Souvenir Stéphanie
Récit érotique écrit par Maceran [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 22-02-2022 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Souvenir Stéphanie
Cela faisait trois ans que le chantier tournait, il avait grosso modo son rythme de croisière, quand un jour le standard me passa un appel de la secrétaire de notre fournisseur de bétons et autres produits en béton. Ça a été bonjour et après je me suis fait engueuler car nous ne payons plus nos factures, … Après qu’elle se soit essoufflée j’essayais de lui expliquer et de lui confirmer que j’allais m’occuper de son problème le plus rapidement possible. En fait, après enquête, le fait été que la comptable fournisseur enceinte avait été remplacée par une jeune débutante et dans les mêmes locaux il y avait deux entités et les factures avaient males étés dirigés. Prise de rendez-vous puis rendez-vous avec Stéphanie puis que tel était son nom. Accueil un peu froid, explications et assurance que des ordres avaient été données à la banque pour payer les factures en retard, sourire, … et elle me propose un café, … vue l’heure, je lui propose un déjeuner pour nous faire pardonner. Pas d’hésitations. Je l’invite dans ma voiture et nous voilà en route pour un petit troquet dans la zone industrielle. En allant au restaurant je l’observai discrètement, dans les 1,60 m, jolie femme, un peu type espagnole, brune, cheveux cours, et une belle, très belle poitrine, disons une poitrine généreuse. Disons un joli morceau. La conversation fut agréable, en fait elle était certes la secrétaire responsable de la société, son mari étant le gérant. Cela faisait 5 ans qu’ils étaient en poste, … et son pied vint heurter le lien… oh, excusez-moi, … puis une seconde fois, là je ne bougeais pas et le tutoiement pris le relais du vouvoiement, … et la conversation continua et encore une autre fois, sa chaussure vint contre la mienne et ne bougea plus, … il me fallait agir, et alors qu’elle prenait le sel, je lui pris la main, sourire. Le repas fini, en sortant du restaurant, je lui pris le bras, pas de problème son sein vint se buter contre mon bras. La tension montait chez « popol ». On reprend la voiture pour la ramener au dépôt, je démarre première, seconde, troisième, je lâche le changement de vitesses et pose ma main sur sa cuisse. Elle pose la sienne sur la mienne et me dit : « C’est peut-être dangereux, … » Moi : « Oui, … peut-être, … mais j’ai toujours aimé prendre des risques, surtout avec les jolies femmes, … »Stéphanie : « Bien, … » et elle remonta légèrement sa jupe, ma main arriva ainsi sur sa cuisse enfin sur son bas, …je ne roulais pas trop vite, espérant remonter plus haut, encore plus haut, … malheureusement nous arrivions devant le portail de l’entrepôt.
Stéphanie : « Je descends débloquer la porte, … tu passes, … et je referme, … » et remonta en voiture : « Vas te garer à l’arrière de l’entrepôt, … » et elle me précéda dans l’entrepôt puis les bureaux et seulement là, je pus et elle accepta que je la saisisse. M’expliquant et cela était évident que de son bureau, elle pouvait observer les entrées et sorties de l’entrepôt. Après une agréable partie de lèche museau, alors que doucement je descendais dans son cou avec objectif son décolleté et ses seins, semblant légèrement excitée, elle murmura, en s’appuyant sur son bureau : « Caresses moi, … oui, … j’en ai envie, … » Sans hésiter, je soulevais sa jupe et glissais une main entre ses cuisses qui s’ouvrirent sans problèmes et plus je montais plus son bassin s’avançait et ses cuisses s’ouvraient et j’arrivais à sa grotte d’amour, et là, je sentis du bout des doigts, les lèvres de sa chatte, chaudes et humides « Oh, … la garce, … elle était nue, … elle avait bien pensé son coup, … et je m’étais fait piégé, … » excité par cette découverte et désireux d’aller plus loin, de deux doigts je la pénétrais, ce qui fut accepté par : « Oui, … rentres, … prends moi, … donnes moi du plaisir, … j’en ai très envie, …» Elle m’avait piégé, c’était à moi de l’attraper et vue sa position il m’était facile de la masturber avec énergie, elle accepta cette légère brutalité : « Oui, … c’est ça que j’aime, … prends moi fort, … continues, … je sens que ça vient, … continues, … OUIIIIIII, … OHHHOOO, …. OUIIII, … » et elle eut plusieurs spasmes qui la secouèrent brutalement, elle jouissait de tout son corps. Enfin se calmant : « Il faut que tu partes, … je vois les premiers ouvriers qui arrivent, … ce soir à la débauche, … vers 17,30h je serais chez toi, … je serais à toi, … pars, … » et pratiquement, elle me chassa de son bureau. Je récupérais ma voiture et rentrais penaud au bureau et avec une trique épouvantable, attendant le soir pour me rattraper. Elle avait fait ce qu’elle avait voulu et j’avais plongé, mais maintenant je voulais cette femme, je la voulais et je l’aurais.
A 17,30 h, j’étais en attente de cette nana, qui arriva à l’heure et l’un derrière l’autre on se dirigea vers mon immeuble. Ascenseur, palier, entrée. A peine dans mon entrée, elle se retourna et les bras autour du cou, elle se colla et m’offrit ses lèvres. Baiser gourmand, même sensuel et on se dirigea vers la salle de séjour et là re baisers et alors que descendant vers son décolleté, elle ouvrait son corsage, mais ses seins étaient bien garés dans son soutien-gorge, ses mains partirent en arrière et le dégrafèrent, ceux-ci libérés me sautèrent au visage. Plus gros que ceux que j’avais, déjà, connus, plus lourds, mais bien remplis avec de très larges aréoles et des tétons incroyablement dressés, qui ne demandaient qu’à être pris en bouche et être sucés, tétés. Ce que je m’entrepris immédiatement de faire, d’autant plus facilement qu’elle me les offrait à tour de rôle. Alors qu’elle s’appuyait sur le dos d’un fauteuil, je profitais de cette positon, sans attendre pour soulever sa jupe et atteindre rapidement sa chatte, qui était comme je l’imaginais, sans protection. Elle savait où je voulais aller et les cuisses largement ouvertes me permirent d’atteindre mon objectif. Objectif atteint et accueillant à souhait. Je la masturbais un peu, juste histoire de la chauffer, bien qu’elle ne semblât pas en avoir bien besoin et la poussais vers et sur le canapé ce qi se fit agréablement, d’autant que se laissant tomber sur celui-ci, les cuisses s’écartèrent et relevant sa jupe je décidais d’aller gouter à cette chatte. Elle retint sa jupe et s’ouvrit encore plus, son odeur de femme, non de femelle chaude, remplit mes narines de son odeur et cela m’excita encore plus. Le nez dans sa fourrure bien fournie et odoriférante, ma langue partit à la reconnaissance de sa grotte d’amour, ouverte, ruisselante, … deux doigts la pénétrèrent : « Oui, … rentres, … oh, oui, …j’aime quand tu prends comme ça, … oui, … c’est bon, … » Elle était tendue, et tout d’un coup, : « Non, …, arrêtes, … prends moi, … » et elle se retourna et en relevant sa jupe, elle s’agenouilla sur la canapé son beau cul bien en évidence : « Prends moi, … oui, prends moi comme ça, … » sa main entre ses cuisses attendait pour prendre et diriger « pool » dans sa chatte et ce fut : « Oui, … c’est ça que je veux, … prends moi, … baises moi, … je n’ai pensé qu’à ça cette après-midi, … au moment où tu me prendrais, … oui, … baises moi , … oui, … baises moi fort, … », il m’a semblait, je ne sais pourquoi, que c’était le moment et je lui claquais la fesse droite, la réaction fut surprenante : « Oh, … oui, … encore, … oui, … » et je remettais ça sur l’autre fesse : « Oui, … j’aime, … fesses moi, … ça m’excite, … » Il est un fait, que pour chaque claque elle se contractait et ses muscles internes serraient ma bite d’une façon excitante. Ayant son consentement je remettais une paire de claques, au rythme de sa réputation je sentais qu’elle n’était pas loin de partir et j’accélérais le mouvement : « Oui, … continues, … je sens que ça vient, … plus vite, … OOOHHH, … OUIIII, … OOHHH, … OUIIIiii, … » au deuxième OH, j’avais cramponné ses hanches et bien enfoncé dans sa chatte je l’avais rempli de mon jus de plaisir et en même temps elle avait été secoué de plusieurs spasmes qui l’avaient fait se contracter brutalement puis plus doucement. Pour enfin se laisser aller, le souffle court. Enfin, se relevant, : « Je vais à la salle de bains, … » Le temps que je me réajuste et que j’aille chercher des boissons, elle sortait, bien peignée, parfaitement habillée. Je lui proposais une boisson, quand elle regarda sa montre : « Non, … merci, … je dois rentrer, … merci pour cet agréable moment, … je serais contente si tu me rappelles, … au revoir, … » Un petit baiser rapide sur les lèvres, elle était partie.
o I semaine après – StéphanieCourant de la semaine qui suivit, je me demandais encore comment tout cela avait pu arriver Et j’étais curieux de savoir s’il aurait une suite. C’était une femme agréable, est-ce que c’était, de sa part, un coup d’un jour, comme un coup de folie, … Je tournais, je virais et un après-midi, je me lançais et par ma ligne personnelle je me décidais à l’appeler, ça décroche : « Bonjour Stéphanie, … c’est Jean, … » - « Oui, … je t’ai reconnu, … comment vas-tu, … » _ « Bien et toi, … je voulais savoir, si on pouvait se voir, … si, … » - « Oui, … bien sûr, … j’attendais ton coup de téléphone, … cet après-midi, à la débauche, … » - « Parfait, … je t’attendrais chez moi, … à tout à l’heure, … »Et, l’heure passée avec elle, fut aussi agréable que la première fois et peut-être plus, on se connaissait, et à peine le baiser d’arrivée donné, le corsage était ouvert et les seins étaient offerts à déguster. On arrivait ainsi au canapé où elle se mettait en position, la jupe relevée et la chatte offerte, ouverte, bien chaude et accueillante. On baisait et au revoir. C’était fou.
Stéphanie : « Je descends débloquer la porte, … tu passes, … et je referme, … » et remonta en voiture : « Vas te garer à l’arrière de l’entrepôt, … » et elle me précéda dans l’entrepôt puis les bureaux et seulement là, je pus et elle accepta que je la saisisse. M’expliquant et cela était évident que de son bureau, elle pouvait observer les entrées et sorties de l’entrepôt. Après une agréable partie de lèche museau, alors que doucement je descendais dans son cou avec objectif son décolleté et ses seins, semblant légèrement excitée, elle murmura, en s’appuyant sur son bureau : « Caresses moi, … oui, … j’en ai envie, … » Sans hésiter, je soulevais sa jupe et glissais une main entre ses cuisses qui s’ouvrirent sans problèmes et plus je montais plus son bassin s’avançait et ses cuisses s’ouvraient et j’arrivais à sa grotte d’amour, et là, je sentis du bout des doigts, les lèvres de sa chatte, chaudes et humides « Oh, … la garce, … elle était nue, … elle avait bien pensé son coup, … et je m’étais fait piégé, … » excité par cette découverte et désireux d’aller plus loin, de deux doigts je la pénétrais, ce qui fut accepté par : « Oui, … rentres, … prends moi, … donnes moi du plaisir, … j’en ai très envie, …» Elle m’avait piégé, c’était à moi de l’attraper et vue sa position il m’était facile de la masturber avec énergie, elle accepta cette légère brutalité : « Oui, … c’est ça que j’aime, … prends moi fort, … continues, … je sens que ça vient, … continues, … OUIIIIIII, … OHHHOOO, …. OUIIII, … » et elle eut plusieurs spasmes qui la secouèrent brutalement, elle jouissait de tout son corps. Enfin se calmant : « Il faut que tu partes, … je vois les premiers ouvriers qui arrivent, … ce soir à la débauche, … vers 17,30h je serais chez toi, … je serais à toi, … pars, … » et pratiquement, elle me chassa de son bureau. Je récupérais ma voiture et rentrais penaud au bureau et avec une trique épouvantable, attendant le soir pour me rattraper. Elle avait fait ce qu’elle avait voulu et j’avais plongé, mais maintenant je voulais cette femme, je la voulais et je l’aurais.
A 17,30 h, j’étais en attente de cette nana, qui arriva à l’heure et l’un derrière l’autre on se dirigea vers mon immeuble. Ascenseur, palier, entrée. A peine dans mon entrée, elle se retourna et les bras autour du cou, elle se colla et m’offrit ses lèvres. Baiser gourmand, même sensuel et on se dirigea vers la salle de séjour et là re baisers et alors que descendant vers son décolleté, elle ouvrait son corsage, mais ses seins étaient bien garés dans son soutien-gorge, ses mains partirent en arrière et le dégrafèrent, ceux-ci libérés me sautèrent au visage. Plus gros que ceux que j’avais, déjà, connus, plus lourds, mais bien remplis avec de très larges aréoles et des tétons incroyablement dressés, qui ne demandaient qu’à être pris en bouche et être sucés, tétés. Ce que je m’entrepris immédiatement de faire, d’autant plus facilement qu’elle me les offrait à tour de rôle. Alors qu’elle s’appuyait sur le dos d’un fauteuil, je profitais de cette positon, sans attendre pour soulever sa jupe et atteindre rapidement sa chatte, qui était comme je l’imaginais, sans protection. Elle savait où je voulais aller et les cuisses largement ouvertes me permirent d’atteindre mon objectif. Objectif atteint et accueillant à souhait. Je la masturbais un peu, juste histoire de la chauffer, bien qu’elle ne semblât pas en avoir bien besoin et la poussais vers et sur le canapé ce qi se fit agréablement, d’autant que se laissant tomber sur celui-ci, les cuisses s’écartèrent et relevant sa jupe je décidais d’aller gouter à cette chatte. Elle retint sa jupe et s’ouvrit encore plus, son odeur de femme, non de femelle chaude, remplit mes narines de son odeur et cela m’excita encore plus. Le nez dans sa fourrure bien fournie et odoriférante, ma langue partit à la reconnaissance de sa grotte d’amour, ouverte, ruisselante, … deux doigts la pénétrèrent : « Oui, … rentres, … oh, oui, …j’aime quand tu prends comme ça, … oui, … c’est bon, … » Elle était tendue, et tout d’un coup, : « Non, …, arrêtes, … prends moi, … » et elle se retourna et en relevant sa jupe, elle s’agenouilla sur la canapé son beau cul bien en évidence : « Prends moi, … oui, prends moi comme ça, … » sa main entre ses cuisses attendait pour prendre et diriger « pool » dans sa chatte et ce fut : « Oui, … c’est ça que je veux, … prends moi, … baises moi, … je n’ai pensé qu’à ça cette après-midi, … au moment où tu me prendrais, … oui, … baises moi , … oui, … baises moi fort, … », il m’a semblait, je ne sais pourquoi, que c’était le moment et je lui claquais la fesse droite, la réaction fut surprenante : « Oh, … oui, … encore, … oui, … » et je remettais ça sur l’autre fesse : « Oui, … j’aime, … fesses moi, … ça m’excite, … » Il est un fait, que pour chaque claque elle se contractait et ses muscles internes serraient ma bite d’une façon excitante. Ayant son consentement je remettais une paire de claques, au rythme de sa réputation je sentais qu’elle n’était pas loin de partir et j’accélérais le mouvement : « Oui, … continues, … je sens que ça vient, … plus vite, … OOOHHH, … OUIIII, … OOHHH, … OUIIIiii, … » au deuxième OH, j’avais cramponné ses hanches et bien enfoncé dans sa chatte je l’avais rempli de mon jus de plaisir et en même temps elle avait été secoué de plusieurs spasmes qui l’avaient fait se contracter brutalement puis plus doucement. Pour enfin se laisser aller, le souffle court. Enfin, se relevant, : « Je vais à la salle de bains, … » Le temps que je me réajuste et que j’aille chercher des boissons, elle sortait, bien peignée, parfaitement habillée. Je lui proposais une boisson, quand elle regarda sa montre : « Non, … merci, … je dois rentrer, … merci pour cet agréable moment, … je serais contente si tu me rappelles, … au revoir, … » Un petit baiser rapide sur les lèvres, elle était partie.
o I semaine après – StéphanieCourant de la semaine qui suivit, je me demandais encore comment tout cela avait pu arriver Et j’étais curieux de savoir s’il aurait une suite. C’était une femme agréable, est-ce que c’était, de sa part, un coup d’un jour, comme un coup de folie, … Je tournais, je virais et un après-midi, je me lançais et par ma ligne personnelle je me décidais à l’appeler, ça décroche : « Bonjour Stéphanie, … c’est Jean, … » - « Oui, … je t’ai reconnu, … comment vas-tu, … » _ « Bien et toi, … je voulais savoir, si on pouvait se voir, … si, … » - « Oui, … bien sûr, … j’attendais ton coup de téléphone, … cet après-midi, à la débauche, … » - « Parfait, … je t’attendrais chez moi, … à tout à l’heure, … »Et, l’heure passée avec elle, fut aussi agréable que la première fois et peut-être plus, on se connaissait, et à peine le baiser d’arrivée donné, le corsage était ouvert et les seins étaient offerts à déguster. On arrivait ainsi au canapé où elle se mettait en position, la jupe relevée et la chatte offerte, ouverte, bien chaude et accueillante. On baisait et au revoir. C’était fou.
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