« Josy » : La petite salope prise de force derrière le comptoir. Épisode 21
Récit érotique écrit par Perruche [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 15-01-2022 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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« Josy » : La petite salope prise de force derrière le comptoir. Épisode 21
En effet, je désirais dire à ma mère ce que j’avais sur le cœur, cela me taraudait depuis déjà bien trop longtemps et après avoir appris tout ce qu’André lui avait fait subir, il fallait que je vide mon sac. Le lendemain, Maman avait poursuivi son histoire. À cette époque, le docteur lui avait tellement rabâché la même chose, qu’elle était persuadée que mon père ne méritait pas de connaitre la vérité. C’était la raison pour laquelle, même à ma majorité, elle ne m’avait toujours pas dit :
« Je sais, j’ai été stupide, j’aurais dû te le dire, cependant plus le temps passait, plus c’était difficile pour moi de te l’avouer, surtout que je vivais encore chez André et qu’il t’aimait comme sa fille : « Ah ! tu crois ça ? Sais-tu que cet homme de 61 ans qui m’a masturbée la première fois ? Sais-tu que c’est lui qui m’a dépucelée deux ans plus tard ? Sais-tu que c’est lui encore qui m’a sodomisée le premier. Oui tu as sans doute raison, il m’aimait mais probablement pas comme sa fille, il a fait de moi une petite salope de 18 ans. »— J’en suis vraiment désolée ma chérie, mais s’il te plait n’en parle pas à Jean-Charles.
En parlant du fils du docteur, je n’avais pas voulu mettre de l’eau sur le feu, en lui avouant que lui aussi avait couché de nombreuses fois avec moi. Cependant il ne m’avait jamais forcée, au contraire la première fois ce fut moi qui l’avais cherché. Suite à cela, je lui promis de ne rien dire et j’étais allée immédiatement chez Jean-Paul annoncer la bonne nouvelle. À partir de ce jour, il ne m’avait pas menti, il avait prévenu Michèle sa femme et me présenta à elle, elle devenait par la force des chose ma belle-mère et je fis également la connaissance de mon demi-frère, Gérald, l’apprenti de mon père que j’avais rencontré dans la semaine.
Je fus très bien accueillie dans ma nouvelle famille, le dimanche suivant, j’avais tenu à les inviter au « Paradis » en compagnie de ma mère Colette et de Jean-Charles. Même si maman ne désirait pas revoir son premier amour, après avoir insisté, elle fut heureuse de le revoir. En se voyant, ils s’étaient étreints pendant de longue secondes avant de se féliciter d’avoir engendré une si belle petite fille. À partir de là, toutes les occasions étaient bonnes pour nous retrouver tous ensemble, nous avions passé le réveillon de noël chez mon père et ils étaient venus tous les trois, à celui de la Saint Sylvestre au restaurant.
Nous voilà donc en 1977, le début d’année s’annonçait encore, surchargé, avec la fête des associations 22 janvier, les élections les 13 et 20 mars et vu le retard du chantier, l’inauguration de la discothèque prévue en avril. Je n’avais toujours pas décidé du nom que porterait ce club. Dans mon entourage proche, les avis étaient partagés entre le « Paradise-club » et « L’étable » ou « L’écurie ». Personnellement, je préférais le premier, Jean-Lou le second. Par galanterie, j’eus le dernier mot, cette discothèque se nommerait le « Paradise-club » afin de rappeler le nom de la société.
Si la soirée du concert s’était admirablement bien passée, vers deux heures du matin, alors qu’il ne restait pratiquement plus personne. Jean-Lou mon chéri était sorti rejoindre son jeune amant Francis, le fils du préfet, Gislaine la responsable de salle et Simon le cuistot étaient de rentrer à la maison depuis un long moment et Denis l’inspecteur du permis de conduire était venu chercher Françoise. Il ne restait à l’intérieur en ma compagnie que Monique la serveuse qui s’apprêtaient à raccompagner les deux jeunes extras, pris pour l’occasion. Ils allaient quitter l’établissement, lorsqu’une voiture pénétra dans la cour.
Alain mon ancien amant, l’entrepreneur de mes travaux à l’étable et Christian G le fils de l’ancien maire en étaient descendus tous les deux, un peu éméchés. Ma serveuse me demanda si j’avais encore besoin d’elle : « Non Monique, vous pouvez y aller, je m’en occupe. » Connaissant ces deux hommes, je n’avais aucune raison d’avoir peur de rester seules avec eux. Ils étaient légèrement ivres mais qu’importe. L’horaire de fermeture étant dépassée, je descendis le rideau de fer et m’installai au bar et leur servit un verre de bière en restai en leur compagnie.
Tout en buvant leur demi, Christian commença à élever la voix me reprochant de me présenter sur la liste concurrente à la sienne. Alain s’en mêla prétextant que je les trahissais, lui et son épouse alors qu’ils avaient fait des efforts financiers au sujet du chantier de réhabilitation de l’étable. Le ton monta très vite, il se doutait bien qu’avec l’aide que j’avais apportée aux associations que sa candidature n’était plus en mesure de remporter les élections. Christian se leva et vint me rejoindre derrière le comptoir. Il me plaqua contre le mur en me disant : « Je te conseille de te retirer de la liste de Patrice et de t’inscrire sur la nôtre. »
Alain s’était levé également et nous avait rejoint, il me pelotait déjà ma poitrine, sans vergogne : « Et pourquoi le ferais-je ? Je sais que tu as voté contre la dérogation, tu n’as aucune parole. » Je ne sais pas pourquoi, je l’avais provoqué, mais le fils du maire qui me tenais toujours fortement, m’arracha ma robe d’un seul coup : « Qu’est-ce que vous foutez, Bon Dieu ? Criais-je. Alain pour calmer le jeu, répondit tranquillement et gentiment : « Tu m’as terriblement manquée ma petite salope, j’ai envie de te prendre là Maintenant ! »
Si je n’avais pas peur de lui, je craignais beaucoup plus Christian qui semblait être bien saoul et plus menaçant. Pendant qu’Alain était doux dans ses gestes, ses mains étaient déjà sur mon entrejambe et ses doigts s’étaient insinués petit à petit sous ma petite culotte, tandis que le fils du maire me tenait fermement d’une main et de l’autre, me martyrisait les tétons de mes seins. Cela s’était passé tellement vite, qu’aujourd’hui j’ai des difficultés à remettre les faits chronologiquement.
À ce moment-là, mon cerveau fonctionnait à deux mille à l’heure, je savais très bien ce qu’il allait se passer, j’allais me faire violer si je résistais. Deux solutions s’offraient à moi : Soit je me débattais et j’hurlais sachant que personne ne viendrait me secourir, soit je me faisais baiser sans rien faire. Appréhendant les coups, j’avais peur qu’il me frappe et sachant qu’en portant plainte, je n’aurais aucune chance de fournir de preuve et que ma réputation serait entachée. Ce fut la raison pour laquelle, je choisis la deuxième solution.
Je vous avoue que je ne le regrette pas, cette situation m’avait par la suite très excitée, si en plus je pouvais prendre du plaisir, ce ne serait que mieux. Dans un premier temps, je repoussai le fils du maire en disant : « Ok Alain ! Je veux bien mais dégage Christian, je n’ai pas envie de baiser avec toi, tu n’auras jamais mon cul. » J’espérais quand même que mon ancien amant allait convaincre son ami, cependant, je ne me débattais plus. Ne portant que très rarement un soutien-gorge, lorsqu’Alain me retira mon dernier rempart, Christian relâcha son étreinte et me délaissa pour baisser son pantalon, jusqu’à ses chevilles avant de s’agenouiller derrière-moi.
Alain en fit de même après m’avoir gentiment demandé de mettre à quatre pattes. L’espace était réduit derrière le comptoir, il se plaça devant ma bouche et m’imposa d’un ton ferme de le sucer, sa queue était encore molle, tandis que celle de Christian qui se branlait, prenait du volume. Pendant que je faisais une fellation à l’un, je sentis dans la raie des fesses couler la salive de l’autre qui venait de cracher. Ses doigts me caressaient la fente et l’anus, avant de me les enfiler tour à tour dans chaque trou.
Je mouillais, j’étais excitée malgré la situation, Christian me pénétra, je sentais sa bite, elle me semblait imposante, il me baisait brutalement sans jamais dépasser le seuil insupportable de la douleur. Lorsqu’Alain banda fortement dans ma bouche, il prit les commandes, il dit à Christian de se retirer, s’allongea sur le sol et m’installa en lui tournant le dos. Il désirait me sodomiser, je m’accroupis et descendis progressivement sur sa queue et lorsqu’il sentit ses couilles contre mes fesses, il me coucha sur lui afin que Christian puisse me baiser la chatte.
À cet instant, coincée de la sorte impuissante, entre les deux hommes qui allaient et venaient en moi à tour de rôle, cette agression sexuelle était loin derrière moi, je ne pensais plus qu’au désir qu’elle me procurait. Très vite j’avais atteint un premier orgasme, toutefois, ils étaient loin d’en avoir fini. Les effets de l’alcool semblaient s’être estompés, ils bandaient encore fortement et ne cessaient toujours pas de me défoncer tout en me traitant de petite salope et de bien d’autres insultes que les hommes adorent prononcer, lorsqu’ils baisent avec une femme.
Lorsqu’ils se vidèrent les couilles à peu près en même temps, j’avais une nouvelle fois terriblement joui. Pourtant consciente, je m’étais efforcée de ne pas crier afin de ne pas leur montrer qu’ils m’avaient fait grimper aux rideaux. Lorsque nous nous étions relevés, à mon tour de les insulter en leur criant qu’ils n’étaient que deux salauds et en les menaçant : « Vous n’êtes que deux connards profitant de la faiblesse d’une femme. N’ayez crainte, je ne peux pas porter plainte, mais vous allez me le payer. » ils se mirent à rire ensemble en se moquant littéralement de moi : « Ah oui ! Et comment ? »
« En le disant à vos épouses bande de salauds. » Alain se méfia car il savait que j’en étais capable et me dit gentiment : « Allez Josy, ne me dit pas que tu n’as pas apprécié, je te connais. » Tandis que Christian rétorqua plus menaçant : « Si tu t’avise à faire ça, tu risques de gros ennuis, crois-moi. » S’en était trop pour moi, Alain me voyant excédée, essaya une fois encore de calmer les esprits, je ne pensais qu’à une chose, c’était qu’ils rentrent enfin chez eux : « Ok pour cette fois mais je vous préviens ne vous ravisez plus à m’approcher, sinon je le dirai à mon père. »
Dès que j’avais prononcé son nom, étant à peu près de son âge, ces deux types qui le connaissaient parfaitement, rabaissèrent leur caquet. Ils payèrent leur consommation, remirent leur manteau et quittaient le restau la queue entre les jambes, sans demander leur reste. Lorsque je m’étais enfin couchée, en me repassant le film des dernières minutes, je m’aperçus qu’un amant c’était bien mais deux, c’était encore mieux. Je me disais qu’il fallait dans d’autres circonstances, renouveler l’expérience, ce que je fis plus tard mais cela est une autre histoire.
Quelques jours plus tard, FR3 qui avait dépêché une équipe lors du concert de Frédéric François diffusa son reportage. Là encore, il avait fait un portrait sur ma personnalité et j’en avais profité pour glisser l’ouverture prochaine d’une grande discothèque, probablement la plus grande de la région (tout au moins en surface). Le lendemain de la diffusion, Christian qui avait lu dans le journal officiel, l’arrêté préfectoral et avait regardé le reportage à la télé, était revenu sans Alain mais avec Liliane son épouse :— Écoute Josy, nous tenons à nous excuser, tu sais que nous pouvons aller contre cette décision du préfet mais nous ne le ferons pas pour diverses raisons.
— À oui ! lesquelles ? demandais-je curieuse.
— Voilà, j’abandonne, je réintègre la liste de Patrice et comme il ne reste qu’une place, j’aimerais que tu laisses ta place à Liliane
Quelque part, j’étais soulagée, je voulais bien donner un coup de main à la commune mais si j’avais accepté au départ, c’était uniquement pour mon business, cela m’arrangeait. Toutefois j’aurais préféré que le principal intéressé, mon amant de surcroit, m’en parle personnellement et le fait de laisser ma place à cette femme me gênait un peu : « Et Patrice qu’en dit-il ? » Justement, celui-ci arrivait et une heure plus tard, j’étais bien contente de ne pas rentrer en politique. À la fin de cet entretien, Liliane me prit à part et après m’avoir remerciée, elle me dit : « Je me suis trompée sur ton compte Josy, pourrais-tu passer cet après-midi, j’aimerais te parler en privé. »
Liliane était une belle femme d’à peine 34 ans, bien plus jeune qu’Alain son mari. Lorsqu’elle m’avait reçue chez-elle, elle s’était changée, elle portait une jolie petite robe courte et légère malgré l’hiver. Alors qu’à son habitude, elle avait toujours une tenue assez stricte, tout en restant très classe et sexy. Ce n’était pas la femme que je croyais connaitre, elle m’avait parler franchement, d’une voix douce et sensuelle et m’expliqua calmement sa démarche et ce pourquoi elle m’avait demandé de venir la rencontrer. Elle avait appris en tirant les vers du nez à son mari qui, en rentrant bien ivre le dimanche au petit matin, ce qu’il m’était arrivée et le déplorait.
Elle m’avoua que deux mois plus tôt, lorsqu’elle désirait s’inscrire sur la liste de Patrice, Alain avait fait venir son grand ami Christian afin de l’obliger à renoncer à sa décision. N’ayant pas accepté, le fils du maire se fâcha et aidé de son mari, ils l’avaient prise de force : « Mais Christian était ton amant, je me trompe ? » Liliane n’avait jamais couché avec cet homme, comme quoi les rumeurs sont parfois trompeuses. Elle m’avoua qu’elle fut très énervée et qu’elle m’en voulait d’avoir pris son mari comme amant. Pour se venger de lui, elle aussi avait trompé Alain, cependant ce n’était pas avec Christian : « Tu le connais bien ! Nous couchons toutes les deux avec le même homme. »
Sachant pertinemment que c’était impossible qu’elle baise avec Jean-Lou, ça ne pouvait-être que…Non ! : « Tu couches avec Patrice ? » demandais-je très étonnée. Avant de répondre, elle me servit un café et se mis assise à mes côtés sur le divan de son salon. En posant négligemment sa main sur mon genou, là encore, elle m’expliqua comment tout avait débuté avec mon amant et le sien par la même occasion : Il y a six ans, Liliane travaillait avec Patrice, dont elle était une de ses secrétaires. À l’époque, malgré qu’il soit encore marié, il avait des vues sur elle. Liliane venait de me marier avec Alain.
Elle bu une gorgée, me sourit et poursuivit : Néanmoins étant fiancée, elle s’était refusée à lui en repoussant ses avances, il avait bien compris et s’en accommoda. Un mois plus tard, le maire ayant besoin de rajeunir son équipe, désirait une jeune femme dans son équipe, Patrice lui proposa de s’inscrire sur la liste de Mr Guéret avec lui, c’était pour elle son premier mandat. Pendant plusieurs mois, lors des conseils municipaux, Patrice s’installait très souvent à ses côtés et essayait de la séduire, il restait toujours courtois mais c’était vraiment un bel homme…Disait-elle.
Liliane observait mes réactions, je restais attentive et curieuse de savoir la suite, elle continua : « Comme toi je suppose. » Cet homme l’attirait mais elle était mariée et ne voulait pas tromper Alain. Pourtant un an après, sa voiture ne voulant pas démarrer, étant plus de minuit, il se proposa de la ramener. Il l’avait très excitée ce soir-là avec ses petits sous-entendus coquins et ses petites caresses sur sa cuisse. Liliane avait beau essayer de lui enlever la main, mais sans vraiment insister. Intérieurement, elle attendait et espérait qu’il continue, qu’il fasse le premier pas.
Toujours en me fixant dans les yeux, Liliane me demanda si je la comprenais. Faisant un signe de la tête, elle poursuivit : Le trajet était court jusqu’à chez-elle et une fois descendue, lorsqu’elle lui fit la bise par la vitre, côté conducteur, voyant qu’il n’y avait plus aucune lumière d’allumée à l’intérieur de la maison, elle lui déposa un bisou sur ses lèvres. Il était alors descendu à son tour et l’attira sur la banquette arrière : « Je ne te dis pas, je m’étais régalée. » Pendant plus d’une demi-heure dans la voiture, stationnée dans la cour, juste sous la fenêtre de leur chambre à coucher, Patrice l’avait culbutée dans tous les sens, Liliane avait même crié lorsqu’elle parvint à l’orgasme.
Puis, ils n’avaient pas pu résister, ils avaient continué pendant plusieurs mois, néanmoins, sa femme qui se doutait de quelque chose, les avait surpris sur le parking de la mairie pourtant bien à l’abri des regards. Il divorça dans la foulée et ne voulant surtout pas que cela vienne aux oreilles d’Alain, comme elle n’était pas sa seule maitresse, ils avaient rompu. Jusqu’au jour où Liliane apprit notre liaison : « Je t’en ai voulu Josy mais je comprends Patrice et Alain tu es si jolie qu’aucun homme, ni une femme bi ne peut te résister. Qu’en penses-tu ? »
Me dit-elle en caressant l’intérieur de ma cuisse. Je la sentais très excitée, elle me faisait directement des avances. Moi aussi, je commençais à mouiller, elle était si belle également, elle me faisait penser à Françoise avec laquelle nous ne nous faisions plus de câlins depuis qu’elle était avec Denis. S’apercevant que je n’étais pas contre, je la laissai m’embrasser et nous avions sans le vouloir au départ, pris une petite demi-heure de bonheur.
Avant que je la quitte en bonne amie, Liliane avait tenue à me dire : — Sache que si tu veux encore coucher avec mon mari, je ne t’en voudrai pas. Simplement, je te demande de me couvrir quand je suis avec Patrice, si ça ne te gêne pas ?
— Non ! Ce n’est pas mon mec, je peux le faire sans problème.
— Tu es un ange ! Me dit-elle en me faisant un bisou. Nous pourrions peut-être recommencer ? Avec Patrice ce serait bien…— Je suis partante à 100%, tu pourras tester mon nouveau lit de ma chambre d’amis, nous y serons à l’aise à trois.
La suite de l’histoire mercredi. Merci de laisser vos commentaires, je compte sur vous. Si vous avez envie de raconter vos histoires de sexe, contactez-moi par Email, j’écrirai votre propre récit. cyp.perruche@orange.fr
« Je sais, j’ai été stupide, j’aurais dû te le dire, cependant plus le temps passait, plus c’était difficile pour moi de te l’avouer, surtout que je vivais encore chez André et qu’il t’aimait comme sa fille : « Ah ! tu crois ça ? Sais-tu que cet homme de 61 ans qui m’a masturbée la première fois ? Sais-tu que c’est lui qui m’a dépucelée deux ans plus tard ? Sais-tu que c’est lui encore qui m’a sodomisée le premier. Oui tu as sans doute raison, il m’aimait mais probablement pas comme sa fille, il a fait de moi une petite salope de 18 ans. »— J’en suis vraiment désolée ma chérie, mais s’il te plait n’en parle pas à Jean-Charles.
En parlant du fils du docteur, je n’avais pas voulu mettre de l’eau sur le feu, en lui avouant que lui aussi avait couché de nombreuses fois avec moi. Cependant il ne m’avait jamais forcée, au contraire la première fois ce fut moi qui l’avais cherché. Suite à cela, je lui promis de ne rien dire et j’étais allée immédiatement chez Jean-Paul annoncer la bonne nouvelle. À partir de ce jour, il ne m’avait pas menti, il avait prévenu Michèle sa femme et me présenta à elle, elle devenait par la force des chose ma belle-mère et je fis également la connaissance de mon demi-frère, Gérald, l’apprenti de mon père que j’avais rencontré dans la semaine.
Je fus très bien accueillie dans ma nouvelle famille, le dimanche suivant, j’avais tenu à les inviter au « Paradis » en compagnie de ma mère Colette et de Jean-Charles. Même si maman ne désirait pas revoir son premier amour, après avoir insisté, elle fut heureuse de le revoir. En se voyant, ils s’étaient étreints pendant de longue secondes avant de se féliciter d’avoir engendré une si belle petite fille. À partir de là, toutes les occasions étaient bonnes pour nous retrouver tous ensemble, nous avions passé le réveillon de noël chez mon père et ils étaient venus tous les trois, à celui de la Saint Sylvestre au restaurant.
Nous voilà donc en 1977, le début d’année s’annonçait encore, surchargé, avec la fête des associations 22 janvier, les élections les 13 et 20 mars et vu le retard du chantier, l’inauguration de la discothèque prévue en avril. Je n’avais toujours pas décidé du nom que porterait ce club. Dans mon entourage proche, les avis étaient partagés entre le « Paradise-club » et « L’étable » ou « L’écurie ». Personnellement, je préférais le premier, Jean-Lou le second. Par galanterie, j’eus le dernier mot, cette discothèque se nommerait le « Paradise-club » afin de rappeler le nom de la société.
Si la soirée du concert s’était admirablement bien passée, vers deux heures du matin, alors qu’il ne restait pratiquement plus personne. Jean-Lou mon chéri était sorti rejoindre son jeune amant Francis, le fils du préfet, Gislaine la responsable de salle et Simon le cuistot étaient de rentrer à la maison depuis un long moment et Denis l’inspecteur du permis de conduire était venu chercher Françoise. Il ne restait à l’intérieur en ma compagnie que Monique la serveuse qui s’apprêtaient à raccompagner les deux jeunes extras, pris pour l’occasion. Ils allaient quitter l’établissement, lorsqu’une voiture pénétra dans la cour.
Alain mon ancien amant, l’entrepreneur de mes travaux à l’étable et Christian G le fils de l’ancien maire en étaient descendus tous les deux, un peu éméchés. Ma serveuse me demanda si j’avais encore besoin d’elle : « Non Monique, vous pouvez y aller, je m’en occupe. » Connaissant ces deux hommes, je n’avais aucune raison d’avoir peur de rester seules avec eux. Ils étaient légèrement ivres mais qu’importe. L’horaire de fermeture étant dépassée, je descendis le rideau de fer et m’installai au bar et leur servit un verre de bière en restai en leur compagnie.
Tout en buvant leur demi, Christian commença à élever la voix me reprochant de me présenter sur la liste concurrente à la sienne. Alain s’en mêla prétextant que je les trahissais, lui et son épouse alors qu’ils avaient fait des efforts financiers au sujet du chantier de réhabilitation de l’étable. Le ton monta très vite, il se doutait bien qu’avec l’aide que j’avais apportée aux associations que sa candidature n’était plus en mesure de remporter les élections. Christian se leva et vint me rejoindre derrière le comptoir. Il me plaqua contre le mur en me disant : « Je te conseille de te retirer de la liste de Patrice et de t’inscrire sur la nôtre. »
Alain s’était levé également et nous avait rejoint, il me pelotait déjà ma poitrine, sans vergogne : « Et pourquoi le ferais-je ? Je sais que tu as voté contre la dérogation, tu n’as aucune parole. » Je ne sais pas pourquoi, je l’avais provoqué, mais le fils du maire qui me tenais toujours fortement, m’arracha ma robe d’un seul coup : « Qu’est-ce que vous foutez, Bon Dieu ? Criais-je. Alain pour calmer le jeu, répondit tranquillement et gentiment : « Tu m’as terriblement manquée ma petite salope, j’ai envie de te prendre là Maintenant ! »
Si je n’avais pas peur de lui, je craignais beaucoup plus Christian qui semblait être bien saoul et plus menaçant. Pendant qu’Alain était doux dans ses gestes, ses mains étaient déjà sur mon entrejambe et ses doigts s’étaient insinués petit à petit sous ma petite culotte, tandis que le fils du maire me tenait fermement d’une main et de l’autre, me martyrisait les tétons de mes seins. Cela s’était passé tellement vite, qu’aujourd’hui j’ai des difficultés à remettre les faits chronologiquement.
À ce moment-là, mon cerveau fonctionnait à deux mille à l’heure, je savais très bien ce qu’il allait se passer, j’allais me faire violer si je résistais. Deux solutions s’offraient à moi : Soit je me débattais et j’hurlais sachant que personne ne viendrait me secourir, soit je me faisais baiser sans rien faire. Appréhendant les coups, j’avais peur qu’il me frappe et sachant qu’en portant plainte, je n’aurais aucune chance de fournir de preuve et que ma réputation serait entachée. Ce fut la raison pour laquelle, je choisis la deuxième solution.
Je vous avoue que je ne le regrette pas, cette situation m’avait par la suite très excitée, si en plus je pouvais prendre du plaisir, ce ne serait que mieux. Dans un premier temps, je repoussai le fils du maire en disant : « Ok Alain ! Je veux bien mais dégage Christian, je n’ai pas envie de baiser avec toi, tu n’auras jamais mon cul. » J’espérais quand même que mon ancien amant allait convaincre son ami, cependant, je ne me débattais plus. Ne portant que très rarement un soutien-gorge, lorsqu’Alain me retira mon dernier rempart, Christian relâcha son étreinte et me délaissa pour baisser son pantalon, jusqu’à ses chevilles avant de s’agenouiller derrière-moi.
Alain en fit de même après m’avoir gentiment demandé de mettre à quatre pattes. L’espace était réduit derrière le comptoir, il se plaça devant ma bouche et m’imposa d’un ton ferme de le sucer, sa queue était encore molle, tandis que celle de Christian qui se branlait, prenait du volume. Pendant que je faisais une fellation à l’un, je sentis dans la raie des fesses couler la salive de l’autre qui venait de cracher. Ses doigts me caressaient la fente et l’anus, avant de me les enfiler tour à tour dans chaque trou.
Je mouillais, j’étais excitée malgré la situation, Christian me pénétra, je sentais sa bite, elle me semblait imposante, il me baisait brutalement sans jamais dépasser le seuil insupportable de la douleur. Lorsqu’Alain banda fortement dans ma bouche, il prit les commandes, il dit à Christian de se retirer, s’allongea sur le sol et m’installa en lui tournant le dos. Il désirait me sodomiser, je m’accroupis et descendis progressivement sur sa queue et lorsqu’il sentit ses couilles contre mes fesses, il me coucha sur lui afin que Christian puisse me baiser la chatte.
À cet instant, coincée de la sorte impuissante, entre les deux hommes qui allaient et venaient en moi à tour de rôle, cette agression sexuelle était loin derrière moi, je ne pensais plus qu’au désir qu’elle me procurait. Très vite j’avais atteint un premier orgasme, toutefois, ils étaient loin d’en avoir fini. Les effets de l’alcool semblaient s’être estompés, ils bandaient encore fortement et ne cessaient toujours pas de me défoncer tout en me traitant de petite salope et de bien d’autres insultes que les hommes adorent prononcer, lorsqu’ils baisent avec une femme.
Lorsqu’ils se vidèrent les couilles à peu près en même temps, j’avais une nouvelle fois terriblement joui. Pourtant consciente, je m’étais efforcée de ne pas crier afin de ne pas leur montrer qu’ils m’avaient fait grimper aux rideaux. Lorsque nous nous étions relevés, à mon tour de les insulter en leur criant qu’ils n’étaient que deux salauds et en les menaçant : « Vous n’êtes que deux connards profitant de la faiblesse d’une femme. N’ayez crainte, je ne peux pas porter plainte, mais vous allez me le payer. » ils se mirent à rire ensemble en se moquant littéralement de moi : « Ah oui ! Et comment ? »
« En le disant à vos épouses bande de salauds. » Alain se méfia car il savait que j’en étais capable et me dit gentiment : « Allez Josy, ne me dit pas que tu n’as pas apprécié, je te connais. » Tandis que Christian rétorqua plus menaçant : « Si tu t’avise à faire ça, tu risques de gros ennuis, crois-moi. » S’en était trop pour moi, Alain me voyant excédée, essaya une fois encore de calmer les esprits, je ne pensais qu’à une chose, c’était qu’ils rentrent enfin chez eux : « Ok pour cette fois mais je vous préviens ne vous ravisez plus à m’approcher, sinon je le dirai à mon père. »
Dès que j’avais prononcé son nom, étant à peu près de son âge, ces deux types qui le connaissaient parfaitement, rabaissèrent leur caquet. Ils payèrent leur consommation, remirent leur manteau et quittaient le restau la queue entre les jambes, sans demander leur reste. Lorsque je m’étais enfin couchée, en me repassant le film des dernières minutes, je m’aperçus qu’un amant c’était bien mais deux, c’était encore mieux. Je me disais qu’il fallait dans d’autres circonstances, renouveler l’expérience, ce que je fis plus tard mais cela est une autre histoire.
Quelques jours plus tard, FR3 qui avait dépêché une équipe lors du concert de Frédéric François diffusa son reportage. Là encore, il avait fait un portrait sur ma personnalité et j’en avais profité pour glisser l’ouverture prochaine d’une grande discothèque, probablement la plus grande de la région (tout au moins en surface). Le lendemain de la diffusion, Christian qui avait lu dans le journal officiel, l’arrêté préfectoral et avait regardé le reportage à la télé, était revenu sans Alain mais avec Liliane son épouse :— Écoute Josy, nous tenons à nous excuser, tu sais que nous pouvons aller contre cette décision du préfet mais nous ne le ferons pas pour diverses raisons.
— À oui ! lesquelles ? demandais-je curieuse.
— Voilà, j’abandonne, je réintègre la liste de Patrice et comme il ne reste qu’une place, j’aimerais que tu laisses ta place à Liliane
Quelque part, j’étais soulagée, je voulais bien donner un coup de main à la commune mais si j’avais accepté au départ, c’était uniquement pour mon business, cela m’arrangeait. Toutefois j’aurais préféré que le principal intéressé, mon amant de surcroit, m’en parle personnellement et le fait de laisser ma place à cette femme me gênait un peu : « Et Patrice qu’en dit-il ? » Justement, celui-ci arrivait et une heure plus tard, j’étais bien contente de ne pas rentrer en politique. À la fin de cet entretien, Liliane me prit à part et après m’avoir remerciée, elle me dit : « Je me suis trompée sur ton compte Josy, pourrais-tu passer cet après-midi, j’aimerais te parler en privé. »
Liliane était une belle femme d’à peine 34 ans, bien plus jeune qu’Alain son mari. Lorsqu’elle m’avait reçue chez-elle, elle s’était changée, elle portait une jolie petite robe courte et légère malgré l’hiver. Alors qu’à son habitude, elle avait toujours une tenue assez stricte, tout en restant très classe et sexy. Ce n’était pas la femme que je croyais connaitre, elle m’avait parler franchement, d’une voix douce et sensuelle et m’expliqua calmement sa démarche et ce pourquoi elle m’avait demandé de venir la rencontrer. Elle avait appris en tirant les vers du nez à son mari qui, en rentrant bien ivre le dimanche au petit matin, ce qu’il m’était arrivée et le déplorait.
Elle m’avoua que deux mois plus tôt, lorsqu’elle désirait s’inscrire sur la liste de Patrice, Alain avait fait venir son grand ami Christian afin de l’obliger à renoncer à sa décision. N’ayant pas accepté, le fils du maire se fâcha et aidé de son mari, ils l’avaient prise de force : « Mais Christian était ton amant, je me trompe ? » Liliane n’avait jamais couché avec cet homme, comme quoi les rumeurs sont parfois trompeuses. Elle m’avoua qu’elle fut très énervée et qu’elle m’en voulait d’avoir pris son mari comme amant. Pour se venger de lui, elle aussi avait trompé Alain, cependant ce n’était pas avec Christian : « Tu le connais bien ! Nous couchons toutes les deux avec le même homme. »
Sachant pertinemment que c’était impossible qu’elle baise avec Jean-Lou, ça ne pouvait-être que…Non ! : « Tu couches avec Patrice ? » demandais-je très étonnée. Avant de répondre, elle me servit un café et se mis assise à mes côtés sur le divan de son salon. En posant négligemment sa main sur mon genou, là encore, elle m’expliqua comment tout avait débuté avec mon amant et le sien par la même occasion : Il y a six ans, Liliane travaillait avec Patrice, dont elle était une de ses secrétaires. À l’époque, malgré qu’il soit encore marié, il avait des vues sur elle. Liliane venait de me marier avec Alain.
Elle bu une gorgée, me sourit et poursuivit : Néanmoins étant fiancée, elle s’était refusée à lui en repoussant ses avances, il avait bien compris et s’en accommoda. Un mois plus tard, le maire ayant besoin de rajeunir son équipe, désirait une jeune femme dans son équipe, Patrice lui proposa de s’inscrire sur la liste de Mr Guéret avec lui, c’était pour elle son premier mandat. Pendant plusieurs mois, lors des conseils municipaux, Patrice s’installait très souvent à ses côtés et essayait de la séduire, il restait toujours courtois mais c’était vraiment un bel homme…Disait-elle.
Liliane observait mes réactions, je restais attentive et curieuse de savoir la suite, elle continua : « Comme toi je suppose. » Cet homme l’attirait mais elle était mariée et ne voulait pas tromper Alain. Pourtant un an après, sa voiture ne voulant pas démarrer, étant plus de minuit, il se proposa de la ramener. Il l’avait très excitée ce soir-là avec ses petits sous-entendus coquins et ses petites caresses sur sa cuisse. Liliane avait beau essayer de lui enlever la main, mais sans vraiment insister. Intérieurement, elle attendait et espérait qu’il continue, qu’il fasse le premier pas.
Toujours en me fixant dans les yeux, Liliane me demanda si je la comprenais. Faisant un signe de la tête, elle poursuivit : Le trajet était court jusqu’à chez-elle et une fois descendue, lorsqu’elle lui fit la bise par la vitre, côté conducteur, voyant qu’il n’y avait plus aucune lumière d’allumée à l’intérieur de la maison, elle lui déposa un bisou sur ses lèvres. Il était alors descendu à son tour et l’attira sur la banquette arrière : « Je ne te dis pas, je m’étais régalée. » Pendant plus d’une demi-heure dans la voiture, stationnée dans la cour, juste sous la fenêtre de leur chambre à coucher, Patrice l’avait culbutée dans tous les sens, Liliane avait même crié lorsqu’elle parvint à l’orgasme.
Puis, ils n’avaient pas pu résister, ils avaient continué pendant plusieurs mois, néanmoins, sa femme qui se doutait de quelque chose, les avait surpris sur le parking de la mairie pourtant bien à l’abri des regards. Il divorça dans la foulée et ne voulant surtout pas que cela vienne aux oreilles d’Alain, comme elle n’était pas sa seule maitresse, ils avaient rompu. Jusqu’au jour où Liliane apprit notre liaison : « Je t’en ai voulu Josy mais je comprends Patrice et Alain tu es si jolie qu’aucun homme, ni une femme bi ne peut te résister. Qu’en penses-tu ? »
Me dit-elle en caressant l’intérieur de ma cuisse. Je la sentais très excitée, elle me faisait directement des avances. Moi aussi, je commençais à mouiller, elle était si belle également, elle me faisait penser à Françoise avec laquelle nous ne nous faisions plus de câlins depuis qu’elle était avec Denis. S’apercevant que je n’étais pas contre, je la laissai m’embrasser et nous avions sans le vouloir au départ, pris une petite demi-heure de bonheur.
Avant que je la quitte en bonne amie, Liliane avait tenue à me dire : — Sache que si tu veux encore coucher avec mon mari, je ne t’en voudrai pas. Simplement, je te demande de me couvrir quand je suis avec Patrice, si ça ne te gêne pas ?
— Non ! Ce n’est pas mon mec, je peux le faire sans problème.
— Tu es un ange ! Me dit-elle en me faisant un bisou. Nous pourrions peut-être recommencer ? Avec Patrice ce serait bien…— Je suis partante à 100%, tu pourras tester mon nouveau lit de ma chambre d’amis, nous y serons à l’aise à trois.
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