et branle-toi entre elles jusqu'à éjaculer sur leur poitrine. »
Il hésita, puis nous désigna, Simona et moi. On s'agenouilla côte à côte, seins nus, collées l'une à l'autre. Il se branla entre nos poitrines, haletant, puis jouit en grognant, éclaboussant nos seins. Simona en prit sur son doigt, me l'étala lentement sur le téton, puis le lécha sensuellement.
Ivan eut ensuite son défi : « Choisis une fille. Mets-lui un doigt dans le cul en la prenant en levrette, sous les yeux de tous. »
Il m'attrapa sans me demander, me fit me pencher sur la table basse, souleva ma robe. Je sentis son doigt lubrifié glisser entre mes fesses, pénétrer mon anus pendant qu'il m'embrochait lentement. Les va-et-vient étaient lents, puissants, contrôlés. Je me cambrais, je gémissais, offerte. Il se retira juste avant de jouir, me laissant pantelante.
Simona fut la suivante. Ivan lut : « Suce une queue pendant qu'une fille te lèche la chatte. Et jouis. »
Elle choisit Andreï, puis me fit signe. Elle se mit à genoux devant lui, le prit en bouche avec une lenteur érotique. Je m'agenouillai derrière elle, glissai ma langue entre ses cuisses ouvertes. Elle était trempée, déjà proche. Je la suçais, je l'avalais. Ses gémissements étaient étouffés par la queue qu'elle pompait avec ardeur. Elle jouit, en criant contre le sexe d'Andreï, les jambes tremblantes et m'arrosant la bouche de sa cyprine. Je l'avalai presque tout… puis je me levai, m'approchai de Simona, et l'embrassai brutalement. Je lui rendis ce qui restait sur ma langue. Elle gémit, surprise, excitée, et m'attrapa les hanches.
« Tiens. C'est à toi », lui soufflai-je.
Tout le monde explosa de rire. L'ambiance était brûlante. Mes cuisses étaient trempées. Je savais que rien ne serait plus comme avant.
Mais ce que je n'avais pas prévu, c'était ce que Simona venait de déclencher en moi.
Pendant qu'elle jouissait contre ma bouche, pendant que je la sentais vibrer, tendue, offerte, quelque chose s'était ouvert en moi. Pas juste du désir. Pas juste de l'excitation animale, même si elle était bien là, brûlante, impérieuse. C'était autre chose. Une faille, peut-être. Ou une révélation. Un vertige.
J'avais aimé ça. Pas seulement le goût de sa peau, la texture de son plaisir, la chaleur entre ses cuisses. J'avais aimé la façon dont elle se laissait aller. Sa confiance. Sa manière d'abandonner son contrôle dans ma langue.
Et j'avais aimé l'effet que ça avait eu sur moi.
Je tremblais encore. Pas de fatigue. De manque.
Quand je l'ai embrassée après, quand je lui ai rendu le goût de son propre orgasme, ce n'était pas un jeu. Pas un défi. C'était une offrande. Et une vengeance douce, aussi. Parce que dans ce baiser, j'ai voulu qu'elle sente à quel point elle m'avait troublée. À quel point elle m'avait prise.
Je ne savais plus très bien qui j'étais, là, au milieu de tous ces corps en sueur et ces rires nerveux.
Je savais juste que j'en voulais encore.
Et que si quelqu'un avait tiré un papier avec mon nom dessus, j'aurais tout accepté.
Même ce que je ne comprenais pas encore.
→ Qu'avez-vous pensé de cette histoire ??? Donnez votre avis...
→ Autres histoires érotiques publiées par Miss_Sexcret
0 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Soyez le premier à donner votre avis après lecture sur cette histoire érotique...

