Trois mois après – Mi octobre

- Par l'auteur HDS Maceran -
Récit érotique écrit par Maceran [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : Trois mois après – Mi octobre Histoire érotique Publiée sur HDS le 09-07-2022 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Trois mois après – Mi octobre
Pendant le mois d’août à deus reprises je téléphonais en vain. Personne. Septembre arriva le début du mois fut difficile, c’était la reprise. Fin de la première semaine j’appelais l’entreprise (Stéphanie), ce fut une autre femme, la remplaçante, qui me répondit. Deux essais dans le courant du mois sans succès, la remplaçante. Par les conducteurs de travaux j’essayais d’avoir des infos. Personne ne savait rien, Octobre rien. J’abandonnais.
Le premier mardi de novembre coup de téléphone de Stéphanie : « Bonjour Jean, …. Comment vas-tu, … »Moi : « Mais, … oui, bonjour, … d’où sorts tu, … aucune nouvelle de toi, … personne ne dit ou ne sais rien, …Stéphanie : « J’ai été un peu mal en point, et septembre, je n‘ai pas pu reprendre le boulot, …. Je suis allée chez mes parents pour me reposer, … »Moi : « Tu aurais pu prévenir, …bon, mais, … »Stéphanie : « Je reprends le boulot après le 11, et je serais à Nancy le jeudi 6 en fin d’après-midi, … disons à ton bureau à la débauche, … »Moi : « Parfait, … donc à jeudi, … »Je dois dire que le jeudi après la débauche, j’attendais Stéphanie avec une certaine impatience et une certaine curiosité. Elle arriva presque à l’heure toute souriante, en beauté et vêtue de son imper. Tilt, le rêve, … A peine entrée, elle était dans mes bras et une longue partie de lèche museau commença comme une partie de corps à corps fort agréable, ce qui entraina certaines idées dans ma braguette. Enfin se décollant, elle s’éloigna et entrepris d’enlever son imper, et là, … triste nouvelle, … je m’attendais à la voir apparaître, je dirais comme à l’accoutumée, … nue, … désillusion elle était vêtue d’une robe chasuble (j’appris ce nom plus tard). Deux bretelles sur les épaules soutenaient le tout où il n’y avait plus de formes, pas de seins, pas de taille, pas de fesses, …Stéphanie : « Tu ne semble pas apprécier cette robe, … »Moi : « Je te préfère ave un corsage moulant ta jolie poitrine et une jupe droite. Là je dois dire, que tu me surprends, … »Stéphanie : « Pourtant c’est le genre de robe que je vais devoir porter, … tu n’as pas l’air de comprendre, … »Moi : « Non, … j’avoue, … »Stéphanie : « C’est, disons, une robe de circonstance, … je suis enceinte, … »Moi, surpris, … hésitant, … enfin réagissant : « Toutes mes félicitations, … vous devez être contents, … »Stéphanie : « Moi, … ce sont des souvenirs, … mon mari, moins, … ce n’était pas prévu si tôt dans son planning, … mais ça ira, … »Moi : « Je suis très heureux pour vous, … tu m’as dit que tu reprenais après le 11, quel est ton programme jusqu’à cette date, … est-ce que tu peux trouver un moment, par exemple, pour déjeuner ensemble, … »Stéphanie : « Oui, … es-tu disponible ce soir, … »Moi : « Moi, … je n’ai aucune obligation, … mais toi, … »Stéphanie : « J’ai prévu d’arriver à Nancy demain après-midi, … alors, je m’invite chez toi, … pour diner, … »Moi plaisantant : « OK, pour le diner et je vais faire en sorte de prolonger au maximum le diner, … »Stéphanie : « J’espère que tu le prolongeras jusqu’au petit déjeuner, … »Moi : « C’est une provocation ou une proposition, … »Stéphanie : « C’est une proposition provoquante, … »Moi : « Donc je te garde toute la nuit, … »Stéphanie venant s’asseoir sur mes genoux et passant ses bras autour de mon cou : « Oui, … il a enfin compris, … embrasses moi, … caresses moi, … tu sais que j’aime que tu me caresses, … ça m’a beaucoup manqué, … je vais te dire, … tu n’as pas remarqué que cette robe a une fermeture éclair dans le dos, … »Moi : « Là, c’est une invitation, … »Stéphanie : « Oui, … Je suis une idiote, … j’ai toujours autant envie de toi, …tu m’as manqué pendant ces jours, … j’ai envie de caresses, … »Moi : « Tu veux que l’on aille à l’appart, … »Stéphanie : « Vraiment tu ne comprends rien, … j’aurais pu te dire que je venais directement à l’appart, … non, je suis venu ici, … devines pourquoi, … »Moi : « Pour retrouver tes souvenirs d’il y a cinq ou six mois, … »Avant que Stéphanie n’ait répondu, je l’avais fait pivoter sur mes genoux pour l’avoir de dos et j’avais descendu la fermeture éclair, rabattu les manches. Elle était tores nue, glissant mes mains sous ses bras, je prenais à pleine main ses seins doucement, les soupesais, les caressais. De les avoirs ainsi, j’avais l’impression qu’étant toujours aussi fermes ils avaient pris du volume.
Stéphanie se retournant pour me faire face et me tendant ses seins : « Arrêtes, … je préfère tes lèvres dessus, … suces les, … lèches les, … oui, … j’aime ça, …regardes tu les fais durcir, … j’aime que tu les têtes quand ils sont comme ça, … Oui, c’est bon, … » Étant donné que c’est elle qui m’offrait ses seins, j’avais les mains libres, et de glisser une main sous sa robe, histoire de voir, enfin toucher sa chatte, que je supposais disponible. Mais, avec tout ce tissu, c’était mission impossible, elle s’en rendit compte et me dit : « Si on allait à l’appart, … ce serait plus confortable, … »Proposition acceptée, elle remonta sa robe, pris son imper sur le bras et en route pour nos voitures, où elle prit ses affaires : « Je laisse ma voiture ici, … tu me ramèneras demain, … ». Elle s’installa et en route pour l’appart. Alors qu’elle s’était installée à la place du passager, la jupe de sa robe était remontée et laissait apparaître, volontairement ou involontairement ses cuisses, … invitation ou provocation … toujours est-il que je posais la main sur sa cuisse et je remotais légèrement. Il me sembla que les cuisses s’écartaient légèrement. Je continuais à avancer entre changement de vitesses et progression, mais j’avançais. Alors que je n’étais pas loin de sa grotte d’amour, sa main se posa sur la mienne : « Arrêtes, … ou si tu veux continuer et tu te gares, … ou tu arrêtes et on arrive rapidement à l’appart, … et là, tu fais ce que tu veux, … » J’abandonnais la position et on arriva rapidement à l’appart. A peine entré elle retira son imper et se dirigea vers la salle de séjour.
Moi : « Tu comptes garder cette robe tout le temps, … »Stéphanie : « Non, … j’attends que tu viennes me l’enlever, … on reprend, …. Assieds-toi sur la table, … c’est bien ton tour … je m’occupe de toi, … » Arrivé à sa hauteur, j’ouvrais la fermeture éclair, elle plia les bras, la robe tomba à ses pieds, elle la dégagea d’un coup de pied, j’enlevais ma chemise pendant qu’elle s’attaquait au pantalon et caleçon qui se retrouvèrent également parterre. Tout cela fit que je commençais à bander gentiment.
Stéphanie : « Assieds-toi, … et laisses moi faire, … » Bon, il y avait de l’espoir, mais l’affaire n’était pas brillante, voyant cela Stéphanie dit : « J’aime te voir comme ça, … et je sais que tu vas devenir dur, …je vais te faire devenir dur, … car c’est comme ça que tu me donnes du plaisir, … » et s’accroupissant elle prit ma bite en main. Après quelques douces caresses du bout de ses doigts, et quelques généreux coups de langue, elle prit en bouche une de mes boules pour la gouter puis la lécher et remontant à coups de langue, ma bite, qui commençait à se redresser fermement elle arriva sur le gland, quelle lécha tendrement avant de le prendre entre ses douces lèvres pour le sucer et le titiller du bout de sa petite langue bien pointue, là l’affaire pouvait intéresser ma partenaire et elle m’avala entièrement et se mit à me pomper avec une énergique douceur. Là, je bandais dur et je pense que Stéphanie me trouva à son gout quant à la dureté, car se relevant et se collant contre moi : « A toi, … pousses toi, … c’est ma place, … » S’asseyant sur le bord de table, les cuisses largement ouvertes, : « Tu sais que c’est à toi, … viens, … dis-moi si ma fourrure sens bon, … que tu aimes mon odeur, … et puis je veux que tu le lèches, … me suces, … ça fait si longtemps, … Viens, … après je serais à toi, … je serais ta femelle, … comme tu aimes, … comme tu veux, …» et elle se laissa basculer sur le dos, les cuisses largement ouvertes et comme si je n’étais pas assez excité, elle posa sa main sur sa chatte et se mit à se caresser. Je lui arrachais la main en lui disant : « Tu sais ce que tu es, … »Stéphanie : « Oui, … une salope, … qui revient pour s’offrir à son amant, … qui attend qu’il lui bouffe la chatte, comme tu dis, … viens, … dis-moi que tu aimes mon odeur, … que je te fais envie, …» J’étais entre ses cuisses à petits coups de langue je lui titillais la chatte, elle mouillait généreusement, alors que deux doigts s’aventuraient dans sa grotte d d’amour, ce qui la fit se cabrer, s’ouvrant encore plus et permettant une pénétration encore plus profonde et là, je la masturbais avec énergie et ce d’autant qu’elle ne demandait que ça et il faut le dire était venue pour les plaisirs du sexe, pour s’offrir et se faire prendre ce qui se traduisait par : « OH, … oui, … c’est bon, … j’aime que tu me prennes comme ça, … pour me préparer, … à te recevoir, … oui continues, … je suis venue pour ça, … arrêtes, … prends moi, … c’est ton sexe que je veux, … » me redressant et avec une queue bien raide et bien dur, alors que je me positionnais entre ses grosses lèvres que j’enfonçais d’un coup de rein, j’attrapais ses cuisses et les écartées. Elle était ouverte, et je me mis à la ramoner à grands coups de reins, ce que je savais elle aimait et le disait : « OH, … oui, fais moi l’amour, … aimes moi fort, … oui baises moi, … fort, … très fort, … » plus elle ne demandait plus j’y allais à grands coups de queue : « Oui, … OH, … OUI, … éclates moi la chatte, … continues, … ne t’arrêtes pas … je sens , … encore, … OOOHHH, … OUIIIII, … » alors qu’elle émettait un long cri de gorge, elle se cambrait et moi bien enfoncé dans sa chatte je m’y vidais en plusieurs giclées, alors qu’elle était secouée par un spasme brutal suivi de plusieurs répliques qui la laissèrent essoufflée et alanguie sur la table, alors que je récupérais mon souffle. Enfin se redressant, elle laissa glisser de la table pour atterrir dans mes bras, ce qui nous conduisit sur la sofa et elle dit : « Brute, … qua j’ai aimé ce que tu m’as fait, … fait faire un câlin, … que je récupère, … je savais que ce serait bon, … » puis se laissant encore glisser jusqu’à « popol » et le prenant en main : « J’aime te caresser quand tu m’as bien fait l’amour, … je vais te gouter, … j’aime quand nos plaisirs sont mélangés, … et quand je t’ai dans ma bouche je te sens vibrer, … j’aime ça, … » et joignant le geste à la parole, après quelques caresses bien appliquée, elle me prit en bouche pour une petite pipe sans conséquence, sinon que « popol » me fit l’honneur d’apprécier poliment.
Il était temps de je me remue si je voulais récupérer, chez le traiteur ce que j’avais commandé pour diner. Alors que Stéphanie s’était langoureusement étendue sur le canapé, j’entrepris de me rhabiller, c’est le moment qu’elle choisit alors qu’elle s’asseyait pour dire : « Oh, … ça déborde, … » sans hésiter et je dirais avec un petit sourire ironique, ouvrant en grand le compas de ses cuisses, elle plongea deux doigts dans sa chatte et les ressortant plein de sperme, les porta à sa bouche pour les sucer avec un : « Hum, ... J’aime, … ». Cela était excitant et elle m’avait fait le coup déjà une ou deux fois, là je filais si on voulait diner, je me rattraperais après.
En revenant, je trouvais la table dressée. Stéphanie reposant sur le canapé se leva et je pus voir qu’elle était vêtue d’une simple chemise, mais pratiquement transparente, ouverte sur un décolleté vertigineux et lui arrivant ras la touffe, naturellement escarpins et bas. A peine le diner posé, elle vint contre moi et après une petite partie de lèche museau, elle me dit : « Tu es trop habillé, … laisses moi faire, … « et rapidement je me retrouvais nu. Elle revint contre moi : « Je te préfère comme ça, … ça me donne des idées, … des envies, … mais j’ai faim, … » On se mit à table et très gentiment elle fit du pied en disant : « C’est grâce à ça que je suis ici, … je ne le regrette pas, … ». On ne se bouscula pas pour diner, elle me raconta, l’horreur de ses vacances avec son mari et ses beaux-parents, qui vivaient en montagne et avec eux : « Il faut marcher en montagne, … ma petite Stéphanie ça vous nettoie les poumons, … » alors qu’elle ne se sentait pas bien. Ne se sentant pas bien, elle décida de ne pas reprendre le travail et d’aller chez ses parents et c’est là qu’elle apprit qu’elle était enceinte, … mais maintenant ça allait les trois premiers mois étaient passés, elle était de nouveau d’attaque.
Le repas terminé et la vaisselle rangée, Stéphanie fatiguée par la route, on décida qu’il était temps d’aller au lit. A peine au lit, Stéphanie vint contre moi : « Prends-moi dans tes bras, … serres moi fort, … » c’est ce que je fis et tranquillement on s’endormit. Vers deux heures du matin, je me réveillais car j’avais soif. Doucement, je sortais du lit, mais Stéphanie se réveilla, : « Qu’est-ce que tu fais ? » - « J’ai soif je vais boire un verre d’eau. » - « Moi aussi donnes moi un verre d’eau »J’allumais la lampe de chevet, Stéphanie était vaguement couverte par un bout de drap, que je tirais ce qui lui fit dire : « Qu’Est-ce que tu fais, … »Moi : « J’aime à te voir dans le plus simple appareil, … » et m’approchant d’elle, je prenais son sein droit en boucheStéphanie : « Tu e fou, … arrêtes tu as vu l’heure, … »Moi : « Il n’y a pas d’heure pour gouter à un beau néné, … je les adore, … surtout quand les tétons deviennent durs, … je sais alors que t’es toute chaude, … »Stéphanie : « Oui, … tu es complètement fou, … laisses moi dormir, … je vais avoir une tête demain matin, … »Moi : « Mais non, … puis j’aime te voir caresser tes seins, … les prendre dans tes paumes, les soupeser, … puis caresser les aréoles, … et c’est là le moment crucial où tu mouilles tes doigts et tu prends tes tétons qui commencent à se dresser, … avec ces caresses, ils deviennent durs, … et c’est là que vient la belle alchimie de la femme, qui va faire évoluer la femme amoureuse, en femelle exigeante, …sensuelle, … » Stéphanie : « Tu es complètement fou, … »Moi : « Mais non, et tu le sais, … » et je reprenais en bouche son sein, que je suçais et tétais avec énergie alors que ma main droite descendait vers son entrejambe, pour atteindre sa jolie chatte que j’entrepris de caresser doucement et je fus ramené su terre par : « Arrêtes, …tu devais aller chercher de l’eau, j’ai soif, … » Il me fallut m’exécuter et je filais à la cuisine d’où je ramenais de quoi étancher ma soif et celle de ma partenaire. L’affaire terminée et les belles cuisses ne s’étant pas refermées, je m’insinuer entre direction les belles grosses lèvres, sur lesquelles je posais mes lèvres, avant de parcourir la raie de bout de la langue : « Mais qu’est-ce que tu fais, … arrêtes, … »Moi : « Tes jolies cuisses étaient écartées, j’ai pris ça pour une invitation à m’occuper de ton minou, … avant d’aller plus avant, …Stéphanie : « T’as vraiment réponse à tout, … je veux dormir, … »Moi : « Pas avant que tu n’ais honoré mes bas instincts, … » et je glissais sur elle, arrivant sur ses seins, je m’empressais de les prendre en bouche et surtout de gouter aux tétons qui ne demandaient que ça, et, leur propriétaire de râler gentiment : « Oh, Jean, … arrêtes, tu vas finir par me rendre folle, … oh c’est bon, … t’as gagné continues, … » Enfin me redressant, j’avais la bite à la hauteur de sa bouche et de lui dire : « Suces moi, … dis-moi si je suis comme tu aimes, … que je te prenne, … je suis sûr que tu en as envie, … tiens c’est à toi, … » et prenant ma queue en main : « Tu exagères, … » et commençant pas me caresser les boules, elle entreprit de me lécher la tige à grands coups de langue : « J’aime quand tu es dur, …je vais te gouter, … tu as réussi, j’ai envie de toi, … j’ai envie que tu me prennes, … que tu me montes dessus, … ça fait longtemps, … » puis elle me prit en bouche et commença à me pomper avec ardeur à tel point que je dus l’arrêter, sinon je n’aurais pas tenu la distance et m’arrachant de la douceur de sa bouche, elfe se retourna et se mettant en levrette : « C’est à toi, …prends moi, … comme j’aime, …baises moi, … baises moi fort, … je suis à toi, … rentres doucement que je te sentes rentrer, …» Je bandais dur et je l’aurais volontiers pénétré d’un seul et bon coup de rein, mais à sa demande je la pénétrais aussi lentement que possible et j’en eus grand mérite : « OH, … c’est bon, … je te sens bien me remplir, … oui c’est bon, … » mais j’avais fait au mieux et me retirant je la re- pénétrais d’un grand coup de rein et cramponné à sas hanches je la ramonais à grands coups de reins. Me souvenant de son goût pour quelques claques sur les fesses, j’y allais d’une sur la fesse droite, se qui la fit réagir : « Salaud, … c’est bon, … encore, … » et re sur la fesse gauche : « Oh Oui, … j’aime, … continues, …oui, … j’aime être à toi, … être ta femelle, … OOOHHH, … ne t’arrêtes pas, … oui, continues, … je sens, … OOOHHH, … OUIIII, … OUIII, … » elle était partie, accrochée à son oreiller, le cul bien en arrière, elle fut saisie d’un spasme qui la fit se contracter, mais si elle était en train de jouir, pour ma part, je bandais toujours aussi dur et cramponné à ses hanches je continuais à la ramoner et elle : « Arrêtes Jean, … tu m’épuises, … je ne peux plus, … arrêtes, … c’est pas vrai, … OOOHHH, … OUIII, … » alors bien enfoncé dans sa grotte d’amour, je me vidais dans son fourreau chaud, elle se mit à jouir de nouveau et fut secouée d’un gentil spasme. Là, vidé, je m’affalais à côté d’elle pour récupérer et elle revenant contre moi : « Horrible monstre, … tu vas me tuer, … c’était bon, … j’ai aimé, … tu m’as fait jouir, …Oh oui, … et toi, … je pense que tu as aimé, … » Elle se retourna et l’un contre l’autre on s’endormit.
o Le lendemain matin Cinq heures trente, le réveil me rappela à la dure réalité du travailleur. Alors que Stéphanie semblait vouloir se lever, je lui dis : « Restes à dormir, ... je prends la douche, le café et je pars, … on se retrouve à midi ici, … » Tout se passa comme prévu, mais elle s’était quand même levée et avait fait le café. Elle m’attendait pour boire le café, et avait, juste passé un tablier. Ce qui était assez excitant. En la quittant, je pus la caresser tout mon saoul, ce qui lui fit plaisir : « J’ai bien fait de mettre ce tablier, … oui, j’aime que tu e caresses, … ça me donne des envies, … pars, … avant que je te saute dessus, … je vais me préparer pour te recevoir dignement à midi, … »Moi : « Vas chez le chinois pour commander le déjeuner, … à tout à l’heure, … »La matinée passa rapidement dans la mesure où j’ai eu beaucoup de travail. Mais midi arrivant je filais à l’appart, d’abord pour revoir Stéphanie que j’aimais bien, disons que j’appréciais beaucoup, certes elle était belle, mais elle était franche et question sexe et ses plaisirs elle appréciait et surtout elle était gourmande de la chose. Alors que j’étais j’allais ouvrir la porte, celle-ci me fut ouverte et Stéphanie était là vêtue du tablier de cuisine et me tendant les bras : « Je me suis préparée pour toi et j’espère que cette tenue te plait, … (et en riant) je n’ai mis ni bas, ni escarpins, … cela aurait été trop habillé, ... embrasses moi, … » et elle était dans mes bras, et alors que mes mains profitaient de sa presque complète nudité. Caressant son dos ses fesses, il s’en suivit une partie de lèche museau ainsi qu’un genre de dans du bassin, ce qui eut pour effet de créer une certaine protubérance dans mon anatomie. Ce qui fit dire à Stéphanie : « Tiens, je suis heureuse, …je sens que tu es en forme, … viens on va manger, … » et on se dirigea vers la cuisine, car elle dit : « J’ai tout préparé là-bas, … », la voyant, devant moi, tortiller sa jolie paire de fesses, « popol » m’indiqua que ce n’était pas là-bas qu’il fallait aller.
Moi : « Avant de déjeuner on va prendre l’apéritif, … direction la salle de séjour, … » Demi-tour, par courtoisie, je laissais le passage à Stéphanie ce qui me permit de profiter encore du spectacle de son adorable fessier. Avant d’arriver dans la salle de séjour, je défaisais la ceinture du tablier qui s’ouvrit entièrement, et Stéphanie le rejeta au loin. Arrivé dans la salle de séjour, Stéphanie se tourna : « A moi de m’occuper de toi, … » et elle enleva ma chemise et rabattit pantalon et caleçon, pour enfin s’accroupir et s’occuper de « popol » doigts, langue, lèvres, bouche tout fut utiliser pour que ma bite se dresse dur et prête à son gout, alors se relevant, elle se tourna et prenant appui sur la table, fit jaillir son joli cul en disant : « Je me suis préparé pour toi, … viens, prends moi, … » je n’avais plus qu’à m’exécuter, alors qu’une main apparaissait entre ses cuisses, qui me prit et me guida vers et dans sa chatte : « Commences par t’occuper de ma chatte, … je mouille, … baises moi, … quand je serais prête, … tout sera à toi, … » Ainsi bien enfoncé dans sa grotte d’amour, chaude et mouillée à souhait, je coulissais aisément dans son fourreau et serait bien allé jusqu’au bout quand elle dit : « Oui, … viens, … encules moi, … c’est ce que tu voulais, … viens prends moi, … fais toi plaisir, … fais-moi jouir, … » Je me positionné sur sa rosette et sans trop forcer, je m’introduisais dans son fondement, alors qu’elle sembla soupirer d’aise. Je me mis à la ramoner consciencieusement, quand il ms souvint qu’un des plaisirs de cette position était qu’alors que je m’occupais de son petit trou, elle aimait s’occuper de sa chatte : « Tu ne veux pas caresser ta chatte, … »Stéphanie : « Si, mais j’attends que tu m’autorises, … tu sais j’aime être prise des deux côtés, … »Moi : « Occupes toi de ta chatte, … » alors que je lui disais ça, je lui claquais les fesses, ce qui la fit se cabrer et de dire : « Tu es vraiment un horrible, … tu me fais tout subir, … et je ne dis rien, … j’accepte, … mais j’aime quand tu me montes, … j’aime être ta femelle, … tu me donnes du plaisir, … continues, … ne t’arrêtes pas, … je sens que, … OOOHHH, … OUIIIIII, …. Ouiiii, … c’est bon, ... » Alors qu’elle jouissait, elle banda son cul, dans lequel bien enfoncé je me vidais, puis elle fut saisie d’un spasme qui la secoua gentiment. Ayant récupéré son souffle et moi le mien elle se redressa et dit : « J’ai aimé, … j’espère que tu as eu du plaisir, … je suis contente d’être passé te voir, avant de reprendre le boulot, … mais j’ai faim, … je vais chercher à me mettre quelque chose sur le dos, … »Moi : « Non, … tu restes comme ça, je veux profiter de ta silhouette jusqu’à ton départ, … » C’est ainsi que l’on déjeuna. Celui-ci terminé, Stéphanie prit son sac et en voiture direction de sa voiture. Arrivé à sa voiture, elle prépara à monter dans sa voiture, puis se reprenant dis : « Invites moi dans ton bureau, … j’aimerais que tu me serres dans tes bras avant de se quitter, … » Donc direction mon bureau. A peine entré, elle se colla à moi, … et dis : « Merci pour cette nuit, … j’ai été contente de la passer avec toi, … de mettre donnée entièrement à toi, … et ce d’autant plus que les mois à venir on ne pourra plus se voir, … »Moi : « Pourquoi, … on peut toujours essayer, … »Stéphanie : « Mon pauvre chéri, … tu me vois jongler entre l’entreprise, la maison, et surtout tout ça avec mon ventre, … C’est pour ça que je voulais te faire mes adieux, … te dire que tu m’as rendu heureuse, … on doit se quitter sans regret, …. Sans nostalgie, … fais-moi un dernier baiser, … un baiser d’adieu, … » Elle se colla contre moi et il y eut un long et doux baiser. A la porte de mon bureau elle se retourna et me dit : « C’est idiot, … mais je coirs que je suis très très amoureuse de toi, … adieu, …» et elle était partie. Honnêtement j’étais un peu triste, je m’étais habitué à cette jeune femme, à sa façon de se donner, … bon point de vains regrets inutiles, on tourne la page.

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