« Clémence » (3) : alibis et trahisons.

- Par l'auteur HDS Olga T -
Récit érotique écrit par Olga T [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Récit libertin : « Clémence » (3) : alibis et trahisons. Histoire érotique Publiée sur HDS le 17-06-2025 dans la catégorie Dans la zone rouge
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« Clémence » (3) : alibis et trahisons.
Avertissement

Cette série, écrite avec Sarah, parait sur HDS depuis le 27 mai 2025.

Ces textes contiennent des scènes de domination masculine, des comportements odieux, des violences verbales et physiques. Certains lecteurs ne vont retenir que la crudité des scènes de sexe racontées, sans s'indigner sur le fond, ni des paroles blessantes, ni des humiliations, ni des actes violents.

Il est clair que nous ne cautionnons en aucun cas ces comportements insupportables. Malheureusement, de telles situations existent. Ce récit de fiction s'inspire en partie de ce que nous avons vécu, l'une et l'autre. Parce que nous nous en sommes sorties, nous racontons pour dénoncer. Il y a des situations où des femmes, victimes de leur addiction sexuelle, se laissent entrainer vers de telles pratiques. Nous pouvons, là aussi, en témoigner.



RESUME

Clémence, jeune femme qui vient de terminer un brillant cursus universitaire, a épousé Michel, un jeune diplomate. Clémence a suivi son mari à Rabat, au Maroc, où il a été affecté en tant membre de la mission culturelle de l’ambassade.

Clémence et Michel s’aiment, mais la jeune femme est frustrée sur le plan sexuel. Alors qu’elle ne voulait pas tromper son mari, elle vient de céder à l’entreprise de séduction d’un jeune Marocain, Zakaria, avec qui elle découvre le plaisir. Malgré sa honte, Clémence est retournée chez Zakaria, à qui elle se soumet toujours davantage. Elle ignore que son amant joue en fait le rôle de rabatteur pour un autre homme.

***

Avant de renvoyer Clémence chez elle, Zakaria avait interpellé la jeune femme :

- Au fait, j’oubliais. Comme tu es désormais ma femelle, je me vide dans ta chatte.
- Je suis à toi, Zakaria et j’aime quand tu me remplis. Mais tu ne m’as pas demandé auparavant si j’étais d’accord.
- Je n’ai pas à te demander. Je suis désormais ton mâle.
- Mais, il y a des risques !
- Dis donc, qu’est-ce que tu veux dire ? Je suis sain. T’inquiète, je ne te refilerai pas une cochonnerie. Quant à toi, je me doute que ton seul homme avant moi était ton gentil cocu.

L’évocation de Michel en ces termes injurieux faisait mal à Clémence. Pourtant, son amant disait la vérité : depuis deux jours, Clémence trompait sans vergogne son mari.

- Ce n’est pas ça. Nous avons un bébé de quelques mois, que nous avons laissé en France. Je crains de tomber à nouveau enceinte. Tu ne veux pas utiliser de préservatif ? J’avoue que je préfère quand tu me baises sans. Mais ne pourrai-je pas prendre la pilule ?

Clémence venait de prononcer ces mots et se dit immédiatement : « Je suis folle ! Pourquoi je lui demande ? Quels droits a-t-il sur moi ? Pourquoi je prends ce risque insensé de me faire engrosser par cet inconnu ? »

- Il n’en n’est pas question. Si ça se produit, l’idée d’engrosser une pute française me plaît. Tu ne serais pas la première d’ailleurs. Mais il faut que le cocu soit convaincu qu’il est le père !
- Je ne comprends pas.
- C’est simple. Tu vas régulièrement te faire remplir par lui. Et ce, dès ce soir. C’est sûr que ça ne devrait pas durer très longtemps et que ça te paraîtra bien fade, comparé à ce que tu connais avec moi. Tu vas faire ça chaque soir et chaque matin.
- Mais c’est monstrueux ce que tu me demandes !
- Je ne te le demande pas, je te l’ordonne ! Et ce soir, comme tu rentres plus tard que d’habitude, tu vas lui dire que tu as envie de lui, tout de suite !
- Mais il faut que je prenne une douche avant. Il va se rendre compte que…
- Je te parie qu’il ne dira rien mais que ça va l’exciter à mort ! Et ça me plaît d’imaginer que nos spermes vont se mélanger en toi. Qui sait, c’est peut-être un de ses spermatozoïdes qui te fécondera. Je veux faire de lui un cocu content. Un jour, je te baiserai devant lui. Demain matin, tu m’appelles pour me raconter comment ça s’est passé avec ton cocu !

***

Zakaria l’avait poussé dehors. Il faisait déjà nuit. Les adolescents qui traînaient en bas l’insultèrent :
- Alors aimra'at faransia (« la Française »), on t’a entendue gueuler toute l’après-midi. C’était bon ?

Clémence respira à pleins poumons l’air plus frais, après les chaleurs de la journée et les heures de sexe intenses qu’elle venait de vivre avec son insatiable amant. Sans la présence de Zakaria, Clémence semblait mesurer l‘ampleur de sa dérive. Elle devenait la putain de ce jeune Marocain. Et pourtant, elle savait que son emprise sur elle était totale. Demain, elle y retournerait, elle le savait.

Elle avait désormais Zakaria dans la peau. De toute façon, avec les photos et les vidéos qu’il avait prises d’elle ce jour-là, il la tenait. Il pouvait faire d’elle ce dont il avait envie. Et, même si ça lui faisait honte, c’est ce qu’elle voulait !

Elle pensait à Michel, son mari. Comment pouvait-elle se comporter ainsi, envers un homme qu’elle aimait et qui était si doux avec elle ? Clémence était déchirée, mais elle savait qu’elle ne pouvait plus revenir en arrière. Elle ne pouvait plus se passer du plaisir qu’elle avait découvert dans les bras de Zakaria.

Jamais elle n’était rentrée si tard. Comment son mari allait-il réagir ? En rallumant son mobile, elle vit plusieurs appels de Michel et des messages, qui traduisaient sa vive inquiétude.

Plutôt que d’avouer sa faute, Clémence s’enfonça davantage dans le mensonge. Il lui fallait un alibi.

Elle pensa immédiatement à Fatima, qu’elle avait rencontrée dans une réception à l’ambassade, quelques semaines plus tôt.

Autant le mari de Fatima, un puissant notable, avec lequel Michel était en contact sur certains des dossiers dont il était chargé, lui avait fortement déplu ce jour-là, par son comportement, autant Clémence s’était sentie attirée par la personnalité et le charme de Fatima, belle trentenaire, plantureuse, enjouée, cultivée, affichant un esprit très ouvert.

Tout de suite, Clémence, qui n’avait jamais eu d’amie intime, se sentit en confiance avec Fatima. À partir de cette soirée, les deux femmes se virent régulièrement. La belle Marocaine était devenue pour Clémence une véritable confidente, au point que la jeune femme lui avait parlé de sa frustration dans ses relations de couple, un sujet qu’elle n’avait jamais abordé avec quiconque, même pas avec sa mère, Aude. Fatima n’y était pas allée par quatre chemins. Lors de leur dernière rencontre, une semaine auparavant, elle avait conseillé à son amie de prendre un amant, ce qui avait indigné la jeune épouse, bien décidée alors à rester fidèle à Michel.

Depuis cette discussion, Fatima et Clémence ne s’étaient pas revues. L’épouse adultère se dit que Fatima pouvait lui servir de couverture. Elle s’arrêta, malgré l’heure tardive, à une terrasse de la place Mohammed V et composa le numéro de Fatima :
- Bonsoir Fatima, c’est Clémence. Je sais qu’il est tard. Je te dérange ?
- Tu ne me déranges jamais, habiba ! Tu me manquais. Je craignais que tu ne sois fâchée contre moi après notre dernière conversation.
- J’ai besoin de ton aide, Fatima. Je rentre à la maison. Il est tard. Je peux dire à Michel que nous étions ensemble ?
- Évidemment ma belle !
- Oh, merci, Fatima ! Tu me sauves !
- N’exagérons pas ! Je peux te poser une question : tu l’as fait ?

Il y eut un blanc. Clémence avait tellement honte.
- Oui, répondit-elle faiblement.
- Magnifique ! Tu as aimé ça ?
- Beaucoup !
- Tu me raconteras tout, ma belle, dans le moindre détail ! Ne t’inquiète pas, je te couvre, pour aujourd’hui et à chaque fois que tu t’enverras en l’air avec ton amant.
- Je ne sais pas comment te remercier !
- Je te l’ai dit. Je veux être ta confidente. Je t’aime beaucoup, tu sais ! Allez, rentre vite à la maison. Et fais l’amour avec Michel, c’est le meilleur moyen d’éteindre ses soupçons.

Clémence raccrocha, troublée par le fait que le conseil de son amie était identique aux instructions de Zakaria. Perturbée, elle ne pouvait imaginer que c’était tout, sauf un hasard. Pour Fatima, bisexuelle, la jeune Française était aussi une proie. La jeune femme pressa le pas pour regagner le domicile conjugal.

***

- Enfin, chérie ! Tu as vu l’heure ? J’étais mort d’inquiétude. Je m’apprêtais à appeler les hôpitaux et la police. Tu n’as répondu à aucun de mes appels et de mes messages ! Je t’ai toujours fait confiance, te laissant libre d’aller où tu en as envie. Mais, aujourd’hui, Clémence, tu as exagéré. Tu me dois des explications !

Clémence s’approcha de Michel et se serra contre lui.
- Pardon, chéri, tu as raison. Je n’ai pas vu l’heure et j’avais laissé mon téléphone en silencieux. J’étais avec mon amie Fatima, qui me fait découvrir Rabat et sa région. Nous avons visité Kenitra et nous sommes rentrés tard. J’aurais dû t’appeler !
- Ça aurait été la moindre des choses ! Fatima est ton amie, mais tu sais que je déteste son mari.
- Michel, j’ai besoin de compagnie. Tu travailles tellement, mon amour, que tu n’as guère de temps à me consacrer. Je ne te le reproche pas, car je veux pour toi une brillante carrière. Moi non plus, tu le sais, je n’aime pas le mari de Fatima. Je n’ai pas oublié son attitude lors de la réception à l’ambassade.
- Je me suis retenu de lui casser la gueule ce soir-là. Il ne cessait de mater ton décolleté et de te draguer ouvertement. Ce salopard a osé me dire qu’il t’aurait, te traiter de putain et moi de cocu !

Clémence ne put s’empêcher de penser que, ce soir-là, Michel n’avait pas su remettre à sa place le notable marocain, mais que celui-ci avait vu juste à son sujet. Elle avait honte de mentir aussi effrontément à son mari, alors qu’elle avait passé des heures à copuler avec un amant comme la dernière des catins. Elle se reprit.

- Cela dit, il ne faut pas confondre Fatima avec son mari. Elle est si différente, si douce, pleine de charme, très cultivée. Je n’ai jamais eu d’amie, tu le sais. C’est pour ça que Fatima est si importante. Surtout ici, tu comprends ?

Clémence regardait Michel avec de grands yeux, l’air d’implorer sa compréhension. Elle offrit ses lèvres à son mari et les époux échangèrent un long baiser, passionné. Clémence avait honte de son comportement. Elle aimait sincèrement Michel et voulait tout faire pour préserver son couple.

Clémence voulait tout : les sentiments avec Michel et le plaisir avec Zakaria.
- Tu m’en veux encore ?
- Tu sais bien que j’accepte tout de ta part. Tu me rends fou, dit-il, alors qu’il la serrait contre lui, les mains posées sur ses fesses.
- Michel, je t’aime. J’ai envie de toi !
- Maintenant ? Tu ne veux pas d’abord prendre une douche ? Tu as dû avoir très chaud, avec cette escapade à Kenitra.
- Non je ne peux plus attendre. J’ai envie que tu me baises, même avec les effluves de la journée. Maintenant !

Clémence fit tomber sa robe. Michel découvrit les dessous sexy qu’elle avait mis pour plaire à Zakaria. Aveuglé par son désir, il ne lui demanda pas pour quelle raison elle portait ce genre de tenue pour passer la journée avec son amie Fatima.

La jeune femme se mit à genoux et descendit le pantalon de Michel. Jamais son mari n’avait eu une telle érection, même si elle ne pouvait être comparée au sexe hors normes de Zakaria. Elle le prit en bouche et, tout en le fixant dans les yeux, elle lui fit bénéficier de ce qu’elle avait appris avec son amant. Michel, la tête en arrière, les yeux clos, était dans un autre monde. Il ne lui vint pas à l’esprit que c’était une caresse qu’elle lui refusait jusqu’à présent, trouvant ça « sale ».

Clémence connaissait bien les faiblesses de Michel. Avec un tel traitement, il risquait d’éjaculer dans sa bouche. Elle s’interrompit, se releva, le prit par la main et le conduisit à la chambre. Là, Clémence se débarrassa de son soutien-gorge et de sa culotte, puis s’étendit sur le lit, couchée sur le dos.
- Viens !

À son tour, Michel se mit nu et rejoignit son épouse. Il la couvrit de baisers et de caresses. Michel, pour palier ses éjaculations précoces, était devenu particulièrement doué pour s’occuper des zones les plus érogènes de Clémence, en particulier ses seins. Il les pétrit et sa langue insista sur les tétons en érection de la jeune femme, au point de provoquer chez elle un premier orgasme. Michel voulut poursuivre par une autre de ses spécialités, le cunnilingus, sa langue magique envoyant toujours son épouse au septième ciel. Cette fois, Clémence le repoussa.
- Non chéri. Je veux que tu me baises. Je veux ta queue en moi. Je veux que tu me remplisses, que tu me fécondes !

De Clémence exhalaient des odeurs fortes. Michel comprit que ce n’était pas la transpiration de la journée. Clémence sentait le sexe. Les poils de la toison de sa chatte béante étaient collés. Mais Michel ne voulait pas voir l’évidence, à savoir qu’elle le trompait. Pour le moment, il ne voulait pas savoir et préférer la croire. Il voulait profiter de ce qu’elle lui offrait.

Michel prit Clémence en missionnaire et ce fut encore pire que d’habitude. Après quelques va et vient, il envoya plusieurs puissantes giclées de sperme dans la chatte de son épouse, mélangeant ainsi sa semence à celle de l’amant. Clémence simula un orgasme, puis se serra dans les bras du mari trompé.
- Pardon, ma chérie. Une fois de plus, je n’ai pas su me retenir ! Je suis désolé !
- Ne t’inquiète pas ! Je t’aime ! J’avais tellement envie et tes giclées étaient si puissantes que j’ai joui. Je suis certaine que tu m’as fait un bébé !

Clémence s’avoua que cette situation provoquait chez elle quelque chose de particulier, un mélange de perversité et de honte.

Le lendemain matin, elle insista pour remettre le couvert, pour un résultat équivalent.

La seule conséquence fut de mettre Michel en retard. Il l’embrassa avec passion, lui demandant :
- Tu fais quoi aujourd’hui ?
- J’ai rendez-vous avec Fatima. J’ai encore tant de choses à découvrir.

Elle pensa surtout qu’elle avait encore tant à découvrir avec Zakaria.

***

Clémence prit une longue douche, car son odeur la dérangeait : elle sentait la putain.

Une fois à la cuisine, où elle se prépara un café et un copieux petit déjeuner, elle appela Zakaria, comme il le lui avait demandé :
- Bonjour, beau mâle. J’ai fait ce que tu m’as demandé.
- J’aime quand tu es obéissante, ma putain. C’était comment ?
- Comme d’habitude. Rien à voir avec toi, tu t’en doutes. Ce qui était particulier et qui m’a excité, c’est que je me suis fait remplir par mon amant et par mon mari.
- Ce sont mes spermatozoïdes qui te féconderont, car je suis ton mâle. Le cocu reconnaîtra l’enfant. Tâche d’être à l’heure cette après-midi car ce sera spécial : je vais te casser le cul !

Il raccrocha. Aucun mot de tendresse. Zakaria était brutal dans son comportement et dans ses paroles. Ce n’est d’ailleurs pas ce qu’elle recherchait chez lui. Seulement le plaisir. Pour les sentiments et la tendresse, il y avait Michel.

Puis elle appela Fatima, pour bien harmoniser leurs versions, car elle ne doutait pas que Michel téléphonerait à son amie. Elle lui raconta sa soirée et les deux femmes se mirent d’accord sur ce qu’elles étaient censées avoir fait la veille et sur leur programme de ce jour.

- Ne quitte pas, ma belle. Michel m’appelle. Je te mets en attente.

La conversation entre Fatima et Michel ne dura que quelques minutes. Fatima confirma en tout point la version de Clémence et accabla le mari trompé de reproches.
- Je lui ai demandé comment il osait douter de ta parole. Je lui ai dit qu’il avait beaucoup de chance d’avoir une femme comme toi et qu’il mériterait que tu le trompes. Il m’a suppliée de ne pas te dire qu’il m’avait appelée !
- J’ai honte, tu sais, de me comporter comme ça avec Michel !
- Ne sois pas stupide ! D’abord, il est incapable de te faire jouir comme tu en as besoin. Ensuite, ne me dis pas qu’il n’a pas compris, à ton odeur, à l’état de ta chatte, ce que tu as fait hier. Je te dis qu’il ne veut pas savoir et même que ça l’excite. Continue ma belle, fais-le cocu !

Fatima fit raconter à Clémence, avec tous les détails, tout ce qu’elle avait fait, ces deux derniers jours, avec Zakaria. Au fur et à mesure que Clémence se confessait, elle entendit que le souffle de son amie devenait court.
- Que fais-tu Fatima ?
- Ma chérie, je me caresse. Ton histoire m’excite terriblement. Tu es une sacrée salope, quand même !
- Je suis moi aussi excitée de raconter ça !

Fatima intima l’ordre à Clémence de se caresser également.
- À quoi penses-tu, habiba ?
- A Zakaria, à sa grosse queue ! Je ne peux plus m’en passer !

Les deux amies se firent jouir en même temps. Clémence dévoila à Fatima le programme de la journée. Fatima, avant de raccrocher, lui dit qu’elle adorerait être témoin des ébats des amants.

Clémence, dans sa naïveté, ne se doutait que Fatima avait enregistré toute leur conversation. L’étau se resserrait sur l’épouse du jeune diplomate.

***

Il était temps, pour Clémence, de se préparer à retrouver son amant. Zakaria avait toujours un plan en tête pour poursuivre sa domination sur elle. Quand elle frappa, la porte s’ouvrit aussitôt. Il l’attendait.
- Entre, lança-t-il avec un sourire en coin. Tu es pile à l’heure. Toujours le feu au cul à ce que je vois.

Elle baissa les yeux, presque honteuse d’être fière de sa ponctualité. Il lui prit le poignet et l’attira d’un geste ferme à l’intérieur. Clémence se laissa faire, son souffle déjà court.
- Tu sais que j’aime les salopes obéissantes, dit-il. Et toi, tu apprends vite.

Elle acquiesça doucement. C’était vrai.
- Aujourd’hui, on franchit un nouveau cap, ajouta-t-il.

Clémence sentit sa gorge se serrer.
- Tu vas m’appartenir entièrement. Jusqu’au bout.

Elle comprit ce qu’il sous-entendait. Elle y avait vaguement pensé, sans croire que cela arriverait réellement. Une peur étrange l’envahit. Pas celle de la douleur, non. Plutôt celle de l’irréversible.
- Tu as peur ? demanda-t-il, se rapprochant lentement.
- Je… Je ne sais pas. Un peu.

Zakaria s’arrêta juste devant elle. Il posa une main sur sa nuque, la forçant à lever les yeux vers lui.
- Ne t’inquiète pas. Je vais t’ouvrir. Ensuite tu seras tellement accro que tu en redemanderas.

Il guida Clémence dans la chambre sans lui laisser le choix. Il voulait qu’elle ressente chaque étape.
- Aller, déshabille-toi, salope et allonge-toi sur le dos, presque sur le bord du lit.

Indécise et un peu terrifiée, Clémence obéit sans discuter. Elle vit son amant se déshabiller à son tour et venir au-dessus d’elle posant son énorme engin sur son visage.
- Tu ferais mieux de me sucer aussi bien que tu pourras. Ta salive sera l’unique lubrifiant dont je me servirai pour t’ouvrir.

Terrifiée, Clémence lui jeta un regard de détresse mais ce dernier lui lança une claque.
- Tu ferais mieux de commencer sinon je t’encule à sec, à toi de voir.

Toujours apeurée mais terriblement excitée, Clémence prit l’énorme queue de son amant en bouche et essaya de le sucer aussi bien qu’elle le pouvait, laissant couler sa bave en abondance, appréhendant le moment où son mâle dominant allait la sodomiser. Ce dernier râlait de plaisir, jouissant de la soumission totale de sa proie.

Au bout de quelques minutes, Zakaria se retira de sa bouche.
- Ça suffit, il est temps de passer aux choses sérieuses.

Clémence essaya de se relever mais il la plaqua sur le lit.
- Contente-toi de bien relever tes jambes et ton bassin, dit-il avec autorité. Et prépare-toi à bien gémir.

Ne sachant quoi faire, elle essaya maladroitement de se mettre en position, Zakaria l’aida dans son périple et mit son énorme gland en position. Clémence était aussi excitée que nerveuse.
- Maintenant je vais t’enculer, petite pute. Tu vas avoir la sensation de te chier dessus, mais ça sera uniquement une impression.
- Comment…

Clémence n’eut pas le temps de finir sa question que Zakaria commença à s’enfoncer en elle. Elle ressentit une pression ainsi qu’une vive douleur.

Elle lâcha un cri.
- Ta gueule, traînée, tu me supplieras pour ça après.

Zakaria s’enfonçait en elle méthodiquement, y allant parfois doucement, ensuite s’enfonçant avec plus de vitesse. Clémence serrait la mâchoire, luttant contre la douleur.

Au bout d’une minute, elle commença à sentir une étrange sensation, malgré le monstre qui s’enfonçait en elle. Elle réalisa qu’elle était en train d’éprouver du plaisir malgré tout.
- Tu commences à aimer ça petite pute. Ça se voit à ta gueule de salope.
- Oh oui mon chéri, j’aime comment tu m’encules.
- C’est quand même autre chose qu’avec ta mauviette de mari.
- Il n’a jamais fait ça ! C’est toi que je préfère, casse-moi le cul ! Je suis à toi.

Zakaria la sodomisa ainsi un long moment, ensuite, vicieusement, il se retira d’elle si brutalement qu’elle lâche un véritable cri de douleur.
- AIIIEEEE, c’est douloureux !
- Ta gueule ! Mets-toi à quatre pattes, tu vas voir comment je vais m’occuper de toi moi.

L’anus endolori, Clémence avait du mal à bouger, contrairement à ce qu’elle croyait. Impatient, Zakaria la prit par le bras et la retourna. Sans la ménager, ni même lui permettre de se lubrifier à nouveau il s’enfonça brutalement en elle.
- Oh non ! cria-t-elle. Pas comme ça, j’ai mal.
- Ta gueule, répéta Zakaria, en commençant à la pilonner avec rapidité et sadisme. Je vais te faire hurler comme il faut.
- Mais j’ai vraiment mal, arrête !
- C’est sûr que tu vas avoir mal.

La tenant solidement par les hanches, il la sodomisa de longues minutes, sans prêter la moindre attention à ses supplications d’arrêter, profitant d’elle et râlant de plaisir. Malgré la vive douleur croissante qu’elle ressentait, Clémence éprouvait un immense plaisir de se sentir à ce point souillée par cet homme viril qui l’utilisait comme un objet. Sans s’en rendre compte, elle mit sa main sur sa chatte pour se masturber alors que Zakaria la prenait sans ménagement.

Il finit par lâcher un gros râle et il commença envoyer des giclées de sperme dans son cul. Clémence avait tellement mal qu’elle ressentit à peine les contractions du pénis de son amant. Ce dernier, satisfait, se retira avec brutalité.
- Oh non, dit Clémence avec effroi.

Ayant mis sa main sur son anus, elle vit sa main couverte de sperme mais aussi de sang.
- Qu’est-ce qu’il y a ? dit Zakaria, sur un ton totalement détaché.
- Je suis blessée, gémit Clémence les larmes aux yeux.
- Pfeu, répondit ce dernier, tu n’es pas la première que j’amoche comme ça. Tu me remercieras après, cependant tu devrais aller à l’hôpital te faire rafistoler le cul, car j’entends bien t’enculer encore.

Clémence le regarda sans comprendre.
- Aller dégage, dit Zakaria avec impatience. Va retaper ton cul de pute, j’en ai fini pour aujourd’hui, je ne peux pas faire grand-chose de toi dans cet état.

La douleur et la honte envahirent Clémence. Péniblement, elle tituba cherchant ses affaires, humiliée mais comblée au même temps. Zakaria ne dit rien. Il se contenta de la fixer d’un regard dur et satisfait.
- Tu me diras quand tu auras fini et que tu seras à nouveau opérationnelle, dit-il. Il faut que je te rebaise au plus vite. Je n’ai giclé qu’une fois aujourd’hui.

Clémence hocha la tête. Puis elle sortit, chancelante.

***

Zakaria s’avança vers la table basse, repoussa quelques papiers, puis attrapa son téléphone. Il le fit tourner entre ses doigts un moment, comme pour savourer l’instant. Puis il composa un numéro, sans avoir besoin de le chercher dans son répertoire.

Trois tonalités. Puis une voix grave, feutrée mais autoritaire.
- Alors ?

Zakaria s’appuya contre le dossier du canapé.
- C’est fait. Elle est à genoux. Et bien amochée en plus.

Un bref silence suivit, puis un léger ricanement à peine audible.
- Très bien. Continue. Ne brûle pas les étapes. Je veux qu’elle se consume d’elle-même.
- Elle est en feu. Et elle ne sait même plus ce qu’elle brûle.
- Parfait. Je savais que je pouvais compter sur toi.

Zakaria se redressa, plus sérieux.
- Et son mari ? Vous comptez faire quoi de lui ?

De l’autre côté de la ligne, un silence plus long. Puis :
- Ce pauvre type ne mérite même pas qu’on s’en occupe. Il suffira de le laisser regarder. Regarder sa femme devenir ce que je veux qu’elle soit. Il souffrira davantage en l’aimant qu’en la perdant.

Un sourire sans joie se dessina sur les lèvres de Zakaria.
- Vous êtes diabolique, Sidi Youssef.
- Non, répondit calmement l’homme. Je suis seulement patient. Et je n’oublie jamais une offense.

Puis il raccrocha.

***

La rencontre avec Youssef remontait à quelques semaines auparavant, lors d’une réception à l’ambassade de France. Ce soir-là, Michel et Clémence avaient fait bonne figure. On les avait félicités. On avait loué la fraîcheur de Clémence, son élégance naturelle, sa vivacité d’esprit.

C’est à cette occasion que Clémence fit la connaissance de Fatima, une belle trentenaire, grande, plantureuse. Le courant passa immédiatement avec Clémence, laquelle n’avait guère de contact dans la Communauté française et qui passait ses journées entre de longues promenades dans Rabat et ses lectures, son ambition étant de poursuivre à distance son cursus en archéologie. Non seulement Fatima avait beaucoup de charme et de charisme, mais elle affichait sa connaissance des sujets qui passionnaient Clémence, avec une culture qui impressionna la jeune Française. Elles promirent de se revoir, échangeant leur numéro de portables.

C’est alors qu’arriva Youssef Al Fassi, le mari de Fatima.

Michel savait qui était Youssef. Homme d’affaires, mécène supposé, proche de plusieurs cercles de pouvoir, il dirigeait plusieurs groupes dans l’agroalimentaire, l’import-export, et plus discrètement, dans la sécurité privée. Un homme riche, redouté, et toujours flanqué de deux assistants aussi silencieux que discrets.

C’était un self made man qui avait franchi petit à petit les échelons pour devenir l’homme d’affaires puissant qu’il était devenu. Ayant été une racaille dans sa jeunesse, il avait conservé ce côté sauvage et agressif en lui.

Clémence l’avait immédiatement remarqué. Non pour sa prestance, il était large, massif, la cinquantaine bien entamée, mais pour son regard, lorsque Fatima fit les présentations. Pesant. Un regard qui ne cherchait pas à être discret. Mais qui était celui d’un fauve, affichant un sourire carnassier.

Lorsqu’il s’était approché d’eux, ce n’était pas pour les saluer poliment, mais pour prendre possession de l’espace. Après avoir fait les présentations, Fatima s’éloigna, comme si elle avait chauffé le terrain pour son mari.
- Alors c’est vous, Michel B, ce jeune diplomate français qui vient de rejoindre la mission culturelle. Et vous, Madame, vous êtes l’explication à son sourire béat. Je comprends mieux.

Il avait à peine serré la main de Michel. Son regard restait fixé sur Clémence, insistant. Presque obscène.
- Votre mari a beaucoup de chance… Ou très peu. Car avec une femme comme vous, je ne dormirais jamais tranquille.

Clémence avait souri, poliment mais froidement.
- Il a surtout de la confiance. Et du respect.
- C’est adorable. Mais à votre place, j’aurais du mal à la laisser sortir seule. Il y a des hommes ici qui ne respectent pas grand-chose. Moi, par exemple.

Michel avait tenté d’intervenir, mais Youssef poursuivait, comme s’il n’existait pas.
- Vous portez cette robe pour qui, dites-moi ? Pour lui… Ou pour les autres ?

Clémence avait rougi de colère. Michel, déconcerté, serrait son verre jusqu’à blanchir les jointures.
- Monsieur Al Fassi, s’il vous plaît !

Youssef s’était alors tourné lentement vers Michel, pour la première fois, et avait laissé tomber, avec mépris :
- Pardonnez-moi. Je parle directement. Ça surprend parfois les hommes qui n’ont pas l’habitude de… Rivaliser.

Puis, revenant vers Clémence, baissant légèrement la voix :
- Un jour, peut-être, vous viendrez à moi de votre plein gré. Quand vous en aurez assez de jouer à la petite épouse modèle. Ce genre de robe mérite plus qu’un regard attendri. Elle mérite d’être arrachée.

Youssef se permit alors de poser une main sur les fesses de Clémence. La jeune femme se retint de gifler le grossier personnage, n’ignorant pas qu’un scandale serait préjudiciable à la carrière de Michel.

Blanche de colère, Clémence mit fin à la scène.
- Je ne vous permets pas, espèce de rustre.

Tout le monde se tut. Youssef sourit, révélant ses dents.
- On s’en va, dit-elle à Michel en le traînant ailleurs dans la grande salle.

Michel n’osa rien dire. Il la suivit, la honte au ventre, l’humiliation cuisante. Il n’avait pas su la défendre. Il n’avait pas su faire taire ce grossier personnage.

Fatima, qui avait observé toute la scène, apparut alors à côté de son mari.

- Tu penses à quoi (ce que) je pense ? dit ce dernier sans même regarder sa femme.
- Oh oui, répondit Fatima, et c’est une proie facile qui m’intéresse également. Laisse-moi aller « m’excuser » auprès d’elle. Je vais devenir sa meilleure amie. Elle est si fraîche et si naïve.

Youssef eut un sourire diabolique.
- Je compte sur toi.

Dès le lendemain, Fatima appela Clémence :
- Bonjour ma chère Clémence. Je voulais m’excuser auprès de vous et de votre mari pour le comportement de Youssef. Il ne faut pas lui en vouloir. Il est ainsi. Il s’est fait à la force du poignet et il a l’habitude que rien ne lui résiste. Mais cela ne doit pas remettre en cause le courant que j’ai senti entre nous.
- Je sais faire la part des choses, chère Fatima. Vous êtes très différente. Simplement, je ne veux plus jamais revoir ce malotru.
- Youssef m’a épousé grâce à son argent. Je viens d’une grande famille, proche du Palais. Nous sommes un couple plutôt atypique pour le Maroc, car nous sommes assez libres.
- J’ai compris en effet que vous êtes très différents. Je me sens si seule ici, Michel étant accaparé par son travail. Je serais très heureuse de devenir votre amie, Fatima.
- Jamilati (“Ma belle”), je veux qu’on se tutoie. Désormais, on ne se quitte plus. Je vais te faire découvrir Rabat et sa région.

Pendant que Fatima tissait habilement sa toile en direction de Clémence, Youssef, de son côté, avait convoqué Zakaria, employé d’une de ses sociétés de sécurité. Le jeune homme était originaire de Takkadoum, un des quartiers populaires de Rabat, une zone formellement déconseillée aux étrangers.

Zakaria était le fils d’un ami de jeunesse de Youssef. Gueule d’ange et petite frappe, il était devenu l’homme de main de Youssef, qui le protégeait et le tira souvent de situations scabreuses.

Bel homme, Zakaria était très apprécié des touristes de passage et des expatriées. Il était l’instrument qu’il fallait à Youssef pour parvenir à ses fins et atteindre son objectif : soumettre à toutes ses volontés cette petite Française.

Les avis des lecteurs

Dernière information: le chapitre 4 de "Clémence" sera en ligne le jeudi 10 juillet.

je viens de renvoyer le chapitre 4 de notre série, Clémence, à HDS.
En attendant j'ai le plaisir d'informer de la publication samedi 5 juillet d'une chronique sur un poème de Federico Garcia Lorca

Histoire Libertine
@La chipie, Olga dit vrai. Encore une fois Clémence est jeune et inexpérimentée, la situation la dépassait. Comment aurait elle pu gérer un tel chaos ? Je suis plutôt indulgente envers elle.

Sarah T.

@ La chipie, oui c'est une fiction, mais, Sarah et moi pouvons en témoigner, ce genre de situations existe

Histoire Libertine
Clémence n’a pas retenu la leçon du vécu de sa mère. En plus elle ne communique pas avec son mari sur ses désirs.
Elle s’est mis dans 1 merde noire.
Heureusement c’est 1 fiction.
La chipie

A l'intention de ceux et celles qui attendent la suite.
Nous progressons dans l'écriture du texte, ayant validé ensemble les chapitres 4 et 5, le 6 est en cours.
J'avais envoyé à HDS le chapitre 4, mais il a"disparu" de la liste de mes textes, sans que je reçoive une notification de refus (je ne vois pas d'ailleurs pourquoi ce serait le cas)
J'ai demandé des explications à HDS, via le formulaire de contact et par mail. En attendant, je leur ai adressé un autre texte, un poème érotique.
J'espère avoir une explication sur cet incident, afin que le chapitre 4 puisse paraitre, car je sais que beaucoup attendent la suite des aventures de Clémence.
nos excuses pour ce contretemps!

Histoire Libertine
@Olga, le plaisir est partagé et je dois même ajouter qu'écrire avec toi est très instructif ma belle.
@Maurice, merci infiniment !
@Julie, c'est réconfortant de lire ça, j'avoue que personnellement je suis très satisfaite du résultat.
@Didier, merci pour votre soutien indéfectible, c'est un plaisir d'avoir un lecteur comme vous.

Sarah T.

Merci Didier, fidèle lecteur et soutien indéfectible!
Nous allons faire tout notre possible :-)

@ Maurice @ Julie, merci. Je suis entièrement d'accord avec vous. C'est une chance pour moi que de travailler avec Sarah, qui est une femme exceptionnelle.

Histoire Erotique
@Sarah,
Comme l'écrivent si bien Julie et Maurice, auxquels je m'associe bien sûr, si la qualité dans l'écriture, la présentation et le scénario sont toujours au rendez vous, il n'y a aucunes raisons d'en douter...
@Olga, Sarah, Félicitations et Bravo pour ce travail, et continuez à nous émerveiller, à nous captiver ainsi avec vos magnifiques récits.
Didier

Histoire Libertine
@ Maurice, je confirme. Il est par exemple impossible de deviner, en lisant le texte, ce qui a été écrit par Olga et par Sarah
Julie

Histoire Erotique
@ Olga, je suis un de tes plus anciens lecteurs, déjà aux temps du blog chez Erog. Tu as toujours veillé à la qualité de l'écriture et de la présentation.
Cette association avec Sarah, renforce en cas la qualité des publications et le plaisir à les lire.
Merci aussi à Sarah de venir répondre avec pertinence et finesse aux commentaires.
@ Sarah et Olga, une superbe association!
Maurice

C'est un plaisir, ma chère Sarah, que tu prennes soin de répondre aux commentaires. Mais surtout je retrouve, dans tes réponses, la communion qui est la nôtre dans l'écriture.
Écrire avec toi est un vrai bonheur!

Histoire Libertine
@Claude @Alain, @Robert, @Maurice merci beaucoup pour vos encouragements !
@Julie, Fatima sera un personnage important. Clémence est sous emprise. La découverte de ce monde de plaisirs vient assez souvent avec des mensonges et des tromperies.
@Luc, Zakaria est en effet un voyou et un bandit.
@Didier, bien vu Didier, j'espère que vous aimerez la suite de l'histoire.
@André, c'est bien vrai, merci.
@Patrick, @Lucas c'est vrai mais il faut garder les choses dans leur contexte. Clémence est jeune, inexpérimentée, assoiffée... c'est rarement un bon mélange.
@Melissa, torride est bien le mot.
@Norbert, oui et les prochains chapitres vont apporter plus de réponses.
@Steph et JP, peut-être même pire.
@Lucette, bien sûr je parle ici pour moi mais... non. A un certain âge et à une certaine maturité psychologique et sexuelle oui, on devient responsable mais aux débuts non. C'est très difficile de résister à la tentation.
@Dyonisia hahahaha je m'attendais pas à moins de ta part. Très bien dit !
@Yamina merci beaucoup !
@Micky merci pour le double compliment haha !

Sarah T.

@ Micky, merci. Le personnage de Fatima va réserver en effet quelques surprises dans les prochains chapitres;

@ Yamina, merci. Le trait est peu forcé, mais de tels personnages existent, hélas!
@ lecteur anonyme, il y a des similitudes et des différences, ne serait-ce que le contexte. Mais l'un, comme l'autre, sont des prédtaeurs

Je répète ma réaction qui n'était pas parue. J'espère le développement d'un personnage qui m'intéresse, cette Fatima. Les femmes du Maghreb sont réputées très chaudes et je ne doute pas que celle-ci, sous couvert de ses réactions, doit l'être aussi. Cette galerie de personnages est particulièrement réjouissante, même chez les antipathiques. Bravo les filles.

Histoire Erotique
Par son sadisme, Zakaria rappelle un certain Rachid !

Histoire Libertine
Les personnages sont parfois un peu caricaturaux, mais ce genre de situations existe. On sent le vécu derrière la fiction.
Bravo aussi pour la façon dont vous décrivez la société marocaine et la psychologie des personnages
Yamina

@ Steph et JP, nous sommes d'accord. Le vrai responsable, c'est Youssef.
@ Lucette, il ne s'agit pas d'exonérer Clémence de ses responsabilités. Simplement de rappeler les conséquences de l'hypersexualité, de l'addiction sexuelle. Sarah et moi les avons vécues.
@ Dyonisia, merci pour cet excellent commentaire qui est une parfaite réponse à ceux et celles, anonymes parfois qui stigmatisent Clémence. Ça me donne envie de leur rappeler ce passage des Évangiles "que celui qui n'a jamais péché jette la première pierre"

NB : Un "la" de trop dans la dernière phrase. Désolée !

Le moins que je puisse dire c'est que les hommes n'ont pas le beau rôle dans cette mise en scène de la perfidie, de la veulerie, de l'avidité, de la rancune, et de la brutalité dont la sodomie subie par l'héroïne est le parfait exemple. Mais c'est l'histoire qui le veut.
D'ailleurs, messieurs qui vous récriez en accablant Clémence de vos reproches, n'est-ce pas cela que vous êtes venus chercher ?
Mes pensées iront plutôt vers les victimes de ce jeu pervers, vers l'amoureux trop épris et confiant comme vers la femme la trop sensuelle et sous influence.

Histoire Libertine
N’est-ce pas un peu facile d’évoquer « l’addiction sexuelle », « l’hypersexualité ». , dire que Clemence est « sous emprise »
On est responsable de ses actes!
Lucette

Histoire Coquine
Le personnage de Youssef semble pire que celui de Daniel dans la série "Aude". Vous nous proposez un sacré portrait du salaud intégral
Steph et JP

Histoire Erotique
Pauvre Michel! Quelle salope, cette Clémence!

@ Claude, oui, en effet!
@ Julie, la suite expliquera l'évolution de Fatima et son rôle. Quant à Clémence, sans l'excuser, elle est sous influence, sous addiction.
@ Luc, nous sommes bien d'accord!
@ lecteur anonyme, qui sommes nous pour juger Clémence?
@ Didier, merci pour cette analyse perspicace, comme toujours. Oui, la suite de l'histoire va beaucoup tourner autour du rôle de Fatima.
@ André, pour ma part je dois en convenir. je laisse le soin à sarah de répondre pour ce qui la concerne
@ Alain, merci. Nous avons voulu en effet une écriture vivante et raconter, comme si nous étions spectateurs des aventures de Clémence
@ Robert, cet avertissement, cette mise au point était indispensable. Nul ne saurait douter de nos valeurs.
@ Patrick, @ Lucas, oui son comportement est choquant. mais, je le répète, Clémence est victime de son addiction. elle est sous influence.
@ Maurice, merci!
@ Mélissa, en effet!
@ Norbert, c'est le cas en effet

Histoire Erotique
On commence à en savoir davantage sur les commanditaires
Zakaria n’est qu’un instrument de Youssef
Norbert

Histoire Erotique
Patrick a raison: non seulement Clemence cache son adultère mais elle cherche à faire avaliser par son mari une grossesse dont serait responsable son amant!
Quelle salope!
Lucas

Histoire Libertine
la sodomie, Clemence, elle a du la sentir passer!
Mais qu’elle scène torride !
Melissa

Histoire Erotique
C’est hard, mais c’est toujours aussi bien écrit !
Maurice

Histoire Erotique
L’attitude de Clemence envers son mari est indigne !
Patrick

Histoire Erotique
L’avertissement au début du texte va peut-être de soit, mais il a le mérite de faire une mise au point indispensable en rappelant l’importance de la dignité et du respect dû aux femmes.
Robert

C'est vivant ! Incroyablement vivant... on croirait assister à tout ! J'ai adoré cette histoire, son thème et son style... Une histoire à relire et je ne vais pas m'en priver...
Alain

Histoire Erotique
La scène de sodomie est brutale, mais aussi excitante
On voit que les auteures ont du vécu à la base de leur récit!
André

Histoire Erotique
Olga, Sarah,
Un grand merci pour ce nouveau chapitre qui, en levant le voile sur certaines zones d’ombres passées, répondant ainsi à différentes interrogations, permet de mieux comprendre désormais de ce qu’il en retourne. Oui, Clémence, en entamant et entretenant cette relation adultère avec Zakaria, est tombée dans un terrible traquenard mené conjointement par un couple de prédateurs, les époux Al Fassi, qui ne rêvent que de dominer, que de posséder cette oie blanche.
Et c’est ainsi que nous découvrons que sèchement éconduit par Clémence, Sidi Youssef, un homme riche et puissant, mais véritable goujat, a décidé de se venger d’elle en plaçant sur sa route Zakaria, un de ses sbires, pour la séduire, la pervertir avant de la lui livrer pour son bon plaisir, lui permettant ainsi de pouvoir aussi humilier Michel dans le même temps. Il y est aidé, par sa jeune épouse Fatima qui, jouant à un double jeu en se disant son amie et sa confidente, conseille et semble manipuler facilement une Clémence qui se croit protégée par des alibis que Fatima fournit aisément à son Michel, alors que sans le savoir les mailles du filet se resserrent autour d’elle.
Et ce qui m’effraie maintenant, c’est que je crains qu'au lieu d'avouer sa faute à son Michel, Clémence ne se tourne à nouveau vers Fatima, pour la sortir du mauvais pas dans lequel elle se trouve, suite à sa dernière rencontre avec Zakaria.
Pauvre Clémence…
Didier

Histoire Erotique
Cette Clémence est une petite putain!

Histoire Erotique
Ce Zakaria est un voyou et un lâche!
Comment ose-t-il traiter ainsi une femme?
Luc

Histoire Libertine
Quel est le vrai rôle de Fatima?
Quant à l’attitude de Clemence, sa soumission choque et encore plus ses mensonges
Julie

Histoire Erotique
Waouh c’est chaud !
Claude



Texte coquin : « Clémence » (3) : alibis et trahisons.
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