Virginie Escort (4ème et dernière partie) - histoire érotique

Lorsque Monsieur Henry reçut Virginie pour la première fois au Grand Hôtel de Paris, la belle ne se douta pas que c’était pour satisfaire trois hommes en même temps. Charles, son mécène, lui avait promis une nuit, elle seule en tête-tête avec Monsieur Henry. Ce dernier, avant l’arrivée de la Belle, avait convié deux invités : Valentin, son jeune cadre dynamique et Shandernagor, son homme de main.

La belle, voyant, qu’elle n’avait pas le choix (c’était ça ou repartir sans argent) se résolut à tout faire pour satisfaire les trois hommes en particulier Monsieur Henry qui était l’instigateur. Monsieur Henry était en même temps un admirable voyeur.

Avant toute relation, Virginie s’était assurée que les hommes étaient indemnes d’IST. Certes, cela n’était pas inscrit sur leur visage mais Monsieur Henry, qui avait prévu le coup, fournit à Virginie les résultats d’analyses des deux hommes et le sien par la même occasion. Il avait exigé la même chose de la belle. Virginie proposa néanmoins l’usage du préservatif. Virginie préférait cependant pratiquer sans car au moment de sa première fois, elle développa une allergie au latex. Elle disait par ailleurs mieux ressentir sans préservatif. Pour s’y résoudre, elle prit la pilule dès les premiers rapports.


Dans le salon, Virginie s’était donc mise à genoux pour sucer Valentin puis Shandernagor sous le regard satisfait de Monsieur Henry qui ne ratait rien de la scène. L’homme qui était un peu bedonnant était assis dans un fauteuil face à la belle. Virginie le dévisageait en lapant chacune des deux queues qu’elle tenait dans ses mains. Chandernagor étaient aux anges. Valentin prit la belle par les cheveux, pour mieux se faire sucer. D’un geste, son sexe fut englouti dans la bouche de la belle puis réapparut aussitôt. Emilien fit faire cela à Virginie dix fois de suite, avant que Shandernagor prit le relais.

Monsieur Henry dans le fauteuil était hautement satisfait :
- « Charles ne m’a vraiment pas menti. Il m’a bien dit que vous étiez une petite salope. »
Virginie ne s’offusqua pas des paroles de Monsieur Henry. La belle était trop préoccupée à sucer les deux queues qui s’offraient à elle. Tantôt, elle regarda Valentin et Shandernagor dans les yeux. Elle tenta au moins de croiser leur regard pour voir la satisfaction qu’eux-mêmes pouvaient tirer de cette caresse. Virginie ne vit que des yeux clos. Des râles de plaisir venaient troubler les bruits de succion de la belle.
- « Comme vous sucer bien », rétorqua Monsieur Henry. « Qui vous a appris à faire cela ? »
- « Vous êtes très belle. On croirait que vous avez fait cela toute votre vie ! » ajouta le vieil homme.
Virginie pendant près d’un quart d’heure suça en effet les deux queues qui lui étaient offertes. La belle passait de l’une à l’autre avec dévotion, avant de prendre les deux sexes, l’un contre l’autre, dans sa bouche. Valentin chercha à se branler devant le visage de la belle. Virginie, machinalement, comme conditionnée par ce geste, ouvrit en grand la bouche. La belle tendit la langue comme pour recevoir le foutre qu’elle avait envie de voir venir devant elle. Shandernagor en fit autant mais ne semblait pas aussi doué que Valentin. Cela était peut-être du fait de l’âge.
- « Je vais jouir ! » dit Valentin.
La cadence s’accéléra. La belle était à califourchon sur le sol devant Valentin et attendait que ce dernier jouisse. Virginie lui offrait son visage, sa bouche. Elle savait dorénavant que les hommes aimaient bien cela.
Valentin s’astiqua la queue frénétiquement. Dans un râle de plaisir, il prévint Virginie qu’il allait venir :
- « Oooh ! c’est trop bon ! Je jouis ! »

Virginie, de cette expérience, eut le visage et le menton recouverts de sperme. Shandernagor pendant ce temps continuait sa besogne. L’homme fermait les yeux pour mieux se concentrer. Virginie se tourna vers lui pour recevoir ce qu’elle attendait de lui. Pour aider Shandernagor à jouir, elle le repris un peu dans sa bouche le lapa sur le gland en donnant quelques petits coups de langue :

- « Tu es une vraie chienne ! » ajouta Monsieur Henry. « J’adore ça ! »
Sans s’en rendre compte, Virginie exauça tous les rêves et fantasmes de Monsieur Henry. L’homme en effet voulait voir une petite pute sucer à quatre pattes comme une chienne. Il trouvait cela élogieux pour la femme quand d’autres s’en offusqueraient royalement. L’homme pourtant n’était pas du genre à ne pas respecter les femmes. A la vérité, il était un vrai gentleman et ne faisait rien contre leur volonté. En revanche, il aimait tout particulièrement quand ces dernières se comportèrent comme des salopes. Il voyait en Virginie la femme idéale : belle, savante, instruite, sensuelle et captivante, et gourmande.

La belle savait en effet comment faire jouir les hommes et savait ce qu’ils aimaient tout particulièrement. Bob crut que sa belle avait appris cela au contact de Nono ou de Dominique car l’un et l’autre lui avaient initier à des pratiques que la belle s’étaient alors défendu de faire jusque-là. Dominique, de surcroit, avait baiser la belle jusque dans son lit conjugal, là où il n’y eut que Bob auparavant.

Virginie, Bob le savait, n’avait pas froid aux yeux. Pourtant, il était loin d’imaginer que sa chérie tant aimée se prostituerait un jour pour de l’argent. Certes, il ne s’agissait pas d’une prostitution de rue mais d’Escort pour hommes riches. Virginie pendant un an fréquenta les plus beaux palaces parisiens et rencontra souvent des hommes importants. Bob était incapable de dire combien d’hommes exactement la belle avait-elle rencontré dans ces conditions. Il en imagina tout au plus une dizaine. C’était peut-être moins. C’était peut-être plus.
Virginie avoua à Bob, plus tard dans une lettre au moment de leur rupture, qu’elle n’avait pas voulu cette vie et qu’elle ne savait comme tout cela était venu. Elle avoua aussi à Bob qu’elle n’aimait que lui ; ce que Bob cependant peinait à croire car la belle l’avait si souvent trompé. Virginie s’amourachait vite en effet d’un homme qui lui plaisait beaucoup.
Dans cette expérience, Bob avait appris qu’il y avait toujours, dans un couple, l’un des deux partenaires qui était plus amoureux que l’autre. Au début de sa relation avec Virginie, Bob crut que cette personne était Virginie elle-même ; et que lui, finalement était celui qui aimait le moins. La réalité n’était pas si évidente.
Par la suite, en effet, Bob se rendit compte que sa relation avec Virginie évolua au fil du temps et surtout au fil des rencontres : désormais, c’était Bob qui aimait Virginie plus qu’elle ne l’aimait en retour. La belle en effet regardait désormais les autres hommes : Nono en particulier, qui lui fit découvrir la sodomie, et pour qui la belle eut de l’affection toute sa vie durant. Dominique avait été le second. La belle l’aimait parce qu’il était drôle même s’il avait 50 ans soit 20 à 30 de plus qu’elle. Dominique vint à la maison ; et sans hésiter, il prit la belle en levrette sur son lit. La belle l’avait sucé dans le bus, quelques jours avant. Nadia, de son côté, ne savait rien de tout cela. Tout au mieux, elle avait entendu parler de Dominique qu’elle considérait comme une sorte de père de substitution pour sa fille. Elle ne savait de la relation exacte que la jeune fille entretenait avec le vieux gredin.
Voilà donc comment commença l’aventure entre Bob et Virginie.
Ce récit est pour le moment le dernier. Il n’y en aura peut-être d’autres car il me reste encore à vous expliquer comment Virginie, ayant fui sa famille et ses amis, vécut sa vie, au Havre. C’était après sa rupture définitive avec Bob. La première dirions-nous car les deux amants s’étaient retrouvés sur le Net bien des années plus tard, il y a trois environ de cela. Je vous raconterai cela le moment venu.

A bientôt