Virginie Escort (partie 3)

- Par l'auteur HDS Bob-et-Annie -
Auteur couple.
  • • 107 récits publiés.
  • • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 8.9 • Cote moyenne attribuée par HDS : 9.5
  • • L'ensemble des récits érotiques de Bob-et-Annie ont reçu un total de 465 477 visites.
Récit libertin : Virginie Escort (partie 3) Histoire érotique Publiée sur HDS le 08-11-2021 dans la catégorie Plus on est
Cette histoire de sexe a été affichée 3 084 fois depuis sa publication.
Note attribuée à cette histoire érotique par les lecteurs :
(9.5 / 10)
Note attribuée à cette histoire érotique par HDS :
(10.0 / 10)

Couleur du fond :
Virginie Escort (partie 3)
En entrant dans l’ascenseur, Virginie se retrouvait encerclée par les trois hommes. L’ascenseur était étroit et Monsieur Henry, bien que ressemblant à Georges Clooney, était un peu bedonnant.

- « C’est un ascenseur privé. Il nous emmène directement à l’appartement. » précisa le vieux monsieur.

En arrivant dans l’appartement, Virginie n’avait jamais rien vu d’aussi beau que le luxe et la décoration de la chambre. La salle de bain était tout en marbre avec baignoire et deux vasques pour se laver les mains. Tout, à ses yeux, était resplendissant et magnifique. La belle fut sous le charme. En entrant dans l’appartement, elle ne comprenait pas cependant ce que les deux autres hommes venaient faire de leur présence.

- « Mais, je vous l’ai dit, ils sont là pour vous, ma chère » rappela le vieux monsieur.
- « Non ! Non ! répliqua la belle, ceci n’est pas dans mon contrat »- « Mais ! On se fout de votre contrat ! Il n’est même pas légal ! Charles vous a fait croire que vous alliez passer la soirée rien qu’avec moi. Il a eu raison en fait, c’est le cas. Mais voyez-vous je suis un homme gourmand et un peu pervers je vous l’avoue. J’adore les jolies filles comme vous. J’aime les initier à la soumission et à la domination. Vous méritez bien plus que moi tout seul. Regardez-moi, je suis vieux et bedonnant. Regardez Valentin et Shandernagor, ils sont jeunes et ont du tonus à revendre. Croyez-moi, vous allez passer une très belle soirée. »- « Vous êtes un drôle de personnage ! » pesta la belle contre Monsieur Henry- « Oui, mais vous verrez vous n’y perdrez pas au change. Et puis, je ne vous l’ai pas encore dit, mais vous serez payé le triple de ce que Charles vous a versé. En espèces, bien sûr, pour plus de discrétion, et uniquement en petites coupures. »
Virginie était atterrée de tant de velléité. Son cœur et sa raison ne savait plus à quel saint se vouer.

- « Et que comptez-vous faire ? Vous allez me forcer ? C’est du viol vous savez si vous faites cela ? Et le viol est sévèrement réprimandé par la loi. »- « Non, nous n’allons pas vous violer bien sûr. Nous ne ferons rien sans votre consentement. Et puis, nous avons toute la nuit pour vous mettre à l’aise. » renchérit le vieil homme.
- « Que me proposez-vous alors ? »- « Dites-moi combien vous voulez ? »- « Ce n’est pas une question d’argent ! » répondit la belle.
- « Comment ? Vous avez des principes ? » s’étonna l’homme.
- « Parfaitement ! je suis venue pour honorer un contrat, rien de plus ! »- « Oh, ne vous inquiétez pas, nous n’allons pas vous déshonorer », ajouta l’homme. « Nous allons même bien vous honorer ! Très-très bien vous honorer ! »
Virginie était stupéfaite de la tournure de la conversation. Elle avait la sensation, face à un individu pareil, qu’elle n’aurait pas gain de cause :
- « Si j’ai bien compris, je n’ai pas le choix ».
- « Si ! Vous avez parfaitement le choix. Vous avez le choix de refuser. Mais dans ce cas-là, plus de contrat et plus d’argent. Fini les économies ! »- « Je n’ai que faire de l’argent ! » répliqua Virginie.
- « Oh ! Pensez-vous ! Vous n’y songez pas ? » se moqua Monsieur Henry.

Virginie savait au fond d’elle que l’homme avait raison et qu’elle faisait cela en particulier pour de l’argent. Ce que l’homme lui proposait, c’était trois fois ce que Charles lui avait déjà versé. Pour Virginie, cela revenait à empocher ce qu’elle gagnait en six mois de travail ; et cela en une seule nuit !


Dans son contrat, Virginie s’était engagée à honorer sa mission. Elle avait été payée d’avance par Charles. La soirée cependant ne s’annonçait pas comme prévu : coucher avec un homme, la belle savait le faire ; mais coucher avec deux ou trois hommes trois, cela était une autre affaire. La belle avait certes déjà eu ce type d’expérience avec Bob puis surtout Olivier. Cependant, cette fois, ce fut différent. Virginie en effet fut, pour la première fois de sa vie, prise au dépourvu.

- « Les hommes sont finalement tous les mêmes » songea Virginie.
- « Ok, je vais le faire. Dites-moi ce que vous voulez ? » annonça-t-elle à haute voix.
- « Pas comme ça ! » répondit Monsieur Henry. « Vous verrez au fur et à mesure de la soirée. Valentin ! Commande une carafe de champagne supplémentaire s’il te plait. Nous allons fêter la décision de la demoiselle de nous satisfaire tous les trois. Vous êtes mariés ? » demanda l’homme à Virginie. « On m’a dit qu’il y avait un homme dans votre vie. Rassurez-vous cela ne nous gêne pas ; au contraire »- « Vous êtes cynique. Croyez-vous vraiment que l’on parle comme ça à une femme. Entre gens de bonnes manières, vous devriez plutôt me faire la cour et être prévenant. »- « Patientez, vous avez toute la soirée devant vous. Regardez comme la vue sur Paris est magnifique. Mon chauffeur peut vous emmener faire un tour dans ma limousine si vous voulez ?
- « Non merci, cela ira ! » répondit la belle.
- « Comme vous voudrez » conclut le vieil homme.
- « Emilien ? Ce champagne arrive-t-il ? » ajouta le vieil homme d’une voix tonitruante.

Virginie regarda avec attention l’homme assis qui ne cessait de la regarder. L’indien debout et situé à côté de lui restait impassible et prenait des allures de garde du corps. Comme si une jeune fille allait porter atteinte à un vieux monsieur comme Monsieur Henry. Valentin revint avec le champagne.

- « Vous reprendriez bien une coupe, ma chère ? » proposa Monsieur Henry à Virginie.
- « Volontiers, répondit la belle. Ce soir, je dois me décontracter ».

Monsieur Henry acquiesça par un sourire et un geste de la tête.

- « Vous verrez, ajouta-t-il, vous allez passer une excellente soirée ! »- « Mais c’est ce que j’espère », annonça la belle, en se forçant d’y croire.

Le vieux monsieur tapa dans ses mains deux fois. Virginie n’était pas au bout de ses surprises :
- « Messieurs, elle est à vous ! » dit-il à haute voix.

Les deux hommes, Valentin et Shandernagor, s’approchèrent de la jeune femme, dans l’intention de bien l’intimider.

- « Hey ! Que faites-vous là ? » interjeta la jeune femme, apeurée. « Vous aviez dit que vous n’allez rien me faire sans mon consentement »- « C’est exact, mais regardez, ils ne vous ont même pas toucher. Ils se sont juste rapprochés de vous et déjà, vous avez peur », dit le vieil Henry.

Virginie réalisa que le vieil homme avait raison : Valentin et Shandernagor s’étaient approchés d’elle sans que ni l’un ni l’autre ne toucha d’un seul doigt la jeune femme en fleur.

- « Ok, je me suis emballée un peu trop vite » reconnut la belle.
- « Rassurez-vous, c’est nous qui allions vous emballer » rétorqua Monsieur Henry.
- « Bien, si vous nous faisiez un petit strip-tease, là maintenant ? Nous pouvons mettre un peu de musique, si cela vous chante. Vous êtes vraiment belle. Charles ne m’a pas menti. Je suis sûr que ce que vous cachez sous votre robe est délicieux. Votre décolleté est somptueux ! » ajouta le vieil homme.

Virginie sentit qu’elle n’avait pas le choix et qu’il fallait bien à un moment de la soirée se dévêtir et assouvir le fantasme de ces messieurs.

- « Permettez-moi de me changer dans la salle de bain » dit-elle.
- « Vous y êtes autorisée » précisa Monsieur Henry.

Virginie, encore sous le coup de l’émotion, s’en alla se changer dans la salle de bain. Devant la glace, elle se dit en se regardant « il faut que tu te ressaisisses ma belle ! Tu ne vas pas laisser ces gens-là prendre le dessus. Montre-leur que tu es la plus forte ».

Virginie quitta la salle de bain et revint dans le salon toute habillée sans n’avoir rien dévêtue :
- « J’ai une bien meilleure idée qu’un strip-tease, chuchota la belle à l’oreille du vieil homme. Ouvrez-vos yeux et regardez. »
Virginie s’approcha de Valentin qui restait impassible. L’homme était debout devant elle. En même temps, la belle défia Monsieur Henry du regard. En s’approchant du jeune cadre Valentin, elle commença par caresser l’entre-jambe de ce dernier. Sans tarder, l’homme monta en érection. Virginie frottait sa main de haut en bas par-dessus le pantalon du jeune homme. Valentin sentit son sexe durcir et tressaillir sous les caresses de la belle. Devant le regard satisfait de Monsieur Henry, Virginie s’accroupit devant Valentin. En deux temps trois mouvements, à l’aide de ses deux mains, elle ôta le sexe de Valentin du pantalon dans lequel il se trouvait. Valentin portait un boxer noir dans lequel Virginie plongea la main. Sans plus attendre, la belle prit le sexe déjà bien dur de Valentin dans sa bouche. En faisant cela, elle défia toujours du regard Monsieur Henry qui ne manquait rien du spectacle gratuit qui s’offrait à lui.

- « Je savais bien que Charles avait fait le bon choix en vous choisissant comme call-girl. Vous me paraissez très talentueuse ! » valorisa Monsieur Henry.

Virginie entendit les paroles du vieil homme sans se démunir du sexe qu’elle avait en bouche et qu’elle œuvrait entre ses lèvres. La belle avait sa manière à elle de sucer, tantôt en ouvrant en grand la bouche, tantôt en resserrant bien ses lèvres autour du gland et en avalant de met qu’elle trouvait délicieux.

- « Vous êtes une vraie petite pute ! » renchérit le vieil homme.

Virginien curieusement, ne se trouva pas offenser des paroles de Monsieur Henry. Elle paraissait même, au contraire, comme encouragée par les propos outrageux du vieil homme. La belle s’activa.

Valentin avait toutes les sensations de la belle devant lui : il voyait la jeune fille accroupie devant lui entrain de le sucer. Le jeune homme commença à gémir de plaisir. De ses mains, il voulut prendre Virginie par les cheveux pour mieux l’entrainer à sucer. La belle esquiva avant même qu’il eut le temps de réagir. Virginie était bien décidée à ne pas se laisser faire. C’est elle qui tenait les rênes et personne d’autres. C’est du moins ce que voulait la belle.

En continuant de sucer Valentin tout en regardant avidement Monsieur Henry dans les yeux, Virginie fit signe à Shandernagor d’approcher. D’un geste sûr, elle déboutonna le pantalon de l’Indien et en sortit un sexe respectable. Virginie le prit aussitôt en bouche sous le regard toujours satisfait de Monsieur Henry.

- « C’est bien ce que vous faites, c’est très bien ! dit le vieil homme. Il n’y a même pas besoin de vous dire ce que vous devez faire. Vous apprenez vite ! »- « Je ne vous ai pas attendu pour apprendre, répondit Virginie » en ôtant inopinément le sexe de sa bouche ».
- « C’est bien, vous êtes une brave fille. Je suis persuadé que vous irez loin dans la vie », ajouta le vieil homme.

A suivre

Les avis des lecteurs

Soyez le premier à donner votre avis après lecture sur cette histoire érotique...


Texte coquin : Virginie Escort (partie 3)
Histoire sexe : Une rose rouge
Vous êtes :
Indiquez votre adresse mail si vous souhaitez la communiquer à l'auteur de l'histoire.

Dernières histoires érotiques publiées par Bob-et-Annie

Chambres d'hôtes (partie 2) - Récit érotique publié le 04-05-2024
Chambres d'hôtes - Récit érotique publié le 02-04-2024
Biographie : Bruno et Virginie (épisode 11) - Récit érotique publié le 18-01-2024
Biographie : Bruno et Virginie (épisode 10) - Récit érotique publié le 02-01-2024
Biographie : Bruno et Virginie (épisode 9) - Récit érotique publié le 31-12-2023
Le Crépuscule - Récit érotique publié le 31-10-2023
Souvenir de fac – partie 3 : entre le canapé et le lit (suite) - Récit érotique publié le 02-08-2023
Souvenir de fac – partie 2 : entre le canapé et le lit - Récit érotique publié le 31-07-2023
Souvenirs de fac - partie 1 - Récit érotique publié le 04-07-2023
Récit à la troisième personne. - Récit érotique publié le 15-06-2023