« Clémence » (1) : Zakaria

- Par l'auteur HDS Olga T -
Récit érotique écrit par Olga T [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Récit libertin : « Clémence » (1) : Zakaria Histoire érotique Publiée sur HDS le 27-05-2025 dans la catégorie Dans la zone rouge
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« Clémence » (1) : Zakaria
Avertissement

Clémence est la fille aînée de Daniel et d’Aude. Cette nouvelle histoire fictive, écrite avec Sarah, est la suite de « Aude se lâche », histoire en quinze épisodes (dont 13 écrits avec Sarah) publiés sur HDS, entre le 4 août 2024 et le 30 avril 2025. La relecture de la série précédente n’est pas indispensable, mais recommandée. Sarah et moi remercions chaleureusement nos fidèles lecteurs et lectrices !

***

L’enfance de Clémence se passa entre la dévotion d’une mère aimante et le rejet de la part de son père.

Clémence naquit quelques mois après le mariage de Daniel et d’Aude. Parce qu’elle voulait épouser son amant, Aude avait voulu cette grossesse. Daniel n’apprécia pas de s’être fait ainsi forcer la main. Le traitement qu’il imposa à Aude, pendant les 20 ans de leur mariage, fut le reflet de la perversité d’un prédateur toxique et aussi, de son point de vue, une manière de lui faire payer d’avoir été contraint à un mariage dont il ne voulait pas.

Daniel accueillit très mal la naissance de Clémence. Il voulait un héritier, un mâle, façonné à son image. Il dut attendre quatre ans la naissance d’Arnaud, SON fils.

Daniel contraignit Aude à renoncer à sa brillante carrière professionnelle, faisant d’elle une mère au foyer, chargée de prendre soin des enfants, de la maison et d’attendre le retour du seigneur et maître les week-ends. Aude, parce qu’elle aimait son mari, malgré la façon odieuse dont il la traitait, accepta cette situation. Dès la naissance de Clémence, la jeune femme se dévoua entièrement à sa fille, son trésor, dont elle est si fière. C’est d’abord pour sa princesse qu’elle accepta tout de la part de son mari : ses reproches permanents, sa surveillance à distance et surtout ces week-ends au cours desquels il lui imposait la présence de ses maîtresses et ceux où il livrait sa jolie épouse à la concupiscence de ses connaissances, la réduisant à n’être plus qu’un objet de plaisir.

Daniel n’eut jamais le moindre geste de tendresse envers sa petite fille. Alors qu’elle quémandait bisous et câlins, il la repoussait, la renvoyant vers Aude. Il étendit ainsi à la fille son comportement envers la mère. Parce qu’il était un abominable macho, pour qui seul comptait son fils. Parce que l’existence même de son ainée lui rappelait qu’Aude lui avait imposé le mariage. Et aussi sans doute parce que, très tôt, Clémence fut le portrait craché d’Aude.

Face à cette brutalité et cette inhumanité, Aude commença à comprendre, enfin, quel monstre était son mari, qui rejetait le besoin d’affection de leur fille. À ce moment précis, Aude aurait dû s’en aller avec Clémence. Elle n’osa pas. Était-ce un manque de courage, alors qu’elle était à nouveau enceinte ? Elle était plus surveillée que jamais par Daniel, dès lors que l’échographie avait révélé que, cette fois c’était un garçon. « Enfin », lui avait-il dit avec sa cruauté habituelle. Aude décida que sa seule préoccupation serait désormais ses enfants, à commencer par son ange, sa Clémence, qui ne manquait de rien, sauf de l’affection de son père.
Aude tenta de rassurer Clémence, qui lui demandait pourquoi son papa « ne l’aime pas » et « pourquoi il est si méchant. »

D’une intelligence très vive, Clémence ressentit très tôt que sa mère, qu’elle adore, n’est pas heureuse, même si celle-ci lui jurait le contraire. Mais la petite comprenait les reproches constants, les paroles blessantes, que Daniel infligeait à son épouse. Daniel était convaincu de bien cacher ses frasques, veillant soigneusement à l’absence des enfants quand il livrait Aude à d’autres hommes ou faisait venir ses maitresses certains week-ends. Les enfants étaient alors éloignés de la maison, envoyés chez les parents ou la famille de Daniel. Pour Clémence, comme pour Aude, ces séparations fréquentes furent une vraie souffrance. Daniel envisagea même d’envoyer Clémence comme pensionnaire dans un internat, chez les sœurs. La présence de Clémence était pour Daniel un reproche permanent. Pour la première fois, Aude se révolta et affronta son bourreau. Pas question pour elle d’être, pendant des mois, loin de sa seule raison de vivre. Avec une froide détermination, Aude menaça de se tuer s’il en était ainsi.

Daniel comprit que son épouse ne plaisantait pas. Il céda, de mauvaise grâce. Il ne ressentait rien pour Aude, mais ne voulait en aucun cas perdre celle qu’il considérait comme sa « chose ». En contrepartie, Daniel imposa à Aude davantage de ces séquences, avec toujours plus de partenaires. Aude, humiliée, honteuse, se détestait car son corps répondait à ces « sollicitations ». Elle s’était persuadée qu’elle était en quelque sorte « punie » pour la façon dont elle avait trahi son amant Barnabé (voir « Aude se lâche », chapitres 6 à 8). Et surtout c’était le prix à payer pour prendre soin de sa princesse, d’autant plus que Daniel avait fait en sorte d’éloigner Arnaud de sa mère, le fils étant vivement encouragé à se comporter le plus mal possible avec elle.

Clémence était devenue, pour Aude, sa seule raison de vivre. Aude se consacrait pleinement à sa fille, qui, avec l’aide de sa maman, se révéla, très vite, comme une intelligence vive et précoce, une élève exceptionnellement douée, qui sauta plusieurs classes et qui finira lauréate du Concours Général des lycées, en histoire et bachelière, avec une mention Très bien, à seulement 16 ans. Alors qu’Aude était immensément fière de sa fille, cela exaspérait Daniel, car SON fils se révélait, lui, bien plus besogneux !

***

Ce cursus scolaire exceptionnel permit à Clémence, dans le cadre de Parcoursup, de prétendre aux classes préparatoires littéraires des plus prestigieux lycées parisiens.

Cela ne convenait pas à Daniel, qui commença par y mettre un veto. Le macho qu’il était ne pouvait accepter un tel cursus pour une fille. À ses yeux, l’excellence était réservée à Arnaud, qu’il façonnait pour être son digne héritier. Aude, jusqu’alors toujours soumise aux volontés de son mari, se révolta à nouveau. Pour sa fille, Aude devenait une lionne :
- Ma fille ira à Paris, à la rentrée, pour suivre les classes préparatoires au lycée Henri IV. Elle est la meilleure. Elle sera Normalienne.
- Il n’en n’est pas question. D’abord, j’entends réserver tous les moyens pour Arnaud, que je veux envoyer à Cambridge ou à Harvard. Une fille n’a pas besoin de faire de telles études. Il suffit de te regarder. Regarde ce qu’est devenue la brillante étudiante que tu étais. Vous avez la même nature, Clémence et toi.. Vous avez besoin d’un homme, d’un mâle qui vous domine. Elle sera comme toi ! D’ailleurs, le moment venu, je lui trouverai un mari qui fera avec elle ce que je fais avec toi

A ces mots, Aude entra dans une colère noire :
- Écoutes-bien, Daniel, je ne te laisserai pas gâcher la vie de Clémence. Tu la laisses tranquille et tu lui laisses faire les études qu’elle veut, sinon !
- Sinon, quoi ? Tu oses me menacer ?
- Sinon je m’en irai, avec ma fille. Et tu aurais beaucoup à perdre, privé de ce que je suis devenue, ta « chose » !
- Et comment ferais-tu pour vivre et financer ses études ? Car je vous couperai les vivres et j’ai assez d’influence pour t’empêcher de retrouver du travail.
- Ne t’inquiète pas pour ça. D’une part, il y aura des procédures pour te faire respecter tes obligations envers moi et Clémence. Et pour le reste, je suis prête, pour elle, à tous les sacrifices, même à faire le trottoir s’il le faut. Pense à ta réputation, Monsieur S !

Daniel contint sa fureur. Il comprit qu’Aude mettrait ses menaces à exécution. Aude sentit qu’elle avait l’avantage :
- J’ai toujours fait ce que tu voulais, Daniel. Pense à la chose suivante : à partir de septembre, avec Arnaud qui est en internat et Clémence qui sera à Paris, les week-ends seront libres. Pour faire tout ce dont tu as envie. Sans limites !
- J’y compte bien, répondit Daniel, avec un regard mauvais.

Et, en effet, à partir de cette période, Daniel organisa, presque chaque week-end, des séances où il disposait de son épouse pour la livrer à ses amis, à ses collègues, à ses clients.
Clémence, qui n’avait pas d’attirance pour la finance et les études scientifiques, par rejet de son père, est une littéraire, passionnée de philosophie et d’histoire, qui, après une brillante Prépa, intégra Normale Sup et la Sorbonne, à Paris.

***

Physiquement, Clémence ressemble beaucoup à sa mère. Comme elle, c’est une brune aux longs cheveux. Avec 1m82 et 70 kg, Clémence est plus grande et plus athlétique que sa mère. C’est une sportive accomplie, qui pratique le volley, la gymnastique et la natation. Elle fait des complexes sur ses longues jambes et sur sa lourde poitrine, affichant un 95 C. Contrairement à Aude, qui a toujours aimé se mettre en valeur, Clémence préfère des vêtements amples et le port de jeans, plutôt que des jupes. Elle se tint longtemps à distance des garçons, y compris quand, ayant rejoint Paris, elle fut loin du regard de ses parents.

Cela rassurait Aude, soulagée que sa fille n’ait apparemment pas hérité de son hypersexualité. Et pourtant, la réalité était toute autre!

Dès sa puberté, la jeune fille devint une pratiquante compulsive de la masturbation. Elle découvrit par hasard les secrets de son corps et, dès la première fois, elle connut un plaisir inouï, qu’elle renouvela dans le secret de sa chambre. Honteuse, elle n’osait s’en ouvrir à personne, pas même à sa mère.

Très vite, Clémence ne put attendre le soir. Il lui fallait se donner du plaisir en journée, elle ne pouvait se retenir. Il lui fallait se soulager, quel que soit le moment ou le lieu.
Clémence développait sa propre technique : elle ne portait pas de culotte et écartait les jambes. Elle se mettait la main entière sur le sexe, le massait longuement pour être très excitée. Ensuite elle mouillait avec sa salive l'index et le majeur de la main droite. Elle posait ses doigts sur le clitoris et commençait à se branler, très lentement au début, puis de plus en plus vite jusqu'à ce qu'elle jouisse. À ce moment, elle posait sa main entière sur son con, jusqu'aux dernières contractions.

Quand elle se douchait, elle se lavait normalement et se rinçait. Ensuite elle s'accroupissait et écartait avec sa main gauche les lèvres de son sexe pour faire ressortir son bouton. Elle dirigeait le jet de la douche sur celui-ci et elle prenait un plaisir immense quand, sans rien faire d'autre que tenir le jet à quelques centimètres de son clitoris, elle jouissait.
Au lycée, il lui fallait se rendre souvent aux toilettes. Là, assise sur la cuvette, elle se caressait toujours à deux doigts et se branlait, jusqu’au soulagement. Le plus dur pour elle était de contenir ses gémissements, ses cris de plaisir. Elle craignait toujours de se faire surprendre, à la maison par ses parents, mais surtout au lycée. Ça ajoutait du sel à ses caresses. D’ailleurs, ses condisciples s’en doutaient. Certaines de ses « copines », jalouses de sa féminité autant que de ses résultats, la surnommaient « la branleuse ».

Et ce qu’elle redoutait finit par arriver, peu avant le bac : un jour, trop pressée d’assouvir ses besoins, elle oublia de fermer la porte, qu’une surveillante ouvrit brutalement, alors que Clémence était assise sur la cuvette, les doigts enfoncés dans sa chatte, le visage déformé par le plaisir qui montait inexorablement.
- Dites donc, Mlle S, vous ne voulez pas que je vous aide ? Rhabillez-vous, sale petite vicieuse, nous allons chez la Conseillère Principale d’Éducation.

En sortant des toilettes, Clémence croisa plusieurs de ses condisciples, qui se moquèrent de « la branleuse ». Il y avait là notamment la fille qui n’avait pas laissé passer l’occasion de mettre la première de la classe en difficulté et qui avait prévenu la surveillante.

Après le « savon » de la part de la CPE, l’affaire finit dans le bureau du Proviseur, qui convoqua les parents. Daniel, qui venait de rentrer pour le week-end, refusa qu’Aude l’accompagne. Le Proviseur expliqua à Daniel qu’il avait eu plusieurs signalements d’autres élèves et de professeurs, qui s’étaient aperçus du manège de la jeune fille :
- Monsieur S, votre fille est une élève brillante, la meilleure de notre établissement. Vous devriez néanmoins lui faire consulter un spécialiste, pour trouver des remèdes à son comportement.

Daniel, furieux de se trouver dans cette situation, donna une violente gifle à Clémence, qui ne broncha pas et ne baissa pas les yeux. Il ajouta :
- Tu me fais honte. Tu es une perverse et une salope, comme ta mère !
- Je t’interdis de parler comme ça de maman !

Clémence, avec un regard déterminé, défiait cet homme qu’elle détestait. Daniel retint la seconde gifle qu’il s’apprêtait à lui donner.
- Je te materai, petite garce ! Vicieuse !

Le proviseur intervint, choqué :
- Monsieur, vous êtes en colère, je le comprends. Mais ce n’est pas ainsi et avec de telles paroles que vous allez régler le problème.
- C’est ma fille, Monsieur le Proviseur. Je vous promets que ça ne se reproduira plus. Elle a plutôt intérêt ! je la materai !

Clémence fut punie tout le week-end, enfermée dans sa chambre.

Cela provoqua une nouvelle et vive dispute entre Daniel et Aude, le monstre accablant Clémence, prétendant que tout ça était la faute d’Aude et que Clémence avait « le feu au cul, le vice dans le sang, comme sa mère ». Il osa même ajouter que s’il le pouvait, il la ferait exciser ou l’enverrait « chez les bonnes sœurs ».

Daniel voulut imposer l’installation d’une caméra aux toilettes et dans la chambre de Clémence, pour la surveiller. Aude se rebella à nouveau, menaçant de porter plainte, pour atteinte à la vie privée. Daniel fut stupéfait : Aude la soumise n’était décidément plus la même quand il s’agissait de sa fille.

Cette crise permit à Clémence d’avoir, avec sa mère, la discussion dont elle avait besoin. Cela fut facilité par le fait que Daniel était absent la semaine, pour son travail.
La jeune fille, si forte d’habitude pleurait :
- Maman, tu crois que je suis anormale ? Que je suis malade ?
- Pas du tout, mon bébé. Tu as des besoins importants, que tu assumes pour le moment comme ça. Un jour viendra où tu rencontreras quelqu’un qui saura te combler. Ne fais pas comme moi : choisis-le bien !

Clémence retint ce que lui dit sa mère et comprit le message. Pour faire face à ses envies, elle ne devait pas devenir la proie de quelqu’un comme Daniel. Elle sentit dès ce moment que, comme sa mère, elle était susceptible de devenir une proie, si elle se laissait aller.

La période qui sépara cet incident du départ de Clémence pour Paris fut difficile pour la jeune fille. Elle devait maitriser son addiction, se sachant sous la surveillance rapprochée de Daniel. Celui-ci ayant mis dans la balance les études de la jeune fille, celle-ci réussit à le convaincre qu’elle avait réussi à maîtriser ses pulsions.

Et, naturellement, elle reprit ses habitudes une fois loin du domicile familial. Elle commença aussi à consulter des sites internet d’histoires érotiques et à visionner des vidéos X. Tout cela émoustillait terriblement Clémence. Elle s’imaginait à la place de ces femmes et accéder, elle aussi, à ce plaisir dont elle avait tant envie. En même temps, elle craignait les conséquences. Pour le moment, Clémence se réfugiait dans le travail, n’accordant son peu de temps disponible qu’à ses seuls plaisirs solitaires.

Daniel, qui, désormais, multipliait les parties le week-end, fit en sorte que les retours de Clémence au bercail familial soient exceptionnels. Cela arrangeait bien la jeune étudiante, même si elle savait que cet éloignement était douloureux pour Aude, seule la semaine et soumise à Daniel le week-end.

***

Aude ne se plaignait pas, mais Clémence comprit la souffrance de sa mère. Un week-end, alors que ce n’était pas prévu, elle se décida à lui faire une surprise et de rentrer à l’improviste. Ce fut un choc majeur pour la jeune fille, qui comprit alors pourquoi elle devait prévenir, avant de rentrer à la maison.

Quand elle arriva, ses parents n’étaient pas là. Clémence, fatiguée par ses longues nuits de travail monta à sa chambre et s’endormit profondément. Elle fut réveillée dans la soirée par des voix et des cris. Instinctivement, elle descendit, sans faire de bruit. Ce qu’elle vit la bouleversa : Aude était nue, entourée de cinq hommes, des inconnus. Daniel était présent, comme maître des cérémonies.

La scène rappela à Clémence les vidéos les plus hard qu’elle visionnait et qui l’excitaient tant. Deux des hommes prenaient Aude en sandwich, alors qu’elle suçait les autres à tour de rôle.

Aude ne semblait pas contrainte. Au contraire, elle prenait manifestement son pied :
- Oh oui, que c’est bon ! Démontez-moi ! Je serai votre putain pour tout le week-end. Vous allez me prendre par tous les trous, me baiser, me remplir !

Ce qui choqua Clémence fut l’attitude de Daniel. Il prenait plaisir à offrir son épouse, il la couvrait d’insultes, la traitait comme sa chose.

Sans faire de bruit, Clémence retourna à sa chambre. Elle était choquée et excitée en même temps. La partouze dura une bonne partie de la nuit, déchirée par les cris de plaisir d’Aude, qui enchainait les orgasmes.

Au petit matin, profitant que les protagonistes, exténués, avaient fini par s’endormir profondément, Clémence s’en alla discrètement. Ce ne fut que bien plus tard qu’elle informa Aude de ce qu’elle avait surpris, comprenant enfin ce que vivait sa mère depuis tant d’années, sous l’emprise d’un prédateur.

Depuis longtemps, Clémence préférait sa mère et détestait son père. De ce jour-là, il ne fut plus pour elle que « le monstre », qu’elle haïssait. Ceci explique pourquoi, dans le conflit qui opposa par la suite Aude et Daniel, Clémence prit le parti de sa mère, encourageant celle-ci dans son couple avec Nadine.

***

Clémence terminait son cursus quand elle fit la connaissance, dans une soirée où une amie l’avait entrainée, de Michel, un jeune et brillant diplomate, alors affecté en administration centrale. Michel avait 10 ans de plus que la jeune Normalienne. Michel était grand, bel homme, les cheveux frisés, un beau visage avec une fine moustache. Clémence fut fascinée par sa conversation et sa culture, sa gentillesse. Quant à lui, il tomba fou amoureux de cette jeune femme magnifique, admiratif également de son parcours exceptionnel.

De part et d’autre, ce fut un coup de foudre. Clémence se dit que Michel était celui qu’Aude lui avait annoncé. Il était tout le contraire de Daniel. Il était doux, tendre, attentionné, la couvrant de cadeaux. Pour lui, elle se débarrassa de ses jeans et de ses vêtements amples, mettant enfin à l’honneur sa féminité.

Ce fut elle qui prit l’initiative de leur première fois. Michel fut surpris que Clémence soit encore vierge. Clémence y avait souvent pensé à cette première fois. Ce fut une déception, Michel s’excusant de son éjaculation précoce, une fois la jeune femme déflorée.
Les fois suivantes ne furent pas mieux. Frustrée, Clémence se dit que c’était ainsi, qu’elle se faisait jouir avec ses plaisirs solitaires et, qu’avec cet homme qu’elle aimait, ce qui comptait, c’étaient les sentiments.

Ce fut encore Clémence qui prit l’initiative de leur mariage. Clémence et Michel, tout à leur passion, ne prenaient aucune précaution : la jeune fille tomba enceinte. Contrairement à ce qui fit Aude envers Daniel, elle ne chercha pas à forcer la main à son amoureux. Cela s’était fait naturellement, comme preuve de leur amour.

Aude fut surprise quand elle apprit en même temps qu’elle allait devenir grand-mère et que sa princesse allait se marier. Clémence n’allait-elle pas un peu vite en besogne ? Pourquoi renoncer à ses ambitions, elle qui voulait se spécialiser en archéologie ? Ne pouvait-elle attendre pour faire un enfant ? Ce Michel avait certes plu à Aude quand elle fit sa connaissance. Il était un gentil garçon. Mais serait-il capable de rendre heureuse sa Clémence ?
Lors du mariage, ce fut cette fois à Aude d’être témoin de sa fille. La famille de Michel, assez conservatrice, fut un peu choquée par la belle-mère de son fils : la belle quadra affichait sans complexe son couple lesbien avec Nadine et, en plus, était enceinte à son âge. L’oncle et la nièce auront donc presque le même âge ! Clémence fut blessée d’entendre la famille de Michel traiter Aude de « putain » et de « gouine ». De quel droit jugeaient-ils cette mère merveilleuse qui avait tout donné à sa fille ?

Peu après son accouchement, Clémence, qui n’a guère la fibre maternelle, et qui voulait rejoindre son mari à l’ambassade de France au Maroc, où il venait de prendre un poste d’attaché culturel, confia sa fille au couple Aude-Nadine. La petite sera ainsi élevée essentiellement avec son oncle, l’enfant conçu par Aude.

***

Rabat était différente de tout ce qu’elle avait connu mais Clémence s’en accommodait avec une aisance inattendue. Le rythme semblait plus lent. Michel travaillait beaucoup mais il restait attentionné, toujours aimant, toujours délicat. Elle l’aimait mais ce n’était pas le problème.
Le problème, c’était son corps, son manque, sa frustration. La tendresse de Michel l’émouvait, ses caresses lui plaisaient, mais elles ne la traversaient pas. Son sexe, pourtant, grondait. Comme un feu qui couve sans jamais exploser. Le souvenir de ses longues séances de plaisir solitaire, de ses nuits adolescentes haletantes, la hantait. Elle se surprenait à y replonger en cachette, dans la salle de bains, ou sous les draps lorsqu’elle l’entendait ronfler paisiblement. Mais cela ne suffisait plus.

L’idée de satisfaire ses besoins en dehors de son couple ne lui avait jamais traversé l’esprit. Elle considérait que l’amour rimait avec fidélité et il était inconcevable pour elle de tromper l’homme qu’elle aimait, malgré ses éjaculations précoces qui la frustraient tant.
Pourtant une rencontre inattendue allait bientôt changer la donne.

C’est dans un café du centre, lors d’un déjeuner avec l’épouse d’un collègue de Michel, qu’elle le vit pour la première fois. Il s’appelait Zakaria. Grand, musclé, la peau cuivrée par le soleil, les yeux noirs perçants, une mâchoire volontaire, une barbe taillée avec négligence, et une manière de marcher provocante. Il portait une chemise entrouverte, révélant un torse viril, et une chaîne discrète en or. Il parlait peu, mais souriait beaucoup. Un sourire en coin, presque moqueur.

Zakaria était ce qu’on pourrait appeler un voyou-dragueur. Un petit caïd, qui vivait, en ne faisant rien ou presque et qui était obsédé par les étrangères. Surtout par « les Françaises aux mœurs légères » qui passaient directement au lit. Il était un chasseur, pour qui les Françaises n’étaient que des « Kahba », une fois qu’elles étaient séduites.

Quand leurs regards se croisèrent, ce fut bref mais suffisant. Il la déshabilla du regard, comme s’il savait. Elle détourna les yeux, un frisson entre les cuisses. Elle se sentit idiote, coupable.

Il réapparut. Deux jours plus tard. Puis encore, comme par hasard. Sur les marchés. En terrasse. Toujours seul. Toujours sûr de lui. À chaque fois, un mot, une phrase courte. Parfois un compliment en Arabe. Parfois une provocation en Français. Toujours accompagné de ce regard lent, pénétrant. Il l’abordait à chaque fois avec toute l’aisance du monde, comme s’il était certain qu’elle allait finir dans son lit, quoiqu’elle fasse.
- Tu es Parisienne, non ? On reconnaît tout de suite les femmes froides qui brûlent à l’intérieur.
- Ça ne te dit pas de venir avec moi ? Je promets de te faire oublier tous ceux que tu as connus jusqu’ici.
- Belle tenue, je parie que tu es encore plus sublime sans tout ça.

Il la tutoyait, lui faisait des remarques indécentes mais elle ne répondait pas. Mais son cœur battait plus vite. Elle se haïssait de ce trouble. Zakaria dégageait une aura séductrice et virile qui rendait sa frustration encore plus insupportable, mais elle faisait son maximum pour rester de marbre et ne pas entrer dans le jeu du bel homme.

Très vite cependant, pendant l’une de ses soudaines réapparitions, elle décida de hausser le ton :
- Qu’est-ce que vous voulez ? demanda-t-elle sèchement, en se retournant.

Il s’approcha, sans la toucher. Lentement, il se rapprocha à quelques centimètres d’elle et l’odeur de l’homme la troubla.
- Que tu arrêtes de me fuir. Je vois comment tu me regardes. Tu te retiens, mais tu veux. Tu ne l’as jamais vraiment goûté, pas le vrai… Pas ce que je peux te donner.

Elle sentit son ventre se contracter. Sa poitrine se soulever.
- Je… Je suis mariée, murmura-t-elle.
- Je doute fort que ton mari sache comment s’occuper d’une femme comme toi.

Avant même qu’elle s’en aperçoive, il passa une main rapide derrière son dos et lui donna une claque sur sa fesse. Clémence sursauta et ouvrit la bouche, mais aucun son n’en sorti.
- Eh bien ? Tu ne dis rien ?

Clémence essaya d’articuler.
- Je… je ne vous permets pas.

Zakaria eut un large sourire.
- Je vais bien m’occuper de toi moi, tu vas voir.

Et il s’éloigna sans ajouter un mot, la laissant là, tremblante. Elle rentra en vitesse à la maison, Michel était sur son ordinateur en train de travailler et ce fut à peine si elle le salua. Elle se dirigea vers la salle de bain et s’y enferma. Essoufflée, elle découvrit avec honte qu’elle mouillait abondamment. Elle avait envie de Zakaria, son corps réclamait le sien et elle ne savait plus comment réprimer cette envie.
Ce ne fut qu’après deux jouissances qu’elle put enfin sortir de la salle de bain avec un air presque neutre.
- Non, c’est une folie, je ne ferai jamais ça.

***

Les jours suivants furent un supplice pour Clémence.

Elle évitait les endroits où elle voyait habituellement Zakaria, prétextait des maux de tête pour ne pas sortir. Michel ne voyait rien. Il était absorbé par ses réceptions, ses dîners officiels, ses rapports à rédiger pour l’Ambassade.

Clémence passait ses journées entre les murs de leur logement, à lire, à errer, à s’étouffer. Son corps criait en silence. Elle rêvait de Zakaria. De sa voix grave. De ses mains, qu’elle imaginait rugueuses, puissantes, possédantes.

Un après-midi, elle reçut un message. Elle ne lui avait jamais donné son numéro. Et pourtant, là, sur son écran :
"Café de notre rencontre. 18h. Viens. Ou continue à te mentir."

Elle aurait dû supprimer le message mais à 17h30, elle était déjà maquillée, vêtue d’une robe fluide beige, fine et légère, qu’elle n’avait jamais osé porter auparavant. Elle marcha jusqu’au café, chaque pas l’enfonçant dans une culpabilité brûlante mais aussi dans une excitation qui la consumait. Elle avait honte d’elle-même. Mais elle n’avait jamais été aussi vivante.
Zakaria était là. Installé au fond, une table à l’abri des regards. Il la scruta sans mot dire, son regard glissant lentement sur son corps. Elle s’assit. Il ne demanda rien. Ne fit aucune remarque. Juste ce silence lourd, chargé.
- Tu sais que tu vas céder, souffla-t-il enfin avec un sourire narquois.
- Je suis venue pour te dire que ça suffit.
- Et tu t’es mise comme ça pour me dire que ça suffit ?

Elle baissa les yeux. Sa gorge était nouée. Son sexe, lui, pulsait d’impatience. Il tendit la main et effleura la sienne. Un frisson lui remonta l’échine. Elle la retira vivement, comme si elle s’était brûlée. Mais trop tard. Quelque chose venait de lâcher en elle.
- Je n’ai jamais été infidèle. J’aime mon mari.
- Il y a une première fois à tout. Je te promets que, dans très peu de temps, tu n’y penseras même plus à ton mari.

Il paya, se leva, et sans demander son avis, posa sa main au creux de ses reins. Elle ne protesta pas. Elle le suivit.

Ils marchèrent jusqu’à une petite maison blanche aux volets bleus, à quelques rues de là. À l’intérieur, il faisait sombre. Clémence entendait son propre souffle. Il ferma la porte, se retourna, et la plaqua doucement contre le mur.

L’esprit de Clémence était en ébullition.
« Qu’est-ce que je suis en train de faire ? Je ne dois pas faire ça. Il faut que je rentre chez moi, il n’est pas trop tard. »
- Dis-le, dit Zakaria avec autorité. Dis que tu veux que je te baise.

Elle s’entendit dire.
- Je veux que tu me baises.
- À genoux !

Comme dans un rêve, ne croyant pas ce qu’elle était en train de faire, elle se mit à genoux. Zakaria ouvrit son pantalon. Une grosse bosse déformait déjà son boxer. D’un geste théâtral, il baissa son boxer d’un coup, révélant un pénis aux proportions extraordinaires.
Clémence écarquilla les yeux devant ce monstre qu’il lui présentait. Jamais elle n’avait vu un pénis comme ça en vrai. Elle n’avait qu’une envie, c’était le sentir en elle.
- Tu attends quoi ? Grogna-t-il. Tu es épatée par ma queue ? C’est sûr que ça doit être différent avec ton mari.

Il la prit par la nuque.
- Ouvre grand.

À peine Clémence avait-elle ouvert la bouche, que Zakaria lui introduisit son puissant sexe dans la bouche, sans ménagement.
- Aller, suce moi bien petite garce. Je suis sûr que tu peux faire mieux que ça.

Les larmes aux yeux, l’esprit embrumé, Clémence posa ses deux mains sur ce sexe magnifique et commença à le sucer du mieux qu’elle pouvait, en le branlant. Elle était en extase, son corps brûlait ardemment alors qu’elle tentait d’enfoncer l’énorme pieu aussi profondément que possible dans sa bouche.

Zakaria se pencha légèrement et introduit ses mains sous la robe de Clémence, agrippant brutalement ses seins.
- Tu es encore mieux foutue que je le pensais. Je vais bien m’occuper de toi moi. Tu vas voir.

Il lui baisa ainsi la bouche pendant de longues minutes, s’enfonçant profondément jusqu’à l’étouffer, prenant plaisir à la souiller. Il retira ensuite brutalement sa queue avec un long filet de bave.
- Déshabille-toi et mets-toi à genoux sur le canapé.
Troublée, Clémence bougea à peine.
- Dépêche-toi Kahba ! hurla Zakaria.

Il la prit par le bras pour la mettre sur pieds et entreprit de la déshabiller brutalement. Bientôt, elle était toute nue devant lui, honteuse et excitée.
- En position !

Elle allait sur le canapé, sans être sûre de ce que Zakaria voulait. Maladroitement, elle posa ses genoux sur le canapé. Le sang battait à ses tempes alors qu’elle entendait son amant se déshabiller derrière elle.

Il arriva et posa ses grandes mains sur elle, pour ajuster sa position.
- C’est bien, dit-il, tends-moi bien ta croupe.
Clémence sursauta lorsqu’il enfonça un doigt en elle.
- Tu mouilles sacrément bien pour une épouse fidèle. J’ai su dès le premier moment où je t’ai vue que tu étais une salope.
- Ooohhhhh !

Clémence, avec une voix faible, baissant les yeux tant elle avait honte, lui demanda :
- Tu ne mets pas de préservatif ?
- Pas question ! Tu es à moi, désormais !

Sans prévenir, Zakaria s’était enfoncé brutalement, en elle lui arrachant un grand cri.
- Hurle autant que tu voudras, je vais bien te faire hurler de toute façon. Tu vas couiner !

Et sans ménagement, il commença à la pilonner de plus en plus fort, de plus en plus vite, en la tenant par les hanches. Clémence était en extase et bientôt un puissant orgasme lui arracha un grand cri mais Zakaria continuait ses assauts féroces sans lui donner de répit. Elle tenait difficilement en équilibre et pourtant, pour rien au monde, elle n’aurait voulu qu’il arrête.

Soudain, il se retira et la pris par les cheveux pour la diriger vers son sexe.
- Ouvre !

Il enfonça à nouveau sa queue dans sa bouche et Clémence sentit son membre puissant se contracter. De puissances giclées envahirent sa bouche et sa gorge, de manière si surprenante, qu’elle faillit s’étouffer.
- Gare à toi si tu recraches, menaça-t-il. Avale tout !

Les larmes aux yeux, Clémence s’appliqua à tout avaler sans manquer une goutte. C’était la première fois qu’elle faisait ça et elle découvrait qu’elle aimait ça.

Elle se leva du canapé mais Zakaria l’arrêta.
- Où est-ce que tu crois aller comme ça ?
- Je vais rentrer, nous avons terminé non ?
- Loin de là, ricana Zakaria. Je sais qu’il se fait tard et je ne compte pas te faire avoir des problèmes avec ton cocu de mari.

A la mention de son mari, Clémence rougit. Elle venait effectivement de cocufier son mari mais pire encore, elle n’y avait pas pensé une seule seconde depuis qu’elle était arrivée chez Zakaria.
- Je vais te baiser une deuxième fois ensuite tu pourras prendre ta robe de putain et dégager d’ici.

Il la poussa sur un deuxième canapé plus spacieux.
- Écarte bien tes jambes, je vais te faire hurler à nouveau.

Clémence regardait avec stupéfaction ce grand sexe qui n’avait rien perdu de sa vigueur malgré son éjaculation. Quand son mari jouissait, il ne pouvait plus bander à nouveau pendant des heures. Tout chez Zakaria la fascinait.

Il s’installa entre ses cuisses, positionna son gland et s’enfonça en elle sans ménagement. Cette nouvelle position, avec une queue de cette taille, offrait à Clémence de toutes nouvelles sensations. Elle avait l’impression que le sexe titanesque de son amant la transperçait jusqu’à son ventre.
Elle réprima, comme elle put, ses cris, avant de se lâcher.
- Tu vas encore en avoir petite putain, dit Zakaria sans arrêter ses assauts, je vais te dresser et faire de toi ma salope. Dorénavant tu es ma putain. Je veux te l’entendre dire.
- Je… Je suis ta putain, haleta Clémence en ivresse.
- Supplie-moi de te baiser.
- Baise-moi, je t’en supplie, ne t’arrête pas.

Zakaria reprit ses assauts de plus en plus durs et finalement, il se raidit et envoya en elle plusieurs giclées.
- Oh non ! s’écria-t-elle entre surprise, peur et extase.

Zakaria resta bien enfoncé en elle jusqu’au bout ensuite se retira.
- Tu ne croyais quand même pas que j’allais me vider ailleurs ? Tu es ma putain à partir de maintenant et je fais de toi ce que je veux. J’aurais aimé te sodomiser aujourd’hui mais ça attendra, tu es déjà assez en retard comme ça.

Clémence, rouge de honte, posa une main tremblante sur sa chatte dégoulinante, partagée entre fascination et remords.
- Qu’est-ce que tu attends pour partir ? Dit sévèrement Zakaria, j’en ai fini avec toi aujourd’hui, tu peux retourner voir ton cocu. Je veux que tu sois ici demain à partir de quatorze heures. Est-ce bien compris ?

Clémence hocha la tête.
- Aller dégage maintenant.

(A suivre)

Les avis des lecteurs

Merci Alain. Nous nous efforçons de veiller à la qualité du scénario, de l'écriture, de la présentation, aux sentiments des personnages, à la description des scènes. Ta réaction nous encourage à poursuivre.

C'est extraordinaire ! Tout simplement extraordinaire ! Merci et encore merci ! Je lis et je relis et je ne m'en lasse pas, au contraire !
Alain

Merci, Valériane!

Histoire Erotique
j'adore, je vais le jeter sur la suite

valériane

@ John 62, tu as raison de pointer la responsabilité du mari dans tout ça, même si c'est d'abord Clémence qui succombe à la tentation.
A ce stade, Michel n'est pas candauliste. Le deviendra-t-il?

Merci @Olga et @Sarah
Très beau texte comme d’habitude
Beaucoup de sentiments
Une évolution de l'intensité bien mesurée
La chair est faible et Clémence y succombe mais son mari est un peu responsable... je le sens un peu candauliste.
L'avenir le dira... vite!

@ La chipie, on ne la changera plus cette chère Marquise!

Histoire Libertine
Marquise t'es sérieuse , encore tu fais des commentaires à la con , à quel moment tu vas comprendre que stop c'est stop !!!!!!!

La chipie

@ Robert, c'est vrai, même s'il y a, sinon des excuses, du moins des explications;
@ Claude, merci!

Histoire Erotique
@ Robert, sans doute.
Nous sommes sur un site d’histoires érotiques.
Donc tant mieux que Clemence soit une salope!
Ce qui me plaît c’est de lire de belles scènes de sexe. L’avantage, avec Olga et Sarah, est que c’est particulièrement bien écrit et qu’il y a un scénario bien construit
Bravo au auteures!
Claude

Histoire Erotique
Clémence a peut-être des scrupules mais elle cède bien vite à la tentation.
Au final c’est une fieffée salope!
Robert

Merci à linsee et à Nicolas!

Histoire Libertine
Bien écrit bravo

linsee

Histoire Erotique
Bien rédigé, pervers comme on aime, ne manque que mon péché mignon, les odeurs intimes ;)

@ Micky, merci. Oui, l'hypersexualité de Clémence, qu'elle tente de contenir depuis tant d'années, va s'exprimer pleinement, pour son plaisir et son malheur.
J'en profite pour signaler qu'HDS est, en ce moment, plus rapide dans la validation des textes, puisque le chapitre 2 de la série sera en ligne mardi 3 juin.

Un portrait prometteur et je pressens à venir une vraie bombe sexuelle en la personne de Clémence.

Luc et Dyonisia ont apporté la réponse appropriée à cette chère Marquise, qui ne nous manquait pas et qui n'aura donc pas l'absolution pour avoir péché "en pensées, en paroles, par action et par omission"
@ Luc, j'adore ton humour!
@ Dyonisia, ma chère muse, merci pour ce commentaire, lui aussi empli de finesse d'analyse. Je suis heureuse que certains passages t'aient émoustillée également. Oui, ils reflètent du vécu, comme toutes les scènes intimes dans cette histoire.
Tu relèves qu'Aude n'a pas averti sa fille des risques auxquels peut exposer une hypersexualité, Comme tu le dis, sans doute par pudeur. Par honte aussi sans doute, d'autant (et c'est son seul point d'accord avec son monstre de mari) qu'elle elle persuadée que ses enfants ignorent ce qui se passe les week-ends au domicile familial. Aude ne saura que plus tard que Clémence en fut témoin. Aude avait néanmoins dit ceci à sa fille, après l'incident du lycée: "Un jour viendra où tu rencontreras quelqu’un qui saura te combler. Ne fais pas comme moi : choisis-le bien !". Un avertissement que Clémence n'a pas retenu. Elle a fait un mariage d'amour avec Michel (grande différence avec Aude) mais tombe sous la coupe de Zakaria, qui n'a rien à envier à Daniel en tant que prédateur.Tu fais bien de rappeler la difficulté, mélange de pudeur et de honte, pour une mère et une fille, d'aborder ce genre de questions, même quand, dans le cas d'Aude et de Clémence, elles sont si proches.

Eh bien ! Voilà pour notre plaisir un nouveau récit plein de sexe, d’amour et de fureur, autant que de finesse d’analyse des sentiments et des pulsions, que livre à notre réflexion le duo – j’allais dire le couple, tant elles se complètent – de Sarah et Olga.
Certes, je comprends qu’on puisse s’interroger sur les hésitations de Clémence à se confier à sa mère, mais je me souviens de mes propres scrupules d’adolescente… Et, malgré l’affectueuse sympathie que m’inspire Aude, je m’étonne qu’elle n’ait pas averti sa fille des risques auxquels peut exposer une hypersexualité, mais il y a parfois des pudeurs qui paralysent. D’ailleurs, sans cela, aurions-nous lu un chapitre aussi palpitant ?
J’avoue, comme @Melissa, avoir délicieusement frémi à certains passages. Pour ma part, la description des séances de masturbation de Clémence – on sent le vécu – m’a plus émue que les chevauchées sauvages de Zakaria, bien que là aussi le vérisme domine.
Bref, avec un si prometteur début, il conviendra de prendre quelques précautions d’usage pour lire la suite sans débordement intime trop marqué…
Et, cher @Jacques du Canada, vous pouvez l’affirmer : « telle mère, telle fille » ; je vous le confirme d’expérience. :-)
Quant à vous, anonyme @Marquise, si toutefois vous revenez pécher ici en pensées ou en lecture, n'oubliez pas que les commentaires aussi révèlent beaucoup de qui les poste.

Histoire Erotique
cette chère Marquise, qui rêverait de voir Olga aux mains de l'inquisition, mais qui vient s'encanailler sur de tels sites de perdition! C'est un péché, Marquise et il n'est pas véniel, surtout si cette lecture vous a émoustillé!
Vous nous avez manqué!
Pas d'absolution pour vous, ma fille, car vous êtes une vilaine pécheresse!
Luc

Histoire Libertine
Il y a longtemps que je ne commentais plus vos récits, mais celui-ci me fait réagir, avec cette Clémence qui prétexte son hypersexualité pour se laisser aller à toutes les luxures.
Les personnages fictifs reflètent les auteures.
Et en effet de telles femmes méritent l'enfer!
Marquise

@ Couple anonyme, merci
@ La chipie, Clémence a en effet un énorme de communication. Pendant son adolescence, elle n'a pas su parler avec sa mère au sujet de ses pulsions incontrôlables. De même elle est incapable de parler de leur problème de couple et de son insatisfaction avec Michel, même si celui-ci doit s'en douter.

Histoire Erotique
Clemence fait les même erreurs que sa mère , en plus elle n'assume pas son enfant mais pour couronner le tout nique sans capotes , comment va t'elle expliquer 1 grossesse avec à l'arrivé 1 BB mat de peau !!!!
1 couple ça passe par la communication et la elle ne parle pas , elle va s'en mordre les doigts.

Mais ça reste 1 récit qui décrit très bien le dilemme de Clemence ,son questionnement ainsi que sa descente en enfer.

La chipie

Histoire Coquine
Zakaria est vraiment un personnage odieux!
Mais que le récit est excitant!

@ Carla, merci. C'est exactement ça. C'est pourquoi il était important de parler de l'enfance et de l'adolescence de Clémence. L'hypersexualité trouve ça sa source dans cette période. c'est le cas de Clémence, même si sa frustration dans sa vie de couple a été le déclencheur et l'occasion d'avoir croisé la route de Zakaria.
@ Lecteur anonyme, il y a évidemment beaucoup de points communs, car nous nous inspirons de notre vécu. Il y a aussi des différences: le contexte et, nous le verrons, le commanditaire.
@ Norbert, merci!

Histoire Erotique
La scène de sexe entre Clemence et Zakaria est exceptionnelle!
Bravo!
Norbert

Histoire Erotique
Daniel a raison. Zakaria rappelle beaucoup Rachid!

Histoire Libertine
Pour paraphraser Simone de Beauvoir, on ne nait pas hypersexuelle, on le devient. Et on comprend que l'origine pour Clémence, est à rechercher dans son enfance et son adolescence, l'absence de la moindre affection de son père, la manière dont sa mère est traitée, sa pratique compulsive de la masturbation compulsives et surtout cette soirée où elle est témoin de l'avilissement d'Aude.
Carla

A mon tour de répondre aux commentaires de la journée. Nous sommes fières du nombre de lecteurs et de commentaires, pour un texte long, mais, comme le dit Sarah nous voulons des textes construits, avec un scénario et étudier les réactions des personnages, pour répondre au couple anonyme qui trouve que c'est "long"
J'ajoute qu'écrire avec Sarah est d'autant plus un plaisir qu'elle prend soin de lire les commentaires et d'y répondre. Je suis bien entendu entièrement en phase avec les réponses de Sarah.
@ Mélissa, nous sommes heureuses que ça provoque ce genre de réactions. Nous ne vous cachons pas qu'écrire certaines scènes nous émoustille également!
@ Henri, c'est exactement ça
@ Daniel, merci pour ce commentaire. Oui, comme le dit André, Clémence ne croise pas Zakaria par hasard. Mais ce n'est pas forcément Michel qui a communiqué le numéro. Il y a des similitudes, mais Michel n'est pas Philippe.
@ lectrice anonyme, oui, c'est une pratique à proscrire. Mais dans certaines situations, une hypersexuelle ne contrôle plus rien, je peux en témoigner.
@ Maurice, oui si Clémence s'était confiée à Aude, si celle-ci avait su deviner l'addiction de sa fille, la situation aurait été très différente. mais Aude aura un rôle à jouer, plus tard, pour aider Clémence à sortir de la spirale infernale où elle s'enfonce.

Histoire Libertine
@Luc, merci beaucoup pour vos encouragements.
@Rose, il était nécessaire de bien définir le personnage pour la suite des événements.
@Steph, l'amour n'est pas toujours suffisant.
@Jacques du Canada, sur certains aspects oui, cependant Clémence et sa mère ont des maris totalement différents et ça peut jouer après...
@Didier, comme toujours vous êtes un lecteur attentif et brillant, vous avez posé la bonne question.
@Mélissa, nous sommes heureuse de contribuer à votre plaisir.
@Henri, maîtriser son hypersexualité est une longue quête avec des hauts et des bas. Il n'est pas toujours possible de ressortir victorieux quand on affronte sa propre nature...
@Daniel, merci pour vos encouragements Daniel, nous espérons que la suite sera à la hauteur de vos attentes.
@lectrice_inconnue, je ne peux pas parler pour Olga mais pour ma part j'avoue que l'excitation fait faire de grosses bêtises des fois.
@Maurice, bonne question, est-ce qu'un parent sexuellement très actif et avec les idées très larges peut facilement partager ses conseils et expériences avec son enfant sans tabou ? Trop tôt pour le dire dans mon cas.
@couple, nous aimons écrire des histoires bien élaborées avec de réelles intrigues.
@André, très bien vu !

Sarah T.

Histoire Erotique
Je partage le sentiment de Daniel et de Didier au sujet de ce Zakaria
Qui a mis ce fauve, ce prédateur sur la route de la pauvre Clemence? Je ne crois pas au hasard!
André

Histoire Coquine
C’est très bien écrit mais c’est peut être un peu long non?

Histoire Erotique
Cette série est en effet prometteuse, comme le dit Luc.
Olga et Sarah nous proposent en effet des textes avec des scénarios, des personnages dont on explore les états d'âme, pas seulement des scènes torrides. Merci à ces deux auteures!
La première partie du chapitre explique bien les sentiments de Clémence pour son père et pourquoi elle a soutenu Aude dans ses épreuves. Elle explique bien aussi que l'addiction de Clémence vient de loin et pourquoi elle est une proie idéale pour un prédateur comme Zakaria;
Je suis d'accord avec Daniel et, comme lui, je m'interroge. pourquoi, alors qu'elles sont si proches, qu'elles se ressemblent tant, Clémence n'ose pas parler à sa Aude de ses pulsions et de sa frustration? L'épisode du lycée aurait dû alerter Aude sur le fait que sa fille souffrait de la même addiction qu'elle.
Maurice

Histoire Libertine
Clémence n’est pas prudente de baiser avec un inconnu sans protection et en plus il se vide en elle!

Histoire Erotique
Olga Sarah quel plaisir de vous retrouver dans un texte d’une écriture limpide. Le début nous explique parfaitement la jeunesse de Clémence et son aversion pour son père qu’elle a comme beaucoup de petites filles aimées au départ. Ensuite surprenant alors qu’elle est proche de sa mère elle se tait sur son problème de sexualité elle découvre pourtant l’hypersexualite de sa mère et comment son monstre de père la traite.des études brillantes mais une hypersexualite refoulé jusqu’au jour où elle rencontre fortuitement un prédateur d’un autre style qui me fait penser à un certain Rachid et le mari Michel attaché culturel à un certain haut fonctionnaire. Si on fait le rapprochement je pense que le numéro de téléphone a été communiqué par le mari qui a le même problème d’ejaculation precoce et à remarqué que sa femme qu’il aime en souffre. L’avenir me le dira car j’attends votre suite mais Clémence entamé une descente aux enfers du plaisir mais aussi de la soumission à un être vil haineux raciste et qui va prendre plaisir à utiliser une blanche comme putain.j’espère me tromper. DANIEL

Histoire Erotique
Clémence est, comme sa mère, belle, intelligente, brillante et hypersexuelle. Vos récits montrent le parcours et les épreuves traversées par les "sex-addict". Ce sont des femmes en souffrance, qui ne parviennent pas à maitriser leurs pulsions.
Et les auteures connaissent bien le problème pour l'avoir vécu. Olga nous en longuement parlé dans ses récits autobiographiques et je crois qu'il en est de même pour Sarah;
Henri

Histoire Libertine
C'est tout aussi excitant que la série précédente et ça me fait toujours le même effet. Merci, Mesdames de me faire commencer une journée en provoquant mon excitation!
Mélissa

@ Luc, en effet ce fut long mais c'est finalement paru à la date annoncée. Merci pour ta confiance!
@ Rose, oui, la jeunesse de Clémence explique beaucoup de choses dans son comportement.
@ Steph, c'était probablement inévitable. Mais mentir à l'homme de sa vie est toujours une faute.
@ Jacques du Canada, merci pour votre appréciation. Avec Sarah, nous sommes très attachées à la qualité de nos textes. Sur le fonds, il y a beaucoup de similitudes, mais aussi des différences. Oui, c'est une descente en enfer qui commence pour la belle Clémence. la suite dira jusqu'où cela va aller et si elle saura s'en sortir;
@ Didier, comme toujours merci pour ton analyse très fine et perspicace. Tu soulignes bien le point commun (leur faiblesse) entre Aude et Clémence, qui est leur addiction sexuelle, mais aussi leur différence. Contrairement à Daniel, Michel aime Clémence. Et tu relèves une énigme, que la suite éclairera: comment Zakaria avait-il le numéro de téléphone de Clémence?

Histoire Erotique
Olga, Sarah,
Comme pour vos précédents écrits, ce premier chapitre de l’histoire de Clémence est vraiment excellent et torride en soi.
Avec la présentation de sa jeunesse, je comprends mieux désormais pourquoi dans « Aude se lâche » Clémence avait une telle attitude, très hostile, envers son père, ce monstre de Daniel. J’ajouterai que contrairement à sa mère Aude, Clémence fit un mariage d’amour avec Michel, et ce malgré qu’elle ait le même tempérament sexuel que sa mère.
Un tempérament qui par la suite pousse toutefois Clémence, malgré un vif combat intérieur, à pratiquer l’adultère avec ce Zakaria qui n’eut de cesse de la harceler, de la tenter. Un Zakaria, qui en la baisant bestialement, procure un flot d’extase, de jouissance à une Clémence qui, en acceptant de le revoir, semble désormais accro et soumise à ce macho, si méprisant envers les femmes.
J’ai le sentiment que Clémence, dans sa quête à la jouissance, se soit là jeter dans la gueule d’un loup, à la domination et à la perversité surement grandissante, au fur et à mesure qu’il s’occupera d’une femme comme elle…
Je finirais mon propos en disant que quelque chose m’intrigue toutefois dans ce récit, et j'espère que la suite pourra m'en fournir l'explication. Oui en effet, comment se fait-t-il que Zakaria soit en possession du numéro de téléphone de Clémence ?
Didier

Certainement très bien écrit ce récit me semble être dans le même esprit et style que celui de Aude et de son infortune avec son monstre.
Un autre calvaire commence pour Clemence. Peut-on dire: “Telle mère telle fille!”

Histoire Libertine
Comme je comprends Clémence. Michel est un type bien, mais il n'est pas à la hauteur. Alors!
Steph

Histoire Libertine
ce chapitre fait le lien avec la jeunesse de Clémence, qui explique beaucoup de choses. Ca permet de mieux comprendre le comportement et les contradictions de cette jeune femme
Rose

Histoire Erotique
je l'ai guetté toute la journée, mais ça valait la peine! Cette nouvelle série est très prometteuse, chères auteures!
Luc



Texte coquin : « Clémence » (1) : Zakaria
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