UNE QUEUE DANS MA VIE (partie 1)

- Par l'auteur HDS Miss_Sexcret -
Auteur femme.
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Récit libertin : UNE QUEUE DANS MA VIE (partie 1) Histoire érotique Publiée sur HDS le 14-09-2025 dans la catégorie Entre-nous, les femmes
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UNE QUEUE DANS MA VIE (partie 1)
Ce fantasme part d’une idée simple mais puissante : qu’arriverait-il si une femme se réveillait un matin avec un sexe masculin entre les jambes ? Pas une transformation progressive. Pas une opération. Un changement soudain, inexplicable, total.

L’enjeu du fantasme n’est pas de “devenir un homme”, mais de vivre, en tant que femme, l’expérience physique et psychique d’un sexe masculin. Ce fantasme interroge aussi l’équilibre du genre, la place du pouvoir dans l’acte sexuel, le rapport au corps, et le trouble que peut provoquer un tel bouleversement. Il permet une exploration crue mais consciente, sensorielle mais réfléchie, des dynamiques sexuelles inversées.

L’histoire qui en découle c’est qu’est ce que je ferais, MOI, Kristina.

UNE QUEUE DANS MA VIE (partie 1)

Je me suis réveillée en sursaut, le corps moite, l’esprit encore englué dans un rêve trop flou pour être raconté. La lumière pâle du matin filtrait à travers les rideaux de mon studio, quelque part entre République et Oberkampf. Il faisait chaud, lourd. J’avais dormi nue, comme souvent.

Je ne sais pas ce qui m’a réveillée exactement. Peut-être la chaleur de cette matinée parisienne étouffante, ou ce rêve étrange, confus, dont il ne restait qu’un goût d’interdit. Peut-être autre chose.

Je suis restée allongée un instant, les paupières encore fermées, les draps froissés autour de moi, enroulée dans ma propre nudité. Je dormais nue, comme presque toujours. Et pourtant… quelque chose n’allait pas.

Une gêne. Un poids. Une sensation nouvelle, impossible à nommer. Quelque chose entre mes cuisses. Quelque chose de trop.

Je fronce les sourcils, remue légèrement. Et là, je sens. Pas juste une gêne. Pas juste un frottement. Un poids. Une masse tiède, dense, comme un petit animal endormi contre moi.

J’ouvre les yeux d’un coup.

Je soulève brusquement la couette, le cœur battant, encore prise entre le sommeil et la panique. Et là… je bloque. Je reste immobile. Le souffle coupé.

Il me faut quelques secondes pour comprendre ce que je regarde. Je me redresse, lentement, sans oser toucher. Je suis réveillée. Ce n’est pas un rêve.

Entre mes jambes, ma chatte a disparu. Et à sa place, il y a… une bite.

Oui. Une queue. Une vraie. Une belle queue d’homme, mi-dure, veinée, posée sur un coussin de testicules parfaitement formés. Et c’est attaché à moi.

Je la regarde sans comprendre, la gorge nouée. Je veux crier, hurler, mais rien ne sort. Juste un murmure rauque. — Qu’est-ce que c’est que ce bordel…

Je passe une main tremblante sur mon ventre, puis plus bas. Je frôle les poils pubiens, mon mont, ou ce qu’il en reste. Et je la touche. Ma main rencontre cette peau chaude, vivante, douce et tendue. C’est moi. C’est vraiment moi. Elle réagit immédiatement. Elle tressaille.

Je recule, affolée, comme si elle allait me sauter au visage.

Je reste là, assise sur mon lit, les jambes écartées, nue, vulnérable, et profondément bouleversée.

Où est passée ma chatte ? Ma chatte que j’ai connue toute ma vie. Celle que j’ai lavée, caressée, donnée, offerte, parfois vendue. Celle qui m’a définie, qui m’a construite. Cette fente intime, secrète, cette porte vers le plaisir et la douleur, le pouvoir et la soumission. Disparue.

Et cette chose, cette bite… ma bite maintenant… Je n’ai jamais eu ça. Je ne sais pas quoi en faire. Et pourtant, elle est là. Lourde. Présente. Inévitable.

Je tends la main à nouveau. Cette fois, lentement. Mes doigts enroulent la base, avec une crainte animale, presque religieuse. Elle est tiède. La peau est douce, mais ferme dessous. Je la serre un peu. Elle se gonfle.

Putain.

Elle réagit. Elle vit. Et je sens tout. Je sens cette montée étrange dans le bas-ventre, comme une vague. Mon cœur s’emballe. Ma respiration s’accélère.

J’ai une queue. Et elle bande.

Je panique. Me lève d’un bond, titube jusqu’au miroir au-dessus du lavabo. Je me regarde. Entièrement nue. Je suis toujours moi. Mes cheveux, mes seins, ma bouche. Mes clavicules saillantes. Mon ventre plat. Mais cette bite fière et lourde, plantée entre mes cuisses, me donne une silhouette différente. Presque une autre énergie. Et le pire… c’est que je ne la trouve pas moche.

Elle est belle. Et elle me fait peur.

Je suis restée là, debout, face au miroir, le souffle court. La lumière du matin découpait mon corps dans le reflet. Je me reconnaissais. Mais je n’arrivais pas à me reconnaître.

Ma silhouette était la même — ou presque. Mais cette bite… Elle attirait tout. Mon regard. Mes pensées. Ma peur. Mon désir.

Elle était dressée, à moitié seulement, mais fière déjà. Une tension pulsait à sa base, remontait par l’axe jusqu’au gland qui brillait d’un peu de liquide transparent. Je sentais chaque battement de mon cœur dans cette chose nouvelle, imposante, mystérieuse. Elle ne se contentait pas d’être là : elle exigeait, elle appelait.

Je me suis assise sur le bord de la baignoire. J’avais les jambes tremblantes.

Je l’ai prise dans ma main. Encore.

Cette fois, je voulais comprendre. La peau glissait doucement, le prépuce remontait et laissait apparaître le gland. J’ai frissonné. La moindre caresse déclenchait des vagues sous ma peau. Je ne savais pas que c’était si sensible. Ça brûlait presque.

Je l’ai laissée glisser entre mes doigts, de haut en bas. D’abord lentement. Puis avec plus d’assurance. Elle a durci, encore. Je la voyais grandir dans ma main, s’épaissir, se tendre. C’était… animal. J’ai écarté les jambes sans y penser. Mon autre main a glissé plus bas, entre mes cuisses.

Mais là où je m’attendais à sentir l’ouverture familière de ma chatte, il n’y avait que la base de ma queue, et plus bas, la peau plissée, les deux testicules qui reposaient sur mon périnée. Je les ai effleurés. Ils ont réagi. Légèrement. Comme s’ils battaient doucement, eux aussi.

Ce n’était pas que de la chair. C’était un centre. Une source. Un organe vivant.

Je me suis levée d’un coup. J’avais besoin d’eau.

L’eau a coulé longtemps avant que j’ose y entrer. Je suis restée devant, à la regarder tomber, les jambes écartées, la queue en érection, comme une étrangère dans ma propre salle de bain.

Puis j’ai avancé, doucement, sous le jet tiède.

L’eau a glissé sur ma poitrine, mes hanches, mes cuisses… et puis sur elle. Ma bite.

Je ne m’y ferai jamais à ce mot. Et pourtant, elle était là. Et elle adorait ça.

Le jet rebondissait sur mon gland, glissait entre les plis du prépuce, faisait vibrer les veines de la hampe. Je gémissais. Pas un gémissement féminin. Un son plus grave. Plus intérieur.

Je me suis savonnée. Lentement.

J’ai fait mousser mes mains, et j’ai saisi ma queue avec les deux paumes. Le savon rendait tout plus doux, plus fluide. Je me branlais sous la douche. Avec rythme. Avec pression.

Je n’arrivais plus à penser. Je bandais à pleine force. Ma queue était rouge, gonflée, prête à exploser.

Je l’ai senti venir.

C’était différent. Ça montait plus vite. Ça me prenait les reins, les fesses, les cuisses.

Et puis j’ai joui.

J’ai crié. Ma tête s’est renversée contre le carrelage. Ma bite a craché plusieurs jets épais contre le mur de la douche. J’ai senti chaque contraction comme un coup de tonnerre dans mes entrailles.

Je suis restée là, haletante, couverte d’eau et de foutre, les jambes tremblantes.

Et ce n’est qu’à ce moment-là que j’ai compris.

Je voulais recommencer. Encore. Et encore.

Je suis sortie de la douche encore étourdie, une serviette autour des hanches, la bite à moitié molle, mais toujours là. Ma queue.

J’avais déjà vu, touché, sucé, chevauché des dizaines de bites. Je connaissais leur odeur, leur goût, leurs réactions. Je savais exactement comment serrer les doigts, comment accélérer ou ralentir. Je savais ce qu’un homme ressentait. Ou je croyais savoir.

Mais là, maintenant, ce n’était plus un objet entre mes mains. Ce n’était plus son plaisir. C’était le mien. Ma queue. Mes couilles. Mon foutre. Et je ne savais toujours pas pourquoi.

Pourquoi ? Pourquoi moi ? Pourquoi maintenant ?

J’ai marché lentement dans l’appartement, une main sur ma hanche, l’autre tenant la serviette qui commençait à glisser. Je sentais mes testicules se balancer doucement entre mes cuisses, vivants, fragiles, sensibles. La peau collait un peu. Il faisait chaud. Et j’avais une envie étrange.

Je devais pisser.

Je me suis arrêtée, un instant figée. Putain. Pisser. Comment on fait ?

Je suis allée aux toilettes, hésitante, presque gênée. J’ai baissé la lunette. Me suis mise devant. Pieds écartés. J’ai tenu ma queue d’une main. Relevé le prépuce du pouce.

Une autre main s’est posée par réflexe sur ma hanche.

Et j’ai laissé faire.

Le jet est sorti, d’abord hésitant, puis clair, puissant, direct.

Ça faisait un bruit nouveau. Une trajectoire plus sèche. Et je ressentais tout dans le canal, tout le long de la tige.

C’était bizarre. Jouissif, presque.

Je pissais debout, contre la porcelaine, comme un mec. Mais j’étais Kristina. Toujours. Et ça me faisait sourire. Un mélange de fierté et de vertige.

Quand j’ai secoué ma queue d’un petit geste sec — réflexe copié d’un ex — j’ai ri nerveusement.

Je me suis essuyée, quand même, par habitude. Puis j’ai relevé la tête.

Et c’est là que la vraie question est arrivée. Pas comment. Mais pour quoi faire ?

Qu’est-ce que j’allais faire avec ça ? Qu’est-ce que ça voulait dire ? Est-ce que c’était temporaire ? Est-ce que c’était… magique ? Psychologique ? Chimique ? Est-ce que quelqu’un me l’avait fait ? Ou… est-ce que je l’avais voulu ?

Et surtout… À qui j’allais bien pouvoir en parler ?

Pas mes parents. Pas mes profs. Pas les mecs. Pas Yuri.

Peut-être Clémence.

Clémence, c’était… un mystère. Ma copine. Mon ex. Ma presque sœur. On s’était tout dit, tout montré. Elle avait vu ma chatte des dizaines de fois. Elle l’avait embrassée, baisée, adorée.

Mais est-ce qu’elle accepterait de voir ça ?

Et si oui… est-ce qu’elle voudrait l’essayer ?

Rien qu’à y penser, ma queue s’est mise à gonfler à nouveau sous la serviette.

Je n’étais pas prête. Mais j’étais curieuse. Et curieuse, chez moi… ça finit souvent nue.

Je suis restée longtemps devant mon armoire, les mains sur les hanches, à fixer mes vêtements comme si c’étaient des ennemis. Rien n’était prévu pour ça. Tout était trop étroit, trop moulant, trop féminin.

Je n’avais que des strings, des culottes fines, des jupes fendues, des pantalons taille haute. Et là, entre mes cuisses, une queue semi-dure et deux couilles qui pendaient comme des fruits défendus. Comment j’étais censée ranger ça ?

J’ai essayé un string noir en coton. Résultat : ridicule. Ma bite dépassait par-dessus, comme un bananier qui se prend pour une fraise.

Je l’ai enroulée sous moi, façon tuck, avec du papier toilette pour la caler. Mais dès que je bougeais, ça glissait, ça collait, ça gonflait à nouveau. Impossible à contenir.

Je me suis assise sur le lit, frustrée, le sexe compressé, en sueur.

Il fallait trouver autre chose.

Finalement, j’ai opté pour un legging épais sous une jupe fluide. Pas très discret si je bandais, mais au moins ça planquait l’ensemble sans trop me couper la circulation sanguine.

Avant de sortir, je me suis regardée dans le miroir. Un petit haut blanc, la jupe qui flotte, les cheveux attachés, un peu de rouge à lèvres. J’avais l’air normale. Mais je savais. Sous la jupe, mon secret battait doucement, comme un cœur parallèle.

Clémence allait halluciner.

Je suis descendue avec mon vélo. Il faisait beau, chaud, presque trop. Paris vibrait. J’ai calé mes écouteurs, monté sur la selle… et là — ERREUR FATALE.

Un coup. Un choc. Violent. Direct. Ma selle s’est enfoncée juste entre mes cuisses. Et mes couilles ont tout pris.

La douleur m’a coupé le souffle. Pas une douleur ordinaire. Une douleur profonde, sourde, qui monte lentement dans le ventre, puis explose en nausée. J’ai cru que j’allais vomir.

Je me suis recroquevillée sur le guidon, les yeux fermés, grognant entre mes dents. — Putain, mais qui a inventé ce délire ?!

Je n’avais jamais imaginé que ce serait ça, avoir des couilles. Je comprenais tout d’un coup pourquoi les mecs deviennent si blancs dès qu’on les touche un peu trop fort. Et j’en voulais à la terre entière.

Je suis descendue de la selle, pliée en deux, marchant comme un cowboy mal baisé. J’ai respiré un grand coup. Et j’ai marché, le vélo à la main. Pas question de reprendre ce putain de deux-roues sans armure.

(à suivre)

Les avis des lecteurs

Histoire Erotique
As-tu déjà lu l'extraordinaire BD de VINCE-ZEP ?
Je ne t'en dis pas plus, tu adoreras !..

Philippe

Histoire Erotique
As-tu déjà lu l'extraordinaire BD ESMERA de VOINCE- ZEP ?
Je ne t'en dis pas plus, tu adoreras !

Philippe

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As-tu déjà lu l'extraordinaire BD : ESMERA de Vince-Zep ?
Je ne t'en dis pas plus, mais tu adoreras !!!

Philippe

Histoire Erotique
Très original, surprenant, agréable à lire. Une suite, peut être !
Ledid

Histoire Erotique
Original, surprenant, agréable à lire.
Une suite,peut être !!

Histoire Erotique
Très original, surprenant mais agréable à lire. Une suite , peut être !!



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