« Josy » : La petite salope chez Bebel, le menuisier ébéniste. Épisode 20

- Par l'auteur HDS Perruche -
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Récit libertin : « Josy » :  La petite salope chez Bebel, le menuisier ébéniste. Épisode 20 Histoire érotique Publiée sur HDS le 12-01-2022 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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« Josy » : La petite salope chez Bebel, le menuisier ébéniste. Épisode 20
Pendant les deux derniers mois de l’année 76, je n’avais pas eu, une seule minute à moi. Avec la guinguette qui remplissait le restaurant pour l’hiver, le retard sur le chantier, les négociations avec le brasseur désirant placé un bar de trente mètres de long à l’intérieur, me certifiant que plus le comptoir était grand, plus les clients consommaient, l’inauguration de la discothèque à préparer et cette dérogation, j’étais débordée. J’avais pourtant pris le temps de faire la connaissance d’un type qui par la suite me sera fort utile, j’étais vraiment née sous une bonne étoile. Mais je vous reparlerai un peu plus tard de ce fameux Jean-Paul.

Patrice mon bel et nouvel amant, vivait seul dans sa grande maison à Facourt/Drèze, néanmoins il avait une maitresse régulière, une jeune femme de son âge, divorcée également, ayant deux enfants. S’ils se voyaient très souvent, celle-ci étant mère de famille, ne résidait pas chez son amant. Lui travaillait dans une société chimique spécialisée dans les travaux routiers et les aménagements urbains. Étant Directeur de l’agence, il avait la possibilité d’aménager à sa guise son emploi du temps. Il avait choisi ses permanences en mairie, les samedis matin et les mercredis de 14 à 16 h. Ce qui nous permettait de nous rencontrer chez lui vers 16h30.

Nous couchions ensemble qu’une fois par semaine, cependant nos baises étaient intenses, sauvages et idéalement jouissantes. J’étais enfin heureuse de pouvoir trouver un équilibre dans ma vie sexuelle avec Jean-Lou qui me satisfaisait le dimanche soir et une fois par semaine, parfois deux. Sans compter mes petits extras avec de beaux inconnus lorsque j’en rencontrait un au hasard de la vie. Avec Patrice et mon futur mari, nous poursuivions également nos discussions sur notre future collaboration à la mairie car ils m’avaient convaincu de me présenter sur la liste d’opposants.

À l’occasion de la fête des associations, prévue le samedi 22 janvier 77 au soir, Fréderic François venait chanter sous un grand chapiteau de 400 m2. En retirant la surface de la grande scène et le couloir de sécurité, celui-ci pouvait recevoir au maximum 680 personnes. Seulement d’après les demandes de réservations qui ne cessaient d’affluer, cela ne suffisait sans doute pas, ils attendaient près de mille personnes. Il fallait donc, soit de le jumeler ou en prendre un plus grand. Le prix déjà assez élevé, serait trop important pour faire de réels bénéfices :— Si vous voulez les aider, êtes-vous en mesure de financer l’excédent de la location initiale ?

Jean-Lou se leva et s’esclaffa, sans même m’avoir consultée au préalable : « Génial, nous avons même mieux à leur proposer, « La Grange à Josy » est libre à cette époque, elle peut contenir ces 1000 spectateurs debout. Nous leur permettons de faire ce concert gratuitement à l’intérieur. » Je trouvais qu’il y était allé fort dans sa générosité, Patrice, quant à lui était plus qu’heureux, cela permettrait aux associations de bénéficier de la location prévue au départ. Voyant l’enthousiasme de Jean-Lou, je ne m’y étais pas opposée et il avait eu raison car ce soir-là, nous avions vidé tous nos fûts de bière et notre recette fut à la hauteur de l’événement.

L’idée de faire de « La Grange à Josy » une petite salle de spectacle dont la sonorité intérieure était excellente, était l’occasion de l’aménager au mieux. Pour cela, Jean-Lou souleva l’idée d’y installer des gradins en bois à plusieurs niveaux, le tout démontables afin de récupérer la salle pour la guinguette en été. Je devais donc trouver un menuisier capable en un temps relativement court, pour me fabriquer l’ensemble. Notre architecte avait fait les plans de sorte que les spectateurs soient le moins gênés possible par ceux qui les précédaient. À ce moment-là que je m’étais souvenu de ce menuisier ébéniste : Jean-Paul, rencontré l’année précédente pour la première fois par hasard, au « Plazza ».

Cet homme surprenant, m’avait impressionné pour plusieurs raisons. En premier lieu, par son physique, les traits de son visage n’étaient pas très fins, il avait des airs de Belmondo. Ne dépassant pas le mètre soixante-quinze, il n’était pas très grand mais avait des épaules de taureau, un torse de cheval et le tour de ses bras bien plus grand que celui de mes cuisses, il n’avait pas un poil de graisse, tout était du muscle chez lui. Secundo, par son franc parler. En effet, ce soir-là, il était au bar lorsque j’y étais venue rencontrer un ami. Il m’accosta sans élégance en me tutoyant directement : « Salut ma belle, t’es vraiment mignonne. Tu bosses ici ? Tu prends un verre avec moi ? »
Ce goujat la quarantaine passée, me prenait pour une hôtesse, j’étais très vexée mais comme il m’impressionnait, je n’avais pas l’intention de le provoquer et désirant me mettre en valeur, je lui répondis : « Non voyons ! Je suis cliente, je tiens la guinguette à Facourt. » Il fut très surpris et semblait regretter les propos qu’il m’avait tenus : « Tu es Mlle Josy ? Ah ! C’est toi ! Excuse-moi ! » Dit-il voyant que j’acquiesçais de la tête. Si au départ, Jean-Paul m’avait foutue la trouille, je me sentis rassurée et avais continué de discuter avec lui un petit moment.

Je lui avais expliqué de manière brève mon parcours professionnel de serveuse au bistrot de la place à Beauville sur Drèze dont il connaissait Marius le patron et comment j’avais racheté le routier à Facourt. Il fut assez impressionné qu’à mon âge, je sois déjà tenancière d’un tel établissement, il savait que ce métier était difficile et me félicita. Ce fut à cet instant qu’il me demanda si je n’avais pas d’ennui avec la bande de Guerville aux Bois, celle qui avait participé à la bagarre cet été au bal populaire de Facourt/Drèze. Lui répondant par la négative, il poursuivit : — Si tu as des soucis avec eux, dis leurs que tu es une bonne amie de Bebel. Ils comprendront, c’est mon surnom, il parait que je ressemble à l’autre Jean-Paul (Belmondo). »
Françoise impatiente, me faisant des signes, je pris congé de lui. Je l’avais trouvé tellement nature et si gentil que je lui fis la bise et l’invitai à passer boire un verre au « Paradis ». Il m’avait tendu sa carte, et me dit : « Je suis menuisier ébéniste, si tu as besoin de mes services, n’hésite pas à venir me voir. Maintenant tu sais que j’existe. » Ce fut pourquoi, un an plus tard, le mardi après le service du midi, je me dirigeais chez lui à Guerville aux Bois avec mon dossier. Pendant tout le trajet qui dura une vingtaine de minutes, je m’imaginais déjà dans ses bras musclés, j’étais persuadée que cet homme saurait m’apporter beaucoup de plaisir.

Dès mon arrivée, derrière la vitrine, je le vis torse-nu avec une belle toison de poils noirs, sous sa blouse bleue, je le trouvais super sexy, ce qui me donna envie de coucher avec lui. Lorsque je me pénétrai dans son atelier et qu’il m’avait vu, il eut un large sourire et vint tout de suite m’accueillir, je m’aperçus immédiatement que cela lui faisait plaisir de me revoir et me fit la bise : « Pourquoi n’êtes-vous pas passé au paradis, je vous attendais. » Mentis-je.
— Que me vaut ta venue ? Viens ne restons pas là, je t’invite à boire un verre nous y seront mieux pour discuter.
— Attends, je te donne les plans, j’aimerais que tu me fasses un devis pour ces gradins.

Il donna le dossier à son responsable lui demandant de jeter un coup d’œil : « fais au mieux, c’est mon amie, elle repassera le chercher. » Puis laissa ses deux ouvriers et son apprenti. Nous étions allés au bar de la poste où nous étions restés plus d’une heure et demi à discuter. Cette fois, désirant en savoir plus sur ce type si fort et si gentil, j’avais insisté pour qu’il me parle de lui. Il avait l’âge de mère, quarante-quatre ans, étant jeune il avait fait son apprentissage de menuisier ici-même puis comme sa petite amie dont il était amoureux ne revenait plus, il s’était engagé dans l’armé. En revenant de son service, il reprit son travail où il était très sérieux mais lorsqu’il sortait au bal ou dans les bistrots du secteur, étant une force de la nature sachant se battre, tous les gros bras venaient le défier.

Cela avait duré une bonne douzaine d’années, il avait même passé quelques temps en prison, à la place d’un type de la bande à Guerville qu’il n’avait pas voulu dénoncer. Néanmoins lorsque son patron avait pris sa retraite, il lui proposa de prendre la suite de la menuiserie. Ce qu’il n’avait pas hésité à faire et depuis, s’il sortait encore, les choses s’étaient calmées et ne voulant plus d’histoires avec la justice, il évitait au maximum, de se battre même s’il lui arrivait encore à le faire. Cependant c’était uniquement, pour se défendre quand il sortait avec certains de ses anciens potes.

Le problème était maintenant que de plus jeunes des voyous firent grossir cette même bande et profitaient d’être nombreux pour provoquer des bagarres. Toutefois, ceux-ci le connaissant de réputation ou l’ayant vu à l’œuvre, le respectaient énormément, mais surtout le craignaient. En sa présence, s’il avait dit : « Ici je ne veux pas d’histoires ou chez mon ami, ne vous avisez pas à vous battre. » toutes les petites crapules ne s’aventuraient jamais à lui désobéir : « Je sais que tu vas ouvrir une discothèque, préviens-moi, je passerai. »
J’étais en admiration, en quelques minutes, ce type me faisait de l’effet, et je sentais qu’il était également attiré. Lorsqu’il me parlait, il me prenait souvent la main ou mon poignet, il me souriait beaucoup. Il m’avait littéralement subjugué. Nous avions fini la discussion, nos mains étaient l’une dans l’autre ou nous caressions l’avant-bras et nos jambes s’étaient entremêlées. Toutefois, je ressentais chez lui une petite réticence et lorsque je lui dis carrément qu’il me plaisait, il me sortit : « Moi aussi, je suis en train de craquer sur toi. Mais tu pourrais être ma fille voyons ! »
« Ça ne me gêne pas, tu sais, mais c’est tout à ton honneur. » J’avais des difficultés à respecter son choix. En redescendant la rue vers son atelier, avec mes hauts talons, j’étais presqu’aussi grande que lui mais je me sentais toute minuscule à ses côtés. Je lui repris la main et en inclinant ma tête sur son épaule, je lui dis le plus naturellement du monde : « Écoute Bebel, j’ai envie que tu me fasses l’amour. » Il me déposa un bisou sur mes lèvres et se tu jusqu’à destination. Devant la devanture, Jean-Paul sortit une phrase qui me marqua beaucoup : « Sache que je suis marié et père de famille, je n’ai pas trop envie de tromper ma femme. Je vais faire une exception, tu me plais trop. » Dit-il avant de me refaire un petit bisou.

À 17h10 dans l’atelier, tous les ouvriers étaient déjà partis, il me prit la main et m’attira dans son bureau, où il poussa mon dossier, me prit par la taille et me souleva comme une plume pour me retrouver assise devant lui. Je lui enlevai les boutons de sa blouse tandis qu’il retira les quatre de mon corsage pour me déposer plusieurs bisous dans le cou et sur mes épaules, tout en me soupesant mes deux seins sensuellement. Mes mains quant à elles, se promenaient sur son torse puissant jouant dans ses poils. Soudain, il se recula brusquement, comme si je l’avais brûlé et en ouvrant le dossier :— Tu m’as bien dit que tes arrière-grands-parents habitaient à Guerville aux Bois ?
— Oui ! Mais ils sont décédés depuis longtemps. Qu’est-ce qu’il te prend ? Viens continue !
— Oh putain…Non !

Dit-il en lisant le devis établi par son responsable où mon nom y figurait : « Mais tu es la fille de Colette. » Lui confirmant ses dires, il poursuivit me disant que ça ne l’étonnait pas, qu’il lui avait bien semblé que je lui faisais penser à quelqu’un : « Tu as la même poitrine que ta mère à l’époque, je la connaissais par cœur, c’est de ta mère dont j’étais follement amoureux. » Il était complètement affolé, il refermait sa blouse, tout en me demandant ma date de naissance. Il ne me disait plus un seul mot, je ne comprenais plus rien, le voyant compter jusqu’à neuf sur ses doigts puis me demanda de me rhabiller fermement : — Oh putain ! Ce n’est pas vrai !
— Tu peux me dire ce que tu as Jean-Paul à la fin !
— Oh ma puce…Comment te dire…Si ça se trouve, tu es ma fille. Ça ne m’étonne pas que je t’ai tout de suite aimé. Oh mon Dieu ! Qu’allions nous faire.

Il m’avait descendu du bureau au facilement qu’il m’y avait installée et me prenait dans ses bras en sanglotant. J’étais moi aussi surprise par ce qu’il venait de m’apprendre, toutefois je ne pouvais pas parler tellement il me serrait contre lui. Sans vouloir lui faire de la peine, je ne lui avais pas dit que j’avais toujours entendu dire, qu’à l’époque elle couchait avec plusieurs hommes mariés :— Tu crois vraiment que tu pourrais être mon père ?
— J’en suis certain, je le ressens, il faudrait demander à ta mère. Habite-t-elle encore dans la région ?
— Oui ! elle va se marier avec le fils du docteur André M résidant à Beauville sur Drèze.

Bebel était blanc comme un linge, j’essayais toutefois de le rassurer, en lui faisant comprendre que l’on ne savait pas et qu’il ne s’était rien passé de bien grave. Ce n’était pas la fin du monde, que j’avais 26 ans et que je n’étais plus une enfant. Dans la précipitation, nous ne nous étions même pas roulé une pelle, que des bisous et un malaxage de poitrine, c’est tout. Après plusieurs minutes à le prendre dans mes bras, il avait de repris ses esprits. Puis il me promit que s’il était réellement mon père qu’il ferait tout, pour me reconnaitre : — Et ta femme que dira-t-elle ?

Il insista sur le fait que Michèle était une femme très intelligente et qu’elle connaissait tout de lui. Qu’ils s’étaient mariés tardivement et qu’elle saurait comprendre : « Ne t’en fait pas, je te présenterai, j’en fait mon affaire. De ton côté, parles-en à Colette, il faut que l’on en soit sûr. » Quelque part, maintenant qu’il y avait cette possibilité, j’espérais de tout mon cœur que Jean-Paul soit réellement mon père. Cet homme était tellement bien à tout point de vue que je serais très déçue qu’il ne le soit pas. J’allais partir après l’avoir enlacé et embrassé qu’il me rappela : « Et ton devis ? Tu peux retirer 33%, je te fais à prix coutant. À bientôt ma fille, je t’adore, appelle-moi. »
Lorsque j’étais repartie, j’étais déjà très en retard pour la préparation du service du soir, cependant, je ne pus m’empêcher d’aller voir ma mère, j’avais hâte de connaitre toute l’histoire sur ma naissance. Assise en face d’elle dans la cuisine, son visage était devenu rouge écarlate lorsqu’elle apprit que j’avais rencontré Jean-Paul M. Je m’étais abstenue de lui dire que nous avions failli baiser ensemble : « Pour lui, il pense qu’il est mon père. Dis-moi la vérité maman, est-ce qu’il se trompe ? » Elle prit ma main dans les siennes et m’expliqua tout en détail, tout l’amour qu’ils se portaient, pendant les trois années où elle passait ses congés chez ses grands-parents :— Cela ne fait aucun doute ma chérie. Lorsque j’ai fait l’amour avec lui, peu avant le 14 juillet 49, ça faisait plus d’un mois et demi que je n’avais couché avec un homme. C’est forcément lui.
— Je comprends que tu n’avais pas pu le dire à tes parents. Mais pourquoi me l’avoir caché si longtemps ?

Maman m’expliqua les raisons de son silence. Lorsqu’elle était allée la première fois chez Jean-Paul, pour me présenter, celui-ci était déjà parti au service militaire et son père l’avait reçu comme un chien dans un jeu de quille quand il apprit que le bébé dans la poussette était sa petite fille : « Dégage de là ! Sale catin, tu crois qu’il va t’épouser, JP est parti pour toujours. Je ne veux plus que tu mettes les pieds ici. Tu m’entends ? » Elle était donc repartie en pleurant et elle n’entendit plus parler de son amour de jeunesse : « Tu sais que je pense encore à lui de temps en temps. »
Six ans plus tard, lorsqu’elle fut pour une énième fois prise par plusieurs amis d’André le docteur, elle s’était sauvée de chez lui. Elle en avait tellement marre qu’elle m’avait laissée dans la chambre et était partie pour se suicider. Sur la route, un camion devant lequel elle s’était jetée, pila à temps et l’avait prise en charge jusqu’à la gendarmerie. Elle l’avait supplié de ne pas le faire car elle savait qu’elle serait ramenée chez le gentil notable. À cet instant, ce Monsieur si sympathique qui habitait Guerville l’emmena jusqu’à chez lui.

En descendant de la cabine, elle avait accouru jusqu’à chez Jean-Paul où elle croisa son frère qui lui apprit que Bebel était en prison. Entre temps, le chauffeur avait téléphoné au médecin qui une petite demi-heure plus tard était venue la récupérer. Apprenant par le camionneur qu’elle voulait se jeter sous ses roues, André l’avait abruti de médicaments jusqu’à ce qu’elle se sente un peu mieux. Maman désirait me dire la vérité à partir de mes dix ans, mais à chaque fois le docteur lui prouvait qu’elle avait tort : « Son vrai papa c’est moi, ce vaurien n’est que son père biologique. »
Vraiment trop en retard et rassurée désormais de savoir que Jean-Paul était mon père, ce fut avec une grande joie que je m’excusai auprès de ma mère, l’embrassa très fort et lui promis de revenir le lendemain car elle n’avait pas fini toute l’histoire et de mon côté, je désirais mettre les choses au point, maman devait savoir ce qui m’était réellement arrivé.

La suite de l’histoire samedi. Merci de laisser vos commentaires, je compte sur vous. Si vous avez envie de raconter vos histoires de sexe, contactez-moi par Email, j’écrirai votre propre récit. cyp.perruche@orange.fr

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