Visite attrayante
Récit érotique écrit par Renifleur [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 08-02-2024 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Visite attrayante
La jouissance est une bonne drogue chez moi. Toutes les jouissances. Même celle qu’il m’arrive de prendre en me branlant sur ma chaise, devant mon écran d’ordinateur. Moi, un homme parfaitement équilibré, qui ne manque pourtant pas de maîtresses, quand l’envie se fait sentir.
Depuis le départ ce matin de ma femme pour le boulot, je me suis longuement caressé sans pour cela conclure à écrire mon histoire de cul. Depuis quelques jours, j’éprouve un plaisir à me donner du bonheur solitaire et je ne ressens pas le besoin d’un partenaire, homme ou femme pour assouvir ma soif sexuelle. Il m’arrive même ses derniers temps, de repousser des invitations à la débauche.
C’est alors qu’une portière de voiture claque sous ma fenêtre. Je me précipite jusqu’à cette dernière. C’est probablement la voisine qui se gare sur mon trottoir par manque de place sur le sien. Mais non, rien à voir, je reconnais tout de suite le logo sur la portière, faisant partie de mon administration. Mais non, c’est ma chef de service qui sort de la place conducteur.
Là, j’ai deux solutions possibles qui me viennent à moi, soit faire celui qui n’a rien entendu ou alors, ou alors ! Lui ouvrir ma porte. Je ne sais pourquoi, j’ôte pour la seconde. Sans doute poussé par la curiosité de savoir pourquoi sa venue jusqu’à chez moi, alors que je suis en congé.
-Que me vaut cette visite ? Lui fais-je, en venant au-devant d’elle.
-J’étais de passage dans les environs alors je me suis laissé tenté par une visite inopiné. Je vous dérange ?
-Pas le moins du monde.
-Vous en êtes bien sûr ?
-Si je vous le dit, fais-je en m’effaçant pour lui laisser le passage.
Arrivée chez moi, alors que je la débarrasse de son manteau, elle inspecte chaque recoin des lieux, je l’invite à prendre place lui proposant un café, qu’elle accepte bien entendue.
Sandrine, son prénom, s’installe alors devant mon ordi. J’en étais un peu près sûr. Mais cela me laisse indifférent. Sachant très bien sur ce qu’elle va tomber. Tout en préparant le café, je l’observe discrètement. Je l’entends pianoter sur le clavier. Et très vite je la vois rougir. Et sa bouche s’ouvrir, en un O silencieux. Elle s’agite sur sa place et décroise ses jambes, que sa jupe longue, à mon grand regret, dissimule.
Je prends mon temps pour le café. Sur son siège, Sandrine a néanmoins les joues très roses quand elle lève ses yeux vers moi, et ses laissent apparaître le trouble dans ses yeux.
-Ça va ? Lui fais-je.
-Oui… oui, bien sûr…C’est, c’est qu’il fait chaud chez vous. Bafouille-t-elle.
-Ma femme est frileuse.
-Elle est là ? S’informe-t-elle.
-Non…non, je suis seul.
Je l'observe. Je reconnais qu’elle possède de jolis traits, banals mais réguliers, de taille petite, avec des jambes de sportive, une lourde poitrine sous le tissu de sa robe bleue. Elle lève le bras pour se passer la main dans les cheveux et j'aperçois un mince bouquet de poils blonds dans le creux de son aisselle. Si elle ne rase pas ses aisselles, alors ?...
Je bande en imaginant sa chatte blonde à l’état sauvage. Ma verge est à peine contenue par mon slip. Bien entendu je ne cache en rien mon érection, alors que je sers le café, je dirais même que je l’expose à sa vue. D’ailleurs elle ne met pas longtemps à s’en apercevoir. Son regard s’amarre dessus alors que ses joues s’empourprent.
Je prends place autour de la table. Sandrine sans un mot se penche, assez pour plaquer ses lèvres aux miennes. En même temps elle touche ma queue à travers mon pantalon. J’ai tout de suite réagi. Je commence par pétrir ses seins à travers le tissu de sa robe, avant de glisser mes mains dans son décolleté et ensuite dans son soutien-gorge. Devant moi, alors que je fais connaissance avec sa poitrine, elle dégrafe son vêtement sous lequel elle porte un collant mais rien dessous.
Comme téléguidé par mon excitation, je caresse des yeux son sexe à travers la transparence du nylon. Quant à la coquine qu’elle est, elle défait mon pantalon faisant jaillir mon sexe dur. Au maximum de son érection, brûlant, congestionné. Elle m’engloutit lentement dans sa bouche. Dodelinant de la tête et soufflant à mesure que ma verge disparait entre ses lèvres. Elle parvient tant bien que mal à m’avaler presque en entier. Puis en salivant, elle se met à le pomper, changeant de rythme et hoquetant chaque fois qu’elle s’étrangle.
- Tu es trop gros ! Dit-elle en me regardant, les yeux flous, brisant ainsi le silence religieux des dernières minutes.
Puis elle va s’installer de nouveau sur la chaise. Je porte le bout de deux doigts sur le nylon. Je me mets à le frotter doucement, partant du haut couvrant son pubis pour descendre jusqu’à arriver à l’endroit où le nylon s’enfonce entre ses lèvres intimes. Je le masse.
- Gros cochon. J'adore tu es un vicieux, et j'aime ça. Me dit-elle.
Elle se met à gémir. Un instant même, elle perd le contrôle d’elle-même. Un trait de pipi humidifie le nylon. Le rendant tout de suite plus clair.
Mes yeux s’attardent dessus. Elle libère ses pieds des lourdes bottes et Sandrine se tord pour faire descendre son collant. Met ses mains derrière sa nuque. Elle cambre légèrement les reins et me jette un regard de défi. Je suis absorbé par ce qu’elle m’exhibe, j’ai la bouche sèche. Elle me tend une main fine et nerveuse. Je semble sortir d’un rêve.
Elle reprend sa main pour se placer la seconde suivante au-dessus de moi, et elle s’accroupie plaçant mon gland entre ses lèvres. Elle le guide. J’ai un long frisson, dès le premier contact. Elle se frotte. Ça me charge d’électricité dans tout mon corps. Je m’entends gémir. Elle me glisse en elle, avec sensualité pour que chaque seconde soit un véritable moment de bonheur. Elle trouve elle-même le bon rythme. Je la laisse faire. Elle commence par bouger très lentement. Les sensations me submergent. Ainsi enserré mon sexe se met à palpiter, à tressauter. Je suis maintenant parcouru de frissons.
Je regarde ses lèvres qui tremblotent, imperceptible. Elle rayonne de bonheur. Je passe les mains derrière elle, la saisit par les fesses et la manipulant à ma guise, me met à le besogner à larges et puissants coups de reins. Son vagin, large et brûlant chuinte tellement que ma queue baigne dans son jus. Je le lime durant un long moment avec la régularité d’un métronome, et elle a deux violents orgasmes qui la laissent pantelante.
Puis je m’aperçois que je m’ennuis, à en débander. Je retire brusquement ma verge du vagin. J’empoigne mon membre et le dirige vers la cible désirée. Elle comprend tout de suite ma manœuvre. Tente même de se dégager.
- Non ! Pas ça ! C’est répugnant.
-C’est bien pour ça que j’aime ça ! N’oublie pas je suis un gros cochon !
Ma verge l’embroche déjà, perçant la résistance du sphincter et s’enfonçant jusqu’au scrotum dans l’anus qui crispé, m’enserre dans un étau velouté et chaud.
- Salaud ! Susurre-t-elle. Tu es viré !
-Je m’ens fou !
Je la prends par la taille, la maintenant dans une position surélevée et par de furieux assauts, je lui défonce le fondement à coups redoublés.
Elle crie de plus en plus fort, mais point pour demander grâce.
- Oui ! Éructe-t-elle, enfonce-toi loin, plus loin ! C’est bon… tu me fais du bien !
Je lui claque les fesses, ce qui la fait piailler et se tordre de plus belle. Ses seins vergetures cahotent lourdement. Elle porte une main à son clitoris, se met à se masturber. Elle dégouline littéralement de plaisir. Je la laboure plus généreusement que jamais le postérieur, retirant ma verge presque tout entier pour aussitôt la réintroduire jusqu’à la garde dans le fourreau étroit et palpitant. Je la sodomise de la sorte en silence, pendant un long moment. Elle halète et frétille et se masturbe à tour de bras.
- Continue comme ça, crie-t-elle. Je suis au bord de jouir…
Elle précipite les allées et venues de son doigt sur son bouton dardé. Tout son corps se contracte et sa respiration devient plus syncopée. Le sphincter anal se resserre autour de mon membre. À me l’étrangler…
Sa respiration devient plus syncopée. J’éjacule violemment, en décharges longues. Le regard changé, Sandrine prend un plaisir évident m’entendre jouir. Elle a les yeux vitreux, mi-clos. La bouche ouverte comme si elle n’arrive plus à respirer. Un filet de bave coule à la commissure de ses lèvres.
Avant de partir je lui demandais l’autorisation de garder son collant.
-Cochon ! Tu mériterais que j’en parle à ta femme.
-Rien à foutre de ce coté là.
-Oui, c’est bien ce qui se dit !
Depuis le départ ce matin de ma femme pour le boulot, je me suis longuement caressé sans pour cela conclure à écrire mon histoire de cul. Depuis quelques jours, j’éprouve un plaisir à me donner du bonheur solitaire et je ne ressens pas le besoin d’un partenaire, homme ou femme pour assouvir ma soif sexuelle. Il m’arrive même ses derniers temps, de repousser des invitations à la débauche.
C’est alors qu’une portière de voiture claque sous ma fenêtre. Je me précipite jusqu’à cette dernière. C’est probablement la voisine qui se gare sur mon trottoir par manque de place sur le sien. Mais non, rien à voir, je reconnais tout de suite le logo sur la portière, faisant partie de mon administration. Mais non, c’est ma chef de service qui sort de la place conducteur.
Là, j’ai deux solutions possibles qui me viennent à moi, soit faire celui qui n’a rien entendu ou alors, ou alors ! Lui ouvrir ma porte. Je ne sais pourquoi, j’ôte pour la seconde. Sans doute poussé par la curiosité de savoir pourquoi sa venue jusqu’à chez moi, alors que je suis en congé.
-Que me vaut cette visite ? Lui fais-je, en venant au-devant d’elle.
-J’étais de passage dans les environs alors je me suis laissé tenté par une visite inopiné. Je vous dérange ?
-Pas le moins du monde.
-Vous en êtes bien sûr ?
-Si je vous le dit, fais-je en m’effaçant pour lui laisser le passage.
Arrivée chez moi, alors que je la débarrasse de son manteau, elle inspecte chaque recoin des lieux, je l’invite à prendre place lui proposant un café, qu’elle accepte bien entendue.
Sandrine, son prénom, s’installe alors devant mon ordi. J’en étais un peu près sûr. Mais cela me laisse indifférent. Sachant très bien sur ce qu’elle va tomber. Tout en préparant le café, je l’observe discrètement. Je l’entends pianoter sur le clavier. Et très vite je la vois rougir. Et sa bouche s’ouvrir, en un O silencieux. Elle s’agite sur sa place et décroise ses jambes, que sa jupe longue, à mon grand regret, dissimule.
Je prends mon temps pour le café. Sur son siège, Sandrine a néanmoins les joues très roses quand elle lève ses yeux vers moi, et ses laissent apparaître le trouble dans ses yeux.
-Ça va ? Lui fais-je.
-Oui… oui, bien sûr…C’est, c’est qu’il fait chaud chez vous. Bafouille-t-elle.
-Ma femme est frileuse.
-Elle est là ? S’informe-t-elle.
-Non…non, je suis seul.
Je l'observe. Je reconnais qu’elle possède de jolis traits, banals mais réguliers, de taille petite, avec des jambes de sportive, une lourde poitrine sous le tissu de sa robe bleue. Elle lève le bras pour se passer la main dans les cheveux et j'aperçois un mince bouquet de poils blonds dans le creux de son aisselle. Si elle ne rase pas ses aisselles, alors ?...
Je bande en imaginant sa chatte blonde à l’état sauvage. Ma verge est à peine contenue par mon slip. Bien entendu je ne cache en rien mon érection, alors que je sers le café, je dirais même que je l’expose à sa vue. D’ailleurs elle ne met pas longtemps à s’en apercevoir. Son regard s’amarre dessus alors que ses joues s’empourprent.
Je prends place autour de la table. Sandrine sans un mot se penche, assez pour plaquer ses lèvres aux miennes. En même temps elle touche ma queue à travers mon pantalon. J’ai tout de suite réagi. Je commence par pétrir ses seins à travers le tissu de sa robe, avant de glisser mes mains dans son décolleté et ensuite dans son soutien-gorge. Devant moi, alors que je fais connaissance avec sa poitrine, elle dégrafe son vêtement sous lequel elle porte un collant mais rien dessous.
Comme téléguidé par mon excitation, je caresse des yeux son sexe à travers la transparence du nylon. Quant à la coquine qu’elle est, elle défait mon pantalon faisant jaillir mon sexe dur. Au maximum de son érection, brûlant, congestionné. Elle m’engloutit lentement dans sa bouche. Dodelinant de la tête et soufflant à mesure que ma verge disparait entre ses lèvres. Elle parvient tant bien que mal à m’avaler presque en entier. Puis en salivant, elle se met à le pomper, changeant de rythme et hoquetant chaque fois qu’elle s’étrangle.
- Tu es trop gros ! Dit-elle en me regardant, les yeux flous, brisant ainsi le silence religieux des dernières minutes.
Puis elle va s’installer de nouveau sur la chaise. Je porte le bout de deux doigts sur le nylon. Je me mets à le frotter doucement, partant du haut couvrant son pubis pour descendre jusqu’à arriver à l’endroit où le nylon s’enfonce entre ses lèvres intimes. Je le masse.
- Gros cochon. J'adore tu es un vicieux, et j'aime ça. Me dit-elle.
Elle se met à gémir. Un instant même, elle perd le contrôle d’elle-même. Un trait de pipi humidifie le nylon. Le rendant tout de suite plus clair.
Mes yeux s’attardent dessus. Elle libère ses pieds des lourdes bottes et Sandrine se tord pour faire descendre son collant. Met ses mains derrière sa nuque. Elle cambre légèrement les reins et me jette un regard de défi. Je suis absorbé par ce qu’elle m’exhibe, j’ai la bouche sèche. Elle me tend une main fine et nerveuse. Je semble sortir d’un rêve.
Elle reprend sa main pour se placer la seconde suivante au-dessus de moi, et elle s’accroupie plaçant mon gland entre ses lèvres. Elle le guide. J’ai un long frisson, dès le premier contact. Elle se frotte. Ça me charge d’électricité dans tout mon corps. Je m’entends gémir. Elle me glisse en elle, avec sensualité pour que chaque seconde soit un véritable moment de bonheur. Elle trouve elle-même le bon rythme. Je la laisse faire. Elle commence par bouger très lentement. Les sensations me submergent. Ainsi enserré mon sexe se met à palpiter, à tressauter. Je suis maintenant parcouru de frissons.
Je regarde ses lèvres qui tremblotent, imperceptible. Elle rayonne de bonheur. Je passe les mains derrière elle, la saisit par les fesses et la manipulant à ma guise, me met à le besogner à larges et puissants coups de reins. Son vagin, large et brûlant chuinte tellement que ma queue baigne dans son jus. Je le lime durant un long moment avec la régularité d’un métronome, et elle a deux violents orgasmes qui la laissent pantelante.
Puis je m’aperçois que je m’ennuis, à en débander. Je retire brusquement ma verge du vagin. J’empoigne mon membre et le dirige vers la cible désirée. Elle comprend tout de suite ma manœuvre. Tente même de se dégager.
- Non ! Pas ça ! C’est répugnant.
-C’est bien pour ça que j’aime ça ! N’oublie pas je suis un gros cochon !
Ma verge l’embroche déjà, perçant la résistance du sphincter et s’enfonçant jusqu’au scrotum dans l’anus qui crispé, m’enserre dans un étau velouté et chaud.
- Salaud ! Susurre-t-elle. Tu es viré !
-Je m’ens fou !
Je la prends par la taille, la maintenant dans une position surélevée et par de furieux assauts, je lui défonce le fondement à coups redoublés.
Elle crie de plus en plus fort, mais point pour demander grâce.
- Oui ! Éructe-t-elle, enfonce-toi loin, plus loin ! C’est bon… tu me fais du bien !
Je lui claque les fesses, ce qui la fait piailler et se tordre de plus belle. Ses seins vergetures cahotent lourdement. Elle porte une main à son clitoris, se met à se masturber. Elle dégouline littéralement de plaisir. Je la laboure plus généreusement que jamais le postérieur, retirant ma verge presque tout entier pour aussitôt la réintroduire jusqu’à la garde dans le fourreau étroit et palpitant. Je la sodomise de la sorte en silence, pendant un long moment. Elle halète et frétille et se masturbe à tour de bras.
- Continue comme ça, crie-t-elle. Je suis au bord de jouir…
Elle précipite les allées et venues de son doigt sur son bouton dardé. Tout son corps se contracte et sa respiration devient plus syncopée. Le sphincter anal se resserre autour de mon membre. À me l’étrangler…
Sa respiration devient plus syncopée. J’éjacule violemment, en décharges longues. Le regard changé, Sandrine prend un plaisir évident m’entendre jouir. Elle a les yeux vitreux, mi-clos. La bouche ouverte comme si elle n’arrive plus à respirer. Un filet de bave coule à la commissure de ses lèvres.
Avant de partir je lui demandais l’autorisation de garder son collant.
-Cochon ! Tu mériterais que j’en parle à ta femme.
-Rien à foutre de ce coté là.
-Oui, c’est bien ce qui se dit !
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