C’était la troisième fois

- Par l'auteur HDS Maceran -
Récit érotique écrit par Maceran [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : C’était la troisième fois Histoire érotique Publiée sur HDS le 01-03-2022 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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C’était la troisième fois
C’est elle qui m’avait téléphoné et on s’était retrouvé chez moi, comme à l’habitude.
Alors que nous avions commencé nos câlineries, je lui disais, que l’on pourrait peut-être, un soir diner ensemble et même envisager de passer une nuit ensemble, elle me reprit très gentiment en me disant : « Mon petit chéri, tu sais que je suis mariée, il m’est donc difficile d’envisager un diner tous deux, quant à passer une nuit avec toi, j’aimerais, mais je ne me vois pas expliquer la chose à mon mari. Écoutes, je ne te demande rien, notre petit arrangement me satisfait, et semble te satisfaire. Tu as envie de moi, tu m’appelles, je viens, j’ai envie de toi, je t’appelle et on se retrouve ici. Soyons réalistes, on se retrouve non pas pour faire l’amour, mais pour baiser. Je pense que tu y trouves ton plaisir comme moi j’y trouve le mien. Viens, je vais m’occuper de toi, … » et en même temps qu’elle s’accroupissait, elle descendit pantalon et caleçon, pour se saisir de ma bite et en commençant à la caresser : « Je ne t’ai jamais sucé, … j’ai envie de te sucer, … de te prendre dans ma bouche, … je veux te faire jouir comme ça, … » et elle commença à me caresser puis c’est à grands coups de langue qu’elle parcourut l’engin qui durcissait « à vue d’œil » Puis, elle prit le gland entre ses lèvres et se mit à le lécher à petits coups de langue, pour enfin me prendre entièrement en bouche et commencer à me pompera avec énergie. Elle faisait ça bien, goulument et il ne fallut pas longtemps pour que la pression fut au maximum. Je l’informais de la chose, ce qui n’eut pour effet que d’accélérer le mouvement et d’un seul coup je me vidais dans sa bouche. Le tout disparu aussitôt, deux coups de langues et elle remonta pour se coller à moi : « A toi, … viens t’occuper de ma chatte, … viens me lécher, … » et elle se laissa aller sur le canapé, la jupe relevée, les cuisses largement ouvertes, la chatte nue : « Viens, … c’est à toi , … fais-moi jouir, … je me suis préparée pour toi, … je suis toute chaude, … » et il n’y avait pas à hésiter, effectivement elle était prête, ouverte et très humide, c’était vraiment une nana qui démarrait rapidement, à moins que, … il faudrait que je lui poses la question. Le nez dans sa fourrure, don l’odeur de femme chaude me montait à la tête, du bout de la langue, je parcourais la raie de ses grosses lèvres : « Arrêtes, … rentres, … j’attends que ça, … » ses mains arrivèrent sur sa chatte et posant ses doigts sur grosses lèvres, elle ouvrit sa chatte, : « Regardes, … je m’ouvre pour to, … rentres, … » alors que je continuais à la titiller avec ma langue, deux doigts s’enfoncèrent doucement dans sa grotte d’amour et ce fut : « Oh, … Oui, … enfin, … prends moi, … oui, … masturbes moi, …fort, … j’aime ça, … » Elle était excitée et tendue au possible, profitant de ses bonnes dispositions, je me hasardais à tâter doucement sa rosette, parfois qu’à l’avenir, … la réaction fut rapide : « Non, … la prochaine fois si tu veux, … finis moi, … ne t’arrêtes pas, … OOOHHH, … OUIII, … continues, … OUIIIIII, … » et elle se contracta brutalement, les mains sur sa chatte comme pour la protéger, le souffle court. Puis revenant à elle, elle se pencha sur moi posa ses lèvres sur les miennes puis m’embrassa, comme à son habitude, ouvrant la bouche, alors que ma langue s’y introduisait, puis la prenant et la suçant goulument, … : « Dommage qu’on n’a plus le temps, … j’aurais aimé m’occuper de toi … de nouveau, … » Puis se réajustant, elle sortit de son sac, une petite culotte, puis revenant vers moi : « Je t’appelle bientôt, … »o Après l’appel de MatildeEnfin Stéphanie décrocha, avec un : « Oui, … bonjour, … comment vas-tu, … j’attendais ton coup de téléphone, … »Moi : « Tu es disponible après la débauche, … »Stéphanie : « Ça dépend pourquoi faire, … as-tu une idée précise, … dis-moi, …. Tu sais que J’aime t’entendre, … »Moi : « D’accord, j’ai envie de toi, … tu es seule, … »Stéphanie : « Oui, … pourquoi, … »Moi : « Parce que tu vas enlever ta petite culotte, et la ranger dans ton sac, … »Stéphanie : « Tu es fou, … je ne peux pas faire ça, … »Moi : « Mais si, … non seulement tu peux, mais je suis certain que maintenant tu en as envie, … »Stéphanie : « Mais non, … et pourquoi je ferais ça, … pourquoi je t’obéirais, … hein dis-moi, … »Moi : « Pour la seule raison, qu’avec moi t’aime obéir, … tout le temps tu commandes, tu diriges les hommes de ton entreprise, … et obéir, ça te change, … ça t’amuse, … je dirais même que ça t’excite, … et tu aimes ça, … ça y est, … tu l’as enlevé, … »Stéphanie : « Tu sais que tu es un horrible, … »Moi : « Ça y est, … ta jolie chatte prends l’air, … d’ailleurs tu aimes avoir la chatte à l’air… »Stéphanie : « Monstre, … oui, …j’ai fait ce que tu voulais, … »Moi : « C’est bien, … tu es bien obéissante, … maintenant, tu écartes largement tes jolies cuisses, … »Stéphanie : « Oh, … tu ne veux pas que » lui coupant la parole, …Moi : « Mais si, … tu vois que tu y as pensé, … tu remontes ta jupe, … bien haut, … plus haut, … voilà, … oui, … comme ça, … »Stéphanie : « Tu es fou, … si quelqu’un rentre… »Moi : « Mais non, … d’abord il frappe, … et ton bureau est complétement fermé, … personne ne peut rien voir, … maintenant, tu poses ta main sur ta chatte, … doucement, … »Stéphanie : « Arrêtes, stp, … tu me rends folle, … arrêtes maintenant, … je ferais ce que tu veux ce soir, … mais arrêtes, … »Moi : « Dis-moi que tu as aimé, … que ta chatte est toute chaude, … que tu mouilles, … »Stéphanie : « Monstre, … oui, … tu as gagné, … je t’écoute, … »Moi : « C’est simple, comme j’aurais un quart d’heure de retard… tu vas à la maison, … tu prends la clé dans la boite aux lettres, … »Stéphanie : « Et comment je l’ouvre, … »Moi : « Facile, je l’ai bricolée, … tu soulèves légèrement la porte elle s’ouvre et tu montes et entres à l’appart, … »Stéphanie : « Et là, je fais quoi, … j’attends mon maitre, … »Moi : « Non, … tu vas dans la grande chambre et tu t’allonges nue sur le lit, … et j’arriverais, … pour une fois je te verrais complètement nue, … mon rêve depuis longtemps, … tu seras toute chaude, … prête à t’offrir, … à te donner à moi, …»Stéphanie : « C’est tout, … je dois attendre mon maitre, … être à sa disposition, … prête, … tu ne penses pas que tu exagères, … »Moi : « Mais non, … je pense même que ça t’excite, … j’oserais dire que ça te fait rêver, … »Stéphanie : « Tu es un horrible monstre, … mais dis-moi que tu as envie de moi, … dis-moi que tu es dur, … que tu bandes, … »Moi : « Oui, … et toi, … es-tu chaude, … » et je raccrochais.
Comme prévu, en arrivant, je vis la voiture de Stéphanie, je montais rapidement à l’appart et rentrais. De la salle de séjour, un véritable jeu de piste, m’indiquait le chemin à suivre le corsage, puis le soutien-gorge et enfin la jupe, j’étais à l’entrée de la chambre, où je trouvais Stéphanie, presque nue ayant gardé ses bas, langoureusement allongée, la main gauche se caressant doucement le sein droit, compas de ses cuisses largement ouvert avec la main droite posée sur sa chatte.
Moi : « La belle Stéphanie, … enlèves ta main que je vois ta jolie chatte, …que ton odeur monte à moi pendant que je me prépare à t’honorer, … » et je m’empressais de me déshabiller, le caleçon enlevé, j’avais une trique qui faisait honneur à son propriétaire, et là Stéphanie s’assit sur le lit : « J’aime te voir comme ça, … je veux contrôler si c’est vraiment dur, … digne que je me donne à toi, … » et sans hésiter elle s’empara de ma bite la caressant du bout des doigts pour ensuite goulument la prendre en bouche et entreprendre de me pomper avec énergie. Je dus l’arrêter, car je sentais qu’au rythme qu’elle m’imposait, je ne tiendrais pas longtemps et surtout je voulais la prendre, la baiser. Elle s’arrêtât avec : « C’est dommage, … j’aime te sentir vibre dans ma bouche, … oui, … viens prends moi, … » c’est ce qu’elle voulait, mais je me laissais aller entre ses cuisses bine écartées et le nez dans sa fourrure, son odeur remplissant mes narines, je léchais ses grosses lèvres, déjà bien humides et la pénétrais du bout de ma langue : « Oh, … oui, … j’aimes, … », elle était ouverte accueillante, deux doigts s’enfoncèrent dans sa chatte : « Oh, … brute, … oui, … caresses moi, … prends moi, … oh, c’est bon, … continues, …» Elle était à point, bonne à consommer et j’augmentais le rythme et plus je la masturbais, plus elle coulait, plus elle se tendait : « Oh, … oui, … continues, …ne t’arrêtes, … OOOOHHH, … OUIIII, … encore, … OUIIII, … » et elle fut secouée par fort spasme, suivit de plusieurs petites contractions, pour enfin se laisser aller sur le lit, le souffle court. Si elle avait joui, moi j’avais une belle trique qui en demandait qu’à servir, je remontais sur elle, et sentant ma belle bite contre son ventre : « Qu’est-ce que tu veux, … » - « Toi, … tu ne sens pas comme j’ai envie de toi, … »Stéphanie : « Non, … je ne peux plus, … j’ai aimé ce que tu as fait, … mais, je ne pourrais pas une autre fois, … » Alanguie sur le dos, je la poussais et la retournais : « Qu’est-ce que tu fais, …non, … c’est pas vrai, … » et sur le ventre comme elle était, je n’avais qu’à lui soulever légèrement le bassin et à me guider dans sa chatte, ce que je fis et m’enfonçais en elle d’un bon coup de rein « Oh, non, … tu ne vas pas, … oh, … brute, … oh, … oh , … oui, … oui baises moi, … baises moi fort, … » et pendant que je la ramonais fortement, vue son consentement, je lui claquais les deux fesses : « Oui, … encore, …tu es une brute, … oui, tu me remplis, … baises moi, … oui fort, … j’aime que tu me prennes comme ça, … que tu me montes dessus, … fesses moi encore, … je t’obéirais, … OUI, … encore, … OOOOHHH, … OUIII, … OOOHHH, … OUIIIII, … » elle se cambra poussant son joli cul vers moi, alors que moi, cramponné à ses hanches je remplissais son joli sexe de mon jus de plaisir. Pour me laisser tomber à côté d’elle, qui se retournant vint se coller contre moi : « Tu es content de toi, …, tu as eu ce que tu voulais, … me faire jouir deux fois, … » Moi : « Et toi, … contente de mes prestations, …ai-je été à la hauteur de mes envies, … »Stéphanie : « Tu cherches le compliment, …oh, … ça déborde, … il faut que je m’en occupe, …» Moi : « Il faudrait que l’on prenne des précautions, … »Stéphanie : « Fous-moi la paix avec tes précautions, j’aime te sentir me prendre, … j’aime te sentir te vider en moi, … j’aime ce que tu me donnes, … ». Elle se mit sur le dos et les cuisses bien écartées, elle glissa une main vers son minou, alors que les muscles de son bas ventre travaillaient, et oui, travaillaient à évacuer le sperme dont j’avais rempli sa chatte. Elle le recueillit sur ses doigts et me regardant les porta à sa bouche, « J’aime ce que tu me donnes, … embrasses moi, … il faut que je parte, … » elle se leva et se dirigea, toujours entièrement nue, vers la salle de séjour en récupérant ses affaires. Elle se baissa pour prendre des affaires dans son sac, ce qui mit en évidence son beau cul bien rond, je me penchais et j’embrassais une fesse puis la lui mordais : « Tu es fou, … brute, … je vais avoir une marque, … »Moi : « Comme ça tu penseras à moi, …, je t’aurais bien fait un beau suçon dans le cou ou sur un sein, mais, … j’ai hésité, … j’ai préféré ton joli cul, … »Stéphanie : « Mais pourquoi je me laisse faire, … » et elle passa sa petite culotteMoi : « Il va falloir que tu trouves autre chose, comme culotte, … plu sexy, … genre mini slip, … »Stéphanie : « Tu es réellement fou, … »Moi : « Mais non, …penses-y, … tu verras, … d’ailleurs, c’est comme pour ton soutien-gorge, … j’avais pensé que tu serais mieux sans, mais, … tu as une belle et généreuse poitrine, … sans soutien-gorge, tes employés deviendraient fous, … il vaudrait mieux que tu prennes un quart de bonnet, cela te maintiendrait un peu, … tout en permettant de rêver, »Stéphanie : « Tais-toi, … tu es complétement fou, … tu me rends dingue, … »Moi : « Mais non, … tu es une belle femme, … jolie, … avec un corps qui fait rêver, … tu aimes le sexe, … laisses parler ta nature, ... et tu verras, … »Pendant cette discussion, alors qu’elle était pratiquement complétement habillée c’est le moment que je choisis pour lui prendre le poignet gauche, j’y faisais un point noir avec un stabilo.
Stéphanie : « Qu’est-ce que tu fais là, … »Moi : « Ce petit signe marque que tu t’es donnée à moi, … chaque fois que tu le verras tu y penseras, … et tu sais ce qu’on va faire, … »Stéphanie : « Qu’est-ce que tu as imaginé, … » Moi : « Demain, à neuf heures, après le coup de feu du démarrage je t’appellerais, … pour savoir si tu as bien enlevé ta petite culotte, … que ta chatte est à l’air, … c’est une bonne idée, tu ne trouves pas, … »Stéphanie : « Non, …je m’en vais, … » Ce coup-ci, je n’ai pas eu droit au baiser du départ, mais on verra demain, … le temps qu’elle y pense, … que ça la tortille, … je me parie qu’elle cédera, … surtout, par curiosité, … on verra.
o Le lendemainIl devait être 9,30 heures quand je trouvais le temps d’appeler Stéphanie.
Moi : « Bonjour ma belle, … » couper court Stéphanie, un ton un peu brutal : « Tu as vu l’heure, … Moi : « Oui, il est la demi, … »Stéphanie : Ça fait demi-heure que j’attends ton coup de téléphone, … tu te rends compte, … tu me rends dingue, … »Moi : « Désolée ma belle, … as-tu fait ce que ‘on avait décidé, … »Stéphanie : « Bien sûr, … monstre, et en plus je suis sûr que tu n’en doutais pas, … et moi, bécasse, j’attendais, avec impatience, ton coup de téléphone, … »Moi : « Ta jupe est bien relevée, … jusqu’où, … »Stéphanie : « Au-dessus des bas, … là où tu aimes me caresser, … je suis folle, …j’ai l’impression de sentir tes lèvres là, … Jean, … dis-moi de me caresser, … j’ai envie de toi, … oh, oui, j’ai envie de toi, … »Moi : « Ce soir, … on se retrouve chez moi, … »Stéphanie : « Non, … avant, … tu connais le grand parking où se plantent les cirques derrière de centre commercial, … j’y serais à midi et quart, … je t’attendrais, … viens, … »Moi : « Bien, … et ton mari, … »Stéphanie : « Ce n’est pas ton problème, … je vais me préparer, pour être prête, comme tu aimes, … quand tu seras là, … je t’attends, … »Moi : « Hum, … quand j’arrive, je veux te trouver, le corsage ouvert, … tes beaux seins visibles, … et accessibles, … »Stéphanie : « Tu ne crois pas que tu exagères, …tu es pire que ce que je pensais, …mais tu sais que c’est oui, … je suis heureuse de t’obéir, … et plus si tu me dis que tu as envie de moi, … »Moi : « Oui, … bien sûr, … écartes tes jolies cuisses, … je vais lécher ta chatte, … bien chaude … et bien mouillée, … j’ai un doigt qui va caresser ta rosette, … »Stéphanie : « Arrêtes, … si tu continues, je ne vais pas tenir, … je raccroche, … je vais te sucer, … » elle raccrocha.
A midi et quart, j’étais sur le grand parking et je vis sa voiture garée dans un des coins, disons un peu à l’abri des regards, elle s’était garée en marche arrière, je me garais en marche avant, ainsi en ouvrant les portes côté conducteur, elles faisaient une espèce de paravent. A peine arrêté, elle ouvrit sa portière, spectacle merveilleux, ses seins étaient découverts, avec des tétons bandants durs et sa jupe remontée au niveau de sa ceinture laissant voir le joli triangle de sa toison frisée, entre ses cuisses largement ouvertes : « Comme tu aimes, … viens, … tu peux être content de toi, … je ne pense qu’à ça depuis ce matin, … » Pendant son petit discours de bienvenue, j’étais descendu de la voiture, et je dois dire que le spectacle offert, eut un effet rapide sur mon anatomie. Alors que j’étais encore debout, elle peut s’apercevoir de la chose et posant sa main sur ma braguette, elle dit : « Je vois que tu apprécies, … ce que j’ai fait, … laisses moi voir, … » Sans hésiter, pantalon et caleçon bas, et mon engin pointait durement : « Viens, … suces moi, … prends moi dans ta bouche, … » Elle n’hésita pas et après quelques douces caresses de ses doigts, elle s’empara de mon gland pour le titiller du bout de sa langue pointue. Tout ça fait avec douceur et je dirais même avec art, que je dus l’arrêter, car au stade où elle m’avait mis, j’étais presque en mesure de lui jouir dans la bouche et ce n’était le but de ma venue. Un peu déçue de cet arrêt, je me penchais pour gouter à ses seins qu’elle m’offrait, passant de l’un à l’autre, les tétant, le mordillant doucement, quand léchant la rotondité de son sein droit, elle me dit : « J’aime ta bouche sur mes seins, … mords moi, … » alors que je continuais à la mordiller : « Non, … mords moi, … marques moi, … oui, … marques moi, un sein, … je veux penser à toi, quand je ferais ma toilette, … oui, … mords moi, … » ce que je fis, en fait, plutôt que de la mordre, comme elle le voulait, je lui fis un beau suçon, qui ne disparaitrait, mais pas de sitôt. Tout cela faisait qu’il était temps que je m’occupe de sa chatte. Je m’accroupissais, alors un pied sur le tableau de bord, l’autre sue le dossier, elle était ouverte accueillante, il n’y avait qu’à s’approcher pour la douce odeur de sa chatte chaude, et ce que je fis. Quelques petits coups de langue pour l’exciter et qu’elle s’ouvre pour la faire couler encore plus, et deux doigts pour la pénétrer, et elle se cambre pour les accueillir : « Oh, … oui, … continues, …tu sais t’occuper de moi, … OUI, ... encore, … » et de la masturber énergiquement. Elle aimait ces jeux de bouche et de doigts, … et rapidement, elle s’excitait, la chatte ouverte ainsi la parole : « Continues, … oui, … ne t’arrêtes pas, … je sens, … OOOHHH, … OUIII, …. OUIIII, … » et elle se mit à couler généreusement, alors qu’elle était secouée par une série de contraction, pour enfin se laisser aller, le souffle court. Mais c’était le moment d’en profiter : « Retournes toi, … à moi de te prendre, … je veux ta chatte, … »Stéphanie : « Non, … tu es fou, … tu ne vas pas, … »Moi : « Mais si, … j’ai envie de te prendre, … de te baiser, … tu es toute chaude, …dis-moi le contraire, … retournes toi … montres-moi ton joli cul, … » Elle sortit de la voiture et se penchant en avant, mis, son beau fondement à disposition.
Elle se retrouvait ainsi appuyée sur la banquette, son beau cul, bien en évidence. Je glissais une main entre ses cuisses, bien chaudes et lui caressais le minou, doucement, un doigt suivant la raie entre ses grosses lèvres, et prenant mon engin en main, je me dirigeais va ma cible préférée, mais avant je parcourais la raie de ses fesses, de son minou, de ses fesses : « Tu sais que tu as beau cul, … qui fait envie, … » - « Non, … plus tard, … oui, tu l’auras si tu le veux, …oui, … maintenant prends moi, … »Et une main m’attendait pour bien me diriger vers sa grotte d’amour, que je pénétrais doucement, comme hésitant : « Qu’est-ce que tu fais, … tu m’as excité au possible, … prends moi, … oui, … baises moi, … fort, … je veux te sentir, … » Et là, cramponnée à ses hanches, brutalement, je finissais de me planter dans sa chatte : « Oh, … OUI, … quand même, … » Là je savais qu’elle n’attendait que ça, et je la ramonais avec ardeur, et me rappelant ce qu’elle aimait, je lui claquais les fesses et comme prévu : « Oui, … j’aime ça, … ça m’excite, … j’aime t’obéir, … que t’aimes me monter, … » et de nouveau je lui claquais les fesses, en lui disant : « T’es quand même une sacrée femelle, … » et elle : « OH, …OUI, … tu as gagné, … j’aime être ta femelle, … que tu prennes du plaisir à me prendre, … à me baiser, … continues, … OOOOHHH, … ne t’arrêtes pas, … OUIIII, …OUIII, … » alors qu’elle avait un solide spasme, je remplissais sa chatte de mon plaisir, sachant que comme elle s’était donnée, elle avait joui intensément. Ayant légèrement récupéré, elle se redressa, se colla à moi : « Il faut que je parte, … »Moi la prenant dans mes bras et surtout posant mes mains sur son splendide fessier : « Quand se voit-on ? …et quand je peux m’occuper de ce que je caresse, … »Stéphanie : « Ça te plait tellement, … tu l’auras, … j’en ai envie, ça fait longtemps, …, mais je me prépare et Je t’appelle, … » et elle partit.

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