« Josy » La petite salope insatiable en demande toujours plus. Épisode 6
Récit érotique écrit par Perruche [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 13-11-2021 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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« Josy » La petite salope insatiable en demande toujours plus. Épisode 6
Lorsque j’étais rentrée avec mon premier salaire, déjà très déçue par le comportement de Marius qui me délaissa comme une vieille chaussette après m’avoir baisée, je fus dépitée d’entendre ma mère me dire que mon chèque et le billet de 50 francs seraient mis sur son compte bancaire. Elle me laissa toutefois 20 francs en guise d’argent de poche. Heureusement que je lui avais caché mes pourboires, sinon, je n’en voyais pas la couleur. Pour le mois prochain, j’avais bien l’intention de ne pas lui donner la prime que me donnerait probablement mon patron.
Je n’avais pas le cœur à sortir cet après-midi-là, mais Gislaine avait su me motiver en me disant qu’elle avait rencontré le matin même un nouveau type et que son copain était beau comme un dieu. Ces deux bretons d’une bonne vingtaine d’années venaient d’arriver au camping avec un groupe d’une quinzaine de jeunes, filles et garçons. Nous leur avions fait découvrir notre village. Après avoir sympathisé avec le groupe, j’étais parvenue à emmener toute la bande avec moi au bistrot de la place. Lorsque nous étions au bar, j’eus droit à un grand sourire de la part de Marius qui venait de finir sa sieste.
N’ayant plus suffisamment de place, je lui avais demandé si nous pouvions utiliser la salle du PMU qui était libre. Ces jeunes semblaient ne pas manquer d’argent, ils avaient bu toute l’après-midi et prirent même l’apéritif. Mon patron heureux de sa recette me félicita et me demanda, avant de repartir chez-moi : « Ça serait bien si tu pouvais les faire revenir. » La première quinzaine d’août fit une réelle réussite, non seulement cette petite bande venait tous les jours mais j’avais également sympathisé avec d’autres campeurs du village voisin qui passaient leur matinée au bar.
Au niveau du travail tout était parfait, j’aimais vraiment ce métier. Néanmoins, Marius ne s’occupait plus de moi, il ne me parlait que pour le travail, j’avais mal de le voir me fuir. Heureusement, j’avais trouvé Alain, un type d’une trentaine d’année, le problème c’était qu’il était marié. Son épouse venant d’accoucher, il était très content de m’avoir trouvé pour profiter de ma bouche ou de ma petite chatte. L’inconvénient était que nous baisions vite fait qu’après mon service, dans les toilettes du camping avant qu’il retourne voir sa femme à la plage.
Je ne pouvais pas oublier le moment magique passé dans le bureau de Marius. Impossible de m’enlever son image de ma tête, ses baisers, ses caresses, le plaisir que j’avais ressenti lorsqu’il m’avait pénétré et les deux orgasmes successifs qu’il m’avait procurés avec sa bouche, ses doigts, sa queue. Ce colosse ne m’avait pas que possédée avec son sexe, il hantait mes pensées toute la journée et une bonne partie de la nuit. Ce n’était pas les petites baises à la va vite avec cet homme marié qui me le faisaient oublier.
Tous les jours, je n’avais qu’une seule envie, être avec Marius, de le toucher, de le sentir et de profiter de ses caresses. Alain n’avait pas le temps de m’exciter, il était toujours impatient de me baiser inconfortablement dans une cabine des sanitaires. Alors, je fermais les yeux et je m’imaginais d’être avec Marius. Même si je parvenais à jouir, mon orgasme n’était pas à la hauteur de mes attentes. Alain me labourait quelques minutes avant de se vider et une fois terminé il filait tranquillement et discrètement voir sa femme, me laissant là frustrée et déçue.
L’idée de la petite salle servant au turfistes les dimanches-matin me tournait dans la tête depuis un moment. Pour la soirée du quinze août, je dis à Marius : « Et si nous faisions une petite soirée dansante ce soir-là, j’amène les jeunes et nous faisons la fête avec le jukebox. » En effet, à cette époque, le camping n’organisait jamais ce genre de fête. Marius était un peu réticent, il n’y croyait pas. Cependant pour essayer, il me donna son accord. Avec Gislaine, nous avions fait la promo de cette soirée et le soir venu, j’avais demandé à mon patron de travailler.
Ce fut une vraie réussite, nous n’avions pas suffisamment de places pour accueillir tous les jeunes venus faire la fête. Le tiroir-caisse était rempli et mon bas de laine également avec tous les pourboires que j’avais récolté. Néanmoins, certains villageois s’étant pleins du bruit aux gendarmes, ceux-ci étaient venus le lendemain pour annoncer au patron qu’il n’était pas dans ses droits. Il devait comme pour les bals populaires, faire une demande spéciale à la préfecture.
Ce qui n’avait pas empêché les jeunes de revenir au bistrot tous les soirs. Même les garçons des villages voisins y venaient draguer les filles du camping. Les serveuses étant débordées, Marius m’avait proposée de revenir travailler tous les soirs. À la fin de l’été, le patron avait fait une super recette. C’était mon dernier jour de travail, lorsqu’il me donna mon enveloppe, j’avais mon chèque de 420 francs et 500 francs en espèce. Ayant déjà 120 francs de pourboire, je n’en revenais pas, j’étais aux anges.
Il me prit dans ses bras en disant : « Tu reviens quand tu veux ma puce, t’as été géniale. » Je ne savais toujours pas s’il me désirait encore mais après lui avoir sauté pour l’embrasser, il n’avait pas refusé : « Ton vieux est rentré ? » Me demanda-t-il. Lui ayant répondu qu’il rentrait dans la soirée, il me prit la main et me dit de le suivre. Nous étions montés à l’étage et il m’emmena directement dans son appartement.
Une fois chez lui, il m’invita à m’assoir dans son canapé avant d’aller à la cuisine déboucher une bouteille de champagne. Il revint, déposa un plateau sur la table basse, mit de la musique en sourdine et s’installa à côté de moi. Il passa délicatement son bras derrière ma tête et m’embrassa chaleureusement. Nous n’avions que très peu parlé, j’avais attendu ce moment pendant près d’un mois, j’étais heureuse. Son autre main parcourut ma cuisse, releva légèrement ma petite robe et continua son chemin jusqu’à ma poitrine où mon cœur battait la chamade.
Il prit ensuite un peu de recul, me regarda et me dit : « Je te trouve terriblement sexy comme ça, Tu es magnifique dans cette petite robe. » Il se releva et vint enlever un à un les boutons de ma robe et l’ouvrit, découvrant ainsi ma poitrine. Je me laissai aller au fond du canapé en fermant les yeux, je sentais sa main me caressant les seins un à un, ses lèvres sur mes tétons, ses baisers dans mon cou, remontant jusqu’à mon oreille. Sa bouche s’attarda sur mes tétons érigés, les mordillait, les suçait, aspirant presque tout le mamelon.
D’un geste rapide il enleva entièrement ma robe, s’agenouilla devant moi et plongea sa tête entre mes cuisses. Il suçait, léchait et aspirait mon clitoris puis sa langue s’enfonça entre les lèvres humides de ma petite chatte, dégustant le fruit de mon excitation. Sa bouche s’occupait de mon intimité mouillée, tandis que ses mains pétrissaient encore et encore mes seins qui semblaient se gonfler de désir. Je poussais des gémissements et même des petits cris incontrôlables, en me tordant sur son canapé.
Je venais de jouir sous ce cunnilingus dont il était passé maitre en la matière. A peine remise de ce bel orgasme, il se releva, finit sa coupe de champagne et me tira par les jambes au bord du canapé. Il enleva son pantalon et son slip pour en sortir sa queue raide et gonflée. Il prit son sexe en érection dans sa main et frotta son gland turgescent sur ma vulve et mon clitoris, en contre avant de pénétrer lentement ma petite chatte. Sa bite épaisse, dure comme un roc, me laboura les parois de mon vagin et buta au fond de mes entrailles.
Je sentais son impressionnant sexe entrer et sortir en moi de toute sa longueur. Sans le voir, j’imaginais son pieu faire des allers et retours dans mon vagin dans un rythme effréné. En me tenant fermement par les hanches avec ses deux grandes mains, il intensifia ses va et vient, je poussais et essayais de suivre l’accélération de ses mouvements. J’explosai très vite dans un deuxième orgasme en projetant ma mouille sur ses cuisses et en inondant son pubis.
Il attrapa alors mes pieds et les leva jusqu’à ses épaules, j’avais les jambes écartées, mes chevilles de chaque côté de son cou. Sans interruption, il continua à me baiser violemment et sans ménagement, il me défonçait. Cette position favorisait la profondeur ses va et vient, ses coups de reins se faisaient de plus en plus forts, j’avais l’impression que sa queue devenait plus grosse, qu’elle me déchirait les chairs. Je sentais ses couilles frapper contre mes fesses. Mes mains se crispèrent, s’agrippèrent aux coussins, lorsque je criai de plaisir pour un troisième orgasme.
Me voyant ainsi, me tortiller de plaisir, il éjacula enfin en moi, remplissant ma chatte de son sperme chaud et abondant. Il termina de se vider les bourses en lâchant râle puissant de mâle satisfait. Il m’avait épuisée, anéantie même. Je n’avais jamais vécu autant d’orgasmes en si peu de temps. Marius était bien l’homme de ma vie, capable de me procurer un plaisir immense. J’étais incapable de bouger ou de me relever. J’étais restée un long moment, effondrée sur le canapé, reprenant mes esprits, pendant qu’il se resservit une flute de pétillant.
Je sentais son sperme s’échapper de mes grandes lèvres et couler jusqu’à mon anus mouillant ainsi la couverture recouvrant son canapé. Après avoir siroté son verre, assis à mes côtés me tenant dans ses bras, il m’embrassa tendrement. J’étais bien, en sécurité, blottie ainsi contre lui, mais quelques minutes plus tard, le désir refaisait surface, je me glissai à genoux entre ses jambes, sa belle bite n’était pas encore ramollie. Je l’avais pris à pleine bouche afin de lui redonner des forces et de la vigueur :— Tu dois rentrer chez toi Josy. Laisse-moi un peu de jus pour Christiane, elle mérite que je la contente.
Il se faisait tard, il devait faire la fermeture avant de se coucher car il partait de bonheur le lendemain pour deux semaines de congé bien mérité et ne revenir que pour la fête du village. Ce soir-là, si j’étais très heureuse pour mon salaire, j’étais doublement déçue. Je dus rentrer chez-moi, sans avoir pu reprendre du plaisir avec mon colosse, et en plus je n’allais pas le revoir pendant quinze jours. Je me demandais bien comment j’allais le supporter.
Le lendemain matin, sachant que j’étais très fatiguée par mon travail, ma mère m’avait gentiment laissé la permission de faire la grâce matinée. À mon réveil, j’étais revenue à la triste réalité de ma vie. André était rentré de chez sa sœur et me faisait déjà des remarques désobligeantes, pendant que je prenais le café à la cuisine. Ma mère qui avait récupéré le chèque de mon salaire et 50 francs que j’avais laissé dans l’enveloppe, était revenue ce samedi midi avec le Solex S3800 luxe qu’elle m’avait offert afin que je puisse dès le lundi partir au boulot à la confiturerie.
Après le déjeuner, l’ambiance étant encore très tendue entre ma mère et le docteur, j’étais allée en ville avec mon nouveau vélomoteur faire les boutiques avec une partie de l’argent que j’avais discrètement dissimulé. Je m’étais acheté de nouvelles tenues bien plus sexy que celles que je portais habituellement. Puis j’étais allée rejoindre mon amie Gislaine. Elle aussi était triste, son dernier copain était rentré à Paris, nous nous retrouvions donc sans nos amants et le camping avait fermé ses portes.
Sur la plage où nous étions allées nous balader, aucun jeune du village ne nous intéressait, soit ils étaient avec leur copines, soit ils étaient trop jeunes. Soudain, les deux fils du boucher s’approchèrent de nous et nous proposèrent de faire un tour dans les bois de l’étoile. Gislaine n’était pas chaude pour venir avec nous, cependant ne lui cachant rien, je lui avais dit deux mois plus tôt que Simon était très bien monté et que même si ce n’était pas un expert en la matière, je m’étais bien amusée avec son engin entre les jambes.
Elle accepta donc de venir avec nous et monta sur sa moto, pendant que je grimpais sur celle de Patrice qui avait abandonné Nicolle, sa future femme pour l’après-midi. Dans une minuscule clairière à l’abri des regards indiscrets, nous nous étions retrouvés tous les quatre nus comme un ver. Ce jour-là, nous avions tout partagé, les queues des fils du boucher, passèrent d’une bouche à l’autre et de la chatte charnue de Gislaine à la mienne pour notre plus grand plaisir. Le soir même, elle était retournée dans la cabane en bois rejoindre Simon et depuis ils ne se quittait plus.
Le soir après le diner, ma mère était une nouvelle fois de sortie, le docteur se retrouvant seul, ils s’étaient encore fâchés tous les deux : « Je ne suis pas ta propriété. » Lui avait-elle crié avant de quitter la demeure en colère. Il faut dire que maman n’avait que 37 ans à l’époque et qu’elle était toujours aussi désirable. Je savais aussi que son aventure avec Jean-Charles le fils du docteur, se poursuivait au nez et à la barbe de son père et de son épouse. Colette allait retrouver son amant et ne rentrerait que tard dans la nuit après avoir pris son pied avec le jeune médecin.
J’étais si fatiguée, que je n’avais pas attendu pour monter dans ma chambre. Je m’étais endormie rapidement en pensant toujours à Marius qui allait me manquer. Vers minuit, je sentis soudain une main qui se plaqua contre sa bouche et une main puissance me relevant ma nuisette jusqu’au menton. Surprise et prise de panique, j’essayai d’hurler, mais mes cris furent étouffés par la poigne du docteur qui maintenait ma bouche fermée.
André qui s’était abstenu pendant tous ses congés, était en grand manque sexuellement parlant, ma mère ne lui ayant pas donné satisfaction, il voulait me baiser, sa queue longue et épaisse, sortie de son pantalon de pyjama, était en pleine érection. Très vite la stupeur laissa la place au désir, pourtant j’avais baisé toute l’après-midi, malgré cela mon désir de me faire prendre de force par celui qui m’avait dépucelée, m’excita fortement. André s’en aperçut immédiatement en enfilant un de ses doigts dans ma fente, ma chatte était déjà bien mouillée.
Seulement, je n’avais plus l’intention de m’offrir à lui, il m’irritait et me faisait la tête depuis deux mois. Sa main libre allait et venait entre mes cuisses, j’essayais sans grande conviction de me dégager, mais il insistait, il se doutait bien que je céderais à ses avances comme j’avais pu le faire par le passé. Ces doigts me fouillaient et cela m’excitait, je mouillais encore : « Ta petite chatte est trempée petite salope, je vais t’enculer. Je suis sûr qu’il t’a baisée comme il a baisé ta mère le Marius. » J’étais horrifiée d’entendre ce genre de phrase sortant de la bouche d’un médecin aussi respectable.
Je me disais dans ma tête : « Ce n’est pas possible, ce n’est pas l’homme que j’ai connu. ». J’essayai de repousser son bras mais il me prit la main pour la poser sur son sexe. Lorsqu’il s’aperçut que j’opposais moins de résistance, et que je lui caressais son engin, fier de lui il me dit : « Je sais que tu aimes ça, tu vas la prendre dans le cul. Allez salope ! Suce-moi. » À la faveur de la lumière du couloir qui filtrait par la porte, je distinguais sa bite dressée qu’il rapprochait de mon visage : « Ne crie pas, suce. »
Il enleva enfin sa main de ma bouche et prit l’arrière de mon crâne pendant toute la fellation. Sa queue était lourde, dure et chaude, je m’aidais avec une main experte, j’étais redevenue moi-même, détendue, une verge dans la bouche : « Tout heureux de me voir lui faire une pipe, il me dit : « Je savais que tu aimais ma bite, Josiane. » À la façon dont je le suçais et que je le branlais, il ne faisait aucun doute, sa queue était aussi brûlante que mon ventre, je n’avais qu’une idée en tête, qu’il me sodomise enfin.
Il n’en pouvait plus, il me retourna dans le lit, appuya fermement sur mon dos et me pénétra facilement l’anus qu’il avait dilaté au préalable avec ses doigts. Le pantalon à mi-cuisse, il m’avait enculé sauvagement, j’étais parvenue à glisser une main afin de me caresser en même temps et je jouis fortement à l’instant même où il se vidait. J’avais ressenti la douce chaleur de son sperme s’écouler dans mon rectum.
Après s’être soulagé, il repartit sur la pointe des pieds, me laissant sans même me dire : « Bonne nuit. » Je m’étais rendormie en me promettant de ne jamais plus me donner à lui et s’il me forçait à le faire, j’étais décidée de le dire à ma mère. Devant prendre mon nouvel emploi le lundi, j’étais allée voir le dimanche après-midi Gislaine. Cependant, étant donné qu’elle avait rendez-vous avec Simon et que Patrice était avec Nicolle, j’étais rentrée chez moi où je m’étais ennuyée devant la télé.
La suite de l’histoire dans quelques jours. Merci de laisser vos commentaires, je compte sur vous. Si comme Josiane, vous avez envie de raconter vos histoires de sexe, contactez-moi par Email, j’écrirai votre propre récit. cyp.perruche@orange.fr
Je n’avais pas le cœur à sortir cet après-midi-là, mais Gislaine avait su me motiver en me disant qu’elle avait rencontré le matin même un nouveau type et que son copain était beau comme un dieu. Ces deux bretons d’une bonne vingtaine d’années venaient d’arriver au camping avec un groupe d’une quinzaine de jeunes, filles et garçons. Nous leur avions fait découvrir notre village. Après avoir sympathisé avec le groupe, j’étais parvenue à emmener toute la bande avec moi au bistrot de la place. Lorsque nous étions au bar, j’eus droit à un grand sourire de la part de Marius qui venait de finir sa sieste.
N’ayant plus suffisamment de place, je lui avais demandé si nous pouvions utiliser la salle du PMU qui était libre. Ces jeunes semblaient ne pas manquer d’argent, ils avaient bu toute l’après-midi et prirent même l’apéritif. Mon patron heureux de sa recette me félicita et me demanda, avant de repartir chez-moi : « Ça serait bien si tu pouvais les faire revenir. » La première quinzaine d’août fit une réelle réussite, non seulement cette petite bande venait tous les jours mais j’avais également sympathisé avec d’autres campeurs du village voisin qui passaient leur matinée au bar.
Au niveau du travail tout était parfait, j’aimais vraiment ce métier. Néanmoins, Marius ne s’occupait plus de moi, il ne me parlait que pour le travail, j’avais mal de le voir me fuir. Heureusement, j’avais trouvé Alain, un type d’une trentaine d’année, le problème c’était qu’il était marié. Son épouse venant d’accoucher, il était très content de m’avoir trouvé pour profiter de ma bouche ou de ma petite chatte. L’inconvénient était que nous baisions vite fait qu’après mon service, dans les toilettes du camping avant qu’il retourne voir sa femme à la plage.
Je ne pouvais pas oublier le moment magique passé dans le bureau de Marius. Impossible de m’enlever son image de ma tête, ses baisers, ses caresses, le plaisir que j’avais ressenti lorsqu’il m’avait pénétré et les deux orgasmes successifs qu’il m’avait procurés avec sa bouche, ses doigts, sa queue. Ce colosse ne m’avait pas que possédée avec son sexe, il hantait mes pensées toute la journée et une bonne partie de la nuit. Ce n’était pas les petites baises à la va vite avec cet homme marié qui me le faisaient oublier.
Tous les jours, je n’avais qu’une seule envie, être avec Marius, de le toucher, de le sentir et de profiter de ses caresses. Alain n’avait pas le temps de m’exciter, il était toujours impatient de me baiser inconfortablement dans une cabine des sanitaires. Alors, je fermais les yeux et je m’imaginais d’être avec Marius. Même si je parvenais à jouir, mon orgasme n’était pas à la hauteur de mes attentes. Alain me labourait quelques minutes avant de se vider et une fois terminé il filait tranquillement et discrètement voir sa femme, me laissant là frustrée et déçue.
L’idée de la petite salle servant au turfistes les dimanches-matin me tournait dans la tête depuis un moment. Pour la soirée du quinze août, je dis à Marius : « Et si nous faisions une petite soirée dansante ce soir-là, j’amène les jeunes et nous faisons la fête avec le jukebox. » En effet, à cette époque, le camping n’organisait jamais ce genre de fête. Marius était un peu réticent, il n’y croyait pas. Cependant pour essayer, il me donna son accord. Avec Gislaine, nous avions fait la promo de cette soirée et le soir venu, j’avais demandé à mon patron de travailler.
Ce fut une vraie réussite, nous n’avions pas suffisamment de places pour accueillir tous les jeunes venus faire la fête. Le tiroir-caisse était rempli et mon bas de laine également avec tous les pourboires que j’avais récolté. Néanmoins, certains villageois s’étant pleins du bruit aux gendarmes, ceux-ci étaient venus le lendemain pour annoncer au patron qu’il n’était pas dans ses droits. Il devait comme pour les bals populaires, faire une demande spéciale à la préfecture.
Ce qui n’avait pas empêché les jeunes de revenir au bistrot tous les soirs. Même les garçons des villages voisins y venaient draguer les filles du camping. Les serveuses étant débordées, Marius m’avait proposée de revenir travailler tous les soirs. À la fin de l’été, le patron avait fait une super recette. C’était mon dernier jour de travail, lorsqu’il me donna mon enveloppe, j’avais mon chèque de 420 francs et 500 francs en espèce. Ayant déjà 120 francs de pourboire, je n’en revenais pas, j’étais aux anges.
Il me prit dans ses bras en disant : « Tu reviens quand tu veux ma puce, t’as été géniale. » Je ne savais toujours pas s’il me désirait encore mais après lui avoir sauté pour l’embrasser, il n’avait pas refusé : « Ton vieux est rentré ? » Me demanda-t-il. Lui ayant répondu qu’il rentrait dans la soirée, il me prit la main et me dit de le suivre. Nous étions montés à l’étage et il m’emmena directement dans son appartement.
Une fois chez lui, il m’invita à m’assoir dans son canapé avant d’aller à la cuisine déboucher une bouteille de champagne. Il revint, déposa un plateau sur la table basse, mit de la musique en sourdine et s’installa à côté de moi. Il passa délicatement son bras derrière ma tête et m’embrassa chaleureusement. Nous n’avions que très peu parlé, j’avais attendu ce moment pendant près d’un mois, j’étais heureuse. Son autre main parcourut ma cuisse, releva légèrement ma petite robe et continua son chemin jusqu’à ma poitrine où mon cœur battait la chamade.
Il prit ensuite un peu de recul, me regarda et me dit : « Je te trouve terriblement sexy comme ça, Tu es magnifique dans cette petite robe. » Il se releva et vint enlever un à un les boutons de ma robe et l’ouvrit, découvrant ainsi ma poitrine. Je me laissai aller au fond du canapé en fermant les yeux, je sentais sa main me caressant les seins un à un, ses lèvres sur mes tétons, ses baisers dans mon cou, remontant jusqu’à mon oreille. Sa bouche s’attarda sur mes tétons érigés, les mordillait, les suçait, aspirant presque tout le mamelon.
D’un geste rapide il enleva entièrement ma robe, s’agenouilla devant moi et plongea sa tête entre mes cuisses. Il suçait, léchait et aspirait mon clitoris puis sa langue s’enfonça entre les lèvres humides de ma petite chatte, dégustant le fruit de mon excitation. Sa bouche s’occupait de mon intimité mouillée, tandis que ses mains pétrissaient encore et encore mes seins qui semblaient se gonfler de désir. Je poussais des gémissements et même des petits cris incontrôlables, en me tordant sur son canapé.
Je venais de jouir sous ce cunnilingus dont il était passé maitre en la matière. A peine remise de ce bel orgasme, il se releva, finit sa coupe de champagne et me tira par les jambes au bord du canapé. Il enleva son pantalon et son slip pour en sortir sa queue raide et gonflée. Il prit son sexe en érection dans sa main et frotta son gland turgescent sur ma vulve et mon clitoris, en contre avant de pénétrer lentement ma petite chatte. Sa bite épaisse, dure comme un roc, me laboura les parois de mon vagin et buta au fond de mes entrailles.
Je sentais son impressionnant sexe entrer et sortir en moi de toute sa longueur. Sans le voir, j’imaginais son pieu faire des allers et retours dans mon vagin dans un rythme effréné. En me tenant fermement par les hanches avec ses deux grandes mains, il intensifia ses va et vient, je poussais et essayais de suivre l’accélération de ses mouvements. J’explosai très vite dans un deuxième orgasme en projetant ma mouille sur ses cuisses et en inondant son pubis.
Il attrapa alors mes pieds et les leva jusqu’à ses épaules, j’avais les jambes écartées, mes chevilles de chaque côté de son cou. Sans interruption, il continua à me baiser violemment et sans ménagement, il me défonçait. Cette position favorisait la profondeur ses va et vient, ses coups de reins se faisaient de plus en plus forts, j’avais l’impression que sa queue devenait plus grosse, qu’elle me déchirait les chairs. Je sentais ses couilles frapper contre mes fesses. Mes mains se crispèrent, s’agrippèrent aux coussins, lorsque je criai de plaisir pour un troisième orgasme.
Me voyant ainsi, me tortiller de plaisir, il éjacula enfin en moi, remplissant ma chatte de son sperme chaud et abondant. Il termina de se vider les bourses en lâchant râle puissant de mâle satisfait. Il m’avait épuisée, anéantie même. Je n’avais jamais vécu autant d’orgasmes en si peu de temps. Marius était bien l’homme de ma vie, capable de me procurer un plaisir immense. J’étais incapable de bouger ou de me relever. J’étais restée un long moment, effondrée sur le canapé, reprenant mes esprits, pendant qu’il se resservit une flute de pétillant.
Je sentais son sperme s’échapper de mes grandes lèvres et couler jusqu’à mon anus mouillant ainsi la couverture recouvrant son canapé. Après avoir siroté son verre, assis à mes côtés me tenant dans ses bras, il m’embrassa tendrement. J’étais bien, en sécurité, blottie ainsi contre lui, mais quelques minutes plus tard, le désir refaisait surface, je me glissai à genoux entre ses jambes, sa belle bite n’était pas encore ramollie. Je l’avais pris à pleine bouche afin de lui redonner des forces et de la vigueur :— Tu dois rentrer chez toi Josy. Laisse-moi un peu de jus pour Christiane, elle mérite que je la contente.
Il se faisait tard, il devait faire la fermeture avant de se coucher car il partait de bonheur le lendemain pour deux semaines de congé bien mérité et ne revenir que pour la fête du village. Ce soir-là, si j’étais très heureuse pour mon salaire, j’étais doublement déçue. Je dus rentrer chez-moi, sans avoir pu reprendre du plaisir avec mon colosse, et en plus je n’allais pas le revoir pendant quinze jours. Je me demandais bien comment j’allais le supporter.
Le lendemain matin, sachant que j’étais très fatiguée par mon travail, ma mère m’avait gentiment laissé la permission de faire la grâce matinée. À mon réveil, j’étais revenue à la triste réalité de ma vie. André était rentré de chez sa sœur et me faisait déjà des remarques désobligeantes, pendant que je prenais le café à la cuisine. Ma mère qui avait récupéré le chèque de mon salaire et 50 francs que j’avais laissé dans l’enveloppe, était revenue ce samedi midi avec le Solex S3800 luxe qu’elle m’avait offert afin que je puisse dès le lundi partir au boulot à la confiturerie.
Après le déjeuner, l’ambiance étant encore très tendue entre ma mère et le docteur, j’étais allée en ville avec mon nouveau vélomoteur faire les boutiques avec une partie de l’argent que j’avais discrètement dissimulé. Je m’étais acheté de nouvelles tenues bien plus sexy que celles que je portais habituellement. Puis j’étais allée rejoindre mon amie Gislaine. Elle aussi était triste, son dernier copain était rentré à Paris, nous nous retrouvions donc sans nos amants et le camping avait fermé ses portes.
Sur la plage où nous étions allées nous balader, aucun jeune du village ne nous intéressait, soit ils étaient avec leur copines, soit ils étaient trop jeunes. Soudain, les deux fils du boucher s’approchèrent de nous et nous proposèrent de faire un tour dans les bois de l’étoile. Gislaine n’était pas chaude pour venir avec nous, cependant ne lui cachant rien, je lui avais dit deux mois plus tôt que Simon était très bien monté et que même si ce n’était pas un expert en la matière, je m’étais bien amusée avec son engin entre les jambes.
Elle accepta donc de venir avec nous et monta sur sa moto, pendant que je grimpais sur celle de Patrice qui avait abandonné Nicolle, sa future femme pour l’après-midi. Dans une minuscule clairière à l’abri des regards indiscrets, nous nous étions retrouvés tous les quatre nus comme un ver. Ce jour-là, nous avions tout partagé, les queues des fils du boucher, passèrent d’une bouche à l’autre et de la chatte charnue de Gislaine à la mienne pour notre plus grand plaisir. Le soir même, elle était retournée dans la cabane en bois rejoindre Simon et depuis ils ne se quittait plus.
Le soir après le diner, ma mère était une nouvelle fois de sortie, le docteur se retrouvant seul, ils s’étaient encore fâchés tous les deux : « Je ne suis pas ta propriété. » Lui avait-elle crié avant de quitter la demeure en colère. Il faut dire que maman n’avait que 37 ans à l’époque et qu’elle était toujours aussi désirable. Je savais aussi que son aventure avec Jean-Charles le fils du docteur, se poursuivait au nez et à la barbe de son père et de son épouse. Colette allait retrouver son amant et ne rentrerait que tard dans la nuit après avoir pris son pied avec le jeune médecin.
J’étais si fatiguée, que je n’avais pas attendu pour monter dans ma chambre. Je m’étais endormie rapidement en pensant toujours à Marius qui allait me manquer. Vers minuit, je sentis soudain une main qui se plaqua contre sa bouche et une main puissance me relevant ma nuisette jusqu’au menton. Surprise et prise de panique, j’essayai d’hurler, mais mes cris furent étouffés par la poigne du docteur qui maintenait ma bouche fermée.
André qui s’était abstenu pendant tous ses congés, était en grand manque sexuellement parlant, ma mère ne lui ayant pas donné satisfaction, il voulait me baiser, sa queue longue et épaisse, sortie de son pantalon de pyjama, était en pleine érection. Très vite la stupeur laissa la place au désir, pourtant j’avais baisé toute l’après-midi, malgré cela mon désir de me faire prendre de force par celui qui m’avait dépucelée, m’excita fortement. André s’en aperçut immédiatement en enfilant un de ses doigts dans ma fente, ma chatte était déjà bien mouillée.
Seulement, je n’avais plus l’intention de m’offrir à lui, il m’irritait et me faisait la tête depuis deux mois. Sa main libre allait et venait entre mes cuisses, j’essayais sans grande conviction de me dégager, mais il insistait, il se doutait bien que je céderais à ses avances comme j’avais pu le faire par le passé. Ces doigts me fouillaient et cela m’excitait, je mouillais encore : « Ta petite chatte est trempée petite salope, je vais t’enculer. Je suis sûr qu’il t’a baisée comme il a baisé ta mère le Marius. » J’étais horrifiée d’entendre ce genre de phrase sortant de la bouche d’un médecin aussi respectable.
Je me disais dans ma tête : « Ce n’est pas possible, ce n’est pas l’homme que j’ai connu. ». J’essayai de repousser son bras mais il me prit la main pour la poser sur son sexe. Lorsqu’il s’aperçut que j’opposais moins de résistance, et que je lui caressais son engin, fier de lui il me dit : « Je sais que tu aimes ça, tu vas la prendre dans le cul. Allez salope ! Suce-moi. » À la faveur de la lumière du couloir qui filtrait par la porte, je distinguais sa bite dressée qu’il rapprochait de mon visage : « Ne crie pas, suce. »
Il enleva enfin sa main de ma bouche et prit l’arrière de mon crâne pendant toute la fellation. Sa queue était lourde, dure et chaude, je m’aidais avec une main experte, j’étais redevenue moi-même, détendue, une verge dans la bouche : « Tout heureux de me voir lui faire une pipe, il me dit : « Je savais que tu aimais ma bite, Josiane. » À la façon dont je le suçais et que je le branlais, il ne faisait aucun doute, sa queue était aussi brûlante que mon ventre, je n’avais qu’une idée en tête, qu’il me sodomise enfin.
Il n’en pouvait plus, il me retourna dans le lit, appuya fermement sur mon dos et me pénétra facilement l’anus qu’il avait dilaté au préalable avec ses doigts. Le pantalon à mi-cuisse, il m’avait enculé sauvagement, j’étais parvenue à glisser une main afin de me caresser en même temps et je jouis fortement à l’instant même où il se vidait. J’avais ressenti la douce chaleur de son sperme s’écouler dans mon rectum.
Après s’être soulagé, il repartit sur la pointe des pieds, me laissant sans même me dire : « Bonne nuit. » Je m’étais rendormie en me promettant de ne jamais plus me donner à lui et s’il me forçait à le faire, j’étais décidée de le dire à ma mère. Devant prendre mon nouvel emploi le lundi, j’étais allée voir le dimanche après-midi Gislaine. Cependant, étant donné qu’elle avait rendez-vous avec Simon et que Patrice était avec Nicolle, j’étais rentrée chez moi où je m’étais ennuyée devant la télé.
La suite de l’histoire dans quelques jours. Merci de laisser vos commentaires, je compte sur vous. Si comme Josiane, vous avez envie de raconter vos histoires de sexe, contactez-moi par Email, j’écrirai votre propre récit. cyp.perruche@orange.fr
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