« Aurélien » : Un jeu sexuel comme cadeau d’anniversaire 13/15
Récit érotique écrit par Perruche [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 17-11-2021 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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« Aurélien » : Un jeu sexuel comme cadeau d’anniversaire 13/15
N’ayant plus de nouvelle de sa soi-disant belle-fille, Stéphanie était arrivée inquiète à la concession ce jour-là. Elle se dirigea directement vers le bureau d’Aurélien et lui demanda ce qu’il en était de la vente de la voiture d’Aline : « Ben c’est fait ! je pensais que tu étais au courant. Elle l’a payé hier matin en espèce, j’en ai profité, comme j’allais à la préfecture, pour lui faire la carte grise, elle est partie avec. » Lorsque Stéphanie quitta le bureau de son compagnon, sans rien dire d’autre, blanche comme elle était, Aurélien s’aperçut tout de suite qu’elle n’était pas dans son assiette. Il la rattrapa et lui demanda :
— Qu’est-ce qui te tracasse ? Ta belle-fille ne ta pas prévenue ?
— Tu sais où elle est ? S’inquiéta-t-elle.
— Elle a trouvé du travail en Bretagne, elle partait pour Rennes, je crois. Mentit-il volontairement.
— Bon débarras ! T’as baisé avec elle c’est ça ? Elle t’a demandé de l’argent ?
— Non, elle avait au moins 5 milles euros en liquide dans son sac.
— J’espère qu’elle ne viendra plus m’en demander cette salope.
— On dirait que tu ne la portes pas dans ton cœur ta belle-fille. Son père a dû lui donner l’argent. Dit Aurélien innocemment, pour connaitre sa réaction.
— Probablement, il lui a toujours tout céder.
— Dis-moi Steph, comment se fait-il que le nom d’Aline soit Leroy, je croyais que ton mari s’appelait Dumas, c’est bien ton nom de mariage. Non ?
Stéphanie détourna la conversation, elle se dit pressée et coupa court en lui disant qu’elle lui expliquerait plus tard. Aurélien avait compris qu’Aline disait vrai, il était furieux après lui-même, de s’être fait avoir comme un bleu. Il voulait en parler, mais ne pouvant pas joindre Sabine son ex et ne pouvant pas parler de ça avec son père Paul, il lui restait Véro, sa véritable amie, avec laquelle il pouvait se confier et lui dit franchement que Stéphanie n’était pas la femme qu’elle prétendait être. Aurélien lui raconta tout sur la vie de sa compagne dans les moindres détails. Véro le regardait estomaquée, elle avait des difficultés à croire tout ce qu’elle venait d’entendre.
Puis elle prit la parole et après lui avoir dit : « Justement je n’osais pas te le dire mais moi aussi, je l’ai trouvé très bizarre, ta Stéph. » Véro lui dit ouvertement ce qu’elle avait sur le cœur et se lança dans son récit. Depuis plusieurs mois, Stéphanie commença à sympathiser avec elle puis au fur et à mesure, elle commença à aller un peu plus loin, elle était bien plus tactile qu’au début. Véro avait l’impression qu’elle la draguait. Le plus drôle dans l’histoire c’est qu’elle appréciait toutes ses gentillesses et ses câlins. Tout doucement, de semaines en semaines, les deux femmes se rapprochaient de plus en plus jusqu’à, il y avait une quinzaine de jours, Stéphanie l’avait embrassé et Véro s’était laissé faire en acceptant volontiers son baiser.
Mais ce n’était pas tout, vendredi dernier, Stéph lui avoua que Thomas la trompait tous les mercredis soir et que si elle voulait se venger de lui, elle avait la possibilité de le faire en couchant avec Aurélien : « Je sais que tu en pinces pour mon homme, je te le prête si tu veux, on pourrait même organiser un trio, si tu n’es pas contre » :— Je n’en croyais pas mes oreilles, je croyais qu’elle blaguait, mais non. Elle m’a de nouveau embrassé tendrement. J’avoue que j’ai aimé. Je m’en veux de ne pas te l’avoir dit aussitôt.
Aurélien ne l’interrompit pas, elle poursuivit en expliquant qu’elle en avait parlé avec Thomas et s’était aperçue, vu sa réaction, que Stéphanie disait la vérité, son mari la trompait sans toutefois lui avouer avec qui. Véro pleura et vint se blottir contre son ami qui essaya de la consoler. Comme de nombreuses fois par le passé, cela c’était fini par un baiser fougueux, leur envie mutuelle de faire l’amour ensemble refaisait surface :— Arrête Aurel, tu sais que je ne saurai pas dire non. Il est grand temps que tu repartes avant qu’il ne soit trop tard.
La fin de la semaine avec Stéphanie, la tension était si forte entre eux qu’ils ne s’étaient parlé uniquement pour le travail. Elle était partie pour le week-end sans le prévenir alors qu’Aurélien avait la garde de son fils Axel que sa mère amenait chez Paul et Claire le vendredi soir. Cela faisait plus de six mois que Sabine ne parlait plus du divorce, elle avait avoué à son père qu’elle avait bien l’intention de reconquérir un jour son mari. Elle l’aimait encore et elle était persuadée qu’il n’était pas fait pour sa demi-sœur.
D’autant plus qu’après avoir parlé avec son amie Véronique, elle savait maintenant qui était vraiment Stéphanie. Pendant le repas, elle s’était permise d’en parler à Paul. Aurélien s’y était opposé en expliquant que c’était son problème personnel et que cela ne regardait personne d’autre que lui : « Non Aurel ! Tu es mon gendre mais aussi mon fils de cœur, lorsque les problèmes empiètent sur les affaires professionnelles, ça me regarde. »
— Comment ça, au garage, tout va bien, que je sache.
— Non ! Stéphanie m’a annoncé ce matin qu’elle partait rejoindre son mari. Il a acheté un établissement libertin dans la région parisienne. Elle ne peut pas se passer de lui, m’a-t-elle dit.
— Merde ! S’exclama Sabine. Qu’elle Salope ! de nous planter comme ça. Excuse-moi Aurel pour toi aussi ça doit te faire un choc. Dit-elle en lui faisant une bise sur la joue.
Paul n’eut aucune difficulté de convaincre sa fille cadette de revenir à la concession, Sabine désirant se rapprocher de son mari avait accepté et avait repris l’appartement de Stéphanie. Aurélien était heureux de voir son fils pratiquement tous les jours, d’autant plus que l’entente entre les ex époux était parfaite au garage. Cependant malgré les avances répétées de la jeune femme, il n’était toujours pas décidé de reprendre la vie commune. Il était bien trop déçu par les femmes et Stéphanie en était la cause.
Tellement déçu par la gente féminine, son attirance vers celle-ci s’était réduite. Il s’était juré de ne jamais baiser plusieurs jours de suite avec les mêmes salopes qu’il rencontrait ici et là. La dernière en date, ce fut une amie de Sabine qu’elle lui avait présentée. Julie voulait acheter une voiture, sachant que son amie travaillait à la concession Prévost, elle était venue ici espérant bénéficier de quelques avantages : « Attends Julie, mon mari va s’occuper de toi personnellement. » Dit Sabine en présentant Aurélien.
Celle-ci le regretta tout de suite, elle se rendit compte que son amie fut immédiatement attirée par son ex. Elle fut jalouse et regrettait de ne pas l’avoir dirigée vers un vendeur. Ils étaient restés pendant une heure côte à côte, passant d’une voiture à une autre, Julie ne cessant d’admirer Aurel lorsqu’il lui parlait. Et le lendemain, elle était revenue en fin d’après-midi, son choix étant fait, elle se retrouva un très long moment dans son bureau afin de signer les papiers de la vente et y était restée jusqu’à la fermeture. Julie était repartie avec Aurélien qui l’avait invitée à diner.
Julie ne fut pas déçue, elle constata que la partie de sexe de son partenaire lui avait fait vivre, elle n’était pas près de l’oublier. Elle avait pu constater qu’elle avait des difficultés à prendre en entier dans sa bouche, la queue épaisse de l’ex de sa copine. Après l’avoir pompé avec une technique bien à elle en faisant de petit tourbillon avec sa langue, elle était parvenue à le satisfaire entièrement lorsqu’il jouit dans sa bouche en gorge profonde.
Puis après un cunnilingus et un anulingus en bonne et due forme, Julie, avec un air coquin, s’était mise à quatre pattes et lui avait dit : « J’ai trop envie de me faire baiser. » Il enfonça alors son énorme pénis dans sa chatte sans ménagement. Aurélien la baisa comme une chienne et cela lui plaisait. Changeant souvent de positions, elle mouillait comme une folle. Elle prit de plus en plus de plaisir puis était parvenue à la jouissance. Soudain il lui demanda si elle s’était déjà faite enculer : « Oui ! Mais je n’aime pas trop ça. » — Je vais te faire jouir par le cul, tu verras tu en redemanderas.
Dans l’euphorie totale, elle accepta sa proposition, sans trop y croire. Il se retira de son vagin pour lui attraper les fesses, qu’il écarta, cracha sur son anus déjà bien mouillé et prépara avec ses doigts, la dilatation. Puis il se mit à la pénétrer analement en douceur. Sa bite était épaisse, Julie la sentait rentrer peu à peu dans son anus. La douleur était présente, jusqu’à ce qu’elle soit entièrement plantée en elle. Alors que Julie s’attendait à crier de douleur, elle fut surprise de pouvoir la supporter aussi facilement.
D’autant plus qu’elle disparaissait au fur et à mesure qu’il lui ramonait le cul. Pourtant il lui mettait de plus en plus fort, tout en lui claquant les fesses. Sentant le plaisir lui remonter dans le ventre, Julie se branla la chatte malgré la brûlure de la pénétration : « Ce salaud y allait fort, il me démolit le trou du cul. » Se disait-elle. La douleur avait disparu, elle prenait du plaisir, beaucoup de plaisir. Inquiète d’être déchirée, elle lui demanda d’y aller moins fort, mais au contraire, il l’enculait de plus belle.
À ce moment-là Julie sentit une vague de chaleur partant de son anus l’envahir et remonter jusqu’à l’intérieur de son ventre. Elle jouit fortement en éjaculant sur le sol. La surprise fut totale pour elle, elle venait de vivre pour la première fois, un orgasme anal terrible. En même temps, Aurélien se sentant venir à son tour, se retira de son rectum, enleva son préservatif et se finit en se branlant sur sa croupe. Ses jets puissants avaient recouvert une bonne partie de son bas du dos et son sperme s’écoulait dans la raie de ses fesses.
Julie était repartie cette nuit-là conquise par son nouvel amant. Dès le lendemain, elle passa au garage afin d’obtenir un nouveau rendez-vous avec Aurélien. Elle rencontra Sabine et lui avoua qu’elle ne comprenait pas pourquoi qu’elle s’était séparée d’un si bel amant. Julie était repartie très déçue lorsqu’elle apprit qu’il ne couchait jamais deux fois avec la même femme. Pourtant, tous les jours de la semaine, elle revint à la charge mais repartait en n’ayant pas obtenu ce qu’elle était venue chercher.
Sabine malicieuse et jalouse essaya d’en savoir plus sur son chéri et dans une discussion, l’espoir était revenu pour elle, lorsqu’Aurélien lui avoua qu’il n’avait vraiment aimé que trois femmes dans sa vie. Élodie son amour de jeunesse, elle avec laquelle il s’était marié et sa sœur Stéphanie mais pas pour les mêmes raisons : « Tu vois, où ça m’a amené. »— Tu n’aimerais pas que l’on ressaye, je t’aime Aurel, tu le sais.
— Oui bien sûr, moi aussi je t’aime encore. C’est pourquoi je ne veux plus te décevoir.
— Alors tu préfères te taper Julie et les autres…— Tu comprends, je ne les aime pas, c’est plus facile pour moi de les baiser et de les quitter.
Sabine connaissait bien son homme, elle était certaine à présent qu’il tenait encore beaucoup à elle. Elle savait qu’elle ne devait pas être jalouse des autres salopes qu’il sautait à droite à gauche, cela lui passerait avec le temps, avait certifié Véro à son amie, avant d’ajouter : « Pourquoi ne ferais-tu pas un pacte avec lui. Fais comme ta sœur, impose-lui la franchise, qu’il ne te cache rien que tu saches avec qui il couche. » Sabine fut convaincu qu’elle devait changer si elle voulait retrouver l’homme de sa vie.
Avec la complicité de ses deux amis Thomas et Véronique, Sabine se lança le défi. Elle était prête à essayer de partager son mari, si c’était le seul moyen de parvenir à ses fins. Tous les trois avaient établi un plan pour l’anniversaire d’Aurélien. Thomas réserva une surprise à son ami, il ne savait qu’une chose, son cadeau était un jeu sexuel, ce n’était pas pour lui déplaire bien au contraire. Sabine, sachant que son amie Julie n’avait de cesse de vouloir recoucher avec son homme, lui proposa de faire partie de la surprise, ce qu’elle accepta avec un grand plaisir. Enfin, Véro gardait les enfants Axel et Gaëlle pour cette soirée peu banale.
Tout était enfin prêt, le jour de la surprise était arrivé, pendant toute la semaine Aurélien avait chercher à savoir qu’elles étaient ces deux jolies femmes que son ami lui réservait, sans résultat. Il était certain d’une chose, ce n’était ni Véro que Thomas ne voulait plus partager, ni Sabine qui était jalouse comme un paon et qu’il ne voyait pas dans un trio. Lorsqu’il était entré dans son appartement, Tom prit un foulard et le noua autour de ses yeux et l’emmena au salon en lui disant que son rôle s’arrêtait là qu’il le laissait en charmante compagnie. Il entendit une femme dire : « Il est vraiment très mignon. »
Il essayait en vain de reconnaitre la voix de cette inconnue, à l’évidence il ne la connaissait pas. Une main se posa sur sa cuisse, lui caressant l’entrejambe sur son jeans :— Tu peux tâter la marchandise. Dit l’une à l’autre.
La main remonta lentement sur sa braguette et palpa la bosse qui prenait du volume. Aurélien était très excité par cette situation tout en essayant de deviner à qui appartenait cette main si douce et délicate.
— Oui en effet, je vois que tu ne m’as pas menti. C’est très intéressant !?Dit l’autre.
Puis en s’adressant à Aurélien, elle rajouta : — Tu ne te sens pas à l’étroit dans son jeans ?
— C’est toi Julie, je reconnais ta voix.
— Enlève-lui, qu’il soit à son aise. Dit-elle.
En deux temps trois mouvements, les deux femmes s’étaient attelées à le dévêtir, il se retrouvait devant elles nu comme un ver. Son érection était désormais à son maximum et sa verge était tendue vers le plafond :— Quel jouet, nous avons vraiment de la chance, on ne va pas s’ennuyer. Il est à nous pour ce soir, on se le prêtes, c’est ça ?
Elle n’avait pas attendu la réponse, l’inconnue (Sabine) prise au jeu avait saisi sa queue dans la main, le caressa un instant avant de se pencher sur lui en avalant son membre qu’elle suça goulument. Son autre main, machinalement s’était posée sur ses boules pour les triturer, puis elle fit remonter sa langue sur la hampe jusqu’au gland.
— Attends ! Allons dans la chambre dit Julie.
Quelques minutes plus tard, Aurélien était écartelé sur le lit, ses poignets et ses chevilles maintenues par des menottes. Les deux femmes s’étaient alliées pour son plaisir, il recevait des petits baisers, des petits coups de langue et des caresses sur tout son corps. Il était dans un état d’excitation sans pareil, son sexe en devenait douloureux tellement il bandait. Puis l’inconnue se remit à le pomper, il savait que ce n’était pas Julie. Celle-ci était excitée de sucer son homme, cela faisait si longtemps, surtout devant les yeux d’une amie, c’était la première fois.
Elle enfonça sa queue au plus profond de sa gorge, puis ressortait, faisait une petite bise sur le gland et recommençait de plus belle en lui massant les bourses. C’était tellement divin qu’Aurélien n’avait pu se retenir, il envoya la sauce en pleine bouche à cette avaleuse de sexe qui le suçait. Sous les applaudissements de Julie, l’inconnue remis le couvert, elle recommença à le caresser sur toutes les parties de son corps pendant qu’Aurélien léchait la vulve humide de Julie qu’il avait reconnue immédiatement.
C’était l’alternance, une le suçait, l’autre se faisait lécher, à cette allure, très vite sous ces caresses, les deux femmes prirent du plaisir et avec toute la puissance du mâle en rut, Aurélien bandait de nouveau. L’inconnue frotta son sexe contre le sien, prit le pénis durci dans sa main et le guida sur sa vulve mouillée de sa jouissance. Sa queue pénétra entre ses lèvres et glissait lentement au fond de son vagin très serré, cette inconnue n’était pas une femme mâture, se disait Aurélien, ce n’était pas une pucelle mais elle devait être encore assez jeune.
Sa verge était plantée sans capote dans celui d’une femme qu’il ne connaissait pas, elle montait et descendait à son rythme en coulissant le long de la hampe, il continuait de manger la chatte appuyée sur sa bouche, il entendait Julie et l’autre femme gémir de plus en plus fort. Sa langue fouillait et léchait, ses lèvres aspiraient, la cadence s’accentuait encore, il la sentait venir, lui aussi était au bord de l’explosion ainsi que l’inconnue qui accélérait les mouvements.
Julie cria la première, inondant son palais, il sentit les muscles du vagin de l’inconnue se contracter sur son sexe tendu, puis elle jouit à son tour. Aurélien étant à la limite du supportable, les orgasmes successifs de ses partenaires déclenchèrent son éjaculation. Il se vidait de sa semence à l’intérieur de cette femme qui n’en finissait plus de jouir en mouillant les draps. Avant d’enlever le bandeau de ses yeux et de le détacher, Julie demanda à Aurélien :— Alors mon chéri, c’était bien ? Sais-tu qui tu viens de baiser ?
— Non ! C’était super mais sans capote, ce n’est pas très sérieux.
— Ne t’inquiète pas elle est « clean » et prend bien sa pilule.
Julie le détachait, Sabine lui enlevait le foulard et l’embrassa, elle se leva pour rejoindre la salle de bain, du sperme coulait encore sur l’intérieur de ses cuisses :— Pas mal mon mec quand même. Dit-elle en riant.
La suite de l’histoire dans quelques jours. Merci de laisser vos commentaires, je compte sur vous. Si comme Aurélien vous avez envie de raconter vos histoires de sexe, contactez-moi par Email, j’écrirai votre propre récit. cyp.perruche@orange.fr
— Qu’est-ce qui te tracasse ? Ta belle-fille ne ta pas prévenue ?
— Tu sais où elle est ? S’inquiéta-t-elle.
— Elle a trouvé du travail en Bretagne, elle partait pour Rennes, je crois. Mentit-il volontairement.
— Bon débarras ! T’as baisé avec elle c’est ça ? Elle t’a demandé de l’argent ?
— Non, elle avait au moins 5 milles euros en liquide dans son sac.
— J’espère qu’elle ne viendra plus m’en demander cette salope.
— On dirait que tu ne la portes pas dans ton cœur ta belle-fille. Son père a dû lui donner l’argent. Dit Aurélien innocemment, pour connaitre sa réaction.
— Probablement, il lui a toujours tout céder.
— Dis-moi Steph, comment se fait-il que le nom d’Aline soit Leroy, je croyais que ton mari s’appelait Dumas, c’est bien ton nom de mariage. Non ?
Stéphanie détourna la conversation, elle se dit pressée et coupa court en lui disant qu’elle lui expliquerait plus tard. Aurélien avait compris qu’Aline disait vrai, il était furieux après lui-même, de s’être fait avoir comme un bleu. Il voulait en parler, mais ne pouvant pas joindre Sabine son ex et ne pouvant pas parler de ça avec son père Paul, il lui restait Véro, sa véritable amie, avec laquelle il pouvait se confier et lui dit franchement que Stéphanie n’était pas la femme qu’elle prétendait être. Aurélien lui raconta tout sur la vie de sa compagne dans les moindres détails. Véro le regardait estomaquée, elle avait des difficultés à croire tout ce qu’elle venait d’entendre.
Puis elle prit la parole et après lui avoir dit : « Justement je n’osais pas te le dire mais moi aussi, je l’ai trouvé très bizarre, ta Stéph. » Véro lui dit ouvertement ce qu’elle avait sur le cœur et se lança dans son récit. Depuis plusieurs mois, Stéphanie commença à sympathiser avec elle puis au fur et à mesure, elle commença à aller un peu plus loin, elle était bien plus tactile qu’au début. Véro avait l’impression qu’elle la draguait. Le plus drôle dans l’histoire c’est qu’elle appréciait toutes ses gentillesses et ses câlins. Tout doucement, de semaines en semaines, les deux femmes se rapprochaient de plus en plus jusqu’à, il y avait une quinzaine de jours, Stéphanie l’avait embrassé et Véro s’était laissé faire en acceptant volontiers son baiser.
Mais ce n’était pas tout, vendredi dernier, Stéph lui avoua que Thomas la trompait tous les mercredis soir et que si elle voulait se venger de lui, elle avait la possibilité de le faire en couchant avec Aurélien : « Je sais que tu en pinces pour mon homme, je te le prête si tu veux, on pourrait même organiser un trio, si tu n’es pas contre » :— Je n’en croyais pas mes oreilles, je croyais qu’elle blaguait, mais non. Elle m’a de nouveau embrassé tendrement. J’avoue que j’ai aimé. Je m’en veux de ne pas te l’avoir dit aussitôt.
Aurélien ne l’interrompit pas, elle poursuivit en expliquant qu’elle en avait parlé avec Thomas et s’était aperçue, vu sa réaction, que Stéphanie disait la vérité, son mari la trompait sans toutefois lui avouer avec qui. Véro pleura et vint se blottir contre son ami qui essaya de la consoler. Comme de nombreuses fois par le passé, cela c’était fini par un baiser fougueux, leur envie mutuelle de faire l’amour ensemble refaisait surface :— Arrête Aurel, tu sais que je ne saurai pas dire non. Il est grand temps que tu repartes avant qu’il ne soit trop tard.
La fin de la semaine avec Stéphanie, la tension était si forte entre eux qu’ils ne s’étaient parlé uniquement pour le travail. Elle était partie pour le week-end sans le prévenir alors qu’Aurélien avait la garde de son fils Axel que sa mère amenait chez Paul et Claire le vendredi soir. Cela faisait plus de six mois que Sabine ne parlait plus du divorce, elle avait avoué à son père qu’elle avait bien l’intention de reconquérir un jour son mari. Elle l’aimait encore et elle était persuadée qu’il n’était pas fait pour sa demi-sœur.
D’autant plus qu’après avoir parlé avec son amie Véronique, elle savait maintenant qui était vraiment Stéphanie. Pendant le repas, elle s’était permise d’en parler à Paul. Aurélien s’y était opposé en expliquant que c’était son problème personnel et que cela ne regardait personne d’autre que lui : « Non Aurel ! Tu es mon gendre mais aussi mon fils de cœur, lorsque les problèmes empiètent sur les affaires professionnelles, ça me regarde. »
— Comment ça, au garage, tout va bien, que je sache.
— Non ! Stéphanie m’a annoncé ce matin qu’elle partait rejoindre son mari. Il a acheté un établissement libertin dans la région parisienne. Elle ne peut pas se passer de lui, m’a-t-elle dit.
— Merde ! S’exclama Sabine. Qu’elle Salope ! de nous planter comme ça. Excuse-moi Aurel pour toi aussi ça doit te faire un choc. Dit-elle en lui faisant une bise sur la joue.
Paul n’eut aucune difficulté de convaincre sa fille cadette de revenir à la concession, Sabine désirant se rapprocher de son mari avait accepté et avait repris l’appartement de Stéphanie. Aurélien était heureux de voir son fils pratiquement tous les jours, d’autant plus que l’entente entre les ex époux était parfaite au garage. Cependant malgré les avances répétées de la jeune femme, il n’était toujours pas décidé de reprendre la vie commune. Il était bien trop déçu par les femmes et Stéphanie en était la cause.
Tellement déçu par la gente féminine, son attirance vers celle-ci s’était réduite. Il s’était juré de ne jamais baiser plusieurs jours de suite avec les mêmes salopes qu’il rencontrait ici et là. La dernière en date, ce fut une amie de Sabine qu’elle lui avait présentée. Julie voulait acheter une voiture, sachant que son amie travaillait à la concession Prévost, elle était venue ici espérant bénéficier de quelques avantages : « Attends Julie, mon mari va s’occuper de toi personnellement. » Dit Sabine en présentant Aurélien.
Celle-ci le regretta tout de suite, elle se rendit compte que son amie fut immédiatement attirée par son ex. Elle fut jalouse et regrettait de ne pas l’avoir dirigée vers un vendeur. Ils étaient restés pendant une heure côte à côte, passant d’une voiture à une autre, Julie ne cessant d’admirer Aurel lorsqu’il lui parlait. Et le lendemain, elle était revenue en fin d’après-midi, son choix étant fait, elle se retrouva un très long moment dans son bureau afin de signer les papiers de la vente et y était restée jusqu’à la fermeture. Julie était repartie avec Aurélien qui l’avait invitée à diner.
Julie ne fut pas déçue, elle constata que la partie de sexe de son partenaire lui avait fait vivre, elle n’était pas près de l’oublier. Elle avait pu constater qu’elle avait des difficultés à prendre en entier dans sa bouche, la queue épaisse de l’ex de sa copine. Après l’avoir pompé avec une technique bien à elle en faisant de petit tourbillon avec sa langue, elle était parvenue à le satisfaire entièrement lorsqu’il jouit dans sa bouche en gorge profonde.
Puis après un cunnilingus et un anulingus en bonne et due forme, Julie, avec un air coquin, s’était mise à quatre pattes et lui avait dit : « J’ai trop envie de me faire baiser. » Il enfonça alors son énorme pénis dans sa chatte sans ménagement. Aurélien la baisa comme une chienne et cela lui plaisait. Changeant souvent de positions, elle mouillait comme une folle. Elle prit de plus en plus de plaisir puis était parvenue à la jouissance. Soudain il lui demanda si elle s’était déjà faite enculer : « Oui ! Mais je n’aime pas trop ça. » — Je vais te faire jouir par le cul, tu verras tu en redemanderas.
Dans l’euphorie totale, elle accepta sa proposition, sans trop y croire. Il se retira de son vagin pour lui attraper les fesses, qu’il écarta, cracha sur son anus déjà bien mouillé et prépara avec ses doigts, la dilatation. Puis il se mit à la pénétrer analement en douceur. Sa bite était épaisse, Julie la sentait rentrer peu à peu dans son anus. La douleur était présente, jusqu’à ce qu’elle soit entièrement plantée en elle. Alors que Julie s’attendait à crier de douleur, elle fut surprise de pouvoir la supporter aussi facilement.
D’autant plus qu’elle disparaissait au fur et à mesure qu’il lui ramonait le cul. Pourtant il lui mettait de plus en plus fort, tout en lui claquant les fesses. Sentant le plaisir lui remonter dans le ventre, Julie se branla la chatte malgré la brûlure de la pénétration : « Ce salaud y allait fort, il me démolit le trou du cul. » Se disait-elle. La douleur avait disparu, elle prenait du plaisir, beaucoup de plaisir. Inquiète d’être déchirée, elle lui demanda d’y aller moins fort, mais au contraire, il l’enculait de plus belle.
À ce moment-là Julie sentit une vague de chaleur partant de son anus l’envahir et remonter jusqu’à l’intérieur de son ventre. Elle jouit fortement en éjaculant sur le sol. La surprise fut totale pour elle, elle venait de vivre pour la première fois, un orgasme anal terrible. En même temps, Aurélien se sentant venir à son tour, se retira de son rectum, enleva son préservatif et se finit en se branlant sur sa croupe. Ses jets puissants avaient recouvert une bonne partie de son bas du dos et son sperme s’écoulait dans la raie de ses fesses.
Julie était repartie cette nuit-là conquise par son nouvel amant. Dès le lendemain, elle passa au garage afin d’obtenir un nouveau rendez-vous avec Aurélien. Elle rencontra Sabine et lui avoua qu’elle ne comprenait pas pourquoi qu’elle s’était séparée d’un si bel amant. Julie était repartie très déçue lorsqu’elle apprit qu’il ne couchait jamais deux fois avec la même femme. Pourtant, tous les jours de la semaine, elle revint à la charge mais repartait en n’ayant pas obtenu ce qu’elle était venue chercher.
Sabine malicieuse et jalouse essaya d’en savoir plus sur son chéri et dans une discussion, l’espoir était revenu pour elle, lorsqu’Aurélien lui avoua qu’il n’avait vraiment aimé que trois femmes dans sa vie. Élodie son amour de jeunesse, elle avec laquelle il s’était marié et sa sœur Stéphanie mais pas pour les mêmes raisons : « Tu vois, où ça m’a amené. »— Tu n’aimerais pas que l’on ressaye, je t’aime Aurel, tu le sais.
— Oui bien sûr, moi aussi je t’aime encore. C’est pourquoi je ne veux plus te décevoir.
— Alors tu préfères te taper Julie et les autres…— Tu comprends, je ne les aime pas, c’est plus facile pour moi de les baiser et de les quitter.
Sabine connaissait bien son homme, elle était certaine à présent qu’il tenait encore beaucoup à elle. Elle savait qu’elle ne devait pas être jalouse des autres salopes qu’il sautait à droite à gauche, cela lui passerait avec le temps, avait certifié Véro à son amie, avant d’ajouter : « Pourquoi ne ferais-tu pas un pacte avec lui. Fais comme ta sœur, impose-lui la franchise, qu’il ne te cache rien que tu saches avec qui il couche. » Sabine fut convaincu qu’elle devait changer si elle voulait retrouver l’homme de sa vie.
Avec la complicité de ses deux amis Thomas et Véronique, Sabine se lança le défi. Elle était prête à essayer de partager son mari, si c’était le seul moyen de parvenir à ses fins. Tous les trois avaient établi un plan pour l’anniversaire d’Aurélien. Thomas réserva une surprise à son ami, il ne savait qu’une chose, son cadeau était un jeu sexuel, ce n’était pas pour lui déplaire bien au contraire. Sabine, sachant que son amie Julie n’avait de cesse de vouloir recoucher avec son homme, lui proposa de faire partie de la surprise, ce qu’elle accepta avec un grand plaisir. Enfin, Véro gardait les enfants Axel et Gaëlle pour cette soirée peu banale.
Tout était enfin prêt, le jour de la surprise était arrivé, pendant toute la semaine Aurélien avait chercher à savoir qu’elles étaient ces deux jolies femmes que son ami lui réservait, sans résultat. Il était certain d’une chose, ce n’était ni Véro que Thomas ne voulait plus partager, ni Sabine qui était jalouse comme un paon et qu’il ne voyait pas dans un trio. Lorsqu’il était entré dans son appartement, Tom prit un foulard et le noua autour de ses yeux et l’emmena au salon en lui disant que son rôle s’arrêtait là qu’il le laissait en charmante compagnie. Il entendit une femme dire : « Il est vraiment très mignon. »
Il essayait en vain de reconnaitre la voix de cette inconnue, à l’évidence il ne la connaissait pas. Une main se posa sur sa cuisse, lui caressant l’entrejambe sur son jeans :— Tu peux tâter la marchandise. Dit l’une à l’autre.
La main remonta lentement sur sa braguette et palpa la bosse qui prenait du volume. Aurélien était très excité par cette situation tout en essayant de deviner à qui appartenait cette main si douce et délicate.
— Oui en effet, je vois que tu ne m’as pas menti. C’est très intéressant !?Dit l’autre.
Puis en s’adressant à Aurélien, elle rajouta : — Tu ne te sens pas à l’étroit dans son jeans ?
— C’est toi Julie, je reconnais ta voix.
— Enlève-lui, qu’il soit à son aise. Dit-elle.
En deux temps trois mouvements, les deux femmes s’étaient attelées à le dévêtir, il se retrouvait devant elles nu comme un ver. Son érection était désormais à son maximum et sa verge était tendue vers le plafond :— Quel jouet, nous avons vraiment de la chance, on ne va pas s’ennuyer. Il est à nous pour ce soir, on se le prêtes, c’est ça ?
Elle n’avait pas attendu la réponse, l’inconnue (Sabine) prise au jeu avait saisi sa queue dans la main, le caressa un instant avant de se pencher sur lui en avalant son membre qu’elle suça goulument. Son autre main, machinalement s’était posée sur ses boules pour les triturer, puis elle fit remonter sa langue sur la hampe jusqu’au gland.
— Attends ! Allons dans la chambre dit Julie.
Quelques minutes plus tard, Aurélien était écartelé sur le lit, ses poignets et ses chevilles maintenues par des menottes. Les deux femmes s’étaient alliées pour son plaisir, il recevait des petits baisers, des petits coups de langue et des caresses sur tout son corps. Il était dans un état d’excitation sans pareil, son sexe en devenait douloureux tellement il bandait. Puis l’inconnue se remit à le pomper, il savait que ce n’était pas Julie. Celle-ci était excitée de sucer son homme, cela faisait si longtemps, surtout devant les yeux d’une amie, c’était la première fois.
Elle enfonça sa queue au plus profond de sa gorge, puis ressortait, faisait une petite bise sur le gland et recommençait de plus belle en lui massant les bourses. C’était tellement divin qu’Aurélien n’avait pu se retenir, il envoya la sauce en pleine bouche à cette avaleuse de sexe qui le suçait. Sous les applaudissements de Julie, l’inconnue remis le couvert, elle recommença à le caresser sur toutes les parties de son corps pendant qu’Aurélien léchait la vulve humide de Julie qu’il avait reconnue immédiatement.
C’était l’alternance, une le suçait, l’autre se faisait lécher, à cette allure, très vite sous ces caresses, les deux femmes prirent du plaisir et avec toute la puissance du mâle en rut, Aurélien bandait de nouveau. L’inconnue frotta son sexe contre le sien, prit le pénis durci dans sa main et le guida sur sa vulve mouillée de sa jouissance. Sa queue pénétra entre ses lèvres et glissait lentement au fond de son vagin très serré, cette inconnue n’était pas une femme mâture, se disait Aurélien, ce n’était pas une pucelle mais elle devait être encore assez jeune.
Sa verge était plantée sans capote dans celui d’une femme qu’il ne connaissait pas, elle montait et descendait à son rythme en coulissant le long de la hampe, il continuait de manger la chatte appuyée sur sa bouche, il entendait Julie et l’autre femme gémir de plus en plus fort. Sa langue fouillait et léchait, ses lèvres aspiraient, la cadence s’accentuait encore, il la sentait venir, lui aussi était au bord de l’explosion ainsi que l’inconnue qui accélérait les mouvements.
Julie cria la première, inondant son palais, il sentit les muscles du vagin de l’inconnue se contracter sur son sexe tendu, puis elle jouit à son tour. Aurélien étant à la limite du supportable, les orgasmes successifs de ses partenaires déclenchèrent son éjaculation. Il se vidait de sa semence à l’intérieur de cette femme qui n’en finissait plus de jouir en mouillant les draps. Avant d’enlever le bandeau de ses yeux et de le détacher, Julie demanda à Aurélien :— Alors mon chéri, c’était bien ? Sais-tu qui tu viens de baiser ?
— Non ! C’était super mais sans capote, ce n’est pas très sérieux.
— Ne t’inquiète pas elle est « clean » et prend bien sa pilule.
Julie le détachait, Sabine lui enlevait le foulard et l’embrassa, elle se leva pour rejoindre la salle de bain, du sperme coulait encore sur l’intérieur de ses cuisses :— Pas mal mon mec quand même. Dit-elle en riant.
La suite de l’histoire dans quelques jours. Merci de laisser vos commentaires, je compte sur vous. Si comme Aurélien vous avez envie de raconter vos histoires de sexe, contactez-moi par Email, j’écrirai votre propre récit. cyp.perruche@orange.fr
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