Fin Novembre 5 mois déjà

- Par l'auteur HDS Maceran -
Récit érotique écrit par Maceran [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : Fin Novembre  5 mois déjà Histoire érotique Publiée sur HDS le 15-07-2022 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Fin Novembre 5 mois déjà
J’avais pas mal de travail et je voulais que ça tourne correctement, d’autant que suite à une réunion au sommet il aurait été prévu, pour moi, le chantier terminé, une mutation dans le sud, Toulouse, Bordeaux, … ou autres. Donc j’étais assez occupé quand le mercredi matin, mon téléphone perso se mit à vibrer (seuls quelques « privilégiées » avaient ce N°) et une voix souriante : « Bonjour Jean, … comment vas-tu, … » J’avais reconnu la voix, c’était Stéphanie et je dois dire qu’elle était un peu sortie du cadre.
Moi : « Fort bien, … et toi, … où en es-tu, … tout se passe bien, … » Intérieurement qu’est-ce qu’elle voulait. Lors de notre séparation, elle-même avait voulu rompre tout contactStéphanie : « J’ai besoin de toi, … un grand besoin de toi, … peux-tu, 15,00 heurs chez toi, … je ne veux pas te déranger, … je t’expliquerais, … »Moi : « Bon, je vais me débrouiller, … »A 15,00 heures j’étais chez moi alors qu’elle arrivait, elle n’avait pas son horrible chasuble, mais une robe couleur automne, on voyait quelle était enceinte, mais bon, rien d’extraordinaire. Alors qu’elle s’apprêtait à sonner, j’ouvrais la porte. Elle se jeta littéralement dans mes bras avec : « OH, Jean, … » puis se fut : « Oh, je suis heureuse de te retrouver, … et que tu veuilles m’accueillir, … »Moi : « Que se passe-t-il ? …»Stéphanie : « On va au salon, je t’expliquerais, … » arrivés au salon, « Prends-moi dans tes bras, … serres moi fort, … je vais te dire, … voilà, … enfin, … bon, depuis que je suis enceinte, … enfin plus le temps passe, … plus j’ai des envies, … »Moi : « Tout le monde sait, qu’une femme enceinte a souvent des envies, … j’ai entendu dire des envies de fraises, … ou je ne sais quoi, … ce n’est pas dramatique, … »Stéphanie : « Oui, … serres moi fort, … moi, non… je vais te dire, … j’ai des envies, … enfin, … tu garderas ça pour toi, … tu es le seul à qui je peux le dire, … j’ai envie de faire l’amour, … non de baiser, … de sentir un homme me prendre, … »Moi : « Ce n’est pas un drame, …mais comment c’est venu, … d’un seul coup, … » Stéphanie : « Non, c’est venu petit à petit, … j’avais envie, … puis ça se calmait,, … » Moi : « Je suppose que tu essayais de te calmer toute seule, … mais et la fois suivante c’était un peu plus fort, … » Stéphanie : « C’est ça, … et maintenant j’en deviens folle, … ça me reprends de plus en plus souvent, … et de plus en plus, ... je deviens folle, ... » Moi : « Mais tu aurais pu lever n’importe quel bonhomme, … belle comme tu es, … » Stéphanie : « Ne te moques pas de moi, … dans mon état, crois-tu que je puisse lever un type, … bon, je ne dis pas que j’ai vu certains regards, …si j’avais dit oui, … je suis certaine qu’ils n’auraient pas dit non, … mais c’était à coups surs des ennuis, … alors, j’ai abandonné, … et puis ce n’est pas mon genre de draguer, ...» Moi : « Ils n’y connaissent rien, … mais, … attends, … tu n’es pas en train, … tu voudrais que, … ce n’est pas possible, … » Stéphanie : « Oui, … tu as compris, … tu es le seul qui voudra se dévouer, … en souvenir, … oui de la petite Stéphanie, qui t’a tout offert, … s’il te plait, … dis oui, …je serais aussi docile que tu aimes, …OH, je ne sais plus où me mettre, … » Moi : « Tu t’es compliqué la vie, … en fait c’est en dernier recours que tu as pensé à ton ancien amant, … il pouvait encore servir… malgré ce que tu avais dit quand on s’est quitté, … tu es toujours la bienvenue, … bon, … »Stéphanie : « Ne sois pas méchant, … je ne savais pas comment faire, … pardonnes moi, … considères que je suis venu, … je suis venu à toi, … » Moi : « Tu sais que pout être bien accueilli ici, … une certaine tenue est imposée, … » Stéphanie : « Alors c’est oui, … un grand oui, … tu es un amour, …je ferais ce que tu veux, … » Moi : « Première chose tu dois enlever ta robe, … » Stéphanie : « Mais tu sais, je suis enceinte, … et, … » Moi : (la coupant) « Je pense qu’il y a bien quelques centaines de milliers de femmes dans cet état actuellement, alors, cela n’a rien d’exceptionnel, … Ah, oui, … en fait ce que tu veux, c’est simplement te faire sauter, … tu t’appuies sur la table, tu soulèves ta jupe et HOP, …Boum, Boum, … voilà, c’est fait, … merci monsieur, … » Stéphanie : « Tu es vraiment un monstre, … tu sais bien que ce n’est pas ça que je suis venu chercher auprès de toi, …continues à être gentil, … je vais faire ce que tu veux, … tu dois avoir raison, … mais je suis tellement malheureuse, ...» et presque timidement Stéphanie commença à déboutonner sa robe. Arrivée au niveau du boutons de la ceinture, il y eut un semblant d’hésitation, mais elle continua et enfin elle fut assez déboutonnée pour que d’un coup de hanche celle-ci lui tombe aux pieds. Évidemment je remarquais quelle avait son soutien-gorge et visiblement elle semblait hésiter, mais passant les mains derrière son dos, elle le décrocha et lui aussi tomba au sol, dégageant ses seins, qui certes avaient pris un peu de volume, mais se tenaient toujours bien. L’autre chose à remarquer était que sa chatte était nue. Elle vit que je remarquais la chose et avec un petit sourire timide : « Tu vois, … je n’ai pas oublié ce que tu aimais, … de toutes les façons, je n’en porte plus du tout, … » Moi : « Tu vois ce n’est pas le diable, … même enceinte, tu es toujours une belle femme, … désirable, … que je vais essayer de satisfaire, … tu vas t’allonger sur le dos sur la table, le compas de tes cuisses largement ouvert, … je vais pouvoir renifler ta fourrure, … sentir ton odeur de femme, … non de femelle, … chaude, … prête à s’offrir, … la chatte commençant à se mouiller, … » Stéphanie se colla contre moi : « Tu as l’art de me tourner les sens, … oui, … je vais faire ce que tu dis, … oui, viens, … » et elle se laissa aller sur la table, comme je lui avais demandé. Je n’avais plus qu’à plonger entre ses cuisses, pour humer la douce un peu acre de sa touffe et gouter à ses grosses lèvres, pour l’instant légèrement humide. A peine avais-je commencé à gouter à son minou qu’elle se cabra, s’ouvrant comme pas possible, je n’avais plus qu’à la prendre de la langue et pour suivre des doigts qui s’enfoncèrent dans son fourreau chaud et maintenant détrempé. Je commençais à la masturber gentiment, mais je sentis qu’il me fallait aller plus fort, c’est ce que je fis et cela fut fortement apprécié : « Oui, … continues, … c’est bon, … j’aime sentir ta langue sur ma chatte, … oui, prends moi, … oh tes doigts, … c’est bon, … ne t’arrêtes pas, … je sens que, … OOOOHHHH, … OUIIIII, … » et secouée par une contraction brutale de ses muscles, je retirais rapidement ma tête de son emprise mais ses cuisses se fermèrent sur ma main, qui vue sa position continua à chatouiller le fourreau de son minou au grand plaisir de sa propriétaire : « Non arrêtes,… tu m’épuises, … arrêtes, … » Elle s’écroula sur la table, restant un moment sans bouger à se calmer, enfin se redressant elle vint contre moi : « Embrasses moi, …c’était bon, … » Moi : « A toi de t’occuper de moi, … »Stéphanie : « Oui, … je vais m’occuper de toi, … » Alors que j’enlevais ma chemise, elle s’accroupit et défit pantalon et caleçon, libérant ma bite, qui se dressa fièrement. Celle-ci fut parcourut doucement par un doigt caressant, sur toute la longueur, puis une langue allant de bas en haut, à plusieurs reprises, enfin ses douces lèvres prenant le gland et le suçant avec douceur, pour enfin prendre l’engin en bouche et se mettre à me pomper avec douceur, … Elle était d’une efficacité à rendre fou et surtout à me faire bander dur, même très dur. Enfin, s’arrêtant, se relevant et se retournant et prenant appui sur la table : « Non, c’est pas là que je te veux, … je veux que tu me prennes, …. que tu me fasses l’amour, … non que tu me baises, … tu auras ma bouche demain, … maintenant prends moi, … oui, … baises moi, … je suis venu pour ça, … je te veux dans moi, … viens vite, … je suis prête, … ». Une main apparut entre ses cuisses et me saisissant me guida vers sa grotte d’amour que j’investissais d’un bon coup de rein et sans plus attendre, cramponné à ses hanches je la ramonais ave énergie et d’autant plus d’énergie que je bandais dur et qu’elle m’avait sérieusement excité en me suçant. Elle encaissé avec plaisir : « Oui, … c’est bon, … je savais que c’est toi qu’il me fallait, … vas-y, baises moi, … » Je lui claquais une première fois ses jolies fesses, ce qui la fit se cabrer et moi m’enfoncer plus avant : « Oui, … brute, … tu sais que j’aime, … je te sens me remplir, … encore, … » du coup je remettais ça : « OH, oui, … j’aime être à toi, … j’aime que me prennes, que tu me baises fort, …, … très fort, … et que je me donne à toi, … » et je saisissant ses cheveux, je la faisais se tendre : « Oh Oui, … dis-moi que tu aimes me prendre, …me monter dessus, … que je suis ta femelle, … et que tu es content que je sois revenue, … me donner de nouveau à toi, … OOOHHH, … continues, … OOOOHHH, … OUIIII, ne t’arrêtes pas, … OUIIIIII, … » et alors que fortement secouée, elle bandait son joli cul, cramponné à ses hanches je me vidais dans son fourreau chaud et ruisselant, pour terminer sur elle, qui m’éjecta proprement. Reprenant notre souffle, elle se releva venant contre moi : « J’ai bien fait de venir, … te demander ça, … j’ai toujours grand plaisir à être à toi, à me donner toi, … » et se rhabillant : « et maintenant encore plus, … je te remercie d’avoir été si gentil avec moi, …dis moi que tu as aimé, que tu ne regrettes rien, … si tu le peux téléphone moi demain matin, … j’aimerais te faire plaisir, … vers 15,30 heures, je pense être seule au bureau, … j’aimerais que tu viennes, … si tu veux je voudrais m’occuper de toi, … gentiment, …amoureusement, … Oh, … ça déborde, … je vais tacher ma robe, … » se penchant, alors qu’elle écartait les jambes, elle glissa une main entre ses jambes et deux doigt dans sa chatte et les ressortant plein de sperme, les porta à sa bouche, et un sourire coquin : « J’aime gouter à ton plaisir, …demains j’en veux plus, … » Rhabillée, elle vint contre moi : « Tu m’as manqué, … j’aurais du venir plus tôt, … à demain, … » et elle était partie.
o Le lendemainDans le courant de la matinée, je m’accordais quelques minutes et l’envie me prit de composer le numéro de Stéphanie, la réaction fut rapide, à peine, pour moi le temps de dire bonjour et elle : « J’attendais ton coup de téléphone, … je savais que tu m’appellerais, t’es un amour, … » Moi : « Comment vas-tu, depuis hier, … » Stéphanie : « Merveilleusement bien, … je suis calme, … grâce à toi, … »Moi : « Bien, … donc en pleine forme, … veux-tu jouer avec moi, … » Stéphanie : « Qu’est-ce que tu mijotes, …je me méfie un peu de tes jeux, … j’ai un peu de temps, … d’accord, … pour voir, … » Moi : « Si je te demande comment tu es habillée, … que dis-tu ? … » Stéphanie : « Je crains de savoir où tu veux en venir, … mais j’ai un peu de temps libre, … puis je te dois bien ça, … j’ai la robe de hier, … tu la connais, avec sa jupe droite, boutonnée, … » Moi : « Je vois que tu as compris, … tu veux continuer à jouer, … » Stéphanie : « Tu sais bien que oui, … et même, …je viens de défaire les trois derniers butons, … c’est ça que tu veux, … »Moi : « C’est formidable, tu commences à bien me connaître, … et naturellement la jupe s’est ouverte sur tes belles cuisses, … » Stéphanie : « Naturellement, … et ma main est posée, sur ma cuisse, juste au-dessus de bas, … » Moi : « Je suis certain que le compas de tes cuisses s’est largement ouvert, … » Stéphanie : « Naturellement, … et je suis bien enfoncé dans mon fauteuil, …j’aime savoir ce que tu veux, … et ça m’excite, … dis moi que tut deviens dur, … continues, … je sens que je mouille, … » Moi : « Oui, … rien que de penser à toi, … penser que bien enfoncé dans ton fauteuil, … les cuisses largement ouvertes, … tu es en train de caresser ton minou, … oui, … je deviens dur, … très dur, … »Stéphanie : « Attends, … il est moins le quart, … le temps que tu viennes, il sera midi et quart, … plus personne à l’entreprise, … je t’attends en caressant mon minou, … je serais toute chaude à ton arrivée, … viens, … reste dur, … » Moi : « Oui, … j’arrive, … tu es complètement folle, … ». Le temps de sauter dans ma voiture et de filler à son entreprise, la barrière était fermée. Mais elle s’ouvrit et rentrant j’allais me garer à l’arrière discrètement, c’était de la folie, mais, … je me rendais rapidement dans le bureau de Stéphanie, qui m’attendait. En fait enfoncée dans son fauteuil, sa robe ouverte sur un décolleté impressionnant, mais surtout, la jupe ouverte pratiquement jusqu’à la ceinture et surtout me montrant qu’elle se caressait la chatte. Moi : « Tu es folle à lier, … me faire venir ici, … » Stéphanie : « Hier, je t’ai dit que je voulais m’occuper de toi, … j’espère qu’en me voyant tu es bien dur, … viens, … » Elle se leva, vint contre moi : « Laisses moi faire, …hier tu m’as fait du bien, … à moi, maintenant, … » et elle s’accroupit, au passage descendant pantalon et caleçon, ce qui fit jaillir « popol » et elle de dire : « J’aime te voir comme ça, … je vais m’occuper de toi, … » et employant avec art ses doigts pour me caresser la tige, suivit par une langue pointue me léchant sur toute la longueur, enfin ses douces lèvres encerclant mon gland pour le sucer, l’aspirer, pour enfin me prendre en bouche et se mettre à me pomper avec énergie, réussissant à m’avaler complètement avec des grognements de satisfaction. Sa technique pour cet exercice avoisinait l’art et il ne lui fallut que peu de temps pour m’amener au bord de l’explosion, ce qui je lui signalais, mais elle ne fit qu’augmenter son énergie à me pomper, jusqu’à ce que je me vide dans sa bouche accueillante. Tout fut avalé et elle remonta contre moi, : « J’espère que tu as aimé, …depuis hier, je ne pensais qu’à ça, … te donner du plaisir après ce que tu m’avais fait, … ». Enfin, se collant encore davantage : « A toi, … » et elle se laissa tomber dans son fauteuil, exactement dans la position qu’elle avait à mon arrivée, le décolleté vertigineux, la jupe ouverte très haut sur ses cuisses largement ouvertes et la main caressant sa chatte : « Dis-moi que tu aimes me voir ainsi, offerte à tes regards, en attente, de toi, … allez viens … » Moi : « Tu es folle, … » Stéphanie : « Tu ne risques rien, … viens, comme tu dis, me bouffer la chatte, … je n’attends que ça, … si tu ne fais rien, je vais me débrouiller toute seule, … devant toi, …tu pourras profiter du spectacle, … il va falloir que je te supplie, ...viens amour, … » Je n’avais plus qu’à m’exécuter et m’atteler à cette agréable tâche. A peine touchée, le rythme de sa respiration augmenta sérieusement et c’était des soupirs de plaisir : « C’est bon, … j’aime sentir ta langue me lécher la chatte, … oui, … j’aime, … prends moi, … j’attends ça, … » Sans hésiter, deux doigts s’engouffrèrent dans sa grotte d’amour chaude et humide au possible. Et, je commençais à la masturber doucement, de façon à la laisser s’ouvrir gentiment, mais ce ne fut pas du gout de ma partenaire : « Qu’est-ce que tu fais, … j’ai envie que tu me prennes, … prends moi fort, … regardes je m’ouvre (elle écarta encore ses cuisses) je veux, … je veux que tu m’éclates la chatte, … que tu me fasses jouir, … ». J’augmentais le rythme, mais elle était tellement demanderesse, tellement chaude, elle mouillait abondamment qu’il ne lui fallut que peu de temps pour sentir qu’elle allait jouir et se tendant : « Oui, … continues, … je sens que, … OOOOHHHH, … OUIIII, … » et elle fut secoué d’une contraction complète de son corps se recroquevillant sur elle-même et en ayant presque perdu son souffle. Puis elle se décontracta, se remettant confortablement dans son fauteuil : « Tu es un amour, … j’aurais dû venir te voir plus tôt, … donnes-moi ta main, … » en fait elle la prit et me regardant ave un petit sourire heureux, se mit à sucer les doigts qui l’avaient pénétré et fait jouir. Enfin, se réajustant, : « Il faut que tu partes, … je t’adore, … j’aimerais pouvoir de rappeler, … » Moi : « Quand tu veux, … l’homme est à ta disposition, … si tu es toujours mignonne et docile, … » Stéphanie : « Je te contacte, … mais tu peux toujours me contacter aussi, … des fois, … » Elle se leva un gros câlin et je filais discrètement.
Ma vie s’organisa autour des envies de Stéphanie. On peut dire que, grosso modo, on se retrouvait tous les dix jours, ce n’était pas régulier du fait de ses envies, et de notre travail. Disons que cela peut être considéré comme une moyenne, et la procédure était pratiquement identique d’un rendez-vous à l’autre. Souvent, elle me téléphonait dans la matinée : « Est ce que tu es disponible à la débauche, … » Je m’arrangeais pour être disponible et on se retrouvait à l’appart. A peine arrivée, c’était une partie de lèche museau toujours très agréable, car elle donnait non seulement ses lèvres, mais tout son corps. Cela fait, sa robe, toujours la même, qui les derniers mois avait du mal à la contenir difficilement, mais bon, … se trouvait au sol et nue elle se rendait à la salle de séjour, lieu de nos débats. Arrivée, j’enlevais ma chemise et elle s’occupait du pantalon et du caleçon et de « popol » de façon à le rendre à son gout, en fait elle me suçait jusqu’à ce que je bande dur, et elle faisait ça avec art, quand je bandais assez dur pour elle, elle se relevait et venait se coller à moi, non se frotter à moi, pour s’asseoir sur la table, les cuisses largement ouvertes en me disant : « Viens , … lèche moi, … j’aime sentir ta langue dans ma chatte, … » et ensuite bien sur deux doigts pour fouiller sa grotte d’amour et la faire gémir, avant qu’elle ne demande d’arrêter, pour se retourner et prendre appui sur la table avec un : « Viens, … prends moi, … oui, … prends moi fort, … j’ai tellement envie de toi, … oui, … baises moi, … baises moi fort, … je te veux sur moi, … » et moi cramponné à ses hanches je la ramonais avec ardeur.
Il arrivait qu’elle fût tellement excitée, qu’elle se mettait à jouir, alors que je continuais à la ramonais, n’ayant pas encore pris mon pied, alors je maintenais le rythme jusqu’à ce que je prenne mon plaisir en me vidant dans son chaud fourreau. Il lui arrivait alors de jouir une deuxième fois, moins bruyamment et moins brutalement. Enfin, nous y trouvions notre plaisir, elle de se faire sauter et moi d’avoir une nana accueillante et qui se donnait sans histoire.
Une fois, de mémoire, environ vers le milieu du 6 u du 7-ème mois, vers 11,00 heures Stéphanie m’appela : « Bonjour, …je veux te voir à la débauche de midi chez toi, … » Moi : « Aujourd’hui, … mais, … » me coupant brutalement : « Oui, … aujourd’hui, … je serais chez toi, … » et elle raccrocha. Un peu ennuyé, malgré tout je m’organisais pour être à l’appart à temps. A peine arrivé, Stéphanie déboulait dans l’appart ave un : « Serres moi dans tes bras et embrasses moi, je vais exploser, … » Moi : « Qu’est-ce qu’il se passe, … » Stéphanie : « Tu vas voir, … mon mari a fait irruption, en fin de matinée, dans mon bureau, arrivant pas derrière il a posé ses mains sur mes seins et a commencé à me caresser, à me peloter en me disant : « J’ai envie de toi, … tous les ouvriers sont partis, … viens, … tu vas me sucer, … on va s’amuser un peu, … » moi de lui répondre : « Ça fait deux mois que tu m’ignores, … et maintenant qu’est-ce que tu veux faire, … me sauter, … et dans le bureau, … tu es complètement fou, … pour qui me prends tu, …je ne veux pas, … » mais il s’était rapproché et était furieux et j’ai eu peur, … comme il était tout près de moi, j’ai eu une idée, je me suis faite plus douce et, … j’ai mis la main sur sa braguette, … il bandait dur, … je l’ai ouverte et attrapé son sexe à travers le caleçon, … et je l’ai caressé, il était tellement excité que très rapidement il a joui dans son caleçon, … ça l’a calmé, … et je lui ai dit : « Tu vois je fais ce que tu veux, quand t’es gentil, … mais si tu recommences, je vais me chercher un amant qui sera gentil avec moi et pas brutal comme toi, … » Il est parti en disant : « On en reparlera, …tu n’es qu’une garce, … une salope, … ». Je te garantis qu’on n’en reparlera jamais, car je n’ai pas aimé ça façon de me traiter, … maintenant viens, j’ai envie de toi, … prends moi, … j’ai besoin de toi, … non attends, … » et rapidement elle enleva corsage, soutien-gorge et d’un jeu de hanches sa jupe fut au sol et de nouveau se collant à moi : « Je suis comme tu aimes, … caresses moi, … caresses moi fort, ... partout, … et après prends moi, … baises moi, … je veux le tromper, …baises moi fort, … » Ainsi près l’avoir caressé elle se retourna et prenant appui sur la table : « Regardes, … la garce s’offre à toi, … baises la garce, …, elle aime que tu lui montes dessus, … oui, … comme ça, … » J’avais pris possession de sa chatte et je la ramonais pour son plaisir et aussi pour le mien. Par habitude, je lui claquais les fesses, ce qui la fit se contracter, y compris de son minou qui se resserrais sur ma bite, ce qui était excitant d’autant qu’elle était tellement en colère, qu’elle en voulait : « Oui, … baises moi, …baises moi fort, … j’aime quand tu fais fort, … encore, … OH, … ne t’arrêtes, … je sens, … OOOHHH, … OUIIII, … » elle eut un spasme assez brutal, en même temps qu’un long cri de gorge, pendant que je remplissais sa chatte de mon plaisir. Enfin se redressant, elle se colla de nouveau à moi. Se rhabillant elle dit : « Merci, … tu m’as fait du bien, … ce soir à la débauche, si tu veux, … je viens et je m’occupe de toi, … ça fait longtemps, … bon, … je vais partir, … à ce soir, … » Dans l’après-midi, elle m’appela : « Toujours d’accord pour que je vienne, … j’ai une folle envie de toi, … que tu me prennes, … te sentir me prendre, … je serais gentille, … mais après je te veux, … je vais me préparer pour toi, … ouverte comme tu aimes, … » à peine le temps de lui dire que je l’attendais, elle avait raccroché. J’avais réussi à me dégager du bureau pour être à temps à l’appart, quand Stéphanie arriverait. J’étais à peine arrivé qu’elle sonnait, la porte ouverte, elle était dans mes bras, se frottant à moi, vraiment comme une chatte en chaleur et ce, avec des soupirs de satisfaction. Ce premier moment passé, on se retrouva dans la salle de séjour, immédiatement ma chemise fut enlevée, corsage et soutien-gorge envolés : « Sois gentil, occupes toi de mes seins, … j’aime que tu les lèches, … oui, … tètes moi, … » Alors que je faisais ce qu’elle aimait, et que je m’occupais activement de sa poitrine, qui avait pris un certain volume, mais qui réagissait toujours à mes sollicitations avec les tétons qui bandaient durs. Pendant que je m’occupais du haut, elle avait défait ma ceinture et se laissant glisser elle emporta pantalon et caleçon, libérant ma bite heureuse de se trouver en liberté. Alors qu’habituellement elle s’en occupé par petite touche avant de me prendre en bouche, là, pas d’hésitation elle s’était jeté sur la chose avec gourmandise et avait commencé à me pomper avec énergie. : « J’aime te sucer, … j’aime te sentir vibrer dans ma bouche, … tu l’auras plus tard, … maintenant, je veux que tu me prennes, … » et estimant « popol » à sa convenance, elle se releva, se retourna et prenant appui sur la table : « Viens, … j’attends ça, … prends moi, … baises moi, … je veux le faire cocu, … bourres moi la chatte, … fais toi plaisir, … je sais que tu m’en donneras, … oui, … viens, … je me suis préparée pour toi, …» Je n’avais plus qu’à m’exécuter, car dans cette position, elle n’avait pas changé, toujours un joli cul bien rond, monté sur deux belles cuisses largement écartées et une main qui se tendait pour me guider dans sa grotte d’amour, que je pénétrais, sans difficulté, d’un bon coup de rein, tellement elle était mouillée et ouverte. Et il s’en suivit une belle séance de baise tant elle était excitée et je pense qu’elle se donner pour se venger d son mari. En fait, soyons réaliste, certes notre accord au début c’était on se retrouvait pour le plaisir de baiser ensemble. Maintenant étant donné son état et ses envies, elle venait pour se faire sauter, cela était clair. Quant à moi, j’avais une belle femelle presque à disposition, moi ça me faisait du bien, ça dégagé les glandes, sans soucis, ainsi tout le monde y trouvait son compte.
On continua nos exercices et nos galipettes et elle disparut au cours du 8ème mois. J’appris, qu’elle avait quitté son job pour se rendre chez ses parents et c’est là qu’elle accoucha d’un garçon, mais je l’appris bien plus tard, car elle ne donna plus signe de vie. A plusieurs reprises j’essayais en vain de contacter l’entreprise, on ne savait rien, ses parents, il n’y avait plus d’abonnés au numéro.

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