UNE SOIREE A LA B.U.

- Par l'auteur HDS Miss_Sexcret -
Auteur femme.
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Récit libertin : UNE SOIREE A LA B.U. Histoire érotique Publiée sur HDS le 17-09-2025 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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UNE SOIREE A LA B.U.
Il y a des confidences qui brûlent les lèvres et des fantasmes qu’on confie à demi-mot, en espérant qu’un jour, quelqu’un les comprenne assez pour leur donner vie — même sur le papier. A. m’a écrit. Une lectrice fidèle, douce et rêveuse. Elle m’a soufflé son secret : à la fac, elle craque pour son prof d’histoire. Un homme qui incarne tout ce qu’elle désire — l’intelligence, la prestance, l’assurance tranquille. Un regard qui la trouble, des gestes mesurés, une voix grave qui résonne dans l’amphithéâtre comme un appel silencieux.

A. attend encore son prince charmant, mais dans son imaginaire, il a pris les traits de cet homme-là. Alors j’ai pris ma plume — ou plutôt mon clavier — pour raconter, avec mes mots, ce que pourrait être leur première fois. Une rencontre entre le désir et l’interdit, entre la jeunesse impatiente et l’expérience discrète.

Ce texte est pour toi, A. Pour ce frisson que tu m’as confié. Pour ce fantasme que tu m’as laissé l’honneur d’imaginer.

UNE SOIREE A LA B.U.

Je crois ne pas être jolie. En tout cas, pas vraiment. Les garçons ne me regardent jamais longtemps. Pas comme dans les films. Ils préfèrent les filles plus sûres, plus bruyantes, plus ouvertes. Moi je parle peu. Je baisse les yeux. J’ai appris à me faire discrète. Mes cheveux noirs tombent en boucles souples sur mes épaules nues, ils accrochent la lumière comme une promesse. Ma peau est chaude, dorée, douce au toucher. Mes seins sont fermes, hauts, parfaits dans la paume d’une main. Parfois je les laisse pointer sous la dentelle fine d’un haut trop léger, sans soutien-gorge, comme ce soir. Juste pour sentir le frottement, juste pour le frisson. Ma taille se creuse naturellement, mes hanches s’arrondissent, pleines, jeunes, offertes. J’aime mes cuisses, bien dessinées, musclées par la danse. Quand je croise les jambes, je sais que ça se voit sous ma jupe — la tension, la ligne de ma culotte, ou son absence. Je n’ai pas honte. J’apprends. J’explore. Mais je n’intéresse personne.

Pourtant… j’y pense tout le temps. À ça. Au sexe. À leurs mains, leurs bites, à ce que ça ferait de me faire baiser vraiment. J’en rêve la nuit. Mon corps me le réclame, ça bat entre mes jambes dès que je croise un regard un peu appuyé.

Je suis encore vierge. Je n’ai jamais senti un mec en moi. Pas vraiment. Mais… j’ai essayé autrement. Je me suis déjà doigtée longtemps. Et parfois, quand j’étais trop mouillée, j’ai glissé un doigt derrière. Puis deux. Puis le manche de ma brosse que j’enduis de vaseline. C’est là que je ressens le plus fort. C’est là que je me laisse aller. C’est bizarre peut-être, mais c’est comme ça. Je me caresse l’anus jusqu’à jouir, souvent, en imaginant un homme derrière moi, dur, autoritaire. J’ai envie de le vivre pour de vrai. J’ai envie d’apprendre. De découvrir.

Je crois que c’est pour ça que je suis restée à la B.U. ce soir pour travaillé mon exposé bonus en histoire. Pour lui. Mon prof. Parce qu’il me fait cet effet-là. Parce que j’ai envie qu’il me voie. Qu’il me prenne. Même si je ne le dis à personne. Même si je me cache encore derrière ma jupe.

Le professeur Marchand. Trente-sept, trente-huit ans, barbe soigneusement taillée, petites lunettes ovales en métal qui lui donnent un air doux mais sévère. Il ne crie jamais, mais quand il s’énerve, sa voix claque comme une gifle silencieuse. Et pourtant… moi, je le trouve incroyablement bienveillant. Juste. Vif. Il prend le temps de nous écouter, surtout quand on est motivés.

Et je crois qu’il m’écoute un peu plus que les autres.

Il y a eu ce moment gênant, il y a trois semaines, quand j’étais restée après le cours pour lui poser une question… et que je m’étais penchée pour attraper un livre dans mon sac. J’avais oublié que je portais ce haut un peu trop court et cette culotte en dentelle blanche. Quand je me suis redressée, il avait détourné le regard, mais j’avais bien vu son trouble. Depuis, il ne me regarde plus tout à fait comme avant. Moi non plus.

Ce vendredi-là, j’étais restée à la fac. Je ne rentrais pas chez mes parents. J’avais dit que j’avais “des choses à avancer”, mais la vérité, c’est que je voulais le revoir. Juste lui. Il était bénévole à la bibliothèque de la fac certains soirs. Nous étions censés travailler ensemble sur l’exposé : Catherine II et ses amants. Ironique, non ?

J’avais mis ma petite jupe plissée écossaise. Celle que je ne porte pas souvent. Elle me serre la taille juste comme il faut, et remonte un peu quand je m’assois. Je sais très bien ce qu’elle provoque. J’ai l’air sage, mais je sais que je ne le suis pas autant qu’on pourrait croire.

À la B.U., l’ambiance était feutrée. Il n’y avait presque plus personne. Je m’étais installée dans un coin discret avec mes livres, mes notes, et cette petite boule dans le ventre. Il est arrivé vers mois, souriant, comme toujours. Son parfum me trouble à chaque fois : thé noir, bois, quelque chose de discret et chaud.

Il s’est assis à côté de moi. Un peu trop près. Ou peut-être que c’était moi qui étais trop sensible. J’ai feuilleté mon cahier, commencé à lui montrer mes pistes de travail. Il commentait, corrigeait, suggérait. J’avais du mal à me concentrer. Son regard glissait parfois sur mes jambes croisées. Il ne disait rien. Mais je sentais tout.

Puis je me suis entendue lui lire à voix haute ce passage sur les “sélections d’amants”. Catherine qui faisait venir ses favoris dans sa chambre, lavés, parfumés, dociles… Je ne sais pas si c’était ma voix ou le silence de la B.U., mais l’atmosphère a changé. Lentement. Profondément.

Je me suis tournée vers lui. J’ai demandé, sans vraiment réfléchir :

— Vous pensez qu’elle les aimait… ou qu’elle les dominait ?

Il m’a regardée longtemps. Puis il a répondu, d’une voix plus basse :

— Elle savait ce qu’elle voulait. Et elle n’avait pas peur de prendre.

Je crois que mon cœur s’est arrêté. Mes cuisses se sont contractées toutes seules. J’ai croisé les jambes lentement. Trop lentement. Je l’ai regardé dans les yeux.

Puis j’ai laissé tomber mon stylo, volontairement. Je me suis penchée. Ma jupe a remonté. Je savais ce qu’il allait voir. Et je savais qu’il regarderait. Je l’ai senti. Et ça m’a électrisée.

Quand je me suis redressée, j’ai murmuré :

— Désolée, Monsieur

Il n’a pas répondu tout de suite. Son regard s’était assombri. Il a posé sa main sur ma cuisse, avec une fermeté surprenante. Et il a demandé, la voix tendue :

— Fais attention, ne joues avec le feu

J’ai senti tout mon corps se tendre. Mon ventre, mes seins, mes cuisses. Je l’ai regardé droit dans les yeux. Et j’ai murmuré :

— Peut-être que j’ai envie de me brûler un peu.

Il n’avait pas bougé sa main. Elle reposait juste au-dessus de mon genou, une pression à peine perceptible. Mais mon corps, lui, avait déjà réagi comme si une onde brûlante avait remonté jusqu’à mes cuisses. J’étais mouillée. Je le savais. Et j’étais sûre qu’avec un peu d’attention, il pourrait aussi le sentir.

Je l’ai regardé droit dans les yeux. Je me suis mordue la lèvre, doucement. Ce n’était plus un jeu. Ou peut-être que si. Un jeu dangereux, délicieux, inévitable.

— Peut-être que j’ai envie de me brûler un peu… avec vous.

Un silence immense s’est installé entre nous. Je le regardais, et lui… il me dévorait des yeux. Enfin. Il ne luttait plus. Il y avait dans son regard une sorte de faim retenue depuis trop longtemps. Une faim d’homme adulte. Et je me suis sentie… puissamment femme.

Je me suis penchée, les coudes sur la table, pour lui lire un extrait du passage sur Catherine II. Ma voix tremblait à peine, mais je faisais exprès de la rendre plus basse, plus lente :

— Elle aimait les jeunes hommes. Choisis, entraînés, parfois à peine sortis de l’adolescence. Ils étaient beaux, souples, admiratifs. Et elle, impériale, posait sur eux ses mains comme on savoure un dessert rare. Ils la craignaient un peu… mais ils la désiraient.

Je marquai une pause. Je savais ce que je faisais.

— Vous pensez que ça la rendait plus puissante ? D’avoir des corps jeunes sous elle ?

Il s’est redressé lentement. Il n’avait pas bougé depuis que j’avais lu. Sa main avait quitté ma cuisse. Il semblait lutter. Il a répondu, d’une voix très calme, presque trop calme :

— Je pense qu’elle n’aimait pas qu’on lui résiste. Mais qu’elle aimait encore plus qu’on cède… lentement.

Cette phrase a traversé mon ventre comme une lame tiède.

Je me suis levée d’un mouvement lent. Ma jupe a encore remonté, évidemment. Je suis allée chercher un autre livre un peu plus loin, sur une étagère basse. Je me suis accroupie, dos à lui, sans me presser. Je savais que mes cuisses se dessinaient sous le tissu, que ma culotte noire devait être visible. Je n’étais plus timide. J’étais une tentatrice. Une Catherine en devenir.

Quand je suis revenue à la table, je l’ai vu : il avait les mains jointes devant sa bouche, son regard fixe, tendu, presque inquiet. Et je lui ai dit, en le regardant droit dans les yeux :

— Vous ne trouvez pas ça excitant ? Une femme plus jeune qui regarde un homme mûr comme s’il était un roi ? Comme s’il pouvait l’éduquer, la guider, la… façonner ?

Il m’a répondu du tac au tac :

— Tu n’es pas innocente. Tu sais ce que tu fais.

Je me suis assise. Lentement. Et j’ai dit, à voix basse, presque un souffle :

— Non. Et j’ai très envie de vous me montrez à quel point.

Alors je glisse ma main sous la table. Comme si de rien n’était. Je l’approche lentement de lui. Mes doigts frôlent son genou. Il ne bouge pas. Il ne dit rien. Mais son regard a changé.

Je remonte. Centimètre par centimètre. Jusqu’à sentir la bosse tendue dans son pantalon. Je la caresse. D’abord doucement. Il ferme les yeux un instant. Je souris. Il est dur. Très dur. Mon cœur bat à tout rompre, mais je ne m’arrête pas. J’appuie un peu plus fort. Il respire plus vite. Il veut parler, protester peut-être, mais aucun mot ne sort.

Alors je défais lentement sa braguette.

Toujours sous la table. Toujours dans ce silence sacré de la bibliothèque.

Je glisse ma main à l’intérieur. Je le saisis. Il est chaud. Lourd. Mon ventre se contracte. Il gémit à peine, la mâchoire crispée. Je commence à le masturber. Lentement. Rythmiquement. Je garde les yeux baissés, comme si de rien n’était, une étudiante concentrée sur ses notes… pendant que ma main fait avouer à son sexe tout ce que sa bouche n’ose pas dire.

— Arrête…, souffle-t-il, sans y croire lui-même.

Je lève les yeux vers lui, un sourire au coin des lèvres.

— Vous ne le voulez pas vraiment.

Je le sens trembler sous mes doigts. Je serre un peu plus. Je descends jusqu’à ses bourses, je joue, j’explore. Il ne tient plus.

Il attrape ma main. La retire. D’un geste ferme.

Il se lève. Sa verge encore sortie, gonflée, palpitante.

— Viens. On ne peut pas rester ici.

Je l’ai suivi. Mon cœur battait fort, mais j’étais prête. Toute la semaine, il y avait eu des frôlements, des silences. Ce vendredi, tout explosait. Il m’a emmenée vers une porte au fond de la bibliothèque. Un vieux local, une salle d’archives fermée, plus utilisée. Il avait le pass. Bien sûr qu’il l’avait.

Quand il a refermé la porte, tout est devenu réel. Il m’a regardée longuement. J’étais adossée à la porte. Il s’est approché. Ses mains ont encadré mon visage. Il a soufflé :

— Tu es magnifique. Et tu me rends fou.

J’ai glissé mes mains sous sa chemise, contre sa peau chaude. Il a embrassé mon cou, puis ma bouche. Lentement, profondément. Puis il m’a soulevée, m’a assise sur une table. Il a remonté ma jupe. Il a vu ma culotte. Il l’a caressée du bout des doigts, sans la retirer. Mes jambes se sont ouvertes toutes seules. J’ai gémi dans sa bouche.

Il a glissé deux doigts à l’intérieur du tissu, doucement. Je l’ai regardé. Il m’explorait, lentement, sérieusement, comme un prof appliqué. Puis il s’est baissé. Il a écarté ma culotte. Sa langue a touché ma peau, et j’ai perdu toute retenue.

Je me suis laissée faire, offerte, cambrée, tremblante.

Sa langue était douce, précise. Chaque mouvement déclenchait en moi une vague plus profonde, un feu plus chaud. Je me mordais les lèvres pour ne pas crier, mais je savais qu’il entendait ma respiration trembler, que mon bassin qui ondulait contre sa bouche disait tout ce que je ne pouvais formuler.

Ses mains tenaient mes hanches avec cette fermeté protectrice, cette autorité tendre qu’il avait déjà dans ses gestes, dans ses cours. Il savait enseigner… et il apprenait vite.

Quand il releva la tête, ses lèvres brillaient de moi. Son regard, noir, brûlant, cherchait le mien.

— Tu es exquise…

Je tendis les bras vers lui. Il se redressa, m’enlaça, et m’embrassa encore, goûtant sur mes lèvres le miel de mon propre plaisir. Je sentais la bosse de son sexe tendu contre ma cuisse, énorme, dur, impatient. J’eus un frisson délicieux.

— Je veux te goûter aussi, lui dis-je en le regardant dans les yeux.

Je me suis mise à genoux devant lui, comme une salope docile. Ma jupe écossaise était remontée sur mes hanches, mes seins pointaient sous la dentelle, et ma bouche n’attendait que ça. Sa queue a jailli dès que j’ai baissé son caleçon. Grosse, lourde, gonflée de désir. Mon ventre s’est retourné. J’avais peur. Je n’avais jamais fait ça, uniquement en suçant ma brosse ou une banane. Mais j’avais tellement envie.

Je l’ai prise dans ma main. Elle était chaude, tendue, palpitante. J’ai léché le bout, doucement, timidement, puis j’ai ouvert la bouche. Je l’ai engloutie comme je pouvais, la salive coulant déjà sur mes lèvres.

Il a gémi, fort, rauque, animal.

Et là, il a craqué.

Ses mains ont agrippé ma tête. Il m’a tenu fermement par les cheveux. Et d’un coup de bassin, il m’a enfoncé sa queue au fond de la gorge. J’ai failli m’étouffer. Mes yeux se sont remplis de larmes. Mais j’ai tenu. J’ai laissé faire.

Il me baisait la bouche. Comme une chatte. Comme un trou. Sa queue allait et venait entre mes lèvres, me frappant au fond de la gorge à chaque coup de reins. Ma salive dégoulinait, épaisse, blanche, poisseuse. Ça coulait sur mon menton, sur ma gorge, jusque sur mes seins nus sous le tissu. Et il gémissait, haletait, la voix tremblante :

— Putain… cette bouche… t’es faite pour ça…

Il m’écrasait contre lui, appuyait sur ma tête, me gardait bien enfournée jusqu’à la base. Je ne pouvais plus respirer. Et je mouillais comme une folle. Deux doigts dans ma culotte, je me caressais en me faisant défoncer la gorge.

Puis, d’un coup, il m’a relâchée.

Je suis tombée en arrière, à genoux, les lèvres rouges, gonflées, dégoulinantes de salive. Mon regard était flou, tremblant de désir.

— T’es chaude… tellement chaude…

Il me redresse et retourne contre l’étagère. Ma jupe se soulève. Mon tanga descend. Il le garde autour d’une cuisse. Comme un rappel de ma soumission. Ses doigts glissent, curieux, experts. Mais quand il se baisse pour se positionner contre mon entrée, je le retiens, les jambes encore ouvertes mais tendues.

— Non… attends… je peux pas…

Il s’arrête, me regarde.

— Je suis vierge… de la chatte

Un silence. Son regard s’assombrit. Je vois la surprise, la tension. Et je murmure, la voix tremblante mais pleine de désir :

— Mais je veux que tu me prennes quand même… Je veux te sentir. Je veux que tu me baises… par derrière.

Il reste figé une seconde. Comme s’il avait besoin de l’entendre encore. Alors je le regarde dans les yeux et je chuchote, presque une supplique :

— Je veux que tu me baises dans mon petit trou. Enculez-moi, Monsieur !

Et j’ai écarté mes fesses avec les deux mains. Mon petit trou était bien visible, tendu, propre, offert.

— C’est là que je veux ta queue. Je veux que tu me défonces le cul, Prof. Comme une putain.

Il a grogné. Fort. Presque douloureusement. Il s’est craché dans la main, m’a enduit l’anus de sa salive tiède, puis a posé son gland contre l’entrée.

— T’es sûre ?

— Prends-moi. Défonce-moi. J’en peux plus…

Il a poussé.

Mon trou s’est tendu, brûlé, ouvert. J’ai crié, la tête entre deux étagères. Sa queue s’enfonçait, centimètre par centimètre, dans mon cul encore vierge de bites, serré, tremblant. J’étais écartelée. Remplie. C’était énorme. Douloureux. Et terriblement bon.

— Putain… ton petit cul est serré comme jamais…

Il a enfoncé toute sa bite jusqu’à la garde. Mon anus palpitait autour, crispé, chaud. Il m’a tenu par les hanches. Et il a commencé à me baiser.

Lentement d’abord. Puis plus fort. Plus vite.

Ma joue écrasée contre la table, je me laissais faire. Il me défonçait la rondelle. Chaque coup de reins me traversait tout entière. Son bassin claquait contre mes fesses, son souffle court, ses doigts enfoncés dans mes hanches.

— T’es une salope… une petite étudiante salope qui rêve de se faire prendre dans le cul…

— Oui… oui, j’suis ta salope… continue… défonce-moi…

Il me baisait comme un fou. Mon petit trou s’écartait, s’ouvrait pour lui. Je pleurais de plaisir. J’avais mal, mais j’en voulais encore. Mon ventre se contractait. J’étais en feu.

— Je vais jouir dans ton cul putain…

Mais moi, je n’en avais pas fini.

Je me retournai lentement, son sexe glissa hors de moi avec un petit bruit humide, et un frisson m’arracha un soupir. Je regardais sa queue bien luisante de foutre et de cyprine.

Il s’apprêtait à dire quelque chose — peut-être protester, peut-être supplier — mais je posai un doigt sur ses lèvres.

— Chut. Laisse-moi faire.

Il m’observait, les yeux noirs de désir.

— C'est pas comme ça que tu vas finir.

Je pris sa queue en main, nue, tendue, chaude comme un fer à blanc. Je la serrai, la caressai, puis j’accélérai d’un coup. J’avais le poignet ferme, la main pleine de foutre, et l’envie d’en faire un vrai spectacle.

— T’as bien baisé ta petite étudiante… maintenant tu vas me gicler tout ça, salement.

Je le branlais à fond. Sans pudeur. Ma main claquait contre son bas-ventre. Il haletait, ses abdos se contractaient, il était au bord.

— Regarde-moi… j’veux voir tes yeux quand tu jouis.

Je m’approchai, ma langue sur ses lèvres, mes yeux plantés dans les siens. Il grogna, se cambra, sa bite sauta dans ma main…

Et il jouit.

Un premier jet épais m’éclata sur la cuisse, chaud, brutal. Puis un deuxième, plus fort, gicla sur les cartons d’archives. Une troisième giclée coula sur ma main. Il n’arrêtait pas de décharger. Je continuais à le branler, fort, pour le vider jusqu’à la dernière goutte.

— Voilà… crachez-moi tout ça, Monsieur Marchand… salis ces putains d’archives, inonde-moi de ta queue…

Son foutre coulait encore, tiède, collant. Je ris doucement, fière de moi. Je portai mes doigts à ma bouche et léchai lentement, sans le quitter des yeux.

— Mmmh… t’as un goût de Tsar, toi.

Puis je me penchai vers lui, l’embrassai à pleine bouche, mélangeant sa semence et ma salive dans un baiser sale, délicieux. Je restai un instant immobile contre lui, haletante. Il m’entoura de ses bras. J’étais encore tremblante, comblée, sa bite encore dans la main.

— Tu viens de faire un exposé… inoubliable, murmura-t-il.

Je ris doucement. Nos fronts se touchaient. Nos souffles s’apaisaient.

Dehors, la B.U. était silencieuse. Dedans, je venais d’ouvrir un chapitre que je n’oublierai jamais.

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