A la maison
Récit érotique écrit par Maceran [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 16-11-2021 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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A la maison
A part cela la soirée fut calme et reposante. Arrivant à la maison AL me dit : Tu vas chercher les verres, et une bière, j’ai soif, … »Moi : « D’accord, j’y vais, … »J’avais déjà bu un demi-verre quand j’entendis les talons des escarpins de AL sonner sur le carrelage. Je me retournais alors qu’elle rentrait dans la salle de séjour s’avançait vers moi et à une longueur de bras, faisait un tour de façon à me montrer son devant aguichant et ensuite son joli cul : « Wouah, … c’est la fête, … t’as décidé de m’aguicher, … » elle avait mis son soutien-gorge quart de bonnet, ce qui transformait sa belle et généreuse poitrine en deux splendides obus, dont les tétons commençaient à se tendre. Pour le reste elle avait un fin porte jarretelle noir tendant des bas noirs transparents, et chaussées de ses escarpins, qui lui faisaient la jambe élégante et le cul ferme.
AL : « Oui, … ça fait un bout de temps que tu ne t’occupes pas de moi, …Moi : « Mais on a été débordé, toi, par tes cours et ton installation, … moi par mon remplaçant, et les consignes à passer… »AL : « Je sais, … mais je pense malgré tout que tu as trouvé assez de temps pour t’occuper, …non pour sauter cette garce et non moins amie de Véro, … »Moi : « Qu’est-ce que tu racontes, … »Al : « Te fatigues pas, … je n’ai qu’à lui poser la question, … elle me répondra, … je ne te fais pas reproche, car je suis en partie responsable, … mais ne m’oublies pas, … j’aime que tu t’occupes de moi, … pour être franche que tu me baises, … ne soit pas offusqué, … ça me manque, … j’espère que ma tenue t’inspire, … dis-moi que tu as envie de moi, … »et elle se laissa tomber sur le canapé pour atterrir d’une façon suggestive, qui ne pouvait qu’inciter à lui sauter dessus et la prendre, mains posées sur ses seins et jambes écartées mettant en valeur sa fourrure bien taillée et laissant deviner les grosses lèvres de sa chatte.
Moi : « Oui, … j’adore l’emballage et ce qu’il y a dedans, … je vais m’en occuper, … » et prenant ses jambes que je soulevais, ce qui la fit glisser sur le dos, offrant ainsi sa chatte et son fumée à mes narines curieuses et ses grosses lèvres à mes baisers. Ce début sembla la satisfaire car ce fut un long soupir de satisfaction : « Oh, … oui, … continues, … j’aime, … prends moi avec ta langue, … non, … fais ce que tu veux, … mais fais-moi jouir, … » et licence m’était donnée de la faire jouir comme je voulais. Je commençais par lui titiller la chatte avec ma langue, pour l’ouvrir à l’assaut de mes doigts, qui s’empressèrent de la pénétrer, pendant qu’elle se cambrait pour mieux s’ouvrir à cette pénétration avec un : « Oui, … c’est bon, … » et je commençais à la masturber gentiment, mais profondément, elle ouvrit plus grand le compas de ses cuisses en me disant : « Oui, … regardes, je m’ouvre, … prends moi, … j’attends ton sexe, … c’est ça que je veux, … oui, … prends moi, … baises moi, …oui, … » Baissant pantalon et caleçon, je n’avais qu’à me redresser et diriger ma queue vers et dans sa chatte chaude, humide, ouverte, ce qui fut fait et d’un bon coup de rein je l’investissais. Et en avant pour une bonne baise commentée : « Oui, … continues, … ça me manquait, de ne pas te sentir là, … prends fort, … oui, … baises moi fort, … » en même temps que j’accélérais les coups de rein, je m’occupais de ses seins, les malaxant avec énergie, puis prenant ses tétons et les serrant les tournants, … plus je la brutalisais « doucement » plus elle gémissait de plaisir : « Oui, continues, … je te sens bien, … oh, … que c’est bon, … tu m’as manqué, … toi, … et le reste, … OOOOHHH, … OUIIIIIII, … OUIIIII , … » ses cuisses s’écartèrent et se refermèrent d’un seul coup autour de mes reins, pour se tendre de nouveau, alors que je me vidais dans sa grotte d’amour. Enfin, se laissant aller, elle m’attrapa la tête : « Amour, … embrasses moi, … ça faisait si longtemps, … que tu ne m’avais pas fait jouir, ... viens on va se coucher, … j’espère que tu as de la réserve, … des fois que j’ai des insomnies, … mais avant je vais m’isoler, … et prendre une douche, … » et elle partit remuant son joli cul, à qui j’aurai bien dit deux mots. Alors qu’elle prenait la douche je rentrais dans la salle de bains, pour voir, mais je me fis virer proprement. Je retournais dans la salle de séjour en attendant que Madame ait fini ses ablutions. Enfin elle arriva pieds nus vêtue d’une chemise de nuit de grand-mère. Un grand sac qui dissimulait ses formes, bon arrivant juste au-dessus du genou. « Elle te plait ma chemise de nuit, … »Moi : « Oui, … avec un truc pareil tu ne risques pas de déclencher une émeute, … je préférais l’autre version, … »AL : « Pas de problème, … la salle de bains est libre, … »J’allais donc prendre ma douche et celle-ci terminée, je me glissais dans le lit et je m’aperçus que AL était nue, je me collais à elle, une main tenant un sein et la queue calmée contre sa raie.
Le dimanche matin 13 décembre à la maisonLa nuit fut calme, mais au petit jour AL se roula sur moi, ses seins à portée de bouche en disant : « Tiens, ils sont à toi, … occupes t’en, … ils s’ennuient, … oui, … suces les, … j’aime, quand tu les prends dans ta bouche, … je pensais, … j’espérais que cette nuit, tu m’aurais réveillée, … par de douces caresses, … mais non, … il faut te rattraper, … j’en ai tellement envie, …» Aussitôt je m’occupais de ses nénés, qui étaient sensibles au possible et très rapidement, j’eus l’impression qu’ils gonflaient, mais surtout ses tétons « bandaient » durs. Il fallait s’en occuper, les sucer, les martyriser gentiment, ce qu’elle aimait et le faisait savoir par ses soupirs et une accélération de sa respiration. Pendant cet exercice, « popol » s’était réveillé et le faisait savoir, par une augmentation très nette de son volume et de sa dureté. Al se retirant de mon emprise, elle glissa lentement vers le bas, à priori vers « popol », gagné, elle se redressa et prenant l’engin en mains, sans hésiter se mit à me lécher le gland, doucement, avant de le titiller avec le bout de la langue pointue et agressive, ces préliminaires effectués, elle me prit entièrement en bouche et commença à me pomper, d’abord doucement puis en accélérant et rapidement il me devint difficile de me retenir, ce dont je l’informais, rien n’y fait elle alla jusqu’au bout et me pompa jusqu’à je la remplisse du plaisir qu’elle me donnait, et toute contente elle remonta : « J’espère que tu as aimé, … viens , … ça m’a donné faim, … » et elle se leva pour se diriger vers la salle de séjour, nue,, où elle se mit à préparer le petit déjeuner. Je lui suggérais de s’habiller un peu ce à quoi elle me dit : « Oui c’est vrai, … tu as raison, … je vais le faire, … » et elle prit son tablier de cuisine et le passa. Le résultat était plus excitant que de la voir entièrement nue, avec les seins dépassant de la bavette, les fesses à l’air.
Petit déjeuner avec un œil sur le café et un œil sur ses seins qui se cachaient dans la bavette pour réapparaître de l’autre côté, sans parler de son joli cul quelle faisait danser quand elle allait à la cuisine pour aller chercher quelque chose.
Le petit déjeuner était terminé, j’avais repris des forces, alors qu’elle passait près de moi, je la saisissais par la taille et tentais de la faire asseoir sur mes genoux, ce qu’elle fit mais à califourchon. « C’est ce que tu voulais, … tu as tout à disposition, … occupes tant, … » c’était de la provocation. Je lui retirais le tablier et m’occupais de ses seins, que d’ailleurs, elle m’offrait à chacun son tour. La bouche occupée, avec quelques contorsions, le bras gauche la tenant aux hanches, la main droite arrivait à passer et à glisser vers son entrejambe pour caresser son minou tout chaud. « Oui, … continues, … j’aime que tu me caresses là, … ça me donne des idées, … » et je commençais à bander, et de poursuivre : « Je sens qu’à toi aussi, … je pense que tu devrais enlever ton short, … la chose serait plus accessible, … » Je me levais, elle aussi, je tombais le short et me rasseyais, elle également à califourchon sur mes genoux, cette petite gymnastique, fit que « popol » libéré, se redressa fièrement, AL s’en saisit et se redressant le guida vers sa chatte. Ma bite installée l’entrée de sa chatte elle se laissa tomber, s’empala dessus : « Ça faisait longtemps que tu ne m’avais pas fait l’amour comme çà, … j’aime, … je te sens bien, … » et de jouer de ses reins pour monter descendre sur mon pieu raide. Elle fonctionnait à son rythme, ralentissant, puis accélérant brutalement, pour ralentir de nouveau. Cramponnée à mon cou : « Oui, … j’aime te sentir dans moi, … restes dur, … je m’ouvre à toi, … tiens moi les fesses, … oui, … écartes moi, … » Je la tenais par les hanches et à sa demande je prenais ses fesses et les écartais, ainsi elle était complétement ouverte, se redressant et avalant avec vigueur ma bite dans son vagin : « Ça c’est bon, … Oui, … ne ralentis pas, … je sens, … retiens toi, … OOOOHHHH, … OUIIIII, … je jouis, … OUIIIIII, … » quand tout à coup, levant haut les jambes elle s’empala complétement sur ma tige alors que je me vidais brutalement dans sa chatte. Après une brutal crispation de tout son corps, elle se laissa aller contre moi, m’entourant de ses bras : « Ça fait longtemps que tu ne m’avais pas donné tant de plaisir, … on recommencera, … » puis regardant l’heure, : « On a dit qu’on devait récupérer ton remplaçant et l’amener à la plage, il faut que l’on parte, … »
AL : « Oui, … ça fait un bout de temps que tu ne t’occupes pas de moi, …Moi : « Mais on a été débordé, toi, par tes cours et ton installation, … moi par mon remplaçant, et les consignes à passer… »AL : « Je sais, … mais je pense malgré tout que tu as trouvé assez de temps pour t’occuper, …non pour sauter cette garce et non moins amie de Véro, … »Moi : « Qu’est-ce que tu racontes, … »Al : « Te fatigues pas, … je n’ai qu’à lui poser la question, … elle me répondra, … je ne te fais pas reproche, car je suis en partie responsable, … mais ne m’oublies pas, … j’aime que tu t’occupes de moi, … pour être franche que tu me baises, … ne soit pas offusqué, … ça me manque, … j’espère que ma tenue t’inspire, … dis-moi que tu as envie de moi, … »et elle se laissa tomber sur le canapé pour atterrir d’une façon suggestive, qui ne pouvait qu’inciter à lui sauter dessus et la prendre, mains posées sur ses seins et jambes écartées mettant en valeur sa fourrure bien taillée et laissant deviner les grosses lèvres de sa chatte.
Moi : « Oui, … j’adore l’emballage et ce qu’il y a dedans, … je vais m’en occuper, … » et prenant ses jambes que je soulevais, ce qui la fit glisser sur le dos, offrant ainsi sa chatte et son fumée à mes narines curieuses et ses grosses lèvres à mes baisers. Ce début sembla la satisfaire car ce fut un long soupir de satisfaction : « Oh, … oui, … continues, … j’aime, … prends moi avec ta langue, … non, … fais ce que tu veux, … mais fais-moi jouir, … » et licence m’était donnée de la faire jouir comme je voulais. Je commençais par lui titiller la chatte avec ma langue, pour l’ouvrir à l’assaut de mes doigts, qui s’empressèrent de la pénétrer, pendant qu’elle se cambrait pour mieux s’ouvrir à cette pénétration avec un : « Oui, … c’est bon, … » et je commençais à la masturber gentiment, mais profondément, elle ouvrit plus grand le compas de ses cuisses en me disant : « Oui, … regardes, je m’ouvre, … prends moi, … j’attends ton sexe, … c’est ça que je veux, … oui, … prends moi, … baises moi, …oui, … » Baissant pantalon et caleçon, je n’avais qu’à me redresser et diriger ma queue vers et dans sa chatte chaude, humide, ouverte, ce qui fut fait et d’un bon coup de rein je l’investissais. Et en avant pour une bonne baise commentée : « Oui, … continues, … ça me manquait, de ne pas te sentir là, … prends fort, … oui, … baises moi fort, … » en même temps que j’accélérais les coups de rein, je m’occupais de ses seins, les malaxant avec énergie, puis prenant ses tétons et les serrant les tournants, … plus je la brutalisais « doucement » plus elle gémissait de plaisir : « Oui, continues, … je te sens bien, … oh, … que c’est bon, … tu m’as manqué, … toi, … et le reste, … OOOOHHH, … OUIIIIIII, … OUIIIII , … » ses cuisses s’écartèrent et se refermèrent d’un seul coup autour de mes reins, pour se tendre de nouveau, alors que je me vidais dans sa grotte d’amour. Enfin, se laissant aller, elle m’attrapa la tête : « Amour, … embrasses moi, … ça faisait si longtemps, … que tu ne m’avais pas fait jouir, ... viens on va se coucher, … j’espère que tu as de la réserve, … des fois que j’ai des insomnies, … mais avant je vais m’isoler, … et prendre une douche, … » et elle partit remuant son joli cul, à qui j’aurai bien dit deux mots. Alors qu’elle prenait la douche je rentrais dans la salle de bains, pour voir, mais je me fis virer proprement. Je retournais dans la salle de séjour en attendant que Madame ait fini ses ablutions. Enfin elle arriva pieds nus vêtue d’une chemise de nuit de grand-mère. Un grand sac qui dissimulait ses formes, bon arrivant juste au-dessus du genou. « Elle te plait ma chemise de nuit, … »Moi : « Oui, … avec un truc pareil tu ne risques pas de déclencher une émeute, … je préférais l’autre version, … »AL : « Pas de problème, … la salle de bains est libre, … »J’allais donc prendre ma douche et celle-ci terminée, je me glissais dans le lit et je m’aperçus que AL était nue, je me collais à elle, une main tenant un sein et la queue calmée contre sa raie.
Le dimanche matin 13 décembre à la maisonLa nuit fut calme, mais au petit jour AL se roula sur moi, ses seins à portée de bouche en disant : « Tiens, ils sont à toi, … occupes t’en, … ils s’ennuient, … oui, … suces les, … j’aime, quand tu les prends dans ta bouche, … je pensais, … j’espérais que cette nuit, tu m’aurais réveillée, … par de douces caresses, … mais non, … il faut te rattraper, … j’en ai tellement envie, …» Aussitôt je m’occupais de ses nénés, qui étaient sensibles au possible et très rapidement, j’eus l’impression qu’ils gonflaient, mais surtout ses tétons « bandaient » durs. Il fallait s’en occuper, les sucer, les martyriser gentiment, ce qu’elle aimait et le faisait savoir par ses soupirs et une accélération de sa respiration. Pendant cet exercice, « popol » s’était réveillé et le faisait savoir, par une augmentation très nette de son volume et de sa dureté. Al se retirant de mon emprise, elle glissa lentement vers le bas, à priori vers « popol », gagné, elle se redressa et prenant l’engin en mains, sans hésiter se mit à me lécher le gland, doucement, avant de le titiller avec le bout de la langue pointue et agressive, ces préliminaires effectués, elle me prit entièrement en bouche et commença à me pomper, d’abord doucement puis en accélérant et rapidement il me devint difficile de me retenir, ce dont je l’informais, rien n’y fait elle alla jusqu’au bout et me pompa jusqu’à je la remplisse du plaisir qu’elle me donnait, et toute contente elle remonta : « J’espère que tu as aimé, … viens , … ça m’a donné faim, … » et elle se leva pour se diriger vers la salle de séjour, nue,, où elle se mit à préparer le petit déjeuner. Je lui suggérais de s’habiller un peu ce à quoi elle me dit : « Oui c’est vrai, … tu as raison, … je vais le faire, … » et elle prit son tablier de cuisine et le passa. Le résultat était plus excitant que de la voir entièrement nue, avec les seins dépassant de la bavette, les fesses à l’air.
Petit déjeuner avec un œil sur le café et un œil sur ses seins qui se cachaient dans la bavette pour réapparaître de l’autre côté, sans parler de son joli cul quelle faisait danser quand elle allait à la cuisine pour aller chercher quelque chose.
Le petit déjeuner était terminé, j’avais repris des forces, alors qu’elle passait près de moi, je la saisissais par la taille et tentais de la faire asseoir sur mes genoux, ce qu’elle fit mais à califourchon. « C’est ce que tu voulais, … tu as tout à disposition, … occupes tant, … » c’était de la provocation. Je lui retirais le tablier et m’occupais de ses seins, que d’ailleurs, elle m’offrait à chacun son tour. La bouche occupée, avec quelques contorsions, le bras gauche la tenant aux hanches, la main droite arrivait à passer et à glisser vers son entrejambe pour caresser son minou tout chaud. « Oui, … continues, … j’aime que tu me caresses là, … ça me donne des idées, … » et je commençais à bander, et de poursuivre : « Je sens qu’à toi aussi, … je pense que tu devrais enlever ton short, … la chose serait plus accessible, … » Je me levais, elle aussi, je tombais le short et me rasseyais, elle également à califourchon sur mes genoux, cette petite gymnastique, fit que « popol » libéré, se redressa fièrement, AL s’en saisit et se redressant le guida vers sa chatte. Ma bite installée l’entrée de sa chatte elle se laissa tomber, s’empala dessus : « Ça faisait longtemps que tu ne m’avais pas fait l’amour comme çà, … j’aime, … je te sens bien, … » et de jouer de ses reins pour monter descendre sur mon pieu raide. Elle fonctionnait à son rythme, ralentissant, puis accélérant brutalement, pour ralentir de nouveau. Cramponnée à mon cou : « Oui, … j’aime te sentir dans moi, … restes dur, … je m’ouvre à toi, … tiens moi les fesses, … oui, … écartes moi, … » Je la tenais par les hanches et à sa demande je prenais ses fesses et les écartais, ainsi elle était complétement ouverte, se redressant et avalant avec vigueur ma bite dans son vagin : « Ça c’est bon, … Oui, … ne ralentis pas, … je sens, … retiens toi, … OOOOHHHH, … OUIIIII, … je jouis, … OUIIIIII, … » quand tout à coup, levant haut les jambes elle s’empala complétement sur ma tige alors que je me vidais brutalement dans sa chatte. Après une brutal crispation de tout son corps, elle se laissa aller contre moi, m’entourant de ses bras : « Ça fait longtemps que tu ne m’avais pas donné tant de plaisir, … on recommencera, … » puis regardant l’heure, : « On a dit qu’on devait récupérer ton remplaçant et l’amener à la plage, il faut que l’on parte, … »
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