« Clémence » (4) : Fatima.

- Par l'auteur HDS Olga T -
Récit érotique écrit par Olga T [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Récit libertin : « Clémence » (4) : Fatima. Histoire érotique Publiée sur HDS le 10-07-2025 dans la catégorie Entre-nous, les femmes
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« Clémence » (4) : Fatima.
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Cette série, écrite avec Sarah, parait sur HDS depuis le 27 mai 2025.

RÉSUMÉ

Clémence a épousé Michel, un jeune diplomate, qu’elle a suivi au Maroc, où il a été affecté en tant que membre de la mission culturelle de l’ambassade. Clémence et Michel s’aiment, mais la jeune femme est frustrée sur le plan sexuel. Elle entretient une liaison avec un jeune Marocain, Zakaria, avec qui elle découvre le plaisir. Elle ignore que son amant joue en fait le rôle de rabatteur pour un couple pervers, Youssef et Fatima. Zakaria vient de sodomiser Clémence avec brutalité, au point de la blesser, puis il l’a renvoyée, sans se préoccuper davantage d’elle.

***

Clémence est désespérée. Elle se retrouve seule, dans cette chaude journée d’après-midi, dans ce quartier populaire de Takkadoum. Elle est en panique. Il faut qu’elle fasse soigner sa blessure. Mais comment consulter un médecin ou aller à l’hôpital, sans qu’inévitablement, Michel ne soit prévenu ? Ce serait le scandale et cela déboucherait inévitablement sur leur divorce.

Comment en est-elle arrivée là ? Pourquoi a-t-elle laissé cet inconnu la traiter ainsi et pratiquer ce qu’elle a toujours refusé à Michel, la sodomie ?

Elle pense alors à Michel. Pauvre Michel, qu’elle avait traité de pervers quand, une fois, il avait essayé de passer par cette voie étroite, jamais explorée avant que son amant marocain ne lui prenne son pucelage anal. Et pourtant, la taille du sexe de son mari n’a rien à voir avec l’engin monstrueux de Zakaria ! Le soir de sa tentative, elle s’en souvient, Michel s’était montré, comme toujours, doux et respectueux.

Avant de tenter de la prendre par derrière, il avait cessé son cunnilingus et sa langue était venue fouiller son anus. Clémence n’avait pas protesté, ayant adoré qu’il pratique sur elle ce qui, elle le savait par ses lectures érotiques, s’appelle une feuille de rose. Et pourtant, elle avait alors fermement refusé d’aller plus loin, de lui accorder, ce soir-là, ce qu’elle venait d’accorder sans réellement protester à Zakaria. Car si celui-ci ne l’a guère préparée, si son terrible engin l’a blessée, il ne l’a pas prise de force.

Une fois de plus, Clémence pensa à faire appel à celle qui était devenue à ses yeux sa providence : Fatima.

Celle-ci sembla surprise de l’appel de la jeune femme.

- Clémence ? Nous sommes en pleine après-midi. Je croyais que tu étais avec ton amant. D’ailleurs, je pensais à toi, ma petite salope adorée. J’avoue que je me caressais en t’imaginant avec lui, en train de te faire sauter par le formidable zob de ce type !

Clémence hoqueta, la voix hachée par les sanglots.
- Ma chérie, je sors de chez lui et…

Elle ne put poursuivre. Elle pleurait.
- J’ai trop honte, Fatima !
- Je t’ai déjà dit qu’à moi, tu peux tout dire, ma belle. Que s’est-il passé ?
- Il m’a… Sodomisée, dit-elle d’une voix imperceptible, comme si les passants pouvaient entendre ce qu’elle disait.
- Il ne t’a pas forcée, au moins ?
- Pas du tout ! J’en avais envie, moi aussi. Je voulais lui offrir ça. Il est désormais mon homme. Je suis à lui.
- Tu ne serais pas en train de tomber amoureuse de ce beau mâle, ma Clémence ? Il est vraiment cocu, ce pauvre Michel !

Il y eut un blanc.
- Je ne suis pas amoureuse de Zakaria. Simplement, je l’ai dans la peau. Il suffit qu’il me touche pour que je perde toute volonté. Il peut faire de moi ce qu’il veut.

Ce fut la première fois que Clémence donnait le nom de son amant à Fatima. Celle-ci savait et se dit que, décidément Youssef était diabolique. Il avait mis sur la route de la petite Française un redoutable fauve.
- Tu n’as pas aimé te faire enculer. C’est ça, ma douce ?
- Si j’ai aimé. J’ai pris mon pied, alors que j’avais si peur. Ce n’est pas ça.
- Alors ?
- Il a un tel engin. Il ne m’a presque pas préparée et surtout il m’a vraiment cassé le cul ? Je…Je suis blessée, Fatima.
- Ça ne doit pas être très grave. La prochaine fois, ça se passera mieux.
- Ce n’est pas ça. Il faut que je voie un médecin pour contrôler et me faire soigner. Or, comme je ne travaille pas, je dépends entièrement de Michel. Que j’aille consulter un médecin de ville ou à l’hôpital, inévitablement Michel sera informé, ne serait-ce que parce qu’il recevra les honoraires à régler.

Clémence eut une véritable crise de larmes.
- Fatima, je mérite ce qui m’arrive. Mon mariage est fichu ! Je vais perdre Michel.
- Ne t’inquiète pas ma belle. Tu ne le perdras pas, car ton Michel t’aime comme un fou. Et surtout, Fatima est là. Je vais régler ça. Je viens te chercher et je t’expliquerai ce que nous allons faire.
- Oh, ma Fatima, que ferais-je sans toi ? Je t’aime !
- Moi aussi, je t’aime, mon amour !

Clémence avait mal, mais ne saignait plus. Elle patienta, le temps que Fatima arrive, depuis Hay Ryad, le quartier le plus luxueux de Rabat, où le couple possédait une somptueuse et immense villa.

Clémence se sentit soulagée. Elle pensa à cet instant à sa mère, mais aussi à la compagne de celle-ci, Nadine. Clémence adorait Nadine, qui avait libéré sa chère maman des griffes de son père Daniel, ce prédateur. Clémence se dit que Fatima jouait en quelque sorte pour elle le rôle que Nadine assurait auprès d’Aude. Mais, à cet instant, Clémence n’imaginait pas une dimension sexuelle à sa relation avec la belle Marocaine. C’était une amie précieuse, protectrice, comme elle n’en avait jamais eu, alors qu’elle en avait toujours rêvé. Fatima était son ange gardien, sa bénédiction.

Quand son amie arriva, au volant d’une luxueuse Mercedes Classe S, aux vitres teintées, Clémence se précipita dans le véhicule et se serra dans les bras de Fatima. La jeune femme avait besoin d’affection, de bras pour la consoler, comme quand elle était petite fille et que son père était méchant avec elle. Aude était là, alors, pour sa princesse. À cet instant, Fatima remplaçait sa mère.

Mais les sentiments de la plantureuse trentenaire étaient d’une toute autre nature. Elle couvrit le visage de la jeune Française de baisers.

- Nhibik, nti hbibti, zawjti, nti dyali. (« Je t'aime. Tu es mon amour, ma femme. Tu es à moi. »)
- Je t’aime, moi aussi, Fatima !

Ce fut Clémence qui offrit ses lèvres à son amie. Les bouches se tendirent l'une vers l'autre, les lèvres se rencontrèrent, se touchèrent en une succession de petits baisers doux, qui se transformèrent bientôt en une étreinte passionnée. Fatima afficha un sourire triomphant, exprimant toute sa tendresse et son affection. La caresse de sa main sur le visage de Clémence, dans ses cheveux, évoquait une volupté si douce, que jamais celle-ci n’eut crue possible.

Fatima ouvrit le chemisier de Clémence, qui, pour plaire à Zakaria, ne portait pas de soutien-gorge.
Elle posa ses lèvres au creux du cou de la jeune Française et les promena doucement sur la chair blanche en une série de bécots, qui firent frissonner celle-ci.
- Clémence, dit-elle, d'une voix tremblante.

Et son nom seul prononcé par cette bouche remua la jeune française tout entière.
- Oh, ma Fatima ! Embrasse-moi encore. Touche-moi ! Caresse-moi !
- Je ne te quitte plus, mon amour. Mais il faut d’abord que nous réglions ton problème.
- Où allons-nous ?
- À l’hôpital universitaire international Cheikh Zaid, le meilleur hôpital privé de Rabat. Je vais appeler le docteur Daoud Benkhadra, qui est gastro-entérologue. Daoud est un ami très proche. Il va s’occuper de toi. Il sera d’une discrétion totale.

La voiture démarra, en direction de cet hôpital, situé dans son quartier de Hay Ryad. Après avoir composé le numéro du médecin, Fatima conduisit de la main gauche, alors que sa main droite était affectueusement posée sur la cuisse de Clémence et que celle-ci avait posé sa tête sur l’épaule de celle qui était déjà plus qu’une amie.

- Daoud, comment vas-tu, mon cher ? J’ai un immense service à te demander.
- Tu sais bien que pour toi c’est toujours oui !
- Voilà. Je suis avec une personne très chère à mon cœur. Une jeune Française.
- Je te connais bien, Fatima. Toi, tu es amoureuse !
- On ne peut rien te cacher. Cette petite a besoin de toi. Au cours d’un rapport anal, elle a été blessée.
- Et je suppose que ce n’est pas son mari qui lui a fait ça !
- Tu as tout compris. Alors, j’ai besoin que tu l’examines, que tu la soignes, en toute discrétion.
- Tu me fais prendre des risques ! Mais que ne ferais-je pas pour deux jolies femmes. Car ta petite Française est très jolie, n’est-ce pas ?
- Comme un cœur ! Elle est magnifique !
- Alors, il faudra qu’elle se montre reconnaissante envers moi, ta protégée.

Fatima raccrocha, satisfaite du résultat.
- Excuse-moi, Fatima, je n’aime pas ce qu’il a dit à la fin. Je ne suis pas une pute.
- Disons alors que tu es une petite salope, ma chérie. Depuis trois jours, tu te fais baiser par un petit voyou de Takkadoum, tu peux bien te montrer gentille avec Daoud, qui est un très beau garçon. Lui faire une petite gâterie alors qu’il te sort d’un très mauvais pas, ce n’est pas cher payer. Et ne t’inquiète pas, je ne suis pas jalouse !

Clémence se dit que, après tout ce qu’elle avait déjà fait, elle n’était plus à ça près. Michel n’en saurait rien. Elle pensa seulement que cela pouvait déplaire à Zakaria, qui ne semblait pas à être du genre à partager.

Daoud ne les fit pas attendre.

- Entrez, Madame. Madame Al Fassi, merci d’attendre ici, s’il vous plait.
- Fatima, j’aurais aimé que tu sois avec moi.
- Allons ma chérie ! Cette consultation est très privée et très intime. Ne fais pas l’enfant gâtée. Une fois que ce sera terminé, je ne te quitte plus. C’est promis !

En réalité, Daoud et Fatima avaient convenu que les choses se passeraient ainsi. Clémence ressentit un certain malaise à la façon dont le médecin la dévisageait, ou plutôt la déshabillait du regard.
- Fatima n’a pas exagéré. Tu es magnifique !

D’emblée, il la tutoyait. Clémence baissa les yeux. C’était un mauvais moment à passer. Elle devait faire profil bas. Fatima avait raison. Le docteur était bel homme, grand et viril, qui devait avoir la quarantaine.
- Alors, comme ça, tu t’es fait enculer. Je suppose que c’était la première fois !
- Oui, docteur, avoua-t-elle, dans un souffle.
- Et ton amant est monté comme un âne !
- Oui.
- Et ton mari, bien entendu, ignore que tu lui fais porter des cornes ! T’es une petite salope !

Clémence baissa les yeux, honteuse. Son silence valait aveu.
- Déshabille-toi et monte sur la table d’examen.

La jeune femme enleva sa jupe et sa culotte, maculée par le mélange du sperme de Zakaria et du sang qui avait coulé de sa blessure.
- J’ai dit à poil !
- Mais c’est mon derrière que vous allez examiner, pas mes seins !
- Tu fais cocu ton mari, alors tu ne vas jouer à la maligne. Mes honoraires, c’est de pouvoir te mater. J’avoue que tu es vraiment bien foutue ! Et je comprends ton amant. Tu as un cul qui donne envie de te sodomiser !

Elle obtempéra et le médecin, après s’être muni de gants, l’examina. Daoud fit un toucher rectal.
- Aïe, vous me faites mal !
- Tu ne vas pas faire la délicate ! J’ai besoin de vérifier l’hypertonie du rectum. Tout à l’heure, ce que tu t’es pris dans le cul devait être d’un tout autre calibre que mon doigt. Allez, c’est fini. Tu as de la chance, ton étalon ne t’a pas estropiée. C’est une fissure, mais elle est superficielle.
- J’en ai pour combien de temps ?

Clémence pensait aux dernières paroles de Zakaria qui exigeait de la revoir le plus rapidement possible. C’était ce qu’elle voulait, elle aussi : le revoir rapidement, pour qu’il la baise !
- Tu es une sacrée garce, quand même ! Tu as envie de remettre ça ? Avoue que tu as aimé te faire casser le cul ?
- Oui, beaucoup, reconnut Clémence.
- Eh bien tu vas te calmer quelques temps côté baise. Et pas de rapport anal avant que je ne te donne le feu vert. Je te reverrai en consultation très privée.
- Merci docteur !
- Il faudra juste que la prochaine fois, ton mâle y aille un peu plus doucement et que tu sois bien lubrifiée. En attendant, je vais te prescrire des antalgiques et des crèmes cicatrisantes. Tu auras des soins à faire pendant deux semaines.
- C’est impossible de faire venir une infirmière chez moi et je ne peux quand même pas demander à mon mari, souffla Clémence.
- Ne t’inquiète pas pour ça. Je vais expliquer à Fatima ce qu’il faut faire. Je ne doute pas qu’elle sera ravie de s’occuper de toi !

La perspective d’être soumise aux bons soins de Fatima ne pouvait que plaire à Clémence.

Clémence se rhabilla, soulagée.
- Merci, Docteur !
- Merci c’est bien. Mais une petite pute comme toi doit pouvoir me remercier autrement.

Daoud descendit son pantalon, sous lequel il ne portait aucun sous-vêtement. Sans être aussi monstrueuse que celle de Zakaria, la bite du Docteur était impressionnante.

- Tu as une bouche à pipes. Ça se voit. Je suis certain qu’elle te fait envie !

Clémence aurait dû être indignée par ce comportement, contraire à la déontologie d’un médecin. Mais sa relation avec Zakaria avait fait sauter tous ses barrages. Elle se dit que Daoud était un bel homme, bien monté et qu’elle aimerait le revoir quand elle serait guérie.

En attendant, elle avait appris à aimer faire des fellations et elle allait soulager le praticien. Elle se mit à genoux devant Daoud
- Suce, salope !

Clémence saisit la queue, et s'exécuta. Daoud appréciait les petits sons issus du frottement des lèvres et du va et vient. Il prononça un fébrile « Oh la vache ! ».

Daoud fermait les yeux et appréciait la gâterie. Il encourageait et complémentait la fellatrice, dont il tenait la tête.
- Je ne me suis jamais fait sucer comme ça ! Tu es douée !

Clémence fit glisser sa langue du gland jusqu'au bas des couilles puis remonta de la même façon. Ses vas et viens s'accélèrent.

- Plus vite ! C’est bien, tu y mets du cœur. Regarde-moi dans les yeux pendant que tu me suces !

Clémence lécha les couilles de son amant, à pleine langue, pendant 2 ou 3 secondes sans pouvoir se contrôler et recula sa tête en lui disant :
- Jouis ! Je veux tout gober ton sperme !

Un puissant jet sortit. Clémence reçut du sperme dans l'œil. Elle sentit alors une main lui attraper les cheveux pour réorienter sa tête qui s’était baissée un peu vers l'avant après le premier jet. Aussitôt, sa bouche, qu’elle gardait ouverte, reçut une giclée puissante, puis une autre, qu’elle avala sans plus attendre.

***

Fatima s’entretint brièvement avec Daoud, officiellement pour qu’il lui indique les soins dont Clémence a besoin. Ont-ils aussi parlé des talents de la jeune femme ?

C’est possible, puisqu’en regagnant la voiture, Fatima dit à son amie :

- Tu as fait forte impression à Daoud. Il veut te revoir. Et pas seulement en consultation !

Clémence ne répondit pas. Elle aussi avait envie de revoir Daoud.

Puis Fatima appela Michel.

- Michel, mon cher, Clémence a besoin de changer d’air. Je vous l’enlève pour la conduire à notre Riad, dans la périphérie de Marrakech.
- Cela lui fera du bien. Ce sera pour combien de temps ?
- Le temps nécessaire. Nous vous tiendrons au courant.

Fatima raccrocha, l’air satisfaite, la main droite toujours posée sur la cuisse de la jeune Française.
- Voilà une bonne chose de faite. Il n’est pas compliqué, ton mari.

Clémence se dit que son mari n’imaginait pas les intentions réelles de la belle Marocaine. Il était sans doute rassuré que son épouse parte avec son amie, pas avec un autre homme, soupçonnant qu’elle était infidèle.
- Et toi, ton mari, il ne dit rien ? dit Clémence à son amie
- Ne t’inquiète pas pour Youssef. Il a sa vie. J’ai la mienne.


***

Le trajet se déroula dans le silence. Clémence, épuisée par le trop-plein d’émotions, s’était assoupie. Fatima, tout en conduisant d’une main assurée, lui caressait doucement les cheveux. Elle ne réveilla pas celle qui allait devenir son amante, jusqu’à leur arrivée.

Quand elles franchirent les portes du Riad, Clémence fut éblouie. L’endroit semblait tout droit sorti d’un rêve : une immense bâtisse aux murs fleuris, une grande fontaine et des salons tapissés de soie et de coussins épais. Une odeur de jasmin flottait dans l’air. Clémence resta sans voix. Fatima la prit par la main et l’emmena directement dans la suite du premier étage, donnant sur une cour intérieure, baignée de lumière.

- C’est ici que tu vas te reposer, ma belle. Moi, je vais m’occuper de toi comme tu le mérites. On va passer du bon temps, juste toi et moi. Commençons par éteindre nos mobiles, pour être tranquilles, que nul ne nous dérange.

Clémence se laissa déshabiller avec tendresse. Fatima s’agenouilla près d’elle et sortit la petite trousse contenant les crèmes prescrites par le médecin.

- Allonge-toi sur le ventre, ya aziza. Il faut le nettoyer doucement… Ce petit endroit précieux.

Clémence obéit, un frisson lui parcourant l’échine. Elle s’attendait à une sensation froide, mais ce fut tout le contraire. Les doigts de Fatima étaient précis, mais délicats, caressants. Elle nettoya la zone meurtrie puis appliqua une fine couche de crème cicatrisante, tout en soufflant légèrement pour apaiser la brûlure.

- Tu es si belle… Même ainsi, offerte, blessée, vulnérable. Je vais prendre bien soin de toi.

Elle ponctua ses mots d’un baiser, d’abord sur la hanche, puis sur le creux des reins, puis un peu plus haut. Clémence ferma les yeux, appréciant les baisers sur son corps. L’espace d’un instant, l’image de sa mère avec sa femme Nadine lui traversa l’esprit. Elle n’a jamais été homophobe mais n’a jamais non plus compris l’attraction ou même l’amour qu’il pouvait y avoir entre deux personnes du même sexe et, pourtant, elle appréciait la présence de Fatima et plus encore, ce contact physique avec elle.

- Tu n’as rien à craindre ici, ma douce, continua Fatima en inondant de baisers le dos et la nuque de Clémence.

Elle s’allongea à ses côtés et l’enlaça. Le corps chaud de la Marocaine contre le sien provoqua une étrange montée d’adrénaline. Clémence était confuse, perdue entre culpabilité et désir, mais elle se laissa faire, quand Fatima glissa sa main sur sa poitrine, quand ses lèvres vinrent explorer la peau de son cou. Elle n’avait jamais connu cela : une femme qui la touchait avec tant de lenteur, de patience, comme si chaque centimètre de son corps était un secret à découvrir.

- Je vais bien t’aimer, ma belle. Je vais te montrer un autre type de plaisir…

Un murmure s’échappa des lèvres de Clémence :

- Oui… Je le veux aussi…

Fatima se redressa lentement et se dévêtit à son tour, dévoilant son corps généreux, splendide. Puis elle se pencha sur Clémence et l’embrassa passionnément, obligeant cette dernière à ouvrir la bouche, leurs langues se rencontrant.
- Tu es magnifique, je vais m’occuper de toi, dit Fatima entre deux baisers.

Sa main glissa lentement le long du corps de Clémence, s’arrêtant à son intimité. Cette dernière sursauta.

- Laisse-toi faire ma belle, je sais comment te donner du plaisir.

Clémence ne résista pas. Elle ferma les yeux, profitant du plaisir procuré par son amante. Fatima savait exactement ce qu’elle faisait, où la toucher et pour cause : elle n’était pas à sa première relation avec une femme. Elle avait toujours été bisexuelle depuis qu’elle était adolescente.

Youssef n’avait pas du tout été rebuté par cet aspect d’elle et y voyait même une opportunité. Celle d’avoir à la fois une femme avec qui avoir des parties à trois et une chasseuse de proie. Au départ, Fatima avait eu une puissante attirance physique pour la belle Clémence. D’une certaine façon, comme le faisait Zakaria, elle servait de rabatteuse à Youssef. Et voilà qu’autre chose était en train de se passer : Fatima se rendait compte qu’elle était en train de tomber amoureuse de la jeune Française. Cela ne lui était jamais arrivé et ça changeait tout !

Il ne fallut pas longtemps à Clémence pour jouir très fort en lâchant un grand gémissement.

- Voilà… Laisse-toi aller… Tu es magnifique quand tu t’abandonnes, enti dyali.

Elle l’embrassa partout, caressa son ventre, ses flancs, la fit frissonner à la pointe des seins, la fit trembler sous les lentes explorations de sa langue. Clémence se surprit à gémir, à écarter les jambes, à réclamer davantage, sans honte.

Quand le deuxième orgasme la traversa, Clémence eut l’impression de renaître. C’était différent de tout ce qu’elle avait vécu jusqu’ici. Essoufflée, elle se pelotonna contre Fatima.

- Je t’aime Fatima, je t’adore.
- Je t’aime aussi ma belle, mais nous n’avons pas encore terminé. Tu ne sais pas encore tout ce que ton corps est capable de ressentir, murmura-t-elle, ses lèvres à peine éloignées de l’oreille de Clémence.

Elle se redressa, laissant glisser les draps et révélant à nouveau sa poitrine. Clémence, encore timide, tendit la main et, d’un geste incertain, effleura le galbe d’un sein. Fatima soupira, refermant sa paume sur celle de la jeune Française, l’encourageant à aller plus loin.

- Ne sois pas timide, habibti. Je veux que tu me touches. Que tu me découvres. Que tu me goûtes.

Fatima se pencha et embrassa Clémence à pleine bouche. Puis la langue descendit lentement, suivant la ligne du ventre, s’attardant au creux du nombril. Chaque baiser était précis, chaque léchage un serment silencieux.

Quand elle atteignit la toison brune et soyeuse qui dissimulait l’intimité de Clémence, Fatima releva les yeux vers elle.

- Tu veux que je te lèche, n’est-ce pas ? Que je te montre des choses qu’aucun homme ne sait faire ?

Clémence, surexcitée, hocha la tête, incapable de prononcer un mot.

Alors, d’un geste sûr, Fatima écarta doucement les lèvres gonflées de la vulve.

Sa langue s’y posa, à peine. Clémence émit un gémissement bref. Puis Fatima entama une lente et savante exploration, léchant, aspirant, traçant des cercles autour du clitoris avant de le prendre entre ses lèvres.

Sa langue tourbillonnait, glissait, s’enfonçait parfois un peu plus bas, effleurant l’entrée humide du vagin de Clémence, puis remontait. Les hanches de la jeune femme bougeaient d’elles-mêmes, réclamant plus, s’ajustant au rythme imposé par la bouche experte.

Clémence n’avait jamais ressenti une telle chose. Ce n’était pas une ruée vers l’orgasme, c’était un crescendo maîtrisé, une montée délicieuse, exaltante. Ses doigts s’agrippèrent aux draps, puis aux cheveux de Fatima, la retenant contre elle.

- Continue, supplia-t-elle. Ne t’arrête pas… Je… Je vais… Ohhhh… Je t’aime… Oui…

Fatima redoubla de douceur et d’intensité à la fois. Elle suçait désormais le clitoris avec une régularité affolante, tandis que deux doigts, glissés en elle, imprimaient un va-et-vient profond, lent et humide.

Clémence feula, puis cria, incapable de retenir le flot de plaisir qui la submergeait.

Elle jouit violemment, son ventre contracté, ses jambes serrées autour de la tête de sa maîtresse. Le corps parcouru de spasmes, le souffle court, elle se sentit comme vidée et en même temps plus vivante que jamais. Fatima remonta le long de son corps et la serra fort.

- Voilà, dit-elle dans un murmure victorieux. Maintenant, tu es à moi. Tu es ma femme, désormais !
- C’était encore mieux que je ne l’imaginais, dit Clémence, dans un souffle, comme en transe.
- Et tu n’as encore rien vu. Nous avons encore beaucoup de choses à découvrir, répondit Fatima avec un sourire coquin.

Clémence se leva sur un coude.

- Maintenant, je voudrais essayer de m’occuper de toi comme tu l’as fait avec moi.

Fatima sourit.

- Volontiers.

***

Pendant que Clémence vivait ses heures les plus douces dans l’enceinte luxueuse du Riad, dans les bras protecteurs de Fatima, un autre théâtre se jouait à Rabat.

Youssef, qui contrôlait toute l’histoire, n’avait rien laissé au hasard. Il savait que la tromperie de Clémence envers son mari éveillerait tôt ou tard des soupçons. Il voulait que ce moment arrive plus tôt que prévu, et surtout, qu’il soit ravageur.

Zakaria, sur ordre de son mentor, avait tenté à plusieurs reprises d’appeler Clémence. Il avait d’abord envoyé des messages, doux, aguicheurs, presque tendres. Puis, face au silence de la jeune femme, il avait haussé le ton, les texto étaient devenus menaçants, jaloux, rageurs. Et toujours, rien. Pas une réponse, pas un appel en retour.

Alors, l’adresse de Clémence obtenue auprès de Youssef, Zakaria se rendit chez Michel et Clémence.

Il arriva en furie, vêtu simplement d’un jean élimé et d’un t-shirt noir. Il ne frappa pas simplement à la porte, il cogna de toutes ses forces.

Michel, rentrant à peine d’une réunion à l’ambassade, s’apprêtait à se servir un verre lorsqu’il entendit les coups violents sur la porte. Il se dirigea vers la porte, tremblant, et l’ouvrit.

Zakaria surgit devant lui, le regard noir, prêt à en découdre.

- Où est ta putain, cocu ?

Michel, d’abord figé, tenta de comprendre ce qui lui arrivait. Devant lui, cet inconnu au visage menaçant, aux traits marqués par la colère, semblait dangereux.

- Pardon ? Qui êtes-vous ?! Qu’est-ce que…

Zakaria s’approcha à grandes enjambées, le dominant de sa haute taille.

- Tu ne sais pas ? Ah, tu fais semblant ! T’es encore plus pathétique que ce que j’imaginais. Je suis l’homme qui baise ta femme pendant que tu bosses comme un bon petit toutou.

Michel recula d’un pas, le cœur battant, sans pouvoir répondre. À la fois choqué par la révélation de Zakaria et intimidé par ce dernier.

- Elle se fait sauter, ta sainte épouse, continua Zakaria avec sadisme, excité par la peur de Michel. Elle se fait éclater par moi, par un vrai mec.

Michel blêmit, tentant de garder contenance. Il voudrait que ce soit une blague, le délire d’un fou, une erreur. Mais l’homme en face de lui ne délirait pas. Il avait ce regard satisfait, cette cruauté tranquille de ceux qui savent qu’ils détruisent quelque chose.

- Écoutez-moi bien, dit Michel d’une voix tremblante mais tentant de rester calme. Je ne sais pas qui vous êtes, ni ce que vous croyez savoir. Mais si vous continuez ce cirque, je vais devoir appeler la police.

Zakaria éclata de rire.

- La police ? T’es mignon, toi. Va appeler la police et dis-leur quoi ? Qu’un mec est venu t’apprendre que ta femme est une vraie salope ? Tu veux que je te montre les vidéos ? Les texto ? Je les ai tous. Elle gémit comme une catin quand je la prends. Et tu sais quoi ? Elle aime ça.

Michel, à bout, ouvrit la porte, la voix brisée.

- Sortez. Sortez immédiatement d’ici !
- Avec plaisir, cocu. Tu diras à ta femme que je n’aime pas qu’on m’ignore et qu’elle a intérêt à venir chez moi se faire baiser par tous ses orifices. D’ailleurs je te laisserai regarder une prochaine fois. Aller bonne nuit, le cocu.

Et il partit, calmement.

Michel resta là, les poings crispés, les yeux vides. Tout venait de se fissurer. Il ne savait pas ce qu’il devait croire. Mais dans son esprit, une certitude naissait : ce n’était pas un mensonge.

Les avis des lecteurs

La suite de cette série (chapitre 5) paraitra ce dimanche 20 juillet

@ Sarah, merci ma douce! Nous pouvons être fières, toi et moi, de notre travail en commun et de l'audience de cette série, tout particulièrement de ce chapitre.
Je veux exprimer ici un immense merci envers toi. Bisous

Histoire Libertine
@Alain, merci !
@Dyonisia, tout à fait, les "misérables" sont également de fidèles lecteurs comme tu peux le constater. Je n'avais pas le moindre doute que ce chapitre en particulier allait être intéressant pour toi !
@Micky, bien vu, le Maroc, comme d'autres pays, regorge de ce genre de pratiques. Seulement, tout est gardé dans le secret car presque tout est mal vu et presque tout est pénal.

Sarah T.

@ Micky, Merci beaucoup. Oui Fatima est un personnage central de cette série.

Voilà enfin l'arrivée de Fatima que j'attendais. Ce texte exotique montre bien le goût prononcé des hommes et des femmes de cette région pour le sexe malgré (ou à cause) du poids démesuré de la religion. J'espère que Fatima se fera sauter par un homme, j'aimerais découvrir son comportement sexuel. A part ça, j'aime bien l'expression "bouche à pipe"...

@ Dyonisia, merci de ce résumé parfait: misère des lâches contempteurs, plaisir des lecteurs et lectrices et, pour moi, comme pour Sarah, c'est ça qui compte!

Le site a escamoté mon premier commentaire, mais heureusement ce récit n'a besoin d'aucune critique laudative pour asseoir son succès.
Par contre, je remarque combien la misère intellectuelle perce sous les avis nauséabonds de quelques malotrus (sont-ils plusieurs, d'ailleurs ?) qui semblent ne venir lire que pour entretenir leurs frustrations sexuelles.
Quant à moi, quant à nous devrais-je dire, lectrices rodées aux charmes de Sappho comme simples amatrices des plaisirs de la plume et de l'érotisme, nous nous délectons des histoires concoctées par Olga et Sarah.
Et bien sûr, n'étant nullement exclusives, nous sommes heureuses de partager ce bonheur avec les si nombreux lecteurs qui savent l'apprécier.

@ Alain, merci!

Histoire Erotique
J'adore ce récit !

Alain

Histoire Erotique
J'attendais cette suite avec impatience et je n'ai pas été déçu ! J'adore ce récit !

@ André, celui-ci est paru
@ Sarah, un grand merci et beaucoup de bisous

Histoire Libertine
@Olga, tout à fait ma chère.
@Luc, merci beaucoup !
@Didier, vous résumez bien la situation, à presque quarante ans, ces "braves" doivent se cacher derrière un écran pour cracher leur frustration et leur haine comme des adolescents. J'ai honte pour eux !

Sarah T.

Histoire Erotique
j'avais envoyé un commentaire. Il n'est pas en ligne.
André

@ Didier, je pense pouvoir parler au nom de Sarah pour dire combien nous apprécions ton soutien et ta sympathie. c'est précieux, comme celle des lecteurs et lectrices qui nous suivent fidèlement

Histoire Erotique
@Luc,
Merci pour votre soutien, face à ce genre de malfaisant l’union fait la force.
@Olga, Sarah,
Je comprends qu’ignorer ces "fidèles" lecteurs malfaisants en soi, pour qui je n’ai que mépris, est probablement la meilleure des solutions. Toutefois, je ne peux concevoir de ne pas réagir face à ce genre de propos outrancier et injurieux.
Je donne peut-être des coups d’épée dans l’eau en faisant cela, mais il faut que ces énergumènes immatures, frustrés et aigris comprennent bien qu’ils ne peuvent ainsi en toute impunité déposer de tels commentaires sans en avoir à subir les conséquences. De tout manière j’ai bien remarqué que par lâcheté, ces si "courageux" lecteurs ne réagissent qu’aux réponses d’Olga, n’ayant pas, égaux à eux même, la témérité de s’en prendre à tout ceux qui leur tiennent têtes…
Vous avez toute ma sympathie et mon soutien.
Didier

Merci Luc
@ ma chère Sarah, merci pour cette seconde série de réponse. "Lecteur anonyme 4" (nous sommes d'accord sur l'identité probable de ce misérable) a réussi à t'énerver, ma douce. J'ai l'habitude de ses injures et je n'y porte plus aucune attention, mais s'en prendre à toi (et à travers nous à toutes les femems hypersexuelles), c'est insupportable! Bisous ma belle

Histoire Erotique
@Mélissa, merci infiniment !
@Julie, merci et nous espérons que la suite vous donnera satisfaction.
@Luc, les choses ne sont jamais simples avec l'hypersexualité, ça peut altérer le libre arbitre et les choix.
@Didier, vous êtes trop gentils Didier de répondre à certains "vers de terre" qui, comme vous l'avez bien signalé, n'ont même pas le courage de signer. Ils semblent qu'ils soient néanmoins de fidèles lecteurs haha !
@Olga, avec grand plaisir ma belle !

@lecteur_anonyme ou plutôt Kamal, il vaut mieux pour toi que tu arrêtes tes enfantillages, car si je commence à m'intéresser à ton cas, ça ne se passera pas du tout bien pour toi. Si Olga a choisi de t'ignorer, tu n'es pas à l'abri de moi et je peux t'atteindre chez toi. Si tu veux tester la véracité de mes paroles, continue à tes risques et périls.

Sarah T.

Histoire Erotique
Je partage, moi aussi, la colère exprimée de façon excellente par Didier. Il a dit exactement ce que je pensais écrire.
Ces anonymes, qui viennent ici insulter les auteures, sont des lâches. Et des pauvres types!
Luc

Merci cher Didier pour cette réaction de colère.
Pour ma part, face à la lâcheté, je choisis d'ignorer ces gens que je méprise.

Histoire Erotique
@Vous le malfaisant, vous n'avez toujours rien compris.
Quand comprendrez-vous enfin que nous n'avons nullement besoin ici de vos commentaires porteurs de haine.
J’ajouterai que si Olga et Sarah, ces deux auteures que j’apprécie énormément, ne sont pour vous que ce que vous prétendez dans votre commentaire, pour moi, vous n'êtes rien d'autre que quelque chose de malodorante sur laquelle on marche par mégarde et je reste poli. Oui un pitoyable macho, frustré et nuisible, "courageux" dans la verve, mais qui par lâcheté se cache derrière son anonymat de peur de subir les foudres du "fan club d'Olga".
Foutez-leur la paix une fois pour toute ou il vous en cuira…
Didier

Histoire Erotique
Bien évidemment que c'est à Olga que je faisais allusion, car je la connais bien et je l'affirme: c'est une salope de la pire espèce. Même si j'imagine que Sarah n'a rien à lui envier!

Je voulais informer mes lecteurs qu'HDS a, à nouveau, modifié le rythme des publications.
j'avais envoyé jeudi dernier un récit historique qui paraitre ce dimanche 13 juillet!
Dans ces conditions, je retarderai de quelques jours l'envoi du chapitre 5 de la série Clémence.
Je profite de ce message pour remercier Norbert.

Histoire Erotique
Bravo Didier ! Qu’on laisse Olga en paix !
Norbert

@ Robert, en effet!
@ Henri, Michel est paralysé, pas par faiblesse ou lâcheté, mais parce qu'il est amoureux fou de Clémence
@ lecteur anonyme 1, oui mon vécu et celui de Sarah
@ Steph, réponse en MP
@ lecteur anonyme 2 (je numérote à partir du plus ancien commentaire) @ lecture anonyme 3, vous êtes sévère envers Clémence. elle le mérite en grande partie, mais n'a-t-elle pas des "circonstances atténuantes, comme l'ont bien expliqué Luc et Didier,
@ Mélissa, on s'en doutait!
@ Julie, merci!
@ Luc et Didier, vous avez tout dit
@ Didier, je crois avoir une idée sur l'identité du "courageux" lecteur anonyme 4, un de ceux que tu as appelé "les malfaisants". Je pense donc que c'est moi que ce lâche vise et pas notre chère Sarah
@ Ma douce Sarah, merci pour ton intervention, qui a pallié mon indisponibilité en journée. Tu es formidable, ma belle!

Histoire Erotique
N'en déplaise à ce courageux et malfaisant lecteur, se permettant de juger les auteures, sans avoir toutefois la témérité de signer son déplaisant commentaire, mais je partage également et totalement l'avis de Luc.
En effet, Clémence est victime de son addiction au sexe, mais fait surtout l'objet d'une infâme vengeance ourdi par ce salaud de Youssef, et dont Zakaria en est l'instrument.
Didier

Histoire Erotique
Je suis d’accord.
Clémence ne mérite pas la moindre sympathie
C’est une salope, à l’instar de celle qui a conçu ce personnage à son image!

Histoire Erotique
En réaction à un précédent commentaire je reconnais que Clemence n’est pas privée de son libre arbitre
Mais n’est-elle pas aussi victime d’un prédateur (Zakaria) d’un salaud (Youssef) et de son addiction sexuelle ?
Quant à Fatima, quel rôle joue-elle?
Les choses ne sont pas simples !
Luc

Histoire Erotique
Je n'arrive pas à éprouver une quelconque sympathie envers clémence... Pourvu qu'elle récolte ce qu'elle a semé, mais j'en doute... Pauvre Michel... Encore une histoire de cocu humilié...

Histoire Libertine
La collaboration entre Olga et Sarah produit des résultats exceptionnels
On ne peut qu’attendre la suite avec intérêt !
Julie

Histoire Libertine
@ Sarah @Olga, vos récits me font toujours le même effet
Encore!
Mélissa

Histoire Erotique
Michel avait des doutes mais préférait sans doute faire l’autruche
Maintenant il doit commencer à avoir des certitudes
Il attend quoi pour se séparer de cette garce?

Histoire Libertine
@Maurice @Clara, merci beaucoup !
@Didier, vous avez un vértiable don pour anticiper les événements. Nous dirons que l'amour de Fatima pour Clémence est important pour l'instant. Merci pour votre fidélité et pour votre analyse pertinente.
@Marc, le véritable ennemi c'est Youssef en effet.
@Robert, pas le moins du monde !
@Henri, que pourrait il faire à ce niveau ? La situation est devenue hors de contrôle.

Sarah T.

Histoire Libertine
@ Olga, j'aimerai tant rejouer avec toi ce que Fatima fait à Clémence! Je me suis caressée en lisant cette scène saphique magnifique et en pensant à toi;
Steph

Histoire Erotique
On sent le vécu derrière ce récit fictif!

Histoire Erotique
Pauvre Michel! J'espère qu'il va réagir et vite!
Henri

Histoire Erotique
Ce n'est pas la déontologie qui étouffe ce médecin!
Robert

@ Maurice et Clara, merci!
@ Didier, Fatima est à la croisée des chemins. Au départ, elle était complice de Youssef et Clémence était une proie. Les choses semblent évoluer et Fatima ressent quelque chose de fort pour Clémence. va-t-elle oser s'opposer à l'abominable Youssef? c'est l'une des questions pour la suite du récit
@ Marc, je confirme!

Histoire Erotique
Ce Zakaria est une petite frappe
Mais le vrai salaud est Youssef!
Marc

Histoire Erotique
Sarah, Olga,
Merci pour ce magnifique écrit où, après toute cette débauche de "sexe bestial" des précédents chapitres, la tendresse, la passion et l’amour trouvent enfin leurs places dans le récit et se font ainsi prédominant dans ce texte.
En effet, et comme je le craignais Clémence fait appel à Fatima pour la sortir du mauvais pas dans lequel elle se trouve, mais finalement c’est un mal pour un bien. Oui car dès leurs retrouvailles, étant tombée amoureuse de celle qui était initialement sa proie, Fatima fait preuve d’une extrême tendresse envers une Clémence, qui se sentant en totale sécurité avec son amie, sa sauveuse, s'abandonne totalement aux baisers et aux caresses de celle-ci. Puis après avoir fait consulter Clémence par Daoud, l’un de ses amis médecin, remercié délicieusement sur le champ, Fatima entraine dans son Riad une Clémence, ayant désormais fait "sauter tous les verrous", pour lui faire découvrir, le temps de sa convalescence, les plaisirs, les jouissances que procurent les ébats saphiques.
Cependant de son côté Youssef décide de précipiter les évènements à l’encontre de Michel. Et c’est ainsi que Zakaria, sans nouvelles de Clémence, se rend chez le couple et a une vive altercation avec un Michel totalement dépassé, surpris par ce qu’il entend et dans l’esprit duquel la graine du doute, du soupçon vient d’être semée…
Une chose m’interpelle, pour Fatima cet amour pour Clémence a tout changé. Où veut-elle en venir en pensant cela ?
Protéger Clémence en la gardant pour elle seule ? Oui, va-t-elle cessé d’aider Youssef, voir s’opposer à lui et à son plan scabreux ? Fournir un démenti formel sur les propos de Zakaria en confirmant les alibis de Clémence ? Ou tout simplement dire toute la vérité à Clémence et Michel ? Oui va-t-elle leur avouer que cette rencontre, cette relation adultère n’étaient qu’un coup monté une vengeance de Youssef ?
Didier

Histoire Libertine
La scène d’amour entre Fatima et Clemence est de toute beauté
Clara

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Je l’attendais avec impatience
J’ai adoré !
Maurice



Texte coquin : « Clémence » (4) : Fatima.
Histoire sexe : Une rose rouge
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