UNE QUEUE DANS MA VIE (partie 2)

Récit érotique écrit par Miss_Sexcret [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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UNE QUEUE DANS MA VIE (partie 2)
Précédemment...
Je me suis réveillée dans mon studio parisien avec une sensation étrange entre les jambes. Ma chatte avait disparu — remplacée par une vraie bite, lourde, vivante, et impossible à ignorer.
Depuis, je découvre ce nouveau sexe, entre vertige, plaisir brut, maladresses… et cette question que je n’arrive pas à faire taire : qu’est-ce que je vais faire de ça ?
UNE QUEUE DANS MA VIE (partie 2)
Clémence habitait à vingt minutes à pied. Je suis partie, doucement, le cœur battant. Je ne savais pas encore si j’allais lui montrer. Mais une chose était sûre : je ne pouvais pas garder ça pour moi.
J’ai gravi les marches jusqu’au deuxième étage, encore un peu bancale, la main posée sur la rampe, comme si j’avais appris à marcher ce matin. Mes cuisses frottaient légèrement, mes testicules collées dans le legging, toujours sensibles. Je me sentais étrangère dans mon propre corps.
Je sonne. Une fois. Deux fois. J’ai les paumes moites.
Clémence m’ouvre en short et en t-shirt, un mug à la main. Elle m’embrasse sur la joue, me scrute immédiatement.
— Tu fais une sale tête, Kristina. T’as dormi ? T’as pris des trucs ?
Je rentre sans répondre. Elle referme la porte. J’ai du mal à respirer. Mon cœur tape trop vite.
Je m’assieds sur son canapé, jambes serrées, les paumes sur mes cuisses. La présence de ma queue entre mes jambes me gêne. Elle pousse, s’étale, attend.
Clémence s’installe face à moi. Elle me regarde. Elle attend.
— Il faut que je te dise un truc… un truc bizarre. Et je sais pas comment le dire.
Elle penche un peu la tête, intriguée.
— Tu sais que tu me fais flipper, là ?
Je souffle. J’ose pas la regarder.
— Ce matin… quand je me suis réveillée… mon corps avait changé.
— Quoi, genre… une bosse ? Une maladie ?
— Non. Je lève les yeux vers elle. — J’ai une bite, Clémence.
Silence. Elle cligne des yeux.
— Pardon ?
— Je suis sérieuse. Je me suis réveillée avec une queue. Une vraie. Elle bande. Elle jouit. J’ai pissé debout ce matin. Je la fixe. — Et je comprends pas. Je suis toujours moi. Kristina. J’ai rien demandé.
Clémence me regarde. Son visage passe de la surprise à la suspicion.
— Attends. Tu veux dire que t’as fait une opération ? Un genre de transformation ? Et tu me le dis comme ça ?
Je secoue la tête, tendue.
— Non ! Rien de tout ça. Je me suis endormie avec ma chatte, et ce matin elle avait disparu. J’ai rien décidé. Je suis pas un mec, Clémence. Je suis toujours une femme. Juste… avec une queue.
Elle reste figée. Son regard glisse vers mon bas-ventre. Elle parle plus doucement.
— T’es sérieuse ? C’est arrivé… comme ça ?
Je hoche la tête.
— Et tu comptes faire quoi… avec ça ? Avec une aussi belle bite ?
Je frémis. Elle ne l’a même pas vue encore, mais elle dit ça avec une voix étrange. Moqueuse et excitée.
— Je sais pas, dis-je. Je voulais te le dire. À toi.
Elle se lève. Me regarde de haut. — Montre-moi.
— Tu veux dire…
— Montre. Ta bite.
Je me lève, lentement. Mes mains glissent sous la jupe. J’enlève le legging. Puis le string. Et je la laisse tomber.
Ma queue jaillit à la lumière, semi-dure, gonflée d’adrénaline. Mes couilles suivent, lourdes, pleines. Clémence fixe. Ses lèvres s’entrouvrent.
Elle souffle.
— C’est pas une illusion…
Je ne réponds pas.
Elle s’approche. Très près.
— C’est une vraie putain de bite. Elle me regarde dans les yeux. — T’as déjà joui ?
— Deux fois ce matin.
— Et ça bande ? Comme ça ?
Elle effleure la base du gland sans le toucher. Je frémis.
— Elle est sensible, dis-je. Très.
— Et t’as pas peur de l’utiliser ?
Je hausse les épaules, dans un souffle. — Je sais pas. J’ai envie. Mais je veux pas… te faire fuir.
Clémence se met à genoux. Elle passe les doigts sur ma peau, autour du sexe, sans le prendre.
— Tu sais ce qu’on dit d’un instrument… Elle relève les yeux, son regard brûle. — Faut savoir si t’as les couilles de t’en servir.
Je bande. Pour de bon cette fois.
Et elle sourit.
— Tu vas me laisser explorer les capacités de ta queue, Kristina ?
Je ne bougeais plus. J’étais nue du bas, debout dans son salon. Et elle, à genoux devant moi. Son regard planté dans le mien. Ma queue, dressée entre nous, palpitait comme une bête qui sentait venir la main.
Clémence avait changé d’expression. Ce n’était plus la surprise. Ni la gêne. C’était autre chose. Un mélange d’envie, de douceur… et de respect. Comme si elle s’approchait d’un animal rare, dangereux peut-être, mais magnifique.
Elle posa ses mains sur mes hanches. Juste là. Sa peau contre la mienne.
Je tremblais. De chaleur. De trac. D’excitation pure.
Elle approcha son visage. Très lentement. Ses lèvres entrouvertes. Ses cils frôlant ma peau.
Et puis, sans un mot, elle effleura le bout de ma queue avec sa bouche.
Un contact si léger que j’ai eu l’impression que le sol s’ouvrait sous moi. Mon sexe a tressailli, une secousse comme une décharge. J’ai haleté. Un gémissement m’a échappé, malgré moi.
— Tu es si sensible, murmura-t-elle.
Et elle recommença. Un baiser. Puis un autre. Son souffle chaud sur mon gland. Ses lèvres douces qui picoraient la peau, exploraient les veines, contournaient la base.
Je n’avais jamais ressenti ça. C’était… trop. Trop intense, trop intime, trop délicieux.
Et je ne faisais rien. Je ne pouvais que rester debout, jambes un peu tremblantes, et recevoir.
Clémence entrouvrit la bouche. Sa langue sortit. Elle la posa sur le frein, juste en dessous du gland. Un endroit minuscule. Mais j’ai gémi comme si elle avait touché mon âme.
Elle sourit. Et elle lapa doucement le pourtour, comme un fruit. Puis, sans prévenir, elle m’engloutit.
Ma queue a glissé dans sa bouche, lentement, sentant chaque millimètre de sa langue, de ses lèvres, de son palais.
Je me suis arc-boutée en arrière, attrapant ses cheveux d’une main. Je ne voulais pas la guider. Juste m’accrocher.
Elle bougeait lentement. Très lentement. Ses lèvres glissaient, épousaient la forme, l’accompagnaient avec une tendresse presque religieuse. Sa langue tournait, caressait. Elle me suçait comme on découvre un secret.
Chaque va-et-vient m’arrachait un frisson, un spasme, un souffle coupé.
Je regardais sa tête aller et venir, sa bouche pleine de moi, et je ne reconnaissais plus rien. Ni mon corps. Ni ma voix. Ni mon plaisir.
Je devenais autre. J’étais cette queue tendue dans sa bouche. Cette bête douce qui glissait entre ses lèvres.
— Clémence… je vais…
Elle ne répondit pas. Elle ne s’arrêta pas.
Au contraire, elle prit ma queue plus profondément. Je sentis sa gorge vibrer contre mon gland. Et là… j’ai craqué.
L’orgasme est monté comme une vague noire, rapide, impitoyable. Je me suis cambrée. J’ai gémi fort, honteusement fort. Et j’ai joui. Dans sa bouche.
Un jet. Deux. Trois. Je sentais chaque pulsation, chaque décharge traverser ma queue, mes reins, mon ventre. Et elle… elle ne bougeait pas. Elle avalait. Tout. Ses mains caressaient mes hanches. Sa bouche restait chaude, accueillante.
Quand elle se releva, lentement, elle me regarda dans les yeux. Ses lèvres étaient humides. Ses joues rosées.
— Tu viens de vivre ta première pipe, murmura-t-elle.
Je n’ai rien dit. J’étais encore suspendue dans l’après.
Elle sourit. Et s’approcha.
— Tu sais quoi, Kristina ? Je hoche la tête, incapable de parler.
Elle m’embrasse, doucement. Et je goûte sur ses lèvres le sel de mon nouveau corps.
Le soleil commençait à descendre lentement derrière les toits. Dans la chambre de Clémence, l’air était chaud, immobile, chargé d’une lumière dorée.
Nous étions allongées l’une contre l’autre, nues, les jambes mêlées, la sueur séchée sur nos peaux. Je sentais encore le goût de sa salive sur ma queue, la trace de ses lèvres sur ma hanche.
Elle avait glissé une main sur mon ventre. Ses doigts dessinaient des cercles lents autour de mon nombril, effleurant parfois la base de mon sexe devenu flasque, lourd, apaisé.
— Tu le vis comment… tout ça ? demanda-t-elle dans un souffle.
Je fixais le plafond. Je n’avais pas encore de mot.
— C’est étrange, dis-je enfin. J’ai aimé. Ce que tu m’as fait… c’était fou. Inédit. Presque trop. Je marque une pause. — Mais au fond, je pense qu’à une chose.
— Laquelle ?
— Retrouver ma chatte.
Elle tourne légèrement la tête vers moi. Son regard est doux, sans jugement.
— Tu regrettes ?
— Non. Pas exactement. C’est pas ça. Je respire lentement. — C’est comme si… j’étais déguisée. Une version de moi, excitante, troublante… mais pas moi.
Clémence glisse sa jambe sur la mienne, colle ses seins dans mon dos.
— Pourtant, t’étais belle. T’es toujours belle. Mais avec cette queue… c’était comme si tu vibrais autrement. Elle rit doucement. — Et j’ai jamais autant aimé sucer une bite de ma vie. Peut-être parce que c’était toi, justement.
Je souris, malgré moi. Ma main trouve la sienne, l’enlace.
— C’est trop de pouvoir d’un coup, je souffle. Trop d’excitation, trop de tension. J’ai l’impression que ça me dévore de l’intérieur.
Clémence se redresse légèrement, appuie son menton sur mon épaule, et dit :
— Tu veux que je te dise un truc ?
Je tourne la tête vers elle.
— T’as commencé à penser avec ta bite.
Elle me regarde dans les yeux, sérieuse, puis sourit doucement.
— Réfléchis avec ta chatte, Kristina. Tu l’as pas perdue. Elle est là, même si on la voit plus.
Je souris à mon tour, mi-tendre, mi-fataliste.
— Tu crois que je devrais lui donner un nom ?
Clémence éclate de rire. — Seulement si elle revient demain matin.
Je ferme les yeux.
C’est exactement ce qu’il me fallait entendre. Et au fond de moi, ma queue commence déjà à se redresser.
Clémence glisse sa main dessous, sans presser. Elle sent l’érection naître. Elle ne fait rien. Elle laisse faire.
— Alors arrête de penser, murmure-t-elle. — Et laisse-la parler.
Clémence était nue contre moi, la peau moite, les cuisses entrouvertes. Je sentais ma queue durcir à nouveau, gonfler entre nos ventres, sans que je la touche. Simplement à cause de sa voix, de son souffle, de cette idée qui flottait entre nous.
J’ai glissé une main entre ses seins. Puis plus bas. Son ventre, sa hanche, son pubis doux et chaud. Sa chatte était déjà humide.
Elle gémit quand j’ai effleuré sa fente.
— Vas-y, murmura-t-elle. Je te veux. En moi. Maintenant.
Je me suis redressée au-dessus d’elle, les mains de chaque côté de ses épaules. Ma bite dressée glissait entre ses lèvres, collait à son clitoris. Je frottais doucement, la chaleur de sa chatte contre mon gland me rendait folle. Je ne pouvais plus reculer.
Je l’ai pénétrée lentement.
Sa chatte s’ouvrait, chaude, accueillante, lisse. Ma queue glissait centimètre par centimètre à l’intérieur, et je sentais tout. Les parois qui m’engloutissaient. La moiteur. Les contractions. Clémence haletait sous moi.
— Putain… t’es énorme…
J’ai commencé à la baiser doucement. Des va-et-vient lents, profonds. Ma bite coulait en elle comme dans un moule vivant. Je sentais ses jambes me serrer, ses mains agrippées à mes bras.
Je l’ai prise longtemps, savourant chaque mouvement, chaque vibration. Puis elle m’a regardée. Son regard brûlait.
— J’veux sentir ta queue dans ma bouche.
Je me suis retirée, ma queue luisante, battant doucement d’impatience. Elle s’est redressée, s’est mise à genoux. Et elle m’a sucée à nouveau. Mais cette fois, plus vite, plus fort. Elle m’avalait presque entièrement. Elle se branlait en même temps.
Je suis debout au bord du lit, les cuisses tendues, la queue brillante de salive. Clémence est à genoux devant moi, le regard brûlant, les lèvres pleines de moi.
Elle se redresse un peu, ses doigts caressant la base de ma queue, puis plus bas. Et tout à coup, elle prend une inspiration et descend lentement vers mes testicules.
— Elles sont parfaites, murmure-t-elle. — Toutes lisses… douces… comme ta chatte avant.
Je frémis. Ses mots me percutent. Je ne m’y attendais pas. Je baisse les yeux. Elle a mes couilles dans sa paume, les soulève doucement, les pèse.
— Elles te vont bien, tu sais, souffle-t-elle. — Elles sentent encore un peu toi. — Un peu nous.
Elle les embrasse. D’abord un baiser. Puis deux. Puis elle les lèche. Longuement. Sa langue tourne, lèche sous la peau tendue, autour de la base, entre les plis. Je ferme les yeux. C’est tellement sensible. Je n’imaginais pas qu’on pouvait jouir presque rien qu’avec ça.
Elle les gobe une à une. Ses lèvres se referment autour, elle les aspire doucement, les relâche dans un bruit mouillé. Je gémis.
— Clémence…
— Chut. Elle joue, elle suce, elle les savoure.
— T’as plus de chatte, c’est vrai, dit-elle. — Mais ces couilles-là… Elle remonte ses yeux vers moi. — C’est presque pareil. — Elles méritent d’être aimées comme ton ancienne chatte l’a été.
Je suis au bord. Ma queue tape contre son menton, raide, brillante. Je pourrais jouir rien qu’à la sentir les adorer comme ça.
Mais elle se recule, essuie sa bouche.
— Maintenant, dit-elle en se tournant, — je veux sentir ce nouveau toi dans mon cul.
— J’te veux dans le cul, souffle Clémence, le regard brillant, le souffle court.
Elle se tourne à quatre pattes sur le lit, cambrée comme une salope prête à tout. Ses fesses sont superbes, légèrement rougies par mes mains. Elle les écarte un peu, me montrant tout.
Je suis en feu. Ma queue luit de salive et de jus. J’ai envie de la sentir partout.
Je m’agenouille derrière elle. Je vise son petit trou, encore sec.
— Tu veux que je… commence ?
— Vas-y, chuchote-t-elle. Doucement…
Je pose le gland contre son anus et je pousse.
Ça résiste. Je pousse un peu plus. Toujours rien. Clémence serre les dents.
— Attends… attends attends attends.
Je reste figée, la queue en suspens.
— C’est sec comme le désert, là, souffle-t-elle en riant. T’as cru que c’était une prise USB ou quoi ?
Je ris nerveusement, la queue toujours bandée au maximum.
— Merde… j’ai oublié le lubrifiant.
Je cherche autour de moi. Rien. Je me penche, attrape à la volée un petit flacon rose qui traîne au bord de la table de nuit.
— Voilà. C’est ça ?
— Oui, verse généreusement, bébé. Sinon tu vas m’ouvrir comme un pot de confiture.
Je presse le flacon. Le gel glisse sur mes doigts. Je l’étale sur ma queue, puis doucement entre ses fesses. Je masse. J’insiste. Elle soupire, se détend.
— Allez, reprends, dit-elle en se cambrant. — Et cette fois, sans me perforer le rectum.
Je ris, et je replace le gland contre son anus. Je pousse. Lentement.
Cette fois, ça glisse. Ça entre. Mais c’est serré.
— Putain… t’es étroite…
— C’est pas une autoroute, connasse, grogne-t-elle en se mordant les draps.
Je retiens un rire. Et je continue.
Millimètre par millimètre, ma queue s’enfonce dans son cul. C’est brûlant. Une pression incroyable. Ses muscles m’enserrent, m’avalent, me caressent de l’intérieur.
— Ça va ? je souffle.
— Ouais… ouais… maintenant… baise-moi.
Alors je commence à bouger. Lentement. Puis un peu plus vite. Le bruit de mes hanches contre ses fesses. Le clapotement lubrifié. Sa chatte dégouline. Elle se caresse entre les jambes.
Je la prends à fond. Dans le cul. Ma queue entre et sort, puissante, chaude, dure. Clémence gémit comme une truie en chaleur.
— Vas-y… remplis-moi… jouis dans mon cul…
Et je craque.
Je me plante jusqu’à la garde et je jouis, encore, violemment, profondément. Des giclées brûlantes dans ses entrailles.
Je m’effondre sur elle, collée à son dos, les seins contre ses omoplates.
Et elle rit, haletante.
— Bon, OK… t’as pas juste une bite. — T’as la bite.
Je suis restée là, ma queue encore en elle, tremblante, haletante.
Et dans ce silence moite, je l’ai entendue murmurer :
— Tu sais que t’es dangereuse, Kristina ? — Avec une bite comme ça… je suis foutue.
Note d’auteur
J’ai aimé écrire ce fantasme. Et si, comme moi, vous avez envie d’en voir plus… Si vous voulez découvrir jusqu’où Kristina ira avec sa bite — dans d’autres lieux, avec d’autres corps, d’autres envies — faites-moi un signe. Un commentaire, un mot, un souffle. Je saurai que vous êtes prêts pour la suite.
Je me suis réveillée dans mon studio parisien avec une sensation étrange entre les jambes. Ma chatte avait disparu — remplacée par une vraie bite, lourde, vivante, et impossible à ignorer.
Depuis, je découvre ce nouveau sexe, entre vertige, plaisir brut, maladresses… et cette question que je n’arrive pas à faire taire : qu’est-ce que je vais faire de ça ?
UNE QUEUE DANS MA VIE (partie 2)
Clémence habitait à vingt minutes à pied. Je suis partie, doucement, le cœur battant. Je ne savais pas encore si j’allais lui montrer. Mais une chose était sûre : je ne pouvais pas garder ça pour moi.
J’ai gravi les marches jusqu’au deuxième étage, encore un peu bancale, la main posée sur la rampe, comme si j’avais appris à marcher ce matin. Mes cuisses frottaient légèrement, mes testicules collées dans le legging, toujours sensibles. Je me sentais étrangère dans mon propre corps.
Je sonne. Une fois. Deux fois. J’ai les paumes moites.
Clémence m’ouvre en short et en t-shirt, un mug à la main. Elle m’embrasse sur la joue, me scrute immédiatement.
— Tu fais une sale tête, Kristina. T’as dormi ? T’as pris des trucs ?
Je rentre sans répondre. Elle referme la porte. J’ai du mal à respirer. Mon cœur tape trop vite.
Je m’assieds sur son canapé, jambes serrées, les paumes sur mes cuisses. La présence de ma queue entre mes jambes me gêne. Elle pousse, s’étale, attend.
Clémence s’installe face à moi. Elle me regarde. Elle attend.
— Il faut que je te dise un truc… un truc bizarre. Et je sais pas comment le dire.
Elle penche un peu la tête, intriguée.
— Tu sais que tu me fais flipper, là ?
Je souffle. J’ose pas la regarder.
— Ce matin… quand je me suis réveillée… mon corps avait changé.
— Quoi, genre… une bosse ? Une maladie ?
— Non. Je lève les yeux vers elle. — J’ai une bite, Clémence.
Silence. Elle cligne des yeux.
— Pardon ?
— Je suis sérieuse. Je me suis réveillée avec une queue. Une vraie. Elle bande. Elle jouit. J’ai pissé debout ce matin. Je la fixe. — Et je comprends pas. Je suis toujours moi. Kristina. J’ai rien demandé.
Clémence me regarde. Son visage passe de la surprise à la suspicion.
— Attends. Tu veux dire que t’as fait une opération ? Un genre de transformation ? Et tu me le dis comme ça ?
Je secoue la tête, tendue.
— Non ! Rien de tout ça. Je me suis endormie avec ma chatte, et ce matin elle avait disparu. J’ai rien décidé. Je suis pas un mec, Clémence. Je suis toujours une femme. Juste… avec une queue.
Elle reste figée. Son regard glisse vers mon bas-ventre. Elle parle plus doucement.
— T’es sérieuse ? C’est arrivé… comme ça ?
Je hoche la tête.
— Et tu comptes faire quoi… avec ça ? Avec une aussi belle bite ?
Je frémis. Elle ne l’a même pas vue encore, mais elle dit ça avec une voix étrange. Moqueuse et excitée.
— Je sais pas, dis-je. Je voulais te le dire. À toi.
Elle se lève. Me regarde de haut. — Montre-moi.
— Tu veux dire…
— Montre. Ta bite.
Je me lève, lentement. Mes mains glissent sous la jupe. J’enlève le legging. Puis le string. Et je la laisse tomber.
Ma queue jaillit à la lumière, semi-dure, gonflée d’adrénaline. Mes couilles suivent, lourdes, pleines. Clémence fixe. Ses lèvres s’entrouvrent.
Elle souffle.
— C’est pas une illusion…
Je ne réponds pas.
Elle s’approche. Très près.
— C’est une vraie putain de bite. Elle me regarde dans les yeux. — T’as déjà joui ?
— Deux fois ce matin.
— Et ça bande ? Comme ça ?
Elle effleure la base du gland sans le toucher. Je frémis.
— Elle est sensible, dis-je. Très.
— Et t’as pas peur de l’utiliser ?
Je hausse les épaules, dans un souffle. — Je sais pas. J’ai envie. Mais je veux pas… te faire fuir.
Clémence se met à genoux. Elle passe les doigts sur ma peau, autour du sexe, sans le prendre.
— Tu sais ce qu’on dit d’un instrument… Elle relève les yeux, son regard brûle. — Faut savoir si t’as les couilles de t’en servir.
Je bande. Pour de bon cette fois.
Et elle sourit.
— Tu vas me laisser explorer les capacités de ta queue, Kristina ?
Je ne bougeais plus. J’étais nue du bas, debout dans son salon. Et elle, à genoux devant moi. Son regard planté dans le mien. Ma queue, dressée entre nous, palpitait comme une bête qui sentait venir la main.
Clémence avait changé d’expression. Ce n’était plus la surprise. Ni la gêne. C’était autre chose. Un mélange d’envie, de douceur… et de respect. Comme si elle s’approchait d’un animal rare, dangereux peut-être, mais magnifique.
Elle posa ses mains sur mes hanches. Juste là. Sa peau contre la mienne.
Je tremblais. De chaleur. De trac. D’excitation pure.
Elle approcha son visage. Très lentement. Ses lèvres entrouvertes. Ses cils frôlant ma peau.
Et puis, sans un mot, elle effleura le bout de ma queue avec sa bouche.
Un contact si léger que j’ai eu l’impression que le sol s’ouvrait sous moi. Mon sexe a tressailli, une secousse comme une décharge. J’ai haleté. Un gémissement m’a échappé, malgré moi.
— Tu es si sensible, murmura-t-elle.
Et elle recommença. Un baiser. Puis un autre. Son souffle chaud sur mon gland. Ses lèvres douces qui picoraient la peau, exploraient les veines, contournaient la base.
Je n’avais jamais ressenti ça. C’était… trop. Trop intense, trop intime, trop délicieux.
Et je ne faisais rien. Je ne pouvais que rester debout, jambes un peu tremblantes, et recevoir.
Clémence entrouvrit la bouche. Sa langue sortit. Elle la posa sur le frein, juste en dessous du gland. Un endroit minuscule. Mais j’ai gémi comme si elle avait touché mon âme.
Elle sourit. Et elle lapa doucement le pourtour, comme un fruit. Puis, sans prévenir, elle m’engloutit.
Ma queue a glissé dans sa bouche, lentement, sentant chaque millimètre de sa langue, de ses lèvres, de son palais.
Je me suis arc-boutée en arrière, attrapant ses cheveux d’une main. Je ne voulais pas la guider. Juste m’accrocher.
Elle bougeait lentement. Très lentement. Ses lèvres glissaient, épousaient la forme, l’accompagnaient avec une tendresse presque religieuse. Sa langue tournait, caressait. Elle me suçait comme on découvre un secret.
Chaque va-et-vient m’arrachait un frisson, un spasme, un souffle coupé.
Je regardais sa tête aller et venir, sa bouche pleine de moi, et je ne reconnaissais plus rien. Ni mon corps. Ni ma voix. Ni mon plaisir.
Je devenais autre. J’étais cette queue tendue dans sa bouche. Cette bête douce qui glissait entre ses lèvres.
— Clémence… je vais…
Elle ne répondit pas. Elle ne s’arrêta pas.
Au contraire, elle prit ma queue plus profondément. Je sentis sa gorge vibrer contre mon gland. Et là… j’ai craqué.
L’orgasme est monté comme une vague noire, rapide, impitoyable. Je me suis cambrée. J’ai gémi fort, honteusement fort. Et j’ai joui. Dans sa bouche.
Un jet. Deux. Trois. Je sentais chaque pulsation, chaque décharge traverser ma queue, mes reins, mon ventre. Et elle… elle ne bougeait pas. Elle avalait. Tout. Ses mains caressaient mes hanches. Sa bouche restait chaude, accueillante.
Quand elle se releva, lentement, elle me regarda dans les yeux. Ses lèvres étaient humides. Ses joues rosées.
— Tu viens de vivre ta première pipe, murmura-t-elle.
Je n’ai rien dit. J’étais encore suspendue dans l’après.
Elle sourit. Et s’approcha.
— Tu sais quoi, Kristina ? Je hoche la tête, incapable de parler.
Elle m’embrasse, doucement. Et je goûte sur ses lèvres le sel de mon nouveau corps.
Le soleil commençait à descendre lentement derrière les toits. Dans la chambre de Clémence, l’air était chaud, immobile, chargé d’une lumière dorée.
Nous étions allongées l’une contre l’autre, nues, les jambes mêlées, la sueur séchée sur nos peaux. Je sentais encore le goût de sa salive sur ma queue, la trace de ses lèvres sur ma hanche.
Elle avait glissé une main sur mon ventre. Ses doigts dessinaient des cercles lents autour de mon nombril, effleurant parfois la base de mon sexe devenu flasque, lourd, apaisé.
— Tu le vis comment… tout ça ? demanda-t-elle dans un souffle.
Je fixais le plafond. Je n’avais pas encore de mot.
— C’est étrange, dis-je enfin. J’ai aimé. Ce que tu m’as fait… c’était fou. Inédit. Presque trop. Je marque une pause. — Mais au fond, je pense qu’à une chose.
— Laquelle ?
— Retrouver ma chatte.
Elle tourne légèrement la tête vers moi. Son regard est doux, sans jugement.
— Tu regrettes ?
— Non. Pas exactement. C’est pas ça. Je respire lentement. — C’est comme si… j’étais déguisée. Une version de moi, excitante, troublante… mais pas moi.
Clémence glisse sa jambe sur la mienne, colle ses seins dans mon dos.
— Pourtant, t’étais belle. T’es toujours belle. Mais avec cette queue… c’était comme si tu vibrais autrement. Elle rit doucement. — Et j’ai jamais autant aimé sucer une bite de ma vie. Peut-être parce que c’était toi, justement.
Je souris, malgré moi. Ma main trouve la sienne, l’enlace.
— C’est trop de pouvoir d’un coup, je souffle. Trop d’excitation, trop de tension. J’ai l’impression que ça me dévore de l’intérieur.
Clémence se redresse légèrement, appuie son menton sur mon épaule, et dit :
— Tu veux que je te dise un truc ?
Je tourne la tête vers elle.
— T’as commencé à penser avec ta bite.
Elle me regarde dans les yeux, sérieuse, puis sourit doucement.
— Réfléchis avec ta chatte, Kristina. Tu l’as pas perdue. Elle est là, même si on la voit plus.
Je souris à mon tour, mi-tendre, mi-fataliste.
— Tu crois que je devrais lui donner un nom ?
Clémence éclate de rire. — Seulement si elle revient demain matin.
Je ferme les yeux.
C’est exactement ce qu’il me fallait entendre. Et au fond de moi, ma queue commence déjà à se redresser.
Clémence glisse sa main dessous, sans presser. Elle sent l’érection naître. Elle ne fait rien. Elle laisse faire.
— Alors arrête de penser, murmure-t-elle. — Et laisse-la parler.
Clémence était nue contre moi, la peau moite, les cuisses entrouvertes. Je sentais ma queue durcir à nouveau, gonfler entre nos ventres, sans que je la touche. Simplement à cause de sa voix, de son souffle, de cette idée qui flottait entre nous.
J’ai glissé une main entre ses seins. Puis plus bas. Son ventre, sa hanche, son pubis doux et chaud. Sa chatte était déjà humide.
Elle gémit quand j’ai effleuré sa fente.
— Vas-y, murmura-t-elle. Je te veux. En moi. Maintenant.
Je me suis redressée au-dessus d’elle, les mains de chaque côté de ses épaules. Ma bite dressée glissait entre ses lèvres, collait à son clitoris. Je frottais doucement, la chaleur de sa chatte contre mon gland me rendait folle. Je ne pouvais plus reculer.
Je l’ai pénétrée lentement.
Sa chatte s’ouvrait, chaude, accueillante, lisse. Ma queue glissait centimètre par centimètre à l’intérieur, et je sentais tout. Les parois qui m’engloutissaient. La moiteur. Les contractions. Clémence haletait sous moi.
— Putain… t’es énorme…
J’ai commencé à la baiser doucement. Des va-et-vient lents, profonds. Ma bite coulait en elle comme dans un moule vivant. Je sentais ses jambes me serrer, ses mains agrippées à mes bras.
Je l’ai prise longtemps, savourant chaque mouvement, chaque vibration. Puis elle m’a regardée. Son regard brûlait.
— J’veux sentir ta queue dans ma bouche.
Je me suis retirée, ma queue luisante, battant doucement d’impatience. Elle s’est redressée, s’est mise à genoux. Et elle m’a sucée à nouveau. Mais cette fois, plus vite, plus fort. Elle m’avalait presque entièrement. Elle se branlait en même temps.
Je suis debout au bord du lit, les cuisses tendues, la queue brillante de salive. Clémence est à genoux devant moi, le regard brûlant, les lèvres pleines de moi.
Elle se redresse un peu, ses doigts caressant la base de ma queue, puis plus bas. Et tout à coup, elle prend une inspiration et descend lentement vers mes testicules.
— Elles sont parfaites, murmure-t-elle. — Toutes lisses… douces… comme ta chatte avant.
Je frémis. Ses mots me percutent. Je ne m’y attendais pas. Je baisse les yeux. Elle a mes couilles dans sa paume, les soulève doucement, les pèse.
— Elles te vont bien, tu sais, souffle-t-elle. — Elles sentent encore un peu toi. — Un peu nous.
Elle les embrasse. D’abord un baiser. Puis deux. Puis elle les lèche. Longuement. Sa langue tourne, lèche sous la peau tendue, autour de la base, entre les plis. Je ferme les yeux. C’est tellement sensible. Je n’imaginais pas qu’on pouvait jouir presque rien qu’avec ça.
Elle les gobe une à une. Ses lèvres se referment autour, elle les aspire doucement, les relâche dans un bruit mouillé. Je gémis.
— Clémence…
— Chut. Elle joue, elle suce, elle les savoure.
— T’as plus de chatte, c’est vrai, dit-elle. — Mais ces couilles-là… Elle remonte ses yeux vers moi. — C’est presque pareil. — Elles méritent d’être aimées comme ton ancienne chatte l’a été.
Je suis au bord. Ma queue tape contre son menton, raide, brillante. Je pourrais jouir rien qu’à la sentir les adorer comme ça.
Mais elle se recule, essuie sa bouche.
— Maintenant, dit-elle en se tournant, — je veux sentir ce nouveau toi dans mon cul.
— J’te veux dans le cul, souffle Clémence, le regard brillant, le souffle court.
Elle se tourne à quatre pattes sur le lit, cambrée comme une salope prête à tout. Ses fesses sont superbes, légèrement rougies par mes mains. Elle les écarte un peu, me montrant tout.
Je suis en feu. Ma queue luit de salive et de jus. J’ai envie de la sentir partout.
Je m’agenouille derrière elle. Je vise son petit trou, encore sec.
— Tu veux que je… commence ?
— Vas-y, chuchote-t-elle. Doucement…
Je pose le gland contre son anus et je pousse.
Ça résiste. Je pousse un peu plus. Toujours rien. Clémence serre les dents.
— Attends… attends attends attends.
Je reste figée, la queue en suspens.
— C’est sec comme le désert, là, souffle-t-elle en riant. T’as cru que c’était une prise USB ou quoi ?
Je ris nerveusement, la queue toujours bandée au maximum.
— Merde… j’ai oublié le lubrifiant.
Je cherche autour de moi. Rien. Je me penche, attrape à la volée un petit flacon rose qui traîne au bord de la table de nuit.
— Voilà. C’est ça ?
— Oui, verse généreusement, bébé. Sinon tu vas m’ouvrir comme un pot de confiture.
Je presse le flacon. Le gel glisse sur mes doigts. Je l’étale sur ma queue, puis doucement entre ses fesses. Je masse. J’insiste. Elle soupire, se détend.
— Allez, reprends, dit-elle en se cambrant. — Et cette fois, sans me perforer le rectum.
Je ris, et je replace le gland contre son anus. Je pousse. Lentement.
Cette fois, ça glisse. Ça entre. Mais c’est serré.
— Putain… t’es étroite…
— C’est pas une autoroute, connasse, grogne-t-elle en se mordant les draps.
Je retiens un rire. Et je continue.
Millimètre par millimètre, ma queue s’enfonce dans son cul. C’est brûlant. Une pression incroyable. Ses muscles m’enserrent, m’avalent, me caressent de l’intérieur.
— Ça va ? je souffle.
— Ouais… ouais… maintenant… baise-moi.
Alors je commence à bouger. Lentement. Puis un peu plus vite. Le bruit de mes hanches contre ses fesses. Le clapotement lubrifié. Sa chatte dégouline. Elle se caresse entre les jambes.
Je la prends à fond. Dans le cul. Ma queue entre et sort, puissante, chaude, dure. Clémence gémit comme une truie en chaleur.
— Vas-y… remplis-moi… jouis dans mon cul…
Et je craque.
Je me plante jusqu’à la garde et je jouis, encore, violemment, profondément. Des giclées brûlantes dans ses entrailles.
Je m’effondre sur elle, collée à son dos, les seins contre ses omoplates.
Et elle rit, haletante.
— Bon, OK… t’as pas juste une bite. — T’as la bite.
Je suis restée là, ma queue encore en elle, tremblante, haletante.
Et dans ce silence moite, je l’ai entendue murmurer :
— Tu sais que t’es dangereuse, Kristina ? — Avec une bite comme ça… je suis foutue.
Note d’auteur
J’ai aimé écrire ce fantasme. Et si, comme moi, vous avez envie d’en voir plus… Si vous voulez découvrir jusqu’où Kristina ira avec sa bite — dans d’autres lieux, avec d’autres corps, d’autres envies — faites-moi un signe. Un commentaire, un mot, un souffle. Je saurai que vous êtes prêts pour la suite.
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