Début Juillet

- Par l'auteur HDS Maceran -
Récit érotique écrit par Maceran [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : Début Juillet Histoire érotique Publiée sur HDS le 16-06-2022 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Début Juillet
Les congés d’août approchaient à grands pas, il fallait laisser les chantiers sécurisés, … enfin tout le travail habituel d’avant les congés. Donc peu de temps pour téléphoner à Stéphanie. Le 3 ou le 4 juillet Stéphanie m’appela. « Bonjour mon amant chéri, … » Au son de sa voix, elle avait l’air en pleine forme, joyeuse : « André n’est pas ici à midi, … je viendrais bien chez toi, … pour déjeuner, … j’’apporte du chinois, … » Moi : « OK, … tu as l’air en pleine forme, … » Stéphanie : « Je pense que oui, … et si tu me dis des choses agréables, … ma fourrure pourra sentir bon, … » Moi : « C’est de la provocation, … » Stéphanie : « Non, … un constat, … » Moi : « Tu es seule, … tu es comme j’aime, … tu veux que ta chatte sente bon tout à l’heure, … » Stéphanie : « OUI à toutes les questions, … jupe large, imagines très remontée, … sur des cuisses largement ouvertes, … ça te satisfait, … et j’attends, … » Moi : « Tu veux que ta chatte sente bon, … »Stéphanie : « Monstre, … tu le fais exprès, … OUI, … » Moi : « Tu poses ta main sur le haut du bas de la jambe droite, … tu sais, là où la peau est bien douce, … tu t’enfonces un peu dans ton fauteuil, … tec cuisses s’ouvrent encore plus, … tu me suis, … « Stéphanie : « Oui, … je me caresse la cuisse, … et je remonte, … c’est ce que tu veux .., » Moi : « Tu arrives sur ton minou, … tu le couvres de ta main, … et tu le caresses, … » Stéphanie : « Oh, … Oui, … j’aime sentir mon minou dans ma main, …c’est tout chaud, … » Moi : « Ne laisses pas un doigt trainer, … » Stéphanie : « OUI, … je me caresse la chatte, … doucement, … j’ai envie de rentrer, … » Moi : « Attends, … caresses toi de ta rosette à ta chatte, … » Stéphanie : « Tu es fou, … Jean soit gentil, … » Stéphanie : « Laisses trainer un doigt entre tes grosses lèvres, … et dis-moi, … » Stéphanie : « Jean, … j’ai envie, … je sens que je mouille, … dis-moi de rentrer, … » Moi : « Non, caresses toi encore, …je ne veux pas que tu mouilles, … mais que tu coules, … que tu me dises, … que t’as envie de moi, … que t’es ouverte, … » Stéphanie : « Oh Jean, … tu serais là, … je te sucerais pour voir que tu as très envie de moi, … et je serais à toi, …ouverte, … tu le sais, … soumise à ton plaisir, … car je sais que tu m’en donneras, … » Moi : « Rentres doucement, … profondément, … » Stéphanie : « OH, … OUI, … OUI, … j’aime t’obéir, … c’est mieux quand c’est toi qui me dis de me caresser, … je vais jouir, … OOOHHH, … OUIIIII, … » Il y eut un moment de calme où je l’entendais respirer un peu bruyamment, puis tout redevint calme. « Jean, … c’était bon, … tu m’as fait jouir, … j’aime quand c’est toi qui me diriges, … c’est mieux que quand je suis seule, … je serais à midi chez toi, … » Moi : « Avec ta jupe droite, … » Stéphanie : « Oui mon chéri, … je sais, … j’ai comme une garde-robe au bureau, … la jupe large pour le bureau, c’est plus pratique, … et quand je te rends visite un imper où une jupe droite, … et naturellement escarpins, … » Moi : « Oui, … la jupe droite affine ta silhouette, … » Stéphanie : « Tu es malade, … d’habitude, la jupe droite ça me fait un beau cul, … » Moi : « Gagné, … à tout à l’heure, … je t’embrasses, … ».
Midi et quelques minutes elle arrivait tenant un carton à la main. Sonnette, entrée, pose du paquet elle était dans mes bras, collée, son bassin se frottant contre le mien entrainant une protubérance à ce niveau. Elle glissa une main entre nous, et sentant la chose, « Je vois que tu m’attendais, … » Me prenant pas la main : « Viens, … je veux que tu me dises si je sens bon, … si tu aimes mon odeur, … viens, … » et sans hésiter, arrivé dans la salle de séjour, en quelques roulements de hanches, qui avaient le défaut de me faire bander, elle s’appuya, non, s’assit sur la table, bascula en arrière et écartant largement ses cuisses, elle m’offrait sa chatte à honorer : « Gouttes moi, … dis-moi, si tu aimes, … dis-moi si je sens bon, … » Je n’avais plus qu’à m’exécuter ce que je fis avec plaisir. Le nez au-dessus de sa fourrure je humais cette douce odeur qui annonçait la femme chaude, je dirais, sans être grossier, la femelle en attente du mâle, elle n’était pas mouillée, mais trempée et le fait de s’offrir ainsi cela devait l’exciter, car le rythme de sa respiration avait très légèrement augmenté quand tout à coup alors que ses mains maintenaient toujours ses cuisses largement ouverte, : « Qu’est-ce que tu attends, … lèches moi, … prends moi, … je vais éclater, … » et je plongeais entre ses cuisses pour lui bouffer la chatte. Ses grosses lèvres bien gonflées et luisantes de sa mouille, ne demandaient qu’à être léchées, sucées et même légèrement mordues : Oh, … oui, … prends moi, … fais-moi jouir, … je n'en peux plus d’attendre, … » C’était le moment d’envoyer deux doigts pour investiguer sa grotte d’amour, et ce fut : « Oui, … viens, … rentres, … » et je la masturbais d’bord doucement puis en accélérant la cadence, car c’est ce qu’elle voulait, ce qu’elle aimait : « Oui, … continues, … j’aime sentir ta langue et tes doigts dans mon minou, … oui, …j’aime ça, … continues, … fais moi jouir, … OOOOHHHH, … OUIII,… encore, …OUIIIII, … » et elle fut entièrement secouée par un joli spasme, avec plusieurs répliques, pour enfin se laissait aller. Retrouvant ses esprits, elle se laissa glisser de la table, pour venir se coller à moi, ce qui lui permit de sentir que je bandais dur, même très dur : « Oh, … je vais m’occuper de toi, … » Moi : « Non, … c’est toi que je veux, … je veux ta chatte, … je veux te baiser, … » Stéphanie : « Oh, … juste un petit peu, … je veux te goutter, … je te veux dans ma bouche, … après ce que tu veux, … comme tu veux, … » et elle se laissa glisser jusqu’à « popol », qui apprès quelques gentilles caresses fut avalé d’un seul coup, pour être pompé avec une certaine ardeur. Parti comme elle était, je n’aurai pas tenu très longtemps. Je la remontais gentiment et elle s’appuya sur la table mettant à disposition son joli fondement, une main entre ses cuisses attendant que j’arrive pour me diriger vers sa chatte que j’investissais, bien profondément, d’un bon coup de rein, Stéphanie : « Viens, … je suis à toi, … comme une gentille petite femme amoureuse, … fais-moi l’amour, … non, baises moi, … fort, … très fort, … » Impossible de refuser une telle demande, faite aussi gentiment et bien enfoncé dans sa chatte, je la ramonais avec plaisir, alors qu’elle appréciait la chose : « J’aime, … … dis-moi que t’aimes me prendre comme ça, … me monter dessus, … dis-moi que je suis ta femelle, … avec ce que tu me fais faire, … ça me rends folle, … et j’attends toujours, … quand tu téléphones, …» plus ça allait, cramponné à ses hanches, je la ramonais avec une énergie renouvelée et je sentis que je ne pourrais plus tenir bien longtemps et bien enfoncé dans sa chatte, je me vidais, heureusement elle était en train de partir : « N’arrêtes pas, … je sens , … OOOOHHH, … OUIIII, … » et elle fut secouée d’une joli spasme suivi de plusieurs répliques qui la laissèrent affalée sur la table. Enfin, se relevant elle se colla contre moi : « J’ai aimé, … pourquoi, je suis toujours en attente de toi, … de ce que tu vas dire, … de ce que tu vas me demander, … » Moi : « Parce que tu m’adores, … » Stéphanie : « Imbécile heureux, … Oh, … attends, ça déborde, … ». Elle s’appuya sur la table, les cuisses largement ouvertes et plongeant deux doigts dans sa chatte, les sortit bien enrobés de sperme et avec un sourire provoquant, les porta à sa bouche pour les sucer : « J’aime, ce que tu me donnes, … On mange, … » Dans le plus simple appareil on s’installa pour déjeuner. Alors que l’on mangeait tranquillement elle me dit : « Je vais réaliser mon rêve, … » Moi : « Quel rêve, … » Stéphanie : « Je vais être plus précise puisque ce que je t’ai dit il y a quelques jours ne t’a pas marqué, … je vais poser la question autrement, … tâche de réagir correctement, … mardi 8 juillet, j’ai fait en sorte, que mon mari parte à Paris pour une réunion du syndicat des fabricants de béton, … il prendra le train à 18,00h, … et reviendra le lendemain, … en général ses collègues profitent de la soirée pour aller faire la fête dans un cabaret, lui, je le connais prendra le train de 19,00 h et sera de retour vers 21,00 h, … T’as compris, … » Moi : « Désolé … je suis en dessous de tout, … Si j’ai bien compris, ta nuit du 8 au 9 tu es libre, … » -Stéphanie : « Formidable, … il a compris, … et pour compléter mes explications, … si tu es d’accord, je m’invite chez toi, … » Moi : « Tu es la bienvenue, … je mets le champagne au frais, … ». Fin de repas, habillage, départ. Personnellement je n’en étais pas encore revenu de sa proposition, effectivement, elle en avait parlé, mais de là à la réalisation, … je n’y avais pas cru. Mais là, ça se précisait et ça se précipitait, … Je m’organisais pour le diner, le petit-déjeuner du lendemain et l’éventuel repas de midi.
Le mardi, ayant tout préparé pour un apéritif, j’étais à la fenêtre, tel un jeune amoureux, me demandant si réellement elle viendrait et pratiquement à la minute prêt, elle descendit de sa voiture vêtue de son imper, bon, je savais ce qu’il y avait en dessous, mais pour lui laisser la surprise de me montrer, je débloquais la porte. Elle sonna, volontairement installé au salon, j’envoyais un « Entrez » La porte s’ouvrit et elle apparut en imper, un gros sa à la main. Après avoir posé le sac, elle se tourna vers moi enleva l’imper et là WOUAH, elle apparut vêtue WOUAH, d’un corsage en dentelles noires pratiquement transparentes et surtout au moins deux tailles trop petites. Ses seins remplissaient, généreusement, son corsage et même débordés dans un décolleté vertigineux. Elle portait également une mini-jupe droite, noire, cousue sur elle qui arrivait au niveau des bas. Perchée sur ses escarpins, elle vint vers moi et une main sur la hanche, fit un tour sur elle-même : « Est-ce que Monsieur est satisfait, … » Je n’avais plus qu’à me lever et lui tendre les bras où elle vint se blottir et coller son corps contre le mien. Après une partie de lèche museau prolongée, j’essayais de pencher sur ses appâts naturels bien mis en valeur, mais, juste le temps d’y poser es lèvres et : « Plus tard, … je croyais que j’aurais droit au champagne … » et alors que je lui proposais un fauteuil, elle préféra une chaise. Il ne me fallut que peu de temps pour comprendre pourquoi. En effet, quand elle prenait ou posait sa coupe de champagne, elle se baissait de telle façon, que j’avais une vue imprenable sur ses seins, de plus assise sur la chaise, elle passait une jambe sur l’autre, puis l’inverse, tant et si bien qu’au bout d’un moment elle s’était débrouillée pour la jupe soit remontée jusqu’au niveau des bas et même un peu plus haut. En me penchant, j’aurais pu, peut-être, apercevoir sa chatte. Plusieurs coupes furent bues en devisant genre conversation de salon, mais pour ma part toujours un œil curieux sur ses cuisses, ce qui ne facilitait pas la concentration.
Stéphanie : « Tu avais bien dit qu’était prévu un petit diner, … » effectivement j’étais passé chez le chinois et j’avais pris soupe, et nouilles chinoises ainsi que du canard laqué. Lui ayant énoncé le menu, elle se leva en disant, je vais t’aider à dresser la table et en faisant danser son joli cul sur ses escarpins, elle prépara le couvert. Je dus me concentrer sur la préparation à la cuisine, car je regardais souvent ailleurs cette mini-jupe qui dansait devant moi. Et on s’installa pour diner. Le début du repas fut calme, quant au milieu des nouilles, un escarpin vint se coller contre mon mocassin, alors que sa propriétaire affichait un joli sourire coquin et que j’eus l’impression que son décolleté avait légèrement augmenté … imagination, … imagination. J’avais bloqué son escarpin avec mon autre mocassin. Elle sortit son pied et le fit courir le long de ma jambe, aussi haut qu’il était possible en riant Stéphanie me dit : « J’ai toujours rêvé de faire du pied ainsi, … mais je ne suis pas assez grande pour arriver plus loin, … j’aurais aimé, … » et son pied redescendit. Au cours de ce repas, elle se leva souvent pour faire des allers retours cuisine salle à manger et ce à chaque fois j’avais droit à de jolis déhanchements de son joli cul. Et au retour c’était ses seins qui étaient mis en évidence, souvent comme placé sur un plateau. Elle avait l’art de bien présenter ses avantages. Enfin, le repas terminé, on s’installa sur le canapé et café en main on commença à se faire des gentillesses. A part, un agrandissement du décolleté, quelques baisers sur les seins, je n’obtins rien de plus pour le haut, quand au bas, la jupe était tellement étroite, que, … rien. Certes, elle avait ouvert ma braguette et quelques gentilles caresses sur « popol », on n’avait guère progressé et avec tout ça, je bandais dur, mais, … enfin se levant, elle me dit : « Finis doucement ton café, … je vais me préparer pour toi, … pour être à toi … pour notre nuit, … » et elle était partie. Je serais bien parti avec elle, mais, … Un petit quart d’heure après j’entendis ses talons claquer qui indiquait qu’elle revenait et effectivement, elle apparut. Très maquillée, les cheveux relevés, mais et surtout, elle portait une nuisette affolante. En fait une bande de tissu, comme un gros ruban, allant d’une épaule à l’autre et passant sous les seins, les soutenant et les redressant. Le dessous était composé d’un tulle noir absolument transparent et s’arrêtant au niveau de la touffe. Les jambes gainées de bas noirs extra fin et chaussée d’escarpins à talons. A l’entrée de la salle de séjour, une main sur une hanche, fit une tour sur elle-même en disant « Suis-je à ton goût, … viens, je t’attends, … » et elle repartit vers la chambre. En chemin, je la rattrapais où, elle sa laissa rattraper, quand nous arrivâmes à la chambre. La tenant à bout de bras : « Très réussis, …où as-tu trouvé ces jolies choses, ;;; »Stéphanie : « Ou crois-tu, que je suis allé, … dans un sex-shop, … »Moi : « Pas vrai, et, … bon sang, il faudra que j’y aille un jour pour voir, … »Stéphanie : « Quand j’ai trouvé cette nuisette, … la vendeuse, m’a proposé de l’essayer, il y a une cabine d’essayage là-bas, je vous accompagne. Je suis rentrais dans la cabine et j’ai essayé, enfin sans me déshabiller, simplement en la mettant sur moi, et j’ai vu le regard de la vendeuse sur moi. Je pense que si j’avais dit oui, elle n’aurait pas dit non, bien au contraire, je me suis dépêchée de payer et partir, des fois, …peut -être un jour, … »Moi : « Tu en serais capable, … mais je te préfère sans ça, … » et la faisant tourner je lui enlevais sa nuisette, l’attirais contre moi et je m’emparais de ses seins et les caressais. Il y eut un petit Non, mais elle se laissa faire, puis je descendis sur son ventre, le rythme de la respiration sembla s’accélérer légèrement. Un peu plus bas, le ventre, chaud et doux et encore plus bas, c’était « Oh, … non, … » mais les cuisses s’écartèrent et j’eus accès à sa touffe et enfin sa chatte et à peine arrivé, le bassin s’avançait sur ma main et les cuisses s’ouvraient encore un peu : « Jean, … arrêtes, …je ne vais plus tenir, … » et d’un bel effort elle s’écarta et se laissa tomber sur le lit, en disant : « Tu es un monstre, … j’ai failli céder, …maintenant, viens, … je t’attends, … » elle était sur le dos les jambes largement ouvertes, un main se caressant le sein gauche et l’autre posée sur sa chatte c’est alors qu’elle me dit : « Déshabilles toi, … regardes, … je vais caresser mon minou, … » et un doigt se mit à courir sur ses grosses lèvres, alors que je m’efforçais de me déshabiller, tout en regardant cette garce en train de m’allumer sérieusement, car un sourire en coin : « Regardes, … je sens que je mouille, … dépêches toi, … j’ai ma chatte qui s’ouvre, … » J’avais réussi à me mettre à poil et je me jetais entre ses cuisses, pour aller m’occuper de sa chatte ainsi offerte. A peine entre ses cuisses :Stéphanie : « Dis-moi, si t’aime mon odeur, … »Moi : « J’aime sentir ton odeur, de femme chaude, … de femelle chaude, … je vais te bouffer la chatte, …»Stéphanie : « Oui, … j’attends ça, … j’aime sentir ta langue me lécher, … oh, oui, … continues, … », elle s’était encore ouverte et la chatte bien ouverte et bien mouillée, deux doigts s’enfoncèrent dans sa grotte d’amour, ce qui fut accepté avec : « Enfin, … rentres bien, … j’aime ça, … oui, … » et là je me mis à la masturber doucement, sa chatte s’ouvrait et coulait, là, sa tête avait abandonné la partie, toute son attention était branchée sur son minou, sur son plaisir, de son désir de se donner certes, mais d’être satisfaite, de jouir. La sentant bien chaude, j’augmentais le rythme, ce qu’elle semblait apprécier : « Oh, … Oui, … ne t’arrêtes pas, … » et plus j’accélérais, plus elle se tendait, enfin elle tendait son bassin s’offrant encore plus à mes lèvres et à me doigts quand brutalement : « OOOOHHH, … OUIIII, … ne t’arrêtes pas, … OUIIIII, … » et après s’être de nouveau tendue, elle se referma sur un brutal spasme, qui lui coupa la respiration et fut suivi de plusieurs répliques moins violentes, pour enfin se laissait aller pour reprendre son souffle. J’en profitais pour remonter sur elle, quelques baisers sur le ventre et je commençais à m’occuper de ses seins, qui étaient là à disposition, ce qui la fit réagir : « Laisses moi, souffler, … oui, … », mais moi j’avais une trique pas possible et qui ne pensait qu’à s’enfoncer dans cette chatte encore chaude et humide, enfin comprenant la chose, elle se saisit de « popol » pour le guider dans son fourreau, qui fut pénétré d’un bon coup de rein : « Oh, … brute, … oui, … j’aime que tu me prennes comme ça, … oui, … fais-moi l’amour, … baises moi fort, … très fort, … j’aime, … prends moi fort, …», bien enfoncé dans sa chatte, mes reins gonflés à bloc, je la baisais avec énergie. Après s’être tendue pour me recevoir, ses jambes se refermèrent sur mes reins et ainsi elle subissait et accompagnait mes coups de reins : « Oui, … baises moi, fort, … non, … fais moi l’amour, …dis moi que tu aimes me faire l’amour, … heureux d’être sur et dans moi, … prends moi fort, … fais-moi jouir, …» et la tenant pas les épaules, je la possédais à grands coups de reins et je sentais qu’il me fallait la finir, car je ne tiendrais pas encore longtemps la cadence quand, ses jambes me lâchèrent et s’appuyant dessus, elle se tendit, se cabra de telle façon qu’elle me souleva et que moi, planté en elle je jouissais dans sa chatte, alors qu’elle même secouée par un gros spasme: « Oui, … OOOHHH, … OUIIIII, … c’est bon, …continues, … j’aime sentir ton poids sur moi, … OUIIIII, … » elle se mit à jouir pour enfin se laisser aller encore secouée par de petits spasmes qui finirent par se calmer et lui permettre de retrouver son rythme de respiration. Alors se retournant contre moi : « Amour, … j’ai aimé ce que tu as fait, …embrasses moi, … fais moi faire un câlin, … laisses moi reposer un peu, … je m’occuperais de toi après, … » Elle se retourna et l’un contre l’autre on s’endormit.
La nuit s’écoula gentiment, enfin non, une partie de la nuit, car vers deux heures du matin, j’eus la sensation que l’on s’occupait de « popol ». Le temps que je réalise que je n’étais pas seul et que ma partenaire était Stéphanie, et que le bout de ses doigts parcourant ma bite avaient fait que « popol » s’était réveillé et que je commençais à bander de nouveau d’une belle façon. J’allumais ma lampe de chevet et distinguait enfin Stéphanie la tête sur mon ventre, en train de caresser avec tendresse « popol » et moi intelligemment : « Qu’est-ce que tu fais, … » Ce à quoi, elle me répondit : « Devines, … j’aime quand tu es dur, … je veux te gouter, …» et joignant le geste à la parole, elle parcourut ma hampe en plusieurs coups de langue, pour enfin prendre entre ses douces lèvres mon gland et le sucer et le titiller du bout de sa langue pointue : « J’aime t’avoir comme ça, … je te sens vibrer dans ma bouche, … tu deviens dur, … hum, … j’aime, … »et elle se remit à sucer mon gland, avant de prendre l’ensemble en bouche et se mettre d’abord à sucer l’ensemble doucement, me demandant comment elle pouvait prendre le tout dans sa bouche, puis elle se mit à me pomper, doucement puis en accélérant. C’est là que je sentis qu’à ce rythme je ne tiendrais plus longtemps et je l’avertis, ce fut suivi par un grognement ce qui n’arrêta pas l’action et je me mis à jouir dans sa bouche, alors qu’elle continuait à me pomper, jusqu’à ce que dame nature fit son effet. Alors, me regardant, elle dit : « J’aime ce que tu me donnes, … j’aime que ton plaisir remplisse ma bouche, …sers moi dans tes bras fort, …je suis presque complètement à toi, … » et on s’endormit de nouveau. A 5,30 h le réveil sonna. Alors que je secouais Stéphanie, elle se retourna en grognant : « T’as vu l’heure, … »Moi : « Oui, … mais tu dois être à ‘embauche à 7,00H, … 5,30h douche, … 6,00 petit déjeuner, … 6,30h départ au boulot, … HOP, … à la douche, … » Malgré tout, elle se leva et direction la salle de bain. Je pus une fois de plus la regarder dans le plus simple appareil et je trouvais qu’elle avait véritablement une belle silhouette, une poitrine, certes un peu lourde, mais bien pleine et de quoi satisfaire les mains d’un honnête homme, ventre plat et un joli cul, bien rond. Et, il faudra que je m’en occupe au mieux à la première occasion. Après cette inspection à donner des idées, je passais un peignoir et j’allais à la cuisine pour préparer un petit déjeuner consistant. Le café était prêt quand elle arriva, toute fraiche, le regard vif et l’œil coquin. Elle avait passé un corsage tout à fait sage au décolleté raisonnable et portait une mini-jupe droite, qui soulignant ses belles formes, et en arrivant elle se colla contre moi : « Maintenant que je suis présentable, … un petit baiser pour le bonjour, … » et là, je n’avais rien vu venir. Le petit baiser se transforma en un corps à corps sensuel, d’autant que le décolleté s’était ouvert sur ses seins et surtout qu’une main s’était glissée entre nous dans mon peignoir et qui s’occupait sérieusement de ma trique, qui s’était soudain réveillée. Sentant cela et surtout parce que c’était ce qu’elle voulait, elle me dit dans un souffle : « Je sens que tu as envie de moi, … moi aussi, … j’ai terriblement envie de toi, … (et elle se recula et trois mouvements de hanches sa jupe était devenue une ceinture), … je me suis préparée pour toi, … prends moi, … par derrière, … je serais entièrement à toi, … oui, … (se retournant et prenant appui sur la table, son joli cul bien en vue) … oui, … encules moi, … j’en ai envie, … viens, … » et je vis sa main sortir d’entre ses cuisses, pour me guider, non pas vers sa rosette, mais vers et dans sa chatte : « Oui, … prends moi par-là, … prépares moi, … que je m’ouvres à toi, …» Cramponné à ses hanches, un bon coup de rein et j’avais la bite bien au chaud dans son fourreau et je commençais à la ramoner, non à la baiser avec une certaine force pour ne pas dire une certaine brutalité, mais elle semblait apprécier : « Oui, …prends moi fort, … baises moi comme t’as envie, …prends du plaisir, … mais donnes moi du plaisir, … oui, … j’aime te sentir, … » et me souvenant de ce qu’elle aimait, je lui claquais la fesse droite puis la gauche, ce qui comme à l’accoutumée, cela la fit se cabrer et posant ses mains sur ses belles et rondes fesses, les écartant elle me dit : « Oui, … je sens que je suis prête, … viens prends moi là, … , j’en ai envie, … encules moi, … oui, … j’en ai envie, … » et me positionnant, je tâtais de la souplesse de sa rosette, qui m’était si gentiment offerte et qui ne demandait qu’à être prise. La réaction de Stéphanie fut brutale : « Qu’est-ce que t’attends, … prends moi, … rentres, je te veux, … forces moi, … » et malgré tout, elle sembla se décontracter et je l’investissais profondément : « Enfin, … j’aime te sentir me prendre comme ça, … je t’aurais tout offert, … fais-moi jouir, … »Moi : « Et ton minou, … il s’ennuie, … occupes toi de lui, … »Stéphanie : « Tu aimes que je me caresse quand tu me prends comme ça, … »Moi : « Oui, … ça me fait bander, … et t‘aimes que je sois dur, … »Stéphanie : « Oui, … j’aime me caresser, … tu me rends folle, … avec toi, je ne pense qu’à ça, … oui, … continues, … prends moi fort, … » et cramponnée à ses hanches, le cul bien en évidence, plus ça allait, plus je la ramonais avec énergie, plus elle appréciait : « Oui, … continues, … surtout ne t’arrêtes pas, … je sens que, … OOOHHHH, … OUIIII, … OOOHHH, … OUIII, … » alors qu’elle jouissait brutalement, bien enfoncé en elle, je me vidais dans son cul accueillant. Elle se laissa aller sur la table, le souffle court. Enfin se redressant : « J’ai aimé, … j’espère que tu as eu du plaisir, … tu m’en as donné beaucoup, … maintenant, … et cette nuit, … » Elle se releva deux coups de hanches et la jupe avait repris sa place. Elle se pencha et but son café rapidement : « Je dois partir, … si tu veux je reviens à midi, … »Moi : « Idiote, … »Stéphanie : « Bon, … je prends ça pour un oui, … j’amène une pizza, … à tout à l’heure, … »

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