« Clémence » (2) : Dressage

- Par l'auteur HDS Olga T -
Récit érotique écrit par Olga T [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Récit libertin : « Clémence » (2) : Dressage Histoire érotique Publiée sur HDS le 03-06-2025 dans la catégorie Dans la zone rouge
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« Clémence » (2) : Dressage
Avertissement

Le premier chapitre de cette nouvelle série, écrite avec Sarah, est paru sur HDS le 27 mai 2025. Il est à noter que Sarah a écrit une grande partie de ce second chapitre. Je salue son talent, aussi bien pour décrire les états d’âme de Clémence, mais aussi les scènes les plus torrides. Merci et bravo à Sarah !

RÉSUMÉ

Clémence, jeune femme qui vient de terminer un brillant cursus universitaire, a épousé Michel, un jeune diplomate. Clémence a suivi son mari à Rabat, au Maroc, où il a été affecté en tant membre de la mission culturelle de l’ambassade. Clémence et Michel s’aiment, mais la jeune femme est frustrée sur le plan sexuel. Alors qu’elle ne voulait pas tromper son mari, elle vient de céder à l’entreprise de séduction d’un jeune Marocain, Zakaria, avec qui elle découvre le plaisir.
Cette relation adultère va tout changer pour Clémence.

***

Clémence rentra à pas pressés, presque fuyants. La chaleur s’accrochait à sa peau, mais elle ne sentait plus rien. Son esprit, embué, se débattait dans un torrent d’émotions contradictoires. Ses cuisses encore tremblantes, la bouche sèche, et une trace invisible mais tenace entre ses jambes lui rappelaient qu’elle avait trompé Michel, l’amour de sa vie.

Elle venait de se faire prendre par un inconnu, comme la dernière des salopes. Elle marchait vite, comme si fuir pouvait tout effacer. Comme si la douche qui l’attendait chez elle allait pouvoir laver le sperme, les marques, les mots. Comme si elle allait redevenir la Clémence d’avant.

Mais rien n’effacerait ce qu’elle ressentait à cet instant : une exaltation brutale, animale, et une honte viscérale qui lui comprimait la poitrine. Quand elle atteignit la porte de l’appartement, elle inspira longuement. Sa main tremblait légèrement sur la poignée. Elle entra.
Le silence du salon fut brisé par le doux cliquetis régulier du clavier de son mari.
- Chérie ? demanda Michel depuis l’autre pièce.
Elle sursauta.
- Oui, c’est moi, répondit-elle, d’une voix étranglée.

Il tapa encore quelques secondes, puis demanda calmement :
- Ta journée s’est bien passée ?

Elle sentit sa gorge se nouer. Elle voulait disparaître. Fondre dans le sol. Sa robe légère collait encore à son dos. Elle sentait l’odeur de Zakaria sur elle. Sur ses cuisses. Sur sa peau. Et si Michel la sentait aussi ?

Son cœur s’emballa.
- Je… Je suis crevée. Je vais filer sous la douche, répondit-elle précipitamment.

Elle n’attendit même pas sa réponse. Elle longea le couloir en évitant le salon, fonça dans la salle de bain, verrouilla la porte à double tour. Elle était dans un état second.
Elle jeta sa robe au sol. Elle colla une main sur sa bouche pour étouffer un sanglot, ou un cri, elle ne savait plus. Elle s’assit sur le rebord de la baignoire, nue, les bras serrés contre sa poitrine. Elle se sentait sale. Souillée. Mais aussi terriblement excitée.

Elle se leva et se plaça sous la douche. L’eau mit quelques secondes à devenir chaude. Quand elle se déversa enfin sur elle, elle se sentit frissonner. Elle se savonna furieusement, le plus fort qu’elle pouvait, entre les cuisses, sur le ventre, les seins, la bouche. Partout où il avait posé ses mains, sa bouche, son sexe. Clémence aurait voulu faire disparaitre toutes les traces de son adultère. Mais sa faute était indélébile.

Mais plus elle frottait, plus elle revoyait les scènes. Les images de Zakaria, son regard brûlant, son sexe monstrueux, ses mots crus, sa brutalité. Elle se sentit à nouveau mouiller. Ses doigts glissèrent malgré elle. Elle ferma les yeux. Un gémissement discret lui échappa. Elle s’arrêta net, haletante.
- Non… murmura-t-elle. Non. Je suis une femme mariée. Maman… Michel… Mon enfant…

Mais rien n’y faisait. Elle tremblait. Et tout son corps réclamait encore. La scène repassait en boucle dans sa tête. Et la voix de Zakaria…
« Tu es ma putain maintenant. Je fais de toi ce que je veux. »

Clémence, désespérée, appuya son front contre le carrelage froid. Elle aurait voulu crier, vomir, s’effondrer. Mais elle savait que, dans la pièce d’à côté, Michel préparait peut-être le dîner. Peut-être pensait-il déjà à lui faire l’amour ce soir.

Rien ne put empêcher la suite. Comme possédée, elle se mit à se masturber convulsivement, les scènes qu’elle venait de vivre déferlant derrière ses yeux. Elle eut un orgasme dévastateur qui manqua de la faire tomber.

Honteuse et confuse, elle sortit et s’enveloppa dans une grande serviette, s’observa dans le miroir embué. Ses joues étaient rouges. Ses cheveux plaqués par l’eau. Ses yeux vides et brillants à la fois.
- Qu’est-ce que j’ai fait ? souffla-t-elle.

Après s’être longuement séchée, en prenant tout son temps, comme si cela pouvait différer le moment de vérité, le face-à-face avec celui qu’elle venait de trahir. Elle enfila un pantalon large et un tee-shirt fluide, des vêtements neutres, presque anonymes. Rien qui ne puisse rappeler la femme dévêtue, offerte, à genoux quelques heures plus tôt, soumise au désir d’un mâle.

Dans le salon, Michel l’attendait, toujours à son bureau, mais son regard s’était alourdi.
- Tu es sûre que ça va ? demanda-t-il, en l’observant avec une douceur mêlée d’inquiétude. Tu as l’air bizarre…

Clémence força un sourire.
- Oui. Juste que… Je suis vidée. J’ai eu une journée étrange. Je crois que j’ai besoin de prendre un peu l’air.

Il la scruta quelques secondes.
— Tu veux dire quoi ?
— Je pensais… Peut-être… Rentrer en France quelques jours. Voir maman. Et notre enfant.

Michel ne répondit pas tout de suite. Il sembla peser ses mots, puis haussa doucement les épaules.
- Si ça peut te faire du bien, bien sûr. Tu sais que je veux que tu sois bien.

Elle hocha la tête. Son cœur se serra. Il était si simple, si honnête. Il ne posait pas de questions. Il lui faisait confiance. Et elle, elle portait en elle une trahison qui lui collait à la peau comme un poison lent.

Ils dînèrent ensemble, dans un calme étrange. Le repas n’avait pas de goût. Clémence mastiquait lentement, l’air absent. Michel, de temps à autre, levait les yeux vers elle, l’observant. Il ne disait rien, ne forçait pas.

Quand ils finirent, elle débarrassa machinalement la table. Il lui proposa un verre de vin, elle refusa. Il alluma la télévision, elle s’éloigna. Plus tard, dans leur lit, Michel s’approcha. Son geste était tendre, simple, presque timide. Il posa une main sur sa hanche, se rapprocha pour l’embrasser dans le cou. Son souffle était chaud, affectueux, familier. Elle ferma les yeux. Et un flash lui traversa l’esprit : la voix rauque de Zakaria, la rudesse de ses mains, sa queue dure et imposante. « Écarte bien tes jambes. »

Clémence tressaillit. Elle repoussa doucement la main de Michel.
- Je suis désolée… Je suis épuisée. J’ai besoin de dormir.

Il se redressa légèrement, sans se vexer.
- Bien sûr. Repose-toi.

Il se tourna sur le côté mais elle sentit sa déception, même s’il ne disait rien. C’était un silence plus éloquent que n’importe quelle accusation. Elle resta allongée, yeux ouverts dans le noir.

Zakaria.
Il allait l’attendre demain, à 14h00. Elle revoyait son regard arrogant, ses mots crus, son puissant sexe encore rigide malgré l’orgasme, son ordre de revenir. Il ne lui avait pas demandé. Il avait exigé. Et une part d’elle frémissait à cette pensée.

Non. Elle ne pouvait pas y retourner. Elle ne le devait pas. Elle avait déjà fait une erreur. Elle n’était pas ce genre de femme. Elle aimait son mari. Elle avait une famille. Mais ce feu en elle. Ce manque. Ce vide que Michel ne remplissait pas. Ce qu’elle avait ressenti dans cette maison, dans cette brutalité, c’était plus fort qu’elle.

Elle se retourna plusieurs fois dans le lit, tira les draps, chercha une position. Rien n’y faisait. Son cœur cognait contre ses côtes. Son ventre vibrait d’un désir honteux.
Je ne peux pas y retourner…Mais j’en ai tellement envie.

Les heures passaient. L’horloge numérique affichait 3h00. Elle n’avait pas fermé l’œil. Son esprit tournait en boucle dans cette tempête.

Finalement, l’épuisement eut raison d’elle. Ses paupières se fermèrent d’elles-mêmes. Elle sombra dans un sommeil lourd, agité, dans lequel les visages de Michel et Zakaria se superposaient, se confondaient, s’opposaient. L’un doux et attentionné. L’autre dominateur, sauvage. L’un la respectait. L’autre la faisait jouir.

***

Le jour s’était levé depuis un moment. Clémence ouvrit lentement les yeux, le corps encore engourdi, l’esprit saturé.

Elle avait dormi mais ce sommeil n’avait rien eu de réparateur. Elle avait rêvé de ses mains, de sa voix, de sa brutalité. Zakaria. Toujours Zakaria. Elle se leva lentement. Michel s’était levé de bonne heure et était déjà parti travailler.

Dans la cuisine, elle se fit un café. Elle s’installa sur la chaise près de la fenêtre entrouverte, la tasse fumait doucement, mais elle ne buvait pas. Ses pensées formaient un nuage plus dense encore que la vapeur du café.

Les minutes passaient. Puis des dizaines. Le temps passait. Le café avait refroidi depuis longtemps. Mais Clémence n’avait pas bougé. Elle tenait la tasse entre ses mains, incapable de trancher entre la fuite ou la rechute.

« Ne pas y aller …Tu n’es pas ce genre de femme…Mais tu veux qu’il te baise encore. «
Elle baissa les yeux. Sur sa peau, il n’y avait plus aucune trace. Mais elle savait. Elle sentait encore son odeur, son empreinte, sa domination. Il l’avait prise et elle en redemandait.
Elle en avait honte, mais elle le voulait. Et puis… Sans qu’elle sache vraiment comment, les gestes s’enchaînèrent.

Elle se leva. Machinalement. Elle choisit ses sous-vêtements les plus sexy, enfila une robe qu’elle n’avait encore jamais porté. Une robe fluide, légère, qui dansait autour de ses jambes. Elle attacha ses cheveux, ajouta un peu de rouge à lèvres. Elle se regarda dans le miroir sans vraiment se reconnaître. C’était elle, mais une autre version.

Ses mains tremblaient un peu en attrapant son sac. Il n’était pas encore midi, mais elle se mit en marche. Ses pas étaient hésitants d’abord. Puis plus affirmés. Et au fil de la marche, ce n’était plus elle qui décidait. Son corps savait déjà où il allait.

Le trajet semblait plus court que la veille. Comme si elle glissait. Elle s’installa dans un café où elle n’avait pas ses habitudes par peur qu’on la reconnaisse. Elle commanda et attendit. Elle ne toucha pas à sa consommation, elle attendait juste quatorze heures. Quand l’heure se rapprocha, elle laissa un billet et s’en alla.

Elle arriva devant la petite maison, celle-là même d’où elle avait fui, la veille, la chatte dégoulinante de sperme et l’esprit bouleversé. Son cœur cognait fort, très fort.
Elle leva la main. Elle hésita une dernière fois. Une seconde. Puis frappa.

***

La porte s’ouvrit presque aussitôt.

Zakaria était là. Appuyé contre l’encadrement. Torse nu. Un pantalon de sport pendait bas sur ses hanches. Il la regarda de haut en bas, un sourire aux lèvres.
- Tu vois ? Je savais que tu viendrais.

Clémence sentit ses joues rougir, mais elle ne répondit rien. Elle n’avait pas besoin de parler. Il avait raison. Elle était là.

Il recula lentement en lui ouvrant la porte, la dominant du regard, sûr de lui. Il n’avait pas changé. Toujours ce mélange de nonchalance virile, d’arrogance et de menace sensuelle. Chaque geste semblait dire : « Tu es à moi ».
- Entre. La leçon d’aujourd’hui va être encore plus intéressante.

Elle entra. Zakaria referma la porte lentement, derrière elle, avec un clac qui résonna comme un sceau et le bruit sec du verrou retentit dans tout son corps. Clémence n’osait pas bouger. Elle se tenait là, droite mais nerveuse, les doigts crispés sur la sangle de son sac, les yeux fuyant les siens.

Il la regardait comme un prédateur contemple sa proie. Il aimait sentir son trouble, son hésitation. Il respirait sa culpabilité. Elle suintait d’elle, comme un parfum.
- Pose ton sac, dit-il enfin, d’une voix calme, presque douce. Et déshabille-toi.

Elle ferma les yeux une fraction de seconde, puis s’exécuta. Lentement. Elle posa le sac sur la petite table de l’entrée, puis enleva sa robe. Chaque geste paraissait irréel. Son cœur cognait dans sa poitrine comme un tambour de guerre. Elle ne portait plus que sa lingerie, qu’elle avait choisie pour lui.
- Tourne-toi, lui dit-il.

Elle obéit. Elle sentit son regard glisser dans son dos, s’arrêter sur ses fesses, ses jambes, ses épaules. Il s’approcha. Lentement. Il effleura son dos du bout des doigts, et elle frissonna.
- Bien. Tu es venue toute seule. Comme une grande fille.

Il se plaça derrière elle, ses mains se posèrent sur ses hanches, puis remontèrent lentement, savourant chaque parcelle de peau, pour enfin lui retirer son soutien-gorge, dévoilant ainsi sa magnifique poitrine.
- Aujourd’hui, tu vas apprendre à obéir. À vraiment obéir. Hier tu as gémi, tu as joui, tu as avalé comme une bonne chienne bien dressée. Mais ce n’était que le début. Tu crois que je vais me contenter de ça ? Tu crois que je vais me satisfaire d’une fille qui vient et qui repart ?

Elle ne répondit rien. Son souffle était court.
Il l’installa sur le canapé, assise au bord, jambes fermées.
- Écarte tes cuisses salope.

Elle hésita.
- Tu n’es pas en train de prendre le thé. Tu es ici pour apprendre à être à moi. Montre-moi ce que tu caches.

Rouge de honte, elle écarta les cuisses. Sa culotte révélait déjà l’humidité de son excitation.
- Voilà. Regarde-moi.

Elle leva les yeux. Il déboutonna lentement son pantalon. Sa queue jaillit, déjà tendue, déjà prête.
- Tu mouilles déjà, putain. Tu sais ce que ça veut dire ? Que t’en redemandes. Que tu viens ici en chaleur. Et je vais t’apprendre à demander, à supplier, à jouir quand moi je décide.

Il fit glisser son pantalon.
- Allonge-toi.

Elle obéit, s’étendant sur le canapé, les jambes toujours écartées, offerte, vulnérable.
Zakaria s’agenouilla entre ses cuisses. Il enleva sa culotte d’un geste sec. Elle poussa un cri de surprise, aussitôt étouffé par un gémissement quand il souffla lentement sur son sexe ruisselant.
- Tu veux que je te baise, hein ?

Elle ferma les yeux.
- Réponds.
- Oui… gémit-elle. Je veux…
- Tu veux quoi ? Parle plus fort.
- Je veux que tu me baises.

Il ricana, satisfait.
- Trop facile. Avant ça, on va faire les choses à ma manière.

Il se redressa, saisit une ceinture, et la fit glisser lentement entre ses doigts.
- Mets tes mains au-dessus de ta tête.

Clémence obéit. Il les attacha solidement, puis les leva au dossier du canapé. Elle était maintenant allongée, ligotée, nue, offerte.
- À partir de maintenant, tu n’as plus aucun contrôle. Tu es à moi. Si je veux te faire jouir dix fois, je le ferai. Si je veux te frustrer, t’arrêter au bord, encore et encore, je le ferai aussi. Et toi, tu supplieras. Parce que c’est ça, la leçon d’aujourd’hui.

Il se pencha sur elle, et sa bouche descendit lentement, lentement, sur sa peau, entre ses seins, sur son ventre, jusqu’à sa chatte, qu’il effleura à peine du bout de la langue. Elle gémit, tenta de se cambrer, mais la ceinture l’en empêchait.
- Non, salope. Pas si vite. Tu apprends aujourd’hui que ce n’est pas toi qui décides.

Clémence était en feu. Son corps entier hurlait. Elle était au bord de la folie.
- Zakaria… S’il te plaît…J’ai tellement envie !

Il sourit.
- Voilà. Tu commences à comprendre.

Zakaria releva la tête, son menton humide de sa salive mêlée à son jus. Il la regardait, haletante, les bras toujours attachés, les cuisses tremblantes, les joues en feu. Clémence n’était plus qu’un corps vibrant, une conscience réduite à un seul besoin : jouir.
Mais lui, il n’en avait pas fini. Il se releva lentement, sans la lâcher du regard.
- Tu vas supplier mieux que ça. Parce que ce que tu veux, tu ne vas l’avoir que si je décide que tu le mérites.

Il se plaça au bord, sa main enveloppant son pénis dur, le frottant lentement. Il se caressait juste devant elle, sans la toucher. Elle le regardait, la bouche entrouverte, le souffle court. C’était insoutenable. Chaque battement de cœur cognait dans son ventre, entre ses jambes.
- Dis-le. Dis-moi ce que tu veux. Mot pour mot.
- Je… Je veux que tu me baises, Zakaria.
- Non. Trop simple. Tu veux que je te baise comment ? Parle. Dis tout.

Elle se mordit la lèvre. Mais il ne la lâchait pas du regard.
- Je veux que tu me baises comme hier. Comme une chienne ! Que tu me fasses jouir. Que tu me remplisses. Fort. Encore.

Il était satisfait.
- Là, on y est.

Il s’agenouilla à nouveau, cette fois sans retenue. Il s’enfonça en elle d’un coup, lui arrachant un grand gémissement, ensuite il attrapa ses hanches et commença à la pilonner, d’abord lentement, puis avec une cadence de plus en plus sauvage. À chaque coup, ses cuisses claquaient contre ses fesses, son bassin heurtait le sien avec un bruit mouillé et obscène.

Clémence avait la tête rejetée en arrière, les yeux mi-clos, la bouche ouverte dans un gémissement continu. Chaque coup la faisait vibrer jusque dans les os. La ceinture qui lui liait les poignets l’empêchait de se débattre, mais elle n’en avait aucune envie.
Zakaria se pencha vers elle, agrippa sa gorge doucement mais fermement.
- Dis-moi à qui tu appartiens !
- Toi… À toi, haleta-t-elle.
- Plus fort.
- JE SUIS À TOI, hurla-t-elle presque, submergée par une nouvelle vague de plaisir.

Et là, il accéléra encore. Chaque coup était plus profond, plus dur. Elle sentit l’orgasme monter, violent, fulgurant. Elle cria, un cri de jouissance pure, incontrôlée, bestiale. Son corps tout entier se tendit, trembla, se contracta autour de lui.
Mais lui ne ralentissait pas.
- Tu n’as pas le droit de jouir sans moi, cria-t-il en la baisant comme un déchaîné.
- Je… Je suis désolée… je n’ai pas pu me retenir… !

Il se redressa. Se retira brusquement.

Clémence haletait, ses jambes grandes ouvertes, ses poignets toujours liés. Zakaria se leva et prit une chaise, la plaça devant elle, et s’assit. Son pénis en main, il se branlait à nouveau, lentement, sans la quitter des yeux.
- Tu vas ramper jusqu’à moi. Et tu vas me remercier de t’avoir donné une première leçon. Ensuite, tu vas me supplier de m’offrir la suite. Et peut-être que je me viderai dans ta bouche. Si tu le mérites.

Clémence, en transe, hocha la tête lentement. Elle savait qu’elle venait de descendre un cran de plus. Et elle ne voulait plus remonter.
- Tu attends quoi, putain ? Rampe.

Clémence inspira profondément. Il n’y avait plus de logique, plus de morale, plus de dignité, plus de mari, plus d’enfant. Juste cet homme. Elle roula sur le côté, tomba presque du canapé, ses genoux heurtant le sol. Elle se redressa avec peine, les bras toujours liés au-dessus d’elle, se mettant à genoux.
- Tu ne ramperas pas comme ça, dit-il en se levant.

Il s’approcha, détacha lentement la ceinture qui l’entravait, et laissa tomber ses bras le long de son corps. Le sang circula à nouveau, lui provoquant un fourmillement douloureux. Mais elle ne dit rien.
- Maintenant, fais-moi voir ce que tu vaux. Et fais-le bien, parce que si je ne suis pas content, je te prends par le cul tout de suite. Tu m’as comprise ?
- Oui… répondit-elle d’une voix faible.

Et elle avança. À quatre pattes. Elle rampait pour lui. Comme une soumise. Comme sa chose.
Arrivée devant lui, elle leva les yeux. Son sexe pulsait dans sa main, gros, tendu, prêt. Elle ouvrit la bouche. Il ne l’attendit même pas, la saisissant, guidant brutalement son sexe entre ses lèvres.
- T’as intérêt à bien faire les choses cette fois. Langue bien tendue. Je veux que tu m’adores avec ta bouche, salope.

Clémence s’appliqua. Elle le suçait lentement, profondément, remontant sa main sur sa tige, l’autre caressant ses couilles, ses lèvres humides glissant en va-et-vient sur sa queue énorme. Zakaria gémissait légèrement, le souffle rauque.
- Ouais… Comme ça… Aspire plus fort… Crache un peu, Fais du bruit… Montre-moi que t’aimes ça.

Elle obéissait à tout. Elle avait honte, oui, mais une autre honte, plus perverse : celle d’y prendre goût. De se sentir enivrée de le satisfaire. Son propre sexe recommençait à couler. Ses cuisses se frottaient entre elles inconsciemment.

Il accéléra les mouvements de bassin. Elle sentit qu’il approchait.
- Regarde-moi pendant que tu me fais jouir.

Elle leva les yeux, les larmes coulant sur ses joues, mais ses yeux plantés dans les siens. Et là, il se raidit, poussa un long grognement de satisfaction, et se déversa brutalement dans sa bouche.
- Ouvre plus grand, prends tout. T’avales chaque goutte. C’est ta récompense.

Le sperme jaillit en giclées puissantes et chaudes. Elle déglutit à chaque secousse, incapable de refuser.

Quand il se retira lentement de sa bouche, un long filet gluant liait encore ses lèvres à sa queue. Il la regarda de haut, puis essuya doucement sa joue avec son pouce.
- Voilà. Maintenant, tu apprends. C’est une vraie leçon. Et tu sais quoi ?

Il se pencha à son oreille et chuchota :
- Je vais encore te baiser plusieurs fois aujourd’hui. Pour le moment, je dois passer un coup de fil dans la chambre, je reviens.

Clémence resta là, à genoux, nue, dégoulinante de salive et de sperme, le souffle court, les bras le long du corps, incapable de dire un mot.

***

Zakaria s’enferma dans sa chambre et referma la porte derrière lui.
Saisissant son téléphone, il chercha dans ses contacts et appela. Quelques secondes, ensuite une voix autoritaire à l’autre bout du fil :
- Alors ?
- Tout s’est passé comme prévu, Monsieur, répondit Zakaria, et même mieux que prévu. Je l’ai dressée et je vais continuer à le faire.
- Parfait ! Répondit la voix. Fais les préparatifs nécessaires pour que je puisse l’avoir bientôt. Je vais donner une bonne leçon à cette petite garce et à son cocu de mari.
Zakaria hocha la tête.
- Entendu, vous pouvez compter sur moi, Monsieur. Bientôt, je vous l’amènerais. Elle sera à vous.

Après sa conversation avec son mystérieux interlocuteur, Zakaria revint dans l’autre pièce. Clémence s’était entre temps rhabillée et s’apprêtait à s’en aller. Le jeune Marocain ne cacha pas sa colère :
- Qui t’a autorisé à te rhabiller ? Tu vas où comme ça ? Tu n’as toujours pas compris que tu dois attendre mes ordres. Tu mériterais que je te mette à la porte et qu’on ne se revoie plus ! C’est ça que tu veux, petite garce ?

Clémence baissa les yeux, espérant que la tempête se calme.
- Réponds ! Que veux-tu ? À toi de choisir. J’exige ton obéissance absolue !

Clémence abdiqua alors toute volonté. Rouge de honte, elle répondit à voix basse.
- Je ferai tout ce que tu veux, Zakaria, sans discuter. Je suis à toi, tu le sais.
- A la bonne heure ! Je te connais bien, eahirat faransiat saghira ! (« Petite putain française »)

Clémence avait commencé à apprendre l’Arabe. Elle avait donc compris ce qu’avait dit, avec mépris, Zakaria, qui continua à insulter la jeune femme :
- Tu es une kahba.

Il mélangeait l’Arabe, l’Anglais et le Français :
- You are a slut, a fucking bitch, une salope. C’est bien ce que tu es, non ?
- Oui, répondit faiblement Clémence.

La jeune femme abdiquait toute dignité. Qu’il l’insulte, pourvu qu’il la baise !
- Tu auras ta récompense, chienne. Tu as encore envie, n’est-ce pas ? Allez, dis-moi ce tu veux !
- Tu le sais bien ! Que tu me baises, encore et encore !
Zakaria triomphait, affichant un sourire conquérant, carnassier. Clémence voulut enlever sa robe, quand son amant l’interrompit.
- Doucement. Je sais que tu es pressée de te faire mettre. Tu dois mériter cette saillie. Déshabille-toi de façon sensuelle. Excite-moi !

Zakaria prit en main une télécommande et lança une musique. Clémence, fan de Shakira, reonnut la chanson : « Addicted to you ».

Zakaria sortit son mobile pour filmer le strip-tease. Clémence ne protesta pas, alors que, par ce geste, il pouvait désormais exercer un chantage sur l’épouse adultère du diplomate français.

Clémence tenta d’imiter le déhanché de la star. Elle virevolta et dansa de manière outrageusement sexy. Sa courte robe noire et ajourée remontait sur ses jambes au ras de ses fesses et laissait deviner en dessous sa lingerie de dentelle noire.

Elle se caressait les hanches et les seins, un peu gauche et comme fascinée par ce qu’elle osait faire. Elle passa les bras dans le dos pour baisser le zip de sa robe et, toujours de face, elle se dandina pour la faire glisser à ses pieds. Elle exhibait désormais les dessous sexy qu’elle avait choisis de porter pour son amant.

Elle se dégagea malhabilement de la robe tombée, en levant l’un après l’autre les pieds qu’elle secoua pour dégager le vêtement. De nouveau, elle dansa et se trémoussa, ses mains courant sur elle et tirant sur la dentelle pour faire ressortir par transparence ses parties intimes. Elle se mit en mouvement, tout en larges ondulations sensuelles de tout son corps, ses mains se promenant sur elle. Clémence n’ondulait plus que du seul bassin, ses cuisses s’ouvrant et se fermant, les mains tirant alternativement la culotte de gauche puis de droite, avec pour effet de découvrir à moitié son pubis d’un côté, puis l’autre.

Les bras croisés à hauteur des épaules, elle ôta enfin son soutien-gorge et le lança vers Zakaria.
- Tu es douée. Tu m’excites à mort. Je vais te démonter !

La poitrine arrogante de Clémence traduisait son excitation. Ses tétons en érection lui faisaient presque mal, tellement ils étaient durs. Clémence, provocatrice, passa la langue sur ses lèvres et fixa son amant avec insistance, pour qu’il mette fin à son supplice. Elle se massa les seins, mimant l’acte d’amour sur un partenaire imaginaire, son bassin langoureusement glissé d’avant en arrière.

Les ondulations du bassin reprirent, la culotte, tirée de droite puis de gauche descendit de trois centimètres à chaque alternance et fut bientôt descendue au bas des fesses. Elle se retourna et continua en dévoilant la toison brune de son pubis.

Clémence, fan de Shakira, reprit alors le dernier couplet de la chanson :
« I'm addicted to you (Je suis accro à toi)
Porque es un vicio tu piel (Parce que ta peau est un vice)
Baby I'm addicted to you (Bébé, je suis accro a toi)
Quiero que tu me dejes querer (Je veux que tu me laisses aimer) »

Clémence se mit à genoux devant Zakaria. Elle prit le sexe monstrueux de son amant en bouche, pour commencer à le sucer.

Après deux minutes de ce traitement, le sexe était tendu à son maximum. Zakaria fit se redresser Clémence. Elle se laissa passivement conduire par son partenaire, dont les mains exigeantes, impérieuses, posées sur son bassin, la disposaient cambrée, croupe en arrière, bien campée sur ses jambes écartées. Placé derrière elle, il fléchit un peu les jambes pour se mettre à hauteur et la pénétra brutalement, d’un seul coup de rein. Les yeux mi-clos, bouche ouverte, elle se laissa faire docilement, saisissant même derrière elle les hanches de son partenaire pour accompagner ses va-et-vient en elle.
- Oh Zakaria ! Oui, que c’est bon ! N’arrête pas. Vas-y ! Plus fort.
- Je suis ton mâle. Je vais te féconder !

Zakaria se pressa alors contre son dos, appuya sur ses épaules pour la faire se pencher légèrement et la saisit par l’extérieur sous les cuisses. D’un coup, il la souleva… Elle était maintenant dans ses bras puissants, les mains de Zakaria tenant par dessous ses cuisses grandes ouvertes, comme s’il voulait exhiber sa chatte luisante et béante, écartelée par cette grosse verge sur laquelle elle coulissait pendant qu’il la levait et la descendait, seins ballotant à l’unisson…

Clémence était en transe, entièrement soumise au mâle qui la dominait impérieusement et lui donnait tant de plaisir. Tête tendrement tournée vers lui, elle passa un bras derrière sa tête pour l’attirer à elle et trouver sa bouche pour y accrocher sa langue.

L’orgasme des amants fut simultané et particulièrement violent.
- Oh oui, mon chéri ! Remplis-moi ! je veux ta semence !
- Tu vas l’avoir !

Comme la veille, Zakaria se vida en elle. Mais cette fois, Clémence ne protesta pas, ne fut pas surprise. C’est ce qu’elle voulait, sans penser un instant aux conséquences et aux risques qu’elle prenait.

Son affaire étant terminée, le mâle dominateur intima à Clémence l’ordre de se rhabiller et de s’en aller, non sans lui avoir fixé un nouveau rendez-vous pour le lendemain, à la même heure et au même endroit.
- Dans l’ensemble, tu as été très bien. Tu as fait beaucoup de progrès, mais j’ai encore des choses à te faire découvrir. Le pucelage de ton cul m’intéresse beaucoup. Ce sera pour demain !

Il lui mit une tape sur les fesses. La jeune femme frémit à l’idée de se faire sodomiser par un tel engin.

Cette seconde rencontre était un tournant. Clémence était allée encore plus loin, trop loin sans doute. Jusqu’où Zakaria allait-il l’entrainer ?

(À suivre)

Les avis des lecteurs

Merci Alain, nous sommes heureuses que cela te plaise

Extraordinaire ! Je n'en reviens pas !
Alain

@ Sarah, sans surprise, nous sommes sur la même ligne.

Histoire Libertine
@Philippe, Olga a tout à fait raison sur le sujet. Ce genre d'histoires existent beaucoup plus que vous ne le croyez et il est de notre rôle de mettre ce genre de sujets en lumière... et pour cause. Olga et moi avons eu notre part de machos et l'addiction sexuelle peut embrumer l'esprit. Je tiens cependant à souligner (et là je parle de ma propre perspective) que ça peut aussi être très excitant d'être traitée ainsi pendant le sexe (et tant que ça ne sort pas du cadre sexuel), ce qui n'est évidemment pas le cas ici dans l'histoire de Clémence.
@Olga, je partage totalement ton avis.
@Didier, merci beaucoup Didier, c'est vrai que les situations sont en effet inspirés de nos vécus. Olga et moi avons eu nos bourreaux.

Sarah T.

Histoire Erotique
@Philippe,
Si je peux me permettre de donner un avis, qui ne fera confirmer le commentaire d’Olga, je suis convaincu que par des récits tels que celui-ci, Olga et Sarah ne cherchent seulement qu’à mettre en exergue ce que vous dénoncez fort à propos dans votre commentaire, les violences faites aux femmes.
Des violences que, sachez-le, j’abhorre moi-même à un plus haut point, et qui se doivent d’être mises en lumière, et ce sous toutes leurs formes.
Je suis également persuadé, suivant les écrits d’Olga depuis pas mal de temps déjà et ceux de Sarah plus récemment, que ces textes de fictions ne sont que le reflet de ce qu’elles ont-elles-même vécue en tant qu’hypersexuelles.
Et enfin pour terminer, vous avez parfaitement raison, ces textes fortement érotisés sont magnifiquement bien écrits.
@Sarah, Olga,
Vous avez tout mon soutien, et ne peux que vous encourager à continuer.
Didier

@ Philippe, nous sommes, Sarah et moi (car c'est une co-écriture) entièrement d'accord avec toi sur le fond, en ce qui concerne le respect dû aux femmes et le rejet d'un tel traitement. Malheureusement, de telles situations existent. Ce récit de fiction s'inspire en partie de ce que nous avons vécu, l'une et l'autre. Parce que nous en sommes sorties, nous racontons de telles situations pour mieux les dénoncer. A la fin de l'histoire, Clémence va en sortir et ceux qui ont profité d'elle en seront pour leurs frais.
Oui, tu as raison, certains lecteurs ne vont retenir que la crudité des scènes racontées, sans s'indigner sur le fond, les paroles blessantes et les actes. Ces gens n'ont malheureusement pas besoin d'un tel récit pour trouver ce genre de situation excitante.
Pour finir et nous pouvons en témoigner, il y a des situations où des femmes, victimes de leur addiction, se laissent entrainer vers de telles pratiques. ce qui est alors important est qu'elles s'en libèrent, témoignent et que les bourreaux paient.
Je laisse le soin à Sarah, quand elle se connectera, de réagir.

Histoire Erotique
Je suis un homme très ouvert d'esprit, mais ne supporte pas ces situations de domination masculine aussi violente verbalement (pute, chienne, salope...) que physiquement.
Je comprends difficilement que certaines femmes acceptent ces situations perverses, les journaux sont remplis de faits divers sordides infligés aux femmes...trop tard.
Je respecte la liberté de création littéraire (la tienne est parfaitement écrite, Olga), mais je pense aux multiples pervers impuissants qui se paluchent maladroitement devant des textes profondément machistes.

Un détail : même les chiens ne sont pas dressés, mais éduqués avec amour !

La plupart de ta création littéraire est superbement érotique, continue !!!

Philippe

Avec Sarah, nous sommes en train de finaliser le chapitre 3 de cette série. En attendant, mais aussi pour répondre à la demande de plusieurs de mes fidèles lecteurs et lectrices, sera publié un nouveau texte dans la série "histoire des libertines"
Ce texte sera en ligne demain samedi 7 juin

@ Lucas, Sarah a apporté la bonne réponse à tes interrogations.
@ Barbara, ça correspond à ce que fait Zakaria. Quant à Clémence, sans l'excuser, oui, il y a des explications.
@ linsee et Valeriane, merci!
@ Micky c'est en effet un bon résumé de l'état d'esprit de Clémence, à ce moment là
@ Sarah, merci ma chère d'avoir pris le temps de répondre, avec pertinence, à chaque commentaire

Histoire Libertine
@André, exacte.
@Lectrice Anonyme, Zakaria est loin d'être un homme classe.
@Luc @Melissa, merci beaucoup !
@Didier, toujours aussi perspicace. L'homme mystère cache une histoire en effet.
@Ardianna, vous aurez très bientôt la réponse.
@Barbara, ce n'est pas simple, surtout à cet âge là.
@Claude @Steph, oui, ça nous a fait de l'effet aussi.
@Norbert, vous allez avoir la réponse très bientôt.
@Clara, est-ce qu'il ne se rend réellement compte de rien ? La suite vous apportera des réponses par rapport à cette question.
@Dyonisia, haha bien dit. Mon avis c'est que c'est par "perversité".
@Jacques du Canada, vous êtes trop dur avec Clémence. Tout le monde fait des erreurs et les erreurs durent parfois des années mais rarement pour toujours.
@Olga, merci ma belle, je serai encore absente un moment à cause de mes déplacements mais je ferai en sorte de me connecter le plus souvent possible.
@Julie, la fille de sa mère !
@Lucas, il est parfois très difficile de différencier l'amour et la dépendance sexuelle, surtout à cet âge là.
@linsee, @valériane, merci beaucoup !
@Micky, ça résume tout en effet. Mais le personnage commence son histoire et évoluera.

Sarah T.

"Il n’y avait plus de logique, plus de morale, plus de dignité, plus de mari, plus d’enfant. Juste cet homme." Tout Clémence est résumé dans cette phrase. Elle est accro au sexe contre toute morale conjugale. Ce qui est le lot de bien des femmes, d'aujourd'hui comme d'hier.

Histoire Erotique
Promesses tenues bravo

valériane

Histoire Erotique
belle suite

linsee

Histoire Libertine
Je maintiens que le terme de "dressage" me choque. On dresse un animal, pas un être humain! Et quelles que soient les explications, les justifications, les scrupules de Clémence, elle s'enfonce dans le mensonge et ça, c'est insupportable!
Barbara

Histoire Erotique
@ Olga, merci pour ta réponse.
Ce qui me fait penser que l'attirance de Clémence pour Zakaria n'est pas que sexuelle, c'est ce passage: "Tête tendrement tournée vers lui, elle passa un bras derrière sa tête pour l’attirer à elle et trouver sa bouche pour y accrocher sa langue."
La suite nous dira ce qu'il en est.
Lucas

@ Julie, elle a de qui tenir, même s'il n'y a pas d'hérédité dans ce domaine.
@ lecteur anonyme, il y a des similitudes mais aussi des différences que j'ai déjà expliquées
@ Lucas, c'est une attirance sexuelle, pas un sentiment amoureux

Histoire Erotique
Clémence n’est-elle pas en train de tomber amoureuse de Zakaria ?
Lucas

@ Jacques du Canada, oui Clémence s'enfonce dans le mensonge. Elle poursuit sa descente aux enfers. Mais attendons la fin de la série. Clémence a aussi cette chance, dont j'ai bénéficié, dont je sais que Sarah a bénéficié aussi: être aimée. elle n'est pas seule. Il y, a Michel, son mari, Aude sa mère. Mais le chemin sera forcément long et difficile.

Histoire Erotique
Clémence se comporte vis-à vis de Zakaria comme tu le fis avec Rachid!

Histoire Libertine
Clémence apprend très vite! Elle est douée!
Julie

j'en profite pour excuser ma chère Sarah, qui ne peut se connecter pour le moment et répondra aux commentaires dès qu'elle le pourra.

@ André, @ Luc, oui, en effet!
@ lectrice anonyme, c'est le moins qu'on qu'on puisse dire au sujet de Zakaria.
@ Mélissa, nous connaissons maintenant l'effet que ces récits vous font.
@ Didier, comme toujours une analyse fine et perspicace du texte, des réactions, des sentiments contradictoires de Clémence, chez qui la tentation est finalement la plus forte. Et, en effet, cette interrogation sur ce mystérieux personnage, qui permet de penser que Zakaria n'est qu'un instrument.
@ Ardianna, la suite le dira. merci pour votre commentaire et votre fidélité. N'hésitez pas à me contacter par mail, si vous le souhaitez
@ Barbara, merci pour vos deux commentaires. ne rien dire, mentir n'est évidemment pas la solution. mais avouer est bien difficile. Quant au terme de dressage, il correspond à la mentalité de Zakaria.
@ lecteur anonyme, il ne s'agit pas d'accabler Clémence. Il y a,non des excuses, mais des explications
@ Claude @ Steph, merci. Oui cette chanson (et la chorégraphie de Shakira) colle très bien à cette scène
@ Clara, Dyonisia a donné la réponse. Michel ne voit rien, ne veut rien voir, car il aime aveuglément Clémence et lui fait confiance
@ Norbert, oui c'est le vrai responsable. Zakaria n'est qu'un homme de mains. La suite dévoilera qui il est et ce qu'il veut.
@ Dyonisia, nous somes les auteures mais ne faisons que traduire le comportement de ce fauve, de ce prédateur de Zakaria. ce qui nous intéresse est le parcours de Clémence, sa psychologie et comment elle va se sortir de là.

Comme nous tous, dans la vie, nous avons eu à faire des choix. Certains choix ont été bénéfiques d’autres désastreux. Chacun de nos choix ont eu des répercussions et nous ont conduit directement vers notre avenir.
Même si elle est jeune le caractère de tricheuse et de menteuses est ici bien défini pour Clémence. Elle aura à vivre le reste de sa vie avec les conséquences de ses propres choix.
Les auteures ont beaucoup d’expérience pour nous faire bien visualiser le futur proche de Clemence

Comme vous le savez je ne suis adepte de ce genre d’histoire. Je vais donc laisser les amateurs s’en gaver.

Eh bien, voilà du cru et du brutal, ce qui n'empêche pas que les sentiments tourmentés et contradictoires de l'héroïne soient parfaitement rendus. Comme quoi on peut écrire de l'obscène tout en maîtrisant la psychologie.
Voilà aussi de quoi faire rougir et réagir les chastes lecteurs et lectrices qui viennent s'encanailler ici. Mais au fait, pourquoi lire ce qui déplait ? Serait-ce par masochisme, ou par perversité ?

@Clara, je pense que l'amour de Michel pour Clémence est la réponse à vos questions.

Histoire Libertine
Le ferme de « dressage » me choque
Barbara

Histoire Libertine
Je suis d’accord avec Claude. J’ai beaucoup aimé la scène du strip tease
Excellent choix que cette chanson de Shakira!
Steph

Histoire Libertine
Comment se fait-il que Michel ne se rende compte de rien ?
Et qu’il réagisse pas?
Clara

Histoire Erotique
Ce Zakaria est vraiment un sale type
Mais le vrai responsable est ce mystérieux commanditaire. Qui est-il? Que veut-il?
Norbert

Histoire Erotique
La scène de strip-tease est excellente !
Claude

Histoire Erotique
Pauvre Michel!
Honte à Clemence pour sa conduite !

Histoire Libertine
Pas davantage qu’elle n’avait osé parler de ses pulsions à sa mère, Clemence n’ose pas s’expliquer avec son mari
Il faut reconnaître que ce n’est pas facile !
Barbara

Histoire Libertine
Le "monsieur"... serait-il le père ?

Bonjour et bravo pour vos œuvres. Une fidèle lectrice.

Ardianna

Histoire Erotique
Sarah, Olga,
Merci et félicitations pour cet excellent second chapitre, magnifiquement bien écrit, traduisant parfaitement ce que, de par son adultère avec Zakaria, Clémence vit, subit, aussi bien émotionnellement que physiquement.
Et cela débute avec cette superbe description des sensations, des émotions ressenties, lors de son retour, de sa soirée puis de sa nuit, par une Clémence totalement partagée entre culpabilité, honte mais aussi exaltation et jouissance. Des émotions, des sensations qui subsistent encore le lendemain chez une Clémence, toujours autant tiraillée entre raisons et jouissances, et qui finalement succombe une fois de plus à la tentation du sexe.
Puis cela continue avec la présentation de ce second et torride après-midi d’adultère où un Zakaria, plus que dominateur, asservit totalement une Clémence complétement submergée par son désir de jouissance, son envie, son besoin d’être baisée. Un besoin qui ensuite, lui faisant perdre ainsi toute dignité, pousse Clémence à se lâcher totalement dans un striptease afin d’être baisée une fois de plus par son amant qui pourtant n’a qu’insultes et mépris pour elle.
Je tiens à ajouter pour terminer que ce chapitre apporte également une nouvelle part de mystère avec cet échange téléphonique passé par Zakaria avec un "Monsieur" à qui il compte bien livrer une Clémence parfaitement dressée.
Qui est-il ce "Monsieur"? Est-ce lui qui a fourni le numéro de téléphone de Clémence à Zakaria ?
J’espère que la suite saura, pourra y apporter les réponses…
Didier

Histoire Libertine
Toujours aussi excitant!
Mélissa

Histoire Erotique
Waouh, c’est chaud !
Luc

Histoire Libertine
" Chienne, pute, salope", quelle classe...

Histoire Erotique
Clémence confirme sa descente aux enfers
André



Texte coquin : « Clémence » (2) : Dressage
Histoire sexe : Une rose rouge
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