« Marie la bourgeoise» : Se transformera-t-elle en salope ? Partie 1/2
Récit érotique écrit par Perruche [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 28-10-2020 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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« Marie la bourgeoise» : Se transformera-t-elle en salope ? Partie 1/2
Je m’appelle Marie, j’ ai aujourd’hui 55 ans, d’après tous les hommes que je côtoie, j’aurais un physique très agréable, ma coupe de cheveux, d’un châtain très clair à la limite du blond est mi longue et soyeuse. Mon entourage s’accorde à dire que je suis féminine, sensuelle, coquette et me liant facilement, très sympathique. Probablement légèrement enrobée, 60 kg pour 1m64 mais j’ai de jolies jambes bien galbées que j’aime recouvrir de bas retenus par des porte-jarretelles ou nues en été lorsqu’il fait beau et chaud. C’est la raison pour laquelle, j’aime porter des robes ou des jupes courtes et sexy. En haut, je porte souvent des chemisiers ou des bustiers avec un large décolleté mettant en valeur ma poitrine dense de femme mure. Pour mes seins un peu lourds mais néanmoins bien gonflés, je choisis des soutiens gorge en dentelle d’un bonnet 95C. Le matin après ma douche, une fois maquillée, j’aime me regarder dans la glace avec des sous-vêtements coquins avant de m'habiller pour la journée en espérant qu’un jour, je les montrerai à mon amant.
En effet, j’avais connu dans ma jeunesse l’amour, je m’étais mariée trop jeune avec un homme bien plus âgé que moi avec lequel j’avais tout subit sexuellement, de la fellation en gorge profonde, à la pénétration vaginale dans toutes les positions et bien entendu, la sodomise. Néanmoins, après trois années, j’avais vite compris que je devais le quitter, il était très possessif et d’une jalousie maladive. Il me frappait régulièrement car il m’imaginait toujours avec d’autres garçons, pourtant je ne l’avais jamais trompé. Après mon divorce, je m’étais jurée de ne plus me marier, les hommes me faisaient peur. Pendant dix ans, je connus que quelques aventures sexuelles mais je ne trouvais aucun réel plaisir même si je l’accorde, j’aime faire l’amour. À trente-trois ans, je vivais toujours seule et pourtant un jeudi soir, j’étais sortie avec une amie en discothèque où j’avais rencontré Manuel.
Portugais d’origine, Manu était beau, grand costaud et très velu. C’était un homme marié, un maçon travaillant sur un chantier en déplacement dans notre ville. Ce fut avec lui que je connus mon premier véritable orgasme. Il était divin, nous faisions l’amour tous les soirs de la semaine. Malgré ces joutes sauvages, j’appréciais de plus en plus d’être sous sa domination. Pourtant il ne m’aimait pas, il avait trouvé en moi « une salope à baiser » comme il me le disait souvent mais je l’adorais et j’attendais avec impatience la fin de la journée afin qu’il vienne me retrouver chez-moi. Il me manquait les week-end et il m’avait demandé de ne coucher avec personne d’autre que lui. Malgré cela, je ne l’ai jamais trompé pendant une année complète, j’étais tellement bien avec lui que je ne voulais pas le perdre. Néanmoins, une fois la construction de l’ouvrage terminé, je n’ai jamais plus eu de ses nouvelles, j’en ai pleuré pendant des semaines et au fil du temps tout s’efface mais je le garderai toujours dans ma mémoire.
Par la suite, j’avais eu d’autres aventures sexuelles sans lendemain, Manuel était dans mes pensées lorsque je faisais l’amour avec mes partenaires d’un soir. À aucun moment je pris autant de plaisir qu’avec lui, je rêvais de rencontrer quelqu’un comme lui qui saurait me faire prendre autant de jouissance. Malheureusement, c’était resté qu’un fantasme, car huit ans plus tard, je fis la connaissance de Régis, mon ainé de dix ans, un homme bedonnant, les cheveux précocement blancs mais très charmant et d’une gentillesse sans faille. J’avais à l’époque 42 ans, j’avais des sentiments pour lui d’autant plus qu’il était temps que je me case, j’avais trouvé en lui une perle rare que beaucoup de femmes aurait voulu être à ma place car c’était un homme très câlin et sentimental. J’avais appris à l’aimer, ce fut la raison pour laquelle, j’avais accepté quelques mois plus tard, sa demande en mariage.
Depuis notre union, j’avais renoncé à ma carrière professionnelle car Régis gagnait très bien sa vie et m’avait convaincue d’arrêter de travailler pour m’occuper de ma maison, j’étais donc devenue "femme au foyer" comme on dit. J’étais très heureuse, nous nous entendions très bien et je ne manquais de rien, mon mari m’apportait des fleurs régulièrement et n’était pas avare en cadeau divers, ma boite à bijoux se remplissait et il aimait me voir enfiler mes nouvelles tenues vestimentaires devant lui, lorsque je revenais de shopping. Je ne saurais pas dire le nombre de fois qu’il me dit : « Tu es magnifique ma chérie, je t’aime ».
Pourtant, la seule ombre au tableau, c’était qu’il n’était pas un étalon côté sexuel. De surcroit, il n’était pas imaginatif du tout, nous faisions l’amour en missionnaire et uniquement dans le lit conjugal. Cependant j’adorais les soirées passées ensemble sur le canapé lorsqu’il me faisait des papouilles et des cajoleries avant de monter dans la chambre. Puis plus les années passaient, moins il était en forme, Régis n’assumait plus et je sentais que cela le gênait, il avait honte lorsqu’à peine son sexe dans mon vagin, il éjaculait sans véritablement avoir eu une érection digne de ce nom. Je n’avais jamais voulu lui dire que j’étais en manque sexuellement parlant, je me contentais de lui dire que je pouvais m’en passer.
Après quelques années de mariage, nos rapports s’espaçaient de plus en plus, je fus contrainte de commander sur internet un sextoy que je choisis de la taille de mon ancien amant, mon maçon qui savait me satisfaire. J’avais donc appelé mon jouet « Manu » bien entendu et lorsque j’étais au lit à côté de Régis, après m’être frottée sensuellement contre lui, épuisé par ses journées de travail mon cher et tendre s’endormait. Je sortais alors, Manuel du tiroir et je prenais mon plaisir en fantasmant. Le fait est, que mon époux, travaillant malheureusement encore beaucoup, aujourd’hui me délaisse quelque peu, mes amies ayant encore une activité salariale, je m’ennuie la semaine toute seule dans ma grande maison toute la journée.
Tous les soirs au lit je rêvais d’avoir un amant mais cela restait au niveau du fantasme. Étant trop réservée, je savais que je ne ferais jamais le premier pas en présence d'un homme. Et même si j’aimais être courtisée, complimentée par les hommes du quartier qui me draguait, ceux-ci étaient mariés et en grande majorité retraités. J’avais pris ma décision, il me fallait un homme, un vrai qui sache me redonner du plaisir sexuellement et même si je devais l’avouer à mon mari, je le ferais en prenant soin de ne pas l’offenser. Je sortais de plus en plus de la maison et passait au ralenti devant les chantiers en construction et me baladais souvent dans les magasins de bricolage en espérant trouver la perle rare.
Cet après-midi-là, au super marché où je faisais mes courses, un homme attendait au comptoir de la boucherie. Je n’en croyais pas mes yeux, dès que je l’ai aperçu, je savais que c’était lui mon prochain amant. Je ne le fixais pas dans les yeux, je le regardais uniquement du coin de l’œil. Cet homme, la quarantaine passée, avait un physique de sportif : grand avec son 184 m, large d’épaule, le ventre plat et musclé, les cheveux noirs, coupés très court. Habillé d’un débardeur, je pouvais voir qu’il était très poilu, son corps devait être recouvert de poils bien noirs des bras aux épaules et sur le torse découvert. Il était velu comme j’aimais et cela ne se voyait pas habillé, mais ses abdos et son dos jusqu’à la naissance de ses fesses, je le devinais. Le teint mat, les yeux d’un bleu intense et son sourire me firent craquer immédiatement.
C’était exactement l’homme que j’espérais rencontrer, il était dans mes rêves les plus érotiques. À cet instant, j’attendais qu’une chose, qu’il me courtise, qu’il me parle. Une fois servi, son paquet à la main, il me dévisagea de la tête au pied et je compris très vite qu’il me regardait avec envie, malheureusement il ne dit rien et disparut dans les rayons. Une dizaine de minutes plus tard, mes courses chargées dans mon coffre, je démarrai ma voiture et me dirigeant vers la sortie, j’aperçus ce fameux client de la boucherie debout devant son capot ouvert d’où sortait une épaisse fumée blanche. C’était pour moi l’occasion rêvée de l’aborder sans lui montrer que je le désirais. Je stoppai mon véhicule à côté de lui et demanda :
— Vous avez sans doute besoin d’aide. Vous êtes en panne ? Puis-je faire quelque chose ?
— C’est gentil vraiment mais je crains que ma voiture dorme ici. Le moteur à rendu l’âme.
— Désirez-vous que j’appelle un ami, il est garagiste ?
— Non merci, elle est foutue, je viendrai la remorquer demain avec mon pote. Par contre vous seriez très gentil si vous pouviez me déposer chez moi. J’habite à Martinville et vous ?
Ce village n’était pas très éloigné de mon domicile, je ne devais faire qu’un petit détour, je voulais lui dire oui immédiatement mais au dernier moment, je fis la moue et dit un peu timidement :
— Heu… Je suis de Jeancourt… c’est-à-dire… Monter un inconnu dans ma voiture, ça ne se fait pas. Je ne prends jamais personne en auto-stop.
— Vous habitez à côté, juste un tout petit détour. Tiens ! Prenez ma pièce d’identité si vous voulez, je ne vous veux aucun mal, bien au contraire, vous avez l’air si gentille et vous savez, vous êtes ravissante. Allez, s’il vous plait, dites oui.
Je réfléchis un instant, je savais dans mon fond intérieur que si j’accepterais, c’était l’occasion pour moi de faire sa connaissance. Mais j’attendis un long moment sans répondre, il me regardait en prenant son plus beau sourire et j’acceptai sa demande :
— Bon d’accord, chargez vos courses et allons y.
Je savais dès à présent que cet homme ne me voulait aucun mal et sa panne n’était pas du cinéma, au vu de la fumée qui s’y échappait encore. Dans la voiture, nous avons fait un peu connaissance, il s’appelait Cyprien était divorcé. Je lui donnai mon prénom, lui dis que j’étais mariée, que mon homme travaillait encore, que j’avais donc le temps de faire ce petit détour. Arrivés à destination, Cyprien posa sa main sur la mienne, je n’attendais que cela, qu’il fasse le premier pas et il le fit. Je ne retirai pas la mienne et lui sourit en le regardant. Il me dit alors :
— Vous avez des doigts magnifiques, enfin rien n’est à jeter chez-vous. Je serais ravi de vous offrir un verre à la maison et surtout ne refusez pas.
— Heu…Je ne sais pas…si je dois…
— Marie ! Vous devez accepter. Dit-il d’un ton suffisamment ferme, me fixant droit dans les yeux.
Ce qu’il avait pensé de moi, se vérifia. J’étais tombée sous son charme, je tremblotais de bonheur, je devais lui refuser car je savais que ce n’était pas que pour boire un café mais je n’ai pas pu lui refuser, je lui souris de nouveau et accepta l’invitation en répondant timidement :
— D’accord mais je ne reste pas longtemps, j’ai le diner à préparer.
Dès cet instant, la partie était gagnée, Cyprien savait désormais que je ne tarderais pas à succomber. Il n’avait pas attendu longtemps, après s’être lavé les mains pendant que je m’installais dans le salon et après avoir trinqué devant un verre de blanc sec, il se resserra contre moi, me prit par les épaules et m’attira à lui. Je me laissai emporter, c’était exactement ce que j’étais venue chercher. Cet homme me rendait folle, tout me plaisait chez lui, son physique, sa voix, jusqu’à son odeur forte et sa lotion de toilette enivrante, j’étais toute excitée dans ce baiser fougueux.
J’offris ma bouche et ma langue à mon partenaire qui me léchait, me l’aspirait et la mordillait. Nous restâmes un bon moment ainsi, soudés avant qu’il ne me prenne la jambe pour la passer au-dessus des siennes. Je me laissai faire et je m’étais retrouvée à califourchon sur lui. Notre baiser se poursuivait, bouches à demi ouvertes, nos dents s’entrechoquaient, nos langues s’agitaient, s’entremêlaient, tournaient et retournaient pendant que je lui caressais la nuque et les épaules. Cyprien avait relevé ma jupe et me triturait les fesses rebondies. Nos pubis face à face, je ressentais son excitation, je faisais des mouvements de bassin en mimant l’acte d’amour pendant qu’il passait ses doigts sous le tissu fin de mon string en s’apercevant que j’étais dans le même état d’excitation que lui :
— Mais tu mouilles comme une ado. Dit-il en interrompant ce baiser passionné.
Il continua son doigté en titillant mon clito sorti de sa protection, cette caresse intime me fit couler encore un peu plus de cyprine, je ruisselais, laissant échapper ce liquide sur les doigts de mon amant qui jubilait d’avoir trouvé une bourgeoise en chaleur. Il comprit que j’étais sienne, il me donna un nouvel ordre :
— Marie ! Mets-toi devant moi que je t’admire.
Je me redressai, j’exécutai sans discuter et me plaçai debout face à lui comme il me l’indiqua. Cyprien m’attira un peu plus près de lui et posa ses mains sur ma poitrine et commença un petit pelotage en bonne et due forme en insistant sur les mamelons imposants érigés par l’excitation. Tout en continuant le malaxage d’un sein, il repassa l’autre sous ma jupe et la glissa de nouveau dans son string. J’eus un nouveau frisson, cela allait beaucoup trop vite, je ne connaissais Cyprien que depuis une heure que déjà je m’offrais à lui comme une salope et le comble, c’était que je ne le refusais pas. À ce moment précis, rien n’empêchera Cyprien de me baiser comme une chienne, il en était persuadé :
— Tu es ravissante, je veux te voir à poil. Montre-moi ton cul et tes gros nichons.
J’allais encore succomber à ses désirs, je voulais exécuter son ordre mais au dernier instant, je sus que j’allais trop loin. À la pensée que j’allais tromper l’homme que j’aimais et que cela pouvait être irrévocable, je me forçai à refuser même si cela m’eut été difficile :
— Non Cyprien, je t’en prie, je dois partir.
— Ce n’est pas l’envie qui t’en manque dis-moi. Pourquoi es-tu monté chez-moi ? Pour faire la vaisselle ou pour baiser avec moi ?
— Bien sûr ! J’ai très envie de toi mais cela va trop vite, je ne sais pas ce qui se passe mais…
Il m’interrompit brusquement, je vis dans son regard que je le décevais et d’un ton sec, il rétorqua :
— Tu n’es qu’une petite allumeuse Marie…
Avant qu’il finisse sa phrase, je vins me plaquer contre lui, cherchant sa bouche pour lui faire un bisou et j’ajoutai :
— Il est trop tard Cyprien, mon mari doit être rentré, il va s’impatienter et s’inquiéter. Une autre fois, voilà mon numéro de portable, appelle-moi.
Il m’attrapa par la taille et m’embrassa sensuellement, avant que je le quitte. S’il était déçu, j’étais comme lui, j’aurais bien voulu poursuivre la soirée avec lui mais je ne le pouvais vraiment pas. À la maison, après le dîner, installés dans le salon, toujours excitée par mon entrevue avec Cyprien, je collais Régis je frottais mon pubis contre sa cuisse, le caressais, lui faisant quelques bisous dans le cou mais étant trop absorbé par son thriller, il me dit d’attendre la fin de son film.
Lorsque nous nous sommes couchés, Régis savait ce que je désirais, il m’avait caressé et embrassé pendant que de mes mains j’essayais en vain de lui donner une belle érection. Il m’enjamba et me pénétra de sa verge mi dure, il fut étonné de ne pas avoir eu à saliver, j’étais suffisamment lubrifiée. Très vite il se vida dans ma chatte, s’essuya, se retourna et s’endormit après m’avoir embrassée.
Comme à chaque fois, je sortis « Manu » et m’amusai avec, pendant une bonne partie de la soirée en pensant à Cyprien, avant de m’endormir à mon tour. Le lendemain matin au petit déjeuner, Régis était tout penaud, il m’avait surprise en train de me masturber la veille et cela l’avait perturbé. Il n’avait rien dit et fit semblant de continuer à dormir tout en me regardant prendre du plaisir avec mon sextoy. En baissant légèrement la tête, il m’avoua qu’il était très gêné que j’en arrive à cela :
— Tu dois être malheureuse mon amour. J’ai essayé les pilules du docteur mais je n’arrive pas. Me trompes-tu ?
— Bien sûr que non Régis ! Que vas-tu imaginer ? J’ai honte aussi tu sais d’utiliser cet engin mais au moins il me fait du bien.
— Je ne te demande qu’une seule chose ma chérie. Si un jour tu le fais avec un autre homme, je ne veux pas le savoir, ça me ferait trop de peine…
Ne voulant pas poursuivre sur le sujet, je me levai de la table et vins l’embrasser avant de lui dire dans l’oreille : « Je t’aime mon amour ». Les jours suivant, j’étais très déçue, je n’avais plus de nouvelle de Cyprien, je pensais qu’il m’avait déjà oublié et qu’il avait trouvé une femme plus jeune et plus jolie que moi. Tous les jours, je lui avais envoyé des textos et il ne donnait pas suite. Pourtant, quatre jours plus tard, il était 21 heures lorsque je reçus un SMS. Mon mari étant un peu sourd et avec le volume important de la télé, il n’avait pas perçu, le son de la sonnerie. Je m’étais levée et dit à mon homme que j’allais me coucher, pressée de regarder mon message :
— Appelle-moi dès que possible. Cyprien
Je savais que je devais faire très attention mais je ne voulais pas rater cette occasion. J’étais montée dans la salle de bain et après avoir fermé la porte, j’avais appelé immédiatement l’homme qui m’avait fait craquer. Je vous raconterai la suite dans un autre récit.
Chères lectrices et chers lecteurs, j’aimerais votre sentiment. Merci de laisser vos commentaires, je compte sur vous.
Si comme Marie, vous avez envie de raconter vos histoires de sexe, contactez-moi par Email, avec votre aide, j’écrirai votre propre récit. cyp.perruche@orange.fr
En effet, j’avais connu dans ma jeunesse l’amour, je m’étais mariée trop jeune avec un homme bien plus âgé que moi avec lequel j’avais tout subit sexuellement, de la fellation en gorge profonde, à la pénétration vaginale dans toutes les positions et bien entendu, la sodomise. Néanmoins, après trois années, j’avais vite compris que je devais le quitter, il était très possessif et d’une jalousie maladive. Il me frappait régulièrement car il m’imaginait toujours avec d’autres garçons, pourtant je ne l’avais jamais trompé. Après mon divorce, je m’étais jurée de ne plus me marier, les hommes me faisaient peur. Pendant dix ans, je connus que quelques aventures sexuelles mais je ne trouvais aucun réel plaisir même si je l’accorde, j’aime faire l’amour. À trente-trois ans, je vivais toujours seule et pourtant un jeudi soir, j’étais sortie avec une amie en discothèque où j’avais rencontré Manuel.
Portugais d’origine, Manu était beau, grand costaud et très velu. C’était un homme marié, un maçon travaillant sur un chantier en déplacement dans notre ville. Ce fut avec lui que je connus mon premier véritable orgasme. Il était divin, nous faisions l’amour tous les soirs de la semaine. Malgré ces joutes sauvages, j’appréciais de plus en plus d’être sous sa domination. Pourtant il ne m’aimait pas, il avait trouvé en moi « une salope à baiser » comme il me le disait souvent mais je l’adorais et j’attendais avec impatience la fin de la journée afin qu’il vienne me retrouver chez-moi. Il me manquait les week-end et il m’avait demandé de ne coucher avec personne d’autre que lui. Malgré cela, je ne l’ai jamais trompé pendant une année complète, j’étais tellement bien avec lui que je ne voulais pas le perdre. Néanmoins, une fois la construction de l’ouvrage terminé, je n’ai jamais plus eu de ses nouvelles, j’en ai pleuré pendant des semaines et au fil du temps tout s’efface mais je le garderai toujours dans ma mémoire.
Par la suite, j’avais eu d’autres aventures sexuelles sans lendemain, Manuel était dans mes pensées lorsque je faisais l’amour avec mes partenaires d’un soir. À aucun moment je pris autant de plaisir qu’avec lui, je rêvais de rencontrer quelqu’un comme lui qui saurait me faire prendre autant de jouissance. Malheureusement, c’était resté qu’un fantasme, car huit ans plus tard, je fis la connaissance de Régis, mon ainé de dix ans, un homme bedonnant, les cheveux précocement blancs mais très charmant et d’une gentillesse sans faille. J’avais à l’époque 42 ans, j’avais des sentiments pour lui d’autant plus qu’il était temps que je me case, j’avais trouvé en lui une perle rare que beaucoup de femmes aurait voulu être à ma place car c’était un homme très câlin et sentimental. J’avais appris à l’aimer, ce fut la raison pour laquelle, j’avais accepté quelques mois plus tard, sa demande en mariage.
Depuis notre union, j’avais renoncé à ma carrière professionnelle car Régis gagnait très bien sa vie et m’avait convaincue d’arrêter de travailler pour m’occuper de ma maison, j’étais donc devenue "femme au foyer" comme on dit. J’étais très heureuse, nous nous entendions très bien et je ne manquais de rien, mon mari m’apportait des fleurs régulièrement et n’était pas avare en cadeau divers, ma boite à bijoux se remplissait et il aimait me voir enfiler mes nouvelles tenues vestimentaires devant lui, lorsque je revenais de shopping. Je ne saurais pas dire le nombre de fois qu’il me dit : « Tu es magnifique ma chérie, je t’aime ».
Pourtant, la seule ombre au tableau, c’était qu’il n’était pas un étalon côté sexuel. De surcroit, il n’était pas imaginatif du tout, nous faisions l’amour en missionnaire et uniquement dans le lit conjugal. Cependant j’adorais les soirées passées ensemble sur le canapé lorsqu’il me faisait des papouilles et des cajoleries avant de monter dans la chambre. Puis plus les années passaient, moins il était en forme, Régis n’assumait plus et je sentais que cela le gênait, il avait honte lorsqu’à peine son sexe dans mon vagin, il éjaculait sans véritablement avoir eu une érection digne de ce nom. Je n’avais jamais voulu lui dire que j’étais en manque sexuellement parlant, je me contentais de lui dire que je pouvais m’en passer.
Après quelques années de mariage, nos rapports s’espaçaient de plus en plus, je fus contrainte de commander sur internet un sextoy que je choisis de la taille de mon ancien amant, mon maçon qui savait me satisfaire. J’avais donc appelé mon jouet « Manu » bien entendu et lorsque j’étais au lit à côté de Régis, après m’être frottée sensuellement contre lui, épuisé par ses journées de travail mon cher et tendre s’endormait. Je sortais alors, Manuel du tiroir et je prenais mon plaisir en fantasmant. Le fait est, que mon époux, travaillant malheureusement encore beaucoup, aujourd’hui me délaisse quelque peu, mes amies ayant encore une activité salariale, je m’ennuie la semaine toute seule dans ma grande maison toute la journée.
Tous les soirs au lit je rêvais d’avoir un amant mais cela restait au niveau du fantasme. Étant trop réservée, je savais que je ne ferais jamais le premier pas en présence d'un homme. Et même si j’aimais être courtisée, complimentée par les hommes du quartier qui me draguait, ceux-ci étaient mariés et en grande majorité retraités. J’avais pris ma décision, il me fallait un homme, un vrai qui sache me redonner du plaisir sexuellement et même si je devais l’avouer à mon mari, je le ferais en prenant soin de ne pas l’offenser. Je sortais de plus en plus de la maison et passait au ralenti devant les chantiers en construction et me baladais souvent dans les magasins de bricolage en espérant trouver la perle rare.
Cet après-midi-là, au super marché où je faisais mes courses, un homme attendait au comptoir de la boucherie. Je n’en croyais pas mes yeux, dès que je l’ai aperçu, je savais que c’était lui mon prochain amant. Je ne le fixais pas dans les yeux, je le regardais uniquement du coin de l’œil. Cet homme, la quarantaine passée, avait un physique de sportif : grand avec son 184 m, large d’épaule, le ventre plat et musclé, les cheveux noirs, coupés très court. Habillé d’un débardeur, je pouvais voir qu’il était très poilu, son corps devait être recouvert de poils bien noirs des bras aux épaules et sur le torse découvert. Il était velu comme j’aimais et cela ne se voyait pas habillé, mais ses abdos et son dos jusqu’à la naissance de ses fesses, je le devinais. Le teint mat, les yeux d’un bleu intense et son sourire me firent craquer immédiatement.
C’était exactement l’homme que j’espérais rencontrer, il était dans mes rêves les plus érotiques. À cet instant, j’attendais qu’une chose, qu’il me courtise, qu’il me parle. Une fois servi, son paquet à la main, il me dévisagea de la tête au pied et je compris très vite qu’il me regardait avec envie, malheureusement il ne dit rien et disparut dans les rayons. Une dizaine de minutes plus tard, mes courses chargées dans mon coffre, je démarrai ma voiture et me dirigeant vers la sortie, j’aperçus ce fameux client de la boucherie debout devant son capot ouvert d’où sortait une épaisse fumée blanche. C’était pour moi l’occasion rêvée de l’aborder sans lui montrer que je le désirais. Je stoppai mon véhicule à côté de lui et demanda :
— Vous avez sans doute besoin d’aide. Vous êtes en panne ? Puis-je faire quelque chose ?
— C’est gentil vraiment mais je crains que ma voiture dorme ici. Le moteur à rendu l’âme.
— Désirez-vous que j’appelle un ami, il est garagiste ?
— Non merci, elle est foutue, je viendrai la remorquer demain avec mon pote. Par contre vous seriez très gentil si vous pouviez me déposer chez moi. J’habite à Martinville et vous ?
Ce village n’était pas très éloigné de mon domicile, je ne devais faire qu’un petit détour, je voulais lui dire oui immédiatement mais au dernier moment, je fis la moue et dit un peu timidement :
— Heu… Je suis de Jeancourt… c’est-à-dire… Monter un inconnu dans ma voiture, ça ne se fait pas. Je ne prends jamais personne en auto-stop.
— Vous habitez à côté, juste un tout petit détour. Tiens ! Prenez ma pièce d’identité si vous voulez, je ne vous veux aucun mal, bien au contraire, vous avez l’air si gentille et vous savez, vous êtes ravissante. Allez, s’il vous plait, dites oui.
Je réfléchis un instant, je savais dans mon fond intérieur que si j’accepterais, c’était l’occasion pour moi de faire sa connaissance. Mais j’attendis un long moment sans répondre, il me regardait en prenant son plus beau sourire et j’acceptai sa demande :
— Bon d’accord, chargez vos courses et allons y.
Je savais dès à présent que cet homme ne me voulait aucun mal et sa panne n’était pas du cinéma, au vu de la fumée qui s’y échappait encore. Dans la voiture, nous avons fait un peu connaissance, il s’appelait Cyprien était divorcé. Je lui donnai mon prénom, lui dis que j’étais mariée, que mon homme travaillait encore, que j’avais donc le temps de faire ce petit détour. Arrivés à destination, Cyprien posa sa main sur la mienne, je n’attendais que cela, qu’il fasse le premier pas et il le fit. Je ne retirai pas la mienne et lui sourit en le regardant. Il me dit alors :
— Vous avez des doigts magnifiques, enfin rien n’est à jeter chez-vous. Je serais ravi de vous offrir un verre à la maison et surtout ne refusez pas.
— Heu…Je ne sais pas…si je dois…
— Marie ! Vous devez accepter. Dit-il d’un ton suffisamment ferme, me fixant droit dans les yeux.
Ce qu’il avait pensé de moi, se vérifia. J’étais tombée sous son charme, je tremblotais de bonheur, je devais lui refuser car je savais que ce n’était pas que pour boire un café mais je n’ai pas pu lui refuser, je lui souris de nouveau et accepta l’invitation en répondant timidement :
— D’accord mais je ne reste pas longtemps, j’ai le diner à préparer.
Dès cet instant, la partie était gagnée, Cyprien savait désormais que je ne tarderais pas à succomber. Il n’avait pas attendu longtemps, après s’être lavé les mains pendant que je m’installais dans le salon et après avoir trinqué devant un verre de blanc sec, il se resserra contre moi, me prit par les épaules et m’attira à lui. Je me laissai emporter, c’était exactement ce que j’étais venue chercher. Cet homme me rendait folle, tout me plaisait chez lui, son physique, sa voix, jusqu’à son odeur forte et sa lotion de toilette enivrante, j’étais toute excitée dans ce baiser fougueux.
J’offris ma bouche et ma langue à mon partenaire qui me léchait, me l’aspirait et la mordillait. Nous restâmes un bon moment ainsi, soudés avant qu’il ne me prenne la jambe pour la passer au-dessus des siennes. Je me laissai faire et je m’étais retrouvée à califourchon sur lui. Notre baiser se poursuivait, bouches à demi ouvertes, nos dents s’entrechoquaient, nos langues s’agitaient, s’entremêlaient, tournaient et retournaient pendant que je lui caressais la nuque et les épaules. Cyprien avait relevé ma jupe et me triturait les fesses rebondies. Nos pubis face à face, je ressentais son excitation, je faisais des mouvements de bassin en mimant l’acte d’amour pendant qu’il passait ses doigts sous le tissu fin de mon string en s’apercevant que j’étais dans le même état d’excitation que lui :
— Mais tu mouilles comme une ado. Dit-il en interrompant ce baiser passionné.
Il continua son doigté en titillant mon clito sorti de sa protection, cette caresse intime me fit couler encore un peu plus de cyprine, je ruisselais, laissant échapper ce liquide sur les doigts de mon amant qui jubilait d’avoir trouvé une bourgeoise en chaleur. Il comprit que j’étais sienne, il me donna un nouvel ordre :
— Marie ! Mets-toi devant moi que je t’admire.
Je me redressai, j’exécutai sans discuter et me plaçai debout face à lui comme il me l’indiqua. Cyprien m’attira un peu plus près de lui et posa ses mains sur ma poitrine et commença un petit pelotage en bonne et due forme en insistant sur les mamelons imposants érigés par l’excitation. Tout en continuant le malaxage d’un sein, il repassa l’autre sous ma jupe et la glissa de nouveau dans son string. J’eus un nouveau frisson, cela allait beaucoup trop vite, je ne connaissais Cyprien que depuis une heure que déjà je m’offrais à lui comme une salope et le comble, c’était que je ne le refusais pas. À ce moment précis, rien n’empêchera Cyprien de me baiser comme une chienne, il en était persuadé :
— Tu es ravissante, je veux te voir à poil. Montre-moi ton cul et tes gros nichons.
J’allais encore succomber à ses désirs, je voulais exécuter son ordre mais au dernier instant, je sus que j’allais trop loin. À la pensée que j’allais tromper l’homme que j’aimais et que cela pouvait être irrévocable, je me forçai à refuser même si cela m’eut été difficile :
— Non Cyprien, je t’en prie, je dois partir.
— Ce n’est pas l’envie qui t’en manque dis-moi. Pourquoi es-tu monté chez-moi ? Pour faire la vaisselle ou pour baiser avec moi ?
— Bien sûr ! J’ai très envie de toi mais cela va trop vite, je ne sais pas ce qui se passe mais…
Il m’interrompit brusquement, je vis dans son regard que je le décevais et d’un ton sec, il rétorqua :
— Tu n’es qu’une petite allumeuse Marie…
Avant qu’il finisse sa phrase, je vins me plaquer contre lui, cherchant sa bouche pour lui faire un bisou et j’ajoutai :
— Il est trop tard Cyprien, mon mari doit être rentré, il va s’impatienter et s’inquiéter. Une autre fois, voilà mon numéro de portable, appelle-moi.
Il m’attrapa par la taille et m’embrassa sensuellement, avant que je le quitte. S’il était déçu, j’étais comme lui, j’aurais bien voulu poursuivre la soirée avec lui mais je ne le pouvais vraiment pas. À la maison, après le dîner, installés dans le salon, toujours excitée par mon entrevue avec Cyprien, je collais Régis je frottais mon pubis contre sa cuisse, le caressais, lui faisant quelques bisous dans le cou mais étant trop absorbé par son thriller, il me dit d’attendre la fin de son film.
Lorsque nous nous sommes couchés, Régis savait ce que je désirais, il m’avait caressé et embrassé pendant que de mes mains j’essayais en vain de lui donner une belle érection. Il m’enjamba et me pénétra de sa verge mi dure, il fut étonné de ne pas avoir eu à saliver, j’étais suffisamment lubrifiée. Très vite il se vida dans ma chatte, s’essuya, se retourna et s’endormit après m’avoir embrassée.
Comme à chaque fois, je sortis « Manu » et m’amusai avec, pendant une bonne partie de la soirée en pensant à Cyprien, avant de m’endormir à mon tour. Le lendemain matin au petit déjeuner, Régis était tout penaud, il m’avait surprise en train de me masturber la veille et cela l’avait perturbé. Il n’avait rien dit et fit semblant de continuer à dormir tout en me regardant prendre du plaisir avec mon sextoy. En baissant légèrement la tête, il m’avoua qu’il était très gêné que j’en arrive à cela :
— Tu dois être malheureuse mon amour. J’ai essayé les pilules du docteur mais je n’arrive pas. Me trompes-tu ?
— Bien sûr que non Régis ! Que vas-tu imaginer ? J’ai honte aussi tu sais d’utiliser cet engin mais au moins il me fait du bien.
— Je ne te demande qu’une seule chose ma chérie. Si un jour tu le fais avec un autre homme, je ne veux pas le savoir, ça me ferait trop de peine…
Ne voulant pas poursuivre sur le sujet, je me levai de la table et vins l’embrasser avant de lui dire dans l’oreille : « Je t’aime mon amour ». Les jours suivant, j’étais très déçue, je n’avais plus de nouvelle de Cyprien, je pensais qu’il m’avait déjà oublié et qu’il avait trouvé une femme plus jeune et plus jolie que moi. Tous les jours, je lui avais envoyé des textos et il ne donnait pas suite. Pourtant, quatre jours plus tard, il était 21 heures lorsque je reçus un SMS. Mon mari étant un peu sourd et avec le volume important de la télé, il n’avait pas perçu, le son de la sonnerie. Je m’étais levée et dit à mon homme que j’allais me coucher, pressée de regarder mon message :
— Appelle-moi dès que possible. Cyprien
Je savais que je devais faire très attention mais je ne voulais pas rater cette occasion. J’étais montée dans la salle de bain et après avoir fermé la porte, j’avais appelé immédiatement l’homme qui m’avait fait craquer. Je vous raconterai la suite dans un autre récit.
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2 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Même si elle succombe au beau Cyprien, Marie n'en sera pas pour autant une salope. Juste
une belle femme sensuelle méritant qu'un étalon velu l'envoie au septième ciel...
une belle femme sensuelle méritant qu'un étalon velu l'envoie au septième ciel...
Superbe histoire très excitante. C'est bon d'avoir envie d'un homme lorsque l'on sent que
cela coule entre les cuisses. Vivement la suite
cela coule entre les cuisses. Vivement la suite