VOYAGE DE NOCE. La comtesse me reçoit (5/x)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 10-10-2016 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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VOYAGE DE NOCE. La comtesse me reçoit (5/x)
Après avoir fisté et sauté la comtesse dans la salle à manger puis dans le jardin de chez Giacomo elle veut m’emmener chez elle.
• Et ma femme ?
• Je crois qu’elle est en de bonnes mains, tu as trouvé mon équivalent de ce que j’étais quand je me suis marié, hélas il y a des années.
Ce soir il est prévu que la soirée soit dans mon palais.
• Il faut rester positif, tu m’as scotché ce soir, allons y tu mérites que je te raccompagne, juste le temps de me rhabiller, c’est facile, tu as simplement baissé mon pantalon.
La Comtesse me conduit pour redescendre et elle récupère sa cape qu’elle place sur sa guêpière.
Une fraction de seconde je vois Jennifer encadré par deux femmes qui la caressent tendrement, je pourrais me joindre à elles mais La Comtesse me prend la main et m’entraîne vers un lieu de perdition vénisien.
Nous rejoignons l’embarcadère de la maison de Giacomo.
De nombreux gondoliers attendent les participants à la fête, nous voyant l’un d’eux appuyé sur sa rame vient accoster à notre hauteur.
J’aide La Comtesse à monter.
• Pablo alla casa, fatta i canali prima di ritornare.
Je comprends alla casa, elle lui a demandé de nous conduire à la maison pour le reste nous verrons bien.
Nous nous installons sur le siège dos à Pablo, un drap est sur nos genoux car rapidement ma maîtresse place sa main dans mon pantalon tout en posant sa tête sur mon épaule.
• Nicolas, je te fais partager le meilleur moment de ma vie bien longue, aujourd’hui c’est ton épaule ou ma tête repose alors qu’avant c’était sur celle du comte que je la plaçais.
J’ai demandé à Pablo de te faire découvrir Venise de nuit, seul moment où la plupart des touristes sont couchés et ou dans les coins noirs les amoureux en prennent possession.
Elle sort une main et fait signe à notre gondolier.
La rame aide à freiner et nous nous arrêtons.
• Regarde sur le banc à droite, ces deux-là savent se faire plaisir.
Ma partenaire à l’œil car si j’étais passé seul je serais loin sans les voir.
Le garçon est assis sur un banc de pierre et la fille placée de dos monte et descend au gré des coups de queue que son compagnon lui donne, sa petite culotte est baisser jusqu’à ses molets et est tendue à craquer.
Leur vision et la main de La Comtesse me font bander plus intensément.
• Tu aimes voir, tu es comme mon mari, tous les hommes sont un peu voyeur surtout comme vous avec ta femme vous avez passé le cap des préjugés.
Elle a raison, dans le train avec l’homme de Lyon puis après Nice avec Jenny et Gaétan sans compter il y a quelques minutes la vision de ma femme se caressant avec les deux femmes me montre que j’adore mater.
• À droite dans la ruelle.
Incroyable, quel œil, le temps de passer et je vois un autre couple la femme collée au mur les bras autour de l’homme qui la pilonne.
Adieu vision nous sommes déjà passés, voyeur oui mais pas pervers car je garde en souvenir la vision fugace du couple alors que si nous nous étions une nouvelle fois arrêtés et reculés pour voir j’aurais considéré que c’était malsain.
Chacun de ces couples qui baisent dans la rue prend le risque de se faire attraper mais est certainement des exhibitionnistes qui aiment se montrer ou est la limite, mais pourquoi se poser la question il faut mieux vivre le moment présent.
• Tu vois vingt ans en arrière nous aurions fait la même promenade avec un accordéoniste à l’avant de la gondole qui nous aurait joué des chansons tendre italienne mais pour la quiétude des touristes qui pourrissent notre ville même s’ils nous font vivre la municipalité les a interdites.
Tu en verras seulement le jour qui joue pour quelques pièces auprès des Chinois ou des Japonais.
Dans deux jours nous ferons de nouveau cette promenade avec Gaétan et vos femmes et je demanderais à Patrizio de venir jouer pour vous.
• Giacomo nous accompagnera !
• C’est un papillon de nuit, depuis que nous nous connaissons c’est toujours diurne que je le rencontre, ce que je sais c’est que quelques amis l’ont vu dans des ruelles comme ces deux hommes à gauche se faire sodomiser, il nous aime nous les femmes mais des bonnes bites dans son anus font partie de ses pratiques sexuelles.
• Il reçoit des hommes !
• Jamais, au plus loin de nos nuits de débauches même avec les conjoints de ces dames je ne l’ai vu avoir le moindre geste équivoque ou alors il est très discret et je l’ignore.
Dans les minutes suivantes, nous débouchons sur ce que mon hôtesse me dit être le grand canal, nous passons sous le pont Rialto pour replonger dans une petite ruelle plus pittoresque que cette autoroute à gros trafic.
Nous retournons vers le côté opposé du quartier SAN Marco ou nous longeons la place SAN Marco et le Palais des Doges La place malgré cette heure avancée grouille encore d’un grand nombre de touristes semblant très peu pressé de regagner les hôtels et nous passons de nouveau sous le pont des soupirs pour retrouver l’embarcadère du palais de Giacomo ou toutes les gondoles sont parties.
Nos deux jennys doivent être couchées et doivent récupérer après cette première journée et nuit vénisienne.
De mon côté La Comtesse tient à me tenir la queue jusqu’à son embarcadère où je l’aide à descendre pour rentrer dans une maison un peu identique à celle que nous venons de passer notre première soirée et où j’ai abandonné mon épouse.
• Benedetta apporte à mon ami une boisson avec quelques petits gâteaux que j’ai cuisinés cette après-midi après m’être réveillée.
C’est dans un petit boudoir que je prends un expresso avec des gâteaux que je mange sans envie mais en homme du monde il faut que je fasse honneur à la maîtresse de maison qui les a confectionnées avec amours.
• Reprends-en un dernier, un grand garçon comme toi doit se nourrir, repend un café s’il le faut.
C’est aux sixième et deuxième cafés que j’arrive à lui faire comprendre que je suis repu et me faire entrer dans sa salle de bain où elle me dénude pour me faire pénétrer dans sa baignoire trop moderne pour être d’origine.
Elle me reprend la queue et prestement se dénude, dans le bain bouillonnant elle a assez de vigueur pour mettre la tête sous l’eau et me sucer.
Je suis fasciné, le souffle lui restant est phénoménal car pendant de longues minutes sa tête reste immergée.
• Figlio di puttana, que c’est bon, ta bite est prête à déchargé avant la nuit, il est l’heure d’aller au lit pour être en forme demain.
Elle se lève s’agenouille me reprends dans sa bouche chaude à souhait et me fait une fellation digne des plus grandes courtisanes.
Courtisane, La Comtesse en est une, durée longtemps dans le monde du sexe dans cette ville où tout appelle à la luxure est digne des femmes qui ont fini dans le lit de Casanova, le vrai, non sa doublure du XXIe siècle avec tout le respect que je dois à notre hôte.
Je bande et je sens qu’elle m’aspire, je rentre au plus profond de sa gorge.
Depuis la première fois qu’une femme m’a sucé aucune ne m’a amené si loin dans sa gorge, même et surtout Jennifer qui la fait il y a peu.
Elle me pompe si avidement que je baisse pavillon et qu’à ses yeux pleins de malice elle prend du plaisir à avaler les longues rasades de sperme que mes couilles lui ont réservé.
Après cette dernière passe d’armes entre la dame et moi j’ai le droit à un repos bien mérité.
Avant de m’endormir j’ai une pensée pour ma femme, putain de voyage de noces, je baise à tour de verge mais la chatte de ma moitié me semble inaccessible.
Un, deux trois, des cloches proches me ramènent à Venise.
Quel lit m’accueille, ou est Jennifer, que c’est drap son doux, c’est normal de la soie, il est vrai que nous sommes sur la route des Indes, il se peut que Marco-Paulo ait couché dans ce lit quand je finis par voir qu’il est très ancien.
Je bande, ma tige est au sommet de ce qu’elle est capable d’atteindre par son diamètre et sa longueur pourtant je suis seul dans ce lit, mes pensées reviennent où se trouve la comtesse ?
Je bande pourtant ces vrais hier elle m’a pompé divinement et je bande comme au plus beau jour de mon adolescence alors que dans la journée j’avais aperçu la vallée séparant les seins de ma petite voisine quand je suis allé lui expliqué un devoir de Français mal compris d’elle pour préparer son bac.
Je bande comme je bandais le lendemain quand j’y suis retourné et où je lui ai pris son pucelage pendant qu’elle m’enlevait le mien.
Je bande comme quand entrant en elle, elle a crié quand son hymen s’est déchiré et que quand ma queue est ressortie pour mieux replonger au fond j’ai vu mon gland maculé de sang.
Je bande quant au dernier moment je me suis retiré pour décharger sur ses poils pubiens pour éviter un enfantement car nous étions dans l’incapacité de nous fournir en capote pour nous protéger.
Je bande comme dans les jours qui ont suivi sans lui faire l’amour attendant avec anxiété ses règles qui pour bien nous faire peur sont arrivées en retard de six jours alors que le lendemain nous avions décidé de parler à sa maman de cette bêtise.
Je bande et je me masturbe sans arriver à éjaculer.
• Bonjour Nicolas tu es réveillé, je t’apporte ton petit déjeuner, je viens de faire cuire une pâtisserie dont tu me diras des nouvelles.
Café que je bois après m’être levé pour aller uriner sans pour autant baisser pavillon.
Le gâteau aux poires est très savoureux et a un arrière-goût de Cannelle.
• Je vois que tu aimes reprend-en une part.
C’est bête de toujours vouloir faire plaisir à une dame qui pourrait être votre mère.
• Je vois que tu es en forme, viens que je te prépare, ces dames vont bientôt être là et je dois t’offrir le cadeau qu’elles vous font…
• Et ma femme ?
• Je crois qu’elle est en de bonnes mains, tu as trouvé mon équivalent de ce que j’étais quand je me suis marié, hélas il y a des années.
Ce soir il est prévu que la soirée soit dans mon palais.
• Il faut rester positif, tu m’as scotché ce soir, allons y tu mérites que je te raccompagne, juste le temps de me rhabiller, c’est facile, tu as simplement baissé mon pantalon.
La Comtesse me conduit pour redescendre et elle récupère sa cape qu’elle place sur sa guêpière.
Une fraction de seconde je vois Jennifer encadré par deux femmes qui la caressent tendrement, je pourrais me joindre à elles mais La Comtesse me prend la main et m’entraîne vers un lieu de perdition vénisien.
Nous rejoignons l’embarcadère de la maison de Giacomo.
De nombreux gondoliers attendent les participants à la fête, nous voyant l’un d’eux appuyé sur sa rame vient accoster à notre hauteur.
J’aide La Comtesse à monter.
• Pablo alla casa, fatta i canali prima di ritornare.
Je comprends alla casa, elle lui a demandé de nous conduire à la maison pour le reste nous verrons bien.
Nous nous installons sur le siège dos à Pablo, un drap est sur nos genoux car rapidement ma maîtresse place sa main dans mon pantalon tout en posant sa tête sur mon épaule.
• Nicolas, je te fais partager le meilleur moment de ma vie bien longue, aujourd’hui c’est ton épaule ou ma tête repose alors qu’avant c’était sur celle du comte que je la plaçais.
J’ai demandé à Pablo de te faire découvrir Venise de nuit, seul moment où la plupart des touristes sont couchés et ou dans les coins noirs les amoureux en prennent possession.
Elle sort une main et fait signe à notre gondolier.
La rame aide à freiner et nous nous arrêtons.
• Regarde sur le banc à droite, ces deux-là savent se faire plaisir.
Ma partenaire à l’œil car si j’étais passé seul je serais loin sans les voir.
Le garçon est assis sur un banc de pierre et la fille placée de dos monte et descend au gré des coups de queue que son compagnon lui donne, sa petite culotte est baisser jusqu’à ses molets et est tendue à craquer.
Leur vision et la main de La Comtesse me font bander plus intensément.
• Tu aimes voir, tu es comme mon mari, tous les hommes sont un peu voyeur surtout comme vous avec ta femme vous avez passé le cap des préjugés.
Elle a raison, dans le train avec l’homme de Lyon puis après Nice avec Jenny et Gaétan sans compter il y a quelques minutes la vision de ma femme se caressant avec les deux femmes me montre que j’adore mater.
• À droite dans la ruelle.
Incroyable, quel œil, le temps de passer et je vois un autre couple la femme collée au mur les bras autour de l’homme qui la pilonne.
Adieu vision nous sommes déjà passés, voyeur oui mais pas pervers car je garde en souvenir la vision fugace du couple alors que si nous nous étions une nouvelle fois arrêtés et reculés pour voir j’aurais considéré que c’était malsain.
Chacun de ces couples qui baisent dans la rue prend le risque de se faire attraper mais est certainement des exhibitionnistes qui aiment se montrer ou est la limite, mais pourquoi se poser la question il faut mieux vivre le moment présent.
• Tu vois vingt ans en arrière nous aurions fait la même promenade avec un accordéoniste à l’avant de la gondole qui nous aurait joué des chansons tendre italienne mais pour la quiétude des touristes qui pourrissent notre ville même s’ils nous font vivre la municipalité les a interdites.
Tu en verras seulement le jour qui joue pour quelques pièces auprès des Chinois ou des Japonais.
Dans deux jours nous ferons de nouveau cette promenade avec Gaétan et vos femmes et je demanderais à Patrizio de venir jouer pour vous.
• Giacomo nous accompagnera !
• C’est un papillon de nuit, depuis que nous nous connaissons c’est toujours diurne que je le rencontre, ce que je sais c’est que quelques amis l’ont vu dans des ruelles comme ces deux hommes à gauche se faire sodomiser, il nous aime nous les femmes mais des bonnes bites dans son anus font partie de ses pratiques sexuelles.
• Il reçoit des hommes !
• Jamais, au plus loin de nos nuits de débauches même avec les conjoints de ces dames je ne l’ai vu avoir le moindre geste équivoque ou alors il est très discret et je l’ignore.
Dans les minutes suivantes, nous débouchons sur ce que mon hôtesse me dit être le grand canal, nous passons sous le pont Rialto pour replonger dans une petite ruelle plus pittoresque que cette autoroute à gros trafic.
Nous retournons vers le côté opposé du quartier SAN Marco ou nous longeons la place SAN Marco et le Palais des Doges La place malgré cette heure avancée grouille encore d’un grand nombre de touristes semblant très peu pressé de regagner les hôtels et nous passons de nouveau sous le pont des soupirs pour retrouver l’embarcadère du palais de Giacomo ou toutes les gondoles sont parties.
Nos deux jennys doivent être couchées et doivent récupérer après cette première journée et nuit vénisienne.
De mon côté La Comtesse tient à me tenir la queue jusqu’à son embarcadère où je l’aide à descendre pour rentrer dans une maison un peu identique à celle que nous venons de passer notre première soirée et où j’ai abandonné mon épouse.
• Benedetta apporte à mon ami une boisson avec quelques petits gâteaux que j’ai cuisinés cette après-midi après m’être réveillée.
C’est dans un petit boudoir que je prends un expresso avec des gâteaux que je mange sans envie mais en homme du monde il faut que je fasse honneur à la maîtresse de maison qui les a confectionnées avec amours.
• Reprends-en un dernier, un grand garçon comme toi doit se nourrir, repend un café s’il le faut.
C’est aux sixième et deuxième cafés que j’arrive à lui faire comprendre que je suis repu et me faire entrer dans sa salle de bain où elle me dénude pour me faire pénétrer dans sa baignoire trop moderne pour être d’origine.
Elle me reprend la queue et prestement se dénude, dans le bain bouillonnant elle a assez de vigueur pour mettre la tête sous l’eau et me sucer.
Je suis fasciné, le souffle lui restant est phénoménal car pendant de longues minutes sa tête reste immergée.
• Figlio di puttana, que c’est bon, ta bite est prête à déchargé avant la nuit, il est l’heure d’aller au lit pour être en forme demain.
Elle se lève s’agenouille me reprends dans sa bouche chaude à souhait et me fait une fellation digne des plus grandes courtisanes.
Courtisane, La Comtesse en est une, durée longtemps dans le monde du sexe dans cette ville où tout appelle à la luxure est digne des femmes qui ont fini dans le lit de Casanova, le vrai, non sa doublure du XXIe siècle avec tout le respect que je dois à notre hôte.
Je bande et je sens qu’elle m’aspire, je rentre au plus profond de sa gorge.
Depuis la première fois qu’une femme m’a sucé aucune ne m’a amené si loin dans sa gorge, même et surtout Jennifer qui la fait il y a peu.
Elle me pompe si avidement que je baisse pavillon et qu’à ses yeux pleins de malice elle prend du plaisir à avaler les longues rasades de sperme que mes couilles lui ont réservé.
Après cette dernière passe d’armes entre la dame et moi j’ai le droit à un repos bien mérité.
Avant de m’endormir j’ai une pensée pour ma femme, putain de voyage de noces, je baise à tour de verge mais la chatte de ma moitié me semble inaccessible.
Un, deux trois, des cloches proches me ramènent à Venise.
Quel lit m’accueille, ou est Jennifer, que c’est drap son doux, c’est normal de la soie, il est vrai que nous sommes sur la route des Indes, il se peut que Marco-Paulo ait couché dans ce lit quand je finis par voir qu’il est très ancien.
Je bande, ma tige est au sommet de ce qu’elle est capable d’atteindre par son diamètre et sa longueur pourtant je suis seul dans ce lit, mes pensées reviennent où se trouve la comtesse ?
Je bande pourtant ces vrais hier elle m’a pompé divinement et je bande comme au plus beau jour de mon adolescence alors que dans la journée j’avais aperçu la vallée séparant les seins de ma petite voisine quand je suis allé lui expliqué un devoir de Français mal compris d’elle pour préparer son bac.
Je bande comme je bandais le lendemain quand j’y suis retourné et où je lui ai pris son pucelage pendant qu’elle m’enlevait le mien.
Je bande comme quand entrant en elle, elle a crié quand son hymen s’est déchiré et que quand ma queue est ressortie pour mieux replonger au fond j’ai vu mon gland maculé de sang.
Je bande quant au dernier moment je me suis retiré pour décharger sur ses poils pubiens pour éviter un enfantement car nous étions dans l’incapacité de nous fournir en capote pour nous protéger.
Je bande comme dans les jours qui ont suivi sans lui faire l’amour attendant avec anxiété ses règles qui pour bien nous faire peur sont arrivées en retard de six jours alors que le lendemain nous avions décidé de parler à sa maman de cette bêtise.
Je bande et je me masturbe sans arriver à éjaculer.
• Bonjour Nicolas tu es réveillé, je t’apporte ton petit déjeuner, je viens de faire cuire une pâtisserie dont tu me diras des nouvelles.
Café que je bois après m’être levé pour aller uriner sans pour autant baisser pavillon.
Le gâteau aux poires est très savoureux et a un arrière-goût de Cannelle.
• Je vois que tu aimes reprend-en une part.
C’est bête de toujours vouloir faire plaisir à une dame qui pourrait être votre mère.
• Je vois que tu es en forme, viens que je te prépare, ces dames vont bientôt être là et je dois t’offrir le cadeau qu’elles vous font…
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