Virginie et le photographe, partie 3.
Récit érotique écrit par Bob-et-Annie [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur couple.
- • 107 récits publiés.
- • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 8.9 • Cote moyenne attribuée par HDS : 9.5
- • L'ensemble des récits érotiques de Bob-et-Annie ont reçu un total de 465 472 visites.
Histoire érotique Publiée sur HDS le 27-10-2021 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
Cette histoire de sexe a été affichée 2 493 fois depuis sa publication.
Couleur du fond :
Virginie et le photographe, partie 3.
Dans le studio, Virginie posait en nuisette bleue azurée et transparente. Son corps était véritablement voluptueux. Le photographe avait l’habitude de voir des jolies filles pratiquement nues lors des shooting photo boudoir. Virginie ne le laissa pas indifférente. Elle était l’un de ses plus beaux modèles.
L’homme demanda à Virginie de poser debout devant la fenêtre du salon :
- « Tu ne risques rien, il n’y a personne qui peut nous voir par la fenêtre » assura-t-il. « Et puis, je laisse le volet à moitié fermé comme ça, pour laisser passer juste un peu de lumière », ajouta-t-il.
Les volets étaient ajourés. C’était des persiennes en bois recouvertes d’une peinture blanche. Virginie posait dans un rayon de lumière. La fenêtre était entr’ouverte. Le photographe la bombarda avec admiration :
- « Tiens, mets-toi de face maintenant, comme ça. Pose tes mains sur ta poitrine comme pour la cacher. Ça relève plus d’intimité », précisa encore le photographe.
- « Assis-toi là maintenant sur le parquet. Appuie ton dos contre le mur. Tu es très belle, tu sais. Si je n’étais pas tenu par un code de déontologie, je… »
Emu et troublé, l’homme ne finnisa pas sa phrase.
- « Pourquoi faire ce métier-là, si vous ne résistez pas ? » demanda la belle innocemment.
L’homme était en réalité beaucoup plus troublé par la relation qu’il entretenait malgré lui avec la belle, que par le charme incessant de la jeune fille. Cette relation avait débuté du jour où Virginie entra dans sa boutique. La jeune fille d’emblée se l’était joué séductrice. L’homme, qui pourtant était prudent vis-à-vis des femmes, succomba. La force psychologique de la jeune femme était telle que lui-même en fut littéralement désarmé.
Des femmes (et de très belles femmes même !), il en voyait régulièrement. Et sans cesse, il avait su jusqu’à ce jour garder ses distances. La relation avec Virginie d’emblée fut différente. La belle avait eu en effet le tutoiement et le sourire facile. Avec le photographe, elle était à l’aise, comme si elle l’eut connu depuis toujours. Sans s’y attendre, l’homme reçût en pleine face la pétulance et la vivacité impétueuse de la jeune fille.
Dans le studio, l’homme tenta cependant une ouverture :
- « Tu peux découvrir tes seins, si tu veux. Les photos, tu sais, sont pour toi. Je ne garde pas de copies. Et, si je garde des copies, c’est uniquement avec autorisation de mes clientes et puis j’ai l’obligation de ne pas divulguer sans en informer et obtenir l’accord de la propriétaire des photos. Tu n’as aucune crainte à avoir. Je ne veux pas perdre mon boulot. »
Virginie, séduit par l’idée de voir ses seins photographiés, n’en attendait pas moins de la part de l’homme. Dans la séance précédente, elle avait bien tenté de le faire mais elle resta bras croisés sur la poitrine quand elle fut à découvert. Dorénavant, elle se déshabilla pour le plus grand régal du photographe. La belle retira une bretelle de sa nuisette et fit tomber l’autre. Ses seins, voluptueux et chaleureux, impétueux et généreux s’offrirent au regard médusé du photographe :
- « Je te trouble ? » demanda Virginie, l’air sérieuse et sereine.
- « Hé ! Bien oui, tu me troubles. Tu es très belle. Mais je ne peux pas avoir de relations sexuelles avec toi. C’est contraire à la déontologie. »- « Tu aurais voulu ? » renchérit la belle, en cherchant vainement de repousser l’homme dans ses derniers retranchements.
- « Je ne peux pas parler de cette relation-là avec toi, cela me gêne. Bon je pense que nous devons nous arrêtez là pour aujourd’hui », ajouta l’homme, plus que troublé.
L’homme se releva. Il venait de bombarder Virginie nue et quasi-nue dans son studio. La belle, sans être déçue, se rhabilla et ne prit pas de rendez-vous pour la semaine suivante. Le shooting photo lui coutait effectivement une fortune, sans compter les fringues qu’elle acheta à crédit.
L’homme (comme pour la première fois) lui proposa de lui envoyer les plus belles photos par mail puis de venir chercher les autres la semaine prochaine. Virginie acquiesça :
- « OK pour la semaine prochaine », fit-elle.
- « Oui. A bientôt ! », répondit l’homme froidement.
A suivre
L’homme demanda à Virginie de poser debout devant la fenêtre du salon :
- « Tu ne risques rien, il n’y a personne qui peut nous voir par la fenêtre » assura-t-il. « Et puis, je laisse le volet à moitié fermé comme ça, pour laisser passer juste un peu de lumière », ajouta-t-il.
Les volets étaient ajourés. C’était des persiennes en bois recouvertes d’une peinture blanche. Virginie posait dans un rayon de lumière. La fenêtre était entr’ouverte. Le photographe la bombarda avec admiration :
- « Tiens, mets-toi de face maintenant, comme ça. Pose tes mains sur ta poitrine comme pour la cacher. Ça relève plus d’intimité », précisa encore le photographe.
- « Assis-toi là maintenant sur le parquet. Appuie ton dos contre le mur. Tu es très belle, tu sais. Si je n’étais pas tenu par un code de déontologie, je… »
Emu et troublé, l’homme ne finnisa pas sa phrase.
- « Pourquoi faire ce métier-là, si vous ne résistez pas ? » demanda la belle innocemment.
L’homme était en réalité beaucoup plus troublé par la relation qu’il entretenait malgré lui avec la belle, que par le charme incessant de la jeune fille. Cette relation avait débuté du jour où Virginie entra dans sa boutique. La jeune fille d’emblée se l’était joué séductrice. L’homme, qui pourtant était prudent vis-à-vis des femmes, succomba. La force psychologique de la jeune femme était telle que lui-même en fut littéralement désarmé.
Des femmes (et de très belles femmes même !), il en voyait régulièrement. Et sans cesse, il avait su jusqu’à ce jour garder ses distances. La relation avec Virginie d’emblée fut différente. La belle avait eu en effet le tutoiement et le sourire facile. Avec le photographe, elle était à l’aise, comme si elle l’eut connu depuis toujours. Sans s’y attendre, l’homme reçût en pleine face la pétulance et la vivacité impétueuse de la jeune fille.
Dans le studio, l’homme tenta cependant une ouverture :
- « Tu peux découvrir tes seins, si tu veux. Les photos, tu sais, sont pour toi. Je ne garde pas de copies. Et, si je garde des copies, c’est uniquement avec autorisation de mes clientes et puis j’ai l’obligation de ne pas divulguer sans en informer et obtenir l’accord de la propriétaire des photos. Tu n’as aucune crainte à avoir. Je ne veux pas perdre mon boulot. »
Virginie, séduit par l’idée de voir ses seins photographiés, n’en attendait pas moins de la part de l’homme. Dans la séance précédente, elle avait bien tenté de le faire mais elle resta bras croisés sur la poitrine quand elle fut à découvert. Dorénavant, elle se déshabilla pour le plus grand régal du photographe. La belle retira une bretelle de sa nuisette et fit tomber l’autre. Ses seins, voluptueux et chaleureux, impétueux et généreux s’offrirent au regard médusé du photographe :
- « Je te trouble ? » demanda Virginie, l’air sérieuse et sereine.
- « Hé ! Bien oui, tu me troubles. Tu es très belle. Mais je ne peux pas avoir de relations sexuelles avec toi. C’est contraire à la déontologie. »- « Tu aurais voulu ? » renchérit la belle, en cherchant vainement de repousser l’homme dans ses derniers retranchements.
- « Je ne peux pas parler de cette relation-là avec toi, cela me gêne. Bon je pense que nous devons nous arrêtez là pour aujourd’hui », ajouta l’homme, plus que troublé.
L’homme se releva. Il venait de bombarder Virginie nue et quasi-nue dans son studio. La belle, sans être déçue, se rhabilla et ne prit pas de rendez-vous pour la semaine suivante. Le shooting photo lui coutait effectivement une fortune, sans compter les fringues qu’elle acheta à crédit.
L’homme (comme pour la première fois) lui proposa de lui envoyer les plus belles photos par mail puis de venir chercher les autres la semaine prochaine. Virginie acquiesça :
- « OK pour la semaine prochaine », fit-elle.
- « Oui. A bientôt ! », répondit l’homme froidement.
A suivre
→ Qu'avez-vous pensé de cette histoire ??? Donnez votre avis...
→ Autres histoires érotiques publiées par Bob-et-Annie
0 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Soyez le premier à donner votre avis après lecture sur cette histoire érotique...