Le surlendemain

- Par l'auteur HDS Maceran -
Récit érotique écrit par Maceran [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : Le surlendemain Histoire érotique Publiée sur HDS le 28-05-2022 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Le surlendemain
Effectivement, vers 10,00 heures mon téléphone sonna, c’était Stéphanie : « Bonjour, ma belle, … es-tu arrivé à temps, … » - « Bonjour, … j’ai eu la plus belle peur de ma vie, … » - « Pourquoi, … » - « Je venais de finir de me garer, quand j’ai aperçu la voiture de mon mari, … » - « Oh, … et alors, … » - « J’ai juste eu le temps de rentrer à l’appartement, … de jeter mon imper, … et de me jeter sous la douche, … » - « Tu vois heureusement que tu étais nue sous ton imper, … tu n’aurais pas pu faire ça toute habillée, … » - « J’en tremble encore, … la prochaine fois, il faudra faire attention à l’heure, … je ne tiens pas à perdre mon job, … » - « Dommage que je ne sois pas là, … pour te calmer, …. Enfin tout se termine bien, … et j’ai le plaisir d’entendre ta douce voix, …et ça me donne des idées, … » - « Ne rêves pas trop, … il faut que je fasse attention, … » - « Tu sais que ce sera bientôt les congés, … et je ne te verrais plus pendant au moins un mois, … je veux te voir souvent et qu’on se fasse pleins de souvenirs, … » - « Jean, … je t’en supplie arrêtes, … j’ai eu trop peur, … laisses moi un peu de temps, … je te promets, je te reviendrais, … » - « Bien, je m’incline, … mais j’attends un coup de fil rapidement, … je t’embrasse où tu aimes, … » et je raccrochais. J’avais perdu une bataille, mais pas la guerre. 11,15 heures le coup de téléphone que j’attendais. C’était Stéphanie : « Monstre, … horrible monstre, … qu’as-tu raconté à mon mari, … » - « Moi, … rien, … enfin presque rien … pourquoi, … » - « Faux jeton, … il vient de m’appeler pour me dire de ne pas discuter et d’accepter ton invitation, … qu’est ce que tu lui as dit, … » - « Simplement, qu’il y avait eu un léger malentendu entre mon service comptable et le sien et que de façon à m’excuser et conserver nos excellentes relations, je m’étais permis d’inviter sa responsable. C’est là qu’il me précisa que la responsable était sa femme. Alors je m’excusais de ne pas avoir fait le rapprochement, et qu’en conséquence, de façon à éviter tout malentendu je l’invitais également. Il refusa, surchargé de boulot à la reprise, mais que sa femme serait ravie d’accepter de déjeuner avec moi dans de telles conditions, … » - « Tu es vraiment un horrible, … tu ne lâches jamais, … « - « Je pensais que tu serais contente, … » - « Oui mon mari me pousse dans les bras d’un client, … en plus il m’a dit que ce genre de repas risquait de durer donc si j’embauchais un peu tard, ce n’était pas grave, … tu vois tout pour satisfaire le client, … » - « Bon, … je peux toujours me rétracter, … si tu le désires, … » - « « Je suis une idiote, … et tu le sais bien, … je t’attends à midi, … et tiens-toi bien, il m’a dit : - Tâches d’être aimable avec lui, c’est quand même un gros client -, … j’ai oublié de lui demander jusqu’où je devais être aimable, … Bon, … et où comptes tu m’amener, … » - « C’est un piège ou une perche, … » - « Une perche, … et une grosse, … pour t’aider, et tu devrais le savoir, … quand tu rodes autour de moi je ne porte que des quarts de bonnet, … » - « Je suppose que tu as un joli corsage à grand décolleté, … » - « Oui, … bien sûr, … comme tu les aimes, … » - « Bien, … tu es seule, … ouvres un peu plus ton corsage, … et glisse une main pour caresser ces belles choses rondes, … l’aréole est douce, … le téton attend pour se dresser, … » - « Tu es complètement fou, … » - « Tu as quoi comme jupe, … » - « Fiches moi la paix, … » - « Depuis que tu te caresses tes tétons deviennent durs, … très durs, … maintenant tu veux aller plus loin, tu en as très envie, … » - « Arrêtes, … tu m’excites inutilement, … laisses moi me préparer pour toi, … tu sais que j’aime t’obéir, … que je sais ce que tu aimes, … que je suis docile, …peut-être je peux te faire une surprise, … » - « Tu veux me faire une surprise, … Wouah, … j’attends avec impatience, … ça me fait rêver, … et je sens une bosse naitre, … » - « Je me tiens comme une salope, … mais, …j’espère qu’elle sera dure, … même très dure, … dis moi que tu as envie de moi, … » - « Oui, … si tu me dis que t’as la chatte nue, … et que tu mouilles, … » - « T’es une sombre brute, … je ne me reconnais plus, … oui aux deux questions, … je t’attends, … oh, si tu savais, … comme je t’attends, … » - « Prépares toi bien, … au fait as-tu un polaroid, … » - « Oui, … qu’est ce que tu as inventé, … » - « Je pense à ta fourrure, … on va la modifier, … l’améliorer, … » - « Qu’est-ce que tu vas encore inventer, … » - « Tu vas t’installer confortablement dans ton fauteuil, … les cuisses bien écartées, … et tu prends une photo de ta jolie fourrure, … et tu amènes la photo, … » - « Il est complètement marteau, … c’est pas possible, … et il est certain que je vais faire ces bêtises, … » - « A tout à l’heure ma belle, … écartes tes jolies cuisses, que je goutte à ta chatte, … » et je raccrochais.
A midi à peine passé, j’étais dans l’entrepôt et me garais, en marche arrière, là, ou Stéphanie pouvait m’apercevoir. Une poignée de secondes et elle sortait de son bureau, un sac à la main, vêtue de son imper, mais ouvert, et marchant à grands pas, ce qui faisait que sa jupe ouverte devant s’ouvrait sur ses cuisses, détail que seul je pouvais apprécier, les pans de l’imper encadrant la démonstration, ce qui entraina chez moi, une certaine excitation. Enfin arrivant au niveau de la voiture, elle se pencha pour dire bonjour, non, pour montrer un décolleté profond, s’ouvrant sur ses seins libres de toute contrainte. S’étant assurée que je m’étais bien et généreusement rincé l’œil à sa jolie démonstration elle ouvrit la portière et s’installa dans la voiture, avec un sourire : « En avant chauffeur, … ça t’as plu, …ou m’emmènes-tu, … - « - « Chez moi, … » - « Je ne te savais pas cuisinier, … » - « Moi, non, mais j’ai un excellent traiteur, … donc avant de venir je suis passé chez lui, ... » Pendant cet échange, sa jupe s’était ouverte (involontairement naturellement) et j’avais une vue sur ses cuisses, aussitôt cet aperçu, je posais ma main dessus, enfin sur les bas, que j’abandonnais pour changer de vitesses, (maudit changement de vitesses, la prochaine fois j’achète une automatique), et je repose ma main en essayant de remonter. Clairement ma partenaire s’amuse de la situation et en profite pour poser sa main sur une certaine bosse et commence à la caresser : « Arrêtes, … si tu continues, …il n’y aura plus rien pour toi tout à l’heure, … » - « Je voulais contrôler si tu étais en forme, … et que je puisse être aimable avec un client, … » - « Tu sais ce que tu es, … » - « Oui, … moi une garce, … toi un monstre, … qui allons se retrouver dans un moment pour se donner du plaisir, … » On était arrivé. Arrivé dans l’appartement : « Je m’occupe de préparer le déjeuner, … tu connais la chambre, … profites en pour te déshabiller, … » - « Mais, … » - « N’oublies pas tu dois satisfaire le client, … » - « Goujat, … (en riant) Monsieur veut que je garde mes bas et mes escarpins, … » - « Bien sur ça fait plus habillé, … après tu prépares l’apéritif. Tout se trouve dans le buffet, … pour prendre les verres, … ne t’accroupis pas, … penches toi, … » - « Quoi, … qu’est-ce que c’est, … » - « En te penchant tu mets en valeur ton joli cul, … » - « C’est pas vrai, … sauvage, … ». Je la vis revenir de la chambre en tenue d’Eve et se mettre à préparer l’apéritif, en se penchant pour récupérer verres et autres nécessaires à l’apéritif. Retour dans la salle de séjour et Stéphanie nue, les jambes légèrement écartées et les mains sur les hanches : « Je suis à ton goût, … et pas un baiser, … rien, … » - Le temps qu’elle dise cela, je l’avais prise dans les bras et elle se colla à moi. S’ensuivit un long baiser gourmand et un corps à corps excitant, pour enfin entendre : « Tu restes en costard, … » Avec son aide je m’empressais de me mettre nu. Tout cela fit que je bandais dur et pour s’en assurer, elle me prit la bite et la caressa du bout des doigts en disant coquine : « Avec un truc pareil, … je ne peux qu’être aimable avec mon client, … viens, … prends moi, … » Il y avait une chaise et je m’assis en lui disant : « On va changer de position, viens, … » Il y eut quelques secondes d’hésitations, à croire qu’elle ne connaissait pas cette position, mais elle comprit vite et m’enjambant elle vint se planter sur un « popol » raide et ce avec un soupir de satisfaction : « Oui, … j’ai jamais fait comme ça, … c’est bon, … Oh, je t’ai entièrement, … » et sans ne l’avoir jamais fait suivant ses dires, elle sut ce qu’elle avait à faire et moi lui tenant les reins, elle commença alors une série d’abord lente puis de plus en plus rapide de je monte et je descends et je remonte, … : « Oh, c’est bon, …reste dur, … je te sens bien, … continues, … » - « Elle était en pleine action, quelque fois se cramponnant à mon cou, d’autres fois malaxant avec énergie ses beaux nénés, mais m’utilisant, enfin, utilisant ma bite comme un bon sextoy et se donnant ainsi du plaisir : « Oui, … continues, … ne ralentis pas, … j’aime comment tu me prends, … dis-moi que t’aime me baiser comme ça, … ne t’arrêtes pas, … je sens, … je vais … OOOHHH, … OUIII, … OUIIIII, … » au moment de jouir, les jambes relevées elle s’était empalée brutalement sur mon sexe, alors que j’éjaculais dans sa chatte et fut secouée par un spasme important qui fut suivi par des contractions de tout son corps, la faisant gémir et surtout lui coupant le souffle et elle finit affalée contre moi pour récupérer. Reprenant ses esprits, elle posa ses lèvres sur les miennes et se redressant : « Tu m’as donné beaucoup de plaisir, … plus ça va, … plus tu me donnes du plaisir, … » et elle colla ses lèvres contre miennes pour un baiser chaste et je dirais amoureux. Enfin, se relevant : « Ça m’a donné faim, … je peux faire quelque chose, … » - « Oui, tu peux mettre la table, … tu as vu tout est dans le buffet, … » - « Ça te fais plaisir que je reste comme ça, … où tu veux que je m’habille, … » - « Je préfère que tu restes ainsi, … j’aime te voir nue, … tu es belle, … et tentante, … » - « Oh, … ça déborde, … » elle se posa sur le bord d’une chaise et avec deux doigts dans sa chatte elle récupéra un peu de sperme qui glissait et me regardant avec un sourire coquin : « Je ne veux rien perdre, … » et elle lécha ses deux doigts d’un aire gourmand, puis elle se remit à l’ouvrage en s’occupant de dresser le couvert, se pliant chaque fois, … me faisant profiter du spectacle de son joli cul et que je caressais à chaque fois que j’en avais l’occasion. Alors que l’on prenait place et commencions à déjeuner elle me dit : « Ne me dis pas que je suis folle, … je le sais, … mais Je voudrais qu’une fois tu me prennes, … enfin, comment dire, … que tu me fasses comme si, … enfin disons que tu me fasses l’amour, … pas que tu me baises, … pas qu’on baise, comme on le fait, … comme on s’est mis d’accord, … mais que tu me fasses l’amour, … j’en rêve, … Qu’en penses-tu, … » - « Je t’écoute, … continues, … » - « Tu m’invites un soir à l‘apéritif, … et j’arrive avec un joli corsage blanc presque transparent, … non, … les hommes le préfèrent noir, … pratiquement transparent, très très décolleté, … tu peux deviner mes seins, … libres de toute contrainte … je porte une jupe, également noire, collante, … mais fendue sur le devant, très fendue, … je m’installe et je joue à croiser les jambes, … ma jupe s’ouvre et tu peux apprécier le galbe de mes jambes, et même de mes cuisses, … pratiquement jusqu’aux haut des bas, peut-être plus haut … naturellement noir très très fins, … et évidemment chaussée d’escarpins aux talons vertigineux, … tu nous sers un whisky, par exemple, … et pour prendre mon verre, … je me penche assez pour qu’un œil curieux puisse voir et apprécier mes seins, … et ce jeux aussi souvent que possible. L’apéritif terminé, je m’éloignerais pour me préparer, … à te satisfaire, … à être à toi, … enfin prête, je reviendrais au salon pour que tu puisses apprécier celle qui s’offre à toi, … j’aurais revêtu, une nuisette, naturellement noire transparente, qui en montrerait plus qu’elle n’en cacherait de mon corps, … j’aurais naturellement gardé bas et escarpins, … là, tu me prendras dans tes bras pour m’embrasser, … mais pas plus, … et tu me suivras jusqu’à ta chambre, … où là, tu m’enlèveras rapidement ma nuisette et je m’allongerais sur le lit, nue, … les cuisses largement ouvertes, … d’une main je cacherais ma chatte, … où je me caresserais doucement, … pour t’exciter, … en appréciant le spectacle, … tu te dénuderas rapidement, … je pourrais alors me régaler de la fière allure de ton sexe, …. bien dressé, tentant, … mais voulant m’exciter, … me chauffer et m’apprécier au maximum, … tu viendras te glisser entre mes cuisses, …. que j’aurais encore plus ouvertes, pour que tu puisses t’occuper de mon minou, … non, … pour que tu me bouffes la chatte, et le reste… puis tu me prendras avec ta langue, tes doigts, … me caresseras, … non, … me masturberas à me faire couler, … puis quand tu me sentiras bien mouillée, bien ouverte, … coulante de désir de toi … tu remonteras sur moi, … me léchant, m’embrassant le ventre, … tes doigts pouvant encore s’occuper de ma chatte, … arrivé à mes seins les prendre, … les sucer, … les téter, … les mordre, … même me faire un suçon sur un, … puis tes lèvres se poseront sur les miennes, légèrement ouvertes, … ta langue pénétrera ma bouche, … et la prendra, … et je sucerai ta langue, … à ce moment je serais prête, ouverte à toi, … et je prendrais ton sexe bien dur, et je le dirigerais dans le mien, bien ouvert, … et d’un grand coup de rein tu m’investiras, … et je t’accueillerais en moi en écartant encore plus mes cuisses, … et en me cambrant pour que tu t’enfonces au plus profond de moi, … là bien dans ma chatte, tu me prendras, pas brutalement, … non, mais fort, … me possédant, me dominant, … et moi, ouverte, je me donnerais à toi, … acceptant ainsi d’être ta maitresse, …j’accepterais de me soumettre à toi, et pour le prouver, … mes jambes se refermeront sur tes reins, … ce qui me permettra de suivre, … d’accompagner, … les vas et viens de ta bitte dans ma chatte, … et quand toi, tu seras gonflé de désirs et que moi je serais ouverte trempée, chaude et gémissante d’attente, … tu me rempliras de ton plaisir, … tu jouiras et te videras au plus profond de moi, … moi ayant atteint le moment où je jouis brutalement du plaisir que tu me donnes, … secouée d’un brutal spasme, tendue, accrochée à toi, …perdue dans ma jouissance, … je crierais mon plaisir de te sentir me remplir, … de jouir de ton amour pour moi, … et laissant la nature faire, … je te sentirais de retirer doucement de moi, … enfin, toi roulant à coté de moi, satisfait, … reprenant mes esprits et mon souffle me callant contre toi, pour un câlin doux, tu me caresseras et on s’endormira doucement, l’un à côté de l’autre, … Je sais, je suis folle d’avoir de telles idées, … mais je rêve à ce moment, … ce sera à toi de satisfaire ce rêve, … » - « Joliment dit, … ma belle, mais pour ça il nous faudrait une nuit, … et je te l’ai souvent proposée, … tu sais que toutes mes nuits peuvent être à ta disposition, … et comme tu me l’as souvent dit, c’est difficile pour toi de t’échapper pour une nuit, mais connaissant un peu les femmes : ce que femme veut, … dieu le veut, … je ne perds pas espoir, … d’autant que fin du mois tu disparaitras pour les congés et je vis rester seul, … à m’ennuyer de toi, …» - « Tu trouveras certainement une âme désespérée à consoler, … » - « Toujours aussi charmante, …tu me donneras ton planning de vacances, je pourrais peut-être te contacter par téléphone, … pour une conversation amicale, … et même amoureuse, ... » Le déjeuner se passa de très bonne façon, elle n’hésitait pas à se déplacer, peut-être par habitude, mais, je pense, que c’était une chose que son mari ne lui demandait pas et aussi pour avoir le plaisir de me faire apprécier sa jolie silhouette en plie et face. Tout était terminé, nous avions encore un peu de temps, J’étais assis dans un fauteuil et de la voir ainsi déambuler, je commençais à avoir quelques envies qui faisaient relever la tête à « popol ». Stéphanie s’en aperçu et un œil aguicheur elle me dit : « C’est moi qui semble te faire de l’effet, … est-ce que tu aimerais que je m’occupe de ça, … » en désignant « popol »- « Je pense que oui, … OUI, … j’en ai très envie, … j’en ai tré trés envie, … » elle s’accroupit et m’écartant les cuisses, posa doucement ses doigts sur ma bitte, la réaction fut instantanée, je sentis « popol » qui semblait vouloir se redresser, elle continua à me caresser du bout des doigts, parcourant la hampe qui se redressait de plus en plus, c’est alors qu’elle se pencha et à petits coups de langue entrepris de me lécher le sexe. Elle avait réussi à me faire bander, certes ce n’était une affaire des grands jours, mais avec sa persévérance, … et effet, après quelques agréables et longs coups de langue, elle entreprit de s’occuper de mon gland, le bien lécher pour enfin le reprendre entre ses douces lèvres et commencer à le sucer du bout des lèvres, comme une glace que l’on déguste, le résultat fit qu’elle avait réussi à me faire bander dur et même très dur, ce qui semblait la satisfaire, même lui faire plaisir car avec un grognement de plaisir elle m’avala sur toute la longueur et commença à me pomper avec douceur, tant et si bien qu’il ne lui fallut que peu de temps pour m’amener au moment où je sentais que j’allais explose. Sans rien dire et je pense qu’elle était au fait de ce qui allait se passer, elle continua à me pomper et’ n’y tenant plus je me vidais d’une généreuse giclée dans sa bouche, mais elle continua et une deuxième giclée, plus petite, lui remplit la bouche. Alors me lâchant la bitte, mais continuant à la caresser, elle me regarda, ouvrit la bouche pour me montrer de quoi elle était pleine et avala le tout : « Ce n’est pas la première fois que je te suce, mais c’est la première fois que tu sembles tellement apprécier ce que j’ai fait et ainsi tu m’as donné beaucoup de plaisir à le faire, … tu es un amour, … » - « Tu es adorable et j’ai beaucoup aimé ce que tu as fait, … que tu me suces ainsi, … un rêve, … j’en avais très envie, … tu l’a fait, et t’as réussi à me faire bander, … t’es formidable, … » Elle vint s’asseoir sur mes genoux, entourant mon cou de ses bras collant ses seins à moi : « Embrasses moi, … prends ma bouche avec ta langue, … j’aime que tu me prennes comme ça, … tu me rends heureuse, … Oh je pense que le temps du déjeuner est presque passé, … il faut rentrer, … » Hélas Oui, elle ouvrit son sac et en sortit un soutien-gorge, une petite culotte et une paire de ballerine. Ses escarpins furent mis dans son sac : « Je ne peux pas arriver au bureau avec ces talons, … certains imagineraient des choses, … » Tout le monde rhabillé, en voiture et direction l’entreprise. Et pas de bol, nous tombons sur son mari et d’un pas décidé je me dirige vers lui, la main tendue avec un : « Content de vous voir Monsieur, je regrette que vous n’ayez pas pu vous joindre à nous, … Oui, je sais, bientôt les congés et ça se bouscule, … mais à la rentrée, … vous ne pourrez éviter une invitation, … ce coup-ci, nous avons pu clarifier certains points avec Madame, … Bonne journée »J’étais arrivé au bureau depuis une demi-heure quand mon téléphone sonna, je décrochais c’était Stéphanie : « Dis donc, … j’ai entendu ce que tu as dit à mon mari, tu es un sacré faux jeton, … » - « Tu voulais que je lui dise quoi, … j’espère qu’il a avalé l’affaire, … » - « Oui, faux jeton, … il m’a même dit, il a l’air sympa ce type, … on verra pour son invitation à la rentrée, … de toutes les façons tu viendras avec moi, … je ne saurais quoi lui dire à ce type, … ainsi je participerais à un déjeuner avec mon mari et mon amant, … rigolo, , … au fait, tu ne m’as rien dit pour la photo, … » - « A, c’est gentil d’avoir fait la photo, mets-la au courrier, mais dans une enveloppe neutre et indique « personnel », … ce serait gênant que la secrétaire ouvre la lettre, et vienne me voir la photo à la main me demandant c’est pour quelle affaire cette photo, … » - « Imbécile que je suis, … mais qu’est-ce que je fais à t’écouter, … » - « Je t’embrasses, … et penses à notre nuit, … » et elle raccrocha.

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