A la découverte de ma tante.

- Par l'auteur HDS Renifleur -
Récit érotique écrit par Renifleur [→ Accès à sa fiche auteur]
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Récit libertin : A la découverte de ma tante. Histoire érotique Publiée sur HDS le 30-09-2024 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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A la découverte de ma tante.
Il se trouve que ce matin, si je veux me rendre chez ma tante, il faut que je contourne le quartier. Par la faute d’Odile qui fait le pied de grue devant l’épicerie. J’avoue que ces derniers temps je l’ai un peu délaissé.
Sitôt arrivé entre ses murs, voilà que Catalina esquisse un petit sourire et me précède sans un mot dans le couloir. Je suis fasciné par le balancement de sa croupe ample, dont le volume semble prêt à faire exploser le tissu tendu du peignoir. Elle m’entraîne comme toujours au salon. Une odeur de bon café me titille les narines. Je suis étonné qu‘elle soit en peignoir. Devant ma surprise, elle dit, avec un sourire désarmant.
- Pardonne-moi de te recevoir en petite tenue, mais aujourd’hui je prends mes aises. Je suis chez moi, pas vrai ?
Je réponds que cela, je ne me gêne pas, tout au contraire. Mais son air trop innocent me met la puce à l‘oreille. Ou je me trompe fort, ou elle a une idée derrière la tête. Surtout avec ce qui s’est passé depuis son retour de vacances. Je remarque qu’elle porte aux pieds de jolies mules à sangles.
Croisant mon regard, elle dit :
- Ils te plaisent. Sache que je les porte à ton honneur.
- Cela me touche, tata !
- Allons-nous installer, veux-tu !
Comme à son habitude, elle prend place sur le divan.
- Qu’est-ce que tu penses de notre relation ?
- Merveilleuse !
Elle se met à gesticuler sur sa place. Si bien, que je constate qu’elle porte une affriolante culotte blanche. Le triangle tendu sur son ventre rebondit sur la moule, les lèvres de son sexe. Il ne m’en faut pas plus pour sentir ma queue s’endurcir.
- Tu veux que je me branle, tata ?
- Ne sois pas si pressé !
Elle me fixe de ses grands yeux noirs, où je devine briller une petite flamme trouble. Au fil de notre discussion, sa voix se fait un peu rauque. Jugeant qu’elle m’a assez fait patienter, la voilà qui d’un coup, décide de dénouer le nœud qui retenait jusqu’alors fermé son vêtement. Puis, écarte les pans de son peignoir pour exhiber son bas-ventre et sa poitrine. Tout cela dans une respiration lourde et suave.
Comme la veille, une tacle humide couronne le devant de la culotte. Elle laisse tomber, d’une voix sèche et tranchante.
- Toujours intéressé ?
- Oui… plus que jamais !
- J’en doute tout de même un peu.
- Et pourquoi ça ?
- Je ne sais pas, tu ne t’es pas encore jeté sur moi ! Si tu n’as pas envie, je remballe tout ! On verra ça demain !
- Pas question !
- Tu m’en vois ravi !
Et après un court silence, ajoute :
- Alors qu’est que tu décides ?
Je n’ai pas le courage à répondre à cela. Me contentant de scruter du regard la culotte. J’y distingue nettement une masse plus sombre. En forme de triangle. Visibles à travers le tissu plus trempé qu’une serpillière. Catalina est surexcitée.
Je soupçonne même qu’elle l’était bien avant même que je lui rende la visite. Seule, elle a dû fantasmer sur des scénarios cochons.
J’ai eu la chance de déjà rencontré des femmes de son genre. Qui ne se gênent pas pour s’exhiber devant les yeux de jeune homme, comme pour les inciter à consommer. Comme le fait parfaitement Catalina en cet instant !
-Alors ? Insiste-t-elle, d’une voix dure. Tu ne me lèches pas les pieds aujourd’hui !
Pour toute réponse, je lui expose la bosse qui déforme mon pantalon. Elle fixe quelques secondes mon érection, petit sourire, et s’exclame joyeusement:
- Je me suis aperçu de ça ! S’exclame-t-elle, en s’empressant de venir jusqu’à moi, et de déboutonner mon pantalon.
Je l’aide à le faire glisser lentement jusqu’à mes pieds. Mon slip suit le même chemin. Catalina referme les doigts autour de ma verge. Elle pose son autre main sur mes couilles et les fait rouler l’une contre l’autre. Elle me branle agréablement bien. Et cela un long moment.
-Si tu savais !
-Je dois savoir quoi, tata ?
-Que ça fait longtemps que j’avais envie de faire connaissance avec ta queue Alain, j’en es même rêvé d’envie !
- Et pourquoi la mienne ?
- Parce que j’ai une grande confiance en toi et que je sais parfaitement que tout cela restera entre nous, je me trompe ?
- Tu lis bien en moi, tata ! Fais-je, savourant plus que jamais sa caresse.
- Tu me comprends bien !
- Je te comprends !
- Tu ne peux pas savoir comme c’est dur ma vie de tous les jours !
- Je l’imagine, oui !
- C’est pour cela que c’est difficile pour moi. Il faut faire attention à tout le monde. Et je ne dois pas décevoir mes enfants avec mes problèmes de cul !
- Bien sûr…
- Tu comprends alors mon choix !
Elle me regarde, les yeux pleins de ferveur. La caresse qu’elle me donne est exquise. Je suis surpris par son savoir-faire. Je sais que je ne vais pas pouvoir résister encore bien longtemps. D’ailleurs je l’en lui fais part, mais cela lui est bien égal.
Alors que je laisse aller à éjaculer. Elle en a plein les mains.
- Eh bien mon neveu, lâche-t-elle en portant ses doigts jusqu’à sa bouche.
Et qu’avec sa langue se met à laper ma jouissance. Comme elle le ferait avec une glace.
Je profite de l’instant pour lui soutirer sa culotte pour la porter à mes narines. Les odeurs de ses replis intimes, les effluves qui s’en échappent affolent mes narines, mes sens. Ma libido s’enflamme sur ses parfums personnels. De sa sueur se mêlent, d’autres arômes, plus insidieux, ce que j’appelle des odeurs de femelle en rut.
- Alors ! Dit-elle en riant.
- Tu me plais. Regarde, je ne débande même pas.
- Tu m’en vois ravie, mon neveu !
- J'ai du mal à décrire ce que je ressens pour toi. Du mal à comprendre que malgré tout ce qui peut nous séparer, ton âge, que tu sois ma tante. Que rien ne doit nous lier et pourtant tu es une part de moi…

- Comme tu es une part de moi à présent !
Je lui caresse la joue doucement. Puis, pose mes doigts sur sa bouche rouge, dessinant le contour de ses lèvres. Elle entrouvre sa bouche, pointant le bout de sa langue, je pose mes doigts sur cette pointe de chair humide, puis je pousse deux doigts dans sa bouche. Elle se met à les sucer avec autant d'application que si c'était une queue. Sans qu'une seule fois elle cille ou baisse ses yeux. Mes doigts trempés mouillent ses lèvres, les faisant luire encore plus. Dans un murmure, elle me dit tout bas, les lèvres frémissantes :
-Tu es à moi, Alain. Tu es mon jouet, c'est ce que je désire de toi !
Et je prends sa bouche dans un baiser plus qu'enflammé. Je n’arrive pas à me contenir à poser mes mains sur ses seins. Ils sont chauds, doux.
Mes pouces effleurèrent ses tétons gonflés. Ce qui lui tire un petit cri de douleur, petit cri qu'elle réitère quand je récidive.
-Tu me fais mal… Tu sais ? Dit-elle
Alors que je m’apprête à arrêter, elle croise ses mains sur sa nuque et dit :
- Continue…
J'effleure à nouveau ses pointes tout en la fixant dans les yeux.
J'ai pourtant connu un grand nombre de bonnes aventures. Mais je n'ai que rarement rencontré une femme qui me fait autant bouillir le sang, comme ma tante le fait.
La voilà qui commence à passer ses mains le long de ses jambes, remontant le long de sa poitrine.
- Dis-moi, tu as déjà vu une femme s’offrir une caresse solitaire ? Me fait-elle.
- J’en ai vu, oui, mais à leur insu !
- Tu ne vas pas me dire qu’aucune n’a voulu se montrer en spectacle devant toi ? Laisse-t-elle tomber, tout en se caressant les seins puis les pointes.
Ses mains descendent pour se rejoindre sur son sexe avant de caresser l'intérieur des cuisses. Catalina me fixe. Je sens qu’elle aime
s’exhiber à moi ! Elle me tourne le dos. S'agenouille au pied du divan. La croupe en l'air, les reins bien creusés. Cambrée comme pour accepter le mâle. Elle se caresse les fesses. J’écarte les globes rebondis pour dévoiler son petit trou foncé. Son œillet palpitant s'ouvre et se ferme. Je profite de son état pour m’agenouiller devant son cul. Mes yeux rivés sur son anus
dont elle me fait offrande. L’anneau ne paraît guère ouvert.
Je m’applique à lui lécher le pourtour de l’anus. J’adore son goût, qui m‘électrise. Catalina, halète et sort quelques :
-C’est bon !... Oh Alain, tu me gâtes !
Elle glisse sa main jusqu'à sa bouche, lèche ses doigts et revient contre sa pastille brune qu'elle humidifie avant d'y glisser un doigt. Elle se doigte bien. Pousse même de petits gémissements. La voir jouer avec son corps, m’électrise. J’ai comme des envies de viol !
La voilà qu’elle s’installe sur le divan, sur le dos.
-Je compte sur toi pour m’en donner plus ! Murmure-t-elle.
Je pose mes doigts sur sa pastille qui frétille. Avec facilité, j'enfonce un, puis deux doigts dans son cul. Catalina pousse un petit grondement. Je la fouille des doigts. Tata se raidit, mord mes doigts avec son cul. Ma queue coule tant que je suis excité.
A genoux devant la vulve, dont j’ouvre la corolle à deux mains, j’hume avidement de nouveau ces senteurs. Je m’en soûle littéralement.
- Qu’est que ta chatte sent bon, tata ! Quel délice !
J’ouvre un peu plus son entrecuisse, constituée de plis et de replis noyés dans une grosse pilosité. J’avance mon visage jusqu’à les poils.
-Oh !... tu comptes me faire quoi.
Pour toute réponse, j’entreprends de suçoter les muqueuses distendues.
-Tu ne vas pas me croire, mais c’est la première fois qu’on me fait ça!…
J’ai beaucoup de mal à la croire. Toutefois, Catalina glapit comme une truie gâtée à chacun de mes clapotements gourmands. Là un râle, ici un hoquet. C’est incroyable !
Des cris si étranges que l’on ne s’attend pas à entendre semblable vacarme sortir d’un gosier humain. Pourtant c’est réel et j’en suis responsable, à défaut d’en être l’auteur.
Qui aurait du mal à imaginer que mes lèvres créées pour le rire puissent dissimuler pareil talent de glouton passionné. Maintenant je lèche, ingère, absorbe pour lui offrir un maximum de plaisir.
Ma tante hystérique balbutie des mots inaudibles. Moitié Français, moitié Espagnol. Nous ne formons plus qu’un, homogènes, assemblés. Les spasmes de plaisir s’amplifient. Je suis maculé de sa mouille. Je bouffe sa chatte jusqu’à plus soif, jusqu’à ce qu’elle jouisse.
Quatre orgasmes signé son neveu !

Les avis des lecteurs

Histoire Erotique
J’ai adoré cette suite qui est de plus en plus excitante. Vivement la suite 🙂



Texte coquin : A la découverte de ma tante.
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