Week-end à Carnon, FIN
Récit érotique écrit par Sucette [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 03-01-2024 dans la catégorie Dominants et dominés
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Week-end à Carnon, FIN
Réveil tardif et difficile. Mickaël est le premier debout, il va uriner dans la douche ne pouvant se servir de ses mains toujours attachées dans son dos. Le plug le gêne un peu aussi et l'irrite.
France se lève, attrape ses attributs et l'entraine dans la douche. Elle le fait mettre à genoux, bouche ouverte et vient se placer sur lui. Son urine se répand sur lui et envahit sa bouche.
Elle le relève et le courbe en avant pour lui enlever le plug et détache ses mains, elle l'entraine aux toilettes pour lui faire nettoyer et lui montre comment se servir de la canule pour faire son lavement.
Ensuite ils se douchent et prépare un petit déjeuner copieux sur la terrasse pendant que les filles se réveillent.
Une heure plus tard, ils sont au même endroit que la veille sur la plage. Mickaël a porté le gros sac à dos et la glacière sous les moqueries et les allusions des filles.
Pendant qu'elles s'ébrouent dans l'eau fraîche, Mickaël reste sagement sous le parasol. Sa peau ne supporterait pas une seconde exposition au soleil malgré la crème solaire à l'indice élevé.
Mickaël :
Je regarde France revenir vers moi, elle est magnifique dans la plénitude. Je trouve les filles de mon âge fades, superficielles sans réel intérêt. J'ai toujours été secrètement amoureux de mes professeures au lycée et à l'université. Ce rêve se réalise enfin, elle a de la classe et une libido hors norme. Je ne sais pas où cela va me mener mais j'ai adoré son urine, sa domination progressive. Jamais, je n'aurai imaginé m'avilir de la sorte mais j'ai aimé qu'elle me sodomise et m'entrave.
J'ai joui six fois hier et plus je jouis et plus j'en ai envie.
Elle prend sa serviette et me demande de la sécher, je m'empresse de la frotter et de la serrer contre moi, je m'agenouille pour frotter ses jambes et ses fesses. Je noue le drap de bain autour de sa taille et en me glissant à l'intérieur, je la couvre de baisers. Parvenu à son aine, j'hume ses odeurs intime puis de la langue, lèche ses lèvres, elle me relève et m'embrasse passionnément. Nous nous allongeons. Je caresse sa poitrine, mon sexe plaqué contre son ventre.
Je lui avoue mon amour, ma fascination pour elle et ce qu'elle représente. Elle rit puis ajoute qu'elle est très exigeante. Elle me dit que l'amour est un jeu et qu'elle va m'en faire découvrir toutes les facettes mais que dois prouver que je le veux vraiment.
Je suis prêt à tout pour mériter son attention et prêt à subir toutes les transgressions
« Chiche ! » me dit elle. Je réponds par l'affirmative. « C'est ce que l'on verra » ajoute t elle.
Il est déjà 14 h. Les filles ont faim et nous dirigeons vers la pinède, à l'ombre et au calme. Nous discutons de choses et d'autres quand France leur fait part de mon engagement.
Elle ajoute que pour commencer je porterai une cage de chasteté. Les deux filles auront une clé pour mes ablutions. La nuit j'aurai les mains menottés et un rosebud dans le fion.
Puis elle a eu l'idée d'un petit jeu : Les yeux bandés, je devais reconnaître avec la langue et ma bouche la personne en face de moi. Interdiction d'utiliser les mains et les bras.
Bien sûr, j'étais ridicule à errer dans la clairière . Marie me fit goûter ses seins que je reconnu immédiatement, Marion me présenta son pied, me trompant, je dû lui lécher, ils étaient plein de sable. France me tendit sa jambe, je crus que c'était encore Marie, elle claqua mes fesses plusieurs fois. Évidemment je tombais plusieurs fois et me déplaçais à quatre pattes.
Ensuite elles me nettoyèrent. Après elles inventairent un nouveau jeu : S'inspirant de ce qu'elles avaient vu la veille, elle me couchèrent en travers d'un tronc d'arbre abattu par une tempête, la tête d'un côté, les jambes de l'autre, toujours les yeux bandés.
Marie arcboutée me présenta sa moule, France , un godemichet plus gros que la veille.
Elle a préparé mon conduit étroit de lubrifiant puis elle a cherché le meilleur angle pour me sodomiser.
Préparé la nuit dernière, mon anneau céda facilement et je ressentis beaucoup de plaisir à cette pénétration.
Marion s'est glissé sous moi et s'est emparée de mon sexe qu'elle a sucé et branlé fortement. La sensation est terrible, je jouis par la prostate et l'anus, je suis rempli, la sensation est délicieuse mais surtout la fellation de Marion est divine. C'est la révolution dans mes neurones. Un flash d'endomorphines.
France semblait infatigable, mon jus a inondé la bouche de Marion qui ensuite est venu m'embrasser et l'a fait couler dans ma gorge.
Notre attroupement a attiré quelques voyeurs qui se sont approchés en silence, la queue à la main, sans doute encouragés par les filles.
Je ne vois rien mais je devine quelque chose. Plusieurs éjaculations arrivent sur mon visage et mon dos. La sensation est surprenante, tiède, crémeux, légèrement odoriférant, je connais cette odeur. J'ôte alors mon bandeau. Marion en a profité pour prendre le sperme dans ses doigts pour l'amener dans ma bouche.
Tandis que le petit groupe s'égaye, nous en avons profité pour lever le camp et rebroussé chemin et regagné nos pénates.
Tout le long du chemin, interdiction de me nettoyer, mon tee shirt colle à ma peau. Heureusement il n'y avait personne dans la rue et l'immeuble.
Après avoir donné ses consignes, le rosebud et les menottes, France m'a donné rendez-vous pour me présenter à des amis. Elle pense à un stage pour cet été qui pourrait déboucher sur une embauche définitive.
France se lève, attrape ses attributs et l'entraine dans la douche. Elle le fait mettre à genoux, bouche ouverte et vient se placer sur lui. Son urine se répand sur lui et envahit sa bouche.
Elle le relève et le courbe en avant pour lui enlever le plug et détache ses mains, elle l'entraine aux toilettes pour lui faire nettoyer et lui montre comment se servir de la canule pour faire son lavement.
Ensuite ils se douchent et prépare un petit déjeuner copieux sur la terrasse pendant que les filles se réveillent.
Une heure plus tard, ils sont au même endroit que la veille sur la plage. Mickaël a porté le gros sac à dos et la glacière sous les moqueries et les allusions des filles.
Pendant qu'elles s'ébrouent dans l'eau fraîche, Mickaël reste sagement sous le parasol. Sa peau ne supporterait pas une seconde exposition au soleil malgré la crème solaire à l'indice élevé.
Mickaël :
Je regarde France revenir vers moi, elle est magnifique dans la plénitude. Je trouve les filles de mon âge fades, superficielles sans réel intérêt. J'ai toujours été secrètement amoureux de mes professeures au lycée et à l'université. Ce rêve se réalise enfin, elle a de la classe et une libido hors norme. Je ne sais pas où cela va me mener mais j'ai adoré son urine, sa domination progressive. Jamais, je n'aurai imaginé m'avilir de la sorte mais j'ai aimé qu'elle me sodomise et m'entrave.
J'ai joui six fois hier et plus je jouis et plus j'en ai envie.
Elle prend sa serviette et me demande de la sécher, je m'empresse de la frotter et de la serrer contre moi, je m'agenouille pour frotter ses jambes et ses fesses. Je noue le drap de bain autour de sa taille et en me glissant à l'intérieur, je la couvre de baisers. Parvenu à son aine, j'hume ses odeurs intime puis de la langue, lèche ses lèvres, elle me relève et m'embrasse passionnément. Nous nous allongeons. Je caresse sa poitrine, mon sexe plaqué contre son ventre.
Je lui avoue mon amour, ma fascination pour elle et ce qu'elle représente. Elle rit puis ajoute qu'elle est très exigeante. Elle me dit que l'amour est un jeu et qu'elle va m'en faire découvrir toutes les facettes mais que dois prouver que je le veux vraiment.
Je suis prêt à tout pour mériter son attention et prêt à subir toutes les transgressions
« Chiche ! » me dit elle. Je réponds par l'affirmative. « C'est ce que l'on verra » ajoute t elle.
Il est déjà 14 h. Les filles ont faim et nous dirigeons vers la pinède, à l'ombre et au calme. Nous discutons de choses et d'autres quand France leur fait part de mon engagement.
Elle ajoute que pour commencer je porterai une cage de chasteté. Les deux filles auront une clé pour mes ablutions. La nuit j'aurai les mains menottés et un rosebud dans le fion.
Puis elle a eu l'idée d'un petit jeu : Les yeux bandés, je devais reconnaître avec la langue et ma bouche la personne en face de moi. Interdiction d'utiliser les mains et les bras.
Bien sûr, j'étais ridicule à errer dans la clairière . Marie me fit goûter ses seins que je reconnu immédiatement, Marion me présenta son pied, me trompant, je dû lui lécher, ils étaient plein de sable. France me tendit sa jambe, je crus que c'était encore Marie, elle claqua mes fesses plusieurs fois. Évidemment je tombais plusieurs fois et me déplaçais à quatre pattes.
Ensuite elles me nettoyèrent. Après elles inventairent un nouveau jeu : S'inspirant de ce qu'elles avaient vu la veille, elle me couchèrent en travers d'un tronc d'arbre abattu par une tempête, la tête d'un côté, les jambes de l'autre, toujours les yeux bandés.
Marie arcboutée me présenta sa moule, France , un godemichet plus gros que la veille.
Elle a préparé mon conduit étroit de lubrifiant puis elle a cherché le meilleur angle pour me sodomiser.
Préparé la nuit dernière, mon anneau céda facilement et je ressentis beaucoup de plaisir à cette pénétration.
Marion s'est glissé sous moi et s'est emparée de mon sexe qu'elle a sucé et branlé fortement. La sensation est terrible, je jouis par la prostate et l'anus, je suis rempli, la sensation est délicieuse mais surtout la fellation de Marion est divine. C'est la révolution dans mes neurones. Un flash d'endomorphines.
France semblait infatigable, mon jus a inondé la bouche de Marion qui ensuite est venu m'embrasser et l'a fait couler dans ma gorge.
Notre attroupement a attiré quelques voyeurs qui se sont approchés en silence, la queue à la main, sans doute encouragés par les filles.
Je ne vois rien mais je devine quelque chose. Plusieurs éjaculations arrivent sur mon visage et mon dos. La sensation est surprenante, tiède, crémeux, légèrement odoriférant, je connais cette odeur. J'ôte alors mon bandeau. Marion en a profité pour prendre le sperme dans ses doigts pour l'amener dans ma bouche.
Tandis que le petit groupe s'égaye, nous en avons profité pour lever le camp et rebroussé chemin et regagné nos pénates.
Tout le long du chemin, interdiction de me nettoyer, mon tee shirt colle à ma peau. Heureusement il n'y avait personne dans la rue et l'immeuble.
Après avoir donné ses consignes, le rosebud et les menottes, France m'a donné rendez-vous pour me présenter à des amis. Elle pense à un stage pour cet été qui pourrait déboucher sur une embauche définitive.
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Les avis des lecteurs
Femme trop nul aucun intérêt ds la stupidités